Archive pour le Tag 'Schulz)'

Election Allemagne : Merkel nettement devant Schulz

Election Allemagne : Merkel nettement devant  Schulz

A un peu plus de six semaines des élections fédérales du 24 septembre en Allemagne, le bloc conservateur CDU-CSU d’Angela Merkel reste crédité d’une confortable avance de 17 points sur les sociaux-démocrates de Martin Schulz, selon un sondage Forsa publié mercredi par l’hebdomadaire Stern et RTL.  Les partis   conservateurs CDU-CSU d’Angela Merkel restent  crédités  d’une confortable avance de 17 points sur les sociaux-démocrates de Martin Schulz pour les élections fédérales du 24 septembre Selon cette enquête, les chrétiens-démocrates et leurs alliés bavarois de la CSU sont mesurés à 40% des intentions de vote, un niveau inchangé depuis la mi-juillet. Le SPD, qui stagnait à 22% des intentions de vote depuis quatre semaines, progresse d’un point à 23%. Derrière, les écologistes des Grünen, le parti de la gauche radicale Die Linke et la formation d’Alternative für Deutschland (AfD) sont au coude à coude à 8% chacun des intentions de vote. Les libéraux du FDP cèdent un point à 7%, un score insuffisant dans la perspective d’une éventuelle alliance libérale-conservatrice au Bundestag.

 

Brexit : l’Europe en otage (Martin Schulz)

 Brexit : l’Europe en otage (Martin Schulz)

Pour Martin Schulz,  l’Europe et l’otage du brexit. Le président du Parlement européen estime en effet que le résultat du référendum britannique paralyse l’union économique. En effet compte tenu des ambiguïtés de l’article 50 du traité européen rien ne peut être décidé tant que la Grande-Bretagne n’aura pas demandé officiellement de se séparer de l’union. Une situation qui pourrait durer dans la mesure où l’actuel Premier ministre britannique qui reste en place jusqu’à l’automne a annoncé qu’il ne lui revenait pas de demander ce divorce. Pour lui, la tâche incombe à son successeur lequel ne sera pas désigné avant octobre et qui prendra aussi son temps pour activer ce fameux article 50. Autant dire que les négociations ne débuteront pas avant 2017. Des négociations qui pourraient durer cinq ans compte tenu de la complexité juridique relative notamment aux échanges commerciaux. Le président du Parlement européen dénonce l’irresponsabilité totale des responsables britanniques mais aussi les responsables européens. Lesquels attendront septembre pour un premier examen de la situation. Cerise sur le gâteau le leader pro-Brexit Nigel Farage continue de siéger à Strasbourg et Bruxelles et perçoit bien entendu ses indemnités de parlementaire !  « C’est incroyable. Ils se moquent de nous. Mais tant que le Royaume-Uni n’est pas sorti de l’Union, il reste un État membre à part entière, même chose pour le statut de ses eurodéputés.  Je ne peux rien faire. Il n’y a pas de loi européenne contre l’irresponsabilité politique« . Finalement les deux parties concernées par le brexit ont choisi l’immobilisme attendant sans doute pour se réveiller un coup de grisou sur l’économie. Faute d’avoir anticipé les conséquences d’un référendum dont l’issue a pourtant toujours été incertaine, l’union économique risque de se retrouver immobilisée pour de nombreux mois. « Il n’y a pas de loi européenne contre l’irresponsabilité politique » a déclaré le président du parlement européen. « La seule manière de combattre le populisme et l’extrémisme est de replacer le citoyen au cœur du débat européen », a indiqué le Premier ministre slovaque Robert Fico, qui préside l’Union européenne pour les six prochains mois. Une Union qu’il appelle à « surmonter ses peurs« , d’autant que ce type de référendums risque de se succéder dans les prochains mois.

 

(Avec France info)

Ukraine : « La faute auusi aux désaccords entre les États membres », (Schulz)

Ukraine : « La faute auusi aux désaccords entre les États membres », (Schulz)

 

Confirmation que chaque Etat de l’UE joue en fonction de son propre intérêt dans l’affaire de l’Ukraine. Le candidat socialiste à la présidence de la Commission européenne estime en effet que l’Europe gagnerait en influence si elle parlait d’une même voix dans le dossier ukrainien. Épinglée pour son impuissance dans le règlement de la crise ukrainienne, l’Union européenne pâtit des « désaccords de ses États membres », estime Martin Schulz, le candidat du Parti socialiste européen à la présidence de la Commission européenne le 25 mai prochain. « L’Union européenne et Herman Von Rompuy (l’actuel président du Conseil européen, Ndlr) représentent les 28 États membres. La force de l’Europe dépend de l’unité de ses chefs de gouvernement. Or, on observe une certaine différences entre les pays de l’UE », affirme le social-démocrate allemand, qui souhaite mettre les pays devant « leurs responsabilités », regrettant les positions contradictoires des « Anglais contre le gel des avoirs russes », des « Allemands sur le gaz » et des « Français sur les navires ». À l’inverse, Jean-Claude Juncker ne considère pas que l’Union européenne soit « impuissante ». « Nous avons décidé de réagir. Nous ne souhaitons pas faire la guerre mais nous appliquerons les sanctions qui seront d’un niveau supérieur si Poutine ne change pas d’attitude », a-t-il indiqué.




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