Archive pour le Tag 'secrétaire'

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Flashée à 150 km/h en pic de pollution, la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon : piégée à 150kmh ! »

Flashée à 150 km/h en pic de pollution, la secrétaire d’Etat Emmanuelle Wargon : piégée à 150kmh ! »

 

On se demande bien quel est l’urgence qui a justifié que l’inutile secrétaire d’État à la transition écologique justifie qu’elle roule à 150 km/h. En outre, pas vraiment un comportement exemplaire en sachant que plus la vitesse s’élève plus les émissions polluantes augmentent. Sans parler la sécurité tellement chère au Premier ministre et à sa loi des 80 km. On objectera que la ministre a été coincée à 150 sur une autoroute et que le dépassement est donc de 40 km/h. Le pire c’est que ce dépassement se situait dans une période de pollution dont   la ministre déclare qu’elle ignorait l’existence Selon une information de Ouest France, confirmée à BFMTV.com, la secrétaire d’État auprès du ministre de la Transition écologique était en déplacement dans les Hauts-de-France lorsque son véhicule a été flashé.  D’après Ouest France, ce sont des policiers présents sur cette portion de voie qui ont contrôlé la vitesse du véhicule, conduit par le chauffeur de la secrétaire d’État à ce moment-là. La limitation exceptionnelle était indiquée « sur tous les panneaux de signalisation et répétée en boucle à la radio », a déclaré l’un d’entre eux au quotidien.  De son côté, l’entourage d’Emmanuelle Wargon confirme l’infraction. « On n’était pas au courant du pic de pollution« , assure son cabinet auprès de BFMTV.com. Et ce malgré le fait que l’intéressée soit secrétaire d’État auprès de François de Rugy, ministre… de la Transition écologique.  C’est d’ailleurs en cette capacité qu’Emmanuelle Wagrrgz B (dont le gisement aux Pays-Bas s’épuise) au gaz H. En tout cas en voiture ça gaze pour la ministre !

Républicains : Nouvelle démission de Nora Berra, ancienne secrétaire d’Etat

Républicains : Nouvelle démission de  Nora Berra, ancienne secrétaire d’Etat

 

 

Il est sans doute évident que le feuilleton des démissions des républicains de Wauquiez va se prolonger pendant assez longtemps. Chaque jour pourrait bien apporter sa liste de nouveaux responsables considérant que la position ultra droitière de Wauquiez est incompatible avec les anciennes valeurs du mouvement.  D’une certaine manière, on peut classer les républicains en plusieurs catégories. Il y a d’abord ceux qui ont rejoint purement et simplement Macron comme le Premier ministre ou le ministre de l’économie. Ceux qui sont partis et qui tentent de s’organiser de manière autonome entre Macron et  Vauquiez (mouvement agir ou anciens constructifs). Il y a aussi ceux qui s’apprêtent  à partir mais qui cherche une fenêtre de tir médiatique pour justifier leur prochaine démission. On compte également des républicains très sceptiques à l’égard de Wauquiez mais qui vont tenter de manœuvrer pour l’affaiblir comme Valérie Pécresse. Enfin restera la garde rapprochée de Wauquiez et les militants les plus réacs qui évidemment resteront dans le parti. Après le départ de Xavier Bertrand, c’est donc  L’ancienne secrétaire d’Etat Nora Berra qui a annoncé mercredi son départ des Républicains, en désaccord avec le « projet de fermeture » de son nouveau président Laurent Wauquiez dans lequel « l’outrance » a pris le pas sur la droite « sociale et humaniste ». « Je quitte Les Républicains après une réflexion sur ce que devient ce parti ». « Non pas qu’une droite qui s’assume me dérange. Sarkozy avait assumé cette droite. Mais (avec Laurent Wauquiez) la différence est énorme », a déclaré Nora Berra, ancienne secrétaire d’Etat chargée des Aînés (2009-2010), puis de la Santé (2010-2012) avec comme ministre de tutelle Xavier Bertrand, qui a annoncé lundi son départ de LR. A l’époque, « c’était une droite ouverte, unie au centre, une droite sociale. Et lorsque j’ai pu exercer des responsabilités, j’ai toujours porté une action foncièrement sociale, vers les plus fragiles ». « Une droite qui mettait en avant la diversité des talents, des lignes politiques et la diversité des origines », a expliqué l’élue lyonnaise, qui a toutefois été élue sur la liste régionale de Laurent Wauquiez en 2015. Mais « le projet porté par Laurent Wauquiez est pour moi un projet de fermeture, une ligne où l’outrance a pris le pas sur la droite sociale et humaniste que je compte encore défendre. C’est une droite droitisée, dénuée d’équilibre, dans l’outrance sur les questions d’immigration et d’identité, avec de la critique permanente, une critique sans mesure ».


Cambadélis : le dernier secrétaire du PS

Cambadélis : le dernier secrétaire du PS

Cambadélis pourrait bien être le dernier secrétaire du parti socialiste. En cause, le fait qu’il risque de ne pas être reconduit comme député. Il ne sera pas le seul car si le parti socialiste peut compter sur environ 250 députés aujourd’hui, lors  des prochaines législatives ce nombre pourrait être ramené à une trentaine. Un véritable cataclysme qui pourrait faire éclater ce qui reste du parti socialiste. Bref le parti socialiste s’apprête à devenir un groupuscule de gauche et d’une certaine façon Cambadélis pourrait être le croque-mort du parti socialiste même s’il affirme qu’il Il n’est pas prêt de raccrocher: dans une interview au Monde, Jean-Christophe Cambadélis promet qu’il « fer[a] de la politique jusque dans [s]a tombe ». En cas de défaite aux législatives, le premier secrétaire du Parti socialiste ne compte pas se ranger des voitures.  Candidat dans la 16ème circonscription de Paris, l’éléphant socialiste est pris en étau entre le secrétaire d’Etat au numérique Mounir Mahjoubi pour La République en marche et la représentante de la France insoumise Sarah Legrain, tous deux trentenaires et étoiles montantes de leurs partis. Député depuis 1988 (avec une interruption de 1993 à 1997), « Camba » pourrait cette fois ne pas être reconduit, victime du « dégagisme » ou du « renouvellement». Dans le 19ème arrondissement, Jean-Luc Mélenchon est arrivé en tête au premier tour de l’élection présidentielle avec 30,5%, suivi d’Emmanuel Macron à 29,9%. Benoît Hamon a beau avoir obtenu le double de son résultat national (13,2% contre 6,36%) dans cette circonscription, il est toutefois arrivé quatrième, derrière François Fillon. De quoi donner des sueurs froides au patron de Solferino.

La guerre du secrétaire d’État au Budget contre Macron : dérisoire !

La guerre  du secrétaire d’État au Budget contre Macron : dérisoire !

 

Nouveau Scud lancé par le transparent Christian Eckert, secrétaire d’État au budget contre macro ministre de l’économie. En cause un conflit dérisoire concernant l’achat de deux petites voitures solaires destinées à naviguer sur la scène au service de la douane. Christian Eckert n’a pas hésité à balancer un tweet forcément public pour attaquer une nouvelle fois Macron. Pas étonnant Christian Eckert a du mal à exister entre Michel sapin et Emmanuel Macron qu’il considère d’ailleurs comme un ovni de la politique. Christian Eckert, lui et l’archétype du responsable socialiste : un prof avec une vision très approximative de l’économie, un militant de l’ingénierie fiscale. Une querelle publique en tout cas insignifiantes qui situe le rapport qu’entretient l’intéressé avec les vrais enjeux du pays C’est un tweet en apparence anodin qui résume pourtant à lui seul la tension qui règne à Bercy et au sein du gouvernement depuis qu’Emmanuel Macron est entré dans sa phase d’émancipation en vue de 2017. Lundi après-midi, le secrétaire d’État au Budget Christian Eckert a fait part sur le réseau social sa surprise de voir son collègue de l’Économie décider lui-même de la commande de deux «Sea Bubble» - des petites voitures solaires censées pouvoir flotter sur la Seine - pour les douaniers de Bercy. Emmanuel Macron a profité de sa visite, samedi, au salon high tech VivaTech pour faire cette annonce. Ce qui n’a visiblement pas plu au ministère du Budget, dont dépend la direction générale des douanes. Colère, donc, de Christian Eckert, qui n’a jamais eu sa langue dans sa poche: «Macron passe des commandes de Sea Bubble pour la douane. Il fait donc tout à la fois ce surhomme. Ministre de tous les étages de Bercy?», s’interroge-t-il sur Twitter.  Ce n’est pas la première fois que le secrétaire d’État laisse entrevoir ses rapports tendus avec l’omniprésent ministre de l’Économie. Le 23 juin, déjà, il s’agaçait sur son blog des prises de position d’Emmanuel Macron sur le sujet sensible de l’ISF. Prenant un malin plaisir à défendre cet impôt dont Macron s’est fait le pourfendeur. «J’ai, depuis un peu plus de deux ans, veillé à respecter ma conception de la solidarité gouvernementale. Secrétaire d’État en charge du Budget et surnommé parfois “ministre des impôts”, je me sens moi aussi aujourd’hui autorisé à donner mon point de vue sur l’impôt de solidarité sur la fortune», débutait-il, avant de se lancer dans un argumentaire pro-ISF. «La fiscalité peut être plus équitable, y compris en travaillant sur l’ISF. Le rendre moins “effaçable” est sans nul doute nécessaire. Sûrement pas en le supprimant. Dire cela, c’est affirmer une certaine conception de la solidarité fiscale !!!

(Avec Reuters).

 

 

Lettre ouverte aux habitants des quartiers populaires (secrétaire d’État à la ville)

Lettre ouverte aux habitants des quartiers populaires (secrétaire d’État à la ville)

 

Plutôt sympa cette lettre aux résidents des quartiers populaires de la part d’une secrétaire d’État à la ville dont on découvre ou redécouvre l’existence, un peu comme à chaque élection. Une lettre ouverte que publie le JDD. Première observation pourquoi une lettre ouverte ? Une sorte de concept inversé ! Un peu quand même grandiloquente, excessive et hors sol cette de lettre,  sorte de pathos qui vante l’action du gouvernement jusqu’à parler de révolution démocratique pour les quartiers populaires. Pas sûr que cette forme de dialectique puisse être très bien comprise par des résidents qui attendent sans doute autre chose que des déclarations d’intention ou d’amour. Une missive dans le style Taubira avec l’éloquence et  le talent littéraire en moins

 

Madame, Monsieur,

À vous qui habitez nos quartiers populaires ou nos villes de banlieue ; à vous qui avez parfois le sentiment d’être abandonnés et, vivez pour un certain nombre d’entre vous le fait d’être exclus de la promotion sociale ; à vous qui êtes les 5,5 millions de citoyens à vivre dans les quartiers situés en « Politique de la Ville », je tenais à m’adresser à vous pour vous dire que l’Etat est bien présent parce que vous êtes pleinement une part de France.

Et je vous l’affirme avec toute la force de mon vécu d’habitante et d’élue de Vaulx-en-Velin, de mes convictions et de mon engagement de femme de Gauche.

La République nous appartient. Elle est solidaire de chacun. La République, par nature et par devoir, ne différencie pas. L’âge, la condition, la couleur de peau ou la religion lui importent peu. La République, par-delà notre statut social et nos histoires personnelles, fait de nous tous ses « Enfants de la Patrie », à égalité en Droits et en Devoirs.

Malgré les obstacles, la complexité et les dysfonctionnements, malgré les retards, les doutes, les déceptions, il me paraissait important de rappeler ce principe, cet idéal indéfectible que la Gauche porte avec fierté.

Bien évidemment, je ne cherche pas à gommer les difficultés du quotidien, les précarités, les inégalités. Je ne les ignore pas. Oui, pour les enfants, pour les habitants de nos quartiers, les chemins de la réussite sont plus sinueux, plus difficiles. Mais doit-on s’y résigner? Non, bien au contraire. C’est pour changer cette réalité injuste que le Gouvernement agit depuis quatre ans. C’est court au regard de l’ampleur de la tâche. Dans le domaine de l’Education, nous avons décidé que les établissements scolaires aient plus de moyens humains et financiers pour accueillir nos enfants et créer de bonnes conditions d’acquisition des savoirs. Nous portons un programme ambitieux de réussite éducative et de soutien à l’éducation populaire. Nous allons aussi lancer un plan de rénovation de nos écoles. J’exhorte, quelles que soient nos histoires personnelles, à continuer à croire en l’Ecole Publique, celle qui porte toujours la promesse républicaine. Face à la difficulté de trouver un emploi, y compris pour ceux qui sont diplômés, l’Etat mobilise le secteur économique pour donner du réseau à ceux qui n’en n’ont pas. Je vois le monde de l’entreprise comprendre de plus en plus  la valeur de nos enfants, comprendre que la force de leur parcours, lui permettra d’affronter plus efficacement les évolutions profondes et  les enjeux à venir. Faire reculer les préjugés et évoluer les mentalités, est aussi un dur combat. Face à la discrimination à l’adresse, au nom ou à la couleur de peau, nous serons intraitables. Nous avons lancé une campagne de lutte pour observer, convaincre et, s’il le faut, poursuivre en justice. Notre société, a besoin de se renouveler, de s’enrichir des apports de chacun et cela ne peut se faire qu’avec vous. Vous devez être, en plus grand nombre encore, parmi les acteurs, les décideurs d’aujourd’hui et de demain. C’est pourquoi le Gouvernement a, par exemple, décidé d’ouvrir davantage l’accès à la fonction publique.  Nous agissons aussi pour améliorer l’habitat. Nous avons investi fortement pour financer la rénovation urbaine et certains d’entre vous ont vu leur quartier se transformer.  Nous le poursuivons, car nos quartiers ont droit au beau, à la qualité et au durable ! Nous avons décidé d’augmenter les crédits à destination du monde associatif, parce que nous savons que, dans nos quartiers, les actions pour la réussite scolaire, l’accès à la culture, au sport, aux droits des femmes, aux solidarités, aux divertissements sont essentielles et représentent, pour beaucoup, l’engagement d’une vie.  J’aurais encore beaucoup à vous dire. L’occasion de nous rencontrer et d’échanger de vive voix nous sera certainement donnée lors d’une de mes visites, mais ces quelques mots vous montrent que l’heure est toujours à l’action. Dans le cadre de la transformation de nos quartiers, je crois à votre intervention, votre expertise pour la pertinence des projets en cours ou à l’étude.  Les conseils citoyens en cours d’installation dans tous nos quartiers de la politique de la ville constitueront ainsi une vraie révolution démocratique. Mon intention n’est pas d’établir une liste exhaustive des mesures prises mais de rappeler, que le Gouvernement est à l’œuvre, qu’il agit dans des quartiers où le travail est considérable et forcément long pour sortir d’une forme de relégation territoriale et de représentation symbolique dégradée.  Mon propos s’adresse à vous, mais il s’adresse aussi au Pays tout entier qui doit entendre que nos quartiers et banlieues sont aussi des lieux de créativité, de courage, d’intelligence, des lieux d’une exceptionnelle force de vie. Ils sont le berceau d’une richesse humaine porteuse de France. Nous sommes nombreux à en être convaincus ; pas assez encore dans une période où certains alimentent et instrumentalisent de dangereuses inclinations identitaires et populistes. Certains dans notre pays prônent un développement séparé. Nous devons sortir d’un « eux » et d’un « nous » et parler collectivement de  l’ensemble des citoyens qui sont porteurs des valeurs de la République. La République gagnera, car je sais que tous nos quartiers plus populaires ou plus  favorisés produisent déjà leurs anticorps républicains. En ces jours de mai où nous célébrons, dans de nombreux pays du monde, un retour à la Paix, à la Liberté et à la Fraternité, gardons à l’esprit l’Histoire et ne laissons pas des impatiences, des mécontentements et des nostalgies identitaires, se transformer en ferments d’affrontement. Jean Jaurès nous disait : « L’Histoire enseigne aux hommes la difficulté des grandes tâches et la lenteur des accomplissements, mais elle justifie l’invincible espoir. » Je porte « cet invincible espoir » car je vois l’avenir de la France se construire aussi dans nos quartiers populaires. Je voulais partager avec tous nos concitoyens la conviction que l’action forte et constante de tous, institutions, Etat, citoyens, associations, monde économique continuera à faire émerger des talents, une classe moyenne diverse et métissée qui irriguent déjà notre pays.  Soyons collectivement fiers de notre pays, de ses valeurs et de son ambition pour le monde.

UMP : la secrétaire nationale d’extrême droite virée

 

UMP : la secrétaire nationale d’extrême droite virée

 

Fatima Allaoui, récente secrétaire nationale de l’UMP,  a  admis avoir adhéré il y a un mois, à un parti d’extrême droite. L’information avait déjà été confirmée, dans le courant de la journée, par le président du Siel, Karim Ouchikh, qui a d’ailleurs indiqué avoir entamé «une procédure d’exclusion» de l’élue UMP. La principale intéressée a elle-même décrit à «Libération» son passage au micro-parti allié au FN via le Rassemblement bleu marine comme «une crise d’adolescence politique».  Dans son communiqué de ce lundi, NKM, partisane d’une ligne modérée, revient sur les raisons de cette nomination, désormais caduque. Elle rappelle que Fatima Allaoui, conseillère régionale UMP dans le Languedoc-Roussillon, avait été «nommée secrétaire nationale de l’UMP pour son parcours, ses compétences et son engagement politique». Mais surtout qu’elle «n’avait jamais laissé transparaître la moindre ambiguïté à l’égard du Front National et des partis d’extrême droite».  La députée de l’Essonne, qui avait proposé son nom, estime sa «confiance trahie». Et tient à rappeler qu’«aucun rapprochement avec l’extrême droite ne sera toléré».

 

UMP: à la place de Morano, Sarkozy nomme une secrétaire nationale d’extrême droite

 

UMP: à la place de Morano, Sarkozy nomme une secrétaire nationale d’extrême droite

 

Au moins une qui ne cache ses ambitions  « elle veut être élue ». C’est pour cela qu’elle avait rejoint le FN (via un micro parti extrême droite affilié au rassemblement bleu marine de Marine Lepen). Du coup elle revient au bercail à la place que Morano a refusée.  Nicolas Sarkozy avait promis à sa famille politique le rassemblement, il avait visiblement vu très large. Dans son équipe, le nouveau président de l’UMP a ainsi nommé vendredi Fatima Allaoui, une conseillère régionale du Languedoc-Roussillon transfuge… d’un micro-parti d’extrême droite, révèle Libération. L’élue a hérité du poste de secrétaire nationale à la formation professionnelle, raconte le quotidien ce dimanche. A l’origine, ce poste devait revenir à Nadine Morano, à qui Nicolas Sarkozy l’avait proposé. Devant le refus de l’ancienne ministre, l’ancien chef de l’Etat s’est tourné vers Nathalie Kosciusko-Morizet, qui lui a suggéré un nom: celui de Fatima Allaoui, jusqu’alors membre du Siel (Souveraineté, indépendance et liberté), affilié au Rassemblement Bleu Marine, une sous-formation politique liée au Front national. Ancienne de l’UMP, Allaoui avait claqué la porte du parti il y a quelques mois, déçue de ne pas obtenir l’investiture aux élections départementales. Après avoir rejoint le Siel, elle s’était alors tournée vers Robert Ménard, le maire de Béziers, pour qu’il la soutienne. En vain. Interrogée par Libération, la nouvelle sarkozyste explique avoir «fait une crise d’adolescence politique» et avoir sollicité l’extrême droite «par désespoir de cause et pour augmenter (ses) chances d’être élue». Proche de NKM, elle assure qu’elle a quitté le Siel et qu’elle a repris sa carte à l’UMP.

 

«Jouyet, un bon secrétaire général de l’Elysée»….. comme Hollande, un bon président !

«Jouyet,  un bon secrétaire général de l’Elysée»….. comme Hollande, un bon président !

 

C’est Hollande, un expert,  qui le dit, Jouyet c’est un bon ! Enfin presque, un copain en tout cas François Hollande a attendu 8  jours pour soutenir son ami. Un ami de quarante ans qui pourrait bien connaître le sort d’autres si les afires médiatiques ne se calment pas. Ce ne sont pas les états d’âme qui étoufferont t Hollande. . Interrogé, à l’issue du G20 de Brisbane (Australie) sur les versions contradictoires livrées par Jean-Pierre Jouyet pour tenter de se sortir de l’affaire Fillon-Jouyet, et son maintien en poste au secrétariat général de l’Elysée malgré ce «mensonge», François Hollande a défendu son collaborateur, proche ami depuis quarante ans.  «Le secrétaire général de l’Elysée n’est pas présent ici au G20, parce que ce n’était pas sa place. Votre question n’a donc pas sa place ici» a d’abord expliqué le président de République avant de poursuivre : «Jean-Pierre Jouyet est le secrétaire général de l’Elysée et c’est un bon secrétaire général de l’Elysée». Concis, clair et net.   Jusqu’ici, la défense politique des socialistes autour de Jouyet s’était limitée à la matinée de mercredi. A l’issue du conseil des ministres, Ségolène Royal, amie elle-aussi de Jouyet, avait assuré que le secrétaire général avait «bien sûr» le soutien de tous à l’Elysée, ce qu’avait appuyé quelques minutes plus tard le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll. Surtout, pour montrer sa confiance à Jouyet, Manuel Valls s’était longuement attardé avec lui sous l’oeil des caméras massées dans la cour de la présidence. Les deux hommes étaient tout sourire  et visiblement d’humeur légère.

Il y aura des hausses d’impôts en 2015 (Christian Eckert, secrétaire d’Etat au budget)

Il y aura des hausses d’impôts en 2015 (Christian Eckert, secrétaire d’Etat au budget)

 

La promesse de Hollande est déjà obsolète, c’est le secrétaire d’Etat au budget qui le dit ! « On ne peut pas graver dans le marbre une situation qui dépend d’un contexte international que nous ne maîtrisons pas« . Alors que François Hollande a annoncé que les impôts n’augmenteraient pas en 2015, Christian Eckert n’exclut pas d’avoir recours à une nouvelle hausse, selon la situation économique. Le secrétaire d’État chargé du Budget rappelle cependant que la hausse de 20% de la taxe sur les résidences secondaires n’entre pas dans la catégorie des nouveaux impôts. François Hollande avait d’ailleurs exclu toute hausse, lors de son passage sur RTL et TF1, le 6 novembre dernier.  »Cette disposition était annoncée bien avant l’intervention du Président (sur RTL et TF1, le 6 novembre dernier, ndlr) (…), c’est une demande d’un certain nombre de territoires« , explique-t-il. Selon Christian Eckert, « les populations autochtones des zones très touristiques ont du mal à se loger car les résidences secondaires captent l’ensemble du marché (…) Cette disposition, qui pourra être retravaillée, n’est pas faite pour renflouer le budget de l’État mais celui des communesCelles qui ne le souhaitent pas, ne la feront pas« . Le secrétaire d’État rappelle également que le gouvernement cherche à réduire le déficit en privilégiant les économies aux impôts. « Le cap, c’est de réduire les déficits et ne pas casser la croissance (…) En 2015, l’impôt sur le revenu va baisser de trois milliards d’euros, soit neuf millions de foyers fiscaux ». Et de conclure en évoquant les dépenses des collectivités locales, dont le gouvernement a diminué les dotations : « Elles ont connu une inflation considérable (…) On les pousse à faire des économies de fonctionnement« .

Kofi Yamgnane, ex-secrétaire d’Etat PS mis en examen pour trafic d’influence

Kofi Yamgnane, ex-secrétaire d’Etat PS  mis en examen pour trafic d’influence
L’ancien secrétaire d’Etat PS avait été placé en garde à vue ce mercredi matin dans le cadre de cette affaire qui vaut une mise en examen à Christophe Rocancourt. La justice soupçonne ce dernier d’avoir tenté, contre paiement, de faire régulariser des situations administratives en lien avec des titres de séjour, auprès de la préfecture de police de Paris. Ancien secrétaire d’Etat aux Affaires sociales et à l’Intégration (1991-1992) puis à l’Intégration (1992-1993) dans les gouvernements Cresson et Bérégovoy, Kofi Yamgnane avait ensuite été élu député PS du Finistère de 1997 à 2002.  Christophe Rocancourt, 46 ans, a été mis en examen et écroué le 9 octobre pour escroquerie, trafic d’influence actif, blanchiment de fraude fiscale et exercice illégal de la profession de banquier. Sa compagne, l’un de ses avocats, Me Marcel Ceccaldi, l’ex-patron du GIGN, Christian Prouteau, et un notaire ont également été mis en examen, mais laissés en liberté. Christophe Rocancourt a passé douze ans en prison, essentiellement aux Etats-Unis et au Canada pour avoir arnaqué des célébrités d’Hollywood dans les années 1990 en se faisant passer tour à tour pour un ex-champion de boxe, un producteur de film, le fils de Dino De Laurentiis ou de Sophia Loren. En 2012, il a également été condamné pour abus de faiblesse sur la réalisatrice Catherine Breillat, qui en a tiré un film avec le rappeur Kool Shen dans le rôle-titre. Rocancourt était placé sous bracelet électronique du fait de cette condamnation.

 

Harlem Désir viré du PS devient secrétaire d’Etat !!

Harlem Désir viré du PS devient secrétaire d’Etat !!

 

Harlem Désir, l’homme à a langue de bois, perroquet de l4elysée est viré mais avec les honneurs puisqu’il est nomma secrétaire d4tat dans un poste qui ne sert à rien, il  doit rejoindre mercredi le gouvernement  comme secrétaire d’Etat aux Affaires européennes – et sera remplacé par Jean-Christophe Cambadélis, son rival malheureux en 2012 pour prendre la tête du PS.  Harlem Désir avait été préféré par l’exécutif, considéré alors comme une personnalité plus consensuelle que Jean-Christophe Cambadélis qui, depuis son échec, distillait régulièrement sur son blog des analyses acérées sur la situation politique, n’épargnant ni l’opposition ni son propre camp.  Après le départ de nombre de personnalités du PS pour l’Assemblée nationale ou le gouvernement, Harlem Désir s’est efforcé de trouver le juste milieu entre un PS soutien du gouvernement et un parti qui puisse imprimer sa voix autonome dans les débats politiques en cours, quitte à faire entendre des voix divergentes de l’exécutif.  Reflet de son passé militant à SOS Racisme, Harlem Désir a beaucoup insisté aussi sur le combat pour les valeurs face à l’extrême droite, organisant plusieurs meetings dans ce sens.  Mais au fil des mois, le Parti Socialiste se limitait principalement à la défense convenue de l’action gouvernementale, tandis que l’exécutif subissait plusieurs échecs à des élections partielles avant la « déroute » des élections municipales, des 23 et 30 mars, qui contraint aujourd’hui l’Elysée à changer tout l’organigramme de la majorité gouvernementale. La fronde à l’encontre de la direction du parti montait particulièrement depuis les municipales, mais Harlem Désir avait écarté il y a quelques jours encore toute idée de démission ou de congrès extraordinaire du PS, comme l’avait demandé le député des Landes Henri Emmanuelli.  La prise de position d’Harlem Désir dans l’affaire Leonarda Dibrani, à l’automne dernier, différente de François Hollande, avait jeté aussi un froid considérable entre le premier secrétaire et l’Elysée et laissé des traces. Alors que le président de la République proposait le retour de la seule jeune fille, Harlem Désir avait suggéré celui de toute la famille.  L’instance dirigeante du PS, le Bureau national (BN), se réunit mercredi soir.  Selon une bonne source au PS, le BN procèdera à la « désignation d’une direction provisoire » qui sera ensuite entérinée par le Conseil national ou parlement du parti, qui se réunit le 15 avril.   »Le premier secrétaire tirant sa légitimité des militants, leur vote est nécessaire mais pas tout de suite » et « un congrès extraordinaire n’est pas forcément nécessaire », ajoute cette source.  Malek Boutih, député socialiste de l’Essonne, confirme que les militants socialistes pourraient être amenés à voter prochainement sur cette nouvelle direction qui assurerait ses fonctions jusqu’au prochain congrès, prévu en 2015.  Mais ce bouleversement annoncé à la tête du PS suscite déjà interrogations et protestations.   »On a changé de Premier ministre, c’est le pouvoir constitutionnel du président de la République. En revanche, le changement de premier secrétaire appartient aux militants comme le prévoient les statuts, au terme d’un congrès et d’un vote », a souligné Juliette Méadel, secrétaire nationale du PS à l’Industrie.   »Eh! Le premier secrétaire doit être élu par les militants », a protesté dans un tweet la sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann.  Au delà, plusieurs représentants socialistes commentaient de façon diverse l’annonce du départ d’Harlem Désir et son remplacement par Jean-Christophe Cambadélis.  Il y a « nécessité, sur le fond, de réveiller le PS, un message qui était mis depuis de longs mois, bien avant les élections municipales », a déclaré à l’AFP le député Christian Paul.  Un socialiste ex-strauss kahnien parle en privé d’ »une excellente nouvelle » car « Cambadélis est quelqu’un qui aime la politique et qui en fait ».  Harlem Désir « n’a pas commis de grosses fautes. Il a géré le parti au mieux », estime Malek Boutih pour lequel le résultat des municipales s’explique avant tout par le « bilan gouvernemental ».

 

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