Archive pour le Tag 'sauveur'

Monnaie-L’Euro, bourreau et sauveur

Monnaie-L’Euro, bourreau et sauveur

L’Euro, bourreau et sauveur

L’euro constitue souvent le moyen simpliste de reporter sur la monnaie européenne nombre de maux dont souffre la France notamment la hausse des prix.

On sait cependant que les Français ne se caractérisent pas par une grande connaissance dans le domaine financier. Le groupe Allianz qui avait effectué un sondage sur 19 pays a d’ailleurs démontré que dans ce domaine la France occupait la place peu enviable de dernière en matière de culture financière.

Reste cependant que les Français ne changeraient plus maintenant l’euro contre le franc. Sans doute parce qu’inconsciemment, ils se rendent compte de la solidité de la monnaie européenne qui ne maintient son niveau que grâce à la compétitivité globale de l’Europe et notamment aux exportations allemandes.

Il est clair que dans l’hypothèse d’un retour du franc, on assisterait immédiatement à une dévaluation puisqu’en général on considère que La surévaluation de l’euro en France est d’environ 20 à 25 % par rapport à l’Allemagne.

L’euro d’un certain point de vue et en dépit de l’inflation actuelle maintient un certain niveau de pouvoir d’achat. Reste que c’est quand même un handicap pour les économies aussi peu compétitives que celle de la France. Cela freine les exportations et au contraire d’une certaine manière favorise les importations. Pour preuve, le déséquilibre extraordinaire de la balance commerciale de la France surtout en 2022. Un résultat dû à un manque de productivité globale, un manque de travail général de la population active et un écroulement de l’industrie.

Les Allemands n’ont pas totalement tort de considérer que la France vit au-dessus de ses moyens et surtout à ses crochets. Mais l’Allemagne a également tout fait pour affaiblir le développement industriel en France par exemple en tuant la politique énergique du pays avec une folle libéralisation des prix. Une majorité de Français est pour l’euro alors qu’il y a dix ans, en pleine crise des dettes souveraines, près d’un sur trois souhaitait le retour au franc. Ils jugent les diverses fonctions de la monnaie européenne dans le contexte actuel de crise et d’inflation.

71 % des Français estiment que l’euro est une bonne chose pour la France. Sa popularité est de 69 % dans les autres pays qui l’ont adopté comme monnaie. (iStock)

En France, 71 % de la population estime que l’euro est une bonne chose pour le pays, et 18 % sont d’un avis opposé, selon le dernier sondage de l’Eurobaromètre en octobre. Il y a plus de dix ans, en pleine crise de la zone euro, 30 % des Français voulaient revenir au franc, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol).
L’attachement à une monnaie reflète la confiance dans sa capacité à conserver une valeur stable même dans les crises. Le taux de change global de l’euro est en légère hausse cette année. En 2022, la monnaie européenne a baissé essentiellement contre le dollar (-6,6 %), une chute qui favorise l’inflation en France.

Economie et finances-L’Euro, bourreau et sauveur

Economie et finances-L’Euro, bourreau et sauveur

L’euro constitue souvent le moyen simpliste de reporter sur la monnaie européenne nombre de maux dont souffre la France notamment la hausse des prix.

On sait cependant que les Français ne se caractérisent pas par une grande connaissance dans le domaine financier. Le groupe Allianz qui avait effectué un sondage sur 19 pays a d’ailleurs démontré que dans ce domaine la France occupait la place peu enviable de dernière en matière de culture financière.

Reste cependant que les Français ne changeraient plus maintenant l’euro contre le franc. Sans doute parce qu’inconsciemment, ils se rendent compte de la solidité de la monnaie européenne qui ne maintient son niveau que grâce à la compétitivité globale de l’Europe et notamment aux exportations allemandes.

Il est clair que dans l’hypothèse d’un retour du franc, on assisterait immédiatement à une dévaluation puisqu’en général on considère que La surévaluation de l’euro en France est d’environ 20 à 25 % par rapport à l’Allemagne.

L’euro d’un certain point de vue et en dépit de l’inflation actuelle maintient un certain niveau de pouvoir d’achat. Reste que c’est quand même un handicap pour les économies aussi peu compétitives que celle de la France. Cela freine les exportations et au contraire d’une certaine manière favorise les importations. Pour preuve, le déséquilibre extraordinaire de la balance commerciale de la France surtout en 2022. Un résultat dû à un manque de productivité globale, un manque de travail général de la population active et un écroulement de l’industrie.

Les Allemands n’ont pas totalement tort de considérer que la France vit au-dessus de ses moyens et surtout à ses crochets. Mais l’Allemagne a également tout fait pour affaiblir le développement industriel en France par exemple en tuant la politique énergique du pays avec une folle libéralisation des prix. Une majorité de Français est pour l’euro alors qu’il y a dix ans, en pleine crise des dettes souveraines, près d’un sur trois souhaitait le retour au franc. Ils jugent les diverses fonctions de la monnaie européenne dans le contexte actuel de crise et d’inflation.

71 % des Français estiment que l’euro est une bonne chose pour la France. Sa popularité est de 69 % dans les autres pays qui l’ont adopté comme monnaie. (iStock)

En France, 71 % de la population estime que l’euro est une bonne chose pour le pays, et 18 % sont d’un avis opposé, selon le dernier sondage de l’Eurobaromètre en octobre. Il y a plus de dix ans, en pleine crise de la zone euro, 30 % des Français voulaient revenir au franc, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol).
L’attachement à une monnaie reflète la confiance dans sa capacité à conserver une valeur stable même dans les crises. Le taux de change global de l’euro est en légère hausse cette année. En 2022, la monnaie européenne a baissé essentiellement contre le dollar (-6,6 %), une chute qui favorise l’inflation en France. Entre début 2021 et septembre dernier, l’euro avait plongé de 22 % rapport au dollar.

Economie-L’Euro, bourreau et sauveur

Economie-L’Euro, bourreau et sauveur

L’euro constitue souvent le moyen simpliste de reporter sur la monnaie européenne nombre de maux dont souffre la France notamment la hausse des prix.

On sait cependant que les Français ne se caractérisent pas par une grande connaissance dans le domaine financier. Le groupe Allianz qui avait effectué un sondage sur 19 pays a d’ailleurs démontré que dans ce domaine la France occupait la place peu enviable de dernière en matière de culture financière.

Reste cependant que les Français ne changeraient plus maintenant l’euro contre le franc. Sans doute parce qu’inconsciemment, ils se rendent compte de la solidité de la monnaie européenne qui ne maintient son niveau que grâce à la compétitivité globale de l’Europe et notamment aux exportations allemandes.

Il est clair que dans l’hypothèse d’un retour du franc, on assisterait immédiatement à une dévaluation puisqu’en général on considère que La surévaluation de l’euro en France est d’environ 20 à 25 % par rapport à l’Allemagne.

L’euro d’un certain point de vue et en dépit de l’inflation actuelle maintient un certain niveau de pouvoir d’achat. Reste que c’est quand même un handicap pour les économies aussi peu compétitives que celle de la France. Cela freine les exportations et au contraire d’une certaine manière favorise les importations. Pour preuve, le déséquilibre extraordinaire de la balance commerciale de la France surtout en 2022. Un résultat dû à un manque de productivité globale, un manque de travail général de la population active et un écroulement de l’industrie.

Les Allemands n’ont pas totalement tort de considérer que la France vit au-dessus de ses moyens et surtout à ses crochets. Mais l’Allemagne a également tout fait pour affaiblir le développement industriel en France par exemple en tuant la politique énergique du pays avec une folle libéralisation des prix. Une majorité de Français est pour l’euro alors qu’il y a dix ans, en pleine crise des dettes souveraines, près d’un sur trois souhaitait le retour au franc. Ils jugent les diverses fonctions de la monnaie européenne dans le contexte actuel de crise et d’inflation.

71 % des Français estiment que l’euro est une bonne chose pour la France. Sa popularité est de 69 % dans les autres pays qui l’ont adopté comme monnaie. (iStock)

En France, 71 % de la population estime que l’euro est une bonne chose pour le pays, et 18 % sont d’un avis opposé, selon le dernier sondage de l’Eurobaromètre en octobre. Il y a plus de dix ans, en pleine crise de la zone euro, 30 % des Français voulaient revenir au franc, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol).
L’attachement à une monnaie reflète la confiance dans sa capacité à conserver une valeur stable même dans les crises. Le taux de change global de l’euro est en légère hausse cette année. En 2022, la monnaie européenne a baissé essentiellement contre le dollar (-6,6 %), une chute qui favorise l’inflation en France. Entre début 2021 et septembre dernier, l’euro avait plongé de 22 % rapport au dollar.

L’Euro, bourreau et sauveur

L’Euro, bourreau et sauveur

L’euro constitue souvent le moyen simpliste de reporter sur la monnaie européenne nombre de maux dont souffre la France notamment la hausse des prix.

On sait cependant que les Français ne se caractérisent pas par une grande connaissance dans le domaine financier. Le groupe Allianz qui avait effectué un sondage sur 19 pays a d’ailleurs démontré que dans ce domaine la France occupait la place peu enviable de dernière en matière de culture financière.

Reste cependant que les Français ne changeraient plus maintenant l’euro contre le franc. Sans doute parce qu’inconsciemment, ils se rendent compte de la solidité de la monnaie européenne qui ne maintient son niveau que grâce à la compétitivité globale de l’Europe et notamment aux exportations allemandes.

Il est clair que dans l’hypothèse d’un retour du franc, on assisterait immédiatement à une dévaluation puisqu’en général on considère que La surévaluation de l’euro en France est d’environ 20 à 25 % par rapport à l’Allemagne.

L’euro d’un certain point de vue et en dépit de l’inflation actuelle maintient un certain niveau de pouvoir d’achat. Reste que c’est quand même un handicap pour les économies aussi peu compétitives que celle de la France. Cela freine les exportations et au contraire d’une certaine manière favorise les importations. Pour preuve, le déséquilibre extraordinaire de la balance commerciale de la France surtout en 2022. Un résultat dû à un manque de productivité globale, un manque de travail général de la population active et un écroulement de l’industrie.

Les Allemands n’ont pas totalement tort de considérer que la France vit au-dessus de ses moyens et surtout à ses crochets. Mais l’Allemagne a également tout fait pour affaiblir le développement industriel en France par exemple en tuant la politique énergique du pays avec une folle libéralisation des prix. Une majorité de Français est pour l’euro alors qu’il y a dix ans, en pleine crise des dettes souveraines, près d’un sur trois souhaitait le retour au franc. Ils jugent les diverses fonctions de la monnaie européenne dans le contexte actuel de crise et d’inflation.

71 % des Français estiment que l’euro est une bonne chose pour la France. Sa popularité est de 69 % dans les autres pays qui l’ont adopté comme monnaie. (iStock)

En France, 71 % de la population estime que l’euro est une bonne chose pour le pays, et 18 % sont d’un avis opposé, selon le dernier sondage de l’Eurobaromètre en octobre. Il y a plus de dix ans, en pleine crise de la zone euro, 30 % des Français voulaient revenir au franc, selon un sondage TNS Sofres réalisé pour la Fondation pour l’innovation politique (Fondapol).
L’attachement à une monnaie reflète la confiance dans sa capacité à conserver une valeur stable même dans les crises. Le taux de change global de l’euro est en légère hausse cette année. En 2022, la monnaie européenne a baissé essentiellement contre le dollar (-6,6 %), une chute qui favorise l’inflation en France. Entre début 2021 et septembre dernier, l’euro avait plongé de 22 % rapport au dollar.

Italie et chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

Italie et chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

 

On ne compte plus les chefs d’État qui ont endossé le costume de sauveur de leur pays. C’est notamment le cas en Italie, en Grande-Bretagne ou encore en France. La faute évidemment à une opinion publique un peu crédible qui prend pour argent comptant des promesses politiciennes. Mais la responsabilité surtout à ces  candidat à la posture de dieu grec pendant les campagnes électorales et qui après être élus se montrent à la fois inefficaces et contradictoires. C’est le cas aujourd’hui encore en Italie comme c’était le cas avec Macron, un président rarement aussi détesté sous la Ve République. Le cas aussi avec Boris Johnson.

Plus fondamentalement en cause un système démocratique sur les conditions d’émergence des leaders et responsables politiques et sur leur fonctionnement interne qui les coupe des réalités .

Demain l’Italie va donc se doter encore d’un nouveau sauveur.

Après Renzi le «rottamatore» (le démolisseur), Salvini le «capitano», et «Super Mario» Draghi, l’Italie pourrait, ce dimanche soir, se donner un nouveau sauveur pour redresser la barre. Plusieurs estimations placent Giorgia Meloni, cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia, en tête avec plus de 20% des intentions de vote contre 4% en 2018.

Ces dernières années, l’Italie semble condamnée à la recherche perpétuelle d’une nouvelle figure providentielle. «Il y a toujours un moment où les médias et une partie de l’opinion se disent qu’une personne peut les sauver. Aujourd’hui une partie de l’Italie se dit qu’avec Meloni, c’est possible», analyse ainsi Marc Lazar, président de la School of Government de l’université LUISS à Rome. «Mais une partie de l’Italie investit tellement dans ce ‘sauveur’, que s’il n’est pas à la hauteur, l’opinion se renverse», poursuit-il. Et ce, très rapidement.

Mais le problème vaut pour nombre de pays d’Europe. À quand des responsables plus représentatifs et qui auront la décence de ne rien promettre ?

Chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

Chefs d’État en Europe : sauveur un jour, pestiféré le lendemain !

 

On ne compte plus les chefs d’État qui ont endossé le costume de sauveur de leur pays. C’est notamment le cas en Italie, en Grande-Bretagne ou encore en France. La faute évidemment à une opinion publique un peu crédible qui prend pour argent comptant des promesses politiciennes. Mais la responsabilité surtout à ces  candidat à la posture de dieu grec pendant les campagnes électorales et qui après être élus se montrent à la fois inefficaces et contradictoires. C’est le cas aujourd’hui encore en Italie comme c’était le cas avec Macron, un président rarement aussi détesté sous la Ve République. Le cas aussi avec Boris Johnson.

Plus fondamentalement en cause un système démocratique sur les conditions d’émergence des leaders et responsables politiques et sur leur fonctionnement interne qui les coupe des réalités .

Demain l’Italie va donc se doter encore d’un nouveau sauveur.

Après Renzi le «rottamatore» (le démolisseur), Salvini le «capitano», et «Super Mario» Draghi, l’Italie pourrait, ce dimanche soir, se donner un nouveau sauveur pour redresser la barre. Plusieurs estimations placent Giorgia Meloni, cheffe du parti post-fasciste Fratelli d’Italia, en tête avec plus de 20% des intentions de vote contre 4% en 2018.

Ces dernières années, l’Italie semble condamnée à la recherche perpétuelle d’une nouvelle figure providentielle. «Il y a toujours un moment où les médias et une partie de l’opinion se disent qu’une personne peut les sauver. Aujourd’hui une partie de l’Italie se dit qu’avec Meloni, c’est possible», analyse ainsi Marc Lazar, président de la School of Government de l’université LUISS à Rome. «Mais une partie de l’Italie investit tellement dans ce ‘sauveur’, que s’il n’est pas à la hauteur, l’opinion se renverse», poursuit-il. Et ce, très rapidement.

Mais le problème vaut pour nombre de pays d’Europe. À quand des responsables plus représentatifs et qui auront la décence de ne rien promettre ?

Messi sauveur du football français ?

Messi sauveur du football français ?

 

Peut-être que la venue du joueur exceptionnel, Lionel Messi, peut contribuer à redresser une situation assez catastrophique du football français. En tout cas, l’intérêt cité par ce transfert pourrait réveiller des clubs qui s’enfoncent dans la médiocrité du championnat français.

 

 

Le football français connaît en effet une crise sportive et financière sans doute sans précédent et qui pourrait même provoquer la faillite de certains clubs.

Sur le plan sportif d’abord il faut bien constater que la notoriété des clubs français, PSG excepté financé par les fonds du Qatar, est très faible. Le spectacle qu’offre le plus souvent le championnat français est très en dessous de ceux  des pays voisins. Pour preuve, il n’y a guère que Paris pour rivaliser lors  des coupes  européennes . La plupart des autres clubs français disparaissent des compétitions dès la fin de décembre.

Même les équipes nationales  de football sont également en crise et connaissent de piètres résultats depuis quelques années. L’équipe de France à a été lamentablement éliminée leur de la dernière compétition de l’euro. Les équipes de jeunes ne parviennent pas à concrétiser les espoirs qu’on met en elles. Les féminines ont aussi loupé le coche;  quant à la sélection olympique, elle a abouti à un véritable désastre.

Par ailleurs les finances des différents clubs sont presque tous dans le rouge. En outre la fédération ( et la LFP)  a cru bon de négocier le droit à l’image télévisée du prochain championnat avec Amazon ! Parallèlement on ne sait pas encore qui va payer la facture passée entre Canal et beIN Sports.

 

Il semble bien qu’ il sera nécessaire assez rapidement de mettre un coup de pied dans la fourmilière de la gestion de la fédération (et de La ligue de football professionnel, LFP)  qui semble paralysée par cette avalanche de revers. Sans parler de la folie des clubs qui continuent de payer certains joueurs bien au-delà de leurs capacités financières.

2017-SONDAGE. Hollande battu et Macron pas un vrai sauveur

2017-SONDAGE. Hollande  battu  et  Macron pas un vrai sauveur

C’est le énième sondage qui annonce la non qualification de François Hollande pour le second tour des présidentielles ;  l’actuel président de la république serait largement battu. Pour autant pour le cas où Macron représenterait la gauche les chances de se  qualifier ne seraient cependant pas complètement certaines. En effet Macron ne devancerait Sarkozy que de 2% au premier tour, soit l’épaisseur d’un trait ou plus exactement un écart qui se situe dans la marge d’erreur des sondages. Selon un sondage Odoxa pour BFMTV et Le Parisien, François Hollande n’accéderait au second tour de la présidentielle 2017 dans aucun cas de figure. Emmanuel Macron permettrait en revanche à la gauche de se qualifier. François Hollande serait éliminé dès le 1er tour de la présidentielle de 2017 dans tous les cas de figure, tandis qu’une candidature d’Emmanuel Macron permettrait à la gauche de se qualifier, selon un sondage Odoxa pour BFMTV et Le Parisien publié samedi. Si le premier tour de l’élection avait lieu dimanche prochain, François Hollande (15% des intentions de vote) arriverait derrière Marine Le Pen (31%) et Nicolas Sarkozy (20%) si ce dernier gagne la primaire de la droite. Ils seraient suivis de François Bayrou (13%), Jean-Luc Mélenchon (11%), et Nicolas Dupont-Aignan (5%). Cécile Duflot et Philippe Poutou feraient égalité, 2%, et Nathalie Arthaud serait à 1%. Si Alain Juppé représentait la droite, il recueillerait 34% des votes en bénéficiant du report des voix de Bayrou et devancerait Marine Le Pen (32%), tandis que François Hollande baisserait à 14%. En revanche, dans l’hypothèse où Emmanuel Macron serait candidat, il aurait 21% des voix, derrière Marine Le Pen (30%), mais devant Sarkozy (19%). Au cas où Juppé et Macron sont candidats, Marine Le Pen arrive toujours en tête (31%), devant le maire de Bordeaux (29%) et le ministre de l’Économie (18%). Au second tour, Nicolas Sarkozy (55%) emporterait un duel face à Marine Le Pen (45%). L’écart en faveur de l’ancien président était plus net en janvier 2016 (56%-54%) et surtout en mai 2015 (59%-41%). Emmanuel Macron (61%) serait vainqueur face à Marine Le Pen (39%). Le rapport entre les deux était de 65%-35% en janvier. Alain Juppé recueillerait de son côté 66%, contre 70% en janvier et 67% en mai 2015. En revanche, si François Hollande franchit l’obstacle du premier tour, il serait battu au second tour contre la dirigeante du FN (47% contre 53%). Il l’emportait en janvier avec 54% des intentions de vote contre 46%.

Rédaction (avec AFP) – leJDD.fr




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