Archive pour le Tag 'Sarkozy'

Page 30 sur 37

Sondage : Sarkozy pas convaincant, trop de contradictions

Sondage : Sarkozy pas convaincant, trop de contradictions

Sarkozy n’a pas réussi à être convainquant pour une majorité lors de sa prestation très suivie à la télé (9 millions de téléspectateurs). Plusieurs facteurs explicatifs. Sarkozy veut désormais apparaitre comme une responsable apaisé et prenant du recul. Or il s’es t rapidement énervé lors de questions gênantes, il na pu s’empêcher de faire preuve de nervosité et e d’agressivité affirmant par exemple qu’il ne pensait rien de Hollande puis descendant en flamme sa politique et la personnalité du président actuel Autre contradiction, il ne veut pas apparaître comme le sauveur mais finalemenet ne parle que de lui, de ses capacités, de son énergie, de son charisme ( qui sont réels) renvoyant les autres à un rôle mineur( y compris Fillon et Juppé).  Notons auusi le flou de sa réponse à propos du mariage pour tous qui a dû décevoir les pros comme les antis.  La prestation de l’ex-chef de l’Etat sur France 2, dimanche soir, n’a donc pas été jugée convaincante par 54 à 55% de Français, selon deux sondages publiés lundi. Sans surprise, le clivage est très marqué entre sympathisants de droite et de gauche.  Les deux enquêtes parviennent à la même conclusion. Selon des sondages de l’institut BVA* et de l’institut Odoxa**, une majorité de Français n’a pas jugé convaincant Nicolas Sarkozy dimanche soir sur France 2. Ils sont 54%, pour le premier, et 55%, selon le second. A l’inverse, les personnes interrogées sont respectivement 44% (2% ne se prononçant pas dans l’enquête BVA) et 45% à avoir trouvé la prestation télévisée de l’ex-Président convaincante. Ce jugement est bien entendu aux antipodes selon la proximité partisane des sondés. Selon le sondage BVA pour Public Sénat, 90% des sympathisants de gauche n’ont pas été convaincus par Nicolas Sarkozy, contre 75% d’avis positif de la part des sympathisants de droite – un chiffre qui atteint 86% pour les seuls sympathisants UMP. Ces résultats sont sensiblement identiques dans l’enquête Odoxa pour Le Parisien. Ce sondage interroge par ailleurs les Français sur la motivation qu’ils accordent à Nicolas Sarkozy pour revenir sur le devant de la scène politique : il s’agit davantage d’une revanche, pour 67% d’entre eux (et 41% des sympathisants de droite), que de défendre un vrai projet pour la France. En outre, dans l’enquête BVA, une majorité de Français (45%) estime désormais que Nicolas Sarkozy n’est « ni trop », « ni pas assez » à droite – un chiffre en hausse de quatre points par rapport à une enquête réalisée trois jours plus tôt. Ceux qui le jugent « trop à droite » sont 39%, contre 44% le 18 septembre. Une baisse surtout marquée chez les sympathisants du MoDem et de l’UDI (38% jugent que l’ex-Président est « trop à droite », -9 points). Enfin, le sondage BVA indique que Nicolas Sarkozy creuse l’écart auprès des sympathisants UMP pour être leur candidat à l’élection présidentielle de 2017. Il est aujourd’hui plébiscité par 65% de ces personnes (+7 points), contre 21% pour Alain Juppé (-6 points) et 5% pour François Fillon (-2) et Bruno Le Maire (+2). Mais malgré un écart qui se rétrécit, Nicolas Sarkozy reste derrière Alain Juppé lorsque la question est posée à l’ensemble des Français (40% contre 27%). Le 18 septembre, Nicolas Sarkozy était choisi par 22% de sondés.

 

Juppé –Sarkozy : la guerre commence pour 2017

Juppé –Sarkozy : la guerre commence pour 2017

 

 Certains s’étonnent comme Bernadette Chirac que Sarkozy s’engage pour la présidence de l’IMP. Ce ne serait pas de son niveau ! Comme nous l’indiquions il y a déjà de semaines, la stratégie de Sarkozy c’est de contrôler l’UMP (refondue dans un nouveau parti) et donc les primaires. Actuellement Sarkozy est très largement en tête chez les militants UMP mais pas dans l’opinion, ni si les primaires sont ouvertes aux centristes. Du coup, il va magouiller pour l’organisation de ces primaires. Ce que vient un peu naïvement de découvrir Juppé.  Dans une interview à paraître mardi dans Sud-Ouest, Alain Juppé, candidat à la primaire UMP, estime que si Nicolas Sarkozy abandonnait l’idée de primaires UMP avant la présidentielle, ce serait « un point de conflit dur ».  Quatre jours après l’annonce du retour de Nicolas Sarkozy, Alain Juppé le met en garde. Lui-même candidat à la primaire UMP en vue de la présidentielle de 2017, il ne veut pas que l’ex-président de la République puisse changer les règles du jeu. Dans une interview à paraître mardi dans le quotidien Sud-Ouest, interrogé sur l’hypothèse d’un changement des statuts de l’UMP « pour empêcher des primaires à droite« , il avertit que « l’abandon des primaires serait un point de conflit dur » avec Nicolas Sarkozy.  Dimanche Alain Juppé avait déjà averti qu’il irait « jusqu’au bout« . « Nicolas Sarkozy ne pourra pas faire les primaires tout seul, ça ne marchera pas. Si le but est de faire voter les 175.000 militants de l’UMP, ce n’est pas la peine, ils l’auront fait en décembre prochain« , pour la présidence de l’UMP, ajoute le maire de Bordeaux. « La raison d’être de ces primaires, c’est de les ouvrir à nos partenaires du centre pour qu’il n’y ait qu’un seul candidat à la présidentielle de 2017« , rappelle-t-il, disant attendre « sur ce point les engagements des différents candidats à la présidence de l’UMP« . »La raison d’être des primaires« , insiste-t-il, est « qu’il n’y ait qu’un seul candidat dans notre camp pour être élu. La division pourrait entraîner un deuxième tour entre le candidat socialiste et Madame Le Pen« , avertit-il. Alain Juppé lui ne brigue pas la présidence de l’UMP, seulement les primaires, convaincu que le vainqueur atteindra ensuite l’Elysée.   Egalement interrogé sur l’intervention télévisée de Nicolas Sarkozy dimanche soir, son ancien ministre des Affaires étrangères indique que « l’on ne change jamais vraiment. On peut s’améliorer ou se dégrader, ça dépend des cas« . Le ton est donné.

 

Sarkozy : après la rupture, le rassemblement

Sarkozy : après la rupture, le rassemblement

Sarkozy a changé, en tout cas de stratégie ; lui ; l’ancien partisan de la rupture en 2012 ; se veut désormais rassembleur au dessus des clivages et des idéologies. Un positionnement  qui correspond aux sentiments des Français lassés des fausses querelles partisanes toutes auusi stériles les unes que les autres. Il importera cependant pour Sarkozy de se débarrasser de son ancienne image, aussi de son bilan. et redonner de la crédibilité à sa candidature puisqu’ au jourdhui 55% des Français considèrenet que ce retour nest pas uen bonne chose pour le pays. Les trois ans qui nous sépare de l’élection présidentielle de 2017 lui en laisseront le temps mais précisément ce temps extrêmement long comporte un risque de lasser les électeurs dont les préoccupations immédiates sont d’ordre économique et social et non politique. Sarkozy part très tôt, peut-être trop tôt (à moins que Hollande ne termine pas son mandat, ce qui n’est pas complètement à écarter) ; il  pourrait être auusi rattrapé par les affaires. Nicolas Sarkozy entend donc créer un rassemblement qui transcende le clivage droite-gauche « élimé comme un tapis qui aurait trois siècles » pour redonner des perspectives à une France plongée dans le « désespoir » en refondant complètement son modèle. L’ancien président, qui avait fait campagne en 2007 sur le thème de la « rupture » et en 2012 en s’affichant fièrement à droite, a complété dimanche soir sur France 2 l’offensive médiatique entamée vendredi avec l’annonce de sa candidature à la primaire de l’automne pour la présidence de l’UMP. « Je ne suis pas venu pour expliquer que je serai président de la République en 2017, je suis venu pour créer les conditions d’une alternative crédible qui rassemble les Français bien au-delà des clivages habituels droite-gauche, centre-droite, écologistes-libéraux qui n’ont plus aucun sens », a-t-il dit. Tout comme il n’avait pas cité l’UMP mais « [sa] famille politique » dans sa déclaration sur Facebook, il n’a jamais revendiqué sur France 2 son appartenance à la droite. « Je veux dire aux Français qu’il y a des solutions », a-t-il dit en estimant que la question centrale pour lui, la recherche d’un système fiscal qui permette aux entreprises de rester en France et de doper la compétitivité, doit être « désidéologisée ». « La question n’est pas de savoir si on est socialiste ou libéral », a-t-il renchéri. « Le clivage gauche-droite est élimé comme un tapis qui aurait trois siècles. » « Notre modèle doit être complètement refondé », a-t-il ajouté, sans donner de précisions sur ses projets. Nicolas Sarkozy, qui s’est clairement présenté comme un candidat à l’élection présidentielle de 2017 tout en s’en défendant, a dit se sentir obligé de revenir en politique pour sauver un pays à la dérive, affichant une posture gaullienne. « Je n’ai jamais vu un tel désespoir, je n’ai jamais vu une telle colère, je n’ai jamais vu une telle absence de perspective », a-t-il expliqué en soulignant qu’il ne se voyait pas « rester à la maison » dans une telle situation. « Non seulement, j’ai envie, mais je n’ai pas le choix », a-t-il insisté, alors que François Hollande, son adversaire victorieux de 2012, impute en partie la gravité de la situation économique de la France au bilan de son prédécesseur. « Il est grand temps qu’il se rende compte que c’est lui le président, ce n’est plus moi », a lancé Nicolas Sarkozy. L’ancien président a dit n’avoir absolument « pas peur » de la demi-douzaine d’affaires judiciaires dans lesquelles son nom est cité, y compris l’affaire Bygmalion, un système présumé de fausses factures mis en place pour couvrir les dépassements des frais de la campagne de 2012, et dont il a juré ne rien savoir.  Il a avoué des erreurs, regretté la « vanité de certains sentiments » comme celui de croire qu’on « peut réussir seul » et confié avoir « moins d’énergie mais plus de sagesse ». Mais au-delà de son projet de refonte de la politique française, le Nicolas Sarkozy de 2012 a refait surface. Il a ainsi ressuscité trois des grands thèmes de sa campagne de 2012 : une charge contre l’espace européen de Schengen, incapable selon lui de contenir l’immigration venue d’Afrique, les corps intermédiaires et les élites accusés de bloquer la société française et l’idée de recourir régulièrement au référendum pour surmonter ces blocages. Il a aussi réaffirmé sa volonté de « reconquérir » les Français attirés par un vote Front national, tout en dénonçant la « trahison » du conseiller proche de l’extrême-droite qui a inspiré sa campagne de 2012, Patrick Buisson, coupable d’avoir enregistré leurs conversations. « Dans ma vie, j’en ai connu des trahisons, mais comme celle-là rarement. » Nicolas Sarkozy n’a pas non plus résisté longtemps à la tentation d’attaquer François Hollande, quelques minutes seulement après avoir assuré qu’il ne « pensait rien de lui ».  « Quand je me compare, il peut m’arriver de me rassurer », a-t-il ainsi dit avant une critique en règle de la politique du gouvernement

 » Ils ne pourront plus me rattraper » (Sarkozy)

 » Ils ne pourront plus me rattraper »  (Sarkozy)

 

Sarkozy  a changé (mais les français n’y croient pas d’après  un sondage) mais demeure toujours auusi arrogant ; il enterre déjà ses concurrents de l’UMP avant même que la course soit lancée.  Dans un entretien au Journal du Dimanche, publié dimanche 21 septembre, Nicolas Sarkozy a confirmé sa volonté de changer l’UMP, tout en gardant les mêmes locaux. « Je vais changer le nom du parti, mettre en place une nouvelle organisation, installer une relève et faire revenir les adhérents et donateurs pour redresser les comptes », a-t-il déclaré. « Si je réussis cette nouvelle formation, ils (Juppé et Fillon) ne pourront plus me rattraper », a estimé l’ancien chef de l’Etat. Au passage, Nicolas Sarkozy en profite pour égratigner les deux hommes. Il renvoie le maire de Bordeaux à son âge et à sa condamnation judiciaire, le député de Paris à sa défaite contre Jean-François Copé. « Ce n’est pas de ma faute s’il n’a pas réussi à combler le vide après mon départ », tacle-t-il. A quelques heures de sa venue sur France 2, pour sa première prise de parole public depuis l’annonce de son retour, Nicolas Sarkozy a affirmé qu’il ne voulait « être agressif avec personne » et qu’il était « sans arrogance ni esprit de revanche ». « Je n’annoncerai pas que je suis candidat à la présidentielle », a-t-il indiqué, ajoutant que « ce sera un autre temps. L’étape d’aujourd’hui, c’est de remettre ma famille politique au travail ». Interrogé sur son rôle en tant que futur chef de l’opposition, l’ex-président de la République a expliqué qu’il ne sera « pas agressif » à l’égard de François Hollande, « comme lui à mon endroit ». « Je n’ai pas envie de lui ressembler », a-t-il ajouté. Il ne peut cependant pas s’empêcher d’ironiser sur la popularité du chef de l’Etat : « mon audience sur Facebook fait le double de celle de la conférence de presse de Hollande », assure-t-il.

 

Sarkozy : le retour aux « affaires »

Sarkozy : le retour aux affaires

 

D’une certaine manière ce sera un  retour aux affaires pour Sarkozy qui aura du mal à passer à revers les gouttes de la justice. Ce ne sont pas moins de 7 ou 8 affaires judicaires qui vont polluer son retour. L’annonce de son retour officiel en politique pourrait bien accélérer certaines procédures ou en tout cas susciter encore davantage l’intérêt des médias. Exemple, le financement de sa campagne de 2012.  Les juges poursuivent leurs investigations.  L’enquête a été confiée le 27 juin à des juges financiers, chargés d’une information judiciaire pour « faux et usage de faux », « abus de confiance », « tentative d’escroquerie » et « complicité et recel de ces délits ». L’affaire, révélée par Le Point fin février, a déjà coûté la présidence de l’UMP à Jean-François Copé, dont des proches avaient fondé la société de communication Bygmalion. Mais, partie de soupçons initiaux de surfacturation de prestations rendues à l’UMP, l’enquête semble devenir celle des comptes de la campagne présidentielle de 2012.  Bygmalion mais aussi Jérôme Lavrilleux, cheville ouvrière des meetings électoraux de l’ancien chef de l’État, ont reconnu un système de fausses factures et de double comptabilité qui a permis à la société d’imputer à l’UMP une partie des dépenses de la campagne afin que celles-ci ne dépassent pas trop, en apparence, le plafond autorisé.  Des juges enquêtent depuis avril 2013 sur des accusations de financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime libyen de Muammar Kadhafi. Parmi les ex-dignitaires libyens, certains ont évoqué ce financement sans fournir d’élément matériel, à l’instar de Ziad Takieddine, d’autres ont démenti.  Une autre enquête concerne la plainte de Nicolas Sarkozy pour faux contre Mediapart, qui avait publié, lors de la présidentielle de 2012, une note censée accréditer ce financement.  Dans l’enquête sur ce possible financement libyen, l’enregistrement d’une conversation téléphonique entre Nicolas Sarkozy, placé sur écoute, et son avocat a abouti à une information judiciaire, le 26 février, pour trafic d’influence et violation du secret de l’instruction, puis le 2 juillet à une mise en examen de l’ex-chef de l’État, son avocat Me Herzog et le haut magistrat Gilbert Azibert. La justice soupçonne l’ex-président d’avoir tenté, avec l’appui de son avocat, d’obtenir des informations dans une procédure le concernant auprès du haut magistrat, contre une promesse d’intervention pour un poste de prestige à Monaco. Des faits passibles de 10 ans de prison.  Cet arbitrage a abouti à une sentence accordant 403 millions d’euros à Bernard Tapie, en juillet 2008, pour régler son litige avec le Crédit lyonnais sur la revente d’Adidas. Les magistrats soupçonnent un « simulacre d’arbitrage » pour favoriser l’homme d’affaires, avec l’aval de l’exécutif. Cinq personnes sont mises en examen pour « escroquerie en bande organisée », dont Bernard Tapie, un des juges arbitres et l’ex-directeur de cabinet du ministère de l’Économie aujourd’hui patron d’Orange Stéphane Richard. Le secrétaire général de la présidence de l’époque, Claude Guéant, a été entendu en garde à vue fin mai.  L’ex-secrétaire général adjoint de l’Élysée, François Pérol, a été mis en examen début février pour prise illégale d’intérêts, quatre ans après sa nomination controversée à la tête du groupe bancaire BPCE. L’enquête est close. Le parquet doit prendre ses réquisitions avant un éventuel renvoi en correctionnelle par le juge.  Une enquête pour détournement de fonds publics a été ouverte en octobre 2013 par le parquet de Paris sur le financement d’un meeting de Nicolas Sarkozy, à Toulon fin 2011. Ce meeting n’avait pas été inscrit dans les dépenses de campagne, ce qu’avait épinglé le Conseil constitutionnel. Le Canard enchaîné et le site Atlantico ont diffusé début mars des enregistrements clandestins réalisés par Patrick Buisson, issu de l’extrême droite, lorsqu’il conseillait Nicolas Sarkozy à l’Élysée.

Sarkozy n’a pas changé pour 67% des Français (Sondage Odoxa)

Sarkozy n’a pas changé pour 67% des Français (Sondage Odoxa)

 

 

Paradoxe apparent 67%  Français estiment dans un sondage Odoxa pour I Télé que Sarkozy n’a pas changé, que son retour pour 55% n’est pas une bonne chose pour le pays mais que c’est le candidat le mieux à même de redresser face à Hollande, Valls ou Lepen. Un paradoxe qui n’est en effet qu’apparent, les Français savent bien que Sarkozy ne changera pas son excitation permanente, ses outrances, son coté bling, bling. Pour preuve, les formules excessives qu’il emploit déjà : « tout réinventer » alors qu’il prend les mêmes dans son entourage. Pour preuves, sa reconversion dans la finances et les fonds d’investissement. Pour autant comme l’offre politique est très pauvre, Sarkozy n’aurait pas de mal à battre Valls, Hollande ou Lepen. (Mais d’autres auusi à l’UMP). Un tiers des Français seulement pense donc que Nicolas Sarkozy, qui a officialisé ce vendredi son retour en politique, a changé,  Et plus d’un Français sur deux (55%) pense que son retour est une «mauvaise chose», selon cette étude menée par Odoxa, pour le Parisien-Aujourd’hui en France, CQFD et iTélé, qui montre en revanche qu’il est jugé comme le mieux à même de redresser le pays.  Pour 67% des sondés, Nicolas Sarkozy n’a pas changé. 33% seulement pensent l’inverse, selon ce sondage réalisé ce vendredi. Au niveau des sympathisants de droite, ils sont tout de même 52% à penser qu’il a changé, un avis que seuls 13% des sympathisants de gauche partagent. En annonçant ce vendredi sur sa page Facebook sa candidature «à la présidence de (sa) famille politique», Nicolas Sarkozy assure, lui, avoir pris «le recul indispensable pour analyser le déroulement de (son) mandat» et en avoir «tiré les leçons». Plus inquiétant pour lui, seuls 44% des Français pensent que son retour est une «bonne chose», tandis que 55% des sondés pensent l’inverse. Parmi les partisans de son retour, en trouve évidemment une grande majorité de sympathisants de droite : 72% d’entre eux sont en effet satisfaits, tandis que seulement 12% des sympathisants de gauche voient d’un bon œil la candidature de Nicolas Sarkozy.  En revanche, face à François Hollande, Manuel Valls ou Marine le Pen, Nicolas Sarkozy est jugé systématiquement comme le plus «à même de redresser le pays». 64% de sondés lui font ainsi plus confiance qu’à  la leader du FN (28%). Face à François Hollande, Nicolas Sarkozy réunit 60% d’opinions favorables, contre 32% pour l’actuel chef de l’Etat. 51% des sondés jugent enfin Nicolas Sarkozy plus à même de redresser le pays que Manuel Valls (43%).

Sarkozy : le retour de celui qui n’est pas parti

Sarkozy : le retour de celui qui n’est pas parti

 

Sarkozy annonce son grand retour pour toute changer et même réinventer la politique. En faiat il n’est jamais parti et il n’a cessé d’adresser des messages sur son envie de pouvoir. Pas sûr donc qu’il ait pris le recul nécessaire pour avoir compris et changé. Un retour par ailleurs très risqué car son avenir politique pourrait être plombé par 7 ou 8 affaires qu’il raine encore. En tout cas les rancis, pour l’instant ne rient pas qu’il ait changé et même que ce retour soit souhaitable. Nicolas Sarkozy a donc annoncé vendredi sa candidature à la présidence de l’UMP, première étape vers la reconquête de l’Elysée, qu’il ambitionne de reprendre en 2017 au nom du « sursaut » d’une France en « désarroi ». Dans une longue déclaration diffusée sur son compte Facebook, et relayée sur Twitter, l’ancien président, battu le 6 mai 2012 par le socialiste François Hollande, assure avoir tiré « les leçons » de son mandat et affirme « écarter tout esprit de revanche ou d’affrontement ».  Sans jamais désigner l’UMP par son nom, comme un acte de décès, Nicolas Sarkozy dit vouloir « réinventer » avec « force » et « sincérité » la politique et appelle de ses vœux « un nouveau et vaste rassemblement » dépassant « les clivages traditionnels qui ne correspondent plus aujourd’hui à la moindre réalité ». Une « ouverture » nouvelle manière, qui paraît viser autant la droite et le centre que la gauche, pour « bâtir la formation politique du XXIe siècle ».  L’élection à la présidence de l’UMP se déroule le 29 novembre. Un second tour est prévu le 6 décembre si nécessaire. Nicolas Sarkozy, qui présida l’UMP de novembre 2004 à mai 2007, affrontera l’un de ses anciens ministres, Bruno Le Maire, et le député Hervé Mariton lors de l’élection de novembre. Ce sont les militants de l’UMP, majoritairement acquis à Nicolas Sarkozy, qui se prononceront. L’issue du scrutin ne fait guère de doute, bien que Bruno Le Maire promette « une surprise ». En 2004, Nicolas Sarkozy avait été plébiscité par plus de 85% des militants lorsqu’il avait conquis une première fois l’UMP.  L’ancien président, qui a déjà constitué son équipe de campagne autour de Frédéric Péchenard, ancien directeur général de la Police nationale, et a rallié ou débauché nombre de soutiens à droite, proposera, écrit-il, de transformer le mouvement « de fond en comble ». L’ancien président, qui projette d’aller à la rencontre des Français, tiendra son premier meeting jeudi prochain à Lambersart (Nord), près de Lille, a annoncé le député UMP du Pas-de-Calais Danielle Fasquelle sur Twitter.  Son objectif : « créer, dans un délai de trois mois, les conditions d’un nouveau et vaste rassemblement qui s’adressera à tous les Français, sans aucun esprit partisan ». « Ce vaste rassemblement se dotera d’un nouveau projet, d’un nouveau mode de fonctionnement adapté au siècle qui est le nôtre et d’une nouvelle équipe qui portera l’ambition d’un renouveau si nécessaire à notre vie politique », écrit-il. Nicolas Sarkozy, qui avait dit sa volonté de se retirer de toute activité publique au soir de sa défaite, explique s’être donné depuis « le temps de la réflexion », de l’autocritique « sans concession » aussi, qui lui aurait permis de « mesurer la vanité de certains sentiments ». Dans cette tribune, il offre de lui l’image d’un dirigeant qui aurait gagné en recul, en pondération et en sagesse, alors que les traits d’image qui ont pesé sur son quinquennat (impulsivité, bling-bling…sont encore cités comme rédhibitoires dans les enquêtes d’opinion.

Sarkozy englué dans les affaires demande l’annulation de la procédure liée aux écoutes

Sarkozy englué dans les affaires demande l’annulation de la procédure liée aux écoutes

 

Bien compliqué ces méandres juridiques, Sarkozy a été écouté pour être soupçonné de financement par Kadhafi ; or ces écoutes ont révélé une autre affaire : une tentative de corruption active d’un magistrat. Sarkozy veut faire annuler la procédure des écoutes pour qu’on ne parle plus de cette corruption de magistrat. Sur la forme, il n’a pas tort car mas  cela ne change rien au fond. Nicolas Sarkozy et son avocat Thierry Herzog ont déposé vendredi leurs requêtes en nullité de la procédure dans l’affaire où ils sont mis en examen sur le soupçon d’avoir corrompu un magistrat, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information d’i-Télé et du Point.fr.  Les avocats des mis en examen dans cette affaire avaient déjà annoncé qu’ils attaqueraient la procédure et s’en étaient pris notamment aux écoutes téléphoniques à l’origine du dossier. « Ces faits ne reposent que sur des écoutes que nous contestons et dont la légalité sera fortement combattue », avait promis l’avocat de Thierry Herzog, Me Paul-Albert Iweins, dès sa mise en examen début juillet.  Paul-Albert Iweins a confirmé qu’il avait déposé une requête en « nullité de la procédure » devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris, mais il n’a fait aucun autre commentaire.  Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue début juillet -une première pour un ex-président- puis mis en examen pour corruption active, trafic d’influence actif et recel de violation du secret professionnel. Les juges d’instruction Patricia Simon et Claire Thépaut le soupçonnent d’avoir tenté, avec Me Thierry Herzog, son avocat, d’obtenir des informations couvertes par le secret sur une procédure le concernant -la saisie de ses agendas dans l’affaire Bettencourt- auprès d’un magistrat de la Cour de cassation, Gilbert Azibert.  En échange, Nicolas Sarkozy aurait promis d’intervenir pour que ce dernier obtienne un poste de prestige à Monaco. Mis en examen comme Me Thierry Herzog, Gilbert Azibert est aussi soupçonné d’être intervenu pour que la décision de la Cour de cassation lui soit favorable. Au final, l’ex-président n’a pas obtenu gain de cause, ni Gilbert Azibert le poste convoité à Monaco.  L’affaire trouve son origine dans des conversations téléphoniques entre Nicolas Sarkozy et son avocat, car l’ancien chef de l’Etat avait été placé sur écoute en septembre 2013 par le juge d’instruction qui enquête sur des accusations de financement libyen de sa campagne présidentielle en 2007. Le juge avait signalé les conversations suspectes au parquet national financier qui avait ouvert une information judiciaire en février.  Selon la jurisprudence de la Cour de cassation, une conversation entre un client et son conseil ne peut être retranscrite et versée dans un dossier judiciaire que s’il apparaît que son contenu est de nature à faire présumer la participation de l’avocat à l’infraction. Gilbert Azibert, qui a pris sa retraite cet été de la magistrature, était de nouveau entendu vendredi par les juges au pôle financier de Paris, avait indiqué un peu plus tôt vendredi une source judiciaire.

 

 

UMP : le risque Sarkozy

UMP : le risque Sarkozy

Maintenant que la décision de Sarkozy est prise pour la présidence de l’UMP, on s’interroge sur les risques que cela peut présenter chez certains responsables du parti. Sarkozy a de fortes chances d’emporter le poste mais on sait qu’il risque de personnaliser à outrance sa fonction de président. Il veut revenir et frapper fort, ce qui signifie sans doute un déferlement médiatique. Comme l’homme n’est pas sans charisme et qu’il est animé par un grand esprit de revanche, ses propos ne feront pas dans la dentelle. En clair il veut tout changer y compris organisation et le nom du parti. Un problème toutefois le calendrier des affaires qu’il traine. Il paraît évident que Hollande ne lui fera pas de cadeau à cet égard et qu’il risque de « solliciter » fortement la fameuse indépendance des juges pour l’enfoncer. En outre les affaires sont tellement nombreuses que certains juges pourraient décider deux –même d’accélérer et d’approfondir des dossiers lourds qui pourraient largement hypothéquer les chances de  Sarko pour 2017. Trois ans à attendre c’est encore long.  Enfin et peut-être surtout en revenant sur la scène certains médias vont se charger de faire émerger certaines dimensions des affaires encore ignorées, exemple ces derneirs jours après l’affaire Air Cocaïne, l’ histoire du fonds de pensions  pour lequel Sarko aurait utilisé l’influence de sa fonction de président. L’extrême personnalisation est un atout car les partis sont très discrédités mais aussi une grande faiblesse, si jamais Sarko est atteint juridiquement par une ou plusieurs affaires, il serait alors difficile de recrédibiliser une autre candidature UMP.

Présidence UMP : Sarkozy candidat

Présidence UMP : Sarkozy candidat

Sarkozy,  candidat sauf si les affaires … C’est ce que l’ex-président de la République a confirmé à ses proches et à quelques amis politiques.  Sur le fond, Nicolas Sarkozy souhaite expliquer les raisons pour lesquelles il se lance à nouveau dans ce challenge compliqué. Car, pour l’ancien président, son dialogue avec les Français s’est interrompu lors de son discours à la Mutualité, le 6 mai 2012, au soir de sa défaite. Sans annoncer formellement son retrait de la vie politique, il avait alors lancé ces phrases ambiguës : « Ma place ne pourra plus être la même. Mon engagement dans la vie de mon pays sera désormais différent. » Il devra donc justifier son changement de cap. Et ne pas donner l’impression que son retour est uniquement dicté par la volonté de se défendre face aux juges qui l’assaillent. « De ce point de vue, l’actualité nous sert, reconnaît un de ses partisans. La France se débat dans une crise économique et morale extraordinairement profonde. Le FN n’a jamais été aussi haut. Qui d’autre peut relever le défi ? »  Conscient des difficultés qui l’attendent, Sarkozy veut tout changer : le nom du parti, l’équipe dirigeante (qu’il souhaite rajeunie), le programme, le prix des cotisations. Reste que cette annonce officielle de Sarkozy à la tête de l’UMP pourrait bien être plombée ou différée par les affaires. Des affaires qui structurent l’agenda politique de l’ancien président dies des mois.

 

La candidature de Sarkozy à l’UMP plombée par une nouvelle affaire

La candidature de Sarkozy à l’UMP plombée par une nouvelle  affaire

 

Certains se demandent pourquoi Sarkozy tarde autant à annoncer sa candidature pour la présidence de l’UMP. La réponse est claire, ce sont les casseroles qu’ils trainent qui structure son agenda. Il lui faudra donc trouver une fenêtre de tir  favorable pour annoncer son retour. Normalement il devait annoncer ces jours-ci cette candidature mais encore une nouvelle affaire vent de surgir et risque d’être étalée celle d’Air Cocaïne et du fonds investissement.  Selon le journal Libération, Nicolas Sarkozy aurait démarché émirs et milliardaires lorsqu’il était président de la République afin de financer un projet de fonds d’investissement conduit avec Stéphane Courbit. Une nouvelle affaire se profile pour Nicolas Sarkozy. Ce dernier aurait, lors de son mandat présidentiel, utilisé son carnet d’adresses et démarché des émirs et des milliardaires pour financer Columbia, un projet de fonds d’investissement, selon le journal Libération. Le média explique que « l’ex-président a effectué trois voyages en jet privé à New York, Doha et Abou Dhabi, payés 301.000 euros par Lov Group Industrie (LGI), la société de son ami Stéphane Courbit », d’après des documents saisis par la police au siège de LGI, auxquels Libération a eu accès. Le journal ajoute qu’ils correspondent « aux recherches de fonds de l’ancien président », retraçant « l’histoire secrète de l’homme d’affaires Sarkozy, prêt à user de son influence d’homme d’État pour faire fortune. » Toujours selon le média, Nicolas Sarkozy aurait réussi à obtenir « un engagement de 200 millions d’euros du Qatar, avant que Columbia ne capote ». Tout serait parti de l’affaire « Air Cocaïne », un Falcon rempli de cette drogue saisi en république dominicaine. C’est au siège de l’affréteur de l’avion que « les policiers découvrent dix factures payées par LGI, dont trois concernant Nicolas Sarkozy. »

« Hollande : pire que Sarkozy (Mélenchon)

« Hollande : pire que Sarkozy (Mélenchon)

C’est le jugement de Mélenchon qui n’a pas complètement tort. Hollande passé sans état d’âme en deux ans d’une  politique socialiste, à une version social démocrate puis purement libérale. François Hollande est « pire » que Nicolas Sarkozy. La vérité est d’ailleurs encore plus cruelle car en faiat Hollande n’a aucune autre politique que la conquête et le maintien au pouvoir (comme beaucoup d’autres responsables politiques y compris Sarkozy). La sentence vient d’un des plus grands contempteurs du gouvernement depuis plusieurs mois, Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche). L’ancien candidat à la présidentielle note que chez « monsieur Sarkozy, c’était la retraite à 62 ans, monsieur Hollande, c’est la retraite à 66 ans. Monsieur Sarkozy et monsieur Fillon ont donné 35 milliards (d’euros) au patronat en deux plans d’austérité. Quand on fait le total des concessions qu’a fait ce gouvernement, c’est 90 milliards », a-t-il développé. L’ancien candidat à la présidentielle qui a quitté la co-présidence du Parti de gauche vendredi a affirmé qu’il était hors de question qu’il se « rassemble » avec « des gens qui sont en train de ruiner le pays et d’étrangler ceux qui ne peuvent pas se défendre ». Il affirme également que l’exécutif en train de « ruiner » la France et « d’étrangler ceux qui ne peuvent pas se défendre ». Jean-Luc Mélenchon n’a pas été plus tendre avec les députés frondeurs du PS, qu’il accuse de manquer de courage. « Ils confondent l’Assemblée nationale avec le congrès du PS (…) Je leur dis: ‘Assumez! Pourquoi vous contentez-vous de couiner? Si vous n’êtes pas d’accord avec le budget votez contre’ », leur a-t-il intimé. Appelant de ses vœux un « grand mouvement populaire », il a affirmé qu’il œuvrerait à la construction d’un « collectif avec des gens qui ne travaillent pas ensemble », en faveur de la VIe République.  »C’est la règle du jeu qu’il faut changer. Il faut que les Français aillent au bout de leur dégoût, de leur rejet de la caste qui dirige », a estimé Jean-Luc Mélenchon. Il s’est notamment dit prêt à travailler avec les écologistes qui partagent son analyse. « Mme Duflot, elle a enlevé la muselière, je la félicite. Il lui a fallu deux ans de plus qu’à nous pour comprendre de quoi il retournait », a-t-il pointé. Jean-Luc Mélenchon doit prononcer dimanche matin le discours de clôture du « Remue-méninges », l’université d’été du PG.

 

« Si Sarkozy recommence ses conneries , je ferai campagne contre lui  » (Morano)

« Si Sarkozy recommence ses conneries , je ferai campagne contre lui  » (Morano)

 

Nadine Morano menace Nicolas Sarkozy de faire campagne contre lui pour la présidence de l’UMP. Elle reproche à l’ancien président les choix qu’il pourrait faire pour former sa garde rapprochée. En cette fin du mois d’août, Nadine Morano avance sa rentrée sous les feux de l’actualité par ses déclarations fracassantes. L’ancienne ministre fustige Nicolas Sarkozy dans les colonnes du magazine Marianne de ce jeudi 21 août.  Après ces propos sur la femme voilée sur une plage, Nadine Morano s’interroge sur la stratégie de l’ancien locataire de l’Elysée dans la perspective de son retour en politique. Nadine Morano menace de prendre ses distances avec Sarkozy, alors qu’elle est considérée comme une ultra-sarkozyste, si l’ancien président ne s’appuie pas sur sa vieille garde.  Nadine Morano veut faire partie de l’équipe que constitue Nicolas Sarkozy en vue de son retour en politique. Elle ne souhaite rester sur le bord de la route. Alors elle fait entendre sa voix. Dans Le quotidien Le Monde du 7 août, elle exhortait Sarkozy de bien s’entourer.  Elle poursuivait convaincue et conseillait Nicolas Sarkozy à la plus grande vigilance. »C’est à lui de choisir les bons. Il ne peut pas s’entourer que d’énarques ou d’héritiers ». Et pour être sûr que son message soit entendu, elle en rajoute maintenant une couche bien dans son style.  Dans les colonnes de Marianne, la députée européenne UMP semble exprimer tout haut ce que certains pensent peut-être en sourdine. En outre, le retour de l’ex-président de la République suscite des convoitises de tous bords au sein de l’UMP et il y a ceux qui espèrent faire partie du bateau de la reconquête. Nadine Morano lance dans Marianne ce jeudi 21 août un avertissement qui sonne comme un ultimatum à Nicolas Sarkozy.   Elle espère qu’il ne va pas reproduire ses choix d’équipe qui, selon elle, ont finalement conduit au résultat décevant de la présidentielle de 2012. Elle tonne, « qu’il recommence ces conneries là et je ferai campagne contre lui ». C’est du Nadine Morano dans le texte, mais il parait difficile que cette fidèle parmi les fidèles se mette en travers de la route de Nicolas Sarkozy.

 

2017 : Juppé double Sarkozy

2017 : Juppé double Sarkozy

Sarkozy ne s’attendait certainement pas à cette annonce prématurée de la candidature de Juppé pour 2017. En fait c’est une course de vitesse qui est engagée et pour l’instant c’est Juppé qui a pris la tête. Il faut dire que Jupé bénéficie actuellement d’une bonne cote dans l‘opinion même su Sarko est populaire parmi les militants de l’UMP. A force de minauder «  «  j’y vais, j’y vais pas » Sarko vient de perdre la première phase tactique. Une phase  qui pourrait bien le contraindre dans les prochains jours à se déclarer candidat à la présidence de l’UMP pour reprendre en main l’appareil et à l’occasion éjecter Huppé. Sarko a sans doute beaucoup trop attendu et ses casseroles commencent à devoir beaucoup l’opinion. ((On peut auusi compter sur Hollande pour noyer Sarko dans ces affaires)  Une opinion qui pense d’ailleurs que la droite ne fera pas mieux que la gauche ; alors que la gauche ne bénéficie plus que de 15% d’opinion favorable. Bref une crise politique qui dépasse sans doute la seule problématique des  personnalité qui pose doute simplement la nature de na démocratie, les conditions de choix des élites et surtout le projet susceptible à la fois de limite es gaspillages financiers et de remettre la France au travail. (Ce que ne pas faiat Sarko qui n’a pas osé supprimer les 35 heures qui ont plombé la croissance et le chômage).

Encore une enquête pour Sarkozy

Encore une enquête pour  Sarkozy

Encore une enquête , une de plus,  pour Sarkozy qui aura bien du mal à se sortir du bourbier judicaire dans lequel il s’enfonce chaque jour un peu plus. Des enquêtes sans doute justifiées par son rapport approximatif à la loi mais auusi sans doute largement encouragées par se concurrents tant de la gauche que de la droite. Le procureur de Paris a « ouvert en toute discrétion, début juillet, une nouvelle enquête préliminaire visant Nicolas Sarkozy » sur des soupçons de financement illégal de la campagne 2007, annonce Aujourd’hui en France/Le Parisien dans son édition de mardi.  Nouveau souci en vue pour Nicolas Sarkozy. Le procureur de Paris a ouvert, début juillet, une nouvelle enquête préliminaire visant Nicolas Sarkozy sur des soupçons de financement illégal de la campagne 2007, selon Le Parisien.  »Les investigations visent un système de fausses factures présumé qui, comme dans l’affaire Bygmalion auraient permis d’imputer frauduleusement des dépenses de campagne du candidat sur les comptes de son parti », précise le journal. Comme dans l’affaire Bygmalion, « une société impliquée dans la campagne 2007 auraient facturé diverses prestations à l’UMP, alors qu’elles avaient été assurées pour le compte du candidat Sarkozy » poursuit le quotidien. Déjà mis en examen pour « trafic d’influence, corruption active et recel de violation du secret de l’instruction » dans l’affaire des « écoutes téléphoniques, l’ancien président est au centre de plusieurs dossiers judiciaires susceptibles de contrarier son éventuel retour en politique.

1...2829303132...37



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol