Archive pour le Tag 'Sarkozy'

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Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Le mois dernier, l’ex-président avait la préférence de 31% des sondés, mais était talonné par le maire de Bordeaux (29%),.Nicolas Sarkozy conforte son avance sur Alain Juppé en dépit de sa mise en examen, 38% des participants à une primaire UMP le choisissant, contre 32% pour Alain Juppé, selon un sondage LH2- »Le Nouvel Observateur » diffusé vendredi.. L’ex-Premier ministre François Fillon, à l’inverse, perd du terrain (8%, -2 points), à égalité avec Bruno Le Maire (8%, stable). Tous les autres candidats, de Laurent Wauquiez à Xavier Bertrand, ne font guère plus que de la figuration. Si la cote d’influence de Nicolas Sarkozy mesurée par le même sondage auprès des sympathisants de l’UMP est en baisse de cinq points, elle reste très élevée à 74%. En revanche, il perd des points au centre-droit, seulement 31% (-9 points) des sympathisants de l’UDI et 23% (-9 points) de ceux du MoDem souhaitant une influence accrue de l’ancien président.   »Le retour médiatique de Nicolas Sarkozy a intensifié la compétition pour le leadership de l’UMP et seules les personnalités politiques de premier plan semblent y résister », commente Thomas Genty, pour l’institut LH2. « Alors que l’ancien président se taille la part du lion du choix des sympathisants de l’UMP et qu’Alain Juppé résiste difficilement, les autres candidats semblent nettement distancés. » Nicolas Sarkozy a été mis en examen début juillet pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel à l’issue d’une garde à vue sans précédent pour un pré

 

Sarkozy : nouvelle affaire

Sarkozy : nouvelle affaire

 

La justice ne lâche plus Sarkozy puisqu’une enquête préliminaire a été ouverte par le parquet de Paris sur le paiement par l’UMP des pénalités infligées à Nicolas Sarkozy après l’invalidation des comptes de sa campagne présidentielle de 2012, a-t-on appris lundi de source judiciaire. Cette enquête ouverte le 2 juillet vise un éventuel abus de confiance au préjudice du parti d’opposition, a-t-on précisé de même source. En juillet 2013, le Conseil constitutionnel avait estimé que l’ancien chef de l’Etat devait restituer au Trésor public l’avance forfaitaire de 150.000 euros versée pour sa campagne et payer 363.615 euros pour le dépassement du plafond légal des dépenses. L’UMP est déjà en proie à l’affaire Bygmalion, un système présumé de fausses factures mis en place en 2012 et l’équipe de campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy pour couvrir des dépassements de frais. Le scandale a entraîné la démission du président du parti, Jean-François Copé, et de certains de ses plus proches collaborateurs. Une information judiciaire a été ouverte fin juin pour les chefs de faux et usage de faux, abus de confiance, tentative d’escroquerie, complicité et recel de ces délits.

 

« Abattre Sarkozy : une obsession d’État »(Guéant)

« Abattre Nicolas Sarkozy : une obsession d’État »(Guéant)

 

 » Je dénonce l’instrumentalisation de la justice. Abattre Nicolas Sarkozy et ses proches est devenu une obsession d’État », lance Guéant  à l’adresse du pouvoir socialiste. « Je constate que tout est programmé et médiatiquement maîtrisé », poursuit Guéant. « Et c’est toujours à un moment où cela arrange le pouvoir en place que des documents ou pseudo-révélations apparaissent ». « En décembre, alors que j’étais entendu, l’officier de police judiciaire en charge du dossier a reçu un appel téléphonique du ministère de l’Intérieur pour connaître mes déclarations. Cela ressemblait fort à un appel de ‘cabinet noir’ », accuse l’ancien ministre.  Interrogé sur sa réaction après la garde à vue de Nicolas Sarkozy, Guéant estime que « par respect pour la fonction présidentielle, il eût été préférable d’entendre Nicolas Sarkozy sous un autre régime ». « Ensuite », ajoute-t-il, « la mise en examen ne signifie en rien une culpabilité. Enfin, il est souhaitable que la justice traite cette affaire dans les meilleurs délais : l’avenir de la France ne peut pas se jouer sur une décision de mise en examen ». Au sujet d’un éventuel retour de Sarkozy à la tête de l’UMP, Guéant « trouve qu’il eût mieux valu qu’il ne revienne pas aussi tôt dans la vie politique de tous les jours ». Avant d’ajouter sans beaucoup de suspense que « l’UMP ne peut continuer ainsi, avec des chefs qui donnent le sentiment aux Français de négliger leurs préoccupations, en ne s’intéressant qu’à leur propre destin. Il faut un ‘patron’ qui fasse l’unité ». Concernant ses propres ennuis judiciaires, « dans ma famille politique, les témoignages de soutien privés ont été nombreux », dit l’ex-ministre, « moins les témoignages de soutien publics ». Guéant a été placé en garde à vue fin 2013 dans l’affaire des primes en liquide quand il dirigeait le cabinet de Sarkozy place Beauvau et en mai 2014 dans l’affaire de l’arbitrage Tapie/Crédit Lyonnais.

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

 

Nicolas Sarkozy est toujours le champion à l’UMP, dont 78% des sympathisants souhaitent qu’il soit candidat en 2017, mais est rejeté par l’ensemble des Français, 59% ne voulant pas qu’il se présente, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. A la question « souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à l’élection présidentielle » de 2017?, 78% des sympathisants répondent oui, contre 22% non. La proportion est inverse avec l’ensemble des Français : 41% veulent sa candidature, 59% non. Les sympathisants UMP sont favorables à 52% à une candidature du maire de Bordeaux, Alain Juppé, 47% n’y étant pas favorable (1% ne se prononcent pas). 45% des Français souhaitent sa candidature, 54% n’y sont pas favorables (1% ne se prononcent pas). François Fillon obtient les mêmes résultats que Juppé auprès de l’ensemble des Français. 52% des sympathisants UMP ne veulent pas sa candidature (47% oui, 1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP souhaitent à 68% que Sarkozy, mis en examen notamment pour corruption active, soit candidat à la présidence de l’UMP en novembre, 32% ne le veulent pas. 39% des Français le désirent, 60% non (1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP verraient pour 64% d’entre eux d’un bon œil une candidature d’Alain Juppé et pour 58% celle de Fillon. A la question « qui incarne aujourd’hui le mieux le renouveau de l’UMP? », 23% des sympathisants UMP répondent François Baroin (18% des Français), devant Nathalie Kosciusko-Morizet (15% à l’UMP, 17% de l’ensemble des Français), Bruno Le Maire (14%, 16%), Xavier Bertrand (12% à l’UMP, 14% de l’ensemble), Laurent Wauquiez (9%, 8%), Valérie Pécresse (8%, 10%) et Hervé Mariton (2%, 2%).  16% des sympathisants UMP ne répondent « aucune de ces personnalités », comme 9% des Français.  4% ne se prononcent pas à l’UMP, (3% de l’ensemble). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 4 et 5 juillet auprès d’un échantillon représentatif de 968 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

2017: Sarkozy – Juppé : ça chauffe déjà !

Sarkozy – Juppé : ça chauffe !

 

C’est pari pour les primaires à l’UMP et ça chauffe déjà,. Sarko, avec sa délicatesse habituelle,  a fait observer le grand âge de Juppé tandis que  Juppé , plus habile,  a estimé que Sarkozy ne devait pas s’attaquer à l’institution judicaire. C’est la confirmation que les ennuis de Sarko ne font pas que des heureux à gauche mais qu’il se défend à sa manière : en attaquant. La tension monte entre l’ancien président et l’ancien premier ministre, deux candidats potentiels pour représenter l’UMP en 2017. Alain Juppé n’écarte plus l’idée de se présenter être le candidat la droite en 2017. Nicolas Sarkozy n’a presque pas caché son intention de revenir lors de son interview télévisée mercredi 2 juillet. Résultat, entre les deux hommes, l’entente cordiale fait place aux petites piques. La dernière attaque en date est rapportée par Les Echosce vendredi. « Qu’il se présente, il me rajeunit », affirme Nicolas Sarkozy en privé, selon le quotidien, à propos de son aîné de 10 ans. Et d’ajouter : « Moi je n’ai jamais été condamné ! Et au fait, c’est quoi le bilan réformateur d’Alain Juppé ? Il est nul. » Allusion à la condamnation d’Alain Juppé en 2004, dans l’affaire des emplois fictifs de la ville de Paris (où en faiat Juppé a payé pour Chirac). Réagissant à la mise en examen de Nicolas Sarkozy. Alain Juppé avait pour sa part estimé jeudi que « vilipender » l’institution judiciaire n’était pas  »une bonne méthode. »

 

Sondage 2017 : 65% contre Sarkozy

Sondage 2017 : 65% contre Sarkozy

 

 

65% des Français ne sont pas favorables à la candidature de Nicolas Sarkozy pour la Présidentielle de 2017 (Selon un sondage BVA pour ITélé et Le Parisien Aujourd’hui en France,). Pourtant, ils sont 70% à penser qu’il se présentera malgré tout. Si 94% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas que l’ancien président soit candidat à un nouveau quinquennat, 62% des sympathisants de droite y sont favorables, une proportion qui atteint 78% parmi les sympathisants de l’UMP. Quant à savoir s’ils pensent qu’ »avec les affaires en cours, l’UMP peut tout de même présenter Nicolas Sarkozy » comme candidat à la présidentielle, 57% des Français ont répondu négativement.  Les avis sont radicalement opposés entre les sympathisants de gauche, dont 78% pensent que cela n’est pas possible, et les sympathisants de droite, parmi lesquels 63% jugent que c’est possible. Le sondage a été réalisé après la mise en examen de l’ancien chef de l’État, notamment pour corruption active.  Dans un entretien au Figaro de samedi, Guillaume Peltier, co-fondateur du courant sarkosyste La Droite forte, premier courant de l’UMP, estime que « le retour de Sarkozy est indispensable mais ne sera pas suffisant ».  « Il nous faudra être beaucoup plus courageux qu’en 2007 et 2012″, explique celui qui accueille samedi à la Ferté-Imbault (Loir-et-Cher) le deuxième rassemblement de son courant.

 

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

Sondage Sarkozy : pas honnête mais dynamique

 

 

C’est le verdict des Français, un avis finalement assez équilibré, les Français ont été peu convaincus par l’honnêteté de Sarkozy mais ont reconnu son dynamisme. Finalement c’est toujours la même problématique qui se pose depuis des années faut-il  choisir un homme plutôt intègre  mais mollasson (type Hollande) ou un dynamique (type .Sarko ou DSK) pas trop honnête.  Pas de réponse vraiment claire des Français car seulement  un Français sur deux (52%) n’a pas été convaincu par les explications de Nicolas Sarkozy sur sa mise en examen lors de son interview télévisée, selon un sondage Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale publié jeudi. On objectera qu’au-delà des discours et des tempéraments les politiques n’ont finalemenet pas été très éloignées entre Sarko et Hollande (l’un n’a pas fait une politique de droite et l’autre pas une vraie politique de gauche). D’où sans doute le désarroi général vis-à-vis des partis classiques.  . Selon le même sondage, les Français paraissent partagés de façon générale après l’intervention de Nicolas Sarkozy, 49% ne le trouvant pas convaincant (17% plutôt pas convaincant et 32% pas du tout convaincant) et 47% convaincant (16% très convaincant et 31% plutôt convaincant). Concernant le supposé manque d’indépendance de la justice, dénoncé par l’ancien chef de l’Etat, 45% des sondés ont été « convaincus » par ses arguments, contre 51% qui ne l’ont pas été. En ce qui concerne les qualificatifs attribués par les sondés à Nicolas Sarkozy, 33% le considèrent « honnête » (+1 par rapport à octobre 2013), 73% « dynamique » (-2 par rapport à octobre 2013), 40% considèrent qu’il dirigerait bien la France s’il était à nouveau président de la République (-5 par rapport à la même période) et 52% (-2) compétent. L’enquête a été réalisée en ligne du 2 au 3 juillet auprès d’un échantillon de 1.007 personnes représentatif des Français âgés de 18 ans et plus.

 

Affaires Sarkozy : le bal des faux culs

Affaires Sarkozy : le bal des faux culs

 

De toute évidence l’affaire Sarkozy donne l’occasion aux faux culs de solliciter leur mauvaise foi. Tout d’abord Sarkozy lui-même qui a sans doute raison de s’étonner de la procédure un peu excessive de garde à vue mais qui ne peut balayer d’un revers de main les affaires (notamment l’affaire Pygmalion qui le concerne directement puisqu’il s’agit de fausses factures de sa campagne électorale). Ensuite ses proches qui crient à l’atteinte à la préemption d’innocence alors que Sarkozy lui-même ne s’est pas privé de la mettre en cause en particulier dans son différend avec Villepin (affaire Clearstream). Certes Sarkozy n’a pas tort de s’interroger sur le bien fondé d’écoutes téléphoniques avec son avocat mais qu’avait-il besoin de prendre un faux nom pour ces communications ; Les caciques de l’UMP qui ne soutiennent t que très mollement Sarkozy et se réjouissent en faiat de sa possible marginalisation. Du coté de la gauche on se réfère à l’indépendance de la justice en considérant que Sarkozy est traité comme un citoyen ordinaire. On ne fera croire à personne que le gouvernement n’était pas au courant de la procédure (la preuve Taubira s’est pris les pieds dans le tapis en brandissant une lettre qui indiquait le contraire). Hollande , sans doute depuis le début observe avec le plus grand intérêt ce qui pourrait faire éliminer le candidat Sarkozy de la course pour 2017. Mieux il est vraisemblable que le gouvernement est impliqué dans des procédures qui discréditent Sarkozy. La stratégie est la même que pour Mitterrand. Faire monter le front national et bénéficier du reflexe républicain pour être élu (comme Chirac). Hollande sait qu’il n’a aucune chance, la seule serait effectivement d’empêcher le candidat de droite d’être en seconde position au première tour. La justice enfin qui se drape dans l’immaculé drapeau de l’indépendance comme si quelqu’un pouvait être indépendant et fonctionnaire en même temps. La justice obéit au pouvoir en place. Il est d’ailleurs vraisemblable que si la droite revient au pouvoir en 2017, ce sont des affaires concernant la gauche qui seront déterrées. Ce rame politico médiatique ressemble à du mauvais théâtre ou chacun se positionne en fonction de ses intérêts politiciens et non en fonction de l’Etat de droit ou de l’intérêt du pays.

Avenir politique de Sarkozy : c’est cuit !

Avenir politique de Sarkozy : c’est cuit !

Cette fois les carottes paraissent bien cuites pour Sarkozy enfermées dans les affaires et pris dans le cirque médiatico-judiciaire. Plusieurs  raisons vont s’opposer à un retour ga nant de Sarkozy, d’abord le calendrier des affaires lesquelles vont faire régulièrement la une au moins jusqu’en 2017 ; des affaires qui vont nécessairement entacher un peu plus l’image de Sarkozy qu’il soit ou non coupable. Second élément les Français ne croient plus Sarkozy, 23% ne croient pas en son honnêteté et 63% estiment qu’il est traité normalement par la justice ; Enfin dernier élément et non des moindres, Sarkozy n’est pas soutenu par les caciques de l’ ‘UMP (par les militants sans doute mais pas par les responsables nationaux quadras compris).  Pour la première fois dans l’histoire de la 5e République, un ancien Président a donc été  placé en garde à vue. Nicolas Sarkozy est interrogé depuis ce matin au siège de l’office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) de la direction centrale de la police judiciaire. L’ancien chef de l’État a rejoint son avocat Thierry Herzog, et deux hauts magistrats de la Cour de cassation, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust, eux-mêmes placés en garde à vue dès lundi matin. Les quatre hommes sont interrogés dans le cadre de l’enquête pour « trafic d’influence » et « violation du secret de l’instruction » dans l’affaire des écoutes de Nicolas Sarkozy. Les magistrates Patricia Simon et Claire Thépaut enquêtent sur un réseau d’informateurs susceptible d’avoir renseigné les proches de Nicolas Sarkozy voire l’ancien président de la République lui-même, dans les procédures judiciaires le visant, en particulier le dossier Bettencourt. Des interceptions téléphoniques opérées par les juges en janvier et février 2014 avaient révélé des faits troublants : l’ex-président et son avocat semblaient très renseignés sur l’avancée des travaux de la Cour de cassation saisie de la procédure Bettencourt. Les deux hommes se sachant placés sur écoute, ils étaient allées jusqu’à acheter, sous un nom d’emprunt, des téléphones portables. D’où l’incrimination de « violation du secret de l’instruction ». Sarkozy est empêtré dans ces affaires et il ne pourra s’en sortir indemne, son avenir politique est plus qu’hypothéqué.

 

Sondage justice : Sarkozy est traité normalement pour 63% des Français

Sondage justice : Sarkozy est traité normalement  pour 63% des Français

 

Dans  un sondage BVA-Opinion 63% des personnes interrogées (+15 par rapport à mars) ont le sentiment que l’ancien président de la République, mis en examen dans la nuit de mardi à mercredi, est « traité comme n’importe quel justiciable ». Quelque 35% (-14 en trois mois) pensent à l’inverse qu’il est « particulièrement durement traité pour des raisons politiques ». 2% ne se prononcent pas. Si 72% (-4) des Français jugent qu’il est « solide », 62% (-1) « charismatique », 49% (+1) « rassembleur », une majorité (59%, +11) pense qu’il a « fait son temps ». Seuls 23% (-5) le trouvent honnête.  A la question de savoir quel est le candidat préféré pour représenter l’UMP à la présidentielle de 2017, même s’il maintient une nette avance (50% contre 31%) parmi les sympathisants UMP, l’ex-président est nettement devancé (20%, -3) par Alain Juppé (35%, =) devant François Fillon (14%, +2), Bruno Le Maire (9%, +1), Nathalie Kosciusko-Morizet (7%, =), Xavier Bertrand (4%, +1) et Jean-François Copé (1%, -1). A la question « qui souhaiteriez-vous voir à la tête de l’UMP ? », Alain Juppé –qui a déjà dit qu’il ne serait pas candidat à ce scrutin interne de novembre– se classe toujours en tête du classement (21%, -2), devant Nicolas Sarkozy, François Fillon et François Baroin, tous trois à égalité à 12%, puis Bruno Le Maire (8%), NKM et Laurent Wauquiez (7%), Jean-Pierre Raffarin (5%), Xavier Bertrand et Jean-François Copé (3%).

 

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sondage 2017 : Juppé nettement devant Sarkozy

Sur 1.050 personnes interrogées mardi et mercredi, 35% préfèrent Alain Juppé pour porter les couleurs de l’UMP à l’élection présidentielle de 2017, contre 20% en faveur de l’ex-chef de l’Etat (-3 points depuis avril, -7 depuis mars). L’ancien président de la République, mis en examen mercredi pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel, reste en tête dans le cœur des sympathisants de droite (38% contre 32%) mais perd du terrain (-2 points depuis avril, -14 depuis mars). Nicolas Sarkozy a dénoncé mercredi soir sur TF1 et Europe 1 une « instrumentalisation d’une partie de la justice française » à son encontre et une volonté de « l’humilier » et il a assuré n’avoir rien à se reprocher. « Est-il normal, alors qu’il n’y a aucun indice grave et concordant contre moi (…), qu’on poursuive les écoutes sur l’ancien chef de l’Etat qui pourrait avoir demain des responsabilités d’opposition ? » a-t-il dit, avant de préciser qu’il ne renonçait pas à revenir sur la scène politique. Selon la même enquête, 63% des sondés considèrent que l’ex-chef de l’Etat est traité « comme n’importe quel justiciable », contrairement à ses dires, alors qu’ils n’étaient que 48% à le penser il y a trois mois. Seulement 23% des personnes interrogées disent le juger honnête (-5 points depuis mars) et 59% estiment qu’il a fait son temps (+11 points).

Les casseroles de Sarkozy

Les casseroles de Sarkozy

 

 

Nicolas Sarkozy traine 5 ou  casseroles dont il aura du mal à se débarrasser avant un éventuel retour en politique. Reconnu coupable, sa carrière s’arrêterait net mais même innocent les procédures vont miner sa réputation ; Sarkozy risque d’apparaitre comme la président des affaires après avoir été le président bling-bling.   Des sondages de l’Élysée au financement de sa campagne de 2007, en passant par la toute récente affaire Bygmalion, l’ancien chef de l’État n’en a pas fini avec la justice. Une information judiciaire est ouverte le 26 février pour soupçons de trafic d’influence suite à la mise sur écoute de Nicolas Sarkozy. Les magistrats enquêtaient sur le possible financement libyen de sa campagne de 2007. Ils ont découvert que l’ancien président bénéficiait d’indiscrétions sur l’avancement judiciaire de l’affaire Bettencourt.  Dans la nuit de mardi à mercredi, Nicolas Sarkozy a été mis en examen, notamment pour  »corruption active » et « trafic d’influence actif ». Un peu plus tôt, son avocat Thierry Herzog et le haut magistrat Gilbert Hazibert également. Nicolas Sarkozy était soupçonné d’avoir abusé de la faiblesse de la milliardaire Liliane Bettencourt pour obtenir des financements. Il a finalement obtenu un non-lieu après une mise en examen et ne comparaîtra pas lors du procès en janvier 2015. Ses agendas, saisis lors de l’enquête, sont par contre toujours conservés par la justice. Les juges enquêtent depuis avril 2013 sur des soupçons de financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy par l’ex dictateur libyen Mouammar Kadhafi. Le site Mediapart avait publié en ce sens une note d’un ancien dignitaire libyen, qui a ensuite démenti. Nicolas Sarkozy a accusé un « faux grossier ». L’avocat de la société Bygmalion a reconnu une double comptabilité mise en place avec l’UMP, déclarant qu’elle aurait servi à masquer les dépassements de frais de campagne de Nicolas Sarkozy, 17 millions d’euros selon Mediapart. Une enquête a été confiée le 27 juin aux juges financiers pour « faux et usages de faux », « abus de confiance », « tentative d’escroquerie et « complicité et recel de ces délits ». Une enquête a été ouverte après que Bernard Tapie a bénéficié d’un arbitrage extrêmement favorable lui accordant 403 millions d’euros au détriment du Crédit Lyonnais. Christine Lagarde, alors ministre de l’Économie, et son directeur de cabinet Stéphane Richard, sont soupçonnés d’avoir favorisé Bernard Tapie. Mais pour certains, la décision aurait été prise par Nicolas Sarkozy, qui a rencontré Bernard Tapie avant et après son élection. Ce pourrait être la raison pour laquelle l’ancien président voulait absolument récupérer ses agendas présidentiels, saisis dans le cadre de l’affaire Bettencourt. Une enquête a été ouverte en octobre 2013 pour faire la lumière sur le financement du meeting de Toulon fin 2011. Ce meeting n’avait pas été inscrit dans les comptes de campagne, ce qui avait entraîné leur rejet par le Conseil constitutionnel. Un juge enquête actuellement sur les sondages par l’Élysée durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy. Ils ont été attribués à neuf instituts de sondages, dont celui de Patrick Buisson, un proche, le tout sans appel d’offre.  Une autre enquête avait été ouverte pour « prise illégale d’intérêt » suite à la nomination de François Pérol, conseiller de Nicolas Sarkozy, à la tête du groupe bancaire BPCE. Le parquet doit prochainement prendre ses réquisitions.

 

Sarkozy mis en examen

Sarkozy mis en examen

Retour compromis pour Sarkozy avec cette mise en examen. D’autant que d’autres affaires restent à traiter et que son comeback en politique risque d’être régulièrement pollué par les affaires. La dernière le concernant d’assez prêt puisqu’il s’agit des fausses factures de Pygmalion lui ayant permis de dépasser très largement la somme autorisée pour sa campagne électorale de 2012. Nicolas Sarkozy a été mis en examen dans la nuit de mardi à mercredi pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel à l’issue d’une garde à vue sans précédent pour un président de la Ve République, a-t-on appris de source judiciaire. Dans la soirée, son avocat, Me Thierry Herzog, et Gilbert Azibert, avocat général à la Cour de cassation, avaient été mis en examen pour les mêmes chefs d’accusation que l’ancien président. S’y ajoute pour Me Herzog celui de violation de secret professionnel, a-t-on précisé de même source. Nicolas Sarkozy s’est vu notifier sa mise en examen au pôle financier du tribunal de grande instance de Paris par les juges d’instruction Patricia Simon et Claire Thépaut. Il avait été placé en garde à vue mardi à 08h00 dans les locaux de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), à Nanterre (Hauts-de-Seine), dans le cadre d’une information judiciaire pour trafic d’influence et violation du secret de l’instruction présumés. Arrivé à 23h40 au pôle financier dans un véhicule banalisé, il en est ressorti vers 02h00. « Il a été mis en examen sans contrôle judiciaire », a-t-on dit de source judiciaire. Il s’agit de la seconde mise en examen pour l’ancien président UMP, qui a perdu l’immunité présidentielle dont il jouissait un mois après sa défaite de mai 2012. Nicolas Sarkozy avait été mis en examen en mars 2013 pour abus de faiblesse aux dépens de l’héritière de L’Oréal Liliane Bettencourt avant de bénéficier d’un non-lieu en octobre de la même année. L’information judiciaire qui lui vaut cette deuxième mise en examen a été ouverte le 26 février sur la base d’écoutes téléphoniques qui l’ont visé, lui et son entourage. Thierry Herzog et Gilbert Azibert avaient été placés en garde à vue lundi, de même que Patrick Sassoust, avocat général à la Cour de cassation. Ce dernier n’a pas été présenté aux juges. « Thierry Herzog a été mis en examen pour des faits que nous contestons. Il est libre et il reste avocat de Nicolas Sarkozy », a déclaré à la presse son avocat, Me Paul-Albert Iweins. Les enquêteurs soupçonnent un réseau d’informateurs au sein de la justice et de la police d’avoir renseigné Nicolas Sarkozy sur les procédures judiciaires le visant. Les soupçons sont apparus en marge d’une enquête sur des accusations de financement libyen de sa campagne électorale en 2007, poussant la justice à placer deux téléphones utilisés par l’ex-chef de l’Etat sur écoute les 3 et 19 septembre 2013. Ces interceptions auraient révélé que Nicolas Sarkozy et son avocat étaient bien renseignés sur la procédure alors en cours à la Cour de cassation sur l’affaire des soupçons d’abus de faiblesse aux dépens de la milliardaire Liliane Bettencourt. Les juges cherchent à établir si Nicolas Sarkozy a tenté de faciliter une promotion à Monaco de Gilbert Azibert en échange de renseignements sur l’avancée du dossier.

 

Sarkozy : devant la police judiciaire

Sarkozy : devant  la police judiciaire

 

Ça chauffe pour Sarkozy. C’est à son tour  Sarkozy après que l’avocat de l’ancien président de la République, Thierry Herzog, et deux avocats généraux à la Cour de cassation, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust, aient été placés en garde à vue. «On s’y attendait», affirme au «Parisien» – «Aujourd’hui en France» un proche de Nicolas Sarkozy. «Depuis deux ans, rien ne lui a été épargné».. Le trafic d’influence présumé dans lequel est impliqué Nicolas Sarkozy a été mis à jour en mars dernier lorsque le quotidien du soir révèle des écoutes téléphoniques entre l’ancien chef de l’Etat et son conseil. A la base, Sarkozy aurait été écouté à la demande des juges enquêtant sur les accusations de financement de sa campagne présidentielle de 2007 par la Libye de Mouammar Kadhafi. A cette occasion, les enquêteurs découvrent une autre affaire: les conversations avec Me Thierry Herzog révèlent que l’ancien Président serait discrètement renseigné sur l’affaire Bettencourt, dans laquelle il est également cité, par Gilbert Azibert, avocat général à la Cour de cassation. Ce juge, un proche de Me Herzog, aurait en échange demandé à l’ancien chef de l’Etat de jouer de ses relations pour lui faire obtenir un poste à Monaco, en vain. Se sachant écouté, l’ancien Président s’était par ailleurs équipé d’un deuxième portable, acheté par Me Herzog sous le nom de «Paul Bismuth», un ancien camarade de lycée de l’avocat.  Sur le principe, le fait que les conversations entre Nicolas Sarkozy et son avocat aient été écoutées soulève une fronde des magistrats qui éclabousse jusqu’au gouvernement socialiste. La garde des Sceaux, Christiane Taubira, devient la cible de l’opposition.

Affaires Sarkozy : le juge Azibert interpellé et en garde à vue

Affaires Sarkozy : le juge Azibert interpellé et en garde à vue

 

L’avocat général près la Cour de Cassation Gilbert Azibert a été interpellé ce matin à son domicile bordelais dans le cadre d’une affaire de trafic d’influence présumée impliquant aussi l’avocat de Nicolas Sarkozy, a appris Reuters de source policière. « Il est en cours de transfert vers Paris », a dit cette source, confirmant des informations d’Europe 1, qui ajoute que Gilbert Azibert a été mis en examen. Selon une autre source policière, l’avocat de l’ancien chef de l’Etat, Thierry Herzog, est lui-même entendu dans le cadre de la même enquête par des policiers de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales. Une information judiciaire a été ouverte le 26 février pour trafic d’influence et violation du secret de l’instruction, sur la base d’écoutes téléphoniques ciblant Nicolas Sarkozy. La justice a placé deux téléphones utilisés par l’ex-chef de l’Etat sur écoute les 3 et 19 septembre 2013 dans le cadre d’une enquête sur des accusations de financement libyen de sa campagne électorale en 2007. Me Herzog a été écouté de manière incidente lors de conversations avec lui. Ces interceptions auraient révélé que les deux hommes étaient bien renseignés sur la procédure alors en cours à la Cour de cassation sur l’affaire des soupçons d’abus de faiblesse aux dépens de la milliardaire Liliane Bettencourt. Les juges soupçonnent Nicolas Sarkozy d’avoir cherché à faciliter la promotion à Monaco de Gilbert Azibert en échange de renseignements sur cette affaire.

 

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