Archive pour le Tag 's’améliore »'

SONDAGE Coronavirus : le moral des Français : s’améliore légèrement !!!

SONDAGE Coronavirus : le moral des Français : s’améliore légèrement !!!

Selon un curieux sondage de l’institut BVA pour Europe 1, le moral des Français, s’il reste en demi-teinte, s’améliorerait  légèrement. Pourtant  81% des Français affirmaient penser que le pire de la crise était à venir, ils sont « seulement » 77% à en être toujours convaincu. De même, la confiance dans la qualité des informations reçues par les pouvoirs publics augmente d’un point (44%), tout comme pour les informations délivrées par les médias (44%, +2 points). Enfin, 38% (+1) des Français se disent désormais « plutôt confiants » ou « tout à fait confiants » en la façon dont le gouvernement gère la crise engendrée par l’épidémie.

Qualité de l’air : en France : ça s’améliore légèrement mais c’est encore très mauvais

Qualité de l’air : en France : ça s’améliore légèrement mais c’est encore très mauvais

: Ça s’améliore légèrement mais c’est encore très mauvais, c’est le constat en particulier à paris. . En début d’année  la Commission européenne avait convoqué neuf pays, dont la France, l’Allemagne et l’Italie pour leur demander de faire le nécessaire pour se conformer à la directive européenne sur la qualité de l’air, faute de quoi elle saisirait la justice avec une amende à la clé. C’est dans le nord de l’Italie que l’air est le moins respirable, d’après le dernier rapport de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) qui se base sur des données datant de 2015.A Milan, Turin et Padoue, la concentration en particules fines, l’un des principaux polluants atmosphériques, dépasse de loin les limites fixées par la directive européenne sur la qualité de l’air. Même chose dans les pays de l’Est, en Pologne et en Bulgarie notamment. La situation n’est guère meilleure à Marseille, Lyon ou Paris. Si on prend en compte le dioxyde d’azote, dont les émissions proviennent principalement du trafic routier et des véhicules diesel en particulier, là aussi les grandes villes françaises ne se conforment pas aux règles.  « Le véritable problème, ça n’est pas l’ozone, indique  Jean-Baptiste Bernard, directeur de recherche au CNRS, mais le dioxyde d’azote (NO2) et les particules fines. » Ces polluants sont produits par l’industrie, le chauffage au bois et le trafic routier. Ce dernier est, selon Airparif, en Ile-de-France, responsable à 75% des émissions de NO2.

Le professeur Sauvet confirme et  cite l’exemple de Tokyo. La capitale japonaise, qui fait la chasse aux particules fines (donc au diesel) depuis 2003, a obtenu des résultats « phénoménaux ». « Une baisse de 44% du taux de particules fines, de 11% de la mortalité cardiaque et de 22% de la mortalité pulmonaire », souligne-t-il. il reste encore à Paris un peu de chemin à parcourir. Selon un classement des capitales européennes établi au printemps dernier par l’ONG Greenpeace, Copenhague, Amsterdam et Oslo sont sur le podium et Paris émerge en milieu de tableau, à la 7e place, derrière Zurich, Vienne et Madrid.

Bilan de la qualité de l’air – Année 2017 – Surveillance et information en Île-de-France (Airparif, rapport de 110 p., fichier pdf de 12 Mo, mars 2018)

Jeunes diplômés : l’emploi s’améliore

Jeunes diplômés : l’emploi s’améliore

 

Les jeunes diplômés des grandes écoles (de commerce ou d’ingénieurs) connaissent de moins en moins la crise, à en croire l’enquête publiée ce mardi 13 juin par la Conférence des grandes écoles. Tous les indicateurs sont à nouveau au vert, après un creux atteint il y a trois ans. « Ce sont les meilleurs résultats depuis la crise financière », s’est félicité Peter Todd, directeur général d’HEC. Seuls 11,6% des diplômés de 2016 cherchaient encore un emploi début 2017, un taux en recul de trois points en un an, et de 5 points en deux ans. Inversement, 86,5% disposaient d’un emploi ou d’un volontariat, un pourcentage en hausse de 3,4 points en un an, et de six points en deux ans. La précarité recule aussi: parmi ceux qui ont un emploi, 79,1% sont en CDI, une proportion en hausse de 2 points en un an, et de 5,3 points en deux ans.

Le moral des patrons s’améliore en France !!! (INSEE)

Le moral des patrons s’améliore en France !!!(INSEE)

 

 

L’INSEE comme beaucoup de journaux économiques ne veulent pas désespérer la corbeille, les investisseurs et les consommateurs. D’où des commentaires optimistes sur l’avenir de l’économie. Curieux car pour 2017 les instituts de prévisions internationaux prévoient uen baisse de la croissance à 1.2% au lieu de 1.5 attendus en 2017.   L’optimisme est malheureusement contredit par les chiffres. Depuis 2 mois l’INSEE sollicite les statistiques pour conclure à uen amélioration du climat des affaires et du moral des patrons. Bref ça va mieux comme dit Hollande. Ce qui pose un sérieux problème de déontologie et de méthodologie. Pour simplifier l’INSEE constate des chiffres en baise mais fait des commentaires en hausse.  La récente production de l’Insee tente de démonter que même  l’industrie va mieux .Pour l’INSEE  Le climat gagne un point dans l’industrie manufacturière, pour s’établir à 103 points. Les chefs d’entreprises sont plus positifs sur leur activité passée, et plus optimistes sur les perspectives générales de production industrielle. Ils sont en revanche plus circonspects sur leurs perspectives personnelles de production, le solde d’opinions à ce sujet se repliant de 6 points. Entre mai et juillet, la production industrielle a reculé de 0,7 %. Sur la même période et sur un an, elle se replie de 0,1 %. Pour mémoire, l’industrie manufacturière représentait 10% du PIB en France, contre 20,4 % en Allemagne en 2014. Elle atteignait 14,1 % en 2000 et 24 % en 1980… Si elle représente 75 % des exportations de biens de la France, elle cède des parts de marché au niveau mondial. Celle-ci est passée de 5,1 % en 2005 à 3,7 % en 2014 selon l’Organisation mondiale du commerce. Quant à l’emploi, compte tenu de cette perte de vitesse, il souffre. Selon l’Insee, l’industrie employait 2,7 millions de personnes au deuxième trimestre 2015, soit 1,9 million de moins qu’en 1980 ! Plus généralement l’ lNSEE constate uen amélioration pour l’ensemble de l’économie qui affirme que la reprise économique semble se confirmer. Le climat des affaires s’est en effet amélioré en juillet en France, a annoncé ce jeudi l’Insee dans un communiqué. L’indicateur, calculé à partir des réponses des chefs d’entreprise recueillies dans les principaux secteurs d’activité, a regagné deux points pour s’établir à 102 points, retrouvant son niveau du mois de mai, selon l’institut statistique. «L’indicateur de retournement pour l’ensemble de l’économie repasse dans la zone indiquant une conjoncture favorable», indique l’Insee. Le moral des patrons semble s’être particulièrement amélioré dans le commerce, le commerce de détail et la réparation d’automobiles, puisque l’indice mesurant le climat dans ce secteur gagne 3 points, à 105 points. «Concernant les prochains mois, les trois soldes relatifs aux prévisions de ventes, aux intentions de commandes et aux perspectives générales d’activité augmentent légèrement», explique l’Insee. L’institut note tout de même que «la situation de trésorerie est jugée difficile par un peu plus de détaillants qu’en mai».». L’Insee relève ainsi une «amélioration graduelle des perspectives d’emploi», en particulier dans le commerce de gros et de détail. (Le contraire de ce que prévoient les indices Markit). Notons aussi les contradictions de l’Insee (opinions de juillet) Dans l’industrie manufacturière, l’opinion des chefs d’entreprise sur leur activité passée se dégrade (-6 points) et leurs perspectives personnelles de production enregistrent un nouveau recul sensible (-3 points, après -7 points en juillet) et restent inférieures à la moyenne. Les opinions sur les carnets de commandes sont en baisse d’un mois sur l’autre: ils se dégarnissent au niveau global malgré une stabilité pour les commandes étrangères. Comme la plupart du temps les grands médias se contentent de reprendre bêtement les communiqués de l’INSEE, tout cela passe comme une lettre à la poste.

Endettement public : 30 000 euros par Français, « ça s’améliore » ! ( Sapin)

Endettement public :  30 000 euros par Français, « ça s’améliore » ! ( Sapin)

 

Le  denier budget en équilibre c’était il y a 40 ans, depuis on a accumulé les déficits et on a emprunté pour boucher les trous. Plus de 2000 milliards de dette publique, cela ne dit pas grand-chose à beaucoup de monde mais par contre cela se précise quand on indique que cela équivaut à plus de 30 000 euros par habitant. D’après Sapin la situation française s’améliore donc , la preuve la dette a encore progressé à  2037,8 milliards d’euros, soit 30.727 euros par habitant! Il s’agit d’un nouveau record. La dette se situe en fait à peine en dessous des 95,2% retenus dans la dernière version de la trajectoire des finances publiques pour l’an passé. Ce matin, le ministre des Finances, Michel Sapin a promis que la dette «n’atteindra pas» le niveau de 100% du PIB. «Nous n’atteindrons pas ce chiffre-là parce que nous maîtrisons nos dépenses et nous maîtrisons notre dette», a-t-il affirmé sur i-Télé.  Cette dette qui enfle est la conséquence directe de l’accumulation des déficits (qui agrègent les soldes des comptes de l’État, des collectivités locales et des administrations de Sécurité sociale). Le dernier budget présenté à l’équilibre pour la France remonte à 1974…  Malgré les hausses d’impôts, le gouvernement de François Hollande n’a pas été en mesure de réduire drastiquement ce déséquilibre budgétaire. Selon l’Insee, Bercy parvient toutefois à obtenir un déficit pour 2014 moins élevé que les dernières prévisions, à 4% du PIB contre 4,4%. L’Insee précise que cette «légère réduction du besoin de financement des administrations publiques» en 2014, avec un déficit public en valeur absolue de 84,8 milliards d’euros, s’expliquait «essentiellement» par un recul marqué des investissements des collectivités locales, lesquels ont diminué de 4,8 milliards d’euros. Mais cette amélioration est à relativiser. Le gouvernement a plusieurs fois, ces derniers mois, révisé à la baisse ses prévisions. Il tablait à l’origine sur un déficit public de 3,6% du PIB en 2014, une prévision portée à 3,8% au printemps puis 4,4% à l’automne quand il a révisé sérieusement à la baisse, de 0,9% à 0,4%, ses anticipations pour la croissance économique de l’année. De plus, ce déficit à 4% témoigne d’une stagnation de la situation. Par comparaison, il représentait 4,1% de la richesse nationale fin 2013.




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