Archive pour le Tag 'Sarkozy'

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Conflit Copé-Fillon : Sarkozy largué !

Conflit Copé-Fillon : Sarkozy largué !

Les rivaux de l’UMP ont fait semblant de discuter mardi pour échapper à la menace de Sarkozy ; En fait, ils n’ont pas trouvé d’accord. Le but était d’écarter Sarkozy du combat car ce dernier est aussi dans la bataille pour 2017, ni Copé, ni Fillon n’ont intérêt à voir Fillon revenir dans le jeu même si l’UMP doit y laisser des plumes. Du coup, Sarkozy laisse filer .  Les deux hommes s’étaient déjà retrouvés lundi par deux fois lundi.  Président proclamé de l’UMP, mais contesté, Jean-François Copé propose un nouveau vote mais après les municipales de 2014. François Fillon le veut pour sa part « dans les meilleurs délais ».  Interrogé sur le dépassement de la date butoir fixée par Nicolas Sarkozy pour parvenir à un accord, l’ex-ministre de l’Intérieur et un de ses plus fidèles, Brice Hortefeux a dit sur BFMTV que le « message » de l’ancien chef de l’Etat avait « été entendu » et « son souhait concrétisé », puisque les deux hommes dialoguaient.  Le souhait de Nicolas Sarkozy était la reprise du dialogue » et « ce souhait a été concrétisé. Il y a des signaux très positifs depuis 48H00″, a-t-il souligné.  Excédé par la crise d’un parti qui lui avait permis d’accéder au pouvoir en 2007, Nicolas Sarkozy avait haussé le ton vendredi, leur donnant à chacun jusqu’à mardi pour trouver une solution, faute de quoi il dirait « publiquement » qu’ils sont « disqualifiés » pour diriger le parti.  La reprise de ce dialogue ne semble donc pas avoir pâti de l’officialisation mardi à l’Assemblée du nouveau groupe filloniste, Rassemblement-UMP, qui a été doté d’un temps de parole, alors que les copéistes en avaient fait un point de rupture.  Le R-UMP, qui regroupe 72 fillonistes (contre 123 UMP), devait poser deux questions au gouvernement, contre quatre pour l’UMP, à partir de mercredi.  Il se dissoudra quand Jean-François Copé acceptera un nouveau vote rapide à l’UMP, sous contrôle d’une commission indépendante, ont répété les fillonistes.  Les temps de parole ont été accordés au R-UMP lors de la conférence hebdomadaire des présidents, à laquelle assistait M. Fillon.  L’ex-Premier ministre y a côtoyé les chefs des six autres groupes constitués en juin, dont, pour l’UMP, Christian Jacob, un proche de Jean-François Copé.  Chef de file des députés PS, groupe majoritaire, Bruno Le Roux s’est insurgé: « On se sert du règlement pour régler la rivalité entre deux factions. C’est un dévoiement de nos institutions ». Même indignation chez le Vert François de Rugy.  Les députés R-UMP, qualifié de groupe « dissident » par Jean-François Copé, et ceux de l’UMP n’ont pas changé de place dans l’hémicycle.  Interrogé sur le contenu des discussions entre MM. Fillon et Copé, le porte-parole de l’ex-Premier ministre, Jérôme Chartier, avait affirmé lundi soir que les deux hommes entendaient « mettre tous les sujets sur la table, « sans interdit ».   »Ils ne parlent pas que des élections internes à l’UMP », a dit un copéiste. « Ils parlent de tout, de l’organisation et de l’avenir du parti ».  Mais, les discussions butent principalement sur la date d’un nouveau vote militant pour désigner le président.  Proclamé deux fois président du mouvement, M. Copé a proposé dimanche de revoter, mais en 2014, après les municipales.  Une proposition qu’il veut soumettre aux militants par référendum en janvier. Ils se prononceraient également sur un changement des statuts de leur parti.  François Fillon, qui estime avoir été spolié de la victoire le 18 novembre, veut au contraire un vote très rapide.  Selon M. Copé, le président de l’UMP en place en 2016 doit s’engager à ne pas concourir à la primaire qui désignera le candidat du parti à la présidentielle. Si c’était le cas, il devrait se retirer de la direction du parti.  Emmenés par Bruno Le Maire et Nathalie Kosciusko-Morizet, les « non-alignés » de l’UMP ont précisé mardi leurs desiderata: une élection pour la présidence du parti au printemps 2013, avec congrès préalable pour fixer les règles du jeu.

 

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Sarkozy : Fillon et Copé disqualifiés

Selon ces sources, l’ancien chef de l’Etat a eu dans la journée une longue conversation téléphonique avec son ancien Premier ministre François Fillon, après avoir déjeuné la veille avec Jean-François Copé, président proclamé mais constesté de l’UMP.  Pour Nicolas Sarkozy, ont rapporté plusieurs sources UMP à l’AFP, la situation a « assez duré » et chacun des deux rivaux « doit faire un pas vers l’autre ».  Nicolas Sarkozy a demandé fermement aux deux rivaux de trouver une solution « avant mardi ». Sinon, a-t-il prévenu, selon les mêmes sources, « je dirai que vous êtes tous les deux disqualifiés pour diriger un grand parti ».  Une de ces sources a insisté sur le fait que l’ancien chef de l’Etat avait mis un « coup de pression » sur les belligérants, sans évoquer de date limite.  En milieu de semaine, son entourage avait fait savoir qu’il était « excédé » par la lutte fratricide que se livrent MM. Copé et Fillon pour la présidence de l’UMP, passage obligé sur la route de leur ambition présidentielle.  Comme tous les anciens présidents, M. Sarkozy, en retrait de la vie politique depuis sa défaite à la présidentielle de mai, est membre de droit du Conseil Constitutionnel mais tenu à un devoir de réserve.  S’engager ouvertement dans la bataille de l’UMP serait considéré comme un manquement à l’indépendance du Conseil. En allusion à ses multiples interventions en coulisses, la sénatrice socialiste Laurence Rossignol lui a demandé mardi de démissionner du Conseil constitutionnel.  Depuis l’élection contestée le 18 novembre de Jean-François Copé, secrétaire général sortant, à la présidence de l’UMP, les militants en sont réduits à compter les coups, entre ultimatums et rebondissements, pendant que le reste de l’échiquier politique, de gauche comme de l’extrême droite ou du centre, se frotte les mains.  Selon un sondage BVA pour i-télé diffusé vendredi, 81% des sympathisants UMP considèrent désormais que le parti doit organiser une nouvelle élection pour désigner son président.   »Le fond du problème, c’est que lorsqu’on devient président de l’UMP, on peut devenir président de la République. Voilà ce qui leur fait perdre la tête », a déclaré un ancien ministre UMP à l’AFP.  Dans cette bataille, deux ambitions se révèlent, mais celle de Jean-François Copé, « une évidence », surprend moins que celle de François Fillon, « qui a longtemps avancé masqué », analyse Philippe Braud, professeur à Sciences-Po.  Taxé de « mou » par ses détracteurs, l’ancien Premier ministre a montré cette semaine qu’il était déterminé au point de faire scission à l’Assemblée nationale, avec la création d’un nouveau groupe parlementaire, le Rassemblement-UMP (R-UMP). Une aventure dans laquelle 72 des 198 députés UMP l’ont suivi.  

 

Florange : « le cauchemar de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement »

Florange : « le cauchemar  de Sarkozy et maintenant celui de ce gouvernement t»

 

« Nous avons été le cauchemar de Sarkozy, on pourrait être celui de ce gouvernement », a  annoncé la CFDT.  Nous avons le sentiment d’avoir été une nouvelle fois trahis, a déclaré vendredi à Florange le porte-parole de la CFDT Edouard Martin, quelques minutes après la déclaration du premier Ministre Jean-Marc Ayrault. « Nous n’avons aucune confiance en Mittal », a-t-il ajouté. « Les rénovations et investissements, c’est maintenant que nous les voulons, pas dans cinq ans ». Edouard Martin a exigé la tenue d’ »une réunion tripartite gouvernement-syndicats-direction ». « Nous exigeons aussi que lorsque Ayrault dit +pas de plan social+, donc pas de licenciements secs, de savoir si c’est pour Arcelor ou pour l’ensemble des salariés qui travaillent sur le site », donc aussi les sous-traitants et les interimaires, a ajouté M. Martin. « 

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

Crise UMP : Sarkozy laisse tomber

 

« Il n’est pas prévu de communiqué de Nicolas Sarkozy ce matin » assure mercredi l’entourage de l’ancien président, démentant une information diffusée plus tôt dans la matinée par I-Télé. Alors que Jean-François Copé, le président déclaré de l’UMP a posé un ultimatum à François Fillon pour retirer son groupe parlementaire, la plus grande confusion règne au sein du parti d’opposition. Nicolas Sarkozy semble chercher la bonne distance avec les protagonistes de cette crise.  Arbitre en début de semaine, Nicolas Sarkozy a poussé l’idée d’un référendum sur un nouveau vote. Une sortie de crise acceptée dans un premier temps par les deux camps, avant d’échouer mercredi. Jean-François Copé estime en effet que les « conditions » pour l’organisation d’un référendum n’étaient pas réunies. Raison de ce revirement: la publication au JO de la déclaration du groupe parlementaire dissident « Rassemblement-UMP » de François Fillon. Il faudrait qu’il soit tout le temps derrière Copé et Fillon, ce n’est pas possible  Une fin de non recevoir qui provoque la colère des « non alignés ». »On n’a pas le droit de faire un bras d’honneur à Sarkozy ni aux militants », a réagi l’ancien ministre Xavier Bertrand en réunion de groupe UMP, et en présence de Jean-François Copé.  Dans les bureaux de l’ancien président, c’est la tristesse et le désarroi qui dominent ce matin. Son entourage est consterné. « Nicolas Sarkozy suit les évolutions de la crise, bien sûr, mais cela devient totalement irrationnel », confie un proche.   Au dire de ses collaborateurs, Nicolas Sarkozy a aujourd’hui fait le choix d’une « nouvelle vie ». Et à aucun moment, insistent-ils, il ne s’inscrirait dans la perspective de 2017. « Il faudrait qu’il soit tout le temps derrière Copé et Fillon, ce n’est pas possible ».  « Quoi qu’il arrive, pour gagner une élection, il faut avoir une famille en ordre de marche. Si on casse l’instrument pour arriver au pouvoir, la victoire est compromise », analyse un ancien conseiller du président. 

 

Bettencourt: Sarkozy auditionné pendant 12 heures

Bettencourt: Sarkozy auditionné pendant 12 heures

 

L’ex-chef de l’Etat a été soumis à plus de douze heures d’audition par des magistrats de Bordeaux. S’ils lui ont évité l’humiliation d’une mise en examen, ils l’ont tout de même été placé sous le statut de témoin assisté.  Les juges, Jean-Michel Gentil et ses deux collègues, Cécile Ramonatxo et Valérie Noël, veulent comprendre, notamment, si la campagne de 2007 de l’ex-président a bénéficié dans des proportions illicites de l’argent de l’héritière de l’Oréal Liliane Bettencourt.  M. Sarkozy, deuxième ancien président de la Vème République après Jacques Chirac — condamné pour sa part en décembre 2011 à deux ans de prison avec sursis dans des affaires d’emplois fictifs — à devoir se rendre à une telle audition, avait été convoqué en vue d’une mise en examen, selon des sources concordantes.  Aucune information n’a filtré tout au long de la journée du palais de justice de Bordeaux, entouré depuis l’aube par des dizaines de journalistes — dont certains en faction depuis trois semaines — et comparé à un véritable « bunker » par un commentateur de la télévision.   Les juges voulaient savoir si M. Sarkozy a pu toucher de l’argent directement, la remise d’enveloppes de billets à des hommes politiques ayant été, à en croire certains membres du personnel, une habitude bien ancrée chez les Bettencourt, du vivant de l’ancien ministre André Bettencourt, décédé en novembre 2007.  Ils souhaitent aussi déterminer si ses activités politiques ont pu être aidées par une partie des quatre millions d’euros en liquide que l’ancien homme de confiance des Bettencourt Patrice de Maistre a fait revenir depuis un compte suisse des milliardaires, de 2007 à 2009. MM. de Maistre et Eric Woerth, l’ancien ministre et ex-trésorier de campagne de M. Sarkozy en 2007, ont déjà été mis en examen dans cette affaire.  Les juges aimeraient aussi savoir pourquoi M. Sarkozy a paru surveiller de si près l’évolution du dossier Bettencourt, semblant notamment recevoir à huit reprises, de 2008 à 2010, l’ex-procureur de Nanterre Philippe Courroye, initialement en charge de cette affaire.

Bettencourt : Sarkozy entendu par la justice

Bettencourt : Sarkozy entendu par la justice

 

Nicolas Sarkozy sera entendu jeudi à Bordeaux dans l’enquête sur la fortune de l’héritière de L’Oréal Liliane Bettencourt et un éventuel financement illégal de sa campagne présidentielle de 2007, selon le site du quotidien Le Figaro. Des retraits en espèces sur la fortune de l’héritière visant à financer frauduleusement la campagne de l’ancien président en 2007 sont soupçonnés dans ce dossier conduit par trois juges d’instruction. Le président sortant parle de « ragots » et rejette les accusations. Le juge Jean-Michel Gentil a déjà poussé l’enquête dans sa direction, saisissant ses comptes de campagne 2007, des agendas des Bettencourt montrant une possible visite de l’actuel président pendant la période de la campagne 2007, ainsi qu’un journal intime du photographe François-Marie Banier prêtant ces mots à Liliane Bettencourt en 2007 : « De Maistre m’a dit que Sarkozy avait encore demandé de l’argent »

 

Sarkozy a couvert le dopage d’Armstrong ?

Sarkozy a couvert le dopage d’Armstrong ?

Nicolas Sarkozy a-t-il participé à l’omerta autour des pratiques dopantes de Lance Armstrong ? Oui, selon Pierre Bordy, l’ancien président de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), qui pense que l’ancien président l’a poussé au départ. « Armstrong me l’a raconté lui-même. Il s’est vanté devant moi d’avoir réclamé ma tête au président », raconte l’homme dans Le Nouvel observateur paru jeudi. « J’ai demandé un démenti à l’Élysée, même privé, je n’ai eu aucune réponse. J’étais consterné », poursuit-il. L’ancien président de la République, grand fan de cyclisme et du champion américain, avait reçu ce dernier à déjeuner à l’Elysée en octobre 2009. « Même Astérix prenait de la potion magique », aurait balayé Nicolas Sarkozy à propos du dopage. Moins d’un an après cette rencontre, Pierre Bordy démissionnait de l’AFLD. Une nouvelle que Lance Armstrong, rappelle Le Lab, avait sobrement commentée sur Twitter

Fillon, le plan de PSA reporté par Sarkozy : oui ou non ?

Fillon, le plan de PSA reporté par Sarkozy : oui ou  non ?

 Jeudi soir, lors de l’émission Des Paroles et des Actes, François Fillon a reconnu l’action de Nicolas Sarkozy auprès du patron de PSA Peugeot Citroën pour repousser son plan social après la présidentielle. « J’ai participé à de très nombreuses réunions, et je n’ai pas le même souvenir », a réagi vendredi matin, sur RTL, Xavier Bertrand, alors ministre du Travail, quelques minutes après avoir annoncé son soutien à… François Fillon. Au gouvernement, on se régale de cette déclaration de l’ancien Premier ministre, qui a tenté de rétropédaler. La porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a dénoncé sur France 2 « le cynisme absolu » de l’ancien chef de l’Etat qui a contribué à « creuser les difficultés de l’entreprise parce que par définition, plus vous mettez de temps à faire les ajustements nécessaires (…), plus cette crise s’approfondit ». Alors que Jean-Marc Ayrault est chaque jour un peu plus contesté que la veille, la ministre du Droit des femmes a profité de l’occasion pour établir un parallèle entre l’actuel gouvernement socialiste et son prédécesseur mené par François Fillon. « Le premier était dans le cynisme absolu, la recherche de l’intérêt électoraliste pur et à court terme, le second est dans la recherche permanente de solutions », a jugé Najat Vallaud-Belkacem. S’il a fait un sans faute dans son duel avec Jean-François Copé, c’est peut-être dans la course du meilleur sarkosyste que François Fillon a perdu des points, jeudi soir, bien qu’il ait tenté vaille que vaille de justifier la décision de Nicolas Sarkozy : « Il aurait été un peu étrange que juste à la veille de l’élection présidentielle, le président de la République française, qui avait tout fait pour empêcher les licenciements dans l’industrie automobile dise à Varin ‘Mais allez-y, je vous en prie, c’est vraiment le moment de le faire’ ».

 

Les barons de l’UMP contre le retour de Sarkozy, selon Mitterrand

Les barons de l’UMP contre le retour de Sarkozy, selon Mitterrand

Frédéric Mitterrand, ancien ministre de la Culture de Nicolas Sarkozy, estime que les « barons de l’UMP » qui « encensent » l’ancien chef de l’Etat « se battront pour qu’il ne revienne pas », dans une interview publiée dans Le Journal du Dimanche.   »La politique est une drogue dure. Comment voulez-vous qu’à 57 ans, quelqu’un comme lui décide de s’en passer? Il est dans la situation d’un joueur de poker qui a perdu une manche. Il gagnera la suivante », prédit Frédéric Mitterrand.   »A mon avis, Sarkozy a beaucoup de militants de base qui seront prêts à le soutenir et à former les cohortes de grognards dont il aura besoin le moment venu, mais les petits chefs feront barrage », juge-t-il. « Tous ces barons de l’UMP qui aujourd’hui l’encensent de micro en micro, se battront pour qu’il ne revienne pas. À leur décharge, dans le passé, certains se sont sentis beaucoup humiliés ».  Quant à François Fillon « c’est son Pompidou. Donc son principal danger (…) Fillon, c’est la droite sans les problèmes de la droite. C’est la droite civilisée. Il a été loyal avec Sarkozy. Mais il est incroyablement secret, mystérieux, complexe. Son problème, c’est de savoir s’il a l’envie forcenée d’être président de la République ».  A gauche, selon Frédéric Mitterrand, « ce n’est pas tant Hollande » que Nicolas Sarkozy « surveille, mais ses trois ministres, Valls, Peillon et Cahuzac, qui ne s’en sortent pas si mal ».  Interrogé sur l’état d’esprit de Carla Sarkozy, l’ancien ministre reconnaît que « Carla n’a pas été très heureuse à l’Élysée et que sur la fin ils étaient tous les deux fatigués ». Mais, ajoute-t-il, « ceux qui pensent que Carla le dissuadera de revenir se trompent lourdement. C’est une battante. Une combattante. Elle ne s’est jamais laissé faire dans sa vie. Elle ne le freinera pas. Au contraire ! ».

 

 

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