Archive pour le Tag 'saint-glinglin'

Fiscalité- Baisses d’impôts : reportées en 2025 ou à la saint-glinglin

Fiscalité- Baisses d’impôts : reportées en 2025 ou à la saint-glinglin

Comme c’était prévisible, le gouvernement ne respectera pas son engagement de faire baisser les impôts en 2024. Certes certains vont diminuer mais plus que compensés par l’augmentation d’autres. Du coup, le ministre de l’économie pris dans ses contradictions annonce que la baisse de la fiscalité n’interviendra pas avant 2025. Et de justifier la situation économique et les taux d’intérêt comme si le niveau de la fiscalité ne participait pas lui aussi de l’inflation.

Bruno Le Maire prétexte « la fragilité de notre environnement économique », à cause notamment du « niveau des taux d’intérêt, qui restera élevé pour longtemps » et de « la situation économique de l’Allemagne, qui est notre premier partenaire économique ».

Bruno Le Maire s’est dit « lucide sur la fragilité de notre environnement économique », à cause notamment du « niveau des taux d’intérêt, qui restera élevé pour longtemps » et de « la situation économique de
C’est l’un des engagements du gouvernement, qui tarde pour l’instant à se concrétiser. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a expliqué ce mardi que les baisses d’impôts pour les ménages promises en mai par le président de La République, de l’ordre d’au moins deux milliards d’euros, interviendraient « si possible dès le budget 2025 ».

Cet allègement fiscal, « nous le ferons au plus vite », a affirmé le locataire de Bercy dans un entretien accordé au Figaro, alors qu’Emmanuel Macron avait promis ces baisses d’ici 2027. Après la suppression de la taxe d’habitation et un allègement de l’impôt sur le revenu, Emmanuel Macron s’est engagé en mai dernier à des baisses d’impôts supplémentaires pour « les classes moyennes » avec des « revenus entre 1.500 et 2.500 euros ».

Baisses d’impôts : reportées en 2025 ou à la saint-glinglin

Baisses d’impôts : reportées en 2025 ou à la saint-glinglin

Comme c’était prévisible, le gouvernement ne respectera pas son engagement de faire baisser les impôts en 2024. Certes certains vont diminuer mais plus que compenséspar l’augmentation d’autres. Du coup, le ministre de l’économie pris dans ses contradictions annonce que la baisse de la fiscalité n’interviendra pas avant 2025. Et de justifier la situation économique et les taux d’intérêt comme si le niveau de la fiscalité ne participait pas lui aussi de l’inflation.

Bruno Le Maire prétexte « la fragilité de notre environnement économique », à cause notamment du « niveau des taux d’intérêt, qui restera élevé pour longtemps » et de « la situation économique de l’Allemagne, qui est notre premier partenaire économique ».

Bruno Le Maire s’est dit « lucide sur la fragilité de notre environnement économique », à cause notamment du « niveau des taux d’intérêt, qui restera élevé pour longtemps » et de « la situation économique de
C’est l’un des engagements du gouvernement, qui tarde pour l’instant à se concrétiser. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire a expliqué ce mardi que les baisses d’impôts pour les ménages promises en mai par le président de La République, de l’ordre d’au moins deux milliards d’euros, interviendraient « si possible dès le budget 2025 ».

Cet allègement fiscal, « nous le ferons au plus vite », a affirmé le locataire de Bercy dans un entretien accordé au Figaro, alors qu’Emmanuel Macron avait promis ces baisses d’ici 2027. Après la suppression de la taxe d’habitation et un allègement de l’impôt sur le revenu, Emmanuel Macron s’est engagé en mai dernier à des baisses d’impôts supplémentaires pour « les classes moyennes » avec des « revenus entre 1.500 et 2.500 euros ».

Porte ouverte au 49.3 sur le budget

Déficit : le retour à 3 % en 2027 ou à la saint-glinglin

 

Encore une promesse de coiffeur de Macron dont le programme politique va alourdir de manière considérable la dette. Du coup l’objectif , des 3 % est reporté en 2027, plus exactement à la saint-glinglin

Mis en avant en 2017, relégué au second plan en 2022, le redressement des comptes publics reste néanmoins à l’agenda d’Emmanuel Macron. Le chef de l’Etat, candidat à sa réélection, a assuré lors de la présentation de son programme ce jeudi que « l’effort budgétaire » de 50 milliards d’euros qu’il promet pour les cinq prochaines années – en nouvelles dépenses et en baisses d’impôts – serait financé par des économies ( non précisées !) et ne se traduirait pas par un accroissement de la dette.

« Je veux à la fois financer ces mesures et garder nos ancres de finances publiques, qui visent à commencer à réduire la dette à partir de 2026 et à repasser le déficit sous les 3 % du PIB en 2027 », a expliqué le locataire de l’Elysée.

Durant tout le propos liminaire qui a duré pourtant près d’une heure trente, Emmanuel Macron s’est quasiment gardé de prononcer les mots « dette » ou « déficit ». Une absence notable, quand on songe que le quinquennat finissant a été marqué par un « quoi qu’il en coûte » qui a fait bondir l’endettement public à plus de 115 % du PIB .

Pour financer ces fameux 50 milliards, trois grands blocs d’économies ont été esquissés. Il y aura d’abord les grandes réformes autour du travail (retraites, objectif de plein-emploi) qui doivent rapporter 15 milliards. Environ 15 autres milliards viendront de réformes dites de modernisation (facturation électronique, e-carte vitale, taux d’IS minimal, lutte contre la fraude et l’optimisation, etc.).

Enfin, un plan d’économies doit rapporter 20 milliards, en limitant la croissance de la dépense publique courante en volume (hors inflation) à 0,8 % par an, en dessous de sa croissance tendancielle. Pour aller au-delà et ramener le déficit à 3 % du PIB, le chef de l’Etat compte sur un retour durable de la croissance. Rien que le passage d’un taux de chômage de 7,5 % à 5 % en 2027 – le nouvel objectif – rapporterait en tout 30 milliards aux finances publiques, selon le chef de l’Etat.Un vrai calcul de comptable qu’il repose sur aucune analyse sérieuse avec des perspectives de réduction de dépenses complètement illusoires.

Covid-19 : les longues étapes du confinement, jusqu’à la saint-glinglin et au-delà !

Covid-19 : les longues étapes du confinement, jusqu’à la saint-glinglin et au-delà !

Comme on pouvait l’imaginer les réunions récentes du gouvernement sous la présidence d’Emmanuel Macron concernant la réouverture des activités contraintes et ou interdites n’ont pas abouti à grand-chose. Tout ce qu’on s’est c’est que la réouverture sera très progressive en fonction des circonstances. Elle comportera vraisemblablement de longues étapes jusqu’à la saint-glinglin et même au-delà. En clair,  il ne faut pas s’attendre à une reprise de la vie normale sans doute avant octobre.

« La troisième vague n’est pas derrière nous », avait prévenu Gabriel Attal mercredi à l’issue du conseil des ministres. « Le pic des hospitalisations n’a pas encore été atteint, cela signifie que nous avons encore devant nous des jours très difficiles », a déclaré le porte-parole du gouvernement. Cependant le

chef de l’Etat maintient son objectif de réouvertures progressives à partir de mi-mai. Celles-ci pourraient intervenir par étapes, toutes les trois semaines. La situation sera réévaluée avant de passer au palier suivant. Ces étapes pourraient également varier selon les régions.

Terrasses et musées mi-mai? Selon ces participants, Emmanuel Macron compte rouvrir des commerces, des terrasses et des musées à partir de la mi-mai. Le calendrier de retour en classe maintenu. La réponse du gouvernement est plus assurée concernant le retour des écoliers sur les bancs de l’école.

 

Interrogé par Franceinfo sur la limite des 10 kilomètres (décidée pour le moment jusqu’au 3 mai) et les autres restrictions, Gabriel Attal a indiqué que cet horizon était maintenu mais que, « à ce stade, il n’y a pas de calendrier prévu ». Jeudi soir, Bruno Le Maire s’est aussi gardé d’avancer un agenda précis. « Rien ne serait pire que de dire à la mi-mai ‘On commence à tout rouvrir’ et quinze jours ou trois semaines plus tard, parce que le virus revient, on serait obligé de tout refermer », a mis en garde le ministre de l’Economie sur France 2 jeudi soir.

 

Bref on ne sait pas grand-chose sur les conditions de la réouverture à part la perspective évasive concernant les terrasses et les musées.

 

Négociation Brexit: on va commencer « demain » ou à la saint-glinglin

Négociation Brexit: on va commencer « demain » ou à la saint-glinglin

 

Un peu surréaliste cette situation d’après brexit.  La Grande-Bretagne refuse pour l’instant d’engager des négociations, elle ne prévoit de le faire qu’à partir de 2017. Or les négociations vont durer un minimum de deux ans, la Grande-Bretagne fera donc encore partie  de l’union européenne jusqu’en 2020 au moins. Merkel approuve cette lenteur car elle ne souhaite pas se séparer d’un allié qui milite pour un libre-échange sans beaucoup de régulation. Merkel redoute surtout de se retrouver en tête-à-tête avec Hollande représentant des pays du Sud, plus étatistes et très laxistes en matière de gestion financière. Or Hollande souhaiterait mettre la Grande-Bretagne rapidement à la porte justement pour peser davantage vis-à-vis de l’Allemagne. Les 27 états membres de l’union européenne ont donc choisi la synthèse molle : l’union européenne est prête à négocier demain ». En clair on ne sait pas quand,  on laisse à la Grande-Bretagne le soin de décider du calendrier. Finalement ce pourrait être à la Saint Glinglin. Le temps passant il n’est pas exclu que finalement le brexit  soit jeté aux oubliettes. À Bratislava,  on a déclaré de manière très diplomatique que l’union européenne serait prête commencer « demain » les négociations sur le départ du Royaume-Uni, après le vote en faveur du Brexit, malgré la décision de Londres de repousser la procédure de divorce au début 2017, a déclaré aujourd’hui à Bratislava le président du Conseil européen Donald Tusk. « Nous sommes fin prêts », a assuré M. Tusk à l’issue d’un sommet à 27 sur l’avenir de l’UE post-Brexit, sans le Royaume-Uni, assurant que « nous pouvons même déclencher la procédure demain ». Dans une déclaration finale, publiée à l’issue de ce sommet informel, les dirigeants européens se sont également donné six mois pour élaborer « la vision d’une UE attrayante »,  « Nous nous sommes engagés à Bratislava à offrir à nos citoyens, dans les mois qui viennent, la vision d’une UE attrayante, dans laquelle ils puissent avoir confiance et qu’ils pourront soutenir », est-il écrit dans ce document, baptisé « déclaration de Bratislava », qui précède une feuille de route agréée par les 27 participants au sommet dans la capitale slovaque. Pas vraiment de quoi redonner le moral aux européens !




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