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Parti socialiste: Pour un éclatement salutaire

Parti socialiste: Pour un éclatement salutaire


Les partisans de Nicolas Mayer-Rossignol qui contestent l’élection d’Olivier Faure comme secrétaire du parti socialiste en appellent maintenant à la justice.
Si une cinquantaine de responsables départementaux du parti appellent à « reconnaître » l’élection d’Olivier Faure à peu près autant récusent son élection
.

Sauf raccommodage de façade , le parti semble s’orienter vers une scission salutaire tellement les différences sont grandes entre les radicaux marxistes et les sociaux-démocrates. n’y a en effet que deux hypothèses pour l’avenir politique du parti socialiste soit devenir un satellite anecdotique du parti de Mélenchon, soient devenir un vrai parti de gouvernement sur des bases claires et social-démocrates .

la a justice sollicitée aura beaucoup de mal à démêler cette sordide affaire de cartes d’adhérent plus ou moins bidon. Ce n’est en effet pas la première fois que les résultats sont bricolés et, par exemple, c’est ainsi que Martin Aubry a pu prendre la tête du parti socialiste notamment. Le concept d’adhésion au parti socialiste est d’ailleurs assez approximatif. Beaucoup ne règlent leurs cotisations qu’au moment des élections et beaucoup de cartes sont payées par les fédérations notamment les plus grosses comme la fédération d’une Nord et des Bouches-du-Rhône

Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours l’élection d’Olivier Faure, en évoquant des « irrégularités », les résultats de la commission de récolement, qui a validé dimanche la victoire d’Olivier Faure, lui donnant 51,09% des voix, contre 48,91% à son rival. À peu près autant récusent son élection.

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création, le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Parti socialiste : vers une scission salutaire ?

Parti socialiste : vers une scission salutaire ?

Si une cinquantaine de responsables départementaux du parti appellent à « reconnaître » l’élection d’Olivier Faure à peu près autant récuse son élection.

Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours l’élection d’Olivier Faure, en évoquant des « irrégularités », les résultats de la commission de récolement, qui a validé dimanche la victoire d’Olivier Faure, lui donnant 51,09% des voix, contre 48,91% à son rival. À peu près autant récuse son élection.

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création, le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Politique- Pour un éclatement salutaire du parti socialiste

Politique- Pour un éclatement salutaire du parti socialiste

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Un éclatement salutaire du parti socialiste

Un éclatement salutaire du parti socialiste

Il est clair que depuis des années et même depuis sa création le parti socialiste ne cesse d’entretenir les contradictions internes qui inévitablement le conduiront à sa disparition. Pour l’instant le parti socialiste ne tient que grâce aux promesses d’investiture de Mélenchon. Il est clair cependant que le paysage politique peut changer de manière assez sensible à l’avenir y compris à partir de 2027.

La plus grande contradiction est représentée par l’opposition entre le courant marxiste gauchiste d’une part et le courant social démocrate d’autre part. Une querelle de toujours dans le vieux parti et qui a aussi abouti à la fin de la SFIO.

En clair, la tendance gauchiste se veut surtout une organisation d’opposition contre le capitalisme tandis que le courant démocrate se présente en futur parti de gouvernement. Ces gens-là n’ont rien à faire ensemble.

Leur unité factice reposait uniquement sur les fausses déclarations à la veille des élections. Une sorte de synthèse bidon aussitôt abandonnée après l’élection y compris par Mitterrand. Il faut se rappeler le projet socialiste de Chevènement vite remplacé par les 101 proposition de Mitterrand, elles-mêmes en grande partie abandonnées.

La France ne peut pas avoir comme seule perspective le choix entre les gauchistes révolutionnaires de Mélenchon et le front national. Ces courants ont évidemment le droit d’exister mais ils sont trop caricaturaux et trop sectaires pour prétendre diriger le pays.

La grande faiblesse du parti dit socialiste résulte aussi du fait qu’il n’a jamais été capable d’intégrer des forces sociales représentatives des réalités françaises. Ce parti en a été approprié et manipulé à la fois par les technocrates et autres arrivistes. Du coup hormis les élus, le parti socialiste n’a guère de réalité sur le terrain.

Bourse: une correction salutaire

 

Bourse: une correction  salutaire

 Le recul des marchés actions depuis le début d’année marque le début de la fin du soutien des banques centrales. Une normalisation à haut risque, mais nécessaire. Mieux vaut tôt que tard estime un papier de »l’Opinion ». 

 

 

Les Bourses européennes ont rebondi mardi après être tombées la veille à leur plus bas niveau depuis deux mois. L’intervention ce mercredi de la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde à l’occasion d’une conférence en Slovénie est très attendue car l’institution pourrait durcir sa politique monétaire dès juillet. Aux Etats-Unis, les investisseurs espèrent que le pic d’inflation est enfin arrivé, après 8,5 % sur un an en mars.

La Bourse recule, vive la Bourse ! Le retrait des marchés actions mondiaux ces derniers mois et jours pourrait paradoxalement être une bonne chose. Lundi, le S&P500 a clôturé sous les 4000 points pour la première fois depuis mars 2021, tandis que l’EuroStoxx 600, après quatre jours de baisse consécutive, a connu un record à la baisse de deux mois. Puis mardi, grâce au retour d’investisseurs opportunistes, les Bourses européennes ont modestement rebondi, le CAC40 se redressant de 0,51 % à 6 116 points, tandis que les Bourses américaines avançaient à mi-journée de manière désordonnée.

 

La principale raison de ces dévissages est simple : les banques centrales commencent à fermer le robinet. Durant la pandémie, elles ont acheté des milliers de milliards d’euros et de dollars d’obligations. Du coup, elles ont fait baisser la rémunération de la dette, et mécaniquement, les investisseurs se sont reportés sur les actions. « En faisant artificiellement baisser les taux d’intérêt, les banques centrales ont créé une bulle sur les marchés obligataires et donc une bulle sur les autres marchés, par ricochet, explique ChristiA annoncé un relèvement des taux pour juilletan Parisot, chef économiste d’Aurel-BGC. Les investisseurs sont allés ailleurs par défaut ».

Or la Réserve fédérale américaine (Fed) a commencé à relever ses taux en mars et réduira la taille de son portefeuille obligataire à partir du mois prochain. La Banque centrale européenne (BCE) pourrait arrêter ses achats de dette et remonter ses taux en juillet. La présidente de l’institution Christine Lagarde vient d’annoncer un relèvement des taux pour juillet . De son côté, la Banque d’Angleterre a fait fi du risque de récession du Royaume-Uni et relevé la semaine dernière son taux directeur à son plus haut depuis 2009. Seule résiste encore la Banque du Japon, mais pas pour longtemps, car le yen s’effondre.

 

 

 

 

Automobile : un rebond salutaire

Automobile : un rebond salutaire

 

Le secteur se redresse nettement en juillet après déjà la hausse de juin avec une progression de 3,9 %. En cause sans doute, les aides financières qui ont dopé le marché est un phénomène de rattrapage . Sur l’ensemble de l’année toutefois la baisse sera sans doute au moins de 20 %

Il s’est immatriculé dans l’Hexagone 178.981 véhicules particuliers le mois dernier, a annoncé le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA) samedi. Juillet a compté cette année 22 jours ouvrables, contre 23 l’an dernier.

En juin, le marché avait connu sa première hausse en rythme annuel depuis le début de l’année, à +1,24%, après un plongeon de 50,34% en mai.

“Cela montre que le troisième trimestre sera bon, le niveau des commandes le prouve”, commente François Roudier, porte-parole du CCFA. “Mais le trou du confinement n’est pas encore comblé et le quatrième trimestre s’annonce plus complexe.”

Sur les sept premiers mois de l’année, les ventes de véhicules neufs affichent en effet encore une baisse de 33,16% sur un an et le CCFA anticipe toujours une baisse du marché automobile français comprise entre 20% et 30% sur l’ensemble de 2020.

Les immatriculations de voitures neuves du groupe PSA, qui regroupe les marques Peugeot, Citroën, DS, Opel et Vauxhall, ont reculé en juillet de 5,33% par rapport à la même période en 2019.

En revanche, le groupe Renault (marques Renault, Dacia et Alpine), qui a publié jeudi une perte record de plus de sept milliards d’euros au premier semestre, a vu ses immatriculations progresser de 32,60% en juillet, avec un bond de 41,5% pour la seule marque au losange.




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