Archive pour le Tag 'salon'

Salon de l’Agriculture annulé

Salon de l’Agriculture annulé

 

Le salon traditionnel de l’agriculture de Paris est annulé en raison de la crise sanitaire. Un événement qui réunit chaque année de leur de 600 000 visiteurs en une dizaine de jours et qui marque le calendrier agricole. C’est aussi l’occasion pour le secteur de s’ouvrir à l’opinion publique des urbains.

«Compte tenu de l’évolution de la maladie du covid-19 et des règles de sécurité sanitaire qu’elle implique, nous ne sommes pas en mesure d’organiser cette manifestation, explique au Figaro Arnaud Lemoine, directeur délégué du Ceneca. Il s’agit de la structure juridique propriétaire du SIA dans laquelle le ministère de l’Agriculture est actionnaire. En effet les salons doivent respecter des jauges de visiteurs fixées à 1000 personnes. En moyenne, selon les jours de la semaine, il passe porte de Versailles entre 60 000 et 80 000 visiteurs par jour. Cela aurait été impossible à respecter».

Salon de l’agriculture: d’abord un défilé de mode des politiques ?

Salon de l’agriculture: d’abord un défilé de mode des politiques ?

Avec le traditionnel défilé des différents responsables politiques qui se disputent le temps passé au salon, la question se pose de savoir s’il s’agit d’une manifestation agricole ou d’une Fashion Week politique. Pour cette édition 2020, on a choisi pour le salon le slogan idiot « L’agriculture vous tend les bras ». Le type de slogan de la plupart des politiques quand ils sont en mal d’inspiration pour qualifier leur stratégie.

Un slogan complètement vide de tout contenu sans doute pour éviter les contradictions entre une agriculture industrielle française qui ne parvient pas à être compétitive sur des marchés internationaux faussés et une tendance alimentaire vers davantage de production locale de qualité. Et en plus qui ne permet pas de rémunérer correctement les agriculteurs (revenu moyen de 1400 € pour des journées de 12 heures).  La vérité,  c’est que les autorités agricoles ne veulent pas aborder ces contradictions et reculent  ainsi les transitions nécessaires vers une agriculture plus saine sur le plan alimentaire est plus respectueuse de la biodiversité.

En fait, il y a une sorte de détournement de la problématique agricole au profit d’une sorte de défilé de mode des politiques qui vont se pavaner pendant des heures davantage devant les caméras que devant les productions agricoles pour développer leur programme politique. D’une certaine manière,  les agriculteurs se font voler depuis des années le salon par les politiques.

 » L’agriculture vous tend les bras  » , le slogan choisi pour le salon : Une thématique volontairement très large qui permet de brasser de nombreux sujets mais qui évite les principaux enjeux. Pour preuve les déclarations président du salon Un thème qui Jean-Luc Poulain,: « On sait qu’à peu près 50% des agriculteurs sont à moins de dix ans de la retraiteDonc il va y avoir besoin de monde », explique-t-il. « En tout, c’est 1,2 million d’emplois en France aujourd’hui, poursuit le président du Salon, ce sont des métiers qui se sont considérablement modernisés. L’informatique est partout, la pelle et la brouette sont rangées depuis longtemps. » Aujourd’hui, on estime que 70 000 emplois ne sont pas pourvus en France dans le secteur.

« L’agriculture vous tend les bras », c’est aussi une façon de dire que le monde agricole s’ouvre aux consommateurs. En ces temps de méfiance généralisée, les opérations « fermes ouvertes » se multiplient un peu partout en France. Le Salon de l’agriculture est paraît-il la plus grande ferme de France !

Les enjeux du Salon de l’agriculture: d’abord un défilé de mode des politiques

Les  enjeux du Salon de l’agriculture: d’abord un défilé de mode des politiques

Pour cette édition 2020, on a choisi pour le salon le slogan idiot « L’agriculture vous tend les bras ». Le type de slogan de la plupart des politiques quand ils sont en mal d’inspiration pour qualifier leur stratégie.

Un slogan complètement vide de tout contenu sans doute pour éviter les contradictions entre une agriculture industrielle française qui ne parvient pas à être compétitive sur des marchés internationaux faussés et une tendance alimentaire vers davantage de production de qualité locale. Et en plus qui ne permet pas de rémunérer correctement les agriculteurs (revenu moyen de 1400 € pour des journées de 12 heures).  La vérité c’est que les autorités agricoles ne veulent pas aborder ces contradictions et reculent  ainsi les transitions nécessaires vers une agriculture plus saine sur le plan alimentaire est plus respectueuse de la biodiversité.

En fait, il y a une sorte de détournement de la problématique agricole au profit d’une sorte de défilé de mode des politiques qui vont se pavaner pendant des heures davantage devant les caméras que devant les productions agricoles pour développer leur programme politique. D’une certaine manière,  les agriculteurs se font voler depuis des années le salon par les politiques.

 » L’agriculture vous tend les bras », le slogan choisi pour le salon : Une thématique volontairement très large qui permet de brasser de nombreux sujets mais qui évite les principaux enjeux. Pour preuve les déclarations président du salon Un thème qui Jean-Luc Poulain,: « On sait qu’à peu près 50% des agriculteurs sont à moins de dix ans de la retraiteDonc il va y avoir besoin de monde », explique-t-il. « En tout, c’est 1,2 million d’emplois en France aujourd’hui, poursuit le président du Salon, ce sont des métiers qui se sont considérablement modernisés. L’informatique est partout, la pelle et la brouette sont rangées depuis longtemps. » Aujourd’hui, on estime que 70 000 emplois ne sont pas pourvus en France dans le secteur.

« L’agriculture vous tend les bras », c’est aussi une façon de dire que le monde agricole s’ouvre aux consommateurs. En ces temps de méfiance généralisée, les opérations « fermes ouvertes » se multiplient un peu partout en France. Le Salon de l’agriculture est paraît-il la plus grande ferme de France !

Les socialistes de salon chez Macron

Les socialistes de salon chez Macron

 

 

Il n’y aura sans doute échappé à personne que ce sont surtout les socialistes de salon qui ont rejoint Macron. C’est-à-dire ces sortes de pseudo révolutionnaires d’arrière-salle de restaurants huppés. Parmi eux, il y aurait notamment nombre de soutiens de Dominique Strauss-Kahn pour la primaire du PS en 2006.  Ensuite comme Macron, ils ont trahi leur leader, leur parti pour soutenir Macron. Futur cheval de l’écurie gagnante qui leur permettrait de souler du parfum du pouvoir. En sacrifiant au passage leurs fragiles convictions de gauche pour souscrire au libéralisme monarchique de leur nouveau patron. Un  grand média raconte à sa façon l’épopée de ces Rastignac :

« C’est l’histoire d’un groupe d’amis qui ont gravi ensemble les marches du pouvoir. Un cercle très soudé, le canal historique de la campagne d’Emmanuel Macron, aujourd’hui acteurs incontournables du quinquennat. Cette «bande de la Planche» – du nom de la rue où ils se sont rencontrés -, c’est aujourd’hui «trois ministres, un patron de parti, et un candidat à la mairie de Paris», liste Benjamin Griveaux, qui rentre dans cette dernière catégorie. Un réseau «très bien organisé, structuré, qui occupe tous les postes les plus stratégiques», envie un observateur qui n’en fait pas partie. Ils s’appellent Ismaël Emelien, Stanislas Guerini, Benjamin Griveaux, Cédric O, Adrien Taquet, mais aussi Emmanuel Miquel, Sibeth Ndiaye, Stéphane Séjourné, Julien Denormandie, Sylvain Fort et Jean-Marie Girier, qui ont petit à petit rejoint le cercle. ». Une belle histoire d’oligarques confirmés ou en herbe qui ont troqué leur défroque socialo pour des costumes princiers qui ont en commun l’absence de vraies convictions mais un appétit sans borne pour le pouvoir, comme Macron !

PS : Marie Noëlle Lienemann l’archétype de la gauchiste de salon

PS : Marie Noëlle Lienemann l’archétype de la gauchiste de salon

 

Voilà près de 45 ans que Marie-Noëlle Lienemann, sénatrice socialiste vit dans la politique. A près de 70 ans, elle veut maintenant lancer un nouveau parti avec quelques autres frondeurs. Un parti révolutionnaire évidemment, un vrai parti socialiste, le parti du front populaire. On croit rêver forcément et il y avait matière à rire  si la chose n’était pas aussi sérieuse. L’intéressée a en effet opéré de curieux slalom politique en soutenant les uns puis les autres, en passant notamment de Rocard aux frondeurs mais en s’assurant un avenir personnel avec cette élection au Sénat et peut-être l’opportunité maintenant d’être à nouveau réélu mais sur la liste de Mélenchon. Un bel exemple de l’oligarchie, de l’incompétence et de la sénilité aussi. Certes quelques vieux politiques conservent leur vitalité intellectuelle mais Marie-Noëlle Lienemann a perdu depuis longtemps sa capacité à exprimer une phrase un peu construite et se perd régulièrement dans des raisonnements accessoires qui obscurcissent complètement le thème qu’elle veut traiter. Un comportement typique des gauchistes verbeux et qui ne s’arrange pas avec l’âge. Pour masquer le vieillissement intellectuel, on sollicite la radicalité comme substitut au raisonnement. Elle n’est pas la seule dans ce registre, Cohn-Bendit lui-même, sans doute épaissi par les repas mondains,  a bien du mal à soutenir les motifs  de son soutien à Macron. Lui à l’inverse est passé au gauchisme à l’ultra droite avec cependant quelques bons sentiments encore en souvenir de son passé révolutionnaire. Certes les vieux politiques peuvent encore parfois des rôles importants et on ne saurait les éliminer au nom du jeunisme. Encore faudrait-il que les intéressés continuent de réfléchir de manière un peu approfondie sur l’évolution de la société au lieu simplement de rabâcher qui le vieux catéchisme gauchiste, qui le vieux catéchisme ultra libéral. Bref au lieu de radoter.

Salon de l’Agriculture ou défilé de mode des candidats pour 2017

Salon de l’Agriculture ou défilé de mode des  candidats pour 2017

Le salon de l’agriculture est sans nul doute la manifestation  la plus instrumentalisée par les responsables politiques. Pas moins d’une vingtaine de candidats se sont pavanés pendant des heures dans les allées du salon ajoutant des promesses aux promesses pour un secteur en pleine crise. Un salon transformé en défilé de mode de candidats pour 2017 sous le feu des caméras et des micros à la recherche d’une petite phrase politique susceptible d’alimenter le journal du soir. Une présence tellement médiatisée qu’elle est indécente et décalée par rapport aux préoccupations des agriculteurs. Pas vraiment un salon de l’agriculture mais un cirque médiatique dénué de tout sens. Une poignée de main par-ci, un verre de bière ou de lait par là, un sourire forcé ou une caresse sur le cul des  vaches avec quelques phrases populistes pour séduire l’électeur potentiel qu’est le paysan. Un spectacle indigne,  un salon de la démagogie et de l’exhibitionnisme programmatique. Le monde agricole bénéficie et c’est heureux d’une très bonne image dans l’opinion publique même si le caractère industriel de certaines productions justifie des critiques légitimes car elle met en cause l’environnement et la santé. Nul ne peut cependant contester le caractère particulièrement dégradé des conditions de travail des agriculteurs et le peu de rémunération qu’ils en tirent. Dès lors le salon mérite mieux que ce défilé de mannequins politiques incapables d’assurer la régulation de ce secteur et même d’autoriser l’affichage de l’origine des productions comme celle du porc par exemple. Le monde agricole aurait tout intérêt à se réapproprier ce grand événement que constitue le salon de l’agriculture afin qu’il ne se transforme pas en une cérémonie préparatoire à la remise des Oscars politiques.

 

Salon de l’agriculture : Hollande hué renvoie la balle à Sarkozy

Salon de l’agriculture : Hollande hué renvoie la balle à Sarkozy

 

 

Très chahuté pendant sa visite au salon de l’agriculture François Hollande fort habilement renvoie la balle à Nicolas Sarkozy dont la loi de modernisation et de l’économie adoptée lors du précédent quinquennat a favorisé les distributeurs par rapport aux producteurs  « Cette loi de 2008, il faut la revoir », a-t-il dit, en précisant que l’occasion serait peut-être le projet de loi dit « Sapin 2″ de lutte contre la corruption et la transparence de la vie économique qui doit être présenté fin mars.   Le président de la République a donc fait part de son désir  de réviser la loi de modernisation de l’économie ou LME, adoptée en 2008 sous le mandat de Nicolas Sarkozy et qui encadre les négociations entre distributeurs et fournisseurs  »Il y a des pressions qu’il faut exercer ici en France sur la grande distribution, a déclaré François Hollande. Une loi a été votée il y a quelques années. Elle doit être revue ».  Adoptée en août 2008, au début du quinquennat de Nicolas Sarkozy, la LME instaure la liberté de négociation des prix entre les centrales d’achat des grandes surfaces et leurs fournisseurs. L’idée sous-jacente à l’époque étant d’augmenter le pouvoir d’achat des consommateurs, en favorisant des baisses de tarifs. Les exploitants agricoles n’ont donc de cesse de dénoncer une « course aux prix toujours plus bas » et d’appeler les pouvoirs publics à rééquilibrer les relations en leur faveur. D’autant que les éleveurs sont confrontés à une hausse de leurs charges en raison des prix alors élevés des céréales qui renchérissent considérablement le coût de l’alimentation de leur bétail. Ils cherchent à répercuter auprès des industriels et de la grande distribution la hausse de leurs coûts de production. Mais ceux-ci refusent de prendre en compte ces hausses, au nom de la préservation du pouvoir d’achat des consommateurs.

Salon de l’agriculture :la démocratie au cul des vaches

Salon de l’agriculture :la démocratie au cul des vaches

 

Le salon est évidemment un événement incontournable et en général une  manifestation réussie et très fréquentée. Y compris par la faune politiques où toutes les espèces seront aussi présentes. Des dizaines de bêtes de concours qui vont caresser le cul des vaches,  serrer les pognes des agriculteurs et avaler en vrac saucisson, fromage,  bière, vinasse et verre de lait. Estomac sensible s’ abstenir. C’est là que s’obtient pour les politiques le brevet de ruralité  et en même temps …ça prépare r les municipales . Hollande a prévu d’y demeurer  6 heures. En 2012 avant les élections,  il y était resté 12 heures. On peut penser qu’on va assister à un record de présence pour d’autres leaders cette fois encore. Pour préparer la visite du président de la république, on a   assoupli un peu les règles concernant l’utilisation des pesticides et les créations s d’élevages . La visite au salon vaut bien quelques concessions à l’agriculture et l’élevage intensif ! Pas la peine de préparer de grands discours pour nos élus ‘  » bonjour, ça va, c’est excellent, une caresse sur le cul des vaches et on passe au stand suivant t » . La démocratie quoi ! Une vraie visite du terrain avec de vraies vaches, de vrais agriculteurs, de vrais échanges. Et surtout uen masse de caméras pour rendre compte de l’intérêt porté à cette France profonde qui pourtant ne réunit plus que 20% de la population pendant qu’on parque les autres 80% dans des villes de plus en plus concentrées et ingérables ( ces le concept de croissance endogène !). Une agriculture de plus en plus concentrée également grâce aux cultures industrielles  bourrées de pesticides d’engrais, garce aux fermes  géantes,  aux animaux emprisonnés dans des cages pour éviter la perte de poids. La progrès quoi :! De quoi justifier la présence de nos élites dans ce lieu qui réunit  politique, produits de la ferme et  démocratie. vivante. On en vient même à  se demander si le sénat et l’assemblée ne font pas douve emploi avec ce salon. On attend surtout avec impatience comment Valls va placer son couplet sur l’autorité, certainement qu’il va encore affirmer « qu’il ne reculera pas »  , devant le ridicule cette fois ?

Salon agriculture: Hollande au cul des vaches

Salon agriculture:  Hollande au cul des vaches  

Hollande va avoir du mal à séduire le monde agricole lors de sa visite à ce salon. Il est encore moins apprécié dans le monde rural qu’ailleurs. C’est au cul des vaches qu’il va tenter de séduire ; Un exercice compliqué, c’est pourquoi c’est très tôt qu’il commence sa visite, visite par ailleurs très rapide afin notamment d’éviter d’éventuels sifflets. Rendez-vous samedi à 7 heures du matin. François Hollande se présentera très tôt aux portes de la Ferme éphémère Porte de Versailles, pour n’y rester que la matinée. Selon Europe 1, le chef de l’Etat n’envisage pas d’effectuer un « marathon » digne de la précédente édition. Et pour éviter sifflements ou jets de tomates dans les allées, l’Elysée et le gouvernement ont multiplié les messages d’apaisement à l’égard des paysans. Vendredi, pas moins de quatre ministres Michel Sapin (Travail) Stéphane Le Foll (Agriculture), Guillaume Garot (Agroalimentaire) et Philippe Martin (Ecologie) se sont succédé à l’invitation de la FNSEA. Le syndicat majoritaire a organisé les Etats Généraux de l’Agriculture à Paris, afin de sortir le secteur de l’enlisement. Les sujets qui fâchent ont tous été abordés : OGM, simplification administrative, recherche, compétitivité, Pacte de responsabilité…. La même journée, François Hollande a rappelé ses engagements en faveur des campagnes dans le magazine emblématique La France Agricole. Il a confirmé la vocation exportatrice de l’agriculture hexagonale, insisté sur la nécessité de ne pas ajouter de normes supplémentaires à celles imposées par les directives européennes. Il a aussi promis « une concertation sur l’écotaxe » qui a tant agitée la Bretagne.   Le chef de l’Etat s’est voulu consensuel. A raison : une visite présidentielle, même écourtée, réserve toujours des surprises. Plus de 4000 animaux présentés comme des stars, presque autant de produits du terroir dégustés, testés et primés… Cette méga foire, qui mêle professionnels et grand public, se déroule dans une ambiance survoltée. Les Municipales ajoutent du piment à cette édition. Malgré son ancrage en Corrèze, terre d’élevage, François Hollande sait qu’il n’a recueilli que 32% de voix des agriculteurs au second tour de la présidentielle. Le baromètre CSA-Les Echos de févier révèle que 20% des ruraux lui font confiance. C’est 3 points de moins que la moyenne nationale.

Défilé de mode des ministres au salon des entrepreneurs

Défilé de mode des ministres au  salon des entrepreneurs

2013 Etait l’année des chômeurs et de l’inversion de la courbe, cette année la tendance est aux entreprises, les ministres défilent au salon des entrepreneurs.   Ces deux jours en l’honneur des créateurs d’entreprises au Palais des Congrès à Paris sont « the place to be » pour les ministres, ces 5 et 6 février. L’évènement, dont BFM Business est partenaire, mobilise plus que jamais le gouvernement. Ses membres sont venus montrer leur détermination à favoriser l’entrepreneuriat, et faire le service après-vente des mesures annoncées en leur faveur. Six ministres doivent  participent ce mercredi à l’opération séduction, parmi lesquels Pierre Moscovici. Le ministre de l’Economie a clôturé la première conférence plénière intitulée « Entreprendre en 2014″. Autant dire que le public, très nombreux, n’était pas acquis à sa cause. Le patron de Bercy a même eu du mal à les faire rester jusqu’au bout.  Egalement présente, Sylvia Pinel, la ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, ou encore la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Geneviève Fioraso. Cette dernière devait évoquer la réforme du financement participatif. Outre la présence des membres du gouvernement, l’exécutif a fait la promotion de son action à travers plusieurs stands où des équipes de Bercy ont vanté et expliqué toutes les mesures gouvernementales prises en faveur des PME. Que ce soit les aides à l’export, à l’innovation ou encore la simplification des démarches administratives. Toute une série de brochures détaillées ont été mises à disposition des participants pour expliquer les allègements fiscaux et les modalités d’imposition. De quoi informer les chefs d’entreprises actuels ou en devenir, qui, de leur côté, affirment ne plus attendre grand-chose des pouvoirs publics. Dans les allées du salon, on reconnaît qu’il faut une vraie baisse des charges, et que le Pacte de compétitivité est une bonne idée, mais à court terme, on compte avant tout sur soi-même…




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