Archive pour le Tag 'russe ?'

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Intox : une fausse agence de communication russe discrédite le vaccin Pfizer .

Intox : une fausse agence de communication russe discrédite le vaccin Pfizer .

 

Dans un échange de mails que franceinfo a pu consulter, l’agence de communication demande à un autre influenceur d’affirmer que les médias dissimulent des informations au public et que l’Union européenne a favorisé le vaccin Pfizer. Ces messages sont signés de l’agence Fazze, domiciliée au Royaume-Uni mais qui n’est pas inscrite au registre des sociétés britanniques. Son adresse à Londres est fausse et ses quelques employés, Russes ou ayant fait leurs études en Russie, suppriment leurs comptes sur les réseaux sociaux depuis que l’affaire est sortie.

La police frappe la mafia russe en France

La police frappe la mafia russe en France

Les unités spécialisées de la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) viennent de porter un rude coup contre une des formes les plus venimeuses de la mafia russophone qui sévit en France. Au terme de deux ans d’investigation, l’Office central de lutte contre la criminalité organisée (OCLCO) a démantelé mardi et mercredi une redoutable équipe de «vor y zakone», les «voleurs dans la loi», reconnaissables pour certains aux bulbes orthodoxes, roses des vents et autres poignards qu’ils arborent tatoués sur le corps.

Organisant des raids très préparés, ces truands venus du froid disposent d’une armée de «petites mains» qui écument le pays pour commettre des délits de «basse intensité» afin de passer sous les radars des services. De manière indistincte, ces malfaiteurs recrutés parmi les migrants, et circulant volontiers avec le statut de demandeurs d’asile, cambriolent et raflent téléphones, ordinateurs, montres, alcools ou encore cosmétiques avec une étourdissante boulimie.

L’Allemagne prête à lâcher Navalny pour le gaz russe ?

L’Allemagne prête à lâcher Navalny  pour le gaz russe ?

 

Le nouveau leader démocrate-chrétien Armin Laschet, probable successeur de Merkel ,soutient fermement Nord Stream 2 mais son futur partenaire au pouvoir, les écologistes Verts, raidit leur opposition. C’est un peu l’éternel problème posé à l’Allemagne entre les valeurs démocratiques et le business.

Certes formellement l’Allemagne a aussi condamné l’emprisonnement de l’opposant russe à Poutine. Mais de là à menacer la Russie de sanctions économiques il y a un pas que l’Allemagne n’est peut-être pas prête de faire. Le problème c’est que le futur leader allemand doit tenir compte de son allié écologique.

L’affaire Navalny a incité les Verts à intensifier leur demande d’arrêt du pipeline et menace de paralyser le prochain chancelier, qui doit également faire face à l’opposition américaine et même aux doutes de la France, le plus proche allié de l’Allemagne.

Navalny, condamné mardi à 3-1 / 2 ans de prison après qu’un tribunal de Moscou a jugé qu’il avait violé les conditions de sa libération conditionnelle, a été arrêté le 17 janvier après son retour d’Allemagne en Russie où il a été traité pour empoisonnement avec un grade militaire. agent neurotoxique.

Sa condamnation a incité la chef des Verts Annalena Baerbock à faire pression sur le gouvernement de Merkel pour qu’il renonce au projet d’oléoduc politiquement chargé, dont la construction a été largement suspendue depuis décembre 2019 à la suite d’une menace de sanctions des États-Unis et du retrait d’une entreprise de pose de canalisations.

«Nous allons faire pression pour cela maintenant et à l’avenir», a déclaré Baerbock à la chaîne ZDF cette semaine lorsqu’on lui a demandé si le projet ne pouvait pas aller de l’avant avec son parti au sein du gouvernement allemand.

Plus de 90% du projet a été achevé et il devrait officiellement être lancé plus tard cette année.

Mais l’opposition des Verts a le poids de l’opinion des États-Unis et de nombreux autres en Europe. La dépendance du gazoduc à l’égard des services fournis par les pays bordant la mer Baltique surpeuplée signifie qu’il existe de nombreux points de pression: les retraits sous la pression américaine par des sociétés de certification de sécurité au Danemark et en Norvège pourraient encore torpiller le projet, selon une source Verte.

L’Allemagne et la Russie affirment que Nord Stream 2 n’est qu’un projet commercial. Washington a longtemps fait valoir que le gazoduc augmentera dangereusement l’influence de la Russie sur l’Europe. Le nouveau président américain Joe Biden estime qu’il s’agit d’un «mauvais accord pour l’Europe».

Notons aussi que l’union européenne et la France appelle aussi à la suspension de ce projet pour des motifs démocratiques.

« Navalny et le gaz russe » !

« Navalny et le gaz russe » !

 

La condamnation d’Alexeï Navalny remet sur le tapis l’épineuse question du gazoduc Nord Stream 2. L’étau se resserre ; Angela Merkel risque de se retrouver isolée. Il existe un précédent, que le nouveau chef de la diplomatie américaine connaît très bien, relève Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».

Publié hier à 09h56, mis à jour hier à 14h08   Temps deLecture 4 min.

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Chronique. En 1987, un jeune et brillant diplômé américain de Harvard et Columbia signait, après avoir vaguement tâté du journalisme, un livre de géopolitique sur un épisode récent de la guerre froide, Ally versus Ally (« allié contre allié », Greenwood Press, non traduit). Le sujet – « l’Amérique, l’Europe et la crise du gazoduc sibérien » – est incontestablement excitant, mais ne justifie peut-être pas à lui seul la soudaine hausse du prix de vente de l’ouvrage, qui monte jusqu’à 447 dollars (environ 370 euros) ces jours-ci sur Internet.

A 25 ans l’auteur, Antony J. Blinken, était alors un parfait inconnu. Il a depuis fait son chemin ; son nouveau statut explique sans doute le subit intérêt pour le livre : secrétaire d’Etat du président Joe Biden, Antony Blinken dirige désormais la diplomatie américaine. Et comme par ironie, l’histoire d’Ally versus Ally semble se répéter, près de quatre décennies plus tard, au moment où il prend ses fonctions. Avec, dans le rôle de l’élément perturbateur, Alexeï Navalny.

En 1982, les Européens tiennent tête

L’affaire du gazoduc germano-russe Nord Stream 2, l’un des premiers dossiers que M. Blinken a trouvés sur son bureau en arrivant au département d’Etat, a en effet un petit air de déjà-vu. Au début des années 1980, la France et la République fédérale d’Allemagne négocient avec Moscou le doublement de la fourniture de gaz soviétique à l’Europe, depuis un gisement en Sibérie. Aux Etats-Unis, Ronald Reagan voit cette manœuvre d’un très mauvais œil ; il redoute la dépendance énergétique de l’Europe vis-à-vis de « l’empire du mal », il craint les transferts de technologie et veut éviter que ce marché serve à enrichir l’URSS. Un consortium d’entreprises européennes, dont des filiales de sociétés américaines, est néanmoins monté pour construire le gazoduc sibérien. En décembre 1981, prenant prétexte de l’instauration de la loi martiale en Pologne, Washington prend des sanctions extraterritoriales contre l’URSS qui frappent les sociétés européennes impliquées dans le gazoduc.

Mais les Européens tiennent tête. François Mitterrand et Helmut Schmidt maintiennent la signature du contrat soviétique. En juin 1982, Reagan surenchérit par un embargo total sur le pétrole et gaz d’URSS. L’Europe des Dix, à l’époque, refuse d’appliquer les sanctions. Washington révoque les licences d’exploitation de Creusot-Loire et Dresser-France. Jean-Pierre Chevènement, ministre de la recherche et de l’industrie, en appelle à la solidarité européenne et fait serment de réduire la dépendance technologique de la France vis-à-vis des Etats-Unis. L’affaire finit par inquiéter les milieux d’affaires américains, qui interviennent auprès du président Reagan. Celui-ci cède et lève les sanctions en novembre 1982.

Le vaccin russe au secours de l’Europe

Le vaccin russe au secours de l’Europe

 

 

La lamentable politique européenne qui a conduit à sous-estimer les besoins pour la vaccination ( les commandes ont été faites cours de l’été alors qu’on estimait qu’on était sur la fin de la pandémie !) conduit maintenant à se  tourner vers la Russie dont on a critiqué la fiabilité des vaccins. Or aujourd’hui les vaccins occidentaux homologués ne suffisent plus à honorer les demandes notamment européennes. Curieusement, l’Europe et la France en particulier trouvent  maintenant des vertus un vaccin plus qui effectivement se montre efficace. Interrogé sur le vaccin Spoutnik V, dont l’efficacité a été estimée à 91,6% dans une étude récente, le chef de l’Etat a répondu qu’aucune distribution en France n’était possible « tant que le producteur russe n’a pas soumis une demande d’autorisation de mise sur le marché »« A la minute où il la déposera, dans les meilleurs délais, les autorités européennes et nos autorités nationales regarderont scientifiquement ce vaccin, de manière indépendante, et, en fonction de ces résultats et des preuves, l’homologuerons ou pas », a-t-il assuré.

Ce recours au vaccin russe pourrait apporter une aide fort utile à la vaccination en France mais ne renforce pas la crédibilité de la recherche française qui était incapable de se mettre à niveau de celle des autres pays.

« Ce n’est pas notre stratégie de vaccination qui permettra d’éviter à court terme un reconfinement ou non », a souligné le chef de l’Etat. Mais « c’est notre mobilisation à tous, c’est-à-dire notre capacité à tenir les gestes barrières » et  »notre capacité à bien respecter le triptyque tester-accompagner-protéger », a-t-il ajouté.

« On va continuer à gérer ainsi cette épidémie, avec un objectif qui est de tenir, de protéger les plus faibles, de protéger notre système de santé et de pouvoir au maximum aussi protéger notre jeunesse qui a besoin d’étudier, d’aller à l’école », en bref « d’avoir un pays le plus ouvert possible malgré le virus ».

Vaste intox numérique russe et française en Afrique

Vaste intox numérique russe et française en Afrique

Une vaste opération d’intoxication par voie numérique a été observée par Facebook qui a supprimé de nombreux faux comptes français et russes qui s’impliquent dans les élections d’une douzaine de pays africains.

Un de ces réseaux d’influence était lié à des “individus associés à l’armée française”, indique Facebook; les deux autres étaient en lien avec des individus associés par le passé à des opérations de l’Agence russe de recherche sur internet (IRA) ainsi qu’à son chef, l’homme d’affaire russe Evguéni Prigojine.

Pour la justice américaine de même que les agences de renseignement, Evguéni Prigojine et l’IRA, une “usine à trolls” basée à Saint-Pétersbourg, ont joué un rôle central dans les ingérences russes lors de la campagne présidentielle de 2016 aux Etats-Unis.

Ben Nimmo, chargé d’enquête chez Graphika, une firme spécialisée dans l’analyse des réseaux sociaux, a précisé que les auteurs de ces campagnes de désinformation utilisaient de “faux vrais comptes”, se faisant passer pour des habitants des pays visés et diffusant des photographies falsifiées.

Outre la Centrafrique, qui vote le 27 décembre, 13 autres pays africains sont visés, notamment l’Algérie, le Cameroun, la Libye et le Soudan.

Meurtrier du professeur décapité: Russe , tchéchène, délinquant, et manipulé

Meurtrier du  professeur décapité:  Russe , tchéchène, délinquant, et manipulé

 

Le meurtrier du professeur de collège coche toutes les cases qui définissent le portrait moyen du terroriste. Il s’agit d’abord d’un étranger russe , au statut trouble de réfugié tchétchène, un petit délinquant et surtout un gamin de 18 ans manipulé évidemment. Ce qui n’est pas très compliqué compte tenu de son niveau scolaire et de son quotient intellectuel.

 

Bref toujours à peu près le même profil, un abruti, un primaire, un ignorant du concept de démocratie, un manipulable.  En outre il ne s’agit sans doute pas d’un acte isolé mais préparé si l’on en juge par les pressions dont a été victime de manière scandaleuse le professeur de la part de certains parents.

 

Des parents qui confondent sans doute la laïcité et les principes religieux pour intervenir et protester contre des programmes scolaires;  des parents qui sans doute se sont trompés de pays, doivent retourner chez eux s’ils sont étrangers ou se plier aux lois républicaines. D’une certaine manière, l’intéressé n’a pas pu agir seul dans la mesure où il ne fréquentait pas l’établissement scolaire et où il a bénéficié d’appuis de complices pour accomplir son crime vis-à-vis d’un professeur dont il ignorait tout.

Neuf gardes à vue sont en cours, parmi lesquelles deux concernent un parent d’élève et un autre homme s’étant plaints “avec virulence”, dans des vidéos et auprès du collège, de la présentation par le professeur de deux caricatures de Mahomet lors d’un cours sur la liberté d’expression quelques jours plus tôt, dans le cadre d’un débat sur leur publication par Charlie Hebdo, a précisé le procureur.

La demi-sœur de ce parent d’élève a rejoint l’organisation Etat islamique en 2014 en Syrie et elle est recherchée par la justice antiterroriste tandis que le deuxième homme est connu des services de renseignement, contrairement à l’auteur des faits, a souligné Jean-François Ricard.

“Ce qui s’est passé a des racines. Ces racines, c’est la haine et c’est la haine de la République. Il y a clairement des ennemis de la République, contre la République et donc contre l’école parce que l’école c’est la colonne vertébrale de la République”, a dit le ministre de l’Education.

Face à ce constat, il a annoncé que, outre l’hommage national au professeur tué, “il y aura un cadrage national strict, puissant, fort pour le travail éducatif et pédagogique que nous devrons faire avec tous nos élèves” à partir de la rentrée, lors de laquelle une minute de silence devrait être observée en hommage à la victime.

Il s’agira de faire en sorte “que chaque enfant comprenne qu’il a de la chance d’être un enfant de France, la chance d’être à l’école de la République, la chance aussi de pouvoir vivre en démocratie et en République”.

S’adressant aux parents, Jean-Michel Blanquer a lancé un appel à “l’unité du monde adulte” pour la défense des valeurs de la République, notamment la “laïcité qui est synonyme de liberté, parce que c’est la laïcité qui est le socle de nos valeurs et qui nous permet de faire valoir l’ensemble des autres principes de liberté, d’égalité et de fraternité”.

Vaccin russe : doutes sur la fiabilité

Vaccin russe : doutes sur la fiabilité

De très gros doutes sur la stabilité du vaccin russe ont été émis par des scientifiques. Ils critiquent notamment le caractère scientifique des données fournies. De toute manière, ce vaccin a été mis au point à la va-vite en s’affranchissant de l’étape fondamentale appelée phase trois qui permet de tester sur une très large population l’efficacité du traitement mais ces effets secondaires , Poutine a politisé le vaccin russe pour masquer les difficultés économiques et sociales de son pays. En outre, il veut démontrer que son pays est scientifiquement en avance dans le domaine . En arrière-plan ,il y a la modification constitutionnelle russe qui doit permettre Poutine d’assurer le pouvoir pendant encore 20 ans. Poutine a donc besoin de symboles de la grandeur russe.

Enrico Bucci, professeur de biologie à l’Université Temple de Philadelphie contestedonc  avec 15 scientifiques de pays différents les annonces russes dans une lettre adressée à la revue scientifique « The Lancet.

Cela  souligne l’inquiétude croissante des scientifiques quant à la sécurité et à l’efficacité du vaccin “Spoutnik-V”, dont l’utilisation a été approuvée par le gouvernement russe avant la fin des essais complets sur l’homme.

La lettre officielle est arrivée quelques jours après qu’un plus grand groupe de scientifiques – incluant les 15 – ont publié une lettre ouverte au rédacteur en chef de The Lancet, publiée sur la page de blog personnel de Bucci après la publication des résultats des essais préliminaires de l’Institut Gamaleya de Moscou.

Les auteurs de la lettre ont déclaré avoir trouvé dans les données des phases I/II des tendances qui semblaient “hautement improbables”, alors que des niveaux d’anticorps identiques ont été rapportés chez plusieurs patients.

L’Institut Gamaleya, qui n’a pas souhaité commenté, a rejeté la semaine dernière les critiques soutenues par la lettre ouverte, signée initialement par 26 scientifiques et qui compte désormais 38 signataires.

L’Institut bactériologique d’Odessa est devenu la première station d’observation bactériologique de Russie.

“Les résultats publiés sont authentiques et exacts et ont été examinés par cinq réviseurs de The Lancet”, a déclaré dans un communiqué Denis Logunov, directeur adjoint de l’institut.

Il a ajouté que l’institut avait soumis au journal médical l’ensemble des données brutes sur les résultats des essais.

Alexeï Kouznetsov, ministre russe adjoint de la Santé, a déclaré à l’agence de presse Interfax le 10 septembre dernier que l’Institut Gamaleya avait envoyé des réponses détaillées aux questions soulevées dans la lettre ouverte au rédacteur en chef du journal.

Un essai de phase III, impliquant 40.000 participants, a été lancé le 26 août. Environ 31.000 personnes se sont déjà inscrites pour y participer, a déclaré le ministre de la Santé Mikhail Murashko.

Coronavirus: le vaccin russe déjà opérationnel testé seulement maintenant !

Coronavirus: le vaccin russe déjà opérationnel testé seulement maintenant !

Alors que Poutine a décidé de rend opérationnel un vaccin dès maintenant et même de l’exporter par exemple au Venezuela, les autorités sanitaires russes annoncent que les opérations de tests commencent seulement maintenant. Une véritable folie de faire la vaccination avant sa vérification. Le risque c’est évidemment de n’obtenir qu’un vaccin à efficacité très partielle et éventuellement très dangereux.

Les autorités de Moscou ont donc  annoncé mercredi avoir commencé à tester le vaccin russe contre le coronavirus sur 40.000 habitants de la capitale, dernière étape des essais de ce vaccin annoncé en grande pompe en août. «Les premiers participants se sont fait vacciner aujourd’hui dans les établissements médicaux de la capitale», s’est félicitée dans un communiqué l’adjointe au maire de Moscou, Anastasia Rakova, saluant une «journée importante non seulement pour la ville, mais pour tout le pays». Au total, 40.000 Moscovites sont invités à participer à cette étude, tout habitant de nationalité russe ayant une couverture médicale en règle pouvant être volontaire.

Venezuela: le fou Maduro veut vacciner les candidats aux législatives avec le vaccin russe !

Venezuela: le fou Maduro veut vacciner les candidats aux législatives avec le vaccin russe !

 

On sait pertinemment qu’aucun vaccin sérieux ne sera disponible avant le milieu de l’année 2021 au mieux afin non seulement de tester son efficacité mais tout autant de vérifier ses effets indésirables et ses contre-indications. Notons qu’un très grand laboratoire britannique sur lesquels on  fondait de grand espoir vient d’arrêter de le tester justement en raison de conséquences très graves. Le groupe pharmaceutique anglo-suédois AstraZeneca, partenaire industriel de la prestigieuse université britannique Oxford, a en effet détecté un éventuel effet indésirable grave chez un participant aux essais cliniques de son vaccin expérimental.

Or pour des raisons politiques Poutine (qui veut son référendum pour rester au pouvoir 20 ans de plus) ou Trump (qui veut être réélu ) annoncent un vaccin. Une annonce évidemment complètement irresponsable et folle. La période est malheureusement caractérisée par la folie d’un certain nombre de dirigeants dans le monde comme en Chine, en Russie, en Iran, en Turquie, aux États-Unis ou encore au Venezuela. Dans ce dernier pays, le président Nicolas Maduro veut faire vacciner avec le vaccin russe les candidats aux législatives de décembre afin qu’ils fassent campagne «en toute sécurit黫En septembre, les premiers vaccins vont arriver de Russie pour des essais cliniques», a déclaré le président socialiste du pays sud-américain lors d’une allocution mardi soir.

En octobre, un deuxième lot en provenance de Russie doit arriver au Venezuela, a-t-il poursuivi au sujet de Spoutnik V, le vaccin russe contre le coronavirus perçu avec scepticisme dans le monde, notamment à cause de l’absence de phase finale des essais au moment de son annonce en août.

 

Coronavirus : Le vaccin russe 100% efficace ?

Coronavirus : Le vaccin russe 100% efficace ?

 

La Russie a annoncé que son vaccin contre le Coronavirus est efficace à 100 %. Bien entendu aucun expert international n’a été convié à procéder à son évaluation.] Le plus surprenant, c’est que cette information russe a été reprise dans la revue médicale célèbre dans le milieu  The Lancet. Évidemment toute la communauté médicale et l’opinion le souhaitent. Reste que la revue The Lancet n’est pas à l’abri de certaines manipulations de la part de l’industrie pharmaceutique. Cette revue scientifique a d’ailleurs publié des avis très controversés à propos de la crise sanitaire. Comme ce vaccin n’est autorisé aujourd’hui qu’en Russie, on peut imaginer que les experts qui ont précédé à l’évaluation sont également russes.

 

D’où la nécessité d’une certaine prudence vis-à-vis de cette information. Le vaccin russe anti-COVID-19 « Spoutnik V » aurait  produit une réponse immunitaire chez tous les participants lors des premiers essais cliniques, selon les résultats publiés vendredi par la revue médicale américaines The Lancet.

Les résultats des deux essais, menés en juin-juillet de cette année et impliquant 76 participants, ont en effet montré que 100% des participants développaient des anticorps contre le nouveau coronavirus et que ceux-ci ne présentaient pas d’effets secondaires graves, d’après The Lancet.

« De essais de grande ampleur sur une période plus longue, comprenant une comparaison avec un placebo, et une supervision supplémentaire sont nécessaires afin d’assurer la sûreté et l’efficacité à long terme du vaccin », a ajouté la revue.

Certains experts occidentaux ont néanmoins mis en garde contre l’utilisation du vaccin tant que tous les tests, approuvés au niveau international, et toutes les mesures réglementaires n’auront pas été menées à bien.

Avec ces résultats publiés pour la première fois dans une revue internationale et le lancement, la semaine dernière, d’un essai clinique de stade avancé de 40.000 personnes, Moscou a répondu à ses détracteurs, à l’étranger notamment, a commenté Kirill Dmitriev, le patron du fonds souverain russe qui a contribué au financement du vaccin.

 

Le vaccin russe 100% efficace ?

Le vaccin russe 100% efficace ?

C’est en tout cas ce qu’affirme la revue médicale célèbre dans le milieu  The Lancet. Évidemment toute la communauté médicale et l’opinion le souhaitent. Reste que la revue The Lancet n’est pas à l’abri de certaines manipulations de la part de l’industrie pharmaceutique. Cette revue scientifique a d’ailleurs publié des avis très controversés à propos de la crise sanitaire. Comme ce vaccin n’est autorisé aujourd’hui qu’en Russie, on peut imaginer que les experts qui ont précédé à l’évaluation sont également russes. D’où la nécessité d’une certaine prudence vis-à-vis de cette information. Le vaccin russe anti-COVID-19 « Spoutnik V » aurait  produit une réponse immunitaire chez tous les participants lors des premiers essais cliniques, selon les résultats publiés vendredi par la revue médicale américaines The Lancet.

Les résultats des deux essais, menés en juin-juillet de cette année et impliquant 76 participants, ont en effet montré que 100% des participants développaient des anticorps contre le nouveau coronavirus et que ceux-ci ne présentaient pas d’effets secondaires graves, d’après The Lancet.

« De essais de grande ampleur sur une période plus longue, comprenant une comparaison avec un placebo, et une supervision supplémentaire sont nécessaires afin d’assurer la sûreté et l’efficacité à long terme du vaccin », a ajouté la revue.

Certains experts occidentaux ont néanmoins mis en garde contre l’utilisation du vaccin tant que tous les tests, approuvés au niveau international, et toutes les mesures réglementaires n’auront pas été menées à bien.

Avec ces résultats publiés pour la première fois dans une revue internationale et le lancement, la semaine dernière, d’un essai clinique de stade avancé de 40.000 personnes, Moscou a répondu à ses détracteurs, à l’étranger notamment, a commenté Kirill Dmitriev, le patron du fonds souverain russe qui a contribué au financement du vaccin.

Elections américaines : manipulation russe identifiée par Facebook

Elections américaines : manipulation russe identifiée par Facebook

Comme en 2016, des manipulations de l’opinion ont été identifiées cette fois par le réseau Facebook lui-même. L’objectif serait de détourner les électeurs de gauche du candidat Joe Biden en le discréditant.

Par le passé, la Russie a réfuté les accusations d’ingérence émises par les Etats-Unis et a déclaré ne pas interférer avec la politique d’autres pays.

Les constatations de Facebook rejoignent l’évaluation des représentants du contre-espionnage américains publiée le mois dernier, selon laquelle Moscou utiliserait la désinformation par internet pour saper la campagne de Joe Biden.

Un représentant de la campagne de Trump a déclaré que le président serait réélu « à la loyale et sans avoir besoin d’ingérences étrangères

 

Biélorussie: intervention militaire russe éventuelle qualifiée de « malvenue » ( Macron)

Biélorussie: intervention militaire russe éventuelle qualifiée de « malvenue » ( Macron)

 

L’intervention militaire éventuelle de la Russie en Biélorussie a été qualifiée de malvenue par macron. Un euphémisme sans doute car cette nouvelle action russe aux portes de l’Europe constituerait une grave atteinte à la paix et à la démocratie

Le choix sémantique de Macron traduit le fait que sur le dossier biélorusse, la diplomatie française et européenne marche sur des œufs. En clair elle ne veut pas trop mécontenter la Russie qui a adopté une posture de protectrice de la dictature biélorusse pour protéger la propre dictature de Poutine. En Biélorussie comme en Russie, on veut en effet tordre les dispositions constitutionnelles pour permettre aux dictateurs de prolonger leur mandat. Poutine qui a déjà 20 années de pouvoir s’apprête à en ajouter encore une vingtaine après un bidouillage constitutionnel. Même chose pour le président biélorusse lui qui compte déjà 26 ans de pouvoir et qui voudrait en ajouter encore une vingtaine.

Le problème de la prudence diplomatique s’explique aussi di fait  que nous avons besoin du soutien en tout cas de la neutralité de la Russie sur nombre de dossiers internationaux délicats en Iran par exemple ou encore Moyen-Orient. Cela d’autant plus que le président américain a choisi l’isolationnisme voire la provocation au plan international.

“Comme j’ai eu l’occasion de le dire au président Poutine, je considère que toute intervention extérieure en Biélorussie, à commencer par une intervention des forces russes (…) conduirait à régionaliser et internationaliser cette question” et “serait malvenue”, a déclaré le chef de l’Etat, qui s’exprimait devant 70 journalistes de l’Association de la presse présidentielle (APP).

“Notre volonté c’est d’engager la Russie dans un dialogue sur la Biélorussie et de nous aider à convaincre le président (biélorusse Alexandre) Loukachenko de la nécessité d’une médiation OSCE (Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe)”, a ajouté Emmanuel Macron.

Biélorussie : énorme manif et crainte d’une intervention russe

Biélorussie : énorme manif et crainte d’une intervention russe

 

Une manif énorme plus de 200 000 personnes qui a secoué le pouvoir contraint de solliciter l’aide du Kremlin pour se maintenir. Moscou a donné son accord pour une aide militaire car finalement la dictature en Biélorussie est à peu près de même nature que celle de la Russie. Poutine en protégeant les Biélorusses se protège en même temps puisque lui aussi va prolonger son mandat après un bidouillage des institutions.

Après une semaine de contestation pendant laquelle deux manifestants ont été tués et des milliers d’autres arrêtés, les Biélorusses ont scandé “Loukachenko démission” en brandissant le drapeau biélorusse.

Alexandre Loukachenko, à la tête de la Biélorussie depuis 26 ans, s’est une nouvelle fois entretenu dimanche avec son homologue russe Vladimir Poutine.

Appelant ses partisans à “se battre pour l’indépendance de la Biélorussie”, Loukachenko a nié tout trucage de l’élection présidentielle et rejeté la tenue d’une nouveau scrutin, réclamé selon lui par la Pologne, la Lettonie, l’Ukraine et la Lituanie.

Dans un discours prononcé dans le centre de Minsk devant quelques milliers de fidèles, il s’est en revanche dit prêt à mener des réformes si ses compatriotes le demandent.

“Je ne vous ai jamais trahis et je ne le ferai jamais”, a déclaré le chef de l’Etat âgé de 65 ans.

Alors que Loukachenko a accusé dans son discours l’OTAN d’être “aux portes” de la Biélorussie, le ministre lituanien de la Défense, Raimundas Karoblis, a déclaré que son pays ne représentait aucune menace pour la Biélorussie et évoqué la tenue d’exercices militaires de l’Alliance atlantique prévus de longue date.

C’est depuis la Lituanie, où elle a trouvé refuge, que la chef de file de l’opposition, Svetlana Tikhanoskaïa, a appelé à la grande “Marche pour la liberté” qui s’est tenue dimanche à Minsk.

Le Kremlin a indiqué que Vladimir Poutine avait informé Alexandre Loukachenko que la Russie était prête à fournir une aide militaire à la Biélorussie dans le cadre des accords de défense qui lient les deux pays, si cela s’avérait nécessaire.

Moscou a accusé des pays étrangers de chercher à déstabiliser la Biélorussie, sans dire lesquels.

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