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Coronavirus Jérôme Salomon: «une deuxième vague» épidémique

Coronavirus Jérôme Salomon: «une deuxième vague» épidémique

 

Le directeur général de la santé avait déjà prévenu lors de son audition à l’Assemblée nationale : ne pas se préparer à une deuxième vague serait irresponsable. Nous devons anticiper un rebond, voire une deuxième vague épidémique cet automne ou cet hiver. Ne pas se préparer à une deuxième vague serait une faute majeure », a déclaré Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, interrogé par les députés membres de la commission d’enquête parlementaire portant sur l’impact et la gestion de la crise du Covid-19.

« La première vague épidémique s’achève en Europe et en métropole, mais l’épidémie est loin d’être terminée et le virus circule toujours de façon hétérogène. Comme depuis le début de l’épidémie, nos équipes sont toujours pleinement mobilisées. Elles surveillent la situation en métropole, avec plus de 230 clusters déclarés [...]« .

« Nous devons impérativement maintenir le respect des gestes barrières et des mesures de distanciation physique [...]« .

« Nous devons anticiper un rebond, voire une deuxième vague épidémique cet automne ou cet hiver. Ne pas se préparer à une deuxième vague serait une faute majeure. »

«Ce sont nos comportements qui conditionnent le risque» de regain du Covid-19, insiste le directeur général de la Santé, qui appelle les Français à «la prudence» face au risque d’une deuxième vague qu’il  rappelle dans une interview du Figaro.

 

 » Appel à se faire « tester au moindre doute » (Jérôme Salomon)

 » Appel à se faire « tester au moindre doute » (Jérôme Salomon)

 

« Nous avons le pouvoir de maîtriser l’épidémie. Dans ce contexte, se faire tester au moindre doute c’est entrer dans un parcours de prise en charge médicale qui permettra au plus grand nombre d’être détecté vite, d’être détecté à temps. (…) Pour notre sécurité à tous, imposons-nous individuellement et collectivement en famille et avec nos amis et nos proches de respecter ces règles », a-t-il exhorté.

Jérôme Salomon a également détaillé la marche à suivre pour une personne qui d’aventure ressentirait des symptômes du Covid-19.

Sur un schéma diffusé au cours de la prise de parole de l’infectiologue, il est conseillé en premier lieu d’appeler un médecin afin de se faire prescrire un test, un masque ainsi qu’un arrêt de travail. Il est ensuite indiqué de s’isoler à son domicile et de porter un masque avant de prendre rendez-vous pour un dépistage.

 

« Là où j’ai besoin d’aide des gouvernements européens – que je n’ai pas encore reçue à ce jour -, c’est de passer des commandes », a fait savoir Stéphane Bancel, le PDG de Moderna, sur notre antenne. « Il faut à peu près six à neuf mois entre le moment où on reçoit une commande et le moment où on est capable de fournir les vaccins; il faut acheter les matières premières, les machines, embaucher des collaborateurs et les former », a-t-il dit. La même problématique se pose pour d’autres très grandes sociétés pharmaceutiques ( cinq ou six sociétés dans le monde et 50 à 60 usines de production) et on comprend que les pouvoirs publics attendent des preuves supplémentaires de la fiabilité des hypothèses de vaccin envisagés. Ceci-ci étant, fonds considérables sont déjà engagés dans la recherche, il conviendra sans doute d’augmenter encore leur ampleur.

Morano : jugement de Salomon pour Sarkozy

Morano : jugement de Salomon pour Sarkozy

 

Sarkozy a tranché vis-à-vis de Morano en l’écartant des listes des élections régionales. Une décision forte mais qui demeure cependant ambigüe car Morano qui exprime des positions encore plus extrêmes que le Front national va demeurer au sein du parti républicain. Un parti républicain en fait assez partagé entre des positions humanistes et les positions populistes. Du coup rien n’est vraiment réglé concernant Morano qui de plus va se présenter à la primaire du parti des républicains justement pour faire tomber Sarkozy. Au-delà de la querelle des personnes, très forte en l’occurrence – pour Morano c’est une forme de dépit amoureux après son éviction de l’organigramme de la direction- il s’agit d’une question idéologique et d’un positionnement du parti des républicains qui jusque-là est loin d’être très clair. Le verdict qui s’est imposé à Nicolas Sarkozy pour désamorcer, sans la clore, la polémique Morano souligne crûment les contradictions de sa stratégie pour 2017, un mariage forcé et incertain entre centristes et « droitistes » des Républicains. « Mieux vaut une crise passagère et investir à long terme. On a la responsabilité de porter l’alternance », a résumé mercredi l’ancien chef de l’Etat pour justifier la destitution de Nadine Morano après ses propos sur la France, pays « de race blanche ». L’UDI et le MoDem ayant menacé de faire défection dans la région Grand Est (Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine), le président des Républicains n’avait d’autre choix que de retirer la tête de liste en Meurthe-et-Moselle à l’égérie de la frange la plus radicale des militants. L’ex-ministre de Nicolas Sarkozy est allée jusqu’à dénoncer « une cabale centriste », une opinion que partagent des administrés de plusieurs députés LR, à en croire ces derniers. Nicolas Sarkozy s’est engagé mercredi à se rendre prochainement dans le Grand Est pour « expliquer » sa décision. « La sanction envers Nadine Morano est un jugement de Salomon: d’un côté elle n’a plus d’investiture aux régionales, mais de l’autre elle n’est pas exclue du parti. Cela traduit la fracture profonde entre ceux qui adhèrent au ‘lepénisme light’, et ceux qui le rejettent au nom des valeurs de la droite républicaine », estime le politologue Thomas Guénolé.




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