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Brexit : Boris Johnson veut saboter l’Europe

Brexit : Boris Johnson veut saboter l’Europe

Barry Johnson veut transformer le Royaume-Uni en Singapour , vider le continent de son potentiel intellectuel et constituer un paradis fiscal aux portes de l’union économique . Ce que confirme Philippe Van Parijs, dans une tribune au « Monde », que l’Union européenne doit refuser que le Royaume-Uni recoure à une concurrence fiscale agressive ou à une politique d’immigration prédatrice.

 

Tribune. 

 

Dominic Raab, alors secrétaire d’Etat à la sortie de l’Union européenne, déclarait en 2018 que l’histoire jugerait le Brexit de la manière suivante : « Un tremplin vers une étreinte boucanière du libre-échange » (The Spectator, 1er octobre 2018). En juillet 2019, Boris Johnson le promeut au poste de ministre des affaires étrangères et assigne à son ministère un rôle « absolument central », tant pour le Brexit que pour la vision du « global Britain ». Cette vision, on peut la trouver dans Britannia Unchained (Palgrave Macmillan, 2012), fervent plaidoyer de M. Raab pour un capitalisme globalisé.

 

Au sein du Parti conservateur, cette vision est loin d’être neuve. En 1999, William Hague, alors chef des tories dans l’opposition, proclamait dans The Guardian du 2 novembre : « Au cours du prochain millénaire, les nations se feront concurrence en adoptant les régulations les plus légères, les impôts les plus bas et le commerce le plus intense. Ces grands animaux trébuchants [les blocs régionaux, comme l’Union européenne] succomberont sous le coup des manœuvres et de la concurrence de l’Etat-nation svelte, à fiscalité légère. » Ceux qui partagent cette vision sont aujourd’hui solidement au pouvoir et comptent sur le Brexit pour leur donner la liberté de la mettre en œuvre.

Si la « Britannia unchained » de MM. Johnson et Raab a des chances de triompher, c’est grâce au pillage de la plus précieuse de toutes les ressources : le capital humain. En 2010, selon des estimations de la Banque mondiale, 292 000 diplômés de l’enseignement supérieur nés au Royaume-Uni et âgés de 25 à 64 ans vivaient alors dans l’Union européenne (UE), tandis que 910 000 diplômés de l’enseignement supérieur de la même tranche d’âge nés dans l’UE vivaient au Royaume-Uni.

Boris Johnson n’a rien fait pour cacher qu’il souhaitait amplifier encore ce « brain drain », qui représente un gain net de plus d’un demi-million de « cerveaux ». Dès août 2019, soit à peine deux semaines après son accession à la tête du gouvernement, il a ordonné aux ambassades britanniques de diffuser un message affirmant sa détermination à « garantir que notre système d’immigration attire les tout meilleurs intellects du monde entier » et détaillant diverses mesures concrètes destinées à réaliser cet objectif.

Pour parvenir à ses fins, il sait qu’il peut compter sur trois atouts majeurs. D’abord la réputation de l’enseignement supérieur britannique. Selon les critères (certes contestables) et les chiffres (indiscutablement influents) du dernier classement QS, le Brexit prive l’UE de ses quatre universités du top 10 mondial et de 17 de ses 27 universités du top 100. Ensuite, il y a Londres. Même affaiblie par la pandémie, celle qui était la plus grande métropole de l’Union n’est pas près de perdre son attrait. Enfin et surtout : la diffusion de l’anglais comme langue commune a fait du pays un aimant puissant, avec une vaste réserve d’entrants potentiels entre lesquels il a tout loisir de choisir. Le contrôle de ses frontières une fois retrouvé, le Royaume-Uni pourra laisser à l’UE la tâche ingrate d’accueillir et de socialiser les réfugiés et migrants innombrables en provenance d’Afrique et du Moyen-Orient. Pendant ce temps, il pourra ouvrir ses portes toutes grandes aux cerveaux qu’il convoite.

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Air France : le SNPL essaye encore de saboter la compagnie nouvelle à coûts réduits

Air France : le SNPL essaye encore de saboter la compagnie nouvelle à coûts réduits

 

Le syndicat corpo des pilotes SNPL n’a guère apprécié que les pilotes votent en majorité pour le projet de nouvelle compagnie à coûts réduits. Du coup, ils essayent de saboter le projet en demandant des augmentations de salaires qui annuleraient l’intérêt économique de cette nouvelle compagnie. En effet Si la direction d’Air France et le SNPL Air France ont trouvé un accord sur Transavia, on est encore très loin de trouver un terrain d’entente sur les conditions de création d’une nouvelle compagnie à coûts réduits par rapport à Air France (projet Boost) et les mesures sur les conditions de travail permettant d’améliorer un peu la performance d’Air France. D’autant qu’un nouvel élément est intervenu dans la négociation.  le bureau du SNPL Air France a demandé une hausse de rémunération des pilotes de 13% d’ici à 2020, une mesure qui augmenterait les coûts pilotes de 130 millions d’euros par anInterrogé par La Tribune, Emmanuel Mistrali, porte-parole du bureau du SNPL Air France, a confirmé qu’une demande de hausse de rémunération avait été faite mais réfute d’évoquer des chiffres en milieu de négociations n’ont pas abouti. « Il y a eu une baisse de rémunération des pilotes pendant la crise de 15%, pas de hausse de salaire depuis trois ans et cela devrait être la même chose en 2017 puisque les navigants sont exclus des négociations annuelles obligatoires. À un moment, cela suffit. Les pilotes sont prêts à s’investir mais ne sont plus prêts à donner et quand on investit, il y a un retour sur investissement. » Déclare le SNPL. Cette requête interpelle alors que la négociation était censée porter sur des mesures d’économies de la part des pilotes autour de 1,5% par an. Cette demande suscite deux sortes de craintes chez certains salariés de la compagnie. D’abord qu’elle ne plombe les négociations, ce que le bureau du SNPL d’Air France ne verrait pas d’un mauvais œil dans la mesure où il avait appelé les pilotes à voter contre le projet Boost lors d’un référendum lancé en février (les pilotes avaient au contraire voté en faveur de cette filiale à prix réduits). Ensuite, qu’elle ne plombe l’équation économique du projet si la direction accédait aux demandes du SNPL.

Air France : une nouvelle grève pour saboter la compagnie

Air France : une nouvelle grève pour saboter la compagnie

 

 

Les syndicats corpos d’Air  France ont décidé une grève de quatre jours qui pourraient être prolongée. Les pilotes d’Air France revendiquent cette fois que les activités soient rééquilibrées au profit de leur compagnie car ils considèrent que la stratégie de développement est trop favorable à KLM, partenaire du même groupe. Comment s’étonner que le groupe Air France KLM privilégie le développement de la compagnie néerlandaise tellement la compétitivité d’Air France est handicapée par le manque de productivité de ses pilotes. Pour rééquilibrer ses activités en faveur d’Air France encore faudrait-il que la compagnie se montre plus compétitive et plus attractive. Par ailleurs la répétition des mouvements sociaux ne constitue guère un encouragement pour développer une compagnie à l’image par ailleurs largement affectée ;  certes le mouvement sera sans doute peu suivi mais il sera suffisant pour contribuer une fois de plus au sabotage de la compagnie.  «Plus de la moitié des pilotes participeront au mouvement samedi», assure toutefois le porte-parole du SNPL. «Nous avons pour notre part calculé que 25% des pilotes s’étaient déclarés», précise Frédéric Gagey, le PDG de la compagnie. Entre 70% à 80% des vols sont assurés ce samedi, comme l’avait promis la direction d’Air France et précise que ceux de Hop! et de Transavia ne seront pas affectés. Le coût de la grève s’élèvera à environ 7 millions d’euros par jour, calcule la direction de la compagnie. «Nous allons tout mettre en œuvre pour protéger les vols directement concernés par l’Euro2016, précise le PDG de la compagnie. Si un match Turquie-Croatie a lieu par exemple, nous préserverons les vols en provenance de ces pays pour acheminer les supporters». Les pilotes d’Air France demandent à la direction de la compagnie de rééquilibrer la croissance du groupe qu’ils jugent trop favorable à KLM. En 10 ans, selon SNPL, le nombre de pilotes de KLM a progressé de 23% quand la partie française du groupe en perdait 8%. Mais le sujet est en train de tourner à l’incident diplomatique avec les Néerlandais de KLM. Jeudi soir, le ministre des Finances hollandais Coen Gelinck a indiqué que des contacts étaient pris avec Paris pour éviter que certains vols effectués jusque-là par KLM, au départ d’Amsterdam, ne soient finalement repris par Air France au départ de Paris.

Encore des conflits pour saboter l’économie

Encore des  conflits pour saboter l’économie

 

Moins les grévistes sont nombreux et plus les conflits ce radicalisent. À l’évidence les syndicats contestataires de plus en plus isolés ont  décidé de saboter l’économie à la veille de l’euro de foot ;  ainsi une poignée de grévistes continue de perturber fortement le fonctionnement de la SNCF, ils sont maintenant relayés par les éboueurs surtout en région parisienne offrant ainsi un spectacle lamentable de la capitale. Il faut ajouter la menace des pilotes d’Air France dont les organisations corpo sont insensibles tant  à la situation de leur entreprise qu’à celle  de la France. Bref une sorte de chienlit qui porte atteinte à l’image déjà bien entamée du pays et qui hypothèque certains investissements d’avenir. En clair certains syndicats ont décidé de saboter l’économie puisque les conséquences des conflits en cours ajoutées  à celles des inondations risquent de faire perdre à la France environ 0,3 % du PIB avec à la clé de l’ordre  de 300 000 emplois en moins. La situation reste en effet tendue à deux jours du lancement de l’Euro de football, qui va attirer des millions de personnes en France. La grève des éboueurs s’est étendue mercredi avec de nouveaux blocages de sites de traitement des déchets de la région parisienne et de l’incinérateur de Fos-sur-Mer, qui traite tous les déchets de l’agglomération marseillaise. Face à une « situation préoccupante », la mairie explique avoir été « contrainte mercredi matin de recourir à la force publique » pour débloquer des garages où se trouvent des camions de ramassage des ordures et annonce le redéploiement de ses effectifs pour soulager les établissements les plus touchés. « Ça va devenir compliqué », a déclaré Patrice Furé, directeur de cabinet du président du Syctom, l’établissement public qui gère les trois sites de la région parisienne. Le mouvement lancé depuis dix jours dans ce secteur commence à provoquer des amoncellements d’ordures dans la moitié des arrondissements de la capitale, et certaines communes de la région parisienne ont commencé à recourir à l’enfouissement de leurs ordures ménagères dans des décharges. Sur le front de la grève à la SNCF, la CGT cheminots, premier syndicat de l’entreprise, a annoncé mercredi le lancement d’une consultation de sa base sur le projet d’accord sur l’organisation du travail dans l’entreprise. Sud-Rail, troisième syndicat de la SNCF, y étant opposé, seules l’Unsa ferroviaire et la CFDT cheminots, deuxième et quatrième syndicats de la SNCF, ont annoncé qu’elles signaient cet accord censé préparer l’entreprise à la généralisation de l’ouverture du secteur ferroviaire français à la concurrence. Cela suffit à l’entrée en vigueur de ces accords, à condition que la CGT cheminots et Sud-Rail, qui ont recueilli plus de 51% des voix aux dernières élections professionnelles à la SNCF, ne s’y opposent pas ensemble. Le Premier ministre, Manuel Valls, a tenté d’amadouer les syndicats réfractaires en annonçant la reprise par l’Etat d’une partie de la dette de la SNCF et un coup de pouce supplémentaire de l’ordre de 300 millions d’euros par an en faveur du secteur ferroviaire. A Air France, la grève des pilotes prévue à partir de samedi entraînera moins d’annulations de vols que celle de 2014 mais pourrait s’inscrire dans la durée, a déclaré mercredi à Reuters la secrétaire générale du Syndicat national des pilotes de ligne (SNPL), majoritaire dans la compagnie. Le SNPL et le Syndicat des pilotes d’Air France (Spaf) ont rencontré la direction de la compagnie sans parvenir à rapprocher suffisamment les points de vue sur l’organisation du travail des pilotes et leurs rémunérations. Le préavis de grève du SNPL, pour une période initiale de quatre jours à partir de samedi, appelle les pilotes à cesser le travail de 5h30 à 8h30, de 12h à 15h et de 21h30 à minuit. « Les perturbations seront moindres que sur une grève générale et à plein temps, c’est l’idée d’assurer un service minimum et les vols les plus importants », a déclaré Véronique Damon, secrétaire générale du SNPL, qui représente les deux tiers des pilotes d’Air France. « La seule chose, c’est que la grève peut durer plus longtemps. » Le Spaf, qui représente un quart de pilotes, appelle cependant de son côté les pilotes à cesser le travail sans interruption du 11 au 14 juin. La CGT, FO et Solidaires ont quant à eux lancé un appel à la grève à Météo France du 11 au 14 juin pour s’opposer à une restructuration de l’organisme basée, selon eux, sur le tout-automatique et qui devrait entraîner 350 suppressions de postes sur les 3.000 actuels.

(Avec Reuters)

Régions: des présidents délégués pour saboter un peu plus la réforme

Régions: des présidents délégués pour saboter un peu plus la réforme

Ce devait être la grande réforme territoriale malheureusement tout cela risque de ce transformer en dépenses supplémentaires. La principale raison c’est que cette  réforme était justifiée par la perspective de suppression des départements. Or le lobby des élus s’est opposé à cette suppression des départements qui offrent tellement de débouchés politiques. Par ailleurs dernièrement une fois encore pour ménager les intérêts des mêmes lobbys on a décidé de créer un poste de président délégué dans les cinq anciennes capitales des régions désormais rattachées à d’autres. Des présidents délégués qui s’intercaleront  entre le président et les dizaines et dizaines de vice-présidents par région. Du coup il faut s’attendre dans les cinq anciennes capitales régionales concernées au maintien de superstructures au service de ce fameux président délégué. Notons aussi par parenthèse que si l’on a décidé de regrouper certaines régions par contre l’administration, elle  reste en l’état même si quelques déplacements géographiques sont prévus. Autant dire qu’au total la réforme risque de se concrétiser par des dépenses supplémentaires. C’est un des grands problèmes du pays à savoir la multiplicité des échelons politiques et administratifs. Tout cela engendre une fiscalité qui plombe la compétitivité. Chaque échelon administratif, chaque échelon politique comble en effet son vide existentiel en multipliant législation, contrôle, sanction, subvention  et fiscalité. Bref le phénomène classique des superstructures. Une nouvelle polémique vise donc la réforme des régions. Alors que Manuel Valls a exprimé sa volonté de voir la création d’une nouvelle fonction, celle de président délégué, la droite estime que la facture serait supérieure à 110 millions d’euros par an. Un coût supplémentaire, selon la droite, qui est pour cette dernière due à un problème spécifique à la future grande région Midi-Pyrénées Languedoc-Roussillon. Le président sortant de la région Languedoc-Roussillon, Damien Alary, s’est fait doubler par Carole Delga, déjà présente au gouvernement, pour une candidature dans cette nouvelle région. Ce dernier souhaite donc être deuxième sur la liste, mais Sylvia Pinel, du Parti radical de gauche, la souhaite aussi. Comme les socialistes doivent faire de place à leurs partenaires, la situation est complexe. La droite dénonce ainsi la création de cette nouvelle fonction, estimant qu’elle ne sert qu’à résoudre ce conflit. Le poste de président délégué de région reviendrait alors à Damien Alary, tandis que Sylvia Pinel aurait celui de vice-présidente.   « Il est tout à fait normal d’imaginer qu’il puisse y avoir, pour que chaque territoire garde sa force, sa spécificité, une présidence déléguée. Cette présidence déléguée ne représente en rien de nouveaux coûts, contrairement à ce que j’ai entendu, au contraire », a expliqué le Premier ministre, Manuel Valls. Cette justification n’a néanmoins pas été appréciée par la droite et les écologistes, jugeant ce poste inutile.

 

Gaza : les radicaux veulent saboter le dialogue

Gaza : les radicaux veulent saboter le dialogue

 

En faiat le dialogue continue  (pas directement mais par Etats interposé) entre le Hamas et Israël ; cependant certains radicaux du Hamas et surtout les djihadistes ne souhaitent pas qu’on parvienne à un accord pour la paix car ils vivent de cette guerre (avec le financement des généreux donateurs arabes et les financements européens). Le Hamas et Israël semblaient prêts, vendredi, à en découdre à nouveau. Au coup de gong, dès 8 heures du matin, au moment précis de l’expiration d’un cessez-le-feu de trois jours, tout a recommencé. Des dizaines de roquettes se sont abattues sur le sud d’Israël. Peu après, l’aviation israélienne a repris ses raids dans la bande de Gaza. Des deux côtés, les menaces ont fusé. Mais, point important, les dizaines de milliers de militaires israéliens déployés le long de la frontière n’ont pas remis pied dans la bande de Gaza, qu’ils avaient évacuée au début de la semaine. Le Hamas a démenti être responsable de ces tirs, preuve qu’il souhaite que le dialogue se poursuive. Mais de son coté  Benyamin Nétanyahou a déclaré qu’Israël ne négociait pas sous les bombes.  Mis  Les protagonistes se sont abstenus d’aller trop loin, comme s’il s’agissait avant tout d’un round pour tester l’adversaire. Les violences de part et d’autre paraissent en fait être devenues une partie intégrante des négociations menées au Caire, qui restent jusqu’à présent dans une impasse totale. Le Hamas s’est d’ailleurs dit prêt à poursuivre les discussions, qui pourraient reprendre rapidement, selon des diplomates égyptiens plutôt optimistes sur les chances d’une prochaine accalmie.  Pour les populations, tout va dépendre des discussions menées sous l’égide de l’Égypte. Jusqu’à présent, les représentants du Hamas ont présenté une longue liste d’exigences, sans rien obtenir de concret. Mais pour eux, un retour du Caire les mains vides reviendrait à un suicide politique. Les habitants de Gaza ne manqueraient de demander des comptes aux islamistes pour avoir déclenché des affrontements avec Israël, qui ont ravagé la bande de Gaza et coûté la vie à quelque 1900 Palestiniens, dont une majorité de civils. Pour le Hamas, la levée du blocus qui asphyxie depuis des années cette bande de terre surpeuplée et miséreuse constitue plus que jamais la priorité des priorités. Le mouvement islamiste veut obtenir la possibilité de construire un port à Gaza, ce qui permettrait de desserrer l’étau du blocus terrestre et maritime imposé par Israël et l’Égypte et, surtout, de ne plus dépendre du bon vouloir de ces deux voisins hostiles. Du côté israélien, il n’est pas question de permettre une telle ouverture au monde. Avec un port, le Hamas pourrait en effet importer librement des armes, des munitions et du matériel de construction pour des tunnels servant à l’infiltration de commandos islamistes en territoire israélien.

 




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