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Gauchisme écolo-Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Gauchisme écolo-Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Nouvelle déclaration islamo-gauchiste de la part de l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo

Toujours le même langage provocateur, irresponsable et manipulatoire. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo vendredi 20 octobre. L’élue écologiste reproche au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin d’entretenir « le discours selon lequel la menace ne vient que de l’étranger », en répétant « dormez bien braves gens [...] nous allons expulser du matin au soir ».

Et la fausse naïveté qui s’ajoute à l’hypocrisie à propos des Islamistes :la France « déjà, ne les accepte pas ». Le le pays « a tous les moyens de ne pas accepter des personnes dangereuses ».

La députée EELV-Nupes s’oppose également à la volonté du ministre de l’Éducation nationale de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Jeudi soir, Gabriel Attal a annoncé sur France 2, « travailler à des mesures » avec ses homologues au ministère de la Justice et de l’Intérieur. « S’ils sont un danger pour les autres élèves, il faut prendre des mesures de sécurisation » !

Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Nouvelle déclaration islamo-gauchiste de la part de l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo

Toujours le même langage provocateur, irresponsable et manipulatoire. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo vendredi 20 octobre. L’élue écologiste reproche au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin d’entretenir « le discours selon lequel la menace ne vient que de l’étranger », en répétant « dormez bien braves gens [...] nous allons expulser du matin au soir ».

Et la fausse naïveté qui s’ajoute à l’hypocrisie à propos des Islamistes :la France « déjà, ne les accepte pas ». Le le pays « a tous les moyens de ne pas accepter des personnes dangereuses ».

La députée EELV-Nupes s’oppose également à la volonté du ministre de l’Éducation nationale de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Jeudi soir, Gabriel Attal a annoncé sur France 2, « travailler à des mesures » avec ses homologues au ministère de la Justice et de l’Intérieur. « S’ils sont un danger pour les autres élèves, il faut prendre des mesures de sécurisation » !

Sandrine Rousseau approuve le collage d’affiches contre le mouvement EELV

Sandrine Rousseau approuve le collage d’affiches contre le mouvement EELV !

Sandrine Rousseau a approuvé le collage d’affiches contre le mouvement « Europe écologie les Verts » avant de se rétracter.

Une provocation de plus des extrémistes plus rouges que verts et qui donne encore l’occasion à Sandrine Rousseau d’exister politiquement. La championne des extravagances saisit en effet toutes les occasions mêmes les plus ridicules et les plus contradictoires pour manifester sa présence. Y compris en provoquant des crises au sein de son propre parti Europe écologie les Verts qui aurait dû se débarrasser de l’intéressé depuis longtemps.

Ce jeudi, Sandrine Rousseau a dénoncé sur Twitter une «erreur» de la direction d’EELV, après la main courante déposée par le parti contre l’association «Relève Féministe». En cause, les «deux collages consécutifs» récemment constatés sur la façade du local des Verts, et effectués par le collectif militant. Lequel rassemble environ 500 femmes, et entend cibler le député Julien Bayou, accusé de violences morales et psychologiques par son ex-compagne. «Les collages et celles et ceux qui les font ne sont pas le problème», a dès lors estimé Sandrine Rousseau, engagée de longue date dans une guerre totale avec Julien Bayou au motif de son comportement de séducteur ! Un pseudo délit qui ne risque pas d’atteindre Sandrine Rousseau !

Politique congrès EELV: tout sauf Sandrine Rousseau !

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Les écolos d’Europe écologie les Verts prennent enfin conscience que la radicalité ridicule de certains de leurs membres condamne le parti à la marginalité.

Melissa Camara, la candidate de Sandrine Rousseau qui défend « une forme de radicalité, de rupture » obtient 13,54%, un score « décevant ».Selon des résultats partiels communiqués par la direction, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), qui était considérée comme la favorite et était notamment soutenue par l’ex secrétaire national Julien Bayou, a obtenu 46,97% des voix des adhérents recueillies sur sa motion « La Suite ». Le résultat définitif et le nombre de votants parmi les 11 000 adhérents du parti seront connus dimanche.

Ce choix de mettre en tête deux candidates plus pragmatiques que radicales, marque en effet un échec pour la députée Sandrine Rousseau, qui avait encore récemment accusé l’ex-candidat à la présidentielle Yannick Jadot de ne plus défendre « l’écologie de combat ».

Marine Tondelier a dénoncé à plusieurs reprises « le buzz » et « la twitterisation » de la vie politique, dans un tacle à peine voilée à Sandrine Rousseau. Ce qui faisait dire à Melissa Camara, que « chez les copains, j’ai l’impression que c’est ‘tout sauf Rousseau’ »

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risquait de faire éclater EELV

Ce qui se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne , ce qui autorise tous les excès . Notamment les excès de Sandrine Rousseau qui a fait de l’exhibitionnisme, de la provocation et du buzz permanent sa ligne politique. L’essentiel étend qu’on parle d’elle. Visiblement le congrès est en train de rectifier la fuite en avant gauchiste.

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Les écolos d’Europe écologie les Verts prennent enfin conscience que la radicalité ridicule de certains de leurs membres condamne le parti à la marginalité.

Melissa Camara, la candidate de Sandrine Rousseau qui défend « une forme de radicalité, de rupture » obtient 13,54%, un score « décevant ».Selon des résultats partiels communiqués par la direction, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), qui était considérée comme la favorite et était notamment soutenue par l’ex secrétaire national Julien Bayou, a obtenu 46,97% des voix des adhérents recueillies sur sa motion « La Suite ». Le résultat définitif et le nombre de votants parmi les 11 000 adhérents du parti seront connus dimanche.

Ce choix de mettre en tête deux candidates plus pragmatiques que radicales, marque en effet un échec pour la députée Sandrine Rousseau, qui avait encore récemment accusé l’ex-candidat à la présidentielle Yannick Jadot de ne plus défendre « l’écologie de combat ».

Marine Tondelier a dénoncé à plusieurs reprises « le buzz » et « la twitterisation » de la vie politique, dans un tacle à peine voilée à Sandrine Rousseau. Ce qui faisait dire à Melissa Camara, que « chez les copains, j’ai l’impression que c’est ‘tout sauf Rousseau’ »

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risquait de faire éclater EELV

Ce qui se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne , ce qui autorise tous les excès . Notamment les excès de Sandrine Rousseau qui a fait de l’exhibitionnisme, de la provocation et du buzz permanent sa ligne politique. L’essentiel étend qu’on parle d’elle. Visiblement le congrès est en train de rectifier la fuite en avant gauchiste.

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique- Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: Une hystérisation politique existentielle

Sandrine Rousseau: Une hystérisation politique existentielle ?

Sandrine Rousseau se livre a une hystérisation pour exister politiquement faute de vraie base démocratique. Des excès qui visent surtout à attirer l’attention sur elle dans la perspective de futures échéances notamment en 2027 où elle pourrait bien prendre la place de Mélenchon. Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Quelle est cette stratégie ?
Caroline Vigoureux, journaliste politique à l’Opinion : « Sandrine Rousseau, c’est une personnalité qui correspond à tous les codes de l’époque. Elle a des positions très tranchées elle réagit sur tout, tout le temps, et beaucoup sur Twitter. Elle s’indigne, elle commente, elle met une pièce dans la machine à polémiques quand il le faut, et ça marche.
Alors certes ses méthodes sont contestées et contestables, mais malgré tout, elle dit quelque chose de l’air du temps. Les combats qu’elle porte – la lutte contre le réchauffement climatique, la lutte contre les violences sexuelles et sexistes – correspondent à une attente d’une partie de la jeunesse et de certaines féministes. »
« En tous les cas, je pose des mots qui sont issus des milieux militants et du terrain dans la sphère politique et je pense que c’est ça qui choque et qui n’est pas entendu », expliquait Sandrine Rousseau le 18 octobre sur le plateau de France 24. D’un point de vue médiatique, Sandrine Rousseau adopte une stratégie transgressive et provocatrice.

Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique. Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

Caroline Vigoureux, journaliste politique à l’Opinion : « Alors la question concernant Sandrine Rousseau c’est de savoir si elle sert ou dessert sa cause, est-ce qu’elle est dans l’outrance ou est-ce qu’elle porte une forme d’audace ? »

Rémi Lefebvre
: « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Avec cette stratégie du coup d’éclat permanent, Sandrine Rousseau aurait-elle en ligne de mire la présidence d’EELV ?

Raphaël Proust, journaliste politique à l’Opinion : « La députée de Paris ne peut prétendre à briguer le secrétariat national d’Europe Ecologie – Les Verts puisque les statuts du parti empêchent tout simplement les parlementaires de cumuler leur mandat avec cette fonction. Ce qui ne veut pas dire que l’écoféministe n’aurait aucune visée pour le congrès d’EELV prévu en décembre. Sandrine Rousseau y soutiendra la motion portée par la conseillère municipale de Lille Mélissa Camara.
Si Sandrine Rousseau était bel et bien parvenue pendant la primaire à intéresser et à faire voter un public essentiellement extérieur au parti, le congrès, lui, est un exercice résolument interne. Les contributeurs, les signataires des différentes motions en lice ne se privent d’ailleurs pas de dénoncer ce qu’ils considèrent comme une stratégie contre-productive d’hyper-hystérisation du débat politique.
Les polémiques qui l’ont opposé au communiste Fabien Roussel sont notamment pointées du doigt comme une série de buzz stériles. D’autres, enfin, lui reprochent de se servir de l’écologie politique comme d’un simple véhicule pour faire avancer sa cause prioritaire, en l’occurrence la lutte contre le patriarcat mais ce au détriment de la cohésion collective du mouvement écologiste.
Son rôle dans la médiatisation des accusations portées par une ex-conjointe de Julien Bayou à l’encontre de l’ancien secrétaire national des Verts pèse aussi dans la balance. L’intéressée reconnaît elle-même avoir mis en péril sa carrière politique avec cette sortie qui continue toujours de susciter un profond débat au sein de la Nupes.
Un insoumis reconnaissait ainsi pendant la dernière campagne présidentielle se méfier du caractère incontrôlable de la députée qui, pourtant, chantait déjà les louanges de Jean-Luc Mélenchon.
Et même si la motion défendue par Sandrine Rousseau venait à échouer au congrès d’EELV, le mouvement d’opinion qu’elle a contribué à faire émerger, lui, n’est pas prêt de disparaître, que ce soit d’ailleurs dans ou en dehors de son parti. »

Rémi Lefebvre : « Ses ressources, c’est d’être invitée dans les médias et de toucher le grand public, d’avoir une forme de notoriété. C’est important pour elle d’être chez les Verts parce que c’est son parti. Mais en fait, très clairement, elle va chercher un capital politique hors des Verts. »

Politique–Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique–Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle lors du prochain congrès d’Europe écologie les Verts. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux. ( Notons qu’à l’intérieur même des « Insoumi »s une personnalité comme Clémentine Autain prend aussi du champ avec Mélenchon dans la perspective de 2027).

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la présidence de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . Par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleine de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée. Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

Pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: objectif, remplacer Mélenchon en 2027

Sandrine Rousseau: objectif, remplacer Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Ainsi a-t-elle eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Écologie–Sandrine Rousseau du côté des Black blocs

Écologie–Sandrine Rousseau. du côté des Black blocs.

Il est clair que Sandrine Rousseau se situe désormais dans le camp des extrémistes provocateurs et violents. Elle affiche en effet clairement son combat anticapitaliste devant le combat environnemental. Pour preuve, elle a même pratiquement apporté sa caution à l’agression dont a été victime Yanick Jadot lors de la manifestation concernant les piscines dans les Deux-Sèvres.

Il est temps de passer à une écologie combative, sous-entendu violente a déclaré Sandrine Rousseau en critiquant Yanick Jadot. Sandrine Rousseau s’affiche de plus en plus comme une révolutionnaire bien davantage que comme une écologie avec en plus une adhésion à la philosophie américaine woke.

Il y a actuellement véritable clivage au sein d’Europe écologie les Verts avec d’un côté un courant réformiste qui fait de la lutte pour l’environnement l’objectif premier et de l’autre un autre courant représenté notamment par Sandrine Rousseau qui fait de la lutte anti capitaliste et révolutionnaire un objectif prioritaire par rapport à la problématique environnementale.

Il y a aussi des divergences d’intérêts nourris par des ambitions personnelles et de ce point de vue Sandrine Rousseau recherche en permanence la lumière à chaque occasion y compris à travers l’outrance de ses propos.

On ne peut s’empêcher de considérer la posture révolutionnaire de Sandrine Rousseau comme vraiment surréaliste. L’intéressée est en effet une fonctionnaire ( actuellemenet députée mais qui retrouvera son poste) qui ne prend guère de risque personnel quand son discours va jeter en prison de pauvres types marginaux qui se sont laissés aller à des actes anti républicains et violents.

Sandrine Rousseau sert surtout sa carrière, professionnelle ou politique. Vaguement diplômée en économie environnementale, elle ne cesse de courir après les postes. Elle a visé sans succès plusieurs postes prestigieux notamment la direction de l’Institut d’études politiques de Lille en janvier 201929 . Chez les écologistes d’Europe écologie les Verts et la visée sans succès aussi une candidature aux élections présidentielles et maintenant vise directement ou indirectement la direction d’EELV .

Politique: Sandrine Rousseau l’écolo fonctionnaire appelle à la grève générale !

Politique: Sandrine Rousseau l’écolo fonctionnaire appelle à la grève générale !

La députée écologiste de Paris Sandrine Rousseau appelle à la grève générale et souhaite le blocage du pays. L’égérie du courant wokiste se transforme maintenant en leader syndical ! Une nouvelle preuve sans doute que l’intéressée est davantage mobilisée par les questions sociales et sociétales que par la problématique environnementale.

Sandrine Rousseau, enseignante, ne manque pas de culot d’appeler à la grève générale elle qui sans doute comme fonctionnaire n’a jamais eu la moindre retenue de salaire en cas de grève ( y compris maintenant comme députée). Et au-delà de l’arrêt du pays de proposer la révolution ! Bientôt L’An 01? « Il faut s’arrêter et réfléchir. Et la grève générale est un moyen de le faire », plaide Sandrine Rousseau. Quitte à passer par un blocage de la France? « Oui, ce n’est pas dramatique, on s’en remettra », estime la députée EELV invitée sur BFMTV ce jeudi.

« Je voudrais que le gouvernement et le président entendent que leur politique n’est plus possible », explique Sandrine Rousseau qui profite de la guerre interne d’Europe écologie les Verts pour se transformer en porte-parole de l’organisation sans aucun mandat.

L »élue écologiste qui récemment proposer la suppression du travail soutient maintenant les augmentations des salariés ainsi que l’appel de la CGT, FO, Solidaires et de la FSU à une journée de grève interprofessionnelle mardi 18 octobre. « Il y a besoin de mettre un coup d’arrêt à un système qui nous conduit dans le mur », défend Sandrine Rousseau.

« Il y a des personnes qui n’arrivent pas à manger, qui n’ont pas de logement. On n’est pas capables à l’Assemblée nationale de voter la moindre augmentation des salaires et qu’on préfère les primes », déplore la députée Qui confond évidemment les responsabilités du gouvernement et des chefs d’entreprise.Sandrine Rousseau souligne aussi « qu’il n’y a aucune considération sur les questions écologiques et environnementales. » « On ne fait que donner des petits chèques! » dénonce-t-elle. Bref un message ridicule par son caractère révolutionnaire, complètement contradictoire avec les déclarations précédentes concernant l’augmentation du pouvoir d’achat des salariés. Un discours simpliste, caricatural et démagogique. Surtout pour une acienne fonctionnaire qui n’a vraisemblablement jamais perdu une journée de salaire pour grève.

Sandrine Rousseau l’écolo fonctionnaire appelle à la grève générale !

Sandrine Rousseau l’écolo fonctionnaire appelle à la grève générale !

La députée écologiste de Paris Sandrine Rousseau appelle à la grève générale et souhaite le blocage du pays. Une nouvelle preuve sans doute que l’intéressée est davantage mobilisée par les questions sociales et sociétales que par la problématique environnementale.

Sandrine Rousseau, enseignante, ne manque pas de culot d’appeler à la grève générale elle qui sans doute comme fonctionnaire n’a jamais eu la moindre retenue de salaire en cas de grève ( y compris maintenant comme députée). Et au-delà de l’arrêt du pays de proposer la révolution ! Bientôt L’An 01? « Il faut s’arrêter et réfléchir. Et la grève générale est un moyen de le faire », plaide Sandrine Rousseau. Quitte à passer par un blocage de la France? « Oui, ce n’est pas dramatique, on s’en remettra », estime la députée EELV invitée sur BFMTV ce jeudi.

« Je voudrais que le gouvernement et le président entendent que leur politique n’est plus possible », explique Sandrine Rousseau Qui profite de la guerre interne d’Europe écologie les Verts pour se transformer en porte-parole de l’organisation sans aucun mandat.

L »élue écologiste qui récemment proposer la suppression du travail soutient maintenant les augmentations des salariés ainsi que l’appel de la CGT, FO, Solidaires et de la FSU à une journée de grève interprofessionnelle mardi 18 octobre. « Il y a besoin de mettre un coup d’arrêt à un système qui nous conduit dans le mur », défend Sandrine Rousseau.

« Il y a des personnes qui n’arrivent pas à manger, qui n’ont pas de logement. On n’est pas capables à l’Assemblée nationale de voter la moindre augmentation des salaires et qu’on préfère les primes », déplore la députée Qui confond évidemment les responsabilités du gouvernement et des chefs d’entreprise.Sandrine Rousseau souligne aussi « qu’il n’y a aucune considération sur les questions écologiques et environnementales. » « On ne fait que donner des petits chèques! » dénonce-t-elle. Bref un message ridicule par son caractère révolutionnaire, complètement contradictoire avec les déclarations précédentes concernant l’augmentation du pouvoir d’achat des salariés. Un discours simpliste, caricatural et démagogique. Surtout pour une acienne fonctionnaire qui n’a vraisemblablement jamais perdu une journée de salaire pour grève.

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risque de faire éclater EELV

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risque de faire éclater EELV

Ce qu’il se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes. A ce compte, toutes les surenchères sont bonnes à prendre Un papier du monde.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne vertébrale idéologique véritable, ce qui autorise tous les excès . NDLR

Qui se souvient encore du score de Yannick Jadot aux élections européennes de 2019 ? Des espoirs que l’ancien militant de Greenpeace avait alors suscités dans la famille écologiste ? Le 26 mai de cette année-là, la tête de liste d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV) avait remporté 13,48 % des suffrages exprimés, laissant loin derrière ses concurrents de gauche. La liste conduite par Raphaël Glucksmann n’avait enregistré que 6,19 % des suffrages exprimés, celle de La France insoumise (LFI), menée par Manon Aubry 6,31 %, réduisant à néant l’espoir de Jean-Luc Mélenchon de s’imposer comme l’opposant numéro un à Emmanuel Macron.

Pour les écologistes, une occasion historique se présentait de chambouler la hiérarchie de la gauche plurielle en supplantant le Parti socialiste, dynamité par la récente défaite de François Hollande.

La montée continue des préoccupations liées au réchauffement climatique donnait quelque crédit au pari. La stratégie était empreinte de bon sens. Elle consistait à renforcer l’assise locale du mouvement avant de revendiquer la conquête et l’exercice du pouvoir national dans le cadre d’un large rassemblement allant de la gauche au centre.

La première partie du contrat a été remportée haut la main. En témoigne la vague verte de 2020, qui a vu plusieurs métropoles, Lyon, Bordeaux, Strasbourg, basculer aux mains des écologistes. La seconde partie, beaucoup plus aléatoire au regard de l’histoire du mouvement, a en revanche débouché sur un fiasco. Yannick Jadot a terminé la présidentielle avec moins de 5 % des suffrages exprimés au terme d’une campagne qui n’a jamais décollé.

EELV, qui revendique 11 000 adhérents, est de nouveau en proie à de graves déchirements internes autour d’une réforme des statuts maladroitement conduite par sa direction. Seule l’élection de vingt-trois députés Verts en juin sauve un peu la mise, à ceci près que la plupart des élus écolos doivent leur victoire au bon vouloir de Jean-Luc Mélenchon.

En outre, le groupe est, en pleine rentrée parlementaire, déstabilisé par les accusations publiques portées par l’une de ses membres, Sandrine Rousseau, contre son coprésident, Julien Bayou. Désigné à la vindicte pour violence psychologique à l’égard de son ex-compagne, fait qu’il conteste, l’élu a dû se mettre en retrait de cette fonction avant de démissionner, quelques jours plus tard, de la présidence du parti. Selon le quotidien Libération, il vivait depuis trois ans sous la pression d’un collectif féministe informel qui lui reprochait sa conduite et enquêtait sur ses relations avec les femmes.

Faire entrer Sandrine Rousseau au Panthéon… de la paresse

Faire entrer Sandrine Rousseau au Panthéon… de la paresse intellectuelle

 

De toute évidence Sandrine Rousseau a dépassé Ségolène Royal dans l’excès, la caricature et l’exhibitionnisme politique. Le monde entier nous envie maintenant Sandrine Rousseau estime Philippe Mabille dans la Tribune !

 

Que n’a-t-elle pas dit Sandrine Rousseau ! « La valeur travail, c’est quand même une valeur de droite ». En pleine sobriété, en pleine « fin de l’abondance », voilà que la candidate malheureuse à l’investiture écologiste à la présidentielle revendique un « droit à la paresse ». Bien joué Sandrine ! Pour affronter les rigueurs de l’hiver sibérien à venir, toutes et tous sous la couette en chaussettes et en pull. La paresse, c’est cool, c’est chaud, c’est sobre et ça fait du bien… Et comme ça on aura du temps pour surveiller de près notre application Ecowatt, le Bison Fûté de notre consommation électrique quiElle mériterait sans doute d’entrée des maintenant au Panthéon de la paresse intellectuelle. doit nous éviter le blackout plus sûrement que l’extinction par Anne Hidalgo des feux de la Tour Eiffel à Paris.

Heureusement que nous l’avons Sandrine Rousseau pour animer le débat public un brin angoissant de cette fin d’été. Elle est presque aussi forte que le Medef qui met en berne son amour de l’économie de marché pour réclamer un plafonnement des prix de l’énergie. Accordé par Bruxelles, qui au passage réinvente la taxation des superprofits, sans prononcer son nom, mais en prévoyant 140 milliards d’euros de recettes sur les énergéticiens, quand même. En attendant, c’est la peur des coupures qui domine : Clémentine Maligorne raconte comment les entreprises les plus énergivores se préparent pour les pénuries.

Sandrine Rousseau, le monde entier nous l’envie, car le rire, c’est bien connu, ça libère l’esprit et réchauffe les cœurs. Cela faisait longtemps, depuis Ségolène Royal sans doute, que la gauche n’avait trouvé de leader aussi charismatique, presque mystique. Dans une France à bout de souffle, comme dirait l’immortel Jean-Luc Godard, ce n’est pas avec les LR ou Renaissance, que l’on va imaginer de nouvelles idées. Le parti présidentiel qui doit élire ce samedi son nouveau patron est devenu « une véritable chronique nécrologique », nous dit un fin observateur du macronisme.

Pour faire le buzz, rien ne vaut la potentielle nouvelle patronne des Verts qui doivent eux-aussi se choisir en décembre un nouveau chef.fe. En multipliant les provocations, Sandrine Rousseau est en train de prendre le dessus sur Yannick Jadot et tous ses concurrents. Une stratégie concurrencée à gauche par Fabien Roussel, le patron des communistes, qui prend des positions strictement orthogonales en défendant le travail contre l’assistanat dans une tribune au Monde que n’aurait pas renié Laurent Wauquiez. Avec Roussel, ce n’est plus le marteau et la faucille, mais l’entrecôte et le bleu de chauffe.

Alors qu‘Emmanuel Macron confie en catimini à la « presse présidentielle », dans un « off » absolu aussitôt rompu avec l’autorisation de l’Elysée, sa volonté d’imposer de force dès cet automne deux des réformes les plus dures de son programme présidentiel, celle de l’assurance-chômage dont les indemnités seront modulées en fonction de la situation de l’emploi, et celle des retraites en allongeant la durée de cotisation, Sandrine Rousseau allume un contre-feu salutaire. Quoi ? Un président de la République qui veut ramener la France au plein emploi et adresser un message de sérieux budgétaire à Bruxelles, voire financer par ce surcroît de travail quelques dépenses de solidarité nouvelles, comme la dépendance ou la revalorisation du minimum vieillesse ; ça va pas bien la tête ! On a le droit « à la paresse », « de faire des pauses dans la vie », « c’est ça les allocations », dit Sandrine Rousseau sans doute inspirée par le revenu universel de Benoît Hamon, qui ne lui a pas rendu service en 2017. La paresse, d’accord, mais qui paye ? Ben, ceux qui travaillent évidemment… Et voilà reparti le bon vieux débat sur l’assistanat, qui ne sert que les extrêmes.

En vérité, Sandrine Rousseau n’est pas si radicale que la caricature qu’elle inspire pourtant : le fond de son propos, c’est de dire que « pour redonner une dignité aux salariés, il faut qu’ils puissent ne pas dépendre de leur emploi ». Un discours d’émancipation qui ressemble à quelques nuances près à celui que celui que tenait le candidat Emmanuel Macron en 2017. Le président de la République a porté l’idée de pouvoir démissionner de son emploi sans perdre ses droits au chômage afin de pouvoir se reconvertir. Une réforme d’ailleurs mise en œuvre, mais de façon TRÈS encadrée. Alors, Macron-Rousseau, même combat ? Et si, sous l’exagération du droit à la paresse, sommeillait l’idée assez moderne, d’un droit à la transition d’un métier à l’autre ? Après tout, c’est exactement ce dont l’économie française a besoin le plus, dans sa conversion. Pour parvenir à la neutralité carbone, la France a certes besoin de profs et d’ingénieurs, mais elle manque cruellement d’électriciens, de plombiers, de soudeurs, pour rattraper son retard dans les énergies renouvelables et… dans le nucléaire, comme l’a regretté le patron d’un EDF ruiné Jean-Bernard Lévy, en passe d’être remplacé. Si l’idée de Sandrine Rousseau est de permettre un droit au travail choisi, émancipateur, pour tous et toutes, qui peut être contre ? Au boulot alors… Marions Macron et Rousseau. Vite, un plan Marshall pour relancer en même temps les EPR et les éoliennes. Mais la crise va durer au moins jusqu’en 2024. La France va payer cash l’imprévoyance de ses politiques. Ce monde nouveau était-il pourtant si difficile à prévoir ?, s’étonne Marc Endeweld. En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées, le slogan des années 70 a besoin d’un coup de peinture fraîche.

Ce débat sur l’emploi, le travail, la retraite, percute de plein fouet celui sur le vieillissement relancé cette semaine par l’avis du Comité national d’éthique sur la « fin de vie ». Emmanuel Macron, soucieux de laisser une trace dans l’histoire, ira-t-il jusqu’à autoriser le suicide assisté comme en a bénéficié en Suisse le cinéaste Jean-Luc Godard parti parce qu’il était fatigué de vivre à 91 ans ? Ce débat est aussi dans l’actualité culturelle avec le film japonais d’anticipation « Plan 75 » qui imagine une société qui décide de se débarrasser légalement, et de manière industrielle, des plus de 75 ans. Une sorte de « Ballade de Narayama » moderne qui rappelle aussi le roman « Soleil Vert » de Harrison porté à l’écran en 1973 et qui raconte comment dans le New York de 2022, comme par hasard, on incite les âgés et les malades à s’euthanasier, sans savoir que l’industrie agro-alimentaire les recycle en nourriture gratuite pour une population affamée, comme une allégorie à la fin de l’abondance…

Dérapages : Sandrine Rousseau a remplacé Ségolène Royal !

 Dérapages : Sandrine Rousseau a  remplacé Ségolène Royal  !

La gauche semble avoir  trouver sa nouvelle championne du dérapage verbal  dans le champ de l’excès et du ridicule avec Sandrine Rousseau. (papier de la Tribune)

Que n’a-t-elle pas dit Sandrine Rousseau ! « La valeur travail, c’est quand même une valeur de droite ». En pleine sobriété, en pleine « fin de l’abondance », voilà que la candidate malheureuse à l’investiture écologiste à la présidentielle revendique un « droit à la paresse ». Bien joué Sandrine ! Pour affronter les rigueurs de l’hiver sibérien à venir, toutes et tous sous la couette en chaussettes et en pull. La paresse, c’est cool, c’est chaud, c’est sobre et ça fait du bien… Et comme ça on aura du temps pour surveiller de près notre application Ecowatt, le Bison Fûté de notre consommation électrique qui doit nous éviter le blackout plus sûrement que l’extinction par Anne Hidalgo des feux de la Tour Eiffel à Paris.

Heureusement que nous l’avons Sandrine Rousseau pour animer le débat public un brin angoissant de cette fin d’été. Elle est presque aussi forte que le Medef qui met en berne son amour de l’économie de marché pour réclamer un plafonnement des prix de l’énergie. Accordé par Bruxelles, qui au passage réinvente la taxation des superprofits, sans prononcer son nom, mais en prévoyant 140 milliards d’euros de recettes sur les énergéticiens, quand même. En attendant, c’est la peur des coupures qui domine : Clémentine Maligorne raconte comment les entreprises les plus énergivores se préparent pour les pénuries.

Sandrine Rousseau, le monde entier nous l’envie, car le rire, c’est bien connu, ça libère l’esprit et réchauffe les cœurs. Cela faisait longtemps, depuis Ségolène Royal sans doute, que la gauche n’avait trouvé de leader aussi charismatique, presque mystique. Dans une France à bout de souffle, comme dirait l’immortel Jean-Luc Godard, ce n’est pas avec les LR ou Renaissance, que l’on va imaginer de nouvelles idées. Le parti présidentiel qui doit élire ce samedi son nouveau patron est devenu « une véritable chronique nécrologique », nous dit un fin observateur du macronisme.

Pour faire le buzz, rien ne vaut la potentielle nouvelle patronne des Verts qui doivent eux-aussi se choisir en décembre un nouveau chef.fe. En multipliant les provocations, Sandrine Rousseau est en train de prendre le dessus sur Yannick Jadot et tous ses concurrents. Une stratégie concurrencée à gauche par Fabien Roussel, le patron des communistes, qui prend des positions strictement orthogonales en défendant le travail contre l’assistanat dans une tribune au Monde que n’aurait pas renié Laurent Wauquiez. Avec Roussel, ce n’est plus le marteau et la faucille, mais l’entrecôte et le bleu de chauffe.

Alors qu‘Emmanuel Macron confie en catimini à la « presse présidentielle », dans un « off » absolu aussitôt rompu avec l’autorisation de l’Elysée, sa volonté d’imposer de force dès cet automne deux des réformes les plus dures de son programme présidentiel, celle de l’assurance-chômage dont les indemnités seront modulées en fonction de la situation de l’emploi, et celle des retraites en allongeant la durée de cotisation, Sandrine Rousseau allume un contre-feu salutaire. Quoi ? Un président de la République qui veut ramener la France au plein emploi et adresser un message de sérieux budgétaire à Bruxelles, voire financer par ce surcroît de travail quelques dépenses de solidarité nouvelles, comme la dépendance ou la revalorisation du minimum vieillesse ; ça va pas bien la tête ! On a le droit « à la paresse », « de faire des pauses dans la vie », « c’est ça les allocations », dit Sandrine Rousseau sans doute inspirée par le revenu universel de Benoît Hamon, qui ne lui a pas rendu service en 2017. La paresse, d’accord, mais qui paye ? Ben, ceux qui travaillent évidemment… Et voilà reparti le bon vieux débat sur l’assistanat, qui ne sert que les extrêmes.

En vérité, Sandrine Rousseau n’est pas si radicale que la caricature qu’elle inspire pourtant : le fond de son propos, c’est de dire que « pour redonner une dignité aux salariés, il faut qu’ils puissent ne pas dépendre de leur emploi ». Un discours d’émancipation qui ressemble à quelques nuances près à celui que celui que tenait le candidat Emmanuel Macron en 2017. Le président de la République a porté l’idée de pouvoir démissionner de son emploi sans perdre ses droits au chômage afin de pouvoir se reconvertir. Une réforme d’ailleurs mise en œuvre, mais de façon TRÈS encadrée. Alors, Macron-Rousseau, même combat ? Et si, sous l’exagération du droit à la paresse, sommeillait l’idée assez moderne, d’un droit à la transition d’un métier à l’autre ? Après tout, c’est exactement ce dont l’économie française a besoin le plus, dans sa conversion. Pour parvenir à la neutralité carbone, la France a certes besoin de profs et d’ingénieurs, mais elle manque cruellement d’électriciens, de plombiers, de soudeurs, pour rattraper son retard dans les énergies renouvelables et… dans le nucléaire, comme l’a regretté le patron d’un EDF ruiné Jean-Bernard Lévy, en passe d’être remplacé. Si l’idée de Sandrine Rousseau est de permettre un droit au travail choisi, émancipateur, pour tous et toutes, qui peut être contre ? Au boulot alors… Marions Macron et Rousseau. Vite, un plan Marshall pour relancer en même temps les EPR et les éoliennes. Mais la crise va durer au moins jusqu’en 2024. La France va payer cash l’imprévoyance de ses politiques. Ce monde nouveau était-il pourtant si difficile à prévoir ?, s’étonne Marc Endeweld. En France, on n’a pas de pétrole mais on a des idées, le slogan des années 70 a besoin d’un coup de peinture fraîche.

Ce débat sur l’emploi, le travail, la retraite, percute de plein fouet celui sur le vieillissement relancé cette semaine par l’avis du Comité national d’éthique sur la « fin de vie ». Emmanuel Macron, soucieux de laisser une trace dans l’histoire, ira-t-il jusqu’à autoriser le suicide assisté comme en a bénéficié en Suisse le cinéaste Jean-Luc Godard parti parce qu’il était fatigué de vivre à 91 ans ? Ce débat est aussi dans l’actualité culturelle avec le film japonais d’anticipation « Plan 75 » qui imagine une société qui décide de se débarrasser légalement, et de manière industrielle, des plus de 75 ans. Une sorte de « Ballade de Narayama » moderne qui rappelle aussi le roman « Soleil Vert » de Harrison porté à l’écran en 1973 et qui raconte comment dans le New York de 2022, comme par hasard, on incite les âgés et les malades à s’euthanasier, sans savoir que l’industrie agro-alimentaire les recycle en nourriture gratuite pour une population affamée, comme une allégorie à la fin de l’abondance…

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