Archive pour le Tag 'Sarkozy'

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Encore une enquête pour Sarkozy

Encore une enquête pour  Sarkozy

Encore une enquête , une de plus,  pour Sarkozy qui aura bien du mal à se sortir du bourbier judicaire dans lequel il s’enfonce chaque jour un peu plus. Des enquêtes sans doute justifiées par son rapport approximatif à la loi mais auusi sans doute largement encouragées par se concurrents tant de la gauche que de la droite. Le procureur de Paris a « ouvert en toute discrétion, début juillet, une nouvelle enquête préliminaire visant Nicolas Sarkozy » sur des soupçons de financement illégal de la campagne 2007, annonce Aujourd’hui en France/Le Parisien dans son édition de mardi.  Nouveau souci en vue pour Nicolas Sarkozy. Le procureur de Paris a ouvert, début juillet, une nouvelle enquête préliminaire visant Nicolas Sarkozy sur des soupçons de financement illégal de la campagne 2007, selon Le Parisien.  »Les investigations visent un système de fausses factures présumé qui, comme dans l’affaire Bygmalion auraient permis d’imputer frauduleusement des dépenses de campagne du candidat sur les comptes de son parti », précise le journal. Comme dans l’affaire Bygmalion, « une société impliquée dans la campagne 2007 auraient facturé diverses prestations à l’UMP, alors qu’elles avaient été assurées pour le compte du candidat Sarkozy » poursuit le quotidien. Déjà mis en examen pour « trafic d’influence, corruption active et recel de violation du secret de l’instruction » dans l’affaire des « écoutes téléphoniques, l’ancien président est au centre de plusieurs dossiers judiciaires susceptibles de contrarier son éventuel retour en politique.

« Les jeunes avec Nicolas Sarkozy » !

« Les jeunes avec Nicolas Sarkozy » !

 

Décidemment, on manque d’imagination dans la classe politique. Tout ce qu’a trouvé Sarko pour son retour, c’est d’intituler son association de soutien’ «  les jeunes avec Sarkozy ». Pourquoi « les jeunes » ? Peut-être d’abord pour torpiller la candidature de Juppé qui monte actuellement dans l’opinion. Aussi sans doute pour dépoussiérer le public habituel des meetings UMP, plus proches de la maison de retraite que de  l’entrée à la Fac. Mais il  existe d’autres associations comme les  »amis de Sarkozy », on peut donc espérer que demain fleuriront des associations au titre tout auusi indigent «  comme les femmes avec Sarko », « les vieux avec Sarko », « les cyclistes avec Sarko » ou encore les  « pécheurs à la ligne avec Sarko ».  Nicolas Sarkozy poursuit la préparation de son retour politique. Selon L’Express, l’ancien chef de l’État aurait donné son feu vert à la formation d’une association de soutien. Nommée « Les Jeunes avec Nicolas Sarkozy », cette organisation serait dirigée par Nora Berra et parrainée par Brice Hortefeux. Nora Berra, ancienne secrétaire d’État à la Santé, est déjà la vice-présidente des « Amis de Nicolas Sarkozy » aurait, selon l’hebdomadaire, déposé les statuts de l’association a priori présidée par Antoine Guérin, un jeune UMP lyonnais. L’Express annonce que la cotisation sera fixée à 5 euros. La page Facebook et le logo des « Jeunes avec Nicolas Sarkozy » seraient également prêts.

 

Sarkozy: critiqué par la justice

Sarkozy:  critiqué  par la justice

 

La justice à travers le doyen de la cour de cassation, la plus haute institution judicaire, a critiqué les propos de Sarkozy sur la justice. Normal la justice a bien du mal à prouver son indépendance même si en l’occurrence Sarkozy s’est englué lui-même dans des affaires invraisemblables ; Pour le président doyen de la Cour de cassation, les propos de Nicolas Sarkozy et de ses soutiens dans « l’affaire des écoutes » sont « inacceptables ». S’il n’a jamais nommé directement Nicolas Sarkozy, le discours de Franck Terrier visait très clairement l’ancien chef d’État et ses plus proches soutiens. En ouverture de son propos ce mercredi 16 juillet, le président doyen de la Cour de cassation s’est adressé au président de la République, François Hollande, présent dans l’enceinte de la plus haute juridiction judiciaire française à l’occasion de l’installation du nouveau premier président de la Cour, Bertrand Louvel. « Votre présence est d’autant plus un encouragement que l’institution judiciaire vient d’être une nouvelle fois mise en cause dans des conditions partisanes et par des discours inacceptables », a déclaré le magistrat, président de la troisième chambre civile. « On a prétendu jouer ce vieux tour qui consiste à répudier son juge au seul motif qu’il serait suspect dans ses convictions », a-t-il ajouté.  »Au mépris des garanties constitutionnelles, certains responsables politiques n’ont pas hésité à réclamer la suppression des droits syndicaux de la magistrature, pour que celle-ci soit en définitive réduite au silence et recluse hors de la citoyenneté », a fustigé Franck Terrier. Nicolas Sarkozy a été mis en examen le 2 juillet, au terme de sa garde à vue. Les juges d’instruction cherchent à établir si l’ancien chef de l’Etat (2007-2012) a essayé d’obtenir des informations couvertes par le secret auprès d’un haut magistrat de la Cour de cassation sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d’une intervention pour un poste de prestige à Monaco. La Cour de cassation devait alors se prononcer sur la saisie dans l’affaire Bettencourt des agendas de Nicolas Sarkozy, susceptibles d’intéresser les juges enquêtant sur d’autres dossiers, notamment l’affaire de l’arbitrage Tapie. Dans le dossier Bettencourt, Nicolas Sarkozy avait été mis en examen avant de bénéficier d’un non-lieu. L’ancien chef de l’Etat a mis en cause publiquement, lors d’un entretien télévisé, l’une des deux juges d’instruction qui l’avaient mis en examen le 2 juillet, Claire Thépaut.  »Est-il normal (…) qu’on choisisse, pour instruire une affaire où mon nom est cité (…) un magistrat qui appartient au Syndicat de la magistrature (SM) », classé à gauche, a-t-il demandé. Il a dénoncé ce qui apparaissait pour lui comme « une volonté de (l’)humilier en (le) convoquant sous le statut de la garde à vue ». Ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino avait réclamé, le même jour, la suppression de la liberté syndicale dans la magistrature. François Hollande ne s’est pas exprimé lors de l’installation de Bertrand Louvel.

 

Affaire Azibert : Sarkozy pris au piège de ses téléphones

Affaire Azibert : Sarkozy pris au piège de ses téléphones  

 

Sur le téléphone utilisé sous un faux nom, Sarkozy avait bien promis au juge Azibert de l’aider pour sa nomination à Monaco mais se rendant sans doute compte de sa bévue, Sarkozy sur son téléphone officiel cette fois (qu’il savait  écouté) a indiqué qu’i avait renoncé à ce coup de piston. Qu’est-ce qui a conduit les juges à mettre Nicolas Sarkozy en examen pour corruption? Le Monde qui a eu accès aux écoutes téléphoniques, perquisitions, nourrissant la procédure à l’encontre de Nicolas Sarkozy donne une partie de la réponse. Selon ces extraits d’écoutes, l’ex-chef de l’Etat et son avocat Thierry Herzog évoquent plusieurs fois le désir de Gilbert Azibert, alors en poste à la Cour de cassation, d’être nommé dans la Principauté. Or, Gilbert Azibert a lui aussi été mis en examen, soupçonné d’avoir obtenu des informations couvertes par le secret et renseigné le camp Sarkozy dans l’affaire Bettencourt. « Je l’aiderai », dit Nicolas Sarkozy à Me Herzog le 5 février, sur un téléphone acheté sous un faux nom. « Moi, je le fais monter. » Et l’ancien président d’ajouter: « appelle-le aujourd’hui en disant que je m’en occuperai parce que moi je vais à Monaco et je verrai le prince ». Le 24 février, dans une nouvelle conversation, Nicolas Sarkozy annonce à son avocat que son intervention est imminente: « tu peux lui dire que je vais faire la démarche auprès du ministre d’Etat demain ou après-demain ». Le lendemain, les choses se précisent encore: « je voulais te dire, pour que tu puisses le dire à Gilbert Azibert, que j’ai rendez-vous à midi avec Michel Roger, le ministre d’Etat de Monaco (…) Je t’appellerai pour te dire ce qu’il en est ». Mais finalement, Nicolas Sarkozy rappelle son avocat le 26 février, cette fois sur son téléphone « officiel », celui dont les enquêteurs pensent qu’il savait qu’il était sur écoute. L’ancien président affirme alors qu’il a renoncé: « j’ai trouvé que ça ferait un peu ridicule donc j’ai préféré ne pas en parler », dit-il notamment. Quelques minutes plus tard, Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog vont avoir une conversation similaire, mais sur leur portable secret, selon Le Monde. D’après le quotidien, les enquêteurs « pensent avoir établi » que Nicolas Sarkozy et Thierry Herzog ont appris le 25 février que la ligne secrète était aussi sur écoute et qu’ »ils auraient donc adapté leur discours » et « éventuellement, leurs actes ». L’information judiciaire pour trafic d’influence et violation du secret de l’instruction, élargie ensuite à des faits de corruption, avait été ouverte le 26 février. Toujours selon Le Monde, le ministre d’Etat de Monaco, Michel Roger, a confirmé aux enquêteurs que Nicolas Sarkozy l’avait appelé au téléphone le 25 février mais qu’il n’avait pas évoqué Gilbert Azibert. Le délit de corruption peut être constitué par une simple promesse en faveur d’une personne dépositaire de l’autorité publique pour la pousser à agir en vue d’obtenir un avantage.

 

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Le mois dernier, l’ex-président avait la préférence de 31% des sondés, mais était talonné par le maire de Bordeaux (29%),.Nicolas Sarkozy conforte son avance sur Alain Juppé en dépit de sa mise en examen, 38% des participants à une primaire UMP le choisissant, contre 32% pour Alain Juppé, selon un sondage LH2- »Le Nouvel Observateur » diffusé vendredi.. L’ex-Premier ministre François Fillon, à l’inverse, perd du terrain (8%, -2 points), à égalité avec Bruno Le Maire (8%, stable). Tous les autres candidats, de Laurent Wauquiez à Xavier Bertrand, ne font guère plus que de la figuration. Si la cote d’influence de Nicolas Sarkozy mesurée par le même sondage auprès des sympathisants de l’UMP est en baisse de cinq points, elle reste très élevée à 74%. En revanche, il perd des points au centre-droit, seulement 31% (-9 points) des sympathisants de l’UDI et 23% (-9 points) de ceux du MoDem souhaitant une influence accrue de l’ancien président.   »Le retour médiatique de Nicolas Sarkozy a intensifié la compétition pour le leadership de l’UMP et seules les personnalités politiques de premier plan semblent y résister », commente Thomas Genty, pour l’institut LH2. « Alors que l’ancien président se taille la part du lion du choix des sympathisants de l’UMP et qu’Alain Juppé résiste difficilement, les autres candidats semblent nettement distancés. » Nicolas Sarkozy a été mis en examen début juillet pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel à l’issue d’une garde à vue sans précédent pour un pré

 

Sarkozy : nouvelle affaire

Sarkozy : nouvelle affaire

 

La justice ne lâche plus Sarkozy puisqu’une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris sur le paiement par l’UMP des pénalités infligées à Nicolas Sarkozy après l’invalidation des comptes de sa campagne présidentielle de 2012, a-t-on appris lundi de source judiciaire. Cette enquête ouverte le 2 juillet vise un éventuel abus de confiance au préjudice du parti d’opposition, a-t-on précisé de même source. En juillet 2013, le Conseil constitutionnel avait estimé que l’ancien chef de l’Etat devait restituer au Trésor public l’avance forfaitaire de 150.000 euros versée pour sa campagne et payer 363.615 euros pour le dépassement du plafond légal des dépenses. L’UMP est déjà en proie à l’affaire Bygmalion, un système présumé de fausses factures mis en place en 2012 et l’équipe de campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy pour couvrir des dépassements de frais. Le scandale a entraîné la démission du président du parti, Jean-François Copé, et de certains de ses plus proches collaborateurs. Une information judiciaire a été ouverte fin juin pour les chefs de faux et usage de faux, abus de confiance, tentative d’escroquerie, complicité et recel de ces délits.

 

« Abattre Sarkozy : une obsession d’État »(Guéant)

« Abattre Nicolas Sarkozy : une obsession d’État »(Guéant)

 

 » Je dénonce l’instrumentalisation de la justice. Abattre Nicolas Sarkozy et ses proches est devenu une obsession d’État », lance Guéant  à l’adresse du pouvoir socialiste. « Je constate que tout est programmé et médiatiquement maîtrisé », poursuit Guéant. « Et c’est toujours à un moment où cela arrange le pouvoir en place que des documents ou pseudo-révélations apparaissent ». « En décembre, alors que j’étais entendu, l’officier de police judiciaire en charge du dossier a reçu un appel téléphonique du ministère de l’Intérieur pour connaître mes déclarations. Cela ressemblait fort à un appel de ‘cabinet noir’ », accuse l’ancien ministre.  Interrogé sur sa réaction après la garde à vue de Nicolas Sarkozy, Guéant estime que « par respect pour la fonction présidentielle, il eût été préférable d’entendre Nicolas Sarkozy sous un autre régime ». « Ensuite », ajoute-t-il, « la mise en examen ne signifie en rien une culpabilité. Enfin, il est souhaitable que la justice traite cette affaire dans les meilleurs délais : l’avenir de la France ne peut pas se jouer sur une décision de mise en examen ». Au sujet d’un éventuel retour de Sarkozy à la tête de l’UMP, Guéant « trouve qu’il eût mieux valu qu’il ne revienne pas aussi tôt dans la vie politique de tous les jours ». Avant d’ajouter sans beaucoup de suspense que « l’UMP ne peut continuer ainsi, avec des chefs qui donnent le sentiment aux Français de négliger leurs préoccupations, en ne s’intéressant qu’à leur propre destin. Il faut un ‘patron’ qui fasse l’unité ». Concernant ses propres ennuis judiciaires, « dans ma famille politique, les témoignages de soutien privés ont été nombreux », dit l’ex-ministre, « moins les témoignages de soutien publics ». Guéant a été placé en garde à vue fin 2013 dans l’affaire des primes en liquide quand il dirigeait le cabinet de Sarkozy place Beauvau et en mai 2014 dans l’affaire de l’arbitrage Tapie/Crédit Lyonnais.

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

 

Nicolas Sarkozy est toujours le champion à l’UMP, dont 78% des sympathisants souhaitent qu’il soit candidat en 2017, mais est rejeté par l’ensemble des Français, 59% ne voulant pas qu’il se présente, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. A la question « souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à l’élection présidentielle » de 2017?, 78% des sympathisants répondent oui, contre 22% non. La proportion est inverse avec l’ensemble des Français : 41% veulent sa candidature, 59% non. Les sympathisants UMP sont favorables à 52% à une candidature du maire de Bordeaux, Alain Juppé, 47% n’y étant pas favorable (1% ne se prononcent pas). 45% des Français souhaitent sa candidature, 54% n’y sont pas favorables (1% ne se prononcent pas). François Fillon obtient les mêmes résultats que Juppé auprès de l’ensemble des Français. 52% des sympathisants UMP ne veulent pas sa candidature (47% oui, 1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP souhaitent à 68% que Sarkozy, mis en examen notamment pour corruption active, soit candidat à la présidence de l’UMP en novembre, 32% ne le veulent pas. 39% des Français le désirent, 60% non (1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP verraient pour 64% d’entre eux d’un bon œil une candidature d’Alain Juppé et pour 58% celle de Fillon. A la question « qui incarne aujourd’hui le mieux le renouveau de l’UMP? », 23% des sympathisants UMP répondent François Baroin (18% des Français), devant Nathalie Kosciusko-Morizet (15% à l’UMP, 17% de l’ensemble des Français), Bruno Le Maire (14%, 16%), Xavier Bertrand (12% à l’UMP, 14% de l’ensemble), Laurent Wauquiez (9%, 8%), Valérie Pécresse (8%, 10%) et Hervé Mariton (2%, 2%).  16% des sympathisants UMP ne répondent « aucune de ces personnalités », comme 9% des Français.  4% ne se prononcent pas à l’UMP, (3% de l’ensemble). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 4 et 5 juillet auprès d’un échantillon représentatif de 968 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

2017: Sarkozy – Juppé : ça chauffe déjà !

Sarkozy – Juppé : ça chauffe !

 

C’est pari pour les primaires à l’UMP et ça chauffe déjà,. Sarko, avec sa délicatesse habituelle,  a fait observer le grand âge de Juppé tandis que  Juppé , plus habile,  a estimé que Sarkozy ne devait pas s’attaquer à l’institution judicaire. C’est la confirmation que les ennuis de Sarko ne font pas que des heureux à gauche mais qu’il se défend à sa manière : en attaquant. La tension monte entre l’ancien président et l’ancien premier ministre, deux candidats potentiels pour représenter l’UMP en 2017. Alain Juppé n’écarte plus l’idée de se présenter être le candidat la droite en 2017. Nicolas Sarkozy n’a presque pas caché son intention de revenir lors de son interview télévisée mercredi 2 juillet. Résultat, entre les deux hommes, l’entente cordiale fait place aux petites piques. La dernière attaque en date est rapportée par Les Echosce vendredi. « Qu’il se présente, il me rajeunit », affirme Nicolas Sarkozy en privé, selon le quotidien, à propos de son aîné de 10 ans. Et d’ajouter : « Moi je n’ai jamais été condamné ! Et au fait, c’est quoi le bilan réformateur d’Alain Juppé ? Il est nul. » Allusion à la condamnation d’Alain Juppé en 2004, dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris (où en faiat Juppé a payé pour Chirac). Réagissant à la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Alain Juppé avait pour sa part estimé jeudi que « vilipender » l’institution judiciaire n’était pas  »une bonne méthode. »

 

Sondage 2017 : 65% contre Sarkozy

Sondage 2017 : 65% contre Sarkozy

 

 

65% des Français ne sont pas favorables à la candidature de Nicolas Sarkozy pour la Présidentielle de 2017 (Selon un sondage BVA pour ITélé et Le Parisien Aujourd’hui en France,). Pourtant, ils sont 70% à penser qu’il se présentera malgré tout. Si 94% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas que l’ancien président soit candidat à un nouveau quinquennat, 62% des sympathisants de droite y sont favorables, une proportion qui atteint 78% parmi les sympathisants de l’UMP. Quant à savoir s’ils pensent qu’ »avec les affaires en cours, l’UMP peut tout de même présenter Nicolas Sarkozy » comme candidat à la présidentielle, 57% des Français ont répondu négativement.  Les avis sont radicalement opposés entre les sympathisants de gauche, dont 78% pensent que cela n’est pas possible, et les sympathisants de droite, parmi lesquels 63% jugent que c’est possible. Le sondage a été réalisé après la mise en examen de l’ancien chef de l’État, notamment pour corruption active.  Dans un entretien au Figaro de samedi, Guillaume Peltier, co-fondateur du courant sarkosyste La Droite forte, premier courant de l’UMP, estime que « le retour de Sarkozy est indispensable mais ne sera pas suffisant ».  « Il nous faudra être beaucoup plus courageux qu’en 2007 et 2012″, explique celui qui accueille samedi à la Ferté-Imbault (Loir-et-Cher) le deuxième rassemblement de son courant.

 

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

 

 

C’est le verdict des Français, un avis finalement assez équilibré, les Français ont été peu convaincus par l’honnêteté de Sarkozy mais ont reconnu son dynamisme. Finalement c’est toujours la même problématique qui se pose depuis des années faut-il  choisir un homme plutôt intègre  mais mollasson (type Hollande) ou un dynamique (type .Sarko ou DSK) pas trop honnête.  Pas de réponse vraiment claire des Français car seulement  un Français sur deux (52%) n’a pas été convaincu par les explications de Nicolas Sarkozy sur sa mise en examen lors de son interview télévisée, selon un sondage Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale publié jeudi. On objectera qu’au-delà des discours et des tempéraments les politiques n’ont finalemenet pas été très éloignées entre Sarko et Hollande (l’un n’a pas fait une politique de droite et l’autre pas une vraie politique de gauche). D’où sans doute le désarroi général vis-à-vis des partis classiques.  . Selon le même sondage, les Français paraissent partagés de façon générale après l’intervention de Nicolas Sarkozy, 49% ne le trouvant pas convaincant (17% plutôt pas convaincant et 32% pas du tout convaincant) et 47% convaincant (16% très convaincant et 31% plutôt convaincant). Concernant le supposé manque d’indépendance de la justice, dénoncé par l’ancien chef de l’Etat, 45% des sondés ont été « convaincus » par ses arguments, contre 51% qui ne l’ont pas été. En ce qui concerne les qualificatifs attribués par les sondés à Nicolas Sarkozy, 33% le considèrent « honnête » (+1 par rapport à octobre 2013), 73% « dynamique » (-2 par rapport à octobre 2013), 40% considèrent qu’il dirigerait bien la France s’il était à nouveau président de la République (-5 par rapport à la même période) et 52% (-2) compétent. L’enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 juillet auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

 

Affaires Sarkozy : le bal des faux culs

Affaires Sarkozy : le bal des faux culs

 

De toute évidence l’affaire Sarkozy donne l’occasion aux faux culs de solliciter leur mauvaise foi. Tout d’abord Sarkozy lui-même qui a sans doute raison de s’étonner de la procédure un peu excessive de garde à vue mais qui ne peut balayer d’un revers de main les affaires (notamment l’affaire Pygmalion qui le concerne directement puisqu’il s’agit de fausses factures de sa campagne électorale). Ensuite ses proches qui crient à l’atteinte à la préemption d’innocence alors que Sarkozy lui-même ne s’est pas privé de la mettre en cause en particulier dans son différend avec Villepin (affaire Clearstream). Certes Sarkozy n’a pas tort de s’interroger sur le bien fondé d’écoutes téléphoniques avec son avocat mais qu’avait-il besoin de prendre un faux nom pour ces communications ; Les caciques de l’UMP qui ne soutiennent t que très mollement Sarkozy et se réjouissent en faiat de sa possible marginalisation. Du coté de la gauche on se réfère à l’indépendance de la justice en considérant que Sarkozy est traité comme un citoyen ordinaire. On ne fera croire à personne que le gouvernement n’était pas au courant de la procédure (la preuve Taubira s’est pris les pieds dans le tapis en brandissant une lettre qui indiquait le contraire). Hollande , sans doute depuis le début observe avec le plus grand intérêt ce qui pourrait faire éliminer le candidat Sarkozy de la course pour 2017. Mieux il est vraisemblable que le gouvernement est impliqué dans des procédures qui discréditent Sarkozy. La stratégie est la même que pour Mitterrand. Faire monter le front national et bénéficier du reflexe républicain pour être élu (comme Chirac). Hollande sait qu’il n’a aucune chance, la seule serait effectivement d’empêcher le candidat de droite d’être en seconde position au première tour. La justice enfin qui se drape dans l’immaculé drapeau de l’indépendance comme si quelqu’un pouvait être indépendant et fonctionnaire en même temps. La justice obéit au pouvoir en place. Il est d’ailleurs vraisemblable que si la droite revient au pouvoir en 2017, ce sont des affaires concernant la gauche qui seront déterrées. Ce rame politico médiatique ressemble à du mauvais théâtre ou chacun se positionne en fonction de ses intérêts politiciens et non en fonction de l’Etat de droit ou de l’intérêt du pays.

Avenir politique de Sarkozy : c’est cuit !

Avenir politique de Sarkozy : c’est cuit !

Cette fois les carottes paraissent bien cuites pour Sarkozy enfermées dans les affaires et pris dans le cirque médiatico-judiciaire. Plusieurs  raisons vont s’opposer à un retour ga nant de Sarkozy, d’abord le calendrier des affaires lesquelles vont faire régulièrement la une au moins jusqu’en 2017 ; des affaires qui vont nécessairement entacher un peu plus l’image de Sarkozy qu’il soit ou non coupable. Second élément les Français ne croient plus Sarkozy, 23% ne croient pas en son honnêteté et 63% estiment qu’il est traité normalement par la justice ; Enfin dernier élément et non des moindres, Sarkozy n’est pas soutenu par les caciques de l’ ‘UMP (par les militants sans doute mais pas par les responsables nationaux quadras compris).  Pour la première fois dans l’histoire de la 5e République, un ancien Président a donc été  placé en garde à vue. Nicolas Sarkozy est interrogé depuis ce matin au siège de l’office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) de la direction centrale de la police judiciaire. L’ancien chef de l’État a rejoint son avocat Thierry Herzog, et deux hauts magistrats de la Cour de cassation, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust, eux-mêmes placés en garde à vue dès lundi matin. Les quatre hommes sont interrogés dans le cadre de l’enquête pour « trafic d’influence » et « violation du secret de l’instruction » dans l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy. Les magistrates Patricia Simon et Claire Thépaut enquêtent sur un réseau d’informateurs susceptible d’avoir renseigné les proches de Nicolas Sarkozy voire l’ancien président de la République lui-même, dans les procédures judiciaires le visant, en particulier le dossier Bettencourt. Des interceptions téléphoniques opérées par les juges en janvier et février 2014 avaient révélé des faits troublants : l’ex-président et son avocat semblaient très renseignés sur l’avancée des travaux de la Cour de cassation saisie de la procédure Bettencourt. Les deux hommes se sachant placés sur écoute, ils étaient allées jusqu’à acheter, sous un nom d’emprunt, des téléphones portables. D’où l’incrimination de « violation du secret de l’instruction ». Sarkozy est empêtré dans ces affaires et il ne pourra s’en sortir indemne, son avenir politique est plus qu’hypothéqué.

 

Sondage justice : Sarkozy est traité normalement pour 63% des Français

Sondage justice : Sarkozy est traité normalement  pour 63% des Français

 

Dans  un sondage BVA-Opinion 63% des personnes interrogées (+15 par rapport à mars) ont le sentiment que l’ancien président de la République, mis en examen dans la nuit de mardi à mercredi, est « traité comme n’importe quel justiciable ». Quelque 35% (-14 en trois mois) pensent à l’inverse qu’il est « particulièrement durement traité pour des raisons politiques ». 2% ne se prononcent pas. Si 72% (-4) des Français jugent qu’il est « solide », 62% (-1) « charismatique », 49% (+1) « rassembleur », une majorité (59%, +11) pense qu’il a « fait son temps ». Seuls 23% (-5) le trouvent honnête.  A la question de savoir quel est le candidat préféré pour représenter l’UMP à la présidentielle de 2017, même s’il maintient une nette avance (50% contre 31%) parmi les sympathisants UMP, l’ex-président est nettement devancé (20%, -3) par Alain Juppé (35%, =) devant François Fillon (14%, +2), Bruno Le Maire (9%, +1), Nathalie Kosciusko-Morizet (7%, =), Xavier Bertrand (4%, +1) et Jean-François Copé (1%, -1). A la question « qui souhaiteriez-vous voir à la tête de l’UMP ? », Alain Juppé –qui a déjà dit qu’il ne serait pas candidat à ce scrutin interne de novembre– se classe toujours en tête du classement (21%, -2), devant Nicolas Sarkozy, François Fillon et François Baroin, tous trois à égalité à 12%, puis Bruno Le Maire (8%), NKM et Laurent Wauquiez (7%), Jean-Pierre Raffarin (5%), Xavier Bertrand et Jean-François Copé (3%).

 

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sur 1.050 personnes interrogées mardi et mercredi, 35% préfèrent Alain Juppé pour porter les couleurs de l’UMP à l’élection présidentielle de 2017, contre 20% en faveur de l’ex-chef de l’Etat (-3 points depuis avril, -7 depuis mars). L’ancien président de la République, mis en examen mercredi pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel, reste en tête dans le cœur des sympathisants de droite (38% contre 32%) mais perd du terrain (-2 points depuis avril, -14 depuis mars). Nicolas Sarkozy a dénoncé mercredi soir sur TF1 et Europe 1 une « instrumentalisation d’une partie de la justice française » à son encontre et une volonté de « l’humilier » et il a assuré n’avoir rien à se reprocher. « Est-il normal, alors qu’il n’y a aucun indice grave et concordant contre moi (…), qu’on poursuive les écoutes sur l’ancien chef de l’Etat qui pourrait avoir demain des responsabilités d’opposition ? » a-t-il dit, avant de préciser qu’il ne renonçait pas à revenir sur la scène politique. Selon la même enquête, 63% des sondés considèrent que l’ex-chef de l’Etat est traité « comme n’importe quel justiciable », contrairement à ses dires, alors qu’ils n’étaient que 48% à le penser il y a trois mois. Seulement 23% des personnes interrogées disent le juger honnête (-5 points depuis mars) et 59% estiment qu’il a fait son temps (+11 points).

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