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Royaume-Uni : la croissance s’écroule

Royaume-Uni : la croissance s’écroule

 

Alors que dans la plupart des pays européens un redressement a été observé à partir du mois de mai, il en va différemment au Royaume-Uni qui s’enfonce dans des dépressions de plus en plus insondables. Le produit intérieur brut a chuté de 19,1% au Royaume-Uni de mars à mai comparé à la période de décembre à février, à cause de l’impact du nouveau coronavirus, avec un maigre rebond de 1,8% en mai qui a déçu les analystes.

Malgré cette faible embellie en mai, le PIB reste inférieur d’un quart comparé à son niveau de février, avant que le nouveau coronavirus ne frappe pleinement l’économie britannique et mondiale, indique mardi l’Office national des statistiques (ONS). Entre mars et mai, le secteur des services s’est notamment contracté de 18,9%, et celui de la construction de 29,8%.

 

 

Zone euro: la croissance s’écroule en mars de 40%

Zone euro: la croissance s’écroule en mars de 40%

 

Dans la zone euro., l’indice PMI composite IHS Markit de l’activité globale dans la région accuse ainsi un repli mensuel sans précédent en mars pour s’établir à 29,7, soit son plus bas niveau de l’histoire de l’enquête. Soit une baisse de 40%. (la limite de 50 sépare la récession de la croissance).  Cela semble confirmer que en moyenne chaque mois de confinement coute de 3 à 4 % au PIB annuel.  L’indice  très fortement reculé par rapport à son niveau de février (51,6), il a en outre affiché un repli marqué par rapport à son estimation flash (31,4), reflétant les répercussions sévères et croissantes de l’actuelle pandémie de Covid-19 sur l’économie de la zone euro.

Si l’activité a reculé de manière considérable dans les deux secteurs couverts par l’enquête, c’est toutefois le secteur des services qui a affiché le plus fort taux de contraction, celui-ci atteignant son plus haut niveau depuis le début de l’enquête. Dans l’industrie manufacturière, la production a diminué pour un quatorzième mois consécutif, enregistrant en outre sa plus importante baisse mensuelle depuis avril 2009. Chutant de 52,6 en février à 26,4, l’indice PMI IHS Markit de l’activité de services affiche également un repli mensuel d’ampleur inédite pour s’établir à son plus bas niveau historique en mars.

Zone euro: l’économie s’écroule en mars

Zone euro: l’économie s’écroule en mars

 

 

Une véritable situation de guerre pour l’économie européenne qui va perdre à peu près la moitié de sa richesse en mars. L’indice composite calculé par IHS Markit, qui combine secteur manufacturier et services, a touché un plus bas record à 31,4 dans sa version préliminaire, contre 51,6 en février. Il s’agit de la plus forte baisse de cet indice depuis qu’il est mesuré en 1998. En dessous de la barre des 50 , il y a diminution de l’activité est au-dessus augmentation. l’activité

« L’activité des entreprises dans l’ensemble de la zone euro s’est effondrée dans des proportions nettement supérieures à celles enregistrées au plus fort de la crise financière mondiale [de 2008] », commente Chris Williamson, économiste d’IHS Markit.

La chute est particulièrement spectaculaire dans les services avec un indice tombé à 28,4 après 52,6 en février. L’indice manufacturier a souffert lui aussi mais nettement moins que prévu avec un recul à 44,8 après 49,2 en février.

En France, l’indice composite, qui combine secteur manufacturier et services, baisse encore davantage que la moyenne ressort à 30,2 dans sa version préliminaire contre 50,2 en février. Cet indice, qui est mesuré depuis 22 ans, n’a jamais été aussi bas. Les services sont particulièrement touchés avec un indice à 29, là aussi un record, après 52,5 en février. Le secteur manufacturier a mieux résisté mais recule nettement lui aussi (42,9 après 49,8 en février).

 

En Allemagne, l’indice PMI composite est tombée à 37,2 en première estimation ce mois-ci contre 50,7 en février. « L’effondrement sans précédent du PMI souligne à quel point l’Allemagne se dirige vers une récession, et même vers une récession brutale », a déclaré Phil Smith, économiste chez IHS Markit. Berlin a approuvé lundi un paquet de mesures d’un montant de 750 milliards d’euros pour soutenir l’économie et l’Allemagne prévoit de s’endetter pour la première fois depuis 2013.

Enfin, la situation est toute aussi mauvaise au Royaume-Uni, où l’indice PMI composite revient à 37,1, son plus bas niveau depuis le lancement de l’enquête en janvier 1998. La chute est là aussi grandement due au secteur des services. Son indice est ainsi passé à 35,7, après 53,2 le mois précédent. Ces chiffres font craindre une contraction de l’économie à un rythme trimestriel de 1,5% à 2%.

Le pétrole s’écroule

Le pétrole s’écroule

En quelques jours, les cours du pétrole se sont écoulés et ont perdu presque la moitié de leur valeur. Ils résistent pour l’instant tout juste au-dessus de 30 $ le baril. Avec la crise économique que provoque le Coronavirus et surtout la décision de l’Arabie Saoudite d’inonder le marché pour étouffer la concurrence, les prix pourraient encore tomber plus bas au point de créer un véritable krach pétrolier.

Le pétrole s’écroule donc avec un prix autour de 30 $. Un prix qui ne permet pas d’amortir les investissements et qui vident les caisses de certains Etats dont les ressources pétrolières sont essentielles par exemple en Russie , en Iran ou encore en Algérie- .Les pays de l’OPEP ont par ailleurs été incapable de se mettre d’accord sur une réduction de la production qui serait susceptible de faire remonter les cours. Pire, l’Arabie saoudite a réduit le prix de vente officiel pour le mois d’avril de toutes ses qualités de brut vers toutes les destinations, une décision prise après l’échec des discussions entre l’OPEP et la Russie sur un nouvel accord d’encadrement de la production.

 

L’Arabie saoudite est le premier exportateur mondial de pétrole et de facto le pays dont le poids est le plus important au sein de l’OPEP.

Les prix du pétrole se sont de nouveau repliés mercredi alors que l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont annoncé leur intention d’augmenter drastiquement leur production d’or noir au moment où la demande est fragilisée par la propagation du coronavirus dans le monde.

A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai a lâché 3,8%, ou 1,43 dollar, pour clôturer à 35,79 dollars. A New York, le baril américain de WTI pour avril a perdu 4%, ou 1,38 dollar, à 32,98 dollars. Les deux barils de référence s’affichaient pourtant en hausse en début de journée, après avoir déjà vivement rebondi mardi au lendemain de leur pire chute depuis le début de la guerre du Golfe en 1991.

Mais la tendance s’est inversée quand l’entreprise publique saoudienne Aramco a fait savoir qu’elle allait encore augmenter sa capacité de production de pétrole pour la porter à 13 millions de barils par jour (mbj), soit plus de 3 mbj de plus que sa production actuelle. Le premier exportateur mondial de brut avait déjà décidé mardi d’augmenter sa production à 12,3 mbj à partir d’avril. Les Emirats arabes unis se sont par la suite dits prêts à augmenter leur approvisionnement en pétrole de plus d’un million de barils par jour (bpj).

L’OPEP a déjà revu fortement à la baisse sa prévision de croissance de la demande mondiale de pétrole en 2020 mercredi, prévoyant désormais une croissance de la demande à 60.000 barils par jour. Le cartel anticipait jusqu’ici une progression de 990.000 barils par jour. L’annonce en cours de séance par l’Agence américaine d’information sur l’Energie (EIA) d’une hausse des stocks de brut aux Etats-Unis pour la septième semaine de suite, et bien supérieure aux attentes, a conforté la tendance baissière des cours. L’EIA a aussi abaissé d’environ 30% ses anticipations sur les cours du brut pour l’année en cours: elle anticipe désormais un prix moyen du baril de Brent à 43 dollars en 2020, contre 65 dollars auparavant, et à 38 dollars pour le baril de WTI, contre 59 dollars auparavant.

Coronavirus : le prix de vente du pétrole s’écroule

Coronavirus : le prix de vente du pétrole s’écroule

 

 

Le pétrole s’écroule avec un prix autour de 30 $. Un prix qui ne permet pas d’amortir les investissements et qui vident les caisses de certains Etats dont les ressources pétrolières sont essentielles par exemple en Russie , en Iran ou encore en Algérie- .Les pays de l’OPEP ont par ailleurs été incapable de se mettre d’accord sur une réduction de la production qui serait susceptible de faire remonter les cours. Pire, l’Arabie saoudite a réduit le prix de vente officiel pour le mois d’avril de toutes ses qualités de brut vers toutes les destinations, une décision prise après l’échec des discussions entre l’OPEP et la Russie sur un nouvel accord d’encadrement de la production.

Le géant pétrolier saoudien Saudi Aramco a fixé son prix de vente officiel pour le baril de brut léger à destination de l’Asie pour le mois d’avril à 3,10 dollars de moins que la moyenne d’Oman/Dubaï, soit une baisse de 6 dollars le baril par rapport au mois de mars, a déclaré samedi la société dans un communiqué. Le groupe a aussi réduit le prix de vente du baril de pétrole brut léger vers les Etats-Unis pour avril à 3,75 dollars de moins par rapport à l’ASCI, en baisse de 7 dollars le baril par rapport à mars.

Le prix de vente du baril de brut léger à destination de l’Europe du Nord et de l’Ouest a été fixé à 10,25 dollars de moins que la référence de l’Ice Brent, en baisse de 8 dollars le baril sur un mois. Vendredi, la belle harmonie qui régnait depuis trois ans entre l’Opep et la Russie a volé en éclats du fait de l’opposition de Moscou à une nouvelle réduction de la production de pétrole pour enrayer la baisse des cours due à l’épidémie de coronavirus.

Le cartel, qui souhaitait une baisse supplémentaire de 1,5 million de barils par jour jusque fin 2020, a riposté en supprimant toutes les limites à sa propre production, ce qui a fait chuter les cours du pétrole de 10%.

L’éclatement de l’alliance entre l’Opep et la Russie a déjà provoqué un plongeon des cours du pétrole et des Bourses du Golfe. L’action Aramco a chuté de 9,1% dimanche, sa plus forte baisse en une séance jamais enregistrée depuis l’introduction en Bourse du géant pétrolier en décembre dernier. Le cours de l’action est tombé pour la première fois sous son prix de mise sur le marché.

 

L’Arabie saoudite est le premier exportateur mondial de pétrole et de facto le pays dont le poids est le plus important au sein de l’Opep.

Sondage Macron- la popularité s’écroule

Sondage Macron- la popularité s’écroule

 

Selon un sondage Elabe , 62% des Français se déclarent déçus, 14% jugent son action satisfaisante et 24% lui accordent le bénéfice du doute en estimant qu’il est prématuré de se prononcer sur ce point-là. Un chiffre en hausse, qui « s’observe auprès de l’ensemble des catégories de populations, hormis chez les cadres et les retraités ». 61% des personnes interrogées estiment par ailleurs que le président de la République devrait prendre en compte la contestation de la réforme des retraites et retirer le projet.

Ce n’est pas une nouveauté, mais la cote de popularité d’Emmanuel Macron n’est pas au beau fixe, indique notre dernier sondage réalisé par l’institut Elabe pour BFMTV et publié ce mercredi.

Ainsi, selon cette étude, 61% des personnes interrogées estiment que la contestation actuelle de la réforme des retraites devrait être davantage prise en compte par le chef de l’État et qu’il devrait retirer ce projet, alors qu’il doit être présenté en conseil des ministres vendredi.

« À l’inverse, 39% estiment qu’il a raison de faire cette réforme et qu’elle était dans son programme. C’est notamment le cas des retraités et des cadres », développe Elabe.

Au sujet de cette réforme, Emmanuel Macron est soutenu par 74% de ses électeurs du premier tour de la présidentielle de 2017 interrogés et 62% de ceux de François Fillon.

Croissance Europe: l’industrie s’écroule encore

Croissance Europe: l’industrie s’écroule encore

 

Encore de très mauvais chiffres pour l’industrie de la zone euro. On  peut se demander si l’industrie ne disparaîtra pas un jour de l’Europe.

 

En zone euro L’indice PMI du secteur industriel a reculé à 46,3 en décembre après 46,9 en décembre, un repli moins marqué toutefois qu’en première estimation puisque le PMI “flash” le donnait à 45,9.

Un indice mesurant la production, qui entre dans le calcul du PMI composite, a baissé à 46,1 après 47,4 en novembre.

“Les industriels de la zone euro évoquent une fin 2019 sombre avec une baisse de la production d’une ampleur jamais vue depuis 2012”, commente Chris Williamson, chef économiste d’IHS Markit.

“Si les entreprises se montrent un peu plus optimistes pour l’année à venir, le retour à la croissance est encore loin car les flux de nouvelles commandes continuent de baisser à un rythme qui figure parmi les plus soutenus des sept dernières années.”

En Allemagne, l’activité du secteur manufacturier allemand, très dépendante de la demande étrangère, s’est encore contractée en décembre mais les prévisions de production se sont légèrement améliorées, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle d’IHS Markit.

L’indice PMI manufacturier a reculé à 43,7 après 44,1 en novembre. Ce dernier chiffre marquait un plus haut de cinq mois.

L’indice définitif de décembre est légèrement supérieur à la première estimation, qui le donnait à 43,4, mais reste loin du seuil de 50 séparant croissance et contraction.

En France, la croissance de l’activité du secteur manufacturier français a ralenti en décembre, confirment les résultats définitifs de l’enquête mensuelle d’IHS Markit.

L’indice PMI manufacturier ressort à 50,4 après 51,7 en novembre et 50,3 en première estimation.

Le chiffre de novembre marquait un plus haut de sept mois.

IHS Markit note que si les conditions d’activité dans l’industrie se sont améliorées en décembre, cette amélioration a été la plus faible enregistrée depuis trois mois, évoquant “une hausse marginale de la production et une nouvelle contraction des nouvelles commandes”.

“Cela a conduit les entreprises à interrompre leurs efforts de recrutement et à réduire leurs achats”, ajoute Eliot Kerr, économiste du cabinet privé.

En Grande-Bretagne La production du secteur manufacturier britannique a subi en décembre sa contraction la plus marquée depuis plus de sept ans, l’impact du ralentissement économique mondial étant amplifié par la réduction des stocks constitués par les entreprises dans l’éventualité d’un Brexit sans accord.

Le PMI britannique est ainsi à 47,5 après 48,9 en novembre et l’indice de la production a chuté à 45,6, son plus bas niveau depuis juillet 2012, contre 49,1 en novembre.

L’enquête d’IHS Markit a été réalisée entre le 5 et le 18 décembre, une période pendant laquelle ont eu lieu les élections législatives ayant donné une large majorité au Premier ministre, Boris Johnson.

en Italie L’activité du secteur manufacturier a reculé en décembre pour le 15e mois consécutif et à son rythme le plus marqué depuis près de sept ans, montrent les résultats de l’enquête mensuelle d’IHS Markit.

L’indice PMI manufacturier est tombé à 46,2 après 47,6 en novembre, au plus bas depuis avril 2013.

Les économistes et analystes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 47,2.

Le sous-indice des nouvelles commandes est revenu à 45,8 après 46,7.

en Espagne L’activité manufacturière s’est contractée en décembre pour le septième mois consécutif et sa baisse a atteint son rythme le plus marqué depuis avril 2013, l’incertitude politique s’ajoutant aux interrogations sur la croissance mondiale.

L’indice PMI manufacturier a reculé à 47,4 après 47,5 en novembre. Il est inférieur depuis juin au seuil de 50 séparant contraction et expansion.

L’indice de la production est revenu à 45,4 après 47,5, sa plus forte baisse d’un mois sur l’autre depuis six ans et demi.

Europe: l’industrie s’écroule encore

Europe: l’industrie s’écroule encore

Encore de très mauvais chiffres pour l’industrie de la zone euro. On  peut se demander si l’industrie ne disparaîtra pas un jour de l’Europe.

En zone euro L’indice PMI du secteur industriel a reculé à 46,3 en décembre après 46,9 en décembre, un repli moins marqué toutefois qu’en première estimation puisque le PMI “flash” le donnait à 45,9.

Un indice mesurant la production, qui entre dans le calcul du PMI composite, a baissé à 46,1 après 47,4 en novembre.

“Les industriels de la zone euro évoquent une fin 2019 sombre avec une baisse de la production d’une ampleur jamais vue depuis 2012”, commente Chris Williamson, chef économiste d’IHS Markit.

“Si les entreprises se montrent un peu plus optimistes pour l’année à venir, le retour à la croissance est encore loin car les flux de nouvelles commandes continuent de baisser à un rythme qui figure parmi les plus soutenus des sept dernières années.”

En Allemagne, l’activité du secteur manufacturier allemand, très dépendante de la demande étrangère, s’est encore contractée en décembre mais les prévisions de production se sont légèrement améliorées, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle d’IHS Markit.

L’indice PMI manufacturier a reculé à 43,7 après 44,1 en novembre. Ce dernier chiffre marquait un plus haut de cinq mois.

L’indice définitif de décembre est légèrement supérieur à la première estimation, qui le donnait à 43,4, mais reste loin du seuil de 50 séparant croissance et contraction.

En France, la croissance de l’activité du secteur manufacturier français a ralenti en décembre, confirment les résultats définitifs de l’enquête mensuelle d’IHS Markit.

L’indice PMI manufacturier ressort à 50,4 après 51,7 en novembre et 50,3 en première estimation.

Le chiffre de novembre marquait un plus haut de sept mois.

IHS Markit note que si les conditions d’activité dans l’industrie se sont améliorées en décembre, cette amélioration a été la plus faible enregistrée depuis trois mois, évoquant “une hausse marginale de la production et une nouvelle contraction des nouvelles commandes”.

“Cela a conduit les entreprises à interrompre leurs efforts de recrutement et à réduire leurs achats”, ajoute Eliot Kerr, économiste du cabinet privé.

En Grande-Bretagne La production du secteur manufacturier britannique a subi en décembre sa contraction la plus marquée depuis plus de sept ans, l’impact du ralentissement économique mondial étant amplifié par la réduction des stocks constitués par les entreprises dans l’éventualité d’un Brexit sans accord.

Le PMI britannique est ainsi à 47,5 après 48,9 en novembre et l’indice de la production a chuté à 45,6, son plus bas niveau depuis juillet 2012, contre 49,1 en novembre.

L’enquête d’IHS Markit a été réalisée entre le 5 et le 18 décembre, une période pendant laquelle ont eu lieu les élections législatives ayant donné une large majorité au Premier ministre, Boris Johnson.

en Italie L’activité du secteur manufacturier a reculé en décembre pour le 15e mois consécutif et à son rythme le plus marqué depuis près de sept ans, montrent les résultats de l’enquête mensuelle d’IHS Markit.

L’indice PMI manufacturier est tombé à 46,2 après 47,6 en novembre, au plus bas depuis avril 2013.

Les économistes et analystes interrogés par Reuters l’attendaient en moyenne à 47,2.

Le sous-indice des nouvelles commandes est revenu à 45,8 après 46,7.

en Espagne L’activité manufacturière s’est contractée en décembre pour le septième mois consécutif et sa baisse a atteint son rythme le plus marqué depuis avril 2013, l’incertitude politique s’ajoutant aux interrogations sur la croissance mondiale.

L’indice PMI manufacturier a reculé à 47,4 après 47,5 en novembre. Il est inférieur depuis juin au seuil de 50 séparant contraction et expansion.

L’indice de la production est revenu à 45,4 après 47,5, sa plus forte baisse d’un mois sur l’autre depuis six ans et demi.

Grande-Bretagne: la croissance s’écroule

Grande-Bretagne:  la croissance s’écroule

 

L’environnement du brexit  continue de porter un grave préjudice à l’économie britannique. Le rythme de croissance s’est notamment notoirement affaibli depuis des mois. C’est même la plus faible croissance enregistrée depuis presque 10 ans. Le produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 0,7% par rapport à octobre 2018. La croissance l’année entière pourrait être inférieure à la moitié des prévisions : à peine 0,7 % pour 1,4 % prévus ( 1,8 % en 2018). Le problème c’est que même avec des nouvelles élections du Parlement britannique, les i certitudes vont demeurer quand au futurs relations commerciales entre l’union européenne et Londres. En effet, il paraît  de plus en plus vraisemblable qu’il sera impossible d’élaborer des règles définitives sur  les conditions des échanges entre l’Europe et la Grande-Bretagne d’ici 2020. L’affaire du brexit  pourrait peser pendant encore des années sur les perspectives de croissance de la Grande-Bretagne.

Sur le trimestre août-octobre, la croissance a été nulle par rapport aux trois mois précédents, précise l’Office national de la statistique (ONS), comme attendu par les économistes interrogés par Reuters.

Le PIB a également stagné par rapport à septembre alors que la médiane des estimations du consensus le donnait en hausse de 0,1%.

La production industrielle britannique a augmenté de 0,1% en octobre, une progression inférieure de moitié à celle attendue par le consensus Reuters.

Sur un an, l’activité du secteur industriel est en baisse de 1,3%, légèrement plus qu’attendu par les économistes (-1,2%).

Sur les trois mois à fin octobre, la production industrielle accuse une baisse de 0,7%; celle du secteur des services est en hausse de 0,2%, sa plus faible progression depuis juin.

Le déficit de la balance commerciale britannique s’est creusé en octobre pour atteindre 14,486 milliards de livres sterling (17,21 milliards d’euros) contre 11,5 milliards de livres en septembre.

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