Archive pour le Tag 'secouer'

Taux américains: : une hausse qui va secouer toutes les banques centrales

Taux américains: : une hausse qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situent maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.La première conséquence à attendre sera un bouleversement des taux de change dont l’euro sera l’une des victimes.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes.

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Taux d’intérêt : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

Taux d’intérês : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situnte maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes.

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Politique monétaire : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

Politique monétaire : un nouveau relèvement des taux américains qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situnte maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Taux d’intérêt : un nouveau relèvement américain qui va secouer toutes les banques centrales

Taux d’intérêt : un nouveau relèvement américain qui va secouer toutes les banques centrales

La banque centrale américaine a une fois de plus bousculé le monde monétaire en décidant d’un nouveau relèvement des taux d’intérêt. L’objectif est bien sûr de lutter contre une inflation qui selon les indicateurs se situe entre 6 et 8 %. Quant aux taux d’intérêt, ils se situnte maintenant près de 4 %. Il y a donc encore de la marge même si la Fed laisse entendre qu’elle va maintenant ralentir le processus d’augmentation des taux.

L’enjeu est en effet de lutter contre l’inflation mais sans trop menacer la croissance. La croissance est encore satisfaisante en 2022, autour de 2,5 % mais elle devrait se tasser en 2023.Les prévisions n’accordent qu’une progression de l’activité de 1 % l’année prochaine. À noter que dans le même temps l’union européenne pourrait tutoyer la récession.

La plupart des banques centrales sont donc à la remorque des États-Unis, les plus forts taux d’intérêt américain attirent en effet les capitaux ce qui a pour effet de renforcer encore le dollar est inversement d’affaiblir les autres monnaies.

Inévitablement, les autres banques centrales devront aussi procéder à de nouveaux réajustements à la hausse des taux d’intérêt sinon le risque est grand de provoquer de nouvelles dévalorisations des monnaies par rapport au dollar.

La Banque centrale européenne (BCE) a décidé Récemment hausse de ses taux d’intérêt de 75 points de base. Il s’agit de l’augmentation la plus importante appliquée depuis 1999.

« Le taux d’intérêt des opérations principales de refinancement et les taux d’intérêt de la facilité de prêt marginal et de la facilité de dépôt seront respectivement portés à 1,25 %, 1,50 % et 0,75 %, avec effet au 14 septembre 2022″, a précisé l’institution de Francfort. Mais la différence entre les taux européens et américains sont encore énormes

La banque centrale américaine (Fed) a donc relevé mercredi ses taux à leur plus haut niveau depuis près de 15 ans, et pense continuer à les augmenter, cherchant à tout prix à juguler la forte inflation, une tâche compliquée cependant par la menace d’une récession.

Lors de sa conférence de presse, le président de la réserve fédérale, Jerome Powell, a prévenu qu’il faudrait « du temps » avant que les hausses de taux d’intérêt ne ralentissent l’inflation et que cela passerait sans doute par un ralentissement de l’économie.

Secouer l’Europe

Secouer l’Europe

En raison de la crise sanitaire, et pour que les garanties démocratiques soient préservées, les députés Emilie Cariou et Aurélien Taché appellent, dans une tribune au « Monde », à renouveler « en profondeur » les institutions européennes, notamment le Parlement.

Tribune.

 

Des situations de crise peuvent émerger le meilleur comme le pire. L’Union européenne (UE), face au Covid, avait l’occasion de renforcer sa gouvernance, en innovant dans ses pratiques et en affirmant sa cohésion. L’emprunt commun est une véritable avancée. Mais cette initiative ne doit pas masquer les dysfonctionnements structurels de l’Union et les graves insuffisances de l’équipe qui dirige la Commission. L’Union européenne du « monde de demain » doit être renouvelée institutionnellement, démocratiquement et en profondeur si elle veut, tout simplement, espérer en faire partie.

Les échecs accumulés et les avanies subies par l’UE révèlent un criant besoin de renouveau de son projet sur une base fédéraliste et démocratique. Aujourd’hui, les pays comme l’Allemagne se sentent pris en otages par le choix de la solidarité européenne. Une solidarité pourtant si nécessaire quand nous voulons une Europe plus résistante, mais qui est la victime d’un système politique la conduisant nécessairement à sa ruine.

Mais, tout comme le césarisme technocratique d’un président – qui gouverne par conseil de défense dans un état d’urgence prolongé en France – mine la confiance des citoyens et nuit, finalement, au déploiement efficace des mesures, le mode de fonctionnement opaque d’une technocratie bruxelloise déconnectée des citoyens et des réalités semble avoir ses limites.

La nomination même d’Ursula von der Leyen aurait dû poser question, dès 2019, quand Emmanuel Macron l’avait sortie de son chapeau pour la présidence de la Commission à la surprise générale et en défiant le Parlement.

A la faveur de la crise, la Commission a eu l’occasion d’élargir son champ d’action à la santé. Une ambition louable, mais un défi de taille, puisqu’avant la pandémie, le sanitaire relevait des gouvernements nationaux. C’est alors une petite révolution lorsque les Etats membres, après des hésitations coupables dans ce qui s’annonçait comme une course contre la montre, ont chargé la Commission de procurer les vaccins dans le cadre d’une « Union européenne de la santé ».

Pourtant, cet « émouvant moment d’unité » décrit par la présidente de la Commission fin décembre paraît aujourd’hui bien lointain. « L’heure de l’Europe » ne semble malheureusement pas encore venue. Opacité, lenteurs, contrats biaisés… la joute juridique avec AstraZeneca sur la responsabilité des retards de livraison comme l’extraordinaire erreur qui a bien failli recréer une frontière entre les deux Irlandes montrent que le Berlaymont [le siège de la Commission européenne à Bruxelles] n’a pas été à la hauteur de la tâche.

Gérard Collomb : « il faut secouer la France»

Gérard Collomb : «  il faut secouer la France»

 

Selon le sénateur-maire PS de Lyon, la France « est en train de perdre pied ». Lui non plus n’est pas tendre avec le gouvernement dont il dresse un bilan sévère, dénonçant notamment sa cacophonie. C’est pourquoi il lance un appel « pour secouer » la France. À son initiative, une dizaine d’économistes débattront au Sénat avec un petit cercle de parlementaires des solutions pour redresser le pays, avant d’autres rencontres. Réforme des retraites en profondeur, réforme du travail,  réduction des déficits… Gérard Collomb évoque plusieurs pistes, loin de la « boîte à outils » du président de la République, qu’il raille.  Gérard Collomb qui est un maire apprécié des lyonnais, qui envisagent de le réélire l’an prochain lors des élections municipales, puisque selon un sondage IFOP/Fiducial publié dimanche, il serait réélu au second tour avec 56% des voix. Un succès électoral que n’a pas connu le candidat socialiste aux législatives partielles de Villeneuve-sur-Lot, la circonscription laissée vacante après la démission de Jérôme Cahuzac. Le candidat du PS n’a pas recueilli suffisamment de suffrages pour se maintenir au second tour, qui verra donc s’affronter l’UMP et le FN. Pour François Hollande, c’est une conséquence de l’affaire Cahuzac. Mais le parti lui, son Premier secrétaire Harlem Désir en tête, estime que c’est à cause du maintien de la candidature des écologistes d’EELV, que le PS est passé à la trappe.

 




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