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Présidentielle 2022 : les seconds couteaux du parti républicain contestent les sondages

Présidentielle 2022 : les seconds couteaux du parti républicain contestent les sondages

 

 

La  droite s’étant  nettement réveillée au cours d’élections régionales, les prétendants se font plus nombreux pour l’échéance de 2022. Du coup pour tenter de piéger Bertrand, Pécresse et Vauquiez notamment souhaitent désormais une primaire élargie à la droite et au centre.

L’idée est évidemment d’écarter Xavier Bertrand, nettement tête dans les sondages, qui pour l’instant récuse cette procédure qui en général ne fait pas émerger le meilleur mais le plus consensuel et le plus médiocre. Une logique d’ailleurs qui s’applique aussi bien à droite que chez les écolos. Chez les écolos aussi celui qui est le mieux placé dans les sondages devra se soumettre à des primaires qui pourraient choisir  Éric Piolle le maire de Grenoble, candidat potentiel des verts ayant le moins de chances de figurer en 2022

Deux ministres, seconds couteaux, pour animer le débat

Deux ministres, seconds couteaux, pour animer le débat

 

Le gouvernement avait promis initialement de désigner une personne et un organisme indépendants pour animer le débat national. Finalement après le refus de la présidente de la commission nationale du débat public, le gouvernement choisit la bonne vieille méthode de l’encadrement politique. En plus par deux ministres qui sont des seconds couteaux du gouvernement. En outre pas spécialement représentatifs de cette France profonde qui a exprimé sa colère ou qui la soutient. En effet,  l’une, secrétaire d’État auprès du ministre de la transition écologique, est une énarque, quant à l’autre Sébastien Lecornu, le ministre chargé des Collectivités territoriales, c’est l’archétype de l’oligarque qui n’a pratiquement jamais travaillé que dans la politique. Peut-être quand même conscient de la dérive de l’animation du débat, le gouvernement a décidé de compléter ces deux ministres avec trois personnalités qui seront désignées respectivement par le Sénat, par l’assemblée nationale et par le conseil économique et social environnemental. Le problème c’est qu’on se demande bien avec quels moyens ces cinq personnalités vont pouvoir travailler. Certes on souhaite que le débat soit décentralisé le plus possible notamment au niveau des mairies. Reste qu’il faudra bien synthétiser et dégager des priorités avec l’appui d’une logistique. Or en l’état de l’organisation, cette logistique pourrait être le contrôle du préfet. En clair,  le pouvoir souhaite gagner du temps avec un débat dont les Français n’attendent pas grand-chose mais en plus il entend l’encadrer non seulement sur la définition des thèmes mais aussi sur les suites à donner à cette consultation.

 

Primaire à gauche: le bal des seconds couteaux

Primaire à gauche: le bal des seconds couteaux

Pas vraiment de quoi s’enthousiasmer avec la liste des prétendants à 2017 : sans doute 30 ou 40 candidats maintenant si on ajoute ceux  de gauche et de droite. Dernière annonce en date à gauche, celle de Benoît Hamon, qui s’ajoute à celle la frondeuse Marie-Noëlle Lienemann, de l’écologiste François de Rugy, le président du Front démocrate Jean-Luc Bennahmias et le membre du conseil national du PS Gérard Filoche. Autant de candidats de second rang qui n’ont jamais brillé par leur pertinence et leur charisme. Après ce sera sans doute à Arnaud Montebourg de se déclarer. Le porte-parole d’Arnaud Montebourg, François Kalfon, a confirmé sur RMC la candidature de l’ex ministre à la primaire PS de janvier prochain. Il a déclaré qu’il « y a ceux qui feuilletonnisent leur candidature, là ce n’est pas le genre de la maison (…) Il a déjà écrit sur son carton d’invitation qu’il allait proposer un projet alternatif pour la France ». Ben voyons ! Le porte-parole de Montebourg a ainsi confirmé la candidature de l’ex ministre socialiste à la primaire PS.  » Arnaud Montebourg se présente pour constituer une alternative à François Hollande qui est le candidat officiel mais qui n’arrive pas à s’imposer comme candidat naturel « . « Il y aura une primaire, on exposera nos idées, les conditions du rassemblement pourront se poser le cas échéant au second tour », a-t-il dit, ajoutant: « Arnaud Montebourg n’est pas encore candidat, s’il veut me soutenir il a encore quelques jours pour le faire ».  »Ma conviction, c’est que le président de la République (François Hollande) aujourd’hui, au regard de la déception qu’il a créée dans son propre camp, n’est plus dans cette situation, c’est trop tard, de créer cette relation de confiance avec les Français », a-t-il indiqué.

(Avec AFP)




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