Archive pour le Tag 's’écroule'

Politique-Sondage popularité : Macron s’écroule

Politique-Sondage popularité : Macron s’écroule


La proportion de Français qui ne lui font pas confiance est passée de 57 à 70 %. Mais le pire est l’accroissement de ceux qui ne lui « font pas du tout confiance ». Ils sont désormais 50 % (+ 9 points en un mois).

Élisabeth Borne, la première ministre, s’effondre de 6 points après l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale.

D’après le dernier sondage Odoxa Backbone-consulting, une majorité de la population se prépare à ce que la contestation se radicalise.

Le soutien à la mobilisation contre la réforme des retraites demeure élevé (66%), mais que le mouvement est attendu pour durer, voire se radicaliser.

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%).

Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

Sondage popularité : Macron s’écroule

Sondage popularité : Macron s’écroule


La proportion de Français qui ne lui font pas confiance est passée de 57 à 70 %. Mais le pire est l’accroissement de ceux qui ne lui « font pas du tout confiance ». Ils sont désormais 50 % (+ 9 points en un mois).

Élisabeth Borne, la première ministre, s’effondre de 6 points après l’utilisation du 49-3 à l’Assemblée nationale.

D’après le dernier sondage Odoxa Backbone-consulting, une majorité de la population se prépare à ce que la contestation se radicalise.

Le soutien à la mobilisation contre la réforme des retraites demeure élevé (66%), mais que le mouvement est attendu pour durer, voire se radicaliser.

Dans ce contexte, les Français attendent du président un geste. Celui du changement, notamment de sa première ministre, voire du Parlement tout entier. Un remaniement sans changement de chef de gouvernement est ainsi peu plébiscité (22%), tandis qu’un remplacement d’Élisabeth Borne est davantage encouragé (61%).

Plus radicale encore, une dissolution de l’Assemblée nationale apparaît comme une bonne idée pour 58% des sondés. Notamment les plus opposés à la réforme se trouvant du côté de La France insoumise (76%) et du Rassemblement national (72%). Soit les deux partis rivalisant depuis des semaines pour occuper le rôle de premier opposant à Emmanuel Macron, et ainsi tirer profit de l’impasse dans laquelle se trouve l’exécutif.

SONDAGE Popularité- Macron s’écroule à 28 % !


SONDAGE Popularité- Macron s’écroule à 28 % !


Comme c’était prévisible Macon est en train de s’écrouler complètement dans les sondages victime surtout à écouter et à dialoguer. Il pourrait continuer de s’enfoncer s’il continue de mener une politique aussi suicidaire dans le pays. La crise se nourrit évidemment de l’opposition massive à la réforme des retraites mais aussi à une politique économique et sociale incohérente notamment aux effets dévastateurs de l’inflation, à l’affaiblissement de l’État, à l’insécurité et à la perte d’efficacité des services publics (école, santé, justice). D’après le sondage Ifop-JDD enregistre 70 % de Français mécontents, sa cote de popularité chute de 4 points en un mois . Il passe sous la barre symbolique des 30 % de satisfaits (28 %), et se situe désormais derrière sa Première ministre, Élisabeth Borne (29 % de satisfaits). Depuis décembre, le chef de l’État a subi une baisse, substantielle, de 8 points.

Il faut remonter à la sortie de crise des Gilets jaunes, début 2019, pour trouver des niveaux d’impopularité comparables. « C’est une séquence très mauvaise pour le couple exécutif », souligne le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi, qui note que « pour la première fois, le socle présidentiel du premier tour est atteint ».
Un recul chez ses électeurs

Signe inquiétant pour lui, Emmanuel Macron recule ainsi de 7 points chez ses électeurs du 10 avril 2022 (76 % de satisfaits). Le mécontentement à son égard traverse toutes les catégories : 76 % des 18-24 ans (+ 10 points en un mois), 82 % des ouvriers (+ 6), 72 % des salariés du secteur privé (+ 5).

Parmi les personnes interrogées, une expression revient en boucle : « Macron n’écoute pas », selon Frédéric Dabi, une critique que réactive l’utilisation du 49-3. Et deux thèmes dominent : la réforme des retraites, mais aussi l’inflation, « carburant du mécontentement », selon Dabi.

Sondage popularité : Macron s’écroule

Sondage popularité : Macron s’écroule

La popularité d’Emmanuel Macron au plus bas niveau depuis trois ans, avec 32% de Français satisfaits de son action, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche .

Il recule de six points au total depuis la rentrée de septembre et la mise en orbite de son projet sur les retraites, retrouvant ainsi son étiage pré-crise du Covid. Selon ce baromètre mensuel, Emmanuel Macron régresse notamment auprès des sympathisants LR (-12 points) et même auprès de ses propres électeurs de premier tour (- 4 points).

Élisabeth Borne voit sa popularité baisser de 3 points, à 29% d’opinions favorables, son plus bas niveau depuis son entrée en fonction à Matignon en mai dernier.
________________________________________
Enquête menée du 9 au 16 février 2023, auprès d’un échantillon de 1.952 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur comprise entre 1 et 2,3 points.

Sondage popularité : Macron s’écroule

Sondage popularité : Macron s’écroule

La popularité d’Emmanuel Macron au plus bas niveau depuis trois ans, avec 32% de Français satisfaits de son action, selon un sondage Ifop pour le Journal du dimanche .

Il recule de six points au total depuis la rentrée de septembre et la mise en orbite de son projet sur les retraites, retrouvant ainsi son étiage pré-crise du Covid. Selon ce baromètre mensuel, Emmanuel Macron régresse notamment auprès des sympathisants LR (-12 points) et même auprès de ses propres électeurs de premier tour (- 4 points).

Élisabeth Borne voit sa popularité baisser de 3 points, à 29% d’opinions favorables, son plus bas niveau depuis son entrée en fonction à Matignon en mai dernier.
________________________________________
Enquête menée du 9 au 16 février 2023, auprès d’un échantillon de 1.952 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur comprise entre 1 et 2,3 points.

Le bitcoin, monnaie légale, s’écroule au Salvador

Le bitcoin, monnaie légale, s’écroule au Salvador

Le bitcoin comme monnaie légale au Salvador s’écroule non seulement en raison de la baisse considérable de sa valeur mais aussi en raison de sa non utilisation.

En septembre 2021, le bitcoin tournait autour de 45.000 dollars, puis en novembre il a atteint 68.000 dollars mais après une chute vertigineuse il se négocie actuellement sous les 20.000 dollars.
Le bitcoin, dont les cours sont à la baisse, esten fait utilisé par une minorité de Salvadoriens qui considèrent ce pari emblématique du président Nayib Bukele comme «un échec», selon une enquête universitaire publiée mardi. Quelque 75,6% des personnes interrogées disent n’avoir jamais utilisé la cryptomonnaie en 2022, et 77% considèrent que son adoption il y a 14 mois comme monnaie légale, à côté du dollar, «a été un échec», révèle le sondage mené par l’Université jésuite d’Amérique centrale (UCA).

Le bitcoin «est la mesure la plus impopulaire du gouvernement, la plus critiquée et la plus mal appréciée», a déclaré le recteur de l’UCA, Andreu Oliva, commentant les résultats de l’étude. L’idée du président Bukele était de favoriser les transferts d’argent des quelque 3 millions d’émigrés, principalement aux Etats-Unis, vers leurs proches restés au pays, en économisant les frais bancaires. Un enjeu stratégique, puisque ces transferts pèsent plus du quart du PIB du Salvador. Mais selon les données de la Banque centrale salvadorienne début septembre, un an après l’instauration du bitcoin, «moins de 2%» des envois d’argent des émigrés sont passés par la cryptomonnaie. En septembre 2021, le bitcoin tournait autour de 45.000 dollars, puis en novembre il a atteint 68.000 dollars mais après une chute vertigineuse il se négocie actuellement sous les 20.000 dollars.

Sondage–La confiance dans les gouvernements européens s’écroule

Un facteur explicatif sans doute de la montée des populismes en Europe, la confiance des citoyens européens dans leur gouvernement s’écroule de 25% en deux ans. 

D’après une étude de la fondation européenne Eurofound , less Européens accordent de moins en moins de confiance aux grandes institutions qui régissent leur vie : le gouvernement, la police et le système de santé. Sollicitées pour donner une note de 1 à 10 sur leur confiance dans les institutions, les 200.000 personnes interrogées ont donné une note moyenne de 5 au printemps 2022 contre une note 5,8 au printemps 2020, soit un recul de 14%.

Au niveau des Etats, la note de confiance accordée au gouvernement baisse brutalement de 4,8 à 3,6 (-25%). Celles accordées à la police et aux systèmes de santé reculent aussi mais plus modestement, respectivement de 6,2 à 5,7 (-8%) pour la santé et de 6,4 à 5,7 (-10%) pour la police. Le niveau de confiance dont bénéficient la police et les systèmes de santé restent donc positifs, bien supérieurs à ceux des gouvernements.

Les auteurs de l’étude soulignent le lien de corrélation entre les difficultés économiques des personnes interrogées et leur faible confiance dans les institutions. Dans tous les pays européens, les gens qui ont du mal à « joindre les deux bouts » (selon l’expression du sondage), de plus en plus nombreux d’après l’étude, expriment moins de confiance que les classes sociales plus aisées.

« Le coût de la vie dans l’Union européenne s’envole à un rythme jamais vu jusqu’ici. (…) Le sondage prouve que la hausse du coût de la vie affecte la confiance des gens dans les institutions », notent les auteurs.  Plus intéressant encore, l’étude montre que les citoyens qui s’informent sur les réseaux sociaux font moins confiance aux institutions en général tandis que ceux qui ont recours aux médias traditionnels leur font davantage confiance.

« Avec l’envolée du coût de la vie et les conséquences dévastatrices de la guerre en Ukraine qui aggrave l’incertitude sur le continent, il sera extrêmement difficile de revenir au niveau de confiance d’avant-pandémie », prédit l’agence Eurofound. Ses travaux font écho à une précédente étude de l’OCDE publiée mi-juillet qui fait état des mêmes niveaux de défiance, notamment dans le gouvernement en qui une minorité (40%) de citoyens de l’OCDE disent avoir confiance.

La valeur des cryptomonnaies s’écroule

La valeur des cryptomonnaies s’écroule. Le bitcoin ,  star des cryptomonnnaies, est tombé sous les 27.000 dollars, une première depuis juillet 2021., Une chute qui entraîne les autres  (Ether -33% sur un mois, Litecoin, XRP, Cardano…) Après les mesures ultra accomodantes des banques centrales qui ont dopé les flux financiers, puis les marchés actions, et le goût du risque, le bitcoin, qui s’est largement infiltré dans les fonds institutionnels en 2021, en paie aujourd’hui le prix. Son prix, qui a sombré jusqu’à 25.424 dollars dans la nuit de mercredi à jeudi, remontait à 27.645 dollars jeudi soir, soit une baisse de 30% sur un mois.

Depuis les pics records de novembre 2021, le bitcoin a perdu 60% de sa valeur et la totalité du marché des cryptomonnaies ne représente plus de 1.200 milliards de dollars de capitalisation, contre plus de 3.000 milliards à son plus haut. Après avoir atteint jusqu’à 1 trillion de valorisation, celle-ci serait aujourd’hui réduite de moitié.

Le  mouvement observé sur le stablecoin Terra, une cryptomonnaie dite stable, censée être arrimée au cours du dollar américain perdu plus de la moitié de sa valeur en 24 heures, semant un vent de panique dans un marché des cryptoactifs déjà fébrile. La jeton numérique a dégringolé depuis le début de la semaine sous l’impact d’une vague de ces mouvements auxquels l’algorithme de la crypto a réagi automatiquement. Il sombrait mercredi de près de 95%, à 1,69 dollar, selon CoinGecko.

Les  entreprises liées aux cryptomonnaies introduites en Bourse souffraient logiquement du choc du secteur: la plateforme d’échanges Coinbase a vu son action plonger de 26,4% mercredi, à son plus bas niveau depuis son introduction en Bourse un an plus tôt.

La plateforme, qui permet d’acheter et de vendre des devises virtuelles comme le bitcoin et l’ether, a profité de la fulgurante ascension de cette classe d’actifs en 2020 et 2021.

Si le nombre d’utilisateurs actifs mensuels a progressé de 51% au premier trimestre par rapport à la même période en 2021, à 9,2 millions, il s’affiche en baisse de 19% par rapport au trimestre précédent. Et, selon Coinbase, la fuite des utilisateurs va se poursuivre durant ce trimestre.

 

Marchés Financier: le bitcoin s’écroule encore

Marchés Financier: le bitcoin s’écroule encore

 

Le bitcoin a perdu 10.000 dollars en moins d’une heure dans la nuit de vendredi à samedi, soit près de 20 % à 42.296 dollars.  Dimanche, la devise virtuelle s’échangeait contre 49.300 dollars, selon les données de Coindesk.

 

« Les cryptomonnaies ont été bousculées par les conditions de risque plus larges liées [au variant] Omicron et aux attentes d’une [politique monétaire aux Etats-Unis] plus agressive, mais elles ont vraiment commencé à piquer de nez vendredi, dans le sillage de la baisse sur les marchés des actions », a commenté Martha Reyes, qui dirige la recherche de la plateforme d’échanges de cryptomonnaies Bequant. Les principaux indices de Wall Street ont, de fait, terminé dans le rouge vendredi, tirés par la faiblesse des valeurs technologiques. Le repli du bitcoin, habitué aux mouvements violents, n’est pas complètement surprenant dans la mesure où la devise évolue depuis fin novembre dans une fourchette d’échanges limitée et que certains investisseurs ont pu vouloir dénouer certaines positions, estime encore Martha Reyes

 

Sondage 2022 : soudain Zemmour s’écroule !

 Sondage 2022 : soudain Zemmour s’écroule !

 

Il y a encore quelques jours, plusieurs instituts de sondage plaçaient Zemmour devant Le Pen. Mais d’un coup dans le sondage d’Opinion Way  pour les Échos, le polémiste s’écroule. Non seulement ils se retrouve largement derrière Marine Le Pen mais aussi derrière le candidat des républicains.

Même avec la marge d’erreur, Eric Zemmour apparaît surtout très loin de menacer Marine Le Pen, créditée de 19 % à 21 % des voix (en hausse d’un point), et Emmanuel Macron, à 24-25 %. « Sa dynamique est interrompue. C’est un avertissement », analyse Bruno Jeanbart, le vice-président d’OpinionWay. « Il y a une forme de lassitude. Le phénomène Eric Zemmour n’est plus un phénomène. Il ne suffit plus, en soi, à centrer la campagne autour de lui », poursuit-il, jugeant la période « compliquée » pour lui.

Seuls 20 % des Français l’estiment « capable de gouverner le pays de 2022 à 2027 ». Contre 34 % pour Marine Le Pen  .A peine 6 % des personnes interrogées pensent qu’Eric Zemmour sera élu à l’Elysée, quand Marine Le Pen est à 14 % (en hausse de 2 points).

Le problème des sondages est à la fois politique et méthodologique. Politique car ces enquêtes sont commandées par des grands médias détenus par des financiers qui ont intérêt selon les cas à pousser ou au contraire à enfoncer tel ou tel candidat. Le second problème et méthodologique puisqu’en réalité de leur de 50 % de la population n’est pas certaine d’aller voter. Les échantillons ne sont donc pas représentatifs .

Il est probable que dans les semaines et les mois à venir on assistera à de fortes variations des sondages correspondants à la pression de certains intérêts économiques et financiers.

nt ? »

Laboratoire Sanofi: les dividendes explose et la recherche s’écroule

Laboratoire Sanofi: les dividendes explose et la recherche s’écroule

Sanofi voit et ses dividendes exploser  tandis que parallèlement sa recherche s’écroule puisque ce grand laboratoire français de dimension mondiale a été incapable de sortir un vaccin.

 

Le coupon versé au titre de 2020 atteint 3,20 euros par action, soit quelque 4 milliards d’euros au total. Ce versement est notamment rendu possible par l’envolée du bénéfice net en 2020 (+338,4 %, à 12,3 milliards) liée à la plus-value de 7,2 milliards d’euros réalisée lors de la vente de titres du partenaire américain Regeneron. Le bénéfice net des activités, qui exclut certains éléments exceptionnels, affiche une croissance bien plus modeste, de 4,2 % (et 9,6 % à taux de change constants), à 7,35 milliards d’euros.

Ces annonces interviennent alors que le groupe est blâmé pour le retard de son vaccin anti-Covid et pour son projet de suppression de 1 700 emplois en Europe, dont 400 en France dans la recherche.

L’étude intermédiaire menée sur son vaccin développé avec le britannique GlaxoSmithKline a montré une réponse immunitaire insuffisante chez les personnes âgées, ce qui a contraint Sanofi à lancer une nouvelle étude et à reporter le lancement du vaccin à la fin 2021. Sanofi développe en parallèle un autre candidat-vaccin contre la Covid-19 en partenariat avec Translate Bio, à partir de la technologie innovante de l’ARN messager, dont les essais cliniques devraient débuter ce trimestre. D’ici là, le groupe va aider la biotech allemande BioNTech à produire son vaccin contre la Covid-19 développé avec l’américain Pfizer.

Parallèlement, le groupe continue de mener son plan stratégique lancé en 2019. Il a indiqué vendredi qu’il allait augmenter de 500 millions d’euros son objectif en matière d’économies, ce qui le porte à 2,5 milliards d’euros d’ici à 2022. Ces économies supplémentaires seront intégralement réinvesties pour alimenter la croissance du chiffre d’affaires et financer les projets du portefeuille de développement, a précisé Sanofi.

Le groupe a par ailleurs confirmé son objectif de progression de sa marge opérationnelle des activités, qui devrait atteindre 30 % d’ici à 2022, contre 27,1 % en 2020. La marge devrait ensuite dépasser 32 % d’ici à 2025.

Le médicament Dupixent contre la dermatite atopique aura un effet relutif sur la marge opérationnelle des activités d’ici à la fin de 2022, a indiqué vendredi Sanofi. Les ventes de ce médicament ont bondi de 73,9 % au quatrième trimestre. Ajoutées à la forte demande pour les vaccins contre la grippe, elles ont contribué à la hausse du chiffre d’affaires total de Sanofi, qui a progressé sur la période de 4,2 % à taux de changes constants, à 9,382 milliards d’euros. Sur l’ensemble de l’année, les ventes atteignent 36,04 milliards d’euros (+ 3,3 % à taux de changes constants).

Pour 2021, Sanofi a dit prévoir une hausse autour de 10 % de son bénéfice net par action de ses activités à taux de changes constants après avoir dépassé sa prévision sur 2020 (+9,2 % contre une fourchette de 7 % à 8 %).

Sanofi: les dividendes explose et la recherche s’écroule

Sanofi: les dividendes explose et la recherche s’écroule

Sanofi voit et ses dividendes exploser  tandis que parallèlement sa recherche s’écroule puisque ce grand laboratoire français de dimension mondiale a été incapable de sortir un vaccin.

 

Le coupon versé au titre de 2020 atteint 3,20 euros par action, soit quelque 4 milliards d’euros au total. Ce versement est notamment rendu possible par l’envolée du bénéfice net en 2020 (+338,4 %, à 12,3 milliards) liée à la plus-value de 7,2 milliards d’euros réalisée lors de la vente de titres du partenaire américain Regeneron. Le bénéfice net des activités, qui exclut certains éléments exceptionnels, affiche une croissance bien plus modeste, de 4,2 % (et 9,6 % à taux de change constants), à 7,35 milliards d’euros.

Ces annonces interviennent alors que le groupe est blâmé pour le retard de son vaccin anti-Covid et pour son projet de suppression de 1 700 emplois en Europe, dont 400 en France dans la recherche.

L’étude intermédiaire menée sur son vaccin développé avec le britannique GlaxoSmithKline a montré une réponse immunitaire insuffisante chez les personnes âgées, ce qui a contraint Sanofi à lancer une nouvelle étude et à reporter le lancement du vaccin à la fin 2021. Sanofi développe en parallèle un autre candidat-vaccin contre la Covid-19 en partenariat avec Translate Bio, à partir de la technologie innovante de l’ARN messager, dont les essais cliniques devraient débuter ce trimestre. D’ici là, le groupe va aider la biotech allemande BioNTech à produire son vaccin contre la Covid-19 développé avec l’américain Pfizer.

Parallèlement, le groupe continue de mener son plan stratégique lancé en 2019. Il a indiqué vendredi qu’il allait augmenter de 500 millions d’euros son objectif en matière d’économies, ce qui le porte à 2,5 milliards d’euros d’ici à 2022. Ces économies supplémentaires seront intégralement réinvesties pour alimenter la croissance du chiffre d’affaires et financer les projets du portefeuille de développement, a précisé Sanofi.

Le groupe a par ailleurs confirmé son objectif de progression de sa marge opérationnelle des activités, qui devrait atteindre 30 % d’ici à 2022, contre 27,1 % en 2020. La marge devrait ensuite dépasser 32 % d’ici à 2025.

Le médicament Dupixent contre la dermatite atopique aura un effet relutif sur la marge opérationnelle des activités d’ici à la fin de 2022, a indiqué vendredi Sanofi. Les ventes de ce médicament ont bondi de 73,9 % au quatrième trimestre. Ajoutées à la forte demande pour les vaccins contre la grippe, elles ont contribué à la hausse du chiffre d’affaires total de Sanofi, qui a progressé sur la période de 4,2 % à taux de changes constants, à 9,382 milliards d’euros. Sur l’ensemble de l’année, les ventes atteignent 36,04 milliards d’euros (+ 3,3 % à taux de changes constants).

Pour 2021, Sanofi a dit prévoir une hausse autour de 10 % de son bénéfice net par action de ses activités à taux de changes constants après avoir dépassé sa prévision sur 2020 (+9,2 % contre une fourchette de 7 % à 8 %).

Les créations d’entreprises au sommet….. mais des auto-entrepreneurs dont l’activité s’écroule

 Les créations d’entreprises au sommet….. mais   des  auto-entrepreneurs dont l’activité s’écroule

Certains médias reprennent l’issue de l’INSEE pour souligner l’envolée du nombre d’autos entrepreneur. Selon l’Insee, plus de 848.200 entreprises ont été créées en 2020, soit une augmentation de 4% par rapport à 2019. Cette hausse est un record alors que la crise a frappé de plein fouet l’économie française l’année dernière. Ce bond spectaculaire est principalement portée par la dynamique des micro-entreprises alors que les créations d’entreprises classiques ont diminué de 13% sur la même période. La part des micro-entreprises dans le total des créations atteint désormais 65% contre 62% en 2019.

La libéralisation du statut de créateur d’entreprise depuis l’ère Sarkozy et la montée en puissance de l’économie de plateforme ont grandement contribué à doper ces chiffres. Derrière ces statistiques mirobolantes, des réalités parfois plus alarmantes apparaissent:  la baisse surtout de l’activité des micros et autres auto-entrepreneurs.

 

Les d’affaires des auto-entrepreneurs étaient déjà insignifiants en moyenne : un peu plus de 10 000 € par an. Même si l’on tient compte de la sous-estimation du chiffre d’affaires réel, il demeure quand même globalement assez marginal par rapport à l’ensemble de l’économie.

 

Le nombre d’auto entrepreneurs doit tourner autour 1,5 millions (mais beaucoup n’ont pratiquement aucune activité. Selon le bilan de la caisse nationale des Urssaf dévoilé ce vendredi 29 janvier, le chiffre d’affaires des auto-entrepreneurs a chuté lourdement de 19% à la fin du second trimestre 2020. Sur près de deux millions d’indépendants enregistrés sous ce statut, seuls 846.000 ont déclaré un chiffre d’affaires positif avec un recul de l’ordre de 8% sur un an. Ces travailleurs ont ainsi déclaré 3.792 euros de revenus contre 4.303 euros auparavant entre avril et juin. En outre, le nombre d’auto-entrepreneurs économiquement actifs baisse dans toutes les régions françaises.

Avec la pandémie, beaucoup de travailleurs ont adopté ce statut pour exercer leur activité dans des conditions parfois rudes. Beaucoup de ces autos entrepreneurs sont en faite des chômeurs virtuels qui à travers le statut d’auto entrepreneur tente de générer quelques maigres ressources. Avec les contraintes relatives à la mobilité et les mesures prudentielles, nombre d’activités de services notamment ont été annulés différées.

Royaume-Uni : la croissance s’écroule

Royaume-Uni : la croissance s’écroule

 

Alors que dans la plupart des pays européens un redressement a été observé à partir du mois de mai, il en va différemment au Royaume-Uni qui s’enfonce dans des dépressions de plus en plus insondables. Le produit intérieur brut a chuté de 19,1% au Royaume-Uni de mars à mai comparé à la période de décembre à février, à cause de l’impact du nouveau coronavirus, avec un maigre rebond de 1,8% en mai qui a déçu les analystes.

Malgré cette faible embellie en mai, le PIB reste inférieur d’un quart comparé à son niveau de février, avant que le nouveau coronavirus ne frappe pleinement l’économie britannique et mondiale, indique mardi l’Office national des statistiques (ONS). Entre mars et mai, le secteur des services s’est notamment contracté de 18,9%, et celui de la construction de 29,8%.

 

 

Zone euro: la croissance s’écroule en mars de 40%

Zone euro: la croissance s’écroule en mars de 40%

 

Dans la zone euro., l’indice PMI composite IHS Markit de l’activité globale dans la région accuse ainsi un repli mensuel sans précédent en mars pour s’établir à 29,7, soit son plus bas niveau de l’histoire de l’enquête. Soit une baisse de 40%. (la limite de 50 sépare la récession de la croissance).  Cela semble confirmer que en moyenne chaque mois de confinement coute de 3 à 4 % au PIB annuel.  L’indice  très fortement reculé par rapport à son niveau de février (51,6), il a en outre affiché un repli marqué par rapport à son estimation flash (31,4), reflétant les répercussions sévères et croissantes de l’actuelle pandémie de Covid-19 sur l’économie de la zone euro.

Si l’activité a reculé de manière considérable dans les deux secteurs couverts par l’enquête, c’est toutefois le secteur des services qui a affiché le plus fort taux de contraction, celui-ci atteignant son plus haut niveau depuis le début de l’enquête. Dans l’industrie manufacturière, la production a diminué pour un quatorzième mois consécutif, enregistrant en outre sa plus importante baisse mensuelle depuis avril 2009. Chutant de 52,6 en février à 26,4, l’indice PMI IHS Markit de l’activité de services affiche également un repli mensuel d’ampleur inédite pour s’établir à son plus bas niveau historique en mars.

12



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol