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Écolo : Sandrine Rousseau toujours en pointe de l’extrémisme pour la destitution de Macron

Écolo : Sandrine Rousseau toujours en pointe de l’extrémisme pour la destitution de Macron

 

Toujours en pointe de l’extrémisme et de plus en plus proche des insoumis, Sandrine Rousseau rejoint finalement Macon et son parti pour demander la destitution du président de la république. Et de s’associer aussi aux manifestations « massives » réclamées par LFI et des organisations gauchistes. Bref, pour Sandrine Rousseau la révolution est aussi en marche en tout cas celle du bavardage, de l’excès et de l’exhibitionnisme.

Sandrine Rousseau estime que la gauche doit «adopter une motion de censure contre tout gouvernement non issu du NFP.» Et «appeler à des manifestations massives». Manière de rejoindre la mobilisation organisée par LFI et plusieurs organisations syndicales lycéennes et étudiantes à Paris le 7 septembre prochain.

«Le NFP a été élu sur un mandat et un programme. Peut-être que certains responsables de gauche ou écologistes sont tentés de s’allier au centre ou à la droite, mais ce serait trahir les électeurs que de céder à cette demande d’Emmanuel Macron», prévient-elle. Avant d’être catégorique : «Le président ne peut pas casser le NFP.»

Démocratie-Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande …et les autres

Démocratie-Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !! (Sandrine Rousseau)

L’épargne des Français pour rembourser la dette publique !! (Sandrine Rousseau)

Une idée lumineuse de la gauchiste Sandrine Rousseau d’Europe écologie les Verts. Prendre l’épargne des Français ou les inciter à éponger la dette publique. Sandrine Rousseau est sans doute à l’économie ce que McDo est à la gastronomie. Témoin sa très évasive formation. En 2002, elle obtient un doctorat en sciences économiques avec les félicitations du jury, pour une thèse intitulée « Économie et environnement, une analyse « régulationniste » de la rente environnementale », qui aborde les rapports sociaux à l’environnement et leur impact sur les processus d’accumulation.

Un sujet suffisamment ésotérique et confus pour plaire à un jury de gauche. Sandrine Rousseau oublie que l’épargne en particulier dans les différents livrets n’est pas de l’argent qui dort mais sert de trésorerie à l’État au financement d’infrastructures et notamment du logement. Un État qui déjà ponctionne ses livrets avec un taux de rémunération très en dessous de l’inflation sur le log terme..

Une épargne qui concerne surtout les couches moyennes qui ne peuvent malheureusement solliciter l’évasion fiscale réservée aux plus riches. Notons qu’il faudrait aussi signaler à Sandrine Rousseau que rien n’empêche les épargnants de souscrire aux obligations d’État et autre formes d’emprunt. Mettre la totalité ou presque de l’épargne au service de la dette publique constituerait une sorte de fuite en avant et un gros risque pour les épargnants de voir leur épargne encore davantage ponctionnée. D’une certaine manière, ce serait creuser un trou au détriment des épargnants pour boucher l’énorme trou des déficits publics et en crèer de nouveaux  Des propos de gauchistes dangereux et irresponsables. Aussi irresponsables que ceux de Mélenchon ( dont Sandrine Rousseau est proche) qui propose tout simplement d’effacer la dette. Bref, de ne plus rembourser les emprunts.

Pour être crédible, la gauche aura besoin de faire un sérieux effort de formation et de compétences en matière économique.

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau, Hollande  …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

Les boulets de la politique : Macron, Mélenchon, Ciotti , Sandrine Rousseau …et les autres

D’après des sondages d’opinion près de la moitié de la population ont exprimé lors   premier tour des législatives leur ras-le-bol vis-à-vis de la politique et des  élites. Des élites souvent composées de professionnels de la politique et-ou de technocrates coupés des réalités. S’ajoute à cela la personnalité de certains leaders qui constituent de véritables repoussoirs.

Au sein de la majorité présidentielle actuelle,  Macron occupe est de loin la première place de repoussoirs. Il faut dire que sa posture de monarque républicain type bonapartiste condescendant constitue la cause principale du déclin de « Renaissance et de ses alliés ». Le parti des républicains porte aussi sa croix avec la désertion de son propre président Éric passé au RN pour sauver sa place de député. Et en plus un responsable d’une indigence intellectuelle qui désarme. Et le pire c’est qu’on parlait de lui comme ministre de la défense lui qui s’est débrouillé pour ne pas faire son service militaire ! À gauche évidemment Mélenchon tient le pompon comme repoussoirs numéro un. L’homme ne manque pas de culture mais son radicalisme fait peur y comprise à son propre camp où d’ailleurs il n’hésite pas à faire régner la terreur.

Chez les écolos, on peut facilement placer en tête Sandrine Rousseau davantage préoccupée des questions sociétales que d’écologie, plus proche d’ailleurs de Mélenchon que d’Europe écologie les Verts. Une sorte de Ségolène Royal en pire et encore plus bavarde. Au parti socialiste, il y a l’éternel François Hollande toujours prêt à intervenir sur tout, à exister et même envisager un retour présidentiel ou pourtant son bilan a été catastrophique.

Enfin au RN le boulet pourrait bien être Marine Le Pen elle-même. Elle confirme chaque fois qu’elle s’exprime son manque de consistance voir son indigence politique à la différence d’un Bardella qui donne l’impression d’être plus sérieux et plus construit. La liste des repoussoirs est sans doute plus nombreuse car en réalité, c’est une grande partie du système et des hommes qui est en cause. Trop de démagogie, trop d’incompétence, trop de coupures avec le réel, trop d’idéologues,  trop d’intérêts personnels. Bref un déficit démocratique et un manque d’efficacité.

Sandrine Rousseau : attaque Ignoble et hypocrite contre Gabriel Attal

Sandrine Rousseau : attaque Ignoble et hypocrite contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

Ignoble et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

Ignoble et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

La honteuse et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La honteuse et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

Gauchisme écolo-Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Gauchisme écolo-Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Nouvelle déclaration islamo-gauchiste de la part de l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo

Toujours le même langage provocateur, irresponsable et manipulatoire. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo vendredi 20 octobre. L’élue écologiste reproche au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin d’entretenir « le discours selon lequel la menace ne vient que de l’étranger », en répétant « dormez bien braves gens [...] nous allons expulser du matin au soir ».

Et la fausse naïveté qui s’ajoute à l’hypocrisie à propos des Islamistes :la France « déjà, ne les accepte pas ». Le le pays « a tous les moyens de ne pas accepter des personnes dangereuses ».

La députée EELV-Nupes s’oppose également à la volonté du ministre de l’Éducation nationale de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Jeudi soir, Gabriel Attal a annoncé sur France 2, « travailler à des mesures » avec ses homologues au ministère de la Justice et de l’Intérieur. « S’ils sont un danger pour les autres élèves, il faut prendre des mesures de sécurisation » !

Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Expulser des étrangers radicalisés, c’est du fascisme pour Sandrine Rousseau !

Nouvelle déclaration islamo-gauchiste de la part de l’exhibitionniste écolo Sandrine Rousseau. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo

Toujours le même langage provocateur, irresponsable et manipulatoire. On est en train de basculer dans le fascisme parce qu’on concentre nos efforts uniquement sur les étrangers », déplore Sandrine Rousseau, députée EELV-Nupes de la 9ème circonscription de Paris, sur franceinfo vendredi 20 octobre. L’élue écologiste reproche au ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin d’entretenir « le discours selon lequel la menace ne vient que de l’étranger », en répétant « dormez bien braves gens [...] nous allons expulser du matin au soir ».

Et la fausse naïveté qui s’ajoute à l’hypocrisie à propos des Islamistes :la France « déjà, ne les accepte pas ». Le le pays « a tous les moyens de ne pas accepter des personnes dangereuses ».

La députée EELV-Nupes s’oppose également à la volonté du ministre de l’Éducation nationale de « sortir » les élèves radicalisés des établissements scolaires. Jeudi soir, Gabriel Attal a annoncé sur France 2, « travailler à des mesures » avec ses homologues au ministère de la Justice et de l’Intérieur. « S’ils sont un danger pour les autres élèves, il faut prendre des mesures de sécurisation » !

Sandrine Rousseau approuve le collage d’affiches contre le mouvement EELV

Sandrine Rousseau approuve le collage d’affiches contre le mouvement EELV !

Sandrine Rousseau a approuvé le collage d’affiches contre le mouvement « Europe écologie les Verts » avant de se rétracter.

Une provocation de plus des extrémistes plus rouges que verts et qui donne encore l’occasion à Sandrine Rousseau d’exister politiquement. La championne des extravagances saisit en effet toutes les occasions mêmes les plus ridicules et les plus contradictoires pour manifester sa présence. Y compris en provoquant des crises au sein de son propre parti Europe écologie les Verts qui aurait dû se débarrasser de l’intéressé depuis longtemps.

Ce jeudi, Sandrine Rousseau a dénoncé sur Twitter une «erreur» de la direction d’EELV, après la main courante déposée par le parti contre l’association «Relève Féministe». En cause, les «deux collages consécutifs» récemment constatés sur la façade du local des Verts, et effectués par le collectif militant. Lequel rassemble environ 500 femmes, et entend cibler le député Julien Bayou, accusé de violences morales et psychologiques par son ex-compagne. «Les collages et celles et ceux qui les font ne sont pas le problème», a dès lors estimé Sandrine Rousseau, engagée de longue date dans une guerre totale avec Julien Bayou au motif de son comportement de séducteur ! Un pseudo délit qui ne risque pas d’atteindre Sandrine Rousseau !

Politique congrès EELV: tout sauf Sandrine Rousseau !

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Les écolos d’Europe écologie les Verts prennent enfin conscience que la radicalité ridicule de certains de leurs membres condamne le parti à la marginalité.

Melissa Camara, la candidate de Sandrine Rousseau qui défend « une forme de radicalité, de rupture » obtient 13,54%, un score « décevant ».Selon des résultats partiels communiqués par la direction, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), qui était considérée comme la favorite et était notamment soutenue par l’ex secrétaire national Julien Bayou, a obtenu 46,97% des voix des adhérents recueillies sur sa motion « La Suite ». Le résultat définitif et le nombre de votants parmi les 11 000 adhérents du parti seront connus dimanche.

Ce choix de mettre en tête deux candidates plus pragmatiques que radicales, marque en effet un échec pour la députée Sandrine Rousseau, qui avait encore récemment accusé l’ex-candidat à la présidentielle Yannick Jadot de ne plus défendre « l’écologie de combat ».

Marine Tondelier a dénoncé à plusieurs reprises « le buzz » et « la twitterisation » de la vie politique, dans un tacle à peine voilée à Sandrine Rousseau. Ce qui faisait dire à Melissa Camara, que « chez les copains, j’ai l’impression que c’est ‘tout sauf Rousseau’ »

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risquait de faire éclater EELV

Ce qui se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne , ce qui autorise tous les excès . Notamment les excès de Sandrine Rousseau qui a fait de l’exhibitionnisme, de la provocation et du buzz permanent sa ligne politique. L’essentiel étend qu’on parle d’elle. Visiblement le congrès est en train de rectifier la fuite en avant gauchiste.

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Congrès Europe écologie les Verts : tout sauf Sandrine Rousseau !

Les écolos d’Europe écologie les Verts prennent enfin conscience que la radicalité ridicule de certains de leurs membres condamne le parti à la marginalité.

Melissa Camara, la candidate de Sandrine Rousseau qui défend « une forme de radicalité, de rupture » obtient 13,54%, un score « décevant ».Selon des résultats partiels communiqués par la direction, l’élue d’opposition d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), qui était considérée comme la favorite et était notamment soutenue par l’ex secrétaire national Julien Bayou, a obtenu 46,97% des voix des adhérents recueillies sur sa motion « La Suite ». Le résultat définitif et le nombre de votants parmi les 11 000 adhérents du parti seront connus dimanche.

Ce choix de mettre en tête deux candidates plus pragmatiques que radicales, marque en effet un échec pour la députée Sandrine Rousseau, qui avait encore récemment accusé l’ex-candidat à la présidentielle Yannick Jadot de ne plus défendre « l’écologie de combat ».

Marine Tondelier a dénoncé à plusieurs reprises « le buzz » et « la twitterisation » de la vie politique, dans un tacle à peine voilée à Sandrine Rousseau. Ce qui faisait dire à Melissa Camara, que « chez les copains, j’ai l’impression que c’est ‘tout sauf Rousseau’ »

L’arriviste ultra gauchiste Sandrine Rousseau risquait de faire éclater EELV

Ce qui se passe chez EELV recouvre une évolution plus générale à gauche. La conquête du pouvoir ne se conçoit plus au centre mais aux extrêmes.

Le problème de l’extrémisme et de l’ultra gauchisme, c’est qu’il risque de faire éclater un parti écolo livré aussi aux ambitions personnelles ; cela d’autant plus que ce parti n’a pas de véritable colonne , ce qui autorise tous les excès . Notamment les excès de Sandrine Rousseau qui a fait de l’exhibitionnisme, de la provocation et du buzz permanent sa ligne politique. L’essentiel étend qu’on parle d’elle. Visiblement le congrès est en train de rectifier la fuite en avant gauchiste.

Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Politique- Sandrine Rousseau: objectif prendre la place de Mélenchon en 2027

Nombre d’observateurs politiques s’interrogent à propos de la stratégie politique de la provocatrice Sandrine Rousseau. Pourtant l’objectif est clair l’intéressée n’a jamais caché ses ambitions aussi bien sur le plan personnel que sur le plan politique.

Sa stratégie repose surtout sur la multiplication du buzz pour occuper toutes les cases de l’ultra gauchisme ( féminisme, LGBT, environnement, minorités raciales, anticapitalisme, wokisme).

Peu importe d’ailleurs, l’essentiel c’est qu’on parle d’elle. Une démarche réussie même si l’opinion est de plus en plus critique par rapport aux excès de l’intéressée et à sa pratique de la dénonciation y compris des individus.

Son premier objectif est de prendre sa revanche à l’intérieur d’Europe écologie les Verts qui ne l’a pas retenue pour les présidentielles de 2017. Pour cela, elle mettra en place une candidate proche d’elle. Mais elle vise plus loin à savoir 2027. Mais son ambition est de prendre la place de Mélenchon en faisant éclater les « insoumis » pour qu’une majorité la rejoigne sur ses combats sociaux et sociétaux.

L’intéressée est sans scrupules, ainsi a-t-elle écrit à Darmanin pour obtenir en vain la tête de l’institut d’études politiques de Lille. Elle a aussi tenté sans succès de prendre la tête de l’Institut régional d’administration de Lille . par contre , elle a eu la tête de Baupin et de Bayou accusés par elle seulement d’être des dragueurs !

Il n’est pas certain cependant que l’opinion adhère à cette rhétorique provocatrice par ailleurs pleines de contradictions et qui a du mal à dissimuler les ambitions démesurées de l’intéressée.Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Pour Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique.
Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

pour Rémi Lefebvre : « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Sandrine Rousseau: Une hystérisation politique existentielle

Sandrine Rousseau: Une hystérisation politique existentielle ?

Sandrine Rousseau se livre a une hystérisation pour exister politiquement faute de vraie base démocratique. Des excès qui visent surtout à attirer l’attention sur elle dans la perspective de futures échéances notamment en 2027 où elle pourrait bien prendre la place de Mélenchon. Raphaël Proust et Caroline Vigoureux, journalistes politique à l’Opinion et le politologue Rémi Lefebvre décryptent la stratégie politique de l’écoféministe adepte du coup d’éclat permanent

Quelle est cette stratégie ?
Caroline Vigoureux, journaliste politique à l’Opinion : « Sandrine Rousseau, c’est une personnalité qui correspond à tous les codes de l’époque. Elle a des positions très tranchées elle réagit sur tout, tout le temps, et beaucoup sur Twitter. Elle s’indigne, elle commente, elle met une pièce dans la machine à polémiques quand il le faut, et ça marche.
Alors certes ses méthodes sont contestées et contestables, mais malgré tout, elle dit quelque chose de l’air du temps. Les combats qu’elle porte – la lutte contre le réchauffement climatique, la lutte contre les violences sexuelles et sexistes – correspondent à une attente d’une partie de la jeunesse et de certaines féministes. »
« En tous les cas, je pose des mots qui sont issus des milieux militants et du terrain dans la sphère politique et je pense que c’est ça qui choque et qui n’est pas entendu », expliquait Sandrine Rousseau le 18 octobre sur le plateau de France 24. D’un point de vue médiatique, Sandrine Rousseau adopte une stratégie transgressive et provocatrice.

Rémi Lefebvre, professeur de sciences politiques à l’université et à l’IEP de Lille : « L’objectif est d’attirer l’attention sur elle. D’autant que Sandrine Rousseau c’est quelqu’un qui a assez peu de ressources collectives, c’est quelqu’un qui est assez isolé. Donc c’est assez emblématique du fait qu’en politique, maintenant, des personnalités sans grandes ressources collectives peuvent peser. Elle a émergé au moment de la primaire écolo, elle a un capital médiatique, évidemment, qu’elle alimente avec des propos volontiers transgressifs et provocateurs.
Ce qu’on peut dire aussi – d’ailleurs elle revendique complètement cette stratégie – c’est qu’elle est sur un créneau idéologique – l’écoféminisme – où il faut choquer les esprits. Pour elle, ce ne sont pas simplement des coups de communication, c’est aussi une stratégie politique. Elle dit qu’il faut créer des électrochocs, il faut provoquer. Elle lance dans le débat des propos qui font réagir, et de ce point de vue là, elle estime faire avancer les causes qu’elle défend. »

Caroline Vigoureux, journaliste politique à l’Opinion : « Alors la question concernant Sandrine Rousseau c’est de savoir si elle sert ou dessert sa cause, est-ce qu’elle est dans l’outrance ou est-ce qu’elle porte une forme d’audace ? »

Rémi Lefebvre
: « La réponse est compliquée parce que c’est oui et non. Elle dessert cette cause parce qu’elle brutalise le débat public donc elle alimente les commentaires des réactionnaires qui fleurissent sur CNews ou dans la presse néo-conservatrice. Et, d’un certain point de vue, on peut dire aussi que ce n’est pas très efficace parce que ça discrédite la cause qu’elle veut défendre.
En même temps, je nuance mon propos : elle provoque quand même des débats. Par exemple : un débat sur le rapport à la viande. «Est-ce que la valeur travail est de gauche ou de droite ?» Le point peut-être positif, c’est que ça fait réfléchir. Et ça provoque peut-être aussi des prises de conscience. Donc c’est à la fois assez cynique, et en même temps ça peut être assez efficient d’un point de vue idéologique. »

Avec cette stratégie du coup d’éclat permanent, Sandrine Rousseau aurait-elle en ligne de mire la présidence d’EELV ?

Raphaël Proust, journaliste politique à l’Opinion : « La députée de Paris ne peut prétendre à briguer le secrétariat national d’Europe Ecologie – Les Verts puisque les statuts du parti empêchent tout simplement les parlementaires de cumuler leur mandat avec cette fonction. Ce qui ne veut pas dire que l’écoféministe n’aurait aucune visée pour le congrès d’EELV prévu en décembre. Sandrine Rousseau y soutiendra la motion portée par la conseillère municipale de Lille Mélissa Camara.
Si Sandrine Rousseau était bel et bien parvenue pendant la primaire à intéresser et à faire voter un public essentiellement extérieur au parti, le congrès, lui, est un exercice résolument interne. Les contributeurs, les signataires des différentes motions en lice ne se privent d’ailleurs pas de dénoncer ce qu’ils considèrent comme une stratégie contre-productive d’hyper-hystérisation du débat politique.
Les polémiques qui l’ont opposé au communiste Fabien Roussel sont notamment pointées du doigt comme une série de buzz stériles. D’autres, enfin, lui reprochent de se servir de l’écologie politique comme d’un simple véhicule pour faire avancer sa cause prioritaire, en l’occurrence la lutte contre le patriarcat mais ce au détriment de la cohésion collective du mouvement écologiste.
Son rôle dans la médiatisation des accusations portées par une ex-conjointe de Julien Bayou à l’encontre de l’ancien secrétaire national des Verts pèse aussi dans la balance. L’intéressée reconnaît elle-même avoir mis en péril sa carrière politique avec cette sortie qui continue toujours de susciter un profond débat au sein de la Nupes.
Un insoumis reconnaissait ainsi pendant la dernière campagne présidentielle se méfier du caractère incontrôlable de la députée qui, pourtant, chantait déjà les louanges de Jean-Luc Mélenchon.
Et même si la motion défendue par Sandrine Rousseau venait à échouer au congrès d’EELV, le mouvement d’opinion qu’elle a contribué à faire émerger, lui, n’est pas prêt de disparaître, que ce soit d’ailleurs dans ou en dehors de son parti. »

Rémi Lefebvre : « Ses ressources, c’est d’être invitée dans les médias et de toucher le grand public, d’avoir une forme de notoriété. C’est important pour elle d’être chez les Verts parce que c’est son parti. Mais en fait, très clairement, elle va chercher un capital politique hors des Verts. »

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