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Sondage popularité : Wauquiez s’écroule

 Sondage  popularité : Wauquiez  s’écroule

Dans le tableau de bord Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio,  le président des Républicains chute de 9 points (32%) et efface d’un seul coup sa progression de 7 points en février .Il se retrouve à peu près au niveau de Copé ou de Valls.  Les dégâts sont lourds pour le chef de la droite. Il recule fortement auprès des sympathisants LR (67%, –16) et se voit doublé par Valérie Pécresse. La patronne de l’Ile-de-France fait un bond de 8 points (50%). Elle grimpe notamment de 11 points chez LR. L’amorce à l’évidence d’un match à l’intérieur de la droite entre l’élu d’Auvergne-Rhône-Alpes et l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy. Dans un duel testé par l’Ifop, Laurent Wauquiez est nettement devancé par Alain Juppé (70%/25%), y compris parmi les sympathisants LR (61%/38%). Alain Juppé, deuxième, derrière Hulot,  avec 59%, Le ministre de la Transition écologique recule certes de 2 points mais n’est pas affecté par la polémique sur les accusations de viol. «Il n’y a pas eu de rupture d’opinion», relève Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Après son action majoritairement désapprouvée par les Français (enquête Ifop-Match de la semaine dernière), le chef de l’Etat voit sa popularité se dégrader (–4). Il perd 10 points auprès des sympathisants de gauche mais reste stable à droite (51 %).

Mélenchon s’enfonce dans la polémique

 Mélenchon s’enfonce dans la  polémique

 

 

 

En net recul dans les sondage, en échec sur la mobilisation sociale contre des ordonnances est en difficulté par rapport aux contradictions de son propre mouvement , Mélenchon ne sort pas grandi du débat qui a eu lieu jeudi sur France 2 ;  consciemment ou inconsciemment , il a repris sa posture de polémiste.par exemple le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon a estimé durant la discussion que Manuel Valls était d’ »extrême droite » quand l’ancien Premier ministre parle d’ »un problème avec les musulmans ».. De la même manière il a accusé Jean-Claude Mailly de Force ouvrière d’être l’un des responsables de l’échec de la mobilisation contre la réforme du code du travail. . Mélenchon a également tenté d’excuser certaines dérives au sein même de son parti notamment celles concernant Daniel au Bono  qui s’est prononcée notamment en faveur de réunions syndicales ou associatives non mixtes (en clair sans blanc) Jean-Luc Mélenchon a reconnu des désaccords, mais a salué «une amie», Sur le Venezuela il a carrément pété les plombs en manifestant le plus grand mépris pour la journaliste qui l’interrogeait. L’intervention de Laurence Debray, journaliste, spécialiste du monde hispanique, attaquant le leader insoumis pour ses positions favorable au président vénézuélien, Nicolas Maduro, aura fini par lui faire perdre son calme. Même attitude surnombre d’autres sujets ou Mélenchon s’est montré très agressive voire insultant. Bref une posture qui agace de plus en plus l’opinion publique. D’ailleurs dans le  sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour  Franceinfo Mélenchon plonge.  Avec 36 % de bonnes opinions, le député des Bouches-du-Rhône chute de six points par rapport à septembre. L’ancien candidat à l’élection présidentielle est désormais rejeté par une majorité de jeunes (53 %), d’ouvriers (54 %) et de Français aux revenus les plus modestes (61 %)», détaille le sondeur. Ces catégories sont pourtant celles qui ont le plus voté Mélenchon en avril dernier.  S’il conserve une bonne base de popularité chez les sympathisants de la gauche du PS (82 %), le parlementaire est mal perçu par les socialistes (54 % ont une mauvaise image de lui). La raison de ce creux se trouve évidemment dans son incapacité à fédérer autour de lui un front social contre l’exécutif. 79 % des Français jugent que sa mobilisation contre les réformes du gouvernement a été «un échec ». Un avis partagé par 54 % des sympathisants de la gauche radicale et 77 % des sympathisants socialistes. Confortant une critique déjà exprimée par les syndicats, Jean-Luc Mélenchon est perçu comme «jouant trop perso » par 68 % des Français, soit cinq points de plus qu’en septembre, au moment de sa grande marche «contre le coup d’État social ». Il n’est jugé «compétent » que par 43 % des Français (- 3 points) et «sympathique » par 40 % (- 4). Le lien avec les Français semble altéré : 48 % le trouvent «proche des gens ». C’est… huit points de moins que lors de la précédente enquête. Les différentes controverses autour des personnalités de La France insoumise (Raquel GarridoAlexis CorbièreDanielle Simonnet…) ont, elles aussi, eu un impact négatif : 58 % des Français estiment qu’elles sont particulièrement choquantes

 

 

Actu, infos, économie, social, politique : articles les plus lus

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Fillon s’imagine en Vercingétorix ….avant Alésia ?

Fillon s’imagine en Vercingétorix ….avant Alésia ?

En visite à Clermont, Fillon n’a pu s’empêcher de se comparer à Vercingétorix, le résistant gaulois «  pas favori des sondages devant César »…. mais qui chuta  cependant à  Alésia  Pour l’heure Fillon n’est susceptible de se qualifier pour le second tour, Mélenchon est même sur ses talons. Et de dérouler sa rhétorique habituelle contre ses concurrents.   »Je suis venu vous apporter la liberté, mes concurrents font dans l’archaïque ou le faux moderne ». Selon lui, l’ancien ministre de l’Economie fait « beaucoup d’effort pour paraître nouveau. Mais quelle est la différence entre M. Macron et M. Hollande… à part l’apparence? IIs sont socialistes, Ils ont gouverné ensemble, ils ont tous deux le goût des synthèses plastiques. De ces compromis qui ne débouchent nulle part », a-t-il dénoncé. Quant à la présidente du Front national, « le coût du retour à la retraite à 60 ans » qu’elle propose, « c’est 20 milliards d’euros qui casseront notre régime par répartition ». « Le coût des 32 heures et du revenu universel de M. (Benoît) Hamon est tellement sidérant qu’il n’est même pas besoin de l’évaluer. Quant à M. (Jean-Luc) Mélenchon, son projet est évalué à 173 milliards. Qui dit mieux? », a-t-il ironisé.  »C’est, parait-il, ainsi qu’on achète le vote des Français, mais c’est aussi, à grands coups de démagogie, qu’on est en train d’achever la France », a-t-il mis en garde.

2017-Cheminade : le retour du fonctionnaire qui s’ennuyait, enfin !

Cheminade : le retour du fonctionnaire qui s’ennuyait, enfin !

Dans une campagne électorale qui n’est pas sans intérêt mais qui manque quand même de souffle sur le fond et de charisme sur la forme, la nouvelle candidature de Cheminade le fonctionnaire qui s’ennuyait est sans doute susceptible d’apporter un peu du piment.   On ne compte plus les velléités de candidature pour la présidentielle de 2017 on doit compter sans doute maintenant à une trentaine. Manquait  évidemment à ce festival démocratique la candidature de l’incontournable Jacques Cheminade l’ancien fonctionnaire qui s’ennuyait au ministère des affaires étrangères et qui est au moins le mérite ses déclarations anachroniques de mettre un peu burlesque et de rire dans un système un peu tristounet. On objectera que la démocratie française ne se grandit pas en laissant des hurluberlus se présenter aux présidentielles. Cheminade qui a comparé Obama à Hitler et qui développent les thèses les plus tordues dans tous les domaines s’est qualifié lui-même de gaulliste de gauche. Comme beaucoup d’énarques qui s’ennuient dans les ministères, Cheminade, aujourd’hui en retraite avaient mis met un peu de diversité dans sa vie de fonctionnaire. Facile quand c’est l’Etat qui paye la note. Il n’est pas le seul ainsi à faire de la politique.  Raymond Barre en son temps avait souhaité que les fonctionnaires choisissent le service de l’Etat ou la politique mais pas les deux. Il n’a pas été entendu puisque la plupart des politiques sont eux-mêmes fonctionnaires. Du coup la société politique n’est pas du tout représentative de la sociologie française et nos politiques ont bien du mal à comprendre ce qu’est l’économie réelle et les problèmes sociaux qui en découlent. Le candidat de Solidarité et Progrès (pas vraiment un micro-parti plutôt un nano-parti) à l’élection présidentielle s’était  qualifié de « gaulliste de gauche » 1, une voie que Jacques Cheminade a lui-même estimé « difficile ». « Je n’ai pas de modèle en tant que tel, mais je me considère comme un mélange de De Gaulle et Mendès-France (tu parles !!!), deux hommes politiques qui ne se sont jamais entendus », a-t-il répété. Jacques Cheminade, énarque « comme d’autres » souhaite « faire sauter le verrou financier » et réduire l’influence de Wall Street et la City. Dans son programme figure également le souhait de coloniser la Lune et Mars. « C’est une entreprise sérieuse à long terme », a confié le candidat. « C’est l’affaire de deux générations. S’il n’y avait pas d’espace, il n’y aurait pas de cœur artificiel, pas de téléphone portable ni d’ordinateur », a-t-il développé.  À 75 ans, serait le doyen des prétendants, jure être en passe de réitérer son exploit. «Je suis très au-dessus des 400 promesses écrites de parrainages ». Bon dernier de la présidentielle de 1995 avec 0,28 % des voix, il réitère 17 ans plus tard avec un score de 0,25%. Pas de quoi décourager le fondateur de Solidarité et Progrès, groupuscule qui revendique «200 militants mobilisables», tant il est persuadé que la conjoncture peut lui être favorable. « Je veux éclairer l’aquarium obscur du monde politique. Personne n’a véritablement le sens de l’horizon devant la révolution scientifique actuelle», assure ce retraité diplômé de l’ENA. On notera que fait vraiment dans l’innovation politique avec des propositions surprenantes comme la généralisation de la pratique du chant en chorale. «C’est essentiel. C’est une petite société, la chorale, ou l’effort individuel se fond dans la réalisation collective». Il se fait également l’adversaire résolu de la violence sur les écrans, dans les jeux vidéos comme au cinéma. Dans son viseur notamment du jeu «Pokemon Go», afin «d’arrêter l’exode vers le virtuel et la violence». Peut-être pour donner du crédit à sa contestation de la réalité des attentats du 11 septembre aux États-Unis ! D’une certaine manière Cheminade prend la place de Coluche mais avec l’humour en moins car le clown est plus triste.

 

SNCF : un plan pour rénover le réseau mais une dette qui s’envole

 

SNCF : un plan pour rénover le réseau mais une dette qui s’envole

 

Environ 3 milliards par an seront consacrés à la rénovation d’un réseau SNCF relativement dégradé. Avec une aide équivalente de l’État Une rénovation qui sera réalisée par  SNCF Réseau, la branche en charge de la gestion du réseau ferré, qui bien sûr aura aussi à financer les investissements. Du coup,  la dette va encore s’envoler puisque l’État a renoncé à la prendre en charge. « Le gouvernement a en effet fermé la porte à une reprise partielle de la dette de l’entreprise. C’est dommage car cela lui aurait donné un peu d’oxygène », regrette-t-on à l’Arafer. Promise en juin par Manuel Valls devant les députés, confirmée par le secrétaire d’État aux transports, Alain Vidalies, le sujet a été enterré en septembre. Pis, dans le projet de loi de finances pour 2017, l’État a décidé de revoir à la baisse les subventions qu’il doit apporter au gestionnaire. Du coup le plan de rénovation ne prendra pas effet avant 2018 et sera géré par la nouvelle majorité qui pourrait le remettre en cause. L’équilibre financier de SNCF réseau sera à peine assuré chaque année et la dette risque d’atteindre 60 milliards d’ici 2026. Théoriquement le contrat dit de performance passée entre l’État et la SNCF sanctuarise pour les dix prochaines années le niveau d’investissement que l’État va consacrer à la rénovation du réseau ferroviaire le plus «circulé»: 34 milliards d’euros y seront alloués. Jusqu’à présent l’État ne voyait pas plus loin que «l’annualité budgétaire» ce qui limitait la visibilité des dirigeants de la SNCF, mais aussi de ses clients, les opérateurs privés du fret ferroviaire. À partir de 2020, trois milliards d’euros seront dédiés chaque année au renouvellement du réseau ferroviaire principal. «Dans les années 1980 à 1990, on dépensait environ un milliard d’euros chaque année», rappelle un dirigeant de SNCF Réseau. Ce n’est qu’à partir de 2005, date de la publication de l’audit sur la vieillesse chronique du réseau, que ce seuil a été relevé jusqu’à 2,5 milliards d’euros en 2015. Par ailleurs, 12 milliards d’euros seront dédiés aux lignes régionales et aux nœuds ferroviaires. Ces montants s’inscrivent dans le cadre des contrats de plan État Région et prévoient une montée en puissance à plus de un milliard d’euros dès 2018 alors que seulement 600 millions d’euros sont actuellement consacrés aux lignes régionales. De son côté, SNCF Réseau s’engage à réaliser 1,2 milliard d’euros d’économies d’ici à 2026. Autre promesse prévue par la loi: le durcissement des règles de financement des investissements dans le cadre des nouveaux projets, de lignes à grande vitesse notamment. La «règle d’or», prévoyant que la SNCF ne pourrait pas s’endetter au-delà de dix-huit fois sa marge opérationnelle, n’a toujours pas été entérinée. Comme le souligne l’Arafer, le régulateur du rail, le ratio actuel est de 22 fois en 2016 et de 24 fois selon le budget de 2017. Cette fois, le contrat de performance prévoit de respecter la fameuse règle à horizon 2020 mais on ne voit pas très bien comment.

 

 

Hollande : que Valls s’occupe de son boulot

Hollande : que Valls s’occupe de son boulot  

 

C’est en substance ce qu’a déclaré François Hollande après les propos de colère et de honte de  Manuel Valls sur les confidences du président de la république. En clair Hollande renvoie Valls danser basket et réaffirme qu’il est le seul décideur en matière de gestion du calendrier politique. Cela signifie que François Hollande n’a pas l’intention de donner sa position quant à sa candidature avant le 15 décembre. Contrairement à ce que souhaite Valls et d’autres qui voudraient anticiper la décision pour mieux se préparer à la campagne en cas de désistement de l’actuel chef de l’État. François Hollande a donc refusé samedi 29 octobre de polémiquer sur la « colère » que son livre de confidences aurait suscité chez Manuel Valls et a appelé à se concentrer sur les « sujets de préoccupation des Français », à six mois de l’élection présidentielle. Selon des propos rapportés par Le Monde dans son édition datée de samedi, l’ouvrage « Un président ne devrait pas dire ça… » a provoqué « la ‘colère’ du Premier ministre et une forme de ‘honte’, selon lui, chez les militants et les élus socialistes ». Prié de dire s’il jugeait les déclarations de Manuel Valls normales, le chef de l’Etat a répondu: « Chacun doit être à sa tâche, moi je suis à la mienne, le Premier ministre aussi, nous devons régler les grands sujets qui préoccupent les Français. » « Nous le voyons, la lutte contre le chômage, nous avons des premiers résultats, nous le voyons avec la sécurité, elle est nécessaire, nous avons répondu aux inquiétudes et à la colère des policiers », a-t-il dit à la presse à l’issue d’une visite du centre d’accueil et d’orientation (CAO) de Doué-la-Fontaine (Maine-et-Loire).

 (Avec Reuters)

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Sapin devra rembourser l’indemnité qu’il s’était accordé

Le tribunal administratif de Limoges a enjoint la commune d’Argenton-sur-Creuse (Indre) de réclamer les 80.000 à 100.000 euros touchés par l’ensemble de l’ancienne équipe municipale dirigée par le ministre de l’Économie et des Finances. Durant son mandat entre 2009 et 2012, Michel Sapin a bénéficié d’une majoration de 25% de l’indemnité municipale qui était attribuée à tous les élus. Cette hausse s’appuyait sur des dispositions prévues au titre des villes dites « touristiques ». Seulement, l’opposition a découvert en 2014 que ce statut n’avait pas été confirmé par un arrêté préfectoral pour Argenton-sur-Creuse. Michel Sapin, tout en reconnaissant avoir commis « une erreur purement administrative et involontaire » se défend toutefois d’avoir vidé les caisses de la municipalité : « Les décisions prises à l’époque (…) fixaient le montant des indemnités dues aux élus à un niveau inférieur à celui qu’autorisaient alors les textes et ainsi aucun préjudice réel n’a été subi par la commune d’Argenton-sur-Creuse ». Le ministre ajoute par ailleurs que la décision du tribunal administratif ne le cite pas expressément et ne le condamne pas directement « à rembourser quelque somme que ce soit ». Le nouveau maire de la commune de 5.300 habitants, Vincent Millan, après avoir reconnu une erreur, avait fait adopter par la majorité municipale une délibération renonçant au recouvrement de ces sommes indues. Mais c’est cette délibération que l’opposition, par son chef de file Ludovic Livernette, avait attaquée devant le tribunal de Limoges. Ainsi, les juges ont prononcé l’annulation pure et simple de cette délibération. Il appartient désormais « à la commune d’Argenton, et à elle seule, d’apprécier s’il convient, comme elle en a le droit, de faire appel de cette décision », a souligné Michel Sapin, assurant que les élus de l’époque, dont lui-même, respecteraient « scrupuleusement les décisions de la justice administrative ».

La justice condamne le fichier S que voulait Ménard pour les chiens

La justice condamne le fichier S que voulait Ménard pour les chiens

 

Ménard voulait créer un fichier S pour le terrorisme dont sont responsables les chiens qui détectent sur les trottoirs. Le tribunal administratif de Montpellier a retoqué la proposition du  maire de Béziers élu avec le soutien du Front national, de ficher l’ADN des chiens pour lutter contre les déjections canines, afin de verbaliser leurs propriétaires. Votée le 2 juin, la délibération avait été immédiatement attaquée par le sous-préfet de Béziers devant le tribunal administratif, au nom des libertés individuelles. Le juge des référés n’a pas jugé l’affaire sur le fond. Il estime que l’arrêté pris par la municipalité biterroise « n’a pas pour but de préserver l’ordre public ou de prévenir les infractions, mais possède un caractère purement répressif ». Selon la justice, « la mesure n’entre pas dans le champ des pouvoirs de police administrative générale du maire ». L’affaire sera traitée sur le fond ultérieurement.

Le maire de Béziers est habitué aux décisions médiatiques et polémiques. En juillet, l’arrêté concernant la création d’une garde biterroise, qualifiée de milices par les opposants aux maires, avait également été retoqué par le tribunal administratif de Montpellier. Visiblement Ménard est en mal existentiel. Il faudra trouver une autre idée pour exister médiatiquement. Pourquoi pas un fichier S pour les vieux qui puent avec prise d’ADN.

Chômage : Hollande s’auto félicite

Chômage : Hollande s’auto félicite

 

Sitôt connus les chiffres de pôle emploi, Hollande s’est immédiatement félicité de la très légère baisse du chômage en catégorie A. Une baisse par ailleurs très relative et qui tient même du miracle dans la mesure où la croissance est à peu près à plat. Un résultat dû au transfert de chômeurs de catégorie A dans la catégorie D (stages, formations etc.). Aussi au fait  que les chômeurs s’inscrivent moins à Pôle emploi en juillet. De toute manière il n’y a sans doute pas à se réjouir puisque le chômage aura quand même augmenté de près de 600 000 depuis 2012 et de ce point de vue la baisse assez artificielle de 20 000 chômeurs en juillet demeure anecdotique.  François Hollande a cependant salué mercredi le recul du nombre de chômeurs n’ayant eu aucune activité en juillet en déclarant que la « tendance » à la « baisse du chômage » s’était « amplifiée depuis le début de l’année ». Après deux mois de progression, le recul du chômage en juillet a concerné toutes les tranches d’âge mais il s’est s’accompagné d’une hausse du nombre de chômeurs exerçant une activité réduite. Toujours selon les chiffres du ministère, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans aucune activité) a reculé de 0,5% le mois dernier pour s’établir à 3.506.600, soit 19.100 de moins que fin juin. Conscient sans doute que les Français restent dubitatifs par ses résultats relatifs, François Hollande s’est efforcé de rassurer. « Ce qui mine une société, c’est le doute, c’est la crainte », a conclu le président, en allusion aux attentats qui ont frappé le pays. « S’il y a un doute sur la place de chacun, si certains s’estiment exclus ou écartés, alors on voit bien les risques qui peuvent exister dans notre pays. C’est pourquoi l’enjeu de l’emploi dépasse bien les chiffres du chômage. » François Hollande a fait de la baisse du chômage une priorité de son quinquennat et une condition de son éventuelle entrée en lice pour un second mandat. Il devrait prendre sa décision à la fin de l’année. Pour cela il n’hésitera pas à (avec Reuters)

Sarkozy veut s’inspirer de Trump !!!

Sarkozy veut s’inspirer de Trump !!!

 

 

Il faut vraiment que Nicolas Sarkozy soit dans le potage en matière de stratégie électorale pour vouloir s’inspirer de la démarche de Donald Trump. Une comparaison pour le moins approximative et même nauséabonde. Approximative parce que Sarkozy n’est pas un perdreau de l’année puisqu’il vit depuis une quarantaine d’années de la politique. Nauséabonde quand on connaît le populisme radical du personnage clownesque qu’est TRUMP. On est loin chez Sarkozy de la démarche gaulliste, un Sarkozy en panne de modèles idéologiques, en panne de projet et surtout en panne de popularité puisque comme pour François Hollande de l’ordre de 80 % des Français rejettent sa candidature pour 2017. Se revendiquer de la démarche de Trump c’est clairement mettre la politique au niveau du caniveau. Pour remporter la primaire de novembre 2016, Nicolas Sarkozy cite donc en exemple Donald Trump, rapporte Le Monde samedi. L’ancien Président s’imagine en « candidat du peuple » face à celui de « l’establishment », Alain Juppé. « Vous verrez, en novembre, ce que cela donnera en France… » Nicolas Sarkozy a son avis : il lui faut s’inspirer de Donald Trump pour remporter la primaire de la droite et du centreMonde rapporte samedi le parallèle utilisé par l’ancien Président, mardi dernier lors de la commission exécutive de son parti.  »Regardez ce que donnent aux Etats-Unis les candidats soutenus par l’establishment et les médias, ils sont balayés par les candidats du peuple », a ainsi déclaré Nicolas Sarkozy, qui fait évidemment référence à Alain Juppé.  Nicolas Sarkozy s’imagine donc en « candidat du peuple », ajoute Le Monde, par opposition au maire de Bordeaux qui serait le « candidat du système ». Le président Les Républicains cite également Donald Trump pour appuyer l’idée qu’une victoire se ferait sur une ligne dure, à droite. Pour le fidèle sarkozyste Brice Hortefeux, le succès du milliardaire républicain « montre qu’on ne gagne pas au centre, avec une campagne aseptisée, mais en clivant ». Quant à Laurent Wauquiez, il jugeait cette semaine sur France 2 que « Trump a une parole très directe et aborde des thèmes qui étaient jusque-là tabouisés ». Une nouvelle insulte à l’intelligence et la décence de la part d’un Laurent Vauquiez  dont on savait déjà qu’il n’avait pas inventé la poudre. Avec de tels amis politiques Sarkozy n’a pas besoin d’ennemis.

Déchéance de nationalité: Duflot doit s’excuser ou démissionner .

Déchéance de nationalité: Duflot doit s’excuser ou démissionner

Non seulement Cécile Duflot a complètement pété les plombs en faisant référence à Vichy lors du débat concernant la déchéance de nationalité à l’Assemblée nationale mais ce dimanche elle récidive avec ce parallèle idiot, mensonger et insultant. Les propos tenus par Cécile Duflot vendredi à l’Assemblée nationale sur la déchéance de nationalité et le régime de Vichy ont suscité la controverse dimanche, les critiques émanant de l’ensemble de l’échiquier politique. Lors de la présentation vendredi aux députés du projet de loi controversé de révision constitutionnelle visant à lutter contre le terrorisme, la coprésidente du groupe écologiste à l’Assemblée nationale a déclaré que « le dernier régime à (…) avoir massivement utilisé (la déchéance de nationalité) fut le régime de Vichy », provoquant les protestations à la fois de la majorité et de l’opposition.  L’ex-ministre du Logement du gouvernement Ayrault a maintenu sa position dimanche.   »Non seulement mes mots sont le reflet exact de ma pensée, qui est une analyse historique ( !)  sur ce qu’est la déchéance, mais je les maintiens tous », a-t-elle affirmé au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. Dans une démocratie il est normal que chacun exprime ses positions y compris sur un thème comme la déchéance de nationalité mais pas en utilisant des arguments aussi infamants que ceux de Cécile Duflot. Pas étonnant, l’intéressé est un oligarque qui vit de la politique depuis 15 ans complètement coupée des réalités économiques sociales et sociétales, engagée davantage chez les verts politisés pour défendre ses positions gauchistes que pour la prise en compte de l’environnement. Politiquement Cécile Duflot ne représente strictement rien, 3 % aujourd’hui dans les sondages relatifs à 2017, son parti (EELV) est complètement.  Grâce au marchandage du PS, Duflot a pu être élue députée, puis est devenue ministre. L’ancien responsable d’Europe écologie les Verts François de Ruby  a demandé à Cécile Duflot des ses excuses publiques. À défaut d’excuses publiques, il serait  légitime de demander à Cécile Duflot de démissionner de ses fonctions de députée pour avoir proféré des propos qui font honte à la représentation nationale et à la France.

L’économie russe s’enfonce dans la dépression

L’économie russe s’enfonce dans la dépression

 

La Russie est évidemment victime de l’écroulement du prix des matières premières surtout du gaz et du pétrole lesquels représentaient plus de 50 % des recettes budgétaires. À cela il faut ajouter les conséquences des sanctions prises par l’Occident suite à la crise ukrainienne. Du coup pour enrayer la crise financière la banque centrale russe pourrait relever de manière assez significative ses taux mais ce qui aura pour effet d’étrangler un peu plus les entreprises et les ménages, donc d’enfoncer un peu plus la Russie dans la récession. La banque centrale russe a convoqué une réunion jeudi face à la dégringolade du rouble, au plus bas jeudi face au dollar, qui met le président russe Vladimir Poutine sous pression face à une crise économique aggravée par la déroute du marché du pétrole. Signe de la tension, la banque centrale, dont la présidente Elvira Nabiullina a annulé son déplacement au forum économique de Davos, a annoncé avoir convoqué plusieurs banques pour «évoquer les conditions de crédit accordées par les banques à l’économie en 2016». Une nouvelle année de baisse du niveau de vie des Russes est à craindre. Il s’agirait d’un revers pour Vladimir Poutine qui a bénéficié dans les années suivant son arrivée au pouvoir en 1999 de taux de croissance spectaculaires alimentés par la manne pétrolière, lui assurant une impressionnante popularité. Le Kremlin a réfuté un «effondrement» de la monnaie russe qui a perdu plus de 12% de sa valeur depuis le début de l’année. Mais sur les marchés, le mouvement s’amplifie chaque jour. «La chute de la monnaie va causer des maux de tête pour les pouvoirs publics», ont estimé les experts du cabinet Capital Economics. «Cela remet en doute le ralentissement de l’inflation (…) et pose des risques concernant la stabilité financière».

Amendes Transporteurs de colis : l’Autorité de la concurrence n’a rien compris

Amendes  Transporteurs  de colis : l’Autorité de la concurrence n’a rien compris

 

De toute évidence l’autorité de la concurrence ne comprend pas grand-chose à l’économie du transport. En infligeant une très lourde amende aux transporteurs de colis,  l’autorité de la concurrence a démontré s’il en était  besoin que le fonctionnement de l’économie des transports est ignoré par nombre d’experts et par les régulateurs. Ce n’est pas la première fois que le secteur doit supporter une sanction de la part des autorités en charge de la concurrence. Lors de la précédente sanction le secteur était florissant et nombre d’entreprises françaises dominaient  le marché. Depuis, leur environnement a beaucoup changé puisque la plupart des grands opérateurs français ont disparu ou ont été absorbés par des grands groupes étrangers. En cause, une concurrence exacerbée qui a fait chuter de manière dramatique le taux de rentabilité. Pour preuve des les entreprises comme le Sernam, Mory, d’autres  qui ont disparu du paysage. Environ 20 000 emplois se sont volatilisés dans la messagerie express. Rares sont les secteurs économiques qui présentent un aussi faible taux de rentabilité. De ce point de vue la comparaison avec par exemple le secteur des télécoms est complètement ridicule. Le secteur des télécoms conjugue à la fois croissance des activités et un taux de rentabilité financière à deux chiffres tandis que le secteur du transport des colis dégage une rentabilité financière entre 1 et 3 %. Du coup les grands opérateurs du transport de colis non d’autres solutions que de sous-traiter la partie terminale à des artisans le plus souvent sous-payés. D’une certaine manière on peut dire que la concurrence exacerbée dans le secteur du transport visé où opère des milliers d’intervenants (aujourd’hui tout le monde fait de la messagerie et de l’express y compris les transporteurs classiques)  à tué bon nombre d’entreprises françaises. Leur infliger une amende dans ces conditions relève de l’irresponsabilité totale de la part de régulateurs sans doute plus apte à comprendre le fonctionnement juridique d’un État qu’a appréhender les  conditions d’exercice d’une profession économique largement fragilisée par la baisse des prix des prestations. L’Aurorité de la concurrence a donc  annoncé mardi 15 décembre avoir infligé deux amendes pour entente sur les prix, d’une valeur totale de 672,3 millions d’euros, à 20 entreprises du secteur du transport de colis ainsi qu’au syndicat professionnel TLF. Il s’agit de la deuxième sanction la plus importante infligée par le gendarme de la concurrence depuis l’an 2000. Ces organisations du secteur de la messagerie ont été condamnées d’une part à 670,9 millions d’euros pour des « concertations répétées entre concurrents sur des hausses tarifaires annuelles » entre 2004 et 2010. Parmi les entreprises concernées figurent Geodis, la plus lourdement sanctionnée avec 196 millions d’euros d’amende, Chronopost (filiale de La Poste) avec 99 millions, DHL Express France (81 millions), TNT Express France (58 millions), et GLS (55 millions d’euros). Le syndicat professionnel TLF a pour sa part été condamné à 30.000 euros d’amende notamment pour avoir « participé activement tant à l’organisation des échanges illicites qu’à la protection de leur confidentialité ».   »Longtemps, les grandes entreprises ont pensé qu’elles étaient intouchables. Et le profit lié à une entente sur les prix était supérieur aux amendes, décrypte Bruno Lasserre, président de l’Autorité de la Concurrence. La lourde condamnation du cartel des mobiles en 2005 [Orange, SFR et Bouygues pour 534 millions d’euros] et la plus grande sévérité des sanctions ont modifié les comportements.

Sextape: Benzema s’enfonce

Sextape: Benzema s’enfonce

 

De toute évidence l’interview de Benzema sur TF1 n’aura guère contribué à donner du crédit à son innocence. Il aurait sans doute mieux fait de se taire. Que faut-il en effet retenir de ces propos. D’abord qu’il a bien informé Valbuena du chantage, ensuite et surtout qu’il s’est  bien proposé  comme intermédiaire entre Valbuena et les voyous qui réclamaient 100 000 €. Certes il n’y a pas lieu de soupçonner Benzema d’avoir tenté de s’enrichir dans cette affaire. Mais pourquoi être intermédiaire ? Est-il concevable qu’il puisse y avoir médiation entre une victime et des maîtres chanteurs ? Des maîtres chanteurs en relation avec des crapules amis de Benzema. La seule médiation possible dans ce type d’affaires passe par la justice. Benzema parle d’acharnement pourtant avec cette affaire et ses comportements borderline sa présence en équipe de France paraît de plus en plus douteuse. Pour tout dire cette affaire de fric foot chantage est révélatrice de la personnalité de certains footballeurs, certes talentueux, mais au comportement indigne pour représenter la France. L’attaquant français du Real Madrid a cependant dénoncé sur TF1 l’acharnement dont il est selon lui victime dans l’affaire du chantage à la sextape, exercé sur son coéquipier Mathieu Valbuena. C’était la première fois que Karim Benzema prenait publiquement la parole. Il affirme que ça n’a rien à voir avec un chantage et ne regrette que quelques moqueries dans une conversation privée.  Comme Karim Benzema doit trouver loin le temps où le Premier ministre volait au secours de Michel Platini accusé dans l’affaire de la Fifa. Pour l’attaquant des Bleus et du Real Madrid, Manuel Valls n’aura eu que quelques mots tranchants mettant en doute la pertinence de sa place en équipe de France : « C’est de l’acharnement. On m’accuse, on me traîne dans la boue dans tous les sens comme si j’étais un criminel, ce sont des choses horribles« , répond-il. Immobile sur une chaise peu confortable durant toute l’interview diffusée dans le 20h de TF1, il répond d’une voix égale aux questions, élevant à peine le ton pour se disculper dans l’affaire d’un chantage présumé autour d’une sextape visant Mathieu Valbuena. Et il répète qu’il ne s’agissait pas d’un chantage : « Ca me rend fou. Je n’ai pas besoin de gagner de l’argent. Et quand je rends un service, je ne demande rien en échange« . Et il explique avoir simplement voulu prévenir Mathieu Valbuena qu’il avait entendu des rumeurs sur la circulation d’une vidéo le concernant. C’est alors qu’il lui a proposé les services d’un ami qui pouvait l’aider. Mais selon Karim Benzema, il n’a jamais été question d’argent. Le contenu des écoutes téléphoniques dans lesquelles il se moque de Valbuena avec l’ami en question est son seul regret dans cette affaire. Il estime avoir plaisanté « sur des choses graves« .  »Je regrette d’avoir pris ça à la rigolade avec mon ami (Karim Zenati, ami d’enfance de Benzema écroué dans cette affaire). Je m’en excuse auprès de lui (Valbuena) et de sa famille. » Karim Benzema a été mis en examen pour complicité de tentative de chantage et participation à une association de malfaiteurs.

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