Archive pour le Tag 'se trompe'

Transmission d’entreprise Benoît Hamon, l’apparatchik se trompe d’ennemi

Transmission d’entreprise Benoît Hamon, l’apparatchik se trompe d’ennemi

Hamon attaque le Medef « ce n’est pas lui qui fait la loi «  déclare-t-il ; une posture facile car attaquer le Medef est plus démagogique que de s’attaquer à l’ensemble des dirigeants d’entreprises notamment ceux des PME surtout concernés. Ce n’est pas le Medef qui fait la  loi mais Hamon non plus, c’est l’assemblée nationale. Une précision utile pour cet apparatchik pur et dur qui n’a jamais mis les pieds dans l’économie réelle puisqu’il a fait toute sa carrière professionnelle au sein du PS ; l’archétype du responsable du parti socialiste qui n’a jamais travaillé et   qui ignore tout des réalités économiques et sociales (voir à cet égard sa lamentable gestion du dossier Spanghero)  il n’a m rien compris et il est satisfait d’apparaître plus a gauche que d’autres. En fait il menace la survie de nombre de PME et leurs salariés avec qui risque d’être lâchées par les fournisseurs, les clients, les banquiers si la confidentialité de la transaction est rompue. On se méfie toujours d’une entreprise qui change de propriétaire et/ou de direction. Le bras de fer se durcit donc entre le patronat et Benoît Hamon. Pour la première fois, toutes les organisations patronales ont décidé de faire cause commune contre la disposition du projet de loi sur la cession d’entreprises. Elles ont adressé en ce sens à un texte au ministre que BF Business a publié en exclusivité vendredi 20 septembre. Le projet de loi prévoit d’obliger un chef d’entreprise de moins de 50 salariés qui veut céder son entreprise, à en informer préalablement ses salariés pour leur permettre éventuellement de se porter candidat à la reprise. Une mesure qui aurait des conséquences catastrophiques, expliquent les entreprises. Bercy a sèchement réagi ce samedi 21 septembre à cette initiative. Selon l’AFP, on s’étonne au cabinet de Benoît Hamon « de voir une demande de suppression pure et simple de la mesure » alors que lors d’entretiens bilatéraux, « chacun des représentants des organisations syndicales ont accepté le principe du groupe de travail sur ses modalités d’application auquel ils participent ». »Ce n’est pas le Medef qui fait la loi en France, a fait savoir Benoît Hamon via un collaborateur. « C’était peut être le cas sous la précédente mandature. Ce n’est pas le cas aujourd’hui ». Les syndicats de patrons estiment pourtant que les dispositions de la loi Hamon sont exorbitantes, hors du droit commun et contre-productives. Les risques selon eux: des cessions d’entreprises paralysées, la confidentialité rompue alors qu’elle est essentielle à la conclusion de la transaction, une entreprise fragilisée dans ses relations avec ses partenaires commerciaux et financiers. Ce serait, selon eux, une nouvelle épée de Damoclès au-dessus des entreprises qui se mettraient en infraction si elles passaient outre, puisque les autorités pourraient purement et simplement prononcer la nullité de la transaction. En signant ensemble cette lettre, un geste exceptionnel dans l’histoire des relations entre organisations patronales, ils veulent montrer l’incompréhension des entreprises de terrain, les TPE et petites PME. Celles-là même que le gouvernement dit vouloir protéger. Ils veulent aussi couper l’herbe sous le pied de Benoît Hamon, qui comptait visiblement jouer sur les dissensions au sein du patronat dans le cadre du débat sur la représentativité patronale. Le ministre déclarait ainsi vendredi que la « crispation du Medef » sur ce thème répondait à son « envie de montrer aux PME qu’il est plus représentatif que la CGPME ».

 

Sondage : Hollande impopulaire parce qu’il se trompe d’enjeux

Sondage : Hollande impopulaire parce qu’il se trompe d’enjeux

 

 

Pas nécessaire pour se rendre compte que le PS et Hollande se trompe d’enjeux et de fait s’enfoncent dans les sondages. Les français sont essentiellement intéressés par la crise économique et sociale alors que le gouvernement se préoccupe de questions de société. Croissance, pouvoir d’achat, avenir des retraites, emploi, fiscalité inquiètent ; mais on parle trop de sujets qui ne sont pas prioritaires comme le mariage gay, le vote des étrangers (projet abandonné en route), cumul des mandats des élus etc. ; surtout la promesse d’inverser la tendance du chômage en 2013 apparaît illusoire. Du coup seulement  38% de Français ont été satisfaits par l’action de François Hollande, selon un sondage IFOP-JDD du mois de janvier.  2013 de sondages sera-t-il meilleur que le cru 2012 pour François Hollande? Hésitant, tâtonnant dans ses débuts, le chef de l’Etat avait vu sa politique et son action désavouées par les Français, dont 68% jugeaient qu’il manquait d’autorité selon un sondage d’Opinionway paru en octobre dernier.   Aujourd’hui, le contexte est bien différent. Sa réactivité dans la gestion du conflit malien a été largement approuvée par les Français. Près d’une semaine après le début de l’intervention militaire au Mali, et alors que des troupes au sol ont été déployées, augmentant les risques de pertes dans les rangs de l’armée, 65% d’entre eux continuent d’y être favorables, selon un sondage Ifop-JDD.   En montrant par ailleurs sa volonté à mener les réformes du mariage pour tous et du non-cumul des mandats à leur terme, malgré les vives protestations jusque dans son camp, il a montré qu’il pouvait avoir de la poigne.    Logiquement, sa cote de popularité devrait donc connaître un soubresaut.   En réalité, elle s’est tout juste stabilisée dans ces premiers jours de 2013. Le chef de l’Etat récolte au mois de janvier 38% d’opinions favorables selon un sondage Ifop-JDD, pour 37% au mois de décembre. « Si François Hollande ne récolte globalement que peu de points malgré l’intervention militaire au Mali et ses projets de loi comme le mariage pour tous, c’est parce que que la grille d’évaluation des français est aujourd’hui très largement indexée sur des critères et des enjeux économiques et sociaux », analyse Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop.  Autrement dit, pour regagner le coeur des Français, François Hollande n’aura d’autre choix que de jouer sur l’emploi et le pouvoir d’achat. Crise oblige. Car si le débat sur le mariage pour tous ou l’intervention militaire au Mali sont deux évènements qui ont touché l’opinion ces dernières semaines, ils ne font pas partie des thèmes qui permettraient au président de sortir de son impopularité.   Sur le mariage gay, par exemple, 62% des Français estiment qu’une trop grande place a été accordée au débat.

 

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Mariage homos, vote étranger, le gouvernement se trompe de priorités

Mariage homos, vote étranger, le gouvernement se trompe de priorités

 

Le fossé se creuse entre les bobos de gauche et les français moyens. Alors que le gouvernement fait des réformes sociétales sa priorité (mariage homos, vote étrangers etc.), les français dans leur très grande majorité pensent à juste titre que la priorité doit aller à la dette et à la réindustrialisation, en clair à l’économie. Le parlement s’enflamme sur le problème de la procréation assistée pour les homosexuelles mais le pays, lui, pense au redressement économique. Le signe que les parlementaires n’ont pas les pieds sur terre y compris en matière de fiscalité qui va s’asphyxier la croissance. Comme la plupart des parlementaires sont fonctionnaires, ils n’ont qu’un rapport très approximatif avec l’économie réelle. Le droit au mariage pour les couples homosexuels n’est pas une priorité pour les Français qui placent en tête de leur préoccupation la réduction de la dette publique, selon un sondage Ifop pour le collectif anti-mariage gay « La Manif pour tous » publié jeudi dans Le Figaro. Sept pour cent seulement des personnes interrogées estiment que c’est une initiative « tout à fait prioritaire » contre 62% jugeant que la réduction de la dette publique arrive en tête des dossiers à traiter en priorité. Parmi les autres actions prioritaires à aborder dans les prochains mois, les Français placent ensuite la lutte contre la désindustrialisation (56%), la lutte contre l’immigration clandestine (44%), la réforme du financement de la protection sociale (38%), la réforme de la formation professionnelle (32%) et la réforme de la dépendance (21%).En dernière position des préoccupations des personnes interrogées se trouve l’octroi du droit de vote des étrangers (5%).




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