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Inflation Zone euro: ralentissement de 0,7 % sans beaucoup de signification

Inflation Zone euro:  ralentissement de 0,7 % sans beaucoup de signification

 

 

On pourrait imputer le ralentissement de l’inflation en zone euro à la baisse des prix du pétrole et à la paralysie de l’économie. L’inflation dans la zone euro a en effet nettement ralenti en mars pour tomber à 0,7% seulement en rythme annuel contre 1,2% en février, montrent vendredi les chiffres définitifs publiés par Eurostat, qui confirment sa première estimation. Mais ce chiffre n’a guère de signification dans la mesure où on constate une nette déformation de la structure de consommation des ménages qui se concentrent surtout sur l’achat de biens essentiels et qui diffèrent une grande partie des autres biens notamment d’équipement.

Coronavirus : « L’Etat décide tout seul sans connaître les réalités (Jean-Luc Moudenc)

Coronavirus : « L’Etat décide tout seul sans connaître les réalités (Jean-Luc Moudenc)

Jean-Luc Moudenc, président de France urbaine et maire de Toulouse relaie les difficultés des maires des grandes villes dans une interview au JDD. Il alerte : « Il y a un hiatus incroyable entre le discours du gouvernement et ce que nous vivons. » (Interview de l’AFP)

Dans ses dernières communications, France urbaine hausse le ton. Pourquoi ce changement?
Les maires sont en première ligne dans ce combat, surtout ceux des grandes villes. C’est en milieu urbain que les problèmes sont les plus aigus, sur la gestion de l’espace public, l’accueil des enfants de soignants, l’hébergement des sans-abris… Nous sommes aux côtés de l’Etat, relayant les consignes nationales, prenant des initiatives. Mais nous avons besoin de l’aide, de la validation, de la souplesse de l’Etat. Chaque lundi, nous écrivons au Premier ministre pour soulever des questions pratiques, et nous n’avons aucune réponse depuis le début de la crise. Nous haussons le ton pour nous faire entendre, pas pour polémiquer.

Les Agences régionales de santé (ARS) ne sont-elles pas là pour répondre à vos questions?
On est globalement très mécontents. Soit elles ne nous répondent pas, soit de manière contradictoire d’un territoire à l’autre. J’ai écrit par exemple il y a quinze jours à l’ARS d’Occitanie pour avoir des tests de dépistage pour nos Ehpad, mais je n’ai eu aucune réponse. On comprend que les ARS soient débordées mais nous aussi, on est sur le pont.

Quelles réponses attendez-vous?
Justement sur le dépistage dans les Ehpad : il y a un hiatus incroyable entre le discours du gouvernement et ce que nous vivons. On nous dit depuis deux semaines que les tests de dépistage vont arriver, mais quand on s’adresse aux ARS, on constate qu’elles n’en ont pas! Alors on fait du bricolage.

Concrètement, quelles conséquences cela a-t-il pour vous?
Dans un Ehpad d’une ville membre de France urbaine, quatre agents étaient infectés ou suspectés de l’être. Il fallait 130 tests pour dépister personnels et résidents. L’hôpital en a fourni 40, et un laboratoire privé 80, grâce aux relations personnelles du maire. Mais ce laboratoire ne fera ce geste qu’une fois : si un autre établissement doit être testé, il n’y aura pas de solution.

Il y a un hiatus incroyable entre le discours du gouvernement et ce que nous vivons

 

Êtes-vous en mesure d’accueillir les enfants du personnel soignant et de sécurité?
Nous pouvons en accueillir dix fois plus! C’est une autre demande que nous avons. Nos locaux sont aujourd’hui largement sous employés : à Toulouse, j’ai ouvert huit groupes scolaires pour 90 enfants… Or l’Etat a décidé de réserver cette possibilité aux soignants, policiers nationaux, gendarmes et pompiers. Comment comprendre que ce ne soit pas possible pour la police municipale? Elle aussi assure le respect du confinement! Pour nous, maires, se pose aussi la question du personnel des Ehpad, des caissiers, de ceux qui nettoient écoles et crèches, qui assurent la collecte des ordures – tâches ingrates ô combien stratégiques! Comme l’accueil des enfants est assuré par l’Education nationale, nous avons besoin de l’autorisation des recteurs pour l’ouvrir à d’autres publics. Certains sont plus ou moins compréhensifs d’une académie à l’autre. Et nos agents qui remplissent cette tâche aux côtés des enseignants ne sont mêmes pas autant protégés qu’eux!

Que voulez-vous dire?
On apprend par la bande, sans même que les maires soient consultés, que l’Education nationale va équiper de masques ses personnels. L’Etat a décidé tout seul dans son coin. Et au mépris de la doctrine qu’il a lui-même mis en oeuvre, à savoir réserver les masques aux malades et aux soignants! La rentrée scolaire à Toulouse est le 20 avril : mes agents vont voir les enseignants masqués et pas eux, ils vont prendre peur et me demander ce que je fais! Et il y autre problème que nous avons : l’information du public.

C’est-à-dire?

On prend plein de mesures pour relayer l’action de l’Etat. Mais la grande majorité des élus des grandes villes sont dans l’entre-deux-tours des municipales : il nous est interdit de communiquer sur les actions de notre collectivité car nous sommes en période électorale. Nous demandons une dérogation exclusivement pour la communication de crise. Par exemple pour éviter que des habitants découvrent que plusieurs espaces municipaux sont fermés au public. Ou encore, pour informer les Toulousains des adresses des 13 centres de consultation dédiés aux personnes potentiellement atteintes par le Covid-19, que nous avons ouvert avec l’ordre des médecins.

Il faut que ce gouvernement regarde les élus locaux autrement, de manière positive, et qu’il nous fasse confiance

Pourquoi les réponses tardent-elles?
Cette crise révèle des failles dans l’organisation de l’Etat en France. Pour être franc – et le contraire serait indécent – je ne cherche pas la polémique. Je ne suis pas sûr que ça se passerait mieux avec un autre gouvernement. Le sujet est celui de la déconcentration : les administrations de l’Etat sur le terrain sont pauvres en ressources humaines et en moyens. Elles auraient, sinon, davantage de possibilités pour dialoguer avec nous. Il faut que ce gouvernement, où il n’y a pas que des décentralisateurs, regarde les élus locaux autrement, de manière positive et qu’il nous fasse confiance. On le dit depuis trois ans.

Macron ,sans masque, provoque un attroupement en Seine-Saint-Denis

Macron ,sans masque,  provoque un attroupement en Seine-Saint-Denis

Une drôle de pédagogie du président de la république en matière de confinement. En effet, il a provoqué un attroupement en Seine Saint Denis évidemment en ayant convoqué les caméras. Le pire c’est qu’il n’avait pas de masque et que la petite foule rassemblée ne respectait aucune mesure de distanciation. Pour un peu le président de la république aurait accepté de signer des autographes et de se laisser prendre en photo avec ses supporters.

Notons quand même que le département de la Seine-Saint-Denis est l’un des plus touchés du fait sans doute de la population au mètre carré. On peut d’abord s’interroger sur l’intérêt de ces placements quasi quotidiens de Macron dont l’objet est moins de soutenir les acteurs de la lutte contre le virus que de se montrer devant les caméras. Cette attitude du président a été critiquée sur les réseaux sociaux.

Le porte-parole de Debout la France Benjamin Cauchy déplore quant à lui un « bain de foule sans masques ».

Le député LFI Bastien Lachaud estime pour sa part que le président de la République « met en danger les habitants pour un coup de comm. Grotesque. »

Après #Macron au théâtre, Macron à Pantin. Qui suscite un attroupement et met les habitants en danger pour un coup de comm. Grotesque. Que le président montre l’exemple, respecte les consignes. Et qu’il essaye de résoudre un problème plutôt que de les créer. Ça nous changera. pic.twitter.com/ifLmLPN8zh

— Bastien Lachaud (@LachaudB) April 7, 2020

Un attroupement jugé « néfaste en terme de communication » par l’éditorialiste Anna Cabana.

« Cela renvoie un signal qui n’est pas du tout celui du discours porté par l’exécutif à savoir la distanciation sociale et le respect strict du confinement ».

Un discours qui doit s’appliquer à tous et donc aussi président de la République. « Ce sont des images un peu gênantes [...] un quasi-bain de foule pas très bienvenu », observe Bruno Jeudy.

Mais l’exercice présidentiel s’apparente à celui d’un équilibriste, tant celui-ci doit tout de même s’afficher au front de cette crise sanitaire. Un vrai paradoxe.

« Il doit montrer qu’il est là, sur le terrain et qu’il est au contact des Français, qu’il n’est pas le président enfermé dans une tour d’ivoire. C’est capital dans ce temps là », ajoute Anna Cabana.

 

Coronavirus: L’UE crée un fonds de 25 milliards …. sans argent !

Coronavirus: L’UE crée un fonds de 25 milliards …. sans argent !

 

Alors que l’union européenne n’est pour l’instant pas même capable d’élaborer son budget pour la période 2021 2027 notamment du départ du Royaume-Uni, l’union européenne sort de son chapeau un fonds destiné à compenser les conséquences du Coronavirus mais sans argent frais. Autant dire qu’il s’agit d’un redéploiement et non véritablement de la création d’un fonds. En outre., la politique européenne n’a défini aucune stratégie de relance qui était déjà nécessaire avant l’apparition du virus chinois.

Pour l’année en cours , on projetait une  très légère hausse de l’activité de l’ordre de 1 % pour le PIB .Avec le Coronavirus,  Il est à peu près certain que l’union européenne risque de connaître la stagnation et certains pays la récession.  Certes on peut se réjouir que toute politique ne passe pas nécessairement par des ressources nouvelles, ce qui constitue un bon principe de gestion. Toutefois compte tenu de l’enjeu à la fois sanitaire,  économique et financier les 25 milliards théoriques ne sont pas du tout adapté aux enjeux

Les chefs d’Etat et de gouvernement des 27 ont donc  tenu une réunion extraordinaire en visioconférence alors que le coronavirus apparu en décembre en Chine ne cesse de contaminer et de tuer toujours plus de personnes en Europe, menaçant de paralyser une partie de l’économie en raison des mesures prises pour tenter d’enrayer sa propagation.

L’Italie, pays le plus touché, fonctionne ainsi au ralenti avec l’extension à tout son territoire des restrictions de circulation et de rassemblement en vigueur depuis le week-end dans une partie du nord du pays. Elle est directement menacée de récession.

“Nous sommes prêts à utiliser tous les instruments qui sont nécessaires”, a déclaré le président du Conseil européen, Charles Michel, qui s’exprimait à l’issue de ce sommet européen en visioconférence.

“Une application souple des règles de l’UE en particulier concernant les aides d’Etat et le Pacte de stabilité et de croissance sera nécessaire”, a-t-il ajouté.

S’exprimant à ses côtés, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a précisé que des directives sur une utilisation plus souple des règles communautaires en matière de budget et de subventions seraient prêtes d’ici la fin de la semaine.

Elle a également annoncé la création d’un fonds d’investissement de 25 milliards d’euros avec déblocage rapide de 7,5 milliards pour aider les secteurs économiques les plus vulnérables à l’épidémie de coronavirus, qui perturbe les chaînes d’approvisionnement et frappe durement le tourisme et le secteur du transport aérien notamment.

“Cet instrument atteindra rapidement 25 milliards d’euros. Pour y parvenir, je proposerai cette semaine au Conseil et au Parlement de libérer 7,5 milliards d’euros de liquidités d’investissement”, a dit Ursula von der Leyen.

Ces 7,5 milliards sont des fonds européens que les gouvernements nationaux n’ont pas été en mesure de dépenser en raison de complexités administratives. Au lieu d’être renvoyés à Bruxelles, les Etats pourront les utiliser pour soutenir leur économie, a précisé un responsable européen à Reuters.

Le total de 25 milliards d’euros sera atteint en ajoutant des “fonds structurels” déjà promis aux pays de l’UE dans le cadre du budget actuel de l’Union européenne, a poursuivi ce responsable, ajoutant que, sans ce mécanisme, il aurait pu être difficile de les dépenser.

Ces fonds devraient commencer à être disponibles dans les semaines à venir, a dit Ursula von der Leyen, selon laquelle ils seront orientés vers les systèmes de santé, les petites entreprises et le marché du travail.

A Paris, Emmanuel Macron a déclaré que les 27 s’étaient entendus pour accorder à chaque Etat membre une “flexibilité budgétaire indispensable” pour faire face aux conséquences sanitaires et économiques de l’épidémie de coronavirus, qui a fait 33 morts et 1.784 cas de contamination en France.

“Au niveau européen, nous avons acté aujourd’hui des flexibilités, d’abord en matière d’aides d’Etat pour que sur les secteurs impactés les Etats membres puissent prendre les dispositifs qui sont requis. Ensuite pour que toutes les clauses qui sont d’ailleurs prévues dans nos traités puissent être activées afin que la contrainte budgétaire pour celles et ceux pour qui elle existe ne soit pas un rempart”, a dit le président français.

Les chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE se retrouveront pour un conseil européen “physique” les 26 et 27 mars à Bruxelles. Il est alors vraisemblable que d’ici une quinzaine de jours, ils pendront la mesure de l’insuffisance des mesures face aux enjeux sanitaires et économiques.

Coupe d’Europe Football : Dortmund–PSG sans public ? Et sans équipe parisienne ?

le match de football de coupe d’Europe Dortmund -PSG soit jpué  joué en huis clos. Une mesure de précaution sanitaire sans doute nécessaire car si l’événement sportif et d’importance reste que l’enjeu de luttes contre le Coronavirus domine les préoccupations sportives. Le match pourrait donc soit être différé ou alors sans public.

 

Sur le plan sportif, on peut se poser la question de même la présence de l’équipe parisienne particulièrement absente lors du match aller à Dortmund et qui a profond mal en déçu. Ce match sera sans doute déterminant pour l’avenir du PSG. En cas de défaite, c’est toute la stratégie du PSG depuis des années qui pourrait être mise en cause après tant et tant de déceptions en coupe  d’Europe eu égard  aux énormes finances engagées. La question se posera bien de la présence non pas physique mais morale et psychologique. Un seul chiffre: en moyenne les joueurs parisiens ont effectué à peu près 2 km de moins que les Allemands pendant le match aller. Un manque évidemment d’engagement physique et une insuffisance d’investissement psychologique. Le PSG s’honore  de gagner  par 4 à 5 buts d’écart  contre de très faibles équipes françaises dont d’ailleurs la plupart sont rapidement éliminés des différentes coupes européennes mais le club parisien est lui aussi régulièrement éjecté lors des huitièmes ou des quarts de finale.

 

En cause sans doute un manque d’esprit de club, aussi des fautes flagrantes de management,  une fébrilité récurrente chez les différents entraîneurs qui ce succèdent. L’équipe du PSG est davantage un rassemblement de grandes vedettes internationales surpayées qu’un véritable club partageant la même culture, le même enthousiasme, la même détermination.

Football : Dortmund–PSG sans public ? Et sans équipe parisienne !

Football : Dortmund–PSG sans public ? Et sans équipe parisienne !

 

 

Suite à la décision récente annoncée par le ministre de la santé d’interdire tous les rassemblements de plus de 1000 personnes, il se pourrait qu’y compris le match de football de coupe d’Europe Dortmund -PSG soit différé ou alors joué en huis clos. Une mesure de précaution sanitaire sans doute nécessaire car si l’événement sportif et d’importance reste que l’enjeu de luttes contre le Coronavirus domine les préoccupations sportives. Le match pourrait donc soit être différé ou alors sans public.

 

Sur le plan sportif, on peut se poser la question de même la présence de l’équipe parisienne particulièrement absente lors du match aller à Dortmund et qui a profond mal en déçu. Ce match sera sans doute déterminant pour l’avenir du PSG. En cas de défaite, c’est toute la stratégie du PSG depuis des années qui pourrait être mise en cause après tant et tant de déceptions en coupe  d’Europe eu égard  aux énormes finances engagées. La question se posera bien de la présence non pas physique mais morale et psychologique. Un seul chiffre: en moyenne les joueurs parisiens ont effectué à peu près 2 km de moins que les Allemands pendant le match aller. Un manque évidemment d’engagement physique et une insuffisance d’investissement psychologique. Le PSG s’honore  de gagner  par 4 à 5 buts d’écart  contre de très faibles équipes françaises dont d’ailleurs la plupart sont rapidement éliminés des différentes coupes européennes mais le club parisien est lui aussi régulièrement éjecté lors des huitièmes ou des quarts de finale.

 

En cause sans doute un manque d’esprit de club, aussi des fautes flagrantes de management,  une fébrilité récurrente chez les différents entraîneurs qui ce succèdent. L’équipe du PSG est davantage un rassemblement de grandes vedettes internationales surpayées qu’un véritable club partageant la même culture, le même enthousiasme, la même détermination.

Transition énergétique : « sans nucléaire ni CO2 : un mirage »

Transition énergétique : « sans nucléaire ni CO2 :  un mirage »

 

L’expert de l’énergie Henri Prévot répond, dans une tribune au « Monde », aux arguments des partisans d’une diminution du parc nucléaire.

Tribune.

 

Selon une tribune parue dans Le Monde, (Energie : « Le problème principal de l’option sans nucléaire est la reconversion des emplois directs du nucléaire dans quinze ans étalée sur vingt ans », par Alain Grandjean, président de la Fondation pour la nature et l’homme ; Cédric Philibert, ancien analyste à l’Agence internationale de l’énergie, et François Lempérière, président d’HydroCoop, Le Monde du 9 février), il serait possible en 2050 de répondre à la demande française d’électricité sans nucléaire ni émissions de CO2, et cela coûterait moins cher qu’avec du nucléaire.

La consommation, est-il écrit, « pourrait atteindre 600 ou 700 TWh (térawattheures ou millions de mégawattheures, MWh) contre 500 TWh aujourd’hui ». La production serait de 60 TWh à partir d’hydraulique, biomasse ou biogaz, 120 TWh à partir de solaire, 180 TWh par des éoliennes sur terre et 340 TWh par des éoliennes en mer. Total : 700 TWh.

 

Pour que ces 700 TWh de production répondent à une demande de 700 TWh, il faudrait pouvoir stocker et déstocker l’électricité sans pertes. Or, pour pallier l’absence de vent pendant seulement une journée, il faudrait dix fois la capacité des stations de transfert d’énergie par pompage (Steps) existantes. Pour doubler la capacité existante, il faudrait plus de 700 kilomètres de réservoirs de cent mètres de large et dix mètres de profondeur. 

Par ailleurs, pour disposer en hiver de l’électricité produite en été par des panneaux photovoltaïques, le seul moyen connu est de passer par la production d’hydrogène et de méthane. Le rendement est très mauvais, à peine plus de 25 %. Pour écrire qu’une production de 700 TWh dont 640 à partir du vent et du soleil pourrait répondre à une demande de 700 TWh, les auteurs se seraient-ils laissé emporter par l’enthousiasme des nouveaux convertis ?

Quels moyens de production pourraient répondre heure par heure à une demande de 600 ou 700 TWh, soit 100 à 200 TWh de plus qu’aujourd’hui ? Sur le papier, on y arrive presque, en ajoutant tout de même une petite production à partir de gaz, qui pourrait être du biogaz.

Mais il y a loin de la feuille de calcul à la réalité concrète.

Une crise sans précédent de l’industrie allemande ?

Une crise sans précédent de l’industrie allemande ?

L’Allemagne pourrait connaître un recul sans précédent de son industrie. Déjà sur le quatrième trimestre 2019 la tendance baissière était proche de 6 %. Les acteurs économiques se veulent cependant encore positifs. L’Indice des Directeurs d’Achat (PMI) du Secteur manufacturier allemand mesure le niveau d’activité des directeurs d’achat du secteur manufacturier. Une lecture au-desssus de 50 indique une expansion du secteur; elle est en zone rouge à 48 au début de mars. Mais la tendance baissière pourrait être notoirement plus importante réellement surtout depuis que le Coronavirus se développe comme en France à une vitesse inquiétante.

Jusqu’à maintenant l’industrie allemande était surtout victime de la baisse du commerce international dont la Chine représente un marché très important. Mais la demande internationale baisse aussi dans de nombreux autres pays. Or  on sait que l’économie allemande repose surtout sur la vitalité de ses exportations entre ( en moyenne l’Allemagne dégageait  par an de l’ordre de 250 milliards de profits tandis que la France affichait  environ  50 à 60 milliards de déficits) . C’est surtout l’industrie et ses exportations qui portent l’économie du pays. Le résultat, c’est que l’Allemagne pourrait tutoyer sérieusement la stagnation voir la récession en 2020.

Déjà fragilisée par plusieurs mois de conflits commerciaux entre les États-Unis et la Chine, l’industrie allemande  »risque de vivre sa plus longue récession » depuis 1990, à cause du nouveau coronavirus, a déploré l’organisation des industriels allemand (BDI) dans son rapport trimestriel.

Pour le quatrième trimestre 2019, l’organisation fait état d’une baisse de 5,7% de la production industrielle sur un an, soit une  »sixième baisse trimestrielle consécutive ».

Le secteur est victime d’une « faible croissance mondiale », d’une  »incertitude globale accrue » et de la  »sous-utilisation de ses capacités de production », qui « freine les investissements », a déploré Joachim Lang, le président du BDI.

La dynamique ne devrait pas s’inverser avec la crise du coronavirus, qui affaiblit depuis le début de l’année le commerce international et met à l’arrêt l’économie chinoise, dont dépend l’industrie allemande pour ses débouchés et son approvisionnement.

L’industrie exportatrice, moteur traditionnel de la première économie de la zone euro, est déjà perturbée depuis plus d’un an par le conflit commercial sino-américain et la menace d’un Brexit dur, qui ont fragilisé ses débouchés.

La sortie effective du Royaume-Uni de l’Union européenne, et la signature d’un accord entre les États-Unis et la Chine mi-janvier avaient un temps stimulé les espoirs d’embellie.

Les Balkany condamnés à la prison qu’ils ne feront sans doute pas !

Les Balkany condamnés à la prison qu’ils  ne feront sans doute pas !  

 

 

On peut considérer que la Cour d’appel a condamné avec sévérité à nouveau les époux Balkany. Les peines de prison apparaissent lourdes. Cependant il est probable qu’ils n’effectueront pas ces peines. On se souvient en effet de miracles sanitaire qui a permis à Isabelle Balkany de passer du statut de mourante justifiant son exemption de prison à celui de militante requinquée et  revancharde.

Patrick Balkany, lui aussi a été libéré pour motif de santé. Les deux intéressés qui n’ont jamais manqué de souffle risquent donc d’être exemptés une nouvelle fois de peine de prison. il se  pourrait qu’  Isabelle Balkany se découvre à nouveau une santé très précaire pour échapper à la sentence. De son  côté, Patrick Balkany apparaît aujourd’hui affaibli par la maladie et sa réincarcération paraît douteuse. Ce que savaient sans doute les juges de la cour d’appel qui ont  confirmé les peines de quatre ans pour l(un et trois ans pour l’autre. L’ancien maire de Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), qui était présent à l’audience, a écopé de quatre ans de prison, dont un avec sursis, et Isabelle Balkany de trois ans de prison ferme, mais sans mandat de dépôt dans les deux cas, selon la presse.Ils ont également été condamnés à 10 ans d’inéligibilité.

Ces condamnations ne sont guère différentes de celles qui avaient été infligées en première instance par le tribunal correctionnel de Paris qui les avait condamnés respectivement à cinq ans de prison ferme (dont un an avec sursis) et à quatre ans de prison ferme. Les Balkany, amis de l’ancien président Nicolas Sarkozy, étaient accusés d’avoir soustrait au fisc un patrimoine important, se chiffrant en millions d’euros, afin de minorer le montant de leurs impôts sur le revenu et la fortune entre 2009 et 2015.

Incarcéré le 13 septembre 2019 à la prison de la Santé, à Paris, Patrick Balkany a été remis en liberté pour raison de santé le 12 février dernier. Il a été condamné également à une peine de cinq ans de prison pour blanchiment de fraude fiscale.

Finalement, les Balkany vont pouvoir profiter librement du patrimoine confortable qui leur reste et dont les conditions d’acquisition demeurent  toujours aussi douteuses. Il faut espérer Isabelle Balkany aura au moins la pudeur de ne plus affirmer que « pas un sou de l’argent public n’a été détourné « comme si la fraude organisée de l’impôt de façon massive n’était pas de l’argent public sans parler du reste qui n’a pu être suffisamment prouvé.

 

 

Coronavirus : ça va durer sans doute des mois ( Macron)

Coronavirus : ça va durer sans doute des mois ( Macron)

 

D’une certaine manière, Macron a pris un peu à contre-pied les autorités politiques et même sanitaires qui jusque-là pratiquaient  une valse hésitation entre transparence et attentisme. Témoin par exemple les assurances douteuses sur le contrôle de la situation et aussi le flou concernant la question des rassemblements. De ce point de vue, Macron opère une rupture en déclarant nettement que la crise du Corona virus pourrait durer des semaines et sans doute des mois. En clair vraisemblablement jusqu’à l’été.

 

Une déclaration qui implique par contre de prendre des mesures à la hauteur tant sur le plan sanitaire que sur le plan économique. Il ne suffit pas en effet d’affirmer qu’ils sont prêts faut-il encore le démontrer. Exemple cette curieuse mesure de contingentement des masques de protection.

 

La déclaration de Macron est nette mais il faudra que le gouvernement et les différentes autorités mettent les moyens en cohérence avec l’enjeu d’un bouleversement considérable sur le plan sanitaire et économique. Il faudrait notamment être beaucoup plus clair sur la question des regroupements voire  des mesures de confinement pour les zones très touchées. Jusque-là les autorités ont fait preuve d’une grande complaisance même d’une grande faiblesse surtout ce qui pouvait entraver la mobilité sans doute pour ne pas nuire au business. On peut comprendre qu’on soit inquiet évidemment des conséquences économiques en particulier concernant le tourisme. On comprend bien moins qu’on est autorisé certaine manifestations sportives où la promiscuité est de rigueur. Certes compte tenu de l’ampleur du phénomène, la gestion est complexe. Il ne s’agit pas de créer la panique mais de gérer une situation fluctuante dans la plus grande transparence par exemple comme en Grande-Bretagne en envisageant au sommet de la crise 20 % de travailleurs pourraient être condamnés à rester chez eux. D’où des maintenant des mesures de soutien économique et social qui devront s’imposer pour limiter les dégâts. Les déclarations d’intention ne suffiront pas. « Nous continuerons de faire bloc, c’est ce que nous devons à notre pays », a poursuivi le chef de l’État, en adressant une pensée aux quatre personnes décédées après avoir été infectées par le virus.

« Nous sommes rentrés dans une phase qui va durer des semaines et même sans doute des mois » et « il est indispensable d’avoir la clarté, la résilience, le sang-froid et la détermination pour freiner d’abord l’épidémie, ce que nous sommes en train de faire, puis lutter contre celle-ci ».

Baisse du chômage sans croissance: le miracle statistique français

  • Baisse du  chômage sans croissance: le miracle statistique français
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  • Il y a sans doute un miracle français, celui de la baisse du chômage qui se produit pratiquement sans croissance  ou alors avec une croissance tellement insignifiante qu’on peut s’interroger à propos de la réalité des chiffres. Selon les données du ministère du travail le chômage de la catégorie A aurait reculé de 1,7 % au quatrième trimestre alors que la croissance s’est encore tassée pour n’atteindre que 0,2 %. Conclusion, la France sait créer des emplois sans croissance  ! Il faut dire que les progressions annoncées sont de l’épaisseur du trait puisque le nombre de demandeurs d’emploi aurait reculé d’environ 50 000 pour 3 300 000 personnes inscrites. Une diminution du nombre de chômeurs due sans doute davantage à des calculs statistiques plutôt qu’à de vraies créations d’emplois. Surtout avec le halo du chômage. Les personnes qui ont renoncé à s’inscrire qui représentent autour de 1,5 millions de personnes. Le nombre de demandeurs d’emploi en “catégorie A” aurait donc  reculé de 1,7% au quatrième trimestre 2019 en France métropolitaine, soit une baisse de 3,1% sur un an, selon les données publiées lundi par le ministère du Travail (Dares). Notons aussi que seulement 20% des anciens inscrits en Catégorie A retrouvent effectivement un emploi.
  • Pour les autres,  il s’agit des personnes qui sont entrées en stage (233.000 personnes), celles qui ont arrêté de chercher (182.000 personnes), celles qui n’ont pas actualisé leur situation (926.000 personnes) et enfin celles qui ont été radiées (176.600 personnes).
  • Ainsi officiellement,  le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi a ainsi reculé de 55.700, à 3.308.800 millions de personnes.
  • Au cours des trois derniers mois, la baisse est particulièrement sensible chez les moins de 25 ans (-2,2%). Elle est en revanche plus timide pour les demandeurs d’emploi âgés de 50 ans et plus (-0,9%). En incluant les départements et régions d’outre-mer, hors Mayotte, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A s’élève à 3.553.700 millions (-1,7% sur le trimestre et -3,3% sur un an).

Un million de jeunes sans emploi et sans formation

Un million de jeunes sans emploi et sans formation

 

Le  ministère du Travail (Dares) a recensé plus de 963.000 jeunes âgés de 16 à 25 ans qui ne sont ni en études, ni en emploi, ni en formation. , ils représentent plus d’un jeune sur 10 (12,9%) de cette classe d’âge. Derrière ces chiffres, la situation de ces personnes révèle parfois des parcours chaotiques et une scolarité souvent hachée. Pour tenter de lutter contre le décrochage scolaire et l’absence de diplôme, l’obligation de formation jusqu’à 18 ans doit entrer en vigueur à partir de septembre 2020.  »Tous les jeunes de cette tranche d’âge devront se voir proposer une formation. Les pouvoirs publics et les institutions devront les accompagner et leur proposer une formation » avait expliqué le secrétaire d’Etat, Gabriel Attal, dans un entretien accordé à La Tribune en décembre dernier. En attendant, des milliers de jeunes restent en dehors des circuits d’insertion malgré la baisse du chômage. Parmi les jeunes actifs, le taux de chômage était proche de 21% en 2018 contre 9% pour le reste de la population. Sur ce point, la situation des non-qualifiés demeure particulièrement préoccupante.  Le rôle du diplôme demeure déterminant face au chômage et la précarité même si de récents travaux ont montré que l’insertion professionnelle, même pour les plus diplômés, peut s’avérer bien plus complexe qu’auparavant.

Baisse du chômage sans croissance: le miracle statistique français

Baisse du  chômage sans croissance: le miracle statistique français

 

 

 

 

Il y a sans doute un miracle français, celui de la baisse du chômage qui se produit pratiquement sans croissance  ou alors avec une croissance tellement insignifiante qu’on peut s’interroger à propos de la réalité des chiffres.Pour preuve, la croissance du quatrième trimestre est dans le rouge mais la situation du chômage s’améliore;  Selon les données du ministère du travail le chômage de la catégorie A aurait reculé de 1,7 % au quatrième trimestre . Conclusion, la France sait créer des emplois sans croissance . ! Il faut dire que les progressions annoncées sont de l’épaisseur du trait puisque le nombre de demandeurs d’emploi aurait reculé d’environ 50 000 pour 3 300 000 personnes inscrites. Une diminution du nombre de chômeurs due sans doute davantage à des calculs statistiques plutôt qu’à de vraies créations d’emplois. Surtout avec le halo du chômage. Les personnes qui ont renoncé à s’inscrire qui représentent autour de 1,5 millions de personnes. Le nombre de demandeurs d’emploi en “catégorie A” aurait donc  reculé de 1,7% au quatrième trimestre 2019 en France métropolitaine, soit une baisse de 3,1% sur un an, selon les données publiées lundi par le ministère du Travail (Dares). Notons aussi que seulement 20% des anciens inscrits en Catégorie A retrouvent effectivement un emploi.

 

Pour les autres,  il s’agit des personnes qui sont entrées en stage (233.000 personnes), celles qui ont arrêté de chercher (182.000 personnes), celles qui n’ont pas actualisé leur situation (926.000 personnes) et enfin celles qui ont été radiées (176.600 personnes).

Ainsi Officiellement Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi a ainsi reculé de 55.700, à 3.308.800 millions de personnes.

Au cours des trois derniers mois, la baisse est particulièrement sensible chez les moins de 25 ans (-2,2%). Elle est en revanche plus timide pour les demandeurs d’emploi âgés de 50 ans et plus (-0,9%).

En incluant les départements et régions d’outre-mer, hors Mayotte, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A s’élève à 3.553.700 millions (-1,7% sur le trimestre et -3,3% sur un an).

Emploi- Moins de chômage sans croissance: le miracle statistique français

Emploi- Moins de chômage sans croissance: le miracle statistique français

 

 

 

Il y a sans doute un miracle français, celui de la baisse du chômage qui se produit pratiquement sans croissance  ou alors avec une croissance tellement insignifiante qu’on peut s’interroger à propos de la réalité des chiffres. Selon les données du ministère du travail le chômage de la catégorie A aurait reculé de 1,7 % au quatrième trimestre alors que la croissance s’est encore tassée pour n’atteindre que 0,2 %. Conclusion, la France sait créer des emplois sans croissance  ! Il faut dire que les progressions annoncées sont de l’épaisseur du trait puisque le nombre de demandeurs d’emploi aurait reculé d’environ 50 000 pour 3 300 000 personnes inscrites. Une diminution du nombre de chômeurs due sans doute davantage à des calculs statistiques plutôt qu’à de vraies créations d’emplois. Surtout avec le halo du chômage. Les personnes qui ont renoncé à s’inscrire qui représentent autour de 1,5 millions de personnes. Le nombre de demandeurs d’emploi en “catégorie A” aurait donc  reculé de 1,7% au quatrième trimestre 2019 en France métropolitaine, soit une baisse de 3,1% sur un an, selon les données publiées lundi par le ministère du Travail (Dares). Notons aussi que seulement 20% des anciens inscrits en Catégorie A retrouvent effectivement un emploi.

Pour les autres,  il s’agit des personnes qui sont entrées en stage (233.000 personnes), celles qui ont arrêté de chercher (182.000 personnes), celles qui n’ont pas actualisé leur situation (926.000 personnes) et enfin celles qui ont été radiées (176.600 personnes).

Ainsi officiellement,  le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi a ainsi reculé de 55.700, à 3.308.800 millions de personnes.

Au cours des trois derniers mois, la baisse est particulièrement sensible chez les moins de 25 ans (-2,2%). Elle est en revanche plus timide pour les demandeurs d’emploi âgés de 50 ans et plus (-0,9%). En incluant les départements et régions d’outre-mer, hors Mayotte, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A s’élève à 3.553.700 millions (-1,7% sur le trimestre et -3,3% sur un an).

 

Moins de chômage sans croissance: le miracle statistique français

Moins de chômage sans croissance: le miracle statistique français

 

 

 

Il y a sans doute un miracle français, celui de la baisse du chômage qui se produit pratiquement sans croissance  ou alors avec une croissance tellement insignifiante qu’on peut s’interroger à propos de la réalité des chiffres. Selon les données du ministère du travail le chômage de la catégorie A aurait reculé de 1,7 % au quatrième trimestre alors que la croissance s’est encore tassée pour n’atteindre que 0,2 %. Conclusion, la France sait créer des emplois sans croissance . ! Il faut dire que les progressions annoncées sont de l’épaisseur du trait puisque le nombre de demandeurs d’emploi aurait reculé d’environ 50 000 pour 3 300 000 personnes inscrites. Une diminution du nombre de chômeurs due sans doute davantage à des calculs statistiques plutôt qu’à de vraies créations d’emplois. Surtout avec le halo du chômage. Les personnes qui ont renoncé à s’inscrire qui représentent autour de 1,5 millions de personnes. Le nombre de demandeurs d’emploi en “catégorie A” aurait donc  reculé de 1,7% au quatrième trimestre 2019 en France métropolitaine, soit une baisse de 3,1% sur un an, selon les données publiées lundi par le ministère du Travail (Dares). Notons aussi que seulement 20% des anciens inscrits en Catégorie A retrouvent effectivement un emploi.

 

Pour les autres,  il s’agit des personnes qui sont entrées en stage (233.000 personnes), celles qui ont arrêté de chercher (182.000 personnes), celles qui n’ont pas actualisé leur situation (926.000 personnes) et enfin celles qui ont été radiées (176.600 personnes).

Ainsi Officiellement Le nombre de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle Emploi a ainsi reculé de 55.700, à 3.308.800 millions de personnes.

Au cours des trois derniers mois, la baisse est particulièrement sensible chez les moins de 25 ans (-2,2%). Elle est en revanche plus timide pour les demandeurs d’emploi âgés de 50 ans et plus (-0,9%).

En incluant les départements et régions d’outre-mer, hors Mayotte, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A s’élève à 3.553.700 millions (-1,7% sur le trimestre et -3,3% sur un an).

 

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