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Le FMI sanctionne la France pour l’insincérité de son budget

Le FMI sanctionne la France pour l’insincérité de son budget

 

Pas vraiment une sanction mais plutôt une condamnation de la gestion budgétaire du gouvernement actuel. Le fonds monétaire international porte un coup sérieux à la crédibilité de lagestion financière de la France.

 

À la veille de la parution des nouvelles notes par les principales agences spécialisées, le fonds monétaire international adresse une claque à la France vis-à-vis de ses prévisions budgétaires. En clair il dénonce l’insincérité du budget et considère que l’annonce d’un retour du déficit public en dessous des 3 % du PIB en 2027 constitue une illusion.

Cet analyse du fonds monétaire international sera forcément très mal reçue par le gouvernement français qui s’efforce par une gymnastique compliquée et obscure de prouver le contraire pour éviter la sanction des agences de notation. En clair pour camoufler une partie du déficit public.

Le gouvernement  prévoit un redressement du déficit à 4,1% en 2025, 3,6% en 2026 et finalement 2,9% en 2027. Parallèlement, la dette stagnerait de 112,3% du PIB cette année à 112% en 2027, mais avec un coût qui passerait de 46,3 milliards en 2024 à 72,3 milliards d’euros en 2027. 

Le gouvernement a déjà annoncé 10 milliards d’euros de coupes budgétaires par décret en février dernier et 10 milliards d’euros à trouver de nouveau cette année. S’agissant de 2025, l’exécutif a annoncé 20 milliards d’euros d’économies pour parvenir à son objectif. Mais déjà, le Fonds monétaire international (FMI) met en doute les projections de l’exécutif. Dans son rapport annuel sur les finances publiques qui fait référence ( le « Fiscal monitor »), le FMI table sur un déficit de 4,9% en 2024 et 2025, 4,4% en 2026 et 4,3% en 2027, au-dessus donc de la limite de 3% fixée par le Pacte de stabilité, contrairement à l’engagement du gouvernement français de passer au-dessous (2,9%).

Dans un avis sévère rendu public ce mercredi 17 avril, le Haut conseil des finances publiques considère que la prévision de ramener le déficit en dessous de 3% du PIB en 2027 « manque de crédibilité » face à une situation des finances publiques « préoccupante ». La juridiction estime que la documentation de cette trajectoire est « lacunaire ». Auditionné par la Commission des finances de l’Assemblée ce mercredi 17 avril, Pierre Moscovici, président de la Cour des comptes, a une nouvelle fois tiré la sonnette d’alarme. « 2023 a été une année noire. Le déficit de l’année 2023 atteint presque le record de l’année 2020 », a-t-il déclaré.

Les experts du HCFP pointent également le manque de « cohérence » sur les projections de croissance jugées « optimistes ». « La mise en œuvre de l’ajustement structurel prévu pèsera nécessairement, au moins à court terme, sur l’activité économique », soulignent les auteurs de l’avis.

Le Haut conseil rappelle notamment que « la prévision de croissance en France du gouvernement pour 2024 (1,0 %) est supérieure à celle de la moyenne des prévisionnistes interrogés en avril par le Consensus Forecasts (0,7 %) et à celles du FMI (0,7 %) et de l’OCDE (0,6 %) ». De quoi fragiliser le scénario du gouvernement.

 

 

 

Le crime de lèse-majesté vis-à-vis de Mélenchon par Raquel Garrido sanctionné

Le crime de lèse-majesté vis-à-vis de Mélenchon par Raquel Garrido sanctionné

Comme dans les théocraties et autres dictatures, à LFI le pouvoir est très centralisé et la critique condamnable. Ainsi la mise à l’écart de Raquel Garrido qui avait critiqué Mélenchon révèle en définitive la nature même de l’idéologie de LFI. Le centralisme est consubstantiel à ce parti plus proche d’un parti communiste des années 50 que d’un parti démocratique.

Raquel Garrido, vient de faire les frais de ce centralisme  » démocratique ». Pendant quatre mois elle ne pourra « plus être oratrice » pour LFI à l’Assemblée nationale mais juge cette sanction « sévère », « humiliante » et déplore l’actuelle « concentration des pouvoirs » au sein de son parti.
« Il ne peut y avoir dans une société démocratique, ni au niveau de l’État, ni dans les partis, de crime de lèse-majesté ». La députée, Raquel Garrido réagit ce mardi 7 novembre, sur le plateau de C à Vous, à sa sanction par le bureau de LFI pour avoir « nuit au bon fonctionnement collectif du groupe parlementaire ». Et notamment pour avoir « dénigré » Jean-Luc Mélenchon. Elle, parle plutôt de « critiques » qui l’ont « exposé à des procédures disciplinaires ».

« La France Insoumise c’est un programme, pas un homme. On ne pourrait donc être Insoumis que si l’on est d’accord avec Jean-Luc Mélenchon? Non. Il faut revoir notre stratégie », déclare la députée Seine-saint-denis auprès du Parisien.

Raquel Garrido reproche au sein de son parti « une concentration des pouvoirs » telle que prévue dans la Ve République et que LFI « reproche aux macronistes ».

Elle déplore qu’il y ait autour de l’ancien candidat à la présidentielle, « une tentation de la scission, de l’exclusion ».

« Aujourd’hui, notre travail est de fédérer, pas de cliver », souligne-t-elle. « Et certainement pas à gauche. Quel intérêt avons-nous à quereller avec le PS et le PCF ou encore avec le monde syndical ? Ou entre Insoumis ? Aucun ».

continuera de défendre le programme de La France insoumise, qu’elle a aidé à co-fonder, et tient à « l’unité du parti ».

« Nous n’avons pas un désaccord sur le programme de LFI, mais sur la stratégie », affirme-t-elle. [...] « J’ai l’intention de me battre pour améliorer mon mouvement. »

Celle – qui a été sommée de ne « plus être oratrice » de La France insoumise à l’Assemblée pour quatre mois soit « la moitié de la session parlementaire ordinaire » – dit « avoir le coeur brisé » face à cette décision.

Elle juge la sanction « sévère » et « humiliante ». D’autant plus, que sa durée est égale à celle infligée en décembre 2022 à Adrien Quatennens après sa condamnation pour violences conjugales. « Je le prends comme une infamie supplémentaire », assure-t-elle.

Elle déplore également la manière dont sa sanction a été prise et parle d’une « justice expéditive ».

L’inflation sanctionne la fin d’un modèle économique

L’inflation sanctionne la fin d’un modèle économique

 

L’économiste Anne-Laure Delatte considère, dans une tribune au « Monde », que la remontée des taux ne doit pas grever la capacité d’investissement indispensable au changement de modèle économique, dont l’épuisement est la cause de l’inflation.

 

Nous sommes déjà dans le monde d’après. La très forte croissance des prix au cours de l’année est la manifestation d’un régime économique épuisé. L’action publique est revenue en force, mais les recettes du monde d’avant ne seront pas efficaces. Des mesures alternatives sont donc nécessaires pour que nous puissions avancer. L’enjeu économique contemporain est de protéger les femmes et les hommes des conséquences du changement climatique, tout en opérant une bifurcation des modes de consommation et de production. C’est ainsi que toute mesure politique de lutte contre l’inflation devrait être pensée.

L’inflation est le reflet des raretés accumulées depuis 2020 : rareté de biens traditionnellement importés d’Asie, rareté des cargos pour acheminer cette marchandise, rareté de certaines matières premières, rareté de l’énergie – accentuée depuis six mois par le conflit avec la Russie. On a mis du temps à comprendre que ces raretés étaient la nouvelle norme.

Au départ, les prix ont baissé à cause du confinement de nos économies : ils reflétaient le ralentissement soudain de toute l’activité. Puis, ils ont fini par augmenter, mais on a jugé la hausse transitoire, pensant que les raretés allaient se résorber. La politique monétaire n’a pas changé.

En 2022, toutefois, les banques centrales américaines et européennes ont changé de position : l’inflation ne reviendra pas à 2 % sans une intervention publique. En juillet, la Banque centrale européenne (BCE) a arrêté d’acheter des titres sur le marché pour la première fois depuis sept ans, et a augmenté ses taux pour la première fois depuis onze ans. Cela a entraîné une augmentation des taux de marché dont peuvent témoigner celles et ceux qui envisageaient un achat immobilier.

Mais ce changement d’orientation monétaire s’est ressenti sur un autre marché absolument crucial dans le contexte actuel : celui des dettes publiques. Le risque italien, par exemple, a atteint cet été le même niveau inquiétant qu’en mars 2020, au tout début de la pandémie. Pourquoi un tel effet ? Depuis 2015, et particulièrement depuis la pandémie, la BCE protégeait la capacité des gouvernements à s’endetter. Elle maintenait ce marché sous cloche en se portant acquéreur de dette publique. Concrètement, elle rachetait les obligations des Etats membres aux banques privées, ce qui a permis aux gouvernements de la zone euro de s’endetter à des taux historiquement bas. La suspension de ces achats et la hausse des taux, survenues en juillet, sont donc venues signaler au marché un changement d’époque. Pour résumer, quand l’inflation est devenue une menace crédible, la BCE a agi, mais cela a détérioré les conditions d’emprunt de plusieurs dettes souveraines de la zone euro, et s’endetter est devenu plus cher pour tous les Etats membres.

Gerhard Schröder sanctionné en Allemagne pour sa corruption avec Poutine

Gerhard Schröder sanctionné en Allemagne pour sa corruption avec Poutine

La déchéance lamentable de l’ancien premier ministre d’Allemagne compromis jusqu’au cou dans des affaires de corruption avec Poutine.

On objectera que l’intéressé ne n’est pas le seul responsable à connaître une fin aussi lamentable. En Angleterre mais aussi en France, certains manifestent une bienveillance coupable à l’égard de Poutine en raison notamment de relations très douteuses.

 

Gerhard Schröder tombe en disgrâce. Alors que de nombreuses voix au sein du parti social-démocrate (SPD) demande son éviction du parti, l’ancien chancelier allemand a été privé de ses avantages liés à son ancienne fonction, dont l’attribution de bureaux. Ce proche de Vladimir Poutine continuait en effet de bénéficier de plusieurs bureaux à la chambre des députés et d’un budget pour du personnel. Un privilège qu’il doit à son statut d’ancien chancelier mais dont le coût s’élève à 400.000 euros par an pour les contribuables allemands.

« Les groupes parlementaires de la coalition ont tiré les conséquences du comportement de l’ancien chancelier et lobbyiste Gerhard Schröder face à l’invasion russe en Ukraine », indique la commission budgétaire du Bundestag, la chambre basse du parlement allemand. La coalition au pouvoir justifie aussi cette décision par le fait que  »l’ancien chancelier Schröder n’assume plus aucune obligation continue liée à sa fonction ». Il conserve cependant sa protection policière et sa pension de retraite d’ex-chancelier.

 

Au centre des critiques, le refus de celui qui a dirigé l’Allemagne de 1998 à 2005 de quitter son poste de président du conseil d’administration de Rosneft, premier groupe pétrolier russe, et du comité d’actionnaires de Nord Stream 2, gazoduc russo-allemand controversé. D’autant qu’il doit en principe entrer en juin au conseil de surveillance du géant russe Gazprom.

En avril, il avait fait savoir qu’il n’avait aucune intention de démissionner, sauf si Moscou venait à cesser ses livraisons de gaz à l’Allemagne. À l’inverse, la plupart des anciens dirigeants européens présents avant la guerre en Ukraine dans les instances dirigeantes des entreprises russes ont depuis démissionné à l’instar des chefs de gouvernement finlandais Esko Aho, italien Matteo Renzi et autrichien Christian Kern. Gerhard Schröder maintient ainsi une position ambiguë, condamnant l’invasion de l’Ukraine, mais appelant à  »ne pas couper complètement les liens » avec Moscou. Il s’est même fendu d’une visite à Vladimir Poutine, en février, dans le cadre d’un « effort de médiation » selon le site d’information Politico.

 

 

Le vaccin Valneva sanctionné en Grande-Bretagne intéresse l’union économique

Valneva sanctionné en Grande-Bretagne intéresse l’union économique

 

 

Le vaccin franco autrichien qui vient d’être sanctionné par Boris Johnson intéresse par contre toujours l’Union économique. La sanction britannique est très politique, c’est un peu le contrecoup des critiques adressées au vaccin britannique Astra Zeneca par l’Union économique.

Valneva, en partie basé à Nantes, développe un vaccin contre le Covid-19, qui en est encore au stade des essais cliniques. Il avait néanmoins déjà signé un contrat avec le gouvernement britannique, pour livrer 100 millions de doses en cas de résultats positifs.

Le chef des Gardiens de la révolution iraniens sanctionné par l’union économique

Le chef des Gardiens de la révolution iraniens sanctionné par l’union économique

L’union économique a décidé de sanctionner Hossein Salami, chef des Gardiens de la révolution, la force de sécurité la plus puissante et la plus lourdement armée de la République islamique.

« Hossein Salami a participé aux réunions qui ont abouti aux ordres de recourir à la force létale pour réprimer les manifestations de novembre 2019. Par conséquent, Hossein Salami porte la responsabilité de graves violations des droits de l’homme en Iran », est-il écrit dans le Journal officiel de l’UE.

Parmi les autres personnes visées par les sanctions de l’UE, qui entrent en vigueur lundi, figurent des membres de l’organisation Basij, qui est placée sous le commandement des Gardiens de la révolution, et son chef, Gholamreza Soleimani.

Des diplomates ont déclaré que ces sanctions étaient sans rapport avec les efforts visant à relancer l’accord nucléaire.Officiellement non, mais officieusement !

 

 

Répression des : Ouïghours: L’Occident sanctionne la Chine

Répression des : Ouïghours:  L’Occident sanctionne la Chine

 

Les gouvernements occidentaux tiennent  Pékin pour responsable des détentions massives de Ouïghours musulmans dans le nord-ouest de la Chine, où les États-Unis affirment que la Chine est en train de commettre un génocide.

Des militants et des experts des droits de l’ONU affirment qu’au moins 1 million de musulmans ont été détenus dans des camps du Xinjiang. Les militants et certains politiciens occidentaux accusent la Chine de recourir à la torture, au travail forcé et aux stérilisations. La Chine affirme que ses camps offrent une formation professionnelle et sont nécessaires pour lutter contre l’extrémisme.

«Au milieu d’une condamnation internationale croissante, (la Chine) continue de commettre un génocide et des crimes contre l’humanité au Xinjiang», a déclaré le secrétaire d’État américain Antony Blinken dans un communiqué avant les réunions avec les ministres de l’UE et de l’OTAN à Bruxelles cette semaine.

Le ministère canadien des Affaires étrangères a déclaré: «De plus en plus de preuves indiquent que les autorités chinoises commettent des violations systémiques des droits de la personne par l’État.

L’Union européenne a été la première à imposer des sanctions lundi à quatre responsables chinois, dont un directeur de la sécurité de haut niveau, et une entité, une décision reflétée plus tard par la Grande-Bretagne et le Canada.

Les personnes également visées par les États-Unis étaient Chen Mingguo, directeur du Bureau de la sécurité publique du Xinjiang et un autre haut fonctionnaire de la région, Wang Junzheng.

Biélorussie: Loukachenko menace les ports de Lituanie si l’UE le sanctionne

 

 

Comme l’union économique s’apprête à sanctionner la Biélorussie, le chef d’État très contesté de Biélorussie riposte en déclarant qu’il va s’attaquer aux ports de la Lituanie où  transite une grande part du commerce international biélorusse;  Accessoirement où réside maintenant aussi sa principale opposante, Svetlana Tikhanovskaïa, qui en fait l’a devancé lors des dernières élections présidentielles dont les résultats ont été truqués. “J’ai demandé au gouvernement de présenter une proposition pour réorienter tous les flux commerciaux des ports lituaniens vers d’autres ports”, a-t-il annoncé, selon l’agence de presse official Belta. “Voyons comment ils vont vivre avec ça.”

“Ils se sont enrichis et ont oublié ce qu’est la Biélorussie. Ils pensaient que nous pourrions être effrayés par des fusées et des chars. Eh bien, voyons qui a peur de qui ! Nous allons leur montrer ce que sont les sanctions”, a ajouté Alexandre Loukachenko.

Les marchandises en provenance de Biélorussie, pays enclavé, représentent près du tiers du trafic ferroviaire et portuaire de Lituanie. Le pays est également une voie terrestre importante pour les marchandises européennes à destination de la Russie, comme pour l’approvisionnement énergétique de l’Europe. Toutes les exportations russes passent par son territoire via l’oléoduc Droujba.

Confronté à un mouvement de contestation d’une ampleur inédite, selon lui financé par les puissances occidentales, Alexandre Loukachenko, qui est au pouvoir depuis 26 ans, a ordonné à l’armée de se préparer au combat. Vladimir Poutine a quant à lui annoncé jeudi la mise sur pied d’une “force de police de réserve” susceptible de venir en aide au président biélorusse.

Les ministres des Affaires étrangères de l’UE, qui cherchent à contraindre Minsk d’organiser un nouveau scrutin présidentiel, ont établi jeudi une liste d’une vingtaine de personnalités dont les avoirs pourraient être gelés.

Canal+ sanctionne TF1

Canal+ sanctionne  TF1

La diffusion des chaînes TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI et leurs services  a été supprimée par Canal suite à enlisement des négociations entre les deux groupes. En résumé le groupe TFI veut faire payer sa diffusion aux diffuseurs comme Canal ou Orange. Une position étrange dans la mesure où les diffuseurs concourent à l’audience du groupe et à ses retombées publicitaires. Ce serait aussi mettre le doigt dans un engrenage infernal car toutes chaines revendiqueraient les mêmes taxes de diffusion (Canal diffuse environ 400 chaines). La mesure risque prise par Canal risque de se retourner contre TF1 dont mécaniquement l’audience va diminuer et les recettes pub avec.  Entre les deux groupes, rien ne va plus. Jeudi soir, Canal+ a donc décidé de couper le signal de TF1. La filiale de Vivendi a justifié cette action par l’échec, jusqu’à présent, des négociations concernant le renouvellement de son contrat de distribution des chaînes en clair du groupe de Martin Bouygues. « Le groupe Canal+ regrette l’impasse dans laquelle se trouvent les négociations avec le groupe TF1 après 18 mois de discussions et se voit contraint d’interrompre la diffusion des chaînes TF1, TMC, TFX, TF1 Séries Films, LCI et leurs services associés », souligne-t-il dans un communiqué. Avant de tirer à boulet rouge sur « les exigences financières déraisonnables et infondées »du groupe de télévision. Du côté de l’opérateur historique, même son de cloche que celui de Canal+. Il en va de même chez Free. Selon Le Parisien, l’opérateur de Xavier Niel a applaudi la décision de Canal+. « On fera la même chose », a indiqué l’opérateur de Xavier Niel au quotidien, tout en jugeant « trop gourmandes » les demandes de TF1.

 

Législatives: le centriste Folliot rallié à Macron, sanctionné par les Républicains

Législatives: le centriste Folliot rallié à Macron, sanctionné par les Républicains

 

Une sanction qui apparaîtra sans doute dérisoire celle du retrait de l’investiture des Républicains à un centriste rallié à Macron. Un retrait d’investiture qui constitue d’ailleurs sans doute davantage une récompense qu’une punition car le député du Tarn aurait eu peu de chances d’être élu avec la casquette des Républicains. Le parti Les Républicains a en effet annoncé qu’il retirait son investiture aux élections législatives à Philippe Folliot, qui a rallié Emmanuel Macron. Le député du Tarn est à la tête de l’Alliance centriste, une composante de l’UDI, qui a passé un accord avec LR aux prochaines législatives. Cette Alliance centriste a annoncé samedi qu’elle soutenait Macron à la présidentielle au vu de « la désastreuse situation politique du moment, plus particulièrement liée aux affaires qui touchent François Fillon ». « Prenant acte de cette décision, les Républicains retirent l’investiture accordée au président de l’Alliance centriste et procéderont, en lien étroit avec l’UDI, dans les meilleurs délais à une nouvelle investiture dans la 1ère circonscription du Tarn », a réagi dans un communiqué Bernard Accoyer, secrétaire général de LR.   »Face au bilan catastrophique de la gauche et à la crise que traverse notre pays, Les Républicains et l’UDI sont pleinement engagés pour redresser la situation de la France avec François Fillon », explique-t-il, jugeant cet « engagement totalement incompatible avec un soutien à Emmanuel Macron dont le projet s’inscrirait dans la continuité du quinquennat de François Hollande ».

 

 

La présidentielle

Moscou sanctionné pour ingérence dans l’élection américaine

Moscou sanctionné pour ingérence dans l’élection américaine

 

 

Des sanctions finalement symboliques prises par Obama suite à l’ingérence de la Russie dans les sélections américaines. Pas  des mesures qui n’inquiètent pas particulièrement Moscou d’après un conseiller de l’ambassade russe à Paris qui s’est exprimée sur France Info. Ce dernier considère en effet ces  sanctions comme très provisoires et pense qu’elles seront sans doute annulées d’une manière ou d’une autre par la future administration de TRUMP. Du coup la Russie pourrait à son tour prendre des mesures tout aussi symboliques en attendant de normaliser ses relations avec le nouveau président des États-Unis qui sera investi officiellement le 20 janvier.  Barack Obama a ordonné jeudi l’expulsion de 35 diplomates russes et sanctionné des responsables du renseignement russe que Washington soupçonne d’être impliqués dans le piratage informatique qui a visé le Parti démocrate pendant la campagne des élections de novembre dernier aux Etats-Unis. Le Kremlin a nié catégoriquement les accusations américaines et promis une réponse « appropriée », tout en doutant de la réelle portée de ces sanctions, prises à moins d’un mois de la fin du mandat du président démocrate. Ces mesures de rétorsion marquent une nouvelle dégradation des liens russo-américains, déjà abîmés par les guerres en Ukraine et en Syrie.  « Ces actions font suite aux avertissements que nous avons adressés de manière répétée au gouvernement russe, en privé et en public. Elles sont une réponse nécessaire et adaptée aux actions visant à nuire aux intérêts américains en violation des normes de comportement internationales établies », a déclaré Barack Obama dans un communiqué diffusé de Hawaï, où il passe les fêtes de fin d’année en famille. Un haut responsable américain a indiqué que Donald Trump pourrait très bien annuler les décisions de Barack Obama car elles relèvent de l’exécutif. Il a toutefois « déconseillé » une telle initiative. Si cela devait être le cas, l’homme d’affaires se heurterait à l’opposition d’un nombre important de membres du Parti républicain au Congrès.

La télé beauf d’Hanouna sanctionné

La télé beauf d’Hanouna sanctionné

 

Cette fois le conseil supérieur de l’audiovisuel ( CSA)  veut  frapper fort. Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) vient de resserrer d’un cran l’étau autour sur les dérapages de la télé beauf d’un Hanouna notamment sur C8. Le conseil supérieur de l’audiovisuel pourrait même retirer le droit d’émettre à cette chaîne pour ados attardés qui cumulent la grossièreté, la vulgarité et l’indécence ;  de quoi inquiéter Bolloré le patron de la chaîne qui a beaucoup misé sur les recettes publicitaires d’une chaîne très regardée par les beaufs.   Pour le programme vedette de C8, diffusé tous les soirs en access, cela représenterait un coup dur. «Touche pas à mon poste!» constitue en effet la locomotive publicitaire de Canal +. Et Vincent Bolloré, l’actionnaire majoritaire de Vivendi, a misé gros sur son animateur. Il a signé un chèque de 250 millions d’euros sur cinq ans à la société de production de Cyril Hanouna. Or, si ses audiences se portent bien, entre 1,5 million et 1,7 million de téléspectateurs, sa courbe de popularité a pris un gros coup de froid. Au point qu’Hanouna a été éjecté du dernier classement des 50 animateurs préférés des Français de TV Magazine. En juin 2015, il était pourtant installé sur la 17e marche du podium… «L’ambiance est compliquée pour les chaînes, engagées dans une course effrénée à l’audience, ce qui pousse à la faute pour faire monter le buzz», estime un observateur. Le régulateur pourrait décider de mettre le holà à cette surenchère générale. «Cette saisine du rapporteur indépendant sur le droit des femmes est inédite. C’est le signe que la loi sur l’égalité hommes-femmes promulguée en 2014 et qui donne le pouvoir au CSA de sanctionner les chaînes est utile et appliquée. Elle remplit son rôle de rempart contre les dérives sexistes à la télévision», se félicite Sylvie Pierre-Brossolette, l’un des membres du CSA. Manière de prévenir que le gendarme compte utiliser tout l’arsenal juridique mis à sa disposition pour mettre fin à l’impunité qui règne actuellement dans le PAF.

Italie: Moody’s sanctionne en abaissant la note

Italie: Moody’s sanctionne en abaissant la note

Conséquence du non au référendum, Moody’s a annoncé mercredi abaisser de stable à négative la perspective attachée à la note « Baa2″, qui reste inchangée, attribuée à la dette souveraine de l’Italie, évoquant la lenteur des réformes économiques et budgétaires du pays. Dans un communiqué, l’agence de notation estime que la victoire sans appel du « non » au référendum de dimanche portant sur le projet de réforme constitutionnelle, qui a entraîné la démission du président du Conseil Matteo Renzi, éloigne encore davantage la perspective de ces réformes. Moody’s ajoute que la faiblesse de la croissance anticipée pour les années à venir laisse peu de place à une diminution sensible de l’endettement de l’Italie qui, à un ratio de 133% du produit intérieur brut (PIB) estimé pour 2016, est le deuxième plus élevé de la zone euro derrière la Grèce.

Europe-Budget France : Moscovici, le commisaire européen, ne sanctionne pas l’ancien ministre des finances

Europe-Budget France : Moscovici, le commisaire européen,   ne sanctionne pas l’ancien ministre des finances

Moscovici a accordé un nouveau délai avant de décider s’il faut ou non sanctionner la France. Première raison inavouée Moscovici est grandement responsable du dérapage français puisqu’il était ministre des finances. Seconde raison tout auusi inavouable, Juncker est fragilisé car le président de la commission est empêtré dans l’affaire d’évasion fiscale au Luxembourg  alors qu’il était Premier ministre. Enfin compte tenu de la croissance atone sanctionner la France serait auusi se tirer une balle dans le pied  et mettre en péril la cohésion européenne d’autant que l’Italie (troisième poids lourd de l’Europe) est également concernée. La Commission européenne a quand même averti vendredi la France qu’elle n’hésiterait pas à la sanctionner si elle ne met pas rapidement en œuvre des réformes structurelles pour améliorer tant ses perspectives de croissance que ses finances publiques. L’exécutif européen a reporté à mars son jugement sur les projets de budget 2015 de la France mais aussi de l’Italie et de la Belgique, des pays qui risquent selon lui d’enfreindre les règles européennes en matière de déficits et de dette.  L’Espagne, Malte, l’Autriche et le Portugal sont également concernés. Le nouveau commissaire aux Affaires économiques, Pierre Moscovici, a indiqué que l’exécutif européen avait besoin de données supplémentaires avant de prononcer un jugement définitif. « Se donner du temps pour écouter et ajuster était à notre sens politiquement et économiquement justifié mais ce temps qui reste ne peut pas être du temps perdu », a-t-il averti.  « Il faut que les choses avancent d’ici mars », a-t-il indiqué lors d’une conférence de presse à Bruxelles. Dans le cas contraire, « la Commission n’hésitera pas à prendre ses responsabilités. » Il s’exprimait plus particulièrement sur la France, qui a renoncé à ramener son déficit public sous 3% du produit intérieur brut en 2015 comme elle s’y était engagée après avoir obtenu un délai de deux ans pour y parvenir. L’Italie et la Belgique sont également dans le collimateur de la Commission pour leur niveau de dette publique. Ces pays seront jugés début mars sur leur exécution budgétaire 2014, leurs budgets 2015 tels qu’ils auront été votés et « la documentation détaillée que nous attendons encore » des programmes de réformes structurelles qu’ils se sont engagés à mettre en œuvre, a souligné Pierre Moscovici.

 

Pacte de responsabilité : sanctionné par le Conseil constitutionnel

Pacte de responsabilité : sanctionné par le Conseil constitutionnel

Plus de ristournes sur les cotisations sociales pour les salariés, donc une perte de pouvoir d’achat, c’est la décision du Le Conseil constitutionnel qui a amputé, mercredi 6 août, le Pacte de responsabilité de son volet social ; le Conseil  a censuré l’allégement progressif des cotisations sociales salariales contenu dans la loi de financement rectificative de la sécurité sociale. Le Conseil l’a fait au nom « d’une rupture du principe d’égalité » des assurés sociaux. Cet allégement consistait en une baisse dégressive des charges pour les salariés touchant entre 1et 1,3 Smic. La mesure devait concerner à compter du 1er janvier 2015 près de 5,2 millions de salariés ainsi que 2,2 millions de fonctionnaires, et leur apporter 2,5 milliards d’euros de pouvoir d’achat. Un Smicard aurait ainsi vu son revenu net augmenter de 520 euros sur un an.  Immédiatement, le gouvernement a fait savoir qu’il « proposera dans le cadre des lois financières pour 2015 examinées à l’automne des mesures alternatives de même ampleur pour les ménages modestes et moyens ». Le gouvernement espère toujours affecter au total 5 milliards d’euros sur trois ans à la baisse des prélèvements de ces catégories.  Du coup, pour y arriver, puisque le moyen de l’allégement de charges salariales est compromis par la décision des Sages, tout comme la baisse de la CSG, il ne reste plus à l’exécutif que la baisse d’impôts dans le budget 2015 et les suivants.

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