Archive pour le Tag 'salaire'

Social- Bangladesh: Un salaire de misère d’environ 100 euros pour 70 heures de travail par semaine

Social- Bangladesh: Un salaire de misère d’environ 100 euros pour 70 heures de travail par semaine

Le Bangladesh va devenir progressivement l’usine du monde du textile. Un développement exponentiel lié à la faiblesse des coûts salariaux. En effet un salarié gagne à peine 100 € pour de l’ordre de 70 heures de travail. Les ouvriers du textile demandent au moins le doublement voire le triplement de cette rémunération.

Près de 250 usines de confection ont fermé après de violentes manifestations. Des dizaines d’entre elles auraient été saccagées et vandalisées.

Deuxième exportateur mondial de vêtement derrière la Chine, le Bangladesh compte 3 500 usines et 4 millions de travailleurs. Fournisseurs de grandes entreprises occidentales, comme Gap, H&M ou Levi Strauss, ces usines exportent une grande partie de leur production vers l’Europe et les États-Unis.

En 2019, plus de 75 % des exportations de vêtements étaient destinées à ces régions. Le secteur de l’habillement représente 85 % des 55 milliards de ses ventes à l’étranger. Plusieurs marques, dont Adidas, Hugo Boss ou encore Puma, ont écrit le mois dernier à la première ministre, Sheikh Hasina, lui enjoignant d’augmenter les salaires conformément à la législation qui prévoit une hausse tous les cinq ans. Certaines entreprises pâtissent déjà de commandes bloquées à cause des grèves.

La colère des ouvriers a explosé après que la puissante association des fabricants et exportateurs de vêtements (BGMEA), représentant les propriétaires d’usines, a proposé une augmentation des rémunérations de seulement 25 %. Les usines sont régulièrement critiquées pour leur dangerosité, en atteste l’effondrement du Rana Plaza, en 2013, qui a coûté la vie à 1 100 personnes. Au-delà des incendies et des effondrements de bâtiments qui sont des menaces constantes, de nombreux travailleurs sont exposés à des risques chimiques nocifs et sans protection adéquate, décrient les syndicats.

Bangladesh: Un salaire de misère pour 70 heures de travail par semaine

Bangladesh: Un salaire de misère d’environ 100 euros pour 70 heures de travail par semaine

Le Bangladesh va devenir progressivement l’usine du monde du textile. Un développement exponentiel lié à la faiblesse des coûts salariaux. En effet un salarié gagne à peine 100 € pour de l’ordre de 70 heures de travail. Les ouvriers du textile demandent au moins le doublement voire le triplement de cette rémunération.

Près de 250 usines de confection ont fermé après de violentes manifestations. Des dizaines d’entre elles auraient été saccagées et vandalisées.

Deuxième exportateur mondial de vêtement derrière la Chine, le Bangladesh compte 3 500 usines et 4 millions de travailleurs. Fournisseurs de grandes entreprises occidentales, comme Gap, H&M ou Levi Strauss, ces usines exportent une grande partie de leur production vers l’Europe et les États-Unis.

En 2019, plus de 75 % des exportations de vêtements étaient destinées à ces régions.Le secteur de l’habillement représente 85 % des 55 milliards de ses ventes à l’étranger. Plusieurs marques, dont Adidas, Hugo Boss ou encore Puma, ont écrit le mois dernier à la première ministre, Sheikh Hasina, lui enjoignant d’augmenter les salaires conformément à la législation qui prévoit une hausse tous les cinq ans. Certaines entreprises pâtissent déjà de commandes bloquées à cause des grèves.

La colère des ouvriers a explosé après que la puissante association des fabricants et exportateurs de vêtements (BGMEA), représentant les propriétaires d’usines, a proposé une augmentation des rémunérations de seulement 25 %. Les usines sont régulièrement critiquées pour leur dangerosité, en atteste l’effondrement du Rana Plaza, en 2013, qui a coûté la vie à 1 100 personnes. Au-delà des incendies et des effondrements de bâtiments qui sont des menaces constantes, de nombreux travailleurs sont exposés à des risques chimiques nocifs et sans protection adéquate, décrient les syndicats.

Nouvelle hausse de salaire : le Medef dit non !

Comme souvent en France le dialogue commence mal à propos de la réévaluation des salaires sur l’inflation. Le Medef répond en effet par la négative à la demande de réalignement de la rémunération sur l’inflation considérant que les augmentations passées suffisent. Pourtant la plupart des indicateurs économiques montrent une atteinte nette au pouvoir d’achat surtout dans les basses catégories. En effet en moyenne l’inflation a atteint environ 5 % en 2022 et ce sera vraisemblablement le cas aussi en 2023.

Le problème c’est qu’il s’agit d’une inflation moyenne qui ne rend pas compte de la modification structurelle des dépenses des ménages. Plus les salaires sont bas et plus les ménages subissent l’inflation par exemple des produits alimentaires qui ont progressé de plus de 20 % sur deux ans et de l’énergie.

Au total le retard sera de 10 % au 1er janvier 2024 en tenant compte de la vague d’augmentation qui touche tous les produits et services.

Le Medef déclare qu’il n’est pas question de procéder à de nouvelles augmentations de salaires. Un positionnement qui augure mal de la conférence sociale et de l’indigence de la négociation en France. Pour le patron du Medef les entreprises en ont fait déjà assez sur les salaires.

Un avertissement avant la mobilisation prévue ce vendredi par l’intersyndicale pour demander de meilleures rémunérations pour les salariés. Patrick Martin a doncapposé une fin de non-recevoir. Selon lui, les employeurs ont été à l’écoute des difficultés des salariés, face à l’inflation. Ils ont distribué des primes et augmenté les rémunérations. Aussi, le leader patronal n’entend-t-il pas aller plus loin. Surtout dans un contexte où la conjoncture économique s’assombrit.

Salaires États-Unis: la grève se développe dans l’automobile

Salaires États-Unis: la grève se développe dans l’automobile

Progressivement la grève entamée il y a environ un mois s’étend aux États-Unis chez les salariés de l’automobile. Les syndicats réclament une augmentation d’environ 40 % sur quatre ans alors que les patrons veulent limiter la croissance à un peu plus de 20 %.

La grève est justifiée par des augmentations de salaires mais aussi par la demande de garantie concernant la mutation de la voiture thermique vers la voiture électrique qui va profondément modifier la production et ses moyens.

Quelque 8.700 employés d’un site Ford du Kentucky, dans le centre des États-Unis, ont cessé le travail mercredi 11 octobre à l’appel du syndicat UAW, en réponse, selon l’organisation, au refus du constructeur de faire davantage de concessions dans les négociations sur un nouvel accord collectif. Ces salariés d’une usine de Louisville sont venus grossir les rangs des effectifs déjà en grève au sein des trois grands constructeurs automobiles américains historiques, Ford, General Motors et Stellantis (Chrysler), pour les porter à près de 34.000, alors que le mouvement dure depuis près de quatre semaines. Environ 23% des employés syndiqués sont désormais à l’arrêt au sein des «Big Three», terme qui désigne les trois constructeurs.

Salaire : Stellantis propose 21 % d’augmentation sur quatre ans aux États-Unis

Salaire : Stellantis propose 21 % d’augmentation sur quatre ans aux États-Unis

Stellantis propose désormais une hausse des salaire de « près de 21% » sur la durée de la nouvelle convention collective, soit quatre ans, contre 14,5% il y a encore une semaine. C’est encore loin cependant des 40% réclamés par l’UAW. General Motors et Ford proposent de leur côté de relever les salaires de 20% sur la période.

Le mouvement pourrait même prendre de l’ampleur, a prévenu dimanche le syndicat , si « de meilleures propositions ne sont pas faites ». «Cela fait des décennies qu’on est laissé à la traîne», a ajouté Shawn Fain,le président de l’UAW.

Stellantis par ailleurs pourraient être affecté par de fortes restructurations se traduisant des ventes ou des fermetures de 18 sites, dont des usines et des dépôts de stockage, sur un total de 35 usines et centres de dépôts ou de distribution de pièces aux Etats-Unis.

Salaire en hausse mais pouvoir d’achat en baisse en 2022

Salaire en hausse mais pouvoir d’achat en baisse en 2022

La masse salariale du secteur privé en France a augmenté de 8,7% en 2022, en raison de la progression des effectifs salariés et de l’inflation, mais le pouvoir d’achat par tête a baissé, rapporte l’Urssaf vendredi 15 septembre Mais officiellement la baisse serait seulement 2,1 %. On se fonde évidemment sur un indicateur de l’inflation obsolète de l’INSEE car en réalité la hausse des prix et de l’ordre du double de ce qui est constaté officiellement. Il faut en effet tenir compte du changement de comportement des Français qui compte tenu de la baisse du pouvoir d’achat modifient la nature et le volume de leur consommation. Ainsi par exemple les dépenses contraintes représentent de plus en plus et se seront-elles dans les niveaux progressent aussi le plus.

Le salaire moyen par tête (SMPT) a progressé l’an dernier de 5,2% et de 5,7% avec les primes exceptionnelles, à 2.786 euros bruts mensuels, tandis que les prix à la consommation auraient augmenté de 5,3%.

TPE-PME : Des « hausses » de salaire de 5,49 %

TPE-PME : Des « hausses » de salaire de 5,49 %

En moyenne de 5,49% entre décembre 2021 et janvier 2023 pour l’augmentation des salaires dans les TPE–PME mais moins que l’inflation d’après le baromètre du Cercle Perspectives. Une
La hausse des salaires dans les TPE et PME a atteint +5,49% entre décembre 2021 et janvier 2023, d’après le baromètre du Cercle Perspectives publié ce mercredi 26 avril.

Reste que, mise en regard de l’inflation, qui s’est établie en moyenne à 5,2% en 2022, cette évolution n’est finalement que de 0,29%. Et ne représente ainsi qu’une légère augmentation du pouvoir d’achat pour les salariés concernés.

Début février, les données provisoires de la Dares, le service de statistiques du ministère du Travail, faisait aussi état d’une hausse de l’indice du salaire mensuel de base (SMB) dans le privé de 3,8% sur un an. Comparé également au niveau d’inflation, il ressortait que les salariés ont, en réalité, perdu en pouvoir d’achat.

Le gouverneur de la Banque de France a estimé salaire moyen par tête a augmenté de près de 4% en moyenne en 2022 (moins que l’inflation), et pourrait progresser de 6% cette année (plus que l’inflation), mais le rattrapage devrait ensuite retomber à environ 3% en glissement annuel d’ici fin 2025.

. L’inflation a atteint en mars 5,7% sur un an en France, tirée par l’envolée des prix des produits alimentaires, avait précisé mi-avril l’Institut national de la statistique.

Le Royaume-Uni: Augmentation du salaire minimum de près de 10 %

Royaume-Uni: Augmentation du salaire minimum de près de 10 %

Le salaire minimum augmentera au 1er avril de 9,7% au Royaume-Uni, coup de pouce «record» pour les plus modestes dans un pays qui voit l’inflation flamber à plus de 10% depuis des mois, ont indiqué vendredi les autorités britanniques.

Le salaire minimum horaire pour les plus de 23 ans est porté à 10,42 livres (11,84 euros), puis est dégressif pour les plus jeunes.( le Smic horaire en France est de 11,27 euros brut et 8,92 euros net).

Le Royaume-Uni est confronté à une sévère crise du coût de la vie, avec une inflation qui a rebondi à 10,4% sur un an en février. Les hausses de prix sont tirées par l’envolée des factures énergétiques, mais aussi de l’alimentation, dans la foulée de la guerre en Ukraine, sans compter une pénurie de travailleurs post-pandémie et Brexit. Conséquence : malgré des hausses de salaires, le pouvoir d’achat des Britanniques se réduit et les grèves pour de meilleurs revenus s’enchaînent dans de nombreux secteurs, de l’éducation aux transports, en passant par la santé.

Les projections officielles de l’OBR, organisme de prévision budgétaire public, prévoient que l’inflation au Royaume-Uni repassera sous 10% au premier trimestre et sous 7% au deuxième. Si cela venait à se confirmer, «l’ampleur de l’augmentation» du salaire minimum «signifie que les travailleurs les moins bien payés du Royaume-Uni devraient bénéficier d’une rare augmentation de salaire en termes réels», note la Resolution Foundation.

Coûts cachés de l’éolien et du solaire : 100 milliards

Coûts cachés de l’éolien et du solaire : 100 milliards

Il faudra 96 milliards pour raccorder les nouveaux parcs solaires et éoliens ainsi que les bornes de recharge pour voitures électriques.

Enedis prévoit au total d’engager 96 milliards d’euros d’investissement d’ici à 2040, a signalé l’entreprise ce lundi à l’occasion de la publication de son plan « préliminaire » de développement du réseau. Il ne s’agit pour l’heure que d’estimations, puisque ce calcul évoluera selon la prochaine feuille de route énergétique, que le gouvernement doit faire voter prochainement dans la loi de programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) pour 2024-2033. Mais l’entreprise de 38.000 salariés, qui accélère d’ailleurs ses propres embauches, n’a pas attendu cette échéance pour envoyer un message à ses partenaires industriels, alors qu’Emmanuel Macron souhaite multiplier par dix la capacité de production d’énergie solaire d’ici à 2050, et déployer 50 parcs éoliens en mer.
«
Pour se financer, la filiale d’EDF prévoit ainsi « un recours maîtrisé à de la dette » avec un programme d’émissions d’obligations vertes qui a déjà commencé et va se poursuivre. Mais aussi une revalorisation de la taxe d’acheminement de l’électricité, (ou Turpe), hausse qui sera là aussi « maîtrisée », avec des « hypothèses d’augmentation inférieure ou limitée à l’inflation dans la durée », promet-on en interne. « C’est dans notre ADN d’optimiser chaque euro investi, et de veiller à ce qu’on limite au maximum l’impact sur le consommateur en termes de de pouvoir d’achat », assure même Christophe Gros, directeur de la régulation chez Enedis. Néanmoins, cela risque forcément de se traduire par une hausse de la facture d’électricité, alors que la Turpe représente aujourd’hui environ 30% du tarif global payé chaque mois par les clients particuliers.

SNCF : Une augmentation de salaire de 5,9 % aux cheminots

SNCF : Une augmentation de salaire de 5,9 % aux cheminots

La SNCF proposé aux cheminots une revalorisation salariale de 5,9 % en moyenne en 2023 à l’issue de négociations annuelles obligatoires.

Dans le détail, le groupe ferroviaire a proposé une augmentation générale de 2 % pour tous, assortie d’une « revalorisation forfaitaire » de 600 euros bruts annuels, a détaillé le DRH du groupe François Nogué. A cela s’ajoute une majoration de diverses primes (travail de nuit, dimanche, jours fériés), le paiement de 75 % de l’abonnement transport au lieu de 50 % actuellement, ou le versement d’un forfait mobilité.

Si l’on prend en compte l’ensemble de ces évolutions, la direction estime que la revalorisation salariale dépasse les 6 % en moyenne. D’après la direction de la SNCF, l’ensemble des mesures mises sur la table représentent un effort d’environ 600 millions d’euros.

Cette annonce intervient alors que la CGT-Cheminots, SUD-Rail et la CFDT-Cheminots appelaient à la grève ce mercredi pour demander des mesures au moins à la hauteur de l’inflation, qui a atteint 6,2 % en novembre sur un an. La mobilisation a été plutôt faible avec 7 % de grévistes selon une source proche de la direction

Rémunération des cadres: Un salaire médian de 51 000 €

Rémunération des cadres: Un salaire médian de 51 000 €

D’après l’APEC, le salaire médian annuel brut des cadres (en tenant compte de la rémunération fixe et de la part variable) s’établit à 51.000 euros mais avec des écarts autour du chiffre médian.

Le poste le plus enviable apparaît bien être celui de Responsable des finances. C’est en effet, selon les données de l’Apec,la rémunération annuelle médiane pour ce métier atteint les 63.000 euros brut. Ils sont suivis de peu par les cadres exerçant dans le commerce et les grands comptes (61.000 euros) .

D’autres métiers offrent encore des rémunérations au-dessus de la médiane, même s’ils ne proposent pas les niveaux précédents. Avec une rémunération de 56.000 euros, le poste de management des ventes reste attractif. Tout comme, à 52.000 euros, le chargé de relation clients, l’administrateur des services après-vente ou bien encore le chargé d’appels d’offres.

Dans les postes de direction, la palme revient aux cadres qui exercent leur métier au sein des ressources humaines avec une rémunération médiane avoisinant les 82.000 euros. Ces cadres devancent leurs collègues du marketing ou bien encore des directions commerciales (respectivement 79.000 et 78.000 euros de rémunération médiane) ou d’une direction administrative et financière (75.000 euros).

Cadres: Un salaire médian dont 51 000 €

Cadres: Un salaire médian dont 51 000 €

D’après l’APEC, le salaire médian annuel brut des cadres (en tenant compte de la rémunération fixe et de la part variable) s’établit à 51.000 euros mais avec des écarts autour du chiffre médian.

Le poste le plus enviable apparaît bien être celui de Responsable des finances. C’est en effet, selon les données de l’Apec,la rémunération annuelle médiane pour ce métier atteint les 63.000 euros brut. Ils sont suivis de peu par les cadres exerçant dans le commerce et les grands comptes (61.000 euros) .

D’autres métiers offrent encore des rémunérations au-dessus de la médiane, même s’ils ne proposent pas les niveaux précédents. Avec une rémunération de 56.000 euros, le poste de management des ventes reste attractif. Tout comme, à 52.000 euros, le chargé de relation clients, l’administrateur des services après-vente ou bien encore le chargé d’appels d’offres.

Dans les postes de direction, la palme revient aux cadres qui exercent leur métier au sein des ressources humaines avec une rémunération médiane avoisinant les 82.000 euros. Ces cadres devancent leurs collègues du marketing ou bien encore des directions commerciales (respectivement 79.000 et 78.000 euros de rémunération médiane) ou d’une direction administrative et financière (75.000 euros).

Foot -Salaire MBappé, un salaire de 630 millions en trois ans ou la folie du foot

Foot -Salaire MBappé, 630 millions en trois ans ou la folie du foot

Le football continue d’entretenir une véritable folie financière . Ainsi Bappé, l’attaquant français aurait prolongé pour un montant de 630 millions d’euros brut, étalés sur trois saisons, ce qui lui vaut de qualifier le bail de « contrat du siècle ». .

Le Parisien évoquait ainsi un accord scellé en mai entre le club parisien et Kylian Mbappé, portant sur un salaire de 72 millions d’euros brut par an, soit six millions brut par mois, 2,7 net après impôts. Mbappé aurait aussi touché une prime à la signature de 180 millions d’euros brut, ainsi qu’une prime dite de fidélité, touchée à chaque fin de mercato estival si le joueur ne quitte pas la capitale. Une prime progressive, passant de 70 à 80, puis 90 millions d’euros brut chaque été.

Cette folie financière qui creuse la tombe de nombre de clubs pros ne doit cependant pas faire oublier que la très grosse majorité des sportifs sont de purs amateurs dans le foot comme dans d’autres disciplines.Sans parler des dirigeants amateurs qui sont, eux, souvent de leur poche.

Le problème de ce salaire démentiel est qu’il tire la concurrence des autres clubs riches vers des rémunérations de plus en plus élevées. L’équilibre financier de nombreux clubs est en cause et un jour ou l’autre ils doivent être rachetés par des sponsors américains , russes ou arabes. Ou à défaut disparaître. La régulation financière dans le football n’est pas à l’ordre du jour car fédération et confédération sont mouillées jusqu’au coup dans ces excès ( voir affaire de dirigeants impliqués et condamnés; et dernièrement l’affaire du Qatar pour la coupe du monde)

Sport et démagogie: le président allemand veut le même salaire pour les footballeuses !

Sport et démagogie:  le président allemand veut le même salaire pour les footballeuses !

 

Il est clair que le sport féminin rencontre de plus en plus de succès auprès de l’opinion. Témoin par exemple le tour de France cycliste qui constituera désormais un événement majeur dans le calendrier sportif. Même chose à travers l’intérêt manifesté lors  de la compétition européenne de football féminin.

Du coup le président allemand propose tout simplement d’aligner immédiatement le salaire des footballeurs de son pays sur celle des hommes. Une vraie démagogie qui témoigne du manque de compétence et de sérieux de certains dirigeants politiques. Faut-il rappeler en effet que certains footballeurs parmi les mieux payés touchent plusieurs millions par mois (Ce qui évidemment constitue un autre scandale).

En France, comme en Allemagne, le salaire moyen d’une footballeuse professionnelle tourne autour de 2500 € bruts pour 100 000 € bruts quand il s’agit d’un homme.

Certes le réajustement entre hommes et femmes est indispensable mais il faudra sans doute une vingtaine d’années au moins pour réunir les conditions économiques nécessaires à cette égalité . Créer aussi des conditions sportives car pour l’instant par exemple en France on ne dispose vraiment que deux équipes professionnelles féminines de niveau international ; Des aspects  que semblent  avoir oublié le président allemand.

Le chancelier allemand Olaf Scholz va cependant rencontrer le directeur de la fédération nationale de football Oliver Bierhoff pour plaider en faveur de l’égalité des salaires pour les footballeuses du pays, a-t-il déclaré lors de la finale du championnat d’Europe féminin entre l’Allemagne et l’Angleterre, dimanche.

L’équipe allemande de football féminin a certes perdu la finale du championnat d’Europe féminin ce dimanche contre l’Angleterre (2-1). Mais elle a remporté une autre victoire encore plus belle. Dans la foulée du match qui se déroulait à Wembley, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré qu’il allait rencontrer le directeur de la fédération nationale de football Oliver Bierhoff pour plaider en faveur de l’égalité des salaires pour les footballeuses du pays.

La joueuse allemande Lina Magull a réclamé ces dernières semaines un salaire minimum de 2.000 à 3.000 euros par mois pour les joueuses allemandes et a fait état de négociations réussies en Espagne pour un salaire minimum. Les footballeuses allemandes étudient et travaillent parallèlement à leur activité professionnelle, ce qui, selon Magull, ne devrait pas être nécessaire au-delà de la deuxième division. On est loin évidemment des 100 000 € qui seraient nécessaires pour combler les inégalités entre hommes et femmes

Démagogie : le président allemand veut le même salaire pour les footballeuses !

Démagogie : le président allemand veut le même salaire pour les footballeuses !

 

Il est clair que le sport féminin rencontre de plus en plus de succès auprès de l’opinion. Témoin par exemple le tour de France cycliste qui constituera désormais un événement majeur dans le calendrier sportif. Même chose à travers l’intérêt manifesté lors  de la compétition européenne de football féminin.

Du coup le président allemand propose tout simplement d’aligner immédiatement le salaire des footballeurs de son pays sur celle des hommes. Une vraie démagogie qui témoigne du manque de compétence et de sérieux de certains dirigeants politiques. Faut-il rappeler en effet que certains footballeurs parmi les mieux payés touchent plusieurs millions par mois (Ce qui évidemment constitue un autre scandale).

En France, comme en Allemagne, le salaire Moyen d’une footballeuse professionnelle tourne autour de 2500 € bruts pour 100 000 € bruts quand il s’agit d’un homme.

Certes le réajustement entre hommes et femmes est indispensable mais il faudra sans doute une vingtaine d’années au moins pour réunir les conditions économiques nécessaires à cet égalité. Un aspect que semble avoir oublié le président allemand.

Le chancelier allemand Olaf Scholz va cependant rencontrer le directeur de la fédération nationale de football Oliver Bierhoff pour plaider en faveur de l’égalité des salaires pour les footballeuses du pays, a-t-il déclaré lors de la finale du championnat d’Europe féminin entre l’Allemagne et l’Angleterre, dimanche.

L’équipe allemande de football féminin a certes perdu la finale du championnat d’Europe féminin ce dimanche contre l’Angleterre (2-1). Mais elle a remporté une autre victoire encore plus belle. Dans la foulée du match qui se déroulait à Wembley, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré qu’il allait rencontrer le directeur de la fédération nationale de football Oliver Bierhoff pour plaider en faveur de l’égalité des salaires pour les footballeuses du pays.

La joueuse allemande Lina Magull a réclamé ces dernières semaines un salaire minimum de 2.000 à 3.000 euros par mois pour les joueuses allemandes et a fait état de négociations réussies en Espagne pour un salaire minimum. Les footballeuses allemandes étudient et travaillent parallèlement à leur activité professionnelle, ce qui, selon Magull, ne devrait pas être nécessaire au-delà de la deuxième division. On est loin évidemment des 100 000 € qui seraient nécessaires pour combler les inégalités entre hommes et femmes

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