Archive pour le Tag 'sans emploi'

Recrutement: une crise partout mais 5 millions de sans-emploi !

Recrutement: une crise partout mais 5 millions de sans-emploi !


La France connaît une très grande crise de recrutement aussi bien dans les services d’intérêt public que dans le secteur privé. Cette situation alimente d’ailleurs le phénomène d’immigration. Or pourtant il y a officiellement 2,5 millions de chômeurs auxquels il faut ajouter autant qui relève du halo du chômage : bénéficiaires du RSA, certains de l’allocation handicapé, certains non-inscrits nulle part. Cette crise touche les activités de services comme les activités industrielles. Partout fleurissent les pancartes devant usine et magasin : « ici on recrute ».

En cause sans doute en priorité, un système de formation complètement décadent d’une part et qui n’a pas été conçu pour répondre aux besoins de l’économie. Les spécialistes de l’enseignement objecteront que l’éducation nationale a surtout pour objet d’éduquer. Malheureusement ce qu’elle ne fait pas quand on regarde la catastrophe de l’enseignement en particulier dans le domaine français ou des mathématiques et plus généralement du niveau culturel.

Presque 100 % des Français obtiennent le bac et beaucoup qui n’ont pas le niveau accèdent ainsi à des études supérieures. Ceux-là iront vers les sciences sociales dont les diplômes trop nombreux conduisent directement à « pôle emploi » dans l’administration. Dans le même temps, on manque d’ouvriers très qualifiés, de techniciens, d’ingénieurs partout.

En cause, l’amollissement général du rapport au travail, aussi les mauvaises conditions sociales dont les salaires. Sans parler évidemment des aides sociales qui font préférer l’inactivité à un travail rémunéré. L’analyse de ce phénomène peut notamment être vérifiée dans tous les centres d’insertion qui mettent en évidence le manque de qualification et la perte d’adhésion au travail.

Des pans entiers de notre économie et des services publics tournent aujourd’hui en mode dégradé, faute de main-d’œuvre et de moyens. Pour faire fonctionner, vaille que vaille, ces services indispensables au quotidien des Français, le système D prévaut désormais. En parallèle de ceux qui promeuvent la légalisation des clandestins pour faire fonctionner divers secteurs sous tension, d’autres rivalisent d’initiatives, plus ou moins heureuses, pour colmater les brèches.

Le domaine des transports est emblématique de cette détérioration, loin d’être un simple sentiment pour nos concitoyens qui subissent de plein fouet la pénurie de conducteurs de bus, cars ou trains. Dans certaines régions, pas forcément les plus isolées, les services sont parfois tout bonnement interrompus, faute de bras. Ce fut le cas l’an passé avec la ligne de bus desservant le campus d’Orsay, dans l’Essonne.

Emploi-Une panne de recrutement mais 5 millions de sans-emploi !

Emploi-Une panne de recrutement mais 5 millions de sans-emploi !


La France connaît une très grande crise de recrutement aussi bien dans les services d’intérêt public que dans le secteur privé. Cette situation alimente d’ailleurs le phénomène d’immigration. Or pourtant il y a officiellement 2,5 millions de chômeurs auxquels il faut ajouter autant qui relève du halo du chômage : bénéficiaires du RSA, certains de l’allocation handicapé, certains non-inscrits nulle part. Cette crise touche les activités de services comme les activités industrielles. Partout fleurissent les pancartes devant usine et magasin : « ici on recrute ».

En cause sans doute en priorité, un système de formation complètement décadent d’une part et qui n’a pas été conçu pour répondre aux besoins de l’économie. Les spécialistes de l’enseignement objecteront que l’éducation nationale a surtout pour objet d’éduquer. Malheureusement ce qu’elle ne fait pas quand on regarde la catastrophe de l’enseignement en particulier dans le domaine français ou des mathématiques et plus généralement du niveau culturel.

Presque 100 % des Français obtiennent le bac et beaucoup qui n’ont pas le niveau accèdent ainsi à des études supérieures. Ceux-là iront vers les sciences sociales dont les diplômes trop nombreux conduisent directement à « pôle emploi » dans l’administration. Dans le même temps, on manque d’ouvriers très qualifiés, de techniciens, d’ingénieurs partout.

En cause, l’amollissement général du rapport au travail, aussi les mauvaises conditions sociales dont les salaires. Sans parler évidemment des aides sociales qui font préférer l’inactivité à un travail rémunéré. L’analyse de ce phénomène peut notamment être vérifiée dans tous les centres d’insertion qui mettent en évidence le manque de qualification et la perte d’adhésion au travail.

Des pans entiers de notre économie et des services publics tournent aujourd’hui en mode dégradé, faute de main-d’œuvre et de moyens. Pour faire fonctionner, vaille que vaille, ces services indispensables au quotidien des Français, le système D prévaut désormais. En parallèle de ceux qui promeuvent la légalisation des clandestins pour faire fonctionner divers secteurs sous tension, d’autres rivalisent d’initiatives, plus ou moins heureuses, pour colmater les brèches.

Le domaine des transports est emblématique de cette détérioration, loin d’être un simple sentiment pour nos concitoyens qui subissent de plein fouet la pénurie de conducteurs de bus, cars ou trains. Dans certaines régions, pas forcément les plus isolées, les services sont parfois tout bonnement interrompus, faute de bras. Ce fut le cas l’an passé avec la ligne de bus desservant le campus d’Orsay, dans l’Essonne.

Société-Une panne de recrutement mais 5 millions de sans-emploi !

Société-Une panne de recrutement mais 5 millions de sans-emploi !


La France connaît une très grande crise de recrutement aussi bien dans les services d’intérêt public que dans le secteur privé. Cette situation alimente d’ailleurs le phénomène d’immigration. Or pourtant il y a officiellement 2,5 millions de chômeurs auxquels il faut ajouter autant qui relève du halo du chômage : bénéficiaires du RSA, certains de l’allocation handicapé, certains non-inscrits nulle part. Cette crise touche les activités de services comme les activités industrielles. Partout fleurissent les pancartes devant usine et magasin : « ici on recrute ».

En cause sans doute en priorité, un système de formation complètement décadent d’une part et qui n’a pas été conçu pour répondre aux besoins de l’économie. Les spécialistes de l’enseignement objecteront que l’éducation nationale a surtout pour objet d’éduquer. Malheureusement ce qu’elle ne fait pas quand on regarde la catastrophe de l’enseignement en particulier dans le domaine français ou des mathématiques et plus généralement du niveau culturel.

Presque 100 % des Français obtiennent le bac et beaucoup qui n’ont pas le niveau accèdent ainsi à des études supérieures. Ceux-là iront vers les sciences sociales dont les diplômes trop nombreux conduisent directement à « pôle emploi » dans l’administration. Dans le même temps, on manque d’ouvriers très qualifiés, de techniciens, d’ingénieurs partout.

En cause, l’amollissement général du rapport au travail, aussi les mauvaises conditions sociales dont les salaires. Sans parler évidemment des aides sociales qui font préférer l’inactivité à un travail rémunéré. L’analyse de ce phénomène peut notamment être vérifiée dans tous les centres d’insertion qui mettent en évidence le manque de qualification et la perte d’adhésion au travail.

Des pans entiers de notre économie et des services publics tournent aujourd’hui en mode dégradé, faute de main-d’œuvre et de moyens. Pour faire fonctionner, vaille que vaille, ces services indispensables au quotidien des Français, le système D prévaut désormais. En parallèle de ceux qui promeuvent la légalisation des clandestins pour faire fonctionner divers secteurs sous tension, d’autres rivalisent d’initiatives, plus ou moins heureuses, pour colmater les brèches.

Le domaine des transports est emblématique de cette détérioration, loin d’être un simple sentiment pour nos concitoyens qui subissent de plein fouet la pénurie de conducteurs de bus, cars ou trains. Dans certaines régions, pas forcément les plus isolées, les services sont parfois tout bonnement interrompus, faute de bras. Ce fut le cas l’an passé avec la ligne de bus desservant le campus d’Orsay, dans l’Essonne.

Une panne de recrutement 5 millions de sans-emploi !

Une panne de recrutement 5 millions de sans-emploi !


La France connaît une très grande crise de recrutement aussi bien dans les services d’intérêt public que dans le secteur privé. Cette situation alimente d’ailleurs le phénomène d’immigration. Or pourtant il y a officiellement 2,5 millions de chômeurs auxquels il faut ajouter autant qui relève du halo du chômage : bénéficiaires du RSA, certains de l’allocation handicapé, certains non-inscrits nulle part. Cette crise touche les activités de services comme les activités industrielles. Partout fleurissent les pancartes devant usine et magasin : « ici on recrute ».

En cause sans doute en priorité un système de formation complètement décadent d’une part et qui n’a pas été conçu pour répondre aux besoins de l’économie. Les spécialistes de l’enseignement objecteront que l’éducation nationale a surtout pour objet d’éduquer. Malheureusement ce qu’elle ne fait pas quand on regarde la catastrophe de l’enseignement en particulier dans le domaine français ou des mathématiques et plus généralement du niveau culturel.

Presque 100 % des Français obtiennent le bac et beaucoup qui n’ont pas le niveau accède ainsi à des études supérieures. Ceux-là iront vers les sciences sociales dont les diplômes trop nombreux conduisent directement à « pôle emploi » dans l’administration. Dans le même temps, on manque d’ouvriers très qualifiés, de techniciens, d’ingénieurs partout.
.En cause l’amollissement général du rapport au travail, aussi les mauvaises conditions sociales dans les salaires. Sans parler évidemment des aides sociales qui font préférer l’inactivité à un travail rémunéré. L’analyse de ce phénomène peut notamment être vérifiée dans tous les centres d’insertion qui mettent en évidence le manque de qualification et la perte d’adhésion au travail.

Des pans entiers de notre économie et des services publics tournent aujourd’hui en mode dégradé, faute de main-d’œuvre et de moyens. Pour faire fonctionner, vaille que vaille, ces services indispensables au quotidien des Français, le système D prévaut désormais. En parallèle de ceux qui promeuvent la légalisation des clandestins pour faire fonctionner divers secteurs sous tension, d’autres rivalisent d’initiatives, plus ou moins heureuses, pour colmater les brèches.

Le domaine des transports est emblématique de cette détérioration, loin d’être un simple sentiment pour nos concitoyens qui subissent de plein fouet la pénurie de conducteurs de bus, cars ou trains. Dans certaines régions, pas forcément les plus isolées, les services sont parfois tout bonnement interrompus, faute de bras. Ce fut le cas l’an passé avec la ligne de bus desservant le campus d’Orsay, dans l’Essonne.

Reprise économique mondiale mais sans emploi (OIT)

Reprise économique mondiale mais sans emploi (OIT)

 

Reprise économique mondiale mais sans véritablement d’emploi d’après l’organisation internationale du travail (OIT°). En fait l’institution regrette qu’on n’investisse pas assez dans les entreprises qui créent réellement des emplois nouveaux. Le rapport de l’Organisation Internationale du Travail sur les Tendances mondiales de l’emploi 2014 relève que la croissance de l’emploi reste faible, que le chômage continue d’augmenter, surtout parmi les jeunes, et que beaucoup de travailleurs découragés (23 millions) restent en dehors du marché du travail.  Au rythme actuel, 200 millions d’emplois supplémentaires seront créés d’ici à 2018, selon le rapport. C’est inférieur au niveau requis pour absorber le nombre grandissant de nouveaux arrivants sur le marché du travail.  Le nombre de demandeurs d’emploi devrait grimper de plus de 13 millions d’ici à 2018.   »Ce dont nous avons immédiatement besoin, c’est de repenser nos politiques. Nous devons accroître nos efforts pour accélérer la création d’emplois et soutenir les entreprises qui créent des emplois», souligne dans le rapport le Directeur général de l’OIT, Guy Ryder.  Près de 74,5 millions de personnes de la tranche d’âge des 15-24 ans sont sans emploi, le taux de chômage des jeunes atteignait 13,1 pour cent en 2013, plus de deux fois supérieur au taux de chômage mondial tous âges confondus.  La reprise mondiale des marchés du travail est freinée par un déficit de la demande globale. Dans de nombreuses économies développées, les réductions drastiques des dépenses publiques et les hausses des impôts sur le revenu et des taxes à la consommation pèsent lourdement sur les entreprises privées et les ménages, estime l’OIT.  Le rapport met aussi l’accent sur le nombre de travailleurs pauvres vivant avec moins de 2 dollars par jour: 839 millions de travailleurs (soit 26,7% de l’emploi total).   »La leçon consiste à ne pas accepter une sorte de fatalité et de penser que nous sommes condamnés à une croissance du chômage », a affirmé lundi dans une conférence de presse à Genève M. Ryder. « Il est absolument nécessaire d’intervenir pour stimuler l’emploi comme voie de sortie de crise. Par définition la sortie de crise c’est quand les gens sont de retour au travail », a-t-il dit.  Le rapport appelle les gouvernements à dépenser davantage dans des politiques actives du marché du travail (PAMT), pour lesquelles 0,6% du PIB ont été dépensés en 2011. Si ce chiffre passait à 1,2% ce sont 3,9 millions d’emplois supplémentaires qui pourraient être créés dans les économies développées dont l’Union européenne, affirme l’étude.

 

2 millions de jeunes de 15-29 ans sans emploi et sans formation

2 millions de jeunes de 15-29 ans  sans emploi et sans formation

 

Selon le Conseil d’analyse économique (CAE), 17 % des jeunes de cette classe d’âge échappent au système scolaire ou professionnel. Plus grave encore: 900.000 jeunes ont quitté le cursus scolaire sans diplôme, donc sans aucun viatique pour l’emploi. Ce chiffre, plus élevé qu’ailleurs, est source d’inquiétude. «Si la crise a affecté l’ensemble des pays développés, nombre de pays européens connaissent des taux d’emplois des jeunes supérieurs au nôtre», soulignent les auteurs de cette analyse, Pierre Cahuc, Stéphane Carcillo et Klaus Zimmermann. Pour tenter d’inverser la tendance, le CAE prône la mise en place de deux types de mesures: celles qui amèneront le jeune vers l’emploi, puis celles qui inciteront les entreprises à l’accueillir. Ces deux axes d’un même engrenage vertueux sont forgés autour de deux idées maîtresses. Dans un premier temps, le CAE prône le développement de l’enseignement professionnel via l’alternance emploi-étude. En Allemagne, c’est une réussite: 50 % des jeunes utilisent cette possibilité, contre 25 % en France. «En outre, la hausse récente de l’apprentissage est le fait des diplômés alors que l’effort devrait être concentré sur les jeunes sans diplôme», note cette instance qui dépend directement du premier ministre. Ce constat engendre une proposition simple: réorienter les fonds alloués aux emplois d’avenir vers la formation des jeunes sans diplôme, en subventionnant 120.000 emplois avec une formation en alternance (secteur marchand) et 750.000 formations à plein temps dans les programmes de «la deuxième chance». Dans un second temps, du côté des entreprises, le CAE suggère de supprimer l’obstacle du salaire minimum pour les jeunes peu qualifiés: des allégements de charges ciblés seraient réservés aux contrats de génération pour les rémunérations inférieures à 1,6 fois le smic. «Les sommes dégagées seraient réallouées à l’accompagnement des jeunes», poursuivent ces experts qui proposent, en outre, la simplification de la rupture du contrat de travail pour motif économique. Une réelle alternative entre des CDI trop stables et des CDD qui le sont trop peu. En ouvrant le RSA aux jeunes et en triplant les moyens de l’État pour l’accompagnement, le CAE voudrait ainsi inverser les courants de cette inquiétante

 

67% des intérimaires de 2012 sont sans emploi

67% des intérimaires de 2012 sont sans emploi

 

D’après l’institut OpinionWay, à  peine 12% des personnes embauchées en intérim en mars 2013 étaient en poste auparavant. La grande majorité était chômeurs (56%) ou étudiants (28%). Mais le taux de maintien au travail un an plus tard s’effrite. Ainsi, 61% des personnes qui étaient en intérim en mars 2012 sont en emploi aujourd’hui. Ce taux était de 67% en 2012. Ce résultat n’a rien d’étonnant au vu des 99.5000 destructions de postes qu’a connues le secteur privé en 2012. Dans le détail, les intérimaires de mars 2012 sont, un an plus tard, pour 8% d’entre eux en CDD (contre 10% pour ceux de mars 2011), pour 11% d’entre eux en CDI (contre 12% pour ceux de mars 2011) et pour 42% en intérim (contre 45% pour ceux de mars 2011).  Autre indice, 45% des personnes qui sont entrées en intérim cette année ont déjà eu dans leur vie professionnelle une expérience en CDI. En 2012, ils n’étaient que 39% dans ce cas. Le phénomène qui pousse d’anciens salariés en CDI ayant perdu leur emploi à se tourner vers l’intérim s’accentue. En outre, le travail temporaire devient de plus en plus un état durable. En mars 2013, 43% des intérimaires voient l’intérim comme une solution amenée à se prolonger, contre 34% d’entre eux en mars 2012.  L’enquête pointe aussi le pessimisme des Français. 15% d’entre eux sont confiants sur l’avenir économique du pays, contre 30% des Belges et 47% des Suédois. Mais les Portugais sont encore plus noirs, avec 8% de sondés confiants.




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