Archive pour le Tag 'secours'

Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !

Au secours ! Trump veut diriger la politique monétaire !

Donald Trump, candidat du Parti républicain pour l’élection présidentielle veut remettre en cause l’indépendance de la banque centrale américaine et veut influencer la politique monétaire. De quoi s’interroger sérieusement tellement Trump à mené une politique financière de gribouille pour sa propre fortune. Il a d’ailleurs été mis en cause par la justice pour avoir volontairement triché et surestimé la valeur de actifs de son empire.

Et c’est justement sur son expérience douteuse que Trump s’appuie:

«Je pense que le président devrait avoir son mot à dire là-dessus, c’est mon avis profond. Je pense que dans mon cas, moi qui ai fait beaucoup d’argent, j’ai eu beaucoup de réussite, je pense que j’ai un meilleur instinct que, le plus souvent, les gens qui sont à la Fed ou son président», a déclaré Donald Trump lors d’une conférence de presse à Palm Beach (Floride).

Les décisions de politique monétaire doivent être prises «le plus souvent à l’intuition», a jugé Donald Trump. La Fed a répété à de multiples reprises qu’elle basait ses décisions sur les données macroéconomiques disponibles.

Donald Trump critique régulièrement Jerome Powell, qu’il avait pourtant choisi pour diriger la Fed lorsqu’il était à la Maison-Blanche. En février dernier, il lui avait ainsi reproché de vouloir baisser les taux en 2024 pour aider les démocrates à gagner l’élection présidentielle. Il avait par ailleurs assuré qu’il ne le nommerait pas de nouveau à la tête de la Fed s’il était élu. Avant cela déjà, lorsqu’il était président, le milliardaire républicain ciblait régulièrement la Fed et Jerome Powell, qui ne baissaient pas suffisamment les taux à son goût.

 

En effet celui  qui souhaite reconquérir la Maison Blanche en novembre prochain manque de fonds pour payer l’exceptionnelle amende de 454 millions de dollars (418,5 millions d’euros) écopée pour avoir, justement, surestimé la valeur de sa fortune, afin d’être bien vu des banques. S’il ne s’acquitte pas de la totalité de la somme d’ici lundi, des biens immobiliers pourront être saisis. L

« Sachant que sa fortune de 2,5 milliards est principalement constituée de biens immobiliers, si on enlève environ 500 millions pour faire tourner les entreprises et qu’on retire encore les deux amendes dont a écopé Trump, ça commence à être compliqué », souligne Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste de la politique et de la société américaine. C’est d’ailleurs l’argument avancé par ses avocats : cette amende « exorbitante et vexatoire » qu’ils contestent est faite pour le ruiner. L’importance de la somme pourrait en effet le contraindre à céder certains actifs, sans doute à prix cassés, une première entaille dans son empire immobilier.

 

 

Isère : entrepôts du Secours populaire cambriolés avant Noël

Isère : entrepôts du Secours populaire cambriolés avant Noël

La sauvagerie n’a pas de limite, on s’attaque même aux dons destinés aux plus pauvres. Les entrepôts de la fédération de l’Isère du Secours populaire ont été cambriolés à Échirolles, en Isère, la nuit du samedi 23 décembre au dimanche 24 décembre, rapporte France Bleu Isère ce dimanche 24 décembre. L’association a porté plainte au commissariat de Grenoble et déplore un préjudice situé entre 300 000 et 400 000 euros.

La totalité des dons et collectes de l’association a été fouillée, des cartons contenant des vêtements, des jouets ou encore de l’électroménager ont été éventrés. Le Secours populaire a estimé un préjudice de 300 000 euros. Le procureur de Grenoble confirme le dépôt de plainte pour « vol par effraction ».

Deux camionnettes flambant neuves ont également été désossées, les moteurs ont disparu, ainsi que les portières arrière. L’association estime cette perte à 110 000 euros, en plus des 300 000 euros de préjudice pour le vol de matériel à donner.

« C’est un carnage. Je n’ai pas les mots », déplore Nabil Chetouf, le secrétaire général du Secours populaire en Isère, auprès de France Bleu Isère.

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Tremblement de terre : les satellites au secours des conséquences

Tremblement de terre : les satellites au secours des conséquences

Un séisme de magnitude 6,8 a frappé le Maroc à 11km d’Adassil le vendredi 8 Septembre 2023 à 23h11 heure locale. On déplore plus de 2 000 décès et autant de blessés avec un bilan qui pourrait encore s’alourdir. Depuis l’espace, on peut obtenir des informations cruciales pour guider les secours et l’aide humanitaire qui convoie eau et vivres, mais qui sont inaccessibles depuis le sol, en particulier en cas de catastrophes. Il s’agit de cartographier l’état des routes, des ponts, des bâtiments, et aussi – et c’est crucial ici – de repérer les populations qui tentent d’échapper aux effets de potentielles répliques en se regroupant dans des stades ou d’autres espaces ouverts.

par Emilie Bronner
Représentante CNES au Secrétariat Exécutif de la Charte Internationale Espace et Catastrophes Majeures, Centre national d’études spatiales (CNES) dans The Conversation

Afin de tourner rapidement les yeux des satellites vers les régions concernées, les Nations Unies (UNITAR) ont demandé l’activation de la charte internationale « Espace et catastrophes majeures » le samedi matin à 7h04 heure locale pour le compte de l’organisation humanitaire internationale FICR (Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge).

Dans la foulée, les satellites optiques et radar les plus appropriés de huit agences spatiales ont été programmés. Pour la France, il s’agit des satellites optiques Pléiades et Pléiades Neo (de haute et très haute résolution), qui fourniront de premières images dès demain matin, lors de leur passage au-dessus de la zone, le temps de charger le plan de vol. Des satellites radar viendront compléter les informations des satellites optiques, car ils fonctionnent aussi la nuit et à travers les nuages, et peuvent imager les glissements de terrain et les changements d’altitude, même très faibles.

Chaque année, des millions de personnes partout dans le monde sont touchées par des catastrophes, qu’elles soient d’origine naturelle (cyclone, tornade, typhon, tremblement de terre, glissement de terrain, éruption volcanique, tsunami, inondation, feu de forêt, etc.) ou humaine (pollution par hydrocarbures, explosion industrielle). L’intensité et la fréquence de ces évènements s’intensifient malheureusement avec le changement climatique, créant chaque jour un peu plus de sinistrés ou d’habitats précaires.

Dans le cadre de la charte internationale « Espace et Catastrophes majeures », on définit une catastrophe comme un événement de grande ampleur, soudain, unique et incontrôlé, entraînant la perte de vies humaines ou des dommages aux biens et à l’environnement et nécessitant une action urgente d’acquisition et de fourniture de données.

Glissement de terrain à Munnar, en Inde. L’accès aux zones touchées est souvent difficile. Rakesh Pai/Flickr, CC BY-NC-ND
Cette charte a été créée par le Centre National d’Études Spatiales et l’Agence spatiale européenne en 1999, rejoints rapidement par l’Agence spatiale canadienne. Aujourd’hui, 17 agences spatiales membres s’unissent pour offrir gratuitement des images satellites le plus rapidement possible sur la zone sinistrée. Depuis 2000, la charte a été activée 837 fois dans plus de 134 pays. Elle est depuis complétée par des initiatives similaires (Copernicus Emergency ou Sentinel Asia).

Près des trois-quarts des activations de la charte sont dues à des phénomènes hydrométéorologiques : tempêtes, ouragans et surtout inondations qui représentent à elles seules la moitié des activations. Dans ces situations de crise imprévues, quand les sols sont endommagés ou inondés et les routes impraticables, les moyens terrestres ne permettent pas toujours d’analyser l’étendue du désastre et d’organiser au mieux les secours et l’aide humanitaire. En capturant la situation vue de l’espace, avec des satellites très haute résolution, le spatial apporte rapidement des informations cruciales.

Dans certains cas, la charte ne peut pas être activée. Soit parce que l’objet est hors cadre de la charte (guerres et conflits armés), soit parce que l’imagerie spatiale n’est parfois pas d’un grand intérêt (canicules, épidémies), soit car les phénomènes ont une évolution lente (sècheresses) qui est incompatible avec la notion d’urgence au cœur de la mission de la charte.

Les données satellites en réponse aux crises dans le monde
Dès la survenue d’une catastrophe, les satellites sont programmés pour acquérir dans un délai très court des images au-dessus des zones impactées. Plus d’une soixantaine de satellites, optiques ou radars, sont mobilisables à toute heure.

Selon le type de catastrophes, on mobilisera différents satellites, en se basant sur des scénarii de crise préétablis – parmi eux : TerraSAR-X/Tandem-X, QuickBird-2, Radarsat, Landsat-7/8, SPOT, Pléiades, Sentinel-2 notamment.

Les images optiques sont semblables à des photos vues de l’espace, mais les images radar par exemple sont plus difficilement interprétables par les non-initiés. Ainsi, suite à la catastrophe, les informations satellites sont retravaillées pour les rendre intelligibles et y apporter de la valeur ajoutée. Elles sont par exemple transformées en cartes d’impacts ou de changements pour les secouristes, en cartes de vigilance inondations pour les populations, en cartographie des zones brûlées ou inondées avec estimation des dégâts pour les décideurs.

Le travail collaboratif entre les utilisateurs de terrain et les opérateurs satellitaires est primordial. Des progrès ont été faits grâce aux innovations des technologies d’observation de la Terre (notamment la performance des résolutions optiques – passant de 50 à 20 mètres puis à 30 centimètres actuellement) et des logiciels de traitement des données 3D, mais également grâce au développement d’outils numériques pouvant coupler données satellites et in situ. De plus, les besoins de terrain ont contribué à l’évolution des processus d’intervention de la charte en termes de délai de livraison et de qualité des produits délivrés.

La gestion de l’urgence est bien sûr primordiale mais il est important pour tous les pays affectés d’envisager une reconstruction et l’avenir. En effet, dans le « cycle du risque », après le sinistre et l’urgence humanitaire, le retour à la normale va ouvrir le temps de la reconstruction, de la résilience, de la prévention et de l’alerte. On ne peut prévoir les catastrophes mais on peut mieux s’y préparer, surtout dans les pays où le malheur est récurrent, avec par exemple la construction antisismique, le déplacement des zones d’habitation en lieu sûr, la sensibilisation aux gestes de survie, la création de lieux de rassemblements sécurisés, entre autres.

Plusieurs initiatives, appelées « Observatoires de la Reconstruction », ont été menées après des catastrophes d’envergure, par exemple à Haïti en 2021, ou suite à l’explosion de Beyrouth en 2019. Le but : planifier des acquisitions d’images satellites coordonnées pour permettre une évaluation détaillée et dynamique des dommages aux zones les plus touchées (bâti, routes, agriculture, forêts, etc.), suivre la planification des reconstructions, réduire les risques et enfin réaliser un suivi des changements à l’horizon de 3-4 ans.

Réforme des retraites: Des juristes au secours du gouvernement !

Réforme des retraites: Des juristes au secours du gouvernement !

Trois éminents juristes expliquent avec sérieux dans » l’Opinion » que le projet de loi déposé contre la réforme des retraites par le groupe Liot
est anticonstitutionnel reprenant ainsi l’avis de la première ministre.

La grande faiblesse de l’argumentaire de ces éminents juristes résident dans le fait que pourtant les députés passent pourtant la plus grande partie de leur temps à voter des lois sans évaluation des dépenses et sans financement; En tout cas sans financement pertinent ( premier exemple celui du budget)

Extrait de ce très long article  » l’article 40 de la Constitution de 1958 interdit toute initiative parlementaire « coûteuse », c’est-à-dire créant ou augmentant « une charge publique » (soulignons « une ») ou diminuant « les ressources publiques » (soulignons « les »). Le dispositif trouve son origine dans une résolution adoptée par la Chambre des députés en 1900, puis dans l’article 17 de la Constitution du 27 octobre 1946, qui avait interdit, lors des discussions budgétaires, les créations ou les augmentations de dépenses, et enfin dans la loi dite des « maxima », appliquée à partir de 1949. En 1958, ce dispositif est triplement renforcé : il ne permet plus les compensations de dépenses (augmentation et diminution corrélatives), crée une interdiction spécifique aux recettes et rend applicable ces prohibitions à tous les textes. C’est dire que le texte de l’article 40 est un aboutissement. »

( Pierre Avril est professeur émérite de l’université Paris II, Jean-Pierre Camby est professeur associé à l’université de Paris Saclay (UVSQ) et Jean-Eric Schoettl est ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.)

Loi anti reforme des retraites: Des juristes au secours du gouvernement

Loi anti reforme des retraites: Des juristes au secours du gouvernement

Trois éminents juristes expliquent avec sérieux dans » l’Opinion » que le projet de loi déposé contre la réforme des retraites par le groupe Liot
est anticonstitutionnel reprenant ainsi l’avis de la première ministre.

La grande faiblesse de l’argumentaire de ces éminents juristes résident dans le fait que pourtant les députés passent pourtant la plus grande partie de leur temps à voter des lois sans évaluation des dépenses et sans financement; En tout cas sans financement pertinent ( premier exemple celui du budget)

Extrait de ce très long article  » l’article 40 de la Constitution de 1958 interdit toute initiative parlementaire « coûteuse », c’est-à-dire créant ou augmentant « une charge publique » (soulignons « une ») ou diminuant « les ressources publiques » (soulignons « les »). Le dispositif trouve son origine dans une résolution adoptée par la Chambre des députés en 1900, puis dans l’article 17 de la Constitution du 27 octobre 1946, qui avait interdit, lors des discussions budgétaires, les créations ou les augmentations de dépenses, et enfin dans la loi dite des « maxima », appliquée à partir de 1949. En 1958, ce dispositif est triplement renforcé : il ne permet plus les compensations de dépenses (augmentation et diminution corrélatives), crée une interdiction spécifique aux recettes et rend applicable ces prohibitions à tous les textes. C’est dire que le texte de l’article 40 est un aboutissement. »

( Pierre Avril est professeur émérite de l’université Paris II, Jean-Pierre Camby est professeur associé à l’université de Paris Saclay (UVSQ) et Jean-Eric Schoettl est ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel.)

Sondage: le JDD au secours de Macron

Sondage: le JDD au secours de Macron

À deux jours d’intervalle, le JDD ( propriété de Bolloré) sort des sondages qui sont un peu plus favorable à Macron. D’après un sondage IFOP dans ce journal, la cote du président remonterait autour de 31 % même si près de 70 % condamnent sa politique. Dimanche, le JDD constate que Macron n’a pas de vrai concurrent !

Un sondage par ailleurs ambiguë qui mélange la popularité potentielle une fois au pouvoir et non l’audience au moment d’une élection. En outre, on mesure la popularité des concurrents par rapport à un Macron qui ne se représente pas ! Et le JDD d’affirmer que les Français peinent à trouver un remplaçant à Macron alors que les candidatures ne sont même pas déclarées. Bref un sondage particulièrement tordu sur le plan méthodologique.

« Quand on interroge les Français , ils seraient 30 % à estimer que Marine Le Pen ferait « mieux » que l’actuel chef de l’État si elle était aujourd’hui au pouvoir. Elle arrive en tête des personnalités testées, avec un score « jamais vu » pour la triple candidate à la présidentielle du Rassemblement national, ­souligne le directeur général de l’Ifop, Frédéric Dabi. Ils sont toutefois 40 % à juger qu’elle ferait « moins bien » et 30 % « ni mieux ni moins bien ».

La députée RN devance l’ex-Premier ministre Édouard Philippe (24 % des sondés pensent qu’il ferait « mieux », 16 % « moins bien » et 60 % ni l’un ni l’autre) et le ­leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon (21 % jugent qu’il ferait « mieux », 46 % « moins bien » et 33 % ni l’un ni l’autre).

Hollande : le retour en 2027, au secours !

Hollande : le retour en 2027, au secours !

Émoustillé par l’emprise de Mélenchon sur la gauche, Hollande envisage son retour en 2027. Et le pire c’est qu’il y croit sérieusement, comme il croit sans doute à son triste bilan qui a eu pour résultat de tuer le parti socialiste et de faire émerger Macron.Dix ans plus tard presque jour pour jour, François Hollande veut  donc entamer  une nouvelle page de sa vie politique. Depuis ses vastes bureaux de la rue de Rivoli, où Philae, le labrador noir qu’il a eu à l’Elysée, se balade de pièce en pièce, il reçoit à tour de bras. Cette semaine, il a vu son ex-ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll, échangé avec son dernier chef de gouvernement, Bernard Cazeneuve, mais aussi avec l’influente présidente de la région Occitanie, Carole Delga, avec le Marseillais qui rue dans les brancards contre l’accord à gauche, Patrick Mennucci, ou encore l’opposante à Olivier Faure au sein du Parti socialiste, Hélène Geoffroy.
L’ancien Président échafaude son plan sur les cinq prochaines années. « 2027 se prépare dès 2022, sur le plan des idées et sur celui de l’incarnation », expose-t-il.

Anne Hidalgo comme première ministre Jadot (EELV) : Au secours !

Anne  Hidalgo comme première ministre Jadot (EELV) : Au secours !

 

Il se pourrait bien que Jadot candidat d’Europe écologie les Verts ait  commis encore une nouvelle bévue en proposant à Anne Hidalgo de devenir éventuellement sa première ministre. Au lieu d’augmenter son capital de voix cela pourrait bien lui retirer plusieurs points. Faut-il rappeler que la première orientation présidentielle Hidalgo a consisté à envisager de doubler le salaire des enseignants ; évidemment sans proposition de financement et sans prise en compte des conséquences sur l’ensemble des grilles de fonctionnaires. Une autre particularité d’  Hidalgo est de considérer que les municipaux travaillent trop et n’ont pas à se plier à la loi des 35 heures. Hidalgo ( ancienne fonctionnaire elle aussi)  entretient visiblement des liens ambigus avec le concept de travail.

 

Alors que pour l’instant le candidat écolo ne parvient guère à dépasser les 7 à 8 % dans les sondages, il en est déjà à distribuer le poste de Premier ministre, en plus à une bobo pour le moins évaporée et coupée des réalités sociaux économiques.

L’eurodéputé EELV a cependant précisé qu’il ne souhaitait pas «former (un) gouvernement le 14 décembre» alors que les Français sont «à peine entrés dans la campagne présidentielle». Quoi qu’il en soit, le candidat écologiste a refait part de sa volonté de «travailler avec les socialistes et tous les progressistes»«Venez avec vos idées, avec votre histoire, avec vos propositions. Travaillons à un projet commun, à un contrat de gouvernement, travaillons sur le fond», leur a-t-il proposé. De toute évidence il y aura du travail !

 

Présidentielle- Jadot (EELV)- propose Hidalgo comme première ministre: Au secours !

Présidentielle- Jadot (EELV)- propose Hidalgo comme première ministre: Au secours !

 

Il se pourrait bien que Jadot candidat d’Europe écologie les Verts ait  commis encore une nouvelle bévue en proposant à Anne Hidalgo de devenir éventuellement sa première ministre. Au lieu d’augmenter son capital de voix cela pourrait bien lui retirer plusieurs points. Faut-il rappeler que la première orientation présidentielle Hidalgo a consisté à envisager de doubler le salaire des enseignants ; évidemment sans proposition de financement et sans prise en compte des conséquences sur l’ensemble des grilles de fonctionnaires. Une autre particularité d’  Hidalgo est de considérer que les municipaux travaillent trop et n’ont pas à se plier à la loi des 35 heures. Hidalgo ( ancienne fonctionnaire elle aussi)  entretient visiblement des liens ambigus avec le concept de travail.

 

Alors que pour l’instant le candidat écolo ne parvient guère à dépasser les 7 à 8 % dans les sondages, il en est déjà à distribuer le poste de Premier ministre, en plus à une bobo pour le moins évaporée et coupée des réalités sociaux économiques.

L’eurodéputé EELV a cependant précisé qu’il ne souhaitait pas «former (un) gouvernement le 14 décembre» alors que les Français sont «à peine entrés dans la campagne présidentielle». Quoi qu’il en soit, le candidat écologiste a refait part de sa volonté de «travailler avec les socialistes et tous les progressistes»«Venez avec vos idées, avec votre histoire, avec vos propositions. Travaillons à un projet commun, à un contrat de gouvernement, travaillons sur le fond», leur a-t-il proposé. De toute évidence il y aura du travail !

 

Le nucléaire au secours de la production de bitcoins

Le nucléaire au secours de la production de bitcoins

Un article du Wall Street Journal (extrait)

Critiqués pour leur lourd impact environnemental, certains mineurs de bitcoin sont en train de nouer des partenariats avec des propriétaires de centrales nucléaires en difficulté qui ont des surplus d’électricité à revendre.

Selon les dirigeants et les analystes, ces alliances pourraient permettre de résoudre les principaux problèmes auxquels sont confrontés les deux secteurs. D’un côté, les mineurs de bitcoins, gourmands en électricité, veulent une énergie fiable et décarbonée. De l’autre, les centrales nucléaires, concurrencées par des sources d’énergie moins chères, ont besoin de nouveaux clients.

Talen Energy a créé une coentreprise avec la société d’extraction de bitcoins TeraWulf. Ils ont commencé à aménager un terrain pour y bâtir une ferme de minage, qui fera la taille de quatre terrains de football, à côté de la centrale nucléaire de Talen en Pennsylvanie. Autre exemple, dans l’Ohio, Energy Harbor fournira de l’énergie via son générateur nucléaire à la ferme de minage de Standard Power à partir de décembre.

« Nous stimulons la demande à côté d’une centrale nucléaire existante », explique le président de Talen Energy, Alex Hernandez, qui dirige la joint-venture développant le projet d’extraction de cryptomonnaies près de la centrale de Susquehanna.

De nouveaux programmes nucléaires s’intéressent également aux mineurs de cryptomonnaies. La start-up Oklo, qui prévoit de construire une petite centrale à fission pouvant fonctionner avec du combustible nucléaire usagé, a signé un contrat de fourniture pour vingt ans avec la société de hardware et d’hébergement Compass Mining.

« Les contraintes de chacune des deux industries représentent un atout pour l’autre », observe Sean Lawrie, associé dans le cabinet de conseil ScottMadden.

De nombreuses centrales nucléaires ont été mises hors service aux Etats-Unis ces dernières années. Les fermetures de sites étant susceptibles de dépasser les nouveaux projets, la part du nucléaire devrait diminuer dans le mix électrique des Etats-Unis au cours des années à venir

L’extraction de bitcoins est un processus à forte intensité énergétique. Pour débloquer davantage de monnaie, les mineurs doivent résoudre des équations mathématiques de plus en plus complexes, ce qui signifie qu’ils ont besoin de plus de puissance de calcul et donc d’électricité. Il y a dix ans, le minage nécessitait seulement de disposer d’une personne équipée d’un PC, mais la hausse du prix des bitcoins et sa rareté ont déclenché une concurrence féroce. Pour augmenter les chances de résoudre les équations, il faut utiliser davantage de machines.

« L’énergie et les infrastructures qui y sont liées sont des questions centrales pour l’extraction de bitcoins », résume Paul Prager, directeur général de TeraWulf.

 

« Nous nous trouvons face à une situation où les marchés de l’électricité sont toujours surapprovisionnés et, à quelques exceptions près, assez moroses », explique M. Hernandez, président de Talen. La société considère les fermes à bitcoins comme un élément clé du développement d’infrastructures numériques décarbonées, ajoute-t-il. L’entreprise prévoit également l’installation d’un data center à côté du site de Susquehanna, et a annoncé mardi dernier qu’elle avait réuni 175 millions de dollars de fonds supplémentaires pour mener à bien ces projets.

Même si on s’attend à la conclusion de nouvelles alliances entre les secteurs du nucléaire et des bitcoins, il est peu probable qu’elles soient suffisamment importantes ou se concrétisent assez rapidement pour sauver les centrales nucléaires qui sont au bord de la fermeture, prévient Bill Dugan, directeur de Customized Energy Solutions, une société de conseil en énergie.

« Il faudrait vraiment que beaucoup d’entre elles collaborent pour éviter cela », précise-t-il.

Pour les mineurs de bitcoins, ces partenariats leur permettent de présenter leurs projets comme s’appuyant sur une source d’énergie respectueuse de l’environnement.

« C’était un facteur de différenciation important pour nous », assure Maxim Serezhin, directeur général de Standard Power, qui construit un centre d’extraction de bitcoins utilisant de l’énergie d’origine nucléaire dans une ancienne papeterie à Coshocton, dans l’Ohio. Le nom officiel de Standard Power est 500 N 4th Street LLC.

Energy Harbor a refusé de commenter la situation et a renvoyé vers M. Serezhin pour répondre aux questions.

L’accord entre Compass Mining et la start-up Oklo ne prévoit pas d’avoir de prix fixe pour l’électricité, mais Whit Gibbs, directeur général de Compass, assure être convaincu que les deux entreprises parviendront à s’entendre sur un tarif permettant la rentabilité de l’activité de minage.

Jacob DeWitte, cofondateur et directeur général d’Oklo, déclare avoir reçu des demandes de renseignements de la part d’autres mineurs de bitcoins intéressés par le projet d’une puissance de 1,5 mégawatt de la société, qui utilise de petits réacteurs modulaires. Celui-ci doit néanmoins encore être approuvé par le gouvernement fédéral, ce qui ne devrait pas se produire avant 2023 ou 2025, ajoute-t-il.

Le maire de Miami, Francis Suarez, vend sa ville comme une destination de choix pour les mineurs de cryptomonnaies, les bourses d’échange et les sociétés d’investissement. Une partie de son argumentaire repose sur la présence de la centrale nucléaire voisine, propriété de Florida Power & Light Co, une filiale de NextEra Energy.

De nombreuses préoccupations environnementales, sociales et de gouvernance — ou ESG —, concernant l’extraction de bitcoins « proviennent du fait qu’une grande partie du minage était effectuée dans des pays producteurs de charbon », assure M. Suarez.

Les discussions avec les responsables de Florida Power & Light ont porté sur la possibilité d’implanter des fermes de minage près de la centrale nucléaire et sur des questions comme le manque de foncier bon marché pour construire de grands entrepôts destinés au matériel de minage, détaille M. Suarez.

Florida Power & Light a refusé de s’exprimer sur ces discussions, mais son porte-parole Bill Orlove indique que le sud de la Floride est devenu un lieu prisé par la tech pour se relocaliser. « Nous sommes impatients de soutenir l’innovation et la croissance durables que ces entreprises amènent », conclut-il.

Politique et business -Macron vient encore au secours de General Electric.

Politique et business -Macron vient encore au secours de General Electric.

On se souvient évidemment qu’Alstom avait été démantelé dans des conditions sulfureuses avec l’appui de Macron. Les activités ferroviaires étaient restées en France tandis que les activités électriques avaient été vendues à l’Américain GE. Par Un  groupe qui enregistre un certain nombre de difficultés financières. Du coup à l’instigation de l’Élysée, EDF se voit contrainte de racheter l’activité des turbines de GE . Notons qu’EDF dans la situation financière n’est pas trop brillante  était  opposée à la reprise de cette activité de GE.

L’une des activités les plus stratégiques de l’ancien Alstom (pour nos centrales nucléaires comme pour nos sous-marins nucléaires), passée chez les Américains, va donc redevenir française.

Le périmètre de reprise exclut  les activités GE Grid et GE Hydro, laissant encore le site principal industriel à Belfort en pleine incertitude. Malgré la reprise des turbines vapeur, les syndicats craignent la fermeture par GE des autres activités sur place.

Stratégiquement on comprend que cette activité turbine très stratégique pour l’industrie nucléaire redevienne 100 % française; pour autant,  EDF n’est pas un industriel et on la contraint à le devenir. Cette implication du pouvoir central dans la stratégie d’Alstom et de General electric laisse songeur.

Lors du rachat d’Alstom Energie par General Electric, les partisans de l’industrie française avaient dénoncé un fiasco et même un complot contre les intérêts nationaux. Après les récriminations d’Arnaud Montebourg contre Patrick Kron, une commission d’enquête avait été montée à l’Assemblée nationale par le député LR Olivier Marleix. Le rôle d’Emmanuel Macron, comme secrétaire général adjoint à l’Elysée et ancien banquier d’affaires chez Rothschild, avait été pointé par la presse. Une presse qui avait notamment souligné que e patron de GE France est également Hugh Bailey, qui fut conseiller du ministre Macron à Bercy. Quant au DG de GE Renewable Energy, qui regroupe les activités GE Grid et GE Hydro, c’est Jérôme Pécresse, le mari de Valérie Pécresse, candidate à la présidentielle.

Politique et business -Macron vient encore au secours de General Electric.

Politique et business -Macron vient encore au secours de General Electric.

On se souvient évidemment qu’Alstom avait été démantelé dans des conditions sulfureuses avec l’appui de Macron. Les activités ferroviaires étaient restées en France tandis que les activités électriques avaient été vendues à l’Américain GE. Par Un  groupe qui enregistre un certain nombre de difficultés financières. Du coup à l’instigation de l’Élysée, EDF se voit contrainte de racheter l’activité des turbines de GE . Notons qu’EDF dans la situation financière n’est pas trop brillante  était  opposée à la reprise de cette activité de GE.

L’une des activités les plus stratégiques de l’ancien Alstom (pour nos centrales nucléaires comme pour nos sous-marins nucléaires), passée chez les Américains, va donc redevenir française.

Le périmètre de reprise exclut  les activités GE Grid et GE Hydro, laissant encore le site principal industriel à Belfort en pleine incertitude. Malgré la reprise des turbines vapeur, les syndicats craignent la fermeture par GE des autres activités sur place.

Stratégiquement on comprend que cette activité turbine très stratégique pour l’industrie nucléaire redevienne 100 % française; pour autant,  EDF n’est pas un industriel et on la contraint à le devenir. Cette implication du pouvoir central dans la stratégie d’Alstom et de General electric laisse songeur.

Lors du rachat d’Alstom Energie par General Electric, les partisans de l’industrie française avaient dénoncé un fiasco et même un complot contre les intérêts nationaux. Après les récriminations d’Arnaud Montebourg contre Patrick Kron, une commission d’enquête avait été montée à l’Assemblée nationale par le député LR Olivier Marleix. Le rôle d’Emmanuel Macron, comme secrétaire général adjoint à l’Elysée et ancien banquier d’affaires chez Rothschild, avait été pointé par la presse. Une presse qui avait notamment souligné que e patron de GE France est également Hugh Bailey, qui fut conseiller du ministre Macron à Bercy. Quant au DG de GE Renewable Energy, qui regroupe les activités GE Grid et GE Hydro, c’est Jérôme Pécresse, le mari de Valérie Pécresse, candidate à la présidentielle.

Politique- Macron vient encore au secours de General Electric.

Politique-Macron vient encore au secours de General Electric.

On se souvient évidemment qu’Alstom avait été démantelé dans des conditions sulfureuses avec l’appui de Macron. Les activités ferroviaires étaient restées en France tandis que les activités électriques avaient été vendues à l’Américain GE. Par Un  groupe qui enregistre un certain nombre de difficultés financières. Du coup à l’instigation de l’Élysée, EDF se voit contrainte de racheter l’activité des turbines de GE . Notons qu’EDF dans la situation financière n’est pas trop brillante  était  opposée à la reprise de cette activité de GE.

L’une des activités les plus stratégiques de l’ancien Alstom (pour nos centrales nucléaires comme pour nos sous-marins nucléaires), passée chez les Américains, va donc redevenir française.

Le périmètre de reprise exclut  les activités GE Grid et GE Hydro, laissant encore le site principal industriel à Belfort en pleine incertitude. Malgré la reprise des turbines vapeur, les syndicats craignent la fermeture par GE des autres activités sur place.

Stratégiquement on comprend que cette activité turbine très stratégique pour l’industrie nucléaire redevienne 100 % française; pour autant,  EDF n’est pas un industriel et on la contraint à le devenir. Cette implication du pouvoir central dans la stratégie d’Alstom et de General electric laisse songeur.

Lors du rachat d’Alstom Energie par General Electric, les partisans de l’industrie française avaient dénoncé un fiasco et même un complot contre les intérêts nationaux. Après les récriminations d’Arnaud Montebourg contre Patrick Kron, une commission d’enquête avait été montée à l’Assemblée nationale par le député LR Olivier Marleix. Le rôle d’Emmanuel Macron, comme secrétaire général adjoint à l’Elysée et ancien banquier d’affaires chez Rothschild, avait été pointé par la presse. Une presse qui avait notamment souligné que e patron de GE France est également Hugh Bailey, qui fut conseiller du ministre Macron à Bercy. Quant au DG de GE Renewable Energy, qui regroupe les activités GE Grid et GE Hydro, c’est Jérôme Pécresse, le mari de Valérie Pécresse, candidate à la présidentielle.

Macron vient encore au secours de General Electric.

Macron vient encore au secours de General Electric.

On se souvient évidemment qu’Alstom avait été démantelé dans des conditions sulfureuses avec l’appui de Marcon. Ainsi les activités ferroviaires étaient restées en France tandis que les activités électriques avaient été vendues à l’Américain GE. Par Un  groupe qui enregistre un certain nombre de difficultés financières. Du coup à l’instigation de l’Élysée, EDF se voit contrainte de racheter l’activité des turbines de GE . Notons qu’EDF dans la situation financière n’est pas trop brillante  était  opposée à la reprise de cette activité de GE.

L’une des activités les plus stratégiques de l’ancien Alstom (pour nos centrales nucléaires comme pour nos sous-marins nucléaires), passée chez les Américains, va donc redevenir française.

Le périmètre de reprise exclut  les activités GE Grid et GE Hydro, laissant encore le site principal industriel à Belfort en pleine incertitude. Malgré la reprise des turbines vapeur, les syndicats craignent la fermeture par GE des autres activités sur place.

Stratégiquement on comprend que cette activité turbine très stratégique pour l’industrie nucléaire redevienne 100 % française; pour autant; EDF n’est pas un industriel et on la contraint à le devenir. Cette implication du pouvoir central dans la stratégie d’Alstom et de General electric laisse songeur.

Lors du rachat d’Alstom Energie par General Electric, les partisans de l’industrie française avaient dénoncé un fiasco et même un complot contre les intérêts nationaux. Après les récriminations d’Arnaud Montebourg contre Patrick Kron, une commission d’enquête avait été montée à l’Assemblée nationale par le député LR Olivier Marleix. Le rôle d’Emmanuel Macron, comme secrétaire général adjoint à l’Elysée et ancien banquier d’affaires chez Rothschild, avait été pointé par la presse. Une presse qui avait notamment souligné que e patron de GE France est également Hugh Bailey, qui fut conseiller du ministre Macron à Bercy. Quant au DG de GE Renewable Energy, qui regroupe les activités GE Grid et GE Hydro, c’est Jérôme Pécresse, le mari de Valérie Pécresse, candidate à la présidentielle.

300 élus territoriaux au secours de Macron !

 300 élus territoriaux au secours de  Macron !

 

Opération débauchage par le pouvoir en place après la terrible défaite régionale. Ainsi 300 élus, dont beaucoup en attente de marocains, affichent leur soutien à Macron de manière pour le moins excessive dans le JDD.

Les signataires soutiennent l’objectif «ambitieux mais nécessaire» d’arriver à vacciner tous les Français : «Ce n’est en effet qu’en atteignant un taux de couverture vaccinale supérieur à 90% de la population que nous pourrons tourner durablement la page, retrouver une vie normale», écrivent-ils.Ce qui constitue une évidence !Plus curieux cette déclaration au plan économique:

«Sur le plan économique, nous partageons également les orientations annoncées, la priorité donnée au travail, à la production et au mérite», poursuivent les auteurs de la tribune. Selon eux, «amplifier ce mouvement est primordial pour permettre à la France de retrouver son indépendance, reprendre le contrôle de notre destin et réinscrire le pays dans une trajectoire de plein-emploi».

«Notre conviction», concluent-ils, «est que nous vivons un moment de bascule comme l’Histoire en offre parfois. L’alternative est simple : soit nous nous divisons dans des guerres picrocholines. Alors, la France passera à côté des révolutions en cours : numérique, technologique, écologique, démographique. Soit, nous faisons bloc, État et collectivités locales, dans un pacte de confiance renouvelé. Alors, notre Nation se donnera une chance de participer à l’invention du monde qui vient».

Parmi les 326 signataires figurent encore les LR Jean-Luc Moudenc (maire de Toulouse), Michèle Lutz (maire de Mulhouse) et Arnaud Robinet (maire de Reims), les ex-LR Laurent Marcangeli (maire d’Ajaccio), Hubert Falco (maire de Toulon) et Christophe Béchu (maire d’Angers), ou le PS Laurent Cathala (maire de Créteil).

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