Archive pour le Tag 'Royaume-Uni'

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Royaume –Uni : nouvelle austérité budgétaire

Royaume –Uni : nouvelle austérité budgétaire

Alors que la croissance se tasse le gouvernement décide de nouvelles mesures de restriction budgétaire qui pourrait bien à leur tour affaiblir encore un peu plus la croissance. Une manière aussi en période préélectorale pour le parti conservateur de se distinguer très nettement des orientations de gauche du nouveau responsable des travaillistes. Ou quand la politique reprend le dessus sur l’intérêt général. Le ministre britannique des Finances, George Osborne, a confirmé dimanche que de nouvelles coupes budgétaires seraient annoncées lors de la présentation du budget, mercredi prochain.  La croissance britannique a atteint 2,2% sur l’ensemble de l’année 2015 par rapport à 2014, ce qui représente un ralentissement par rapport aux 2,9% enregistrés en 2014. Le gouvernement avait renoncé à plusieurs coupes drastiques en novembre dernier. Il avait notamment reculé face aux critiques sur son projet de réduire les crédits d’impôt des plus démunis. Mais depuis le début de l’année, M. Osborne insiste sur la nécessité de continuer la politique d’austérité enclenchée par son camp conservateur depuis son retour au pouvoir en 2010, face à une opposition travailliste menée par un dirigeant très marqué à gauche, Jeremy Corbyn, favorable à l’investissement public. L’économie du Royaume-Uni est sous la menace du ralentissement chinois et des problèmes de ses voisins de la zone euro, avec lesquels il réalise la majorité de ses échanges commerciaux. Elle est aussi confrontée à ses propres difficultés, avec un déséquilibre entre les secteurs d’activité, et l’incertitude autour d’un possible Brexit, à l’approche du référendum du 23 juin sur l’appartenance du pays à l’Union européenne. 

 

(AFP)

Google : redressement fiscal de 1,6 milliards d’euros en France et seulement de 165 millions d’euros au Royaume-Uni

Google : redressement fiscal de 1,6 milliards d’euros en France et seulement de 165 millions d’euros au Royaume-Uni

 

Il est clair que Google effectue ainsi un chiffre d’affaires approximativement égal en France et aux Royaume-Uni. Pourtant les conceptions fiscales sont différentes puisque l’administration française réclame 1,6 milliards d’euros à Google tandis que l’administration britannique a négocié pour le paiement de seulement 165 millions d’arriérés fiscaux couvrant les 10 dernières années. Google n’est évidemment pas plus coupable que les  autres multinationales qui pratiquent le sport de l’optimisation fiscale.  En faite Google ne déclare qu’une base fiscale minime en France tandis que la quasi-totalité des bénéfices sont soumis à déclaration en Irlande via les Pays-Bas pour finalement être logés aux Bermudes (paradis fiscal) où se trouve le siège social de la filiale Google Ireland Holdings. Des médias avaient fait état il y a deux ans une notification de redressement adressée à Google par le fisc français pour un montant d’un milliard d’euros. S’ajouteraient aujourd’hui à cette somme des pénalités de retard et une amende. Le ministre des Finances, Michel Sapin, a déclaré au début du mois que les sommes réclamées par le fisc français à Google étaient « bien supérieures » à celles de l’accord conclu fin janvier par le moteur de recherche avec l’administration britannique, qui portait sur le paiement de 130 millions de livres (165 millions d’euros) d’arriérés, couvrant les dix dernières années. « Le fisc français ne négocie pas le montant des impôts, il est dans une discussion sur les règles applicables » aux sociétés avec Google, avait-il ajouté.

Le Royaume-Uni : handicap ou chance pour l’Europe ?

Le Royaume-Uni : handicap ou chance pour l’Europe ?

 

L’idée que le Royaume-Uni serait un handicap pour l’Europe progresse dans l’opinion publique même s’il reste encore une majorité de Français à considérer encore que la présence du  Royaume uni est plutôt positive ; sans doute faut-il voir là les récurrentes demandes d’exception formulées par les Britanniques afin échapper aux règles de l’union européenne. De fait le  Royaume-Uni milite depuis longtemps pour une Europe à la carte ou sorte d’auberge espagnole où on trouve tout mais où on peut choisir ce qu’on veut. La vérité c’est que les britanniques souhaitent surtout que l’Europe se limite à une zone de libre-échange avec le moins de règles possibles même pas sur le plan social, fiscal ou environnemental et encore moins au plan financier et monétaire. Pourtant c’est  le Royaume-Uni est le plus à perdre d’un Brexit compte tenu des échanges avec l’union économique. La perte pourrait être de l’ordre de  0,5 % du PIB par an. En outre Londres risque de voir l’importance de sa place financière rééquilibrée par celle de Paris. Le premier ministre David Cameron n’a sans doute pas tort de regretter la bureaucratie de Bruxelles pour autant son opposition systématique aux politiques communes constitue un handicap majeur pour une intégration plus effective de l’Europe. On peut se demander si le retrait du Royaume-Uni au moins pour une période ne serait pas une bonne chose pour l’Europe  qui a un urgent besoin de cohésion et de dynamisme. En outre cela permettrait peut-être au Royaume-Uni de prendre conscience de ce qu’elle est réellement,  non plus une puissance mondiale dominante comme leur de l’époque décolonisation mais une puissance de seconde zone,  comme la France ! La séparation serait sans doute profitable aux deux parties. Désormais Plus de quatre Français sur dix jugent que le Royaume-Uni est plutôt un handicap pour l’Union européenne (44%), une opinion en progression de sept points par rapport à mai 2015, selon un sondage BVA pour Orange/iTELE diffusé samedi. Seule une courte majorité de Français considère que la présence du Royaume-Uni dans l’UE est plutôt un atout (54%). Malgré tout, plus d’un Français sur deux souhaite que le Royaume-Uni reste dans l’Union européenne, notamment les sympathisants Les Républicains (67%) et Modem-UDI (65%). A contrario les sympathisants de partis situés à la « gauche du PS » (58%) et ceux du FN (64%) souhaitent majoritairement une sortie du Royaume-Uni de l’UE. Une nette majorité de Français se dit pessimiste concernant le futur de l’Union européenne (71%), moins de trois sur dix s’estimant optimistes (28%).

Brexit : le psychodrame habituel avec le Royaume-Uni

Brexit : le psychodrame habituel avec le Royaume-Uni

 

C’est devenu une sorte de rituel à chaque négociation avec le Royaume-Uni ;  on assiste à une sorte de psychodrame qui aboutit toujours de la même manière avec un accord bâtard. Pour résumer,  le Royaume-Uni va continuer de conserver un pied dans l’Europe un pied en dehors. Les concessions faites par l’union européenne sont surtout destinées à conforter le premier ministre britannique David Cameron qui s’est lui-même piégé avec son idée de référendum concernant l’appartenance à l’union économique. Du coup,  les concessions faites au Royaume-Uni pourraient donner des idées à d’autres pays qui souhaitent aussi se désengager de certaines contraintes européennes. Le Royaume-Uni est donc parvenu à un accord avec ses partenaires européens sur les conditions de son maintien dans l’Union européenne. Vendredi 19 février, vers 23 heures, l’accord a été annoncé après plus de 18 heures de négociations que l’on disait très difficiles. Aussitôt, le Premier ministre britannique David Cameron a annoncé que les termes de cette entente étaient « suffisants » pour qu’il recommande le maintien du Royaume-Uni dans l’UE aux électeurs britanniques lors du référendum dont la date sera annoncée ce samedi, mais qui pourrait avoir lieu le 23 juin. Qu’a obtenu David Cameron ? L’assurance, affirme-t-il que le Royaume-Uni ne sera « jamais inclus dans un super-Etat européen » et qu’il pourra conserver la livre. Les traités devraient être modifiés pour exclure le pays d’une union « toujours plus étroite » et pour préciser que l’euro n’est pas la seule monnaie de l’UE. David Cameron a défendu un accord dans lequel le Royaume-Uni conserve ce qu’il aime dans l’UE et écarte ce qu’il n’aime moins. La compétitivité sera ainsi une priorité de l’UE, l’accès du Royaume-Uni au marché unique sera garantie, mais Londres ne devra pas participer aux mécanismes propres à la zone euro, comme les sauvetages de pays endettés. Sur la question des aides sociales aux migrants de l’UE, qui était une pierre d’achoppement depuis quelques semaines, il a été convenu que le Royaume-Uni pourra suspendre durant les sept prochaines années ces allocations pour une durée maximum de quatre ans. David Cameron espère qu’elle sera suffisante pour que les Britanniques se décident finalement à rester dans l’UE.

Royaume-Uni : Cameron fait chanter l’Europe

Royaume-Uni : Cameron fait chanter l’Europe

 

Des concessions, toujours des concessions ;  de la part de Cameron  c’est le chantage au Brexit  (sortie de l’Europe du Royaume-Uni). En apparence toutefois les demandes récurrentes  du premier ministre britannique paraissent impossibles à satisfaire : «  Moins de bureaucratie, plus de transparence, plus d’efficacité, plus de participation…. » il y a aussi  la question des migrants européens pour lesquels le Royaume-Uni souhaiterait supprimer les allocations sociales au moins pendant un certain temps. Ce qui vise particulièrement les migrants des pays d’Europe centrale et orientale qui ne veulent pas être considérées comme des étrangers de l’Europe. Il y a aussi et peut-être surtout les questions d’harmonisation fiscale et de réglementation financière pour lesquels le Royaume-Uni souhaite conserver sa spécificité. Cameron est en particulier opposé à toute taxation des transactions financières sous quelque forme que ce soit y compris pour les produits dérivés très spéculatifs. Le Royaume uni ne veut en aucun cas qu’on porte atteinte à la bourse de Londres. La philosophie de Cameron est constante,  Royaume Uni souhaite conserver un pied dans l’Europe, un autre en dehors. D’une certaine manière, Cameron fait chanter l’Europe. Ou bien l’union européenne fait de larges concessions ou bien le Royaume-Uni pourrait quitter l’union. À noter cependant que les milieux économiques britanniques sont favorables au maintien dans l’union européenne. Quant à la demande de Cameron visant à supprimer à alléger la bureaucratie de Bruxelles, elle risque d’être peu entendue par une commission qui précisément se nourrit de cette bureaucratie. Pas étonnant, les fonctionnaires de Bruxelles sont de plus en plus nombreux ils sont en outre la plupart surpayée par rapport à leur pays d’origine.

Bourses économie : un cocktail dangereux (Royaume-Uni)

Bourses économie : un cocktail dangereux (Royaume-Uni)

 

Quand on connaît le rôle que joue la place financière de Londres sur l’économie du Royaume-Uni, on comprend que le ministre britannique des finances soit particulièrement inquiet des conséquences de la tourmente des bourses sur l’activité. Le ministre britannique des Finances, George Osborne, prévient qu’un « cocktail dangereux » menace l’économie du Royaume-Uni, au moment où les marchés chinois n’en finissent pas de plonger, attirant vers le fond les autres places financières.  « L’an passé fut la pire pour la croissance mondiale depuis la crise (de 2008) et cette année débute avec un cocktail dangereux de nouvelles menaces », devait dire M. Osborne lors d’un discours prévu à Cardiff (ouest du Royaume-Uni) cet après-midi. « Cette année n’a que sept jours, et déjà nous avons des nouvelles inquiétantes sur la chute des marchés action à travers le monde, le ralentissement de la Chine, des problèmes sérieux au Brésil et en Russie », devait-il souligner.  Les Bourses chinoises ont encore plongé de plus de 7% aujourd’hui, après avoir connu une mésaventure similaire lundi.

(Avec Reuters)

Croissance Royaume-Uni : sur une tendance de 2,6 %

Croissance Royaume-Uni : sur une tendance de 2,6 %

Après le tassement du premier trimestre,  la croissance au Royaume-Uni  enregistre une hausse significative. Sur un an l’augmentation du PIB sera autour de 2,5 %. Cela surtout grâce au pétrole et au service tandis que la production manufacturière, elle ,baisse comme d’ailleurs dans de nombreuses zones en Chine comme en Europe. La croissance du produit intérieur brut (PIB) du Royaume-Uni a nettement accéléré à 0,7% par rapport au trimestre précédent, grâce aux services et aux hydrocarbures de la mer du Nord  Après avoir enregistré au précédent trimestre sa plus faible hausse depuis fin 2012, la croissance du Royaume-Uni est repartie. Le produit intérieur brut (PIB) outre-manche a progressé de 0,7% en première estimation, un résultat conforme aux attentes des économistes, après avoir avancé de 0,4% au trimestre précédent, indiquent les données publiées mardi 28 juillet par l’Office des statistiques nationales (ONS). « Après un ralentissement au premier trimestre 2015, la croissance du PIB a retrouvé les niveaux des deux années précédentes », a noté Joe Grice, économiste en chef de l’ONS. Sur un an, la progression du PIB britannique est de 2,6%, un résultat là encore conforme aux prévisions des économistes. Dans le détail, l’activité des services, qui contribue pour plus des trois quarts à l’économie britannique, a progressé de 0,7% au deuxième trimestre après une croissance de 0,4% au trimestre précédent. Si la production manufacturière a baissé de 0,3%, son premier repli trimestriel depuis deux ans, la production industrielle globale a gagné 1%, sa plus forte croissance depuis fin 2010, grâce à une augmentation de la production de pétrole et de gaz de mer du Nord. La demande en provenance de la zone euro demeure en revanche faible et pèse sur l’industrie. Le secteur de la construction reste lui aussi à la traîne. Le PIB par habitant est de nouveau comparable au pic atteint au premier trimestre 2008, soit avant la crise financière, souligne l’ONS. La Grande-Bretagne a connu l’an dernier sa plus forte croissance en huit ans. Le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a déclaré ce mois-ci que la décision de relever les taux d’intérêt, actuellement à des plus bas historiques, entrerait en ligne de compte vers la fin de l’année.

 

La note du Royaume-uni abaissée par Standard & Poor’s

La note du Royaume-uni abaissée par Standard & Poor’s

L’agence Standard & Poor’s a abaissé vendredi à « négative » la perspective de la note de la dette à long terme du Royaume-Uni, actuellement fixée au cran le plus élevé de AAA, citant les risques encourus par le référendum sur l’appartenance britannique à l’Union européenne (UE). L’agence Fitch a elle au contraire maintenu la note du pays, à « AA+ », soit un niveau en dessous de celle de S&P, avec une perspective stable. « La décision du gouvernement conservateur (…) de tenir un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE d’ici à 2017 représente un risque pour les perspectives de croissance des services financiers et des secteurs exportateurs, ainsi que pour l’économie en général », a expliqué S&P.  « Nous pensons en outre qu’un possible départ de l’UE soulève la question du financement des larges déficits (budgétaires et des comptes courants, ndlr) du Royaume-Uni », a ajouté l’agence de notation.  Le changement à une perspective « négative » signifie que la note du pays pourrait être abaissée à court ou moyen terme, bien que cela ne constitue pas une certitude, S&P évoquant « une probabilité d’une sur trois dans les deux ans à venir ». S&P est la seule des trois grandes agences de notation à conférer sa note maximale à la dette à long terme du Royaume-Uni.

L’UE irait mieux sans le Royaume-Uni (Michel Rocard)

L’UE irait mieux sans le Royaume-Uni (Michel Rocard)

Michel Rocard pense à juste titre que l’union européenne pourrait se passer du Royaume Uni  .Il a sans doute raison car les négociations qu’entame Cameron avec l’Union seront sans doute désastreuses  pour l’Europe.  En fait Cameron est en train de négocier une  nouvelle série d’exceptions . d’abord il veut tirer encore davantage d’ argent de l’union  alors qu’il a déjà  un régime d’exceptions (comme sur le reste). Ensuite, il va demander que Bruxelles  ne puisse prendre des orientations qui  s’imposent  au  Royaume uni.  Du coup nombre de pays vont s’engager dans la brèche  : en gros moins de programmes européens et moins d’intégration alors qu’il y a un urgent besoin  d’intégration en matière de politique étrangère, de politique industrielle, d’investissement ou encore d’immigration. ? Ce sera un encouragement tous les nationalismes.  L’Europe n’ est certes pas  sans défaut mais elle risque d’être  encore un peu plus paralysé..

 

L’ancien Premier ministre affirme

« La Grande-Bretagne est un très grand pays qui a toujours refusé que l’Europe s’immisce dans ses affaires. Elle a bloqué tout approfondissement de l’intégration (…) S’ils s’en vont, il devient possible de répondre au besoin de commandement dans l’Europe. Même l’Allemagne s’en rend compte et le demande. » Il a même insisté, affirmant à propose de ce départ hypothétique: « je l’espère bien car depuis le temps qu’ils empêchent [L'Union européenne] de se développer, ils l’ont tuée ». Et de pointer les sondages outre-Rhin qui « montrent que le peuple anglais veut en finir avec l’Europe« . A ce sujet, les sondages signalent de fortes fluctuations dans l’opinion. Début 2013, la moitié des Britanniques se déclaraient ainsi favorables à un départ selon une enquête réalisée pour le Financial Times. Plus récemment, un sondage YouGov pour le Sunday Times  signael que si un référendum sur le sujet avait lieu, 40% des électeurs d’outre-Manche voteraient « non » et 34% « oui ».  L’ex-chef du gouvernement français se montre particulièrement critique vis-à-vis du monde de la finance britannique qu’il juge responsable des blocages:  « Les élites anglaises ont peur de l’isolement qui en résulterait, susceptible d’affaiblir la City. Mais la banque anglaise fait partie des facteurs paralysants aujourd’hui, elle est hautement plus spéculative que les autres. C’est une paralysie pour l’économie réelle ».  Le Premier ministre David Cameron a promis de consulter les Britanniques sur ce sujet en cas de victoire des conservateurs lors des prochaines élections législatives en 2015. .  Dans l’opposition, Ed Miliband, le chef de file des travaillistes a réaffirmé sa position europhile dans les colonnes du Financial Times.  »Nous croyons fermement que le futur du Royaume-Uni est dans l’Union  », a-t-il affirmé. Le socialiste Michel Rocard, lui y croit beaucoup moins…

Les leaders battus au Royaume Uni démissionnent…..pas en France !

 

 

C’est  la grande différence, dans la plupart des grands pays démocratiques les leaders des formations battues démissionnent et même souvent quittent la politique. Rien à voir avec la France où les leaders restent à vie. Ce qui explique que  la plupart des membres de l’oligarchie exercent des fonctions politiques de 30 à 80 ans ! En France,  ce n’est pas uen fonction d’intérêt générale mais un vrai job ; Lucratif en plus quand on peut cumuler différents mandats et bénéficier de quelques avantages occultes ( voir à cet égard les réticences des parlementaires à diffuser l’état de leur fortune,  à commencer par Bartolone, de gauche mais quand même il y a des limites ! Finalement en France On va retrouver sans doute en 2017 Sarkozy, Hollande , Bayrou, de vieux routiers de la politique usés jusqu’ à la corde par les manouvres d’appareil, sans grande conviction et sans grande vision. Pas étonnant que Marine Lepen qui surfe sur toutes contradictions ramassent la mise alors quelle n’a  strictement aucun programme économique pertinent , au-delà aucun programme politique crédible. N’importe quel jeune aboyeur battrait aujourd’hui nos vieux politiciens usés.. Au Royaume uni Les conservateurs de David Cameron obtenu la majorité absolue et  Devant ce triomphe, le leader du Parti travailliste, Ed Miliband, a démissionné ainsi que les chefs de l’Ukip et des « Lib-Dems » !

Royaume–Uni : net tassement de la croissance

Royaume–Uni : net tassement de la croissance

 

Un tassement surprise de la croissance au Royaume Uni, seulement 0.3% au premier trimestre ( 0.4% pour la France). Le PIB britannique a progressé sur les trois premiers mois de 2015 de 0,3 % seulement, contre 0,9 % au trimestre précédent. . C’est la plus faible croissance enregistrée par le pays depuis le dernier trimestre 2012. Le ralentissement est général dans tous les secteurs de l’économie, avec un recul de l’industrie manufacturière (- 0,1 % sur un trimestre) et dans la construction (-1,6 %). Quant au secteur des services, fer de lance de l’économie britannique, sa croissance passe de 0,9 % à 0,5 %, principalement, selon l’ONS, l’Insee britannique, en raison de la stagnation de l’industrie financière sur le trimestre (+0,1 % contre +1,3 % au dernier trimestre de 2013). Le bilan de l’économie britannique sur un an reste cependant très bon. Le PIB demeure en effet 2,4 % plus élevé qu’au premier trimestre 2014. Au dernier trimestre 2014, l’évolution annuelle du PIB était de 3 %. Le ralentissement est donc évident. Il est sans doute trop tôt pour déduire de ce coup d’arrêt de ce premier trimestre que la tendance expansionniste de la croissance britannique va s’inverser. Les indicateurs avancés, comme l’indice PMI, restent très bien orientés, et certains économistes, comme ceux de BNP Paribas, s’attendent à une nette accélération au deuxième trimestre. Reste que ce coup d’arrêt traduit un certain nombre de fragilité de l’économie britannique. La « politique de l’offre » menée par la coalition dirigée par David Cameron n’a pas permis de réindustrialiser le pays, bien au contraire. La production industrielle demeure inférieure de 10 %. La productivité a stagné depuis 2010. L’économie britannique n’a guère augmenté sa compétitivité, et la hausse de la livre face à l’euro au premier trimestre 2015 a détruit le peu de croissance industrielle que le pays connaissait. Plus que jamais, donc, le Royaume-Uni dépend du secteur des services, donc de la finance et de la consommation des ménages. Si un de ces deux piliers ne tient pas, la croissance s’affaisse. En cela, la croissance britannique ne diffère pas réellement d’autres modèles de croissance européens de l’après-crise.

Attractivité : la France derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni

Attractivité : la France derrière  l’Allemagne et le Royaume-Uni

La France a connu une hausse du nombre d’implantation d’entreprises étrangères en 2013 mais reste décrochée par l’Allemagne et le Royaume-Uni. La France suit le mouvement, mais ce n’est pas suffisant. Selon le baromètre annuel du cabinet Ernst & Young, la France a connu en 2013 une hausse du nombre d’implantation d’entreprises étrangères. L’an dernier, 514 sociétés se sont ainsi installées dans l’hexagone, contre 471 en 2012.  Après un décrochage très net initié en 2009, la France connaît donc un regain d’attractivité, à l’instar de toute l’Europe. Le Vieux continent a repris des couleurs en 2013 avec un nombre record d’implantation d’entreprises étrangères. Mais la France est encore distancée par l’Allemagne et le Royaume-Uni, respectivement cœur industriel et cœur financier du continent, dont le redressement est plus spectaculaire. 

 

Croissance : le Royaume-Uni champion d’Europe

Croissance : le Royaume-Uni champion d’Europe

Pour la zone euro dans son ensemble, Bruxelles voit une réelle éclaircie, avec une croissance de 1,2% pour 2014 et 1,8% en 2015. De même, le chômage devrait enfin refluer avec 12% en 2014 et 11,7% en 2015. Par ailleurs, alors que l’inflation reste actuellement à un niveau très bas, Bruxelles ne croit pas au scénario d’une baisse des prix, tablant sur des chiffres de 1% pour 2014 et 1,4% pour 2015. La Commission européenne souligne la performance allemande, voyant sa croissance accélérer à 1,8% en 2014 (plus de double de la France) puis à 2% en 2015. Dans le même temps le chômage baisserait légèrement et le déficit se maintiendrait à 0%, selon ses projections. Néanmoins, le véritable champion  resterait le Royaume-Uni avec une croissance de 2,5% l’année prochaine, un chômage qui baisserait jusqu’à 6,5% de la population active, et un déficit qui passerait de 6,3% en 2013 à 4,2% en 2015. Enfin, la troisième économie de la zone euro, l’Italie, verrait elle sa croissance se redresser à un rythme plus lent (+0,6% en 2014 et 1,2% en 2015) et le chômage resterait au-dessus des 12% (12,4% en 2015). La bonne nouvelle est que la Commission voit le stock de dette, lourd fardeau que porte le pays, diminuer  

 

Royaume-Uni : première puissance économique d’Europe en 2030 ?

Royaume-Uni : première puissance économique d’Europe en 2030 ?

Selon une étude du Centre pour la recherche économique et commerciale (CEBR) publiée ce jeudi 26 décembre par le Daily Telegraph, le Royaume-Uni deviendra la première puissance économique en Europe d’ici à 2030. Selon ce cercle de réflexion (Think Tank), le Royaume-Uni passera devant la France en 2018 avant de doubler l’Allemagne vers 2030, mais, au niveau mondial, il sera lui-même dépassé par l’Inde et le Brésil au même moment. « Il est prévu que l’Allemagne perde sa place en tant que première économie d’Europe de l’ouest au profit du Royaume-Uni aux alentours de 2030 en raison du développement plus important de sa population et de sa dépendance moindre vis-à-vis des autres économies européennes », indique l’étude. « Si l’Euro venait à chuter, les perspectives de l’Allemagne deviendraient nettement meilleures », affirme-t-elle. « Une Allemagne basée sur le Deutsche Mark ne serait certainement pas rattrapée par le Royaume-Uni avant des années », toujours selon l’étude. Si l’Euro venait à chuter, les perspectives de l’Allemagne deviendraient nettement meilleures.  Le président du CEBR Douglas McWilliams, affirme que l’économie du Royaume-Uni pourrait même encore se développer plus vite si le pays venait à quitter l’Union européenne. « A court terme, l’impact (d’une sortie de l’UE) serait sans aucun doute négative » dans un premier temps, « mais mon sentiment est que passé une quinzaine d’années, il deviendrait probablement positif », a déclaré M. McWilliams au Daily Telegraph.

 

Royaume-Uni : aide aux PME

Royaume-Uni : aide aux PME

« La plus grosse coupe fiscale » dans le budget 2013 du Royaume-Uni profitera aux PME. Le ministre britannique des Finances, George Osborne, l’a souligné mercredi lors de la présentation du texte pour 2013-2014, qui comporte notamment une mesure d’exonération de charges salariales patronales, destinée à favoriser l’emploi. Quelque 450.000 PME devraient bénéficier de la suppression de la première tranche de cotisations nationales à l’assurance retraite britannique (une part résiduelle étant également affectée à ce que recouvrent en France les assurances chômage et santé). Cet allègement de 2000 livres sterling par employé permettrait à un tiers des employeurs britanniques de ne plus payer aucune charge salariale, selon les estimations du chancelier de l’Echiquier. Au total, les recettes du royaume, elles, seraient amputées de 6 milliards sur cinq ans. Les milieux patronaux ont plutôt bien accueilli cette annonce, même s’ils regrettent l’entrée en vigueur tardive (dans douze mois) de la mesure. Par ailleurs, un cadeau fiscal a été fait aux grandes entreprises: leur taux d’imposition va passer progressivement de 28% à 20% en 2015, avec une première réduction à 24% dès le mois prochain. Il en coûtera 400 millions de livres sterling à l’Echiquier lors de l’année fiscale 2015-2016, et le double dès l’année suivante. Pour mémoire, en France, le taux d’imposition sur les sociétés s’élève à 34%, et à 40% aux Etats-Unis.

 

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