Archive pour le Tag 'Royal'

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L’écologie doit être positive et non punitive (Ségolène Royal )

L’écologie doit être positive et non punitive (Ségolène Royal )

 

Ségolène Royal a sans doute marqué de nombreux points en redéfinissant le concept même de la politique écologique ; La ministre a déclaré dimanche que l’écologie devait être « une solution, pas une punition » et indiqué qu’elle ne souhaitait pas que la première décision du gouvernement de Manuel Valls soit un impôt nouveau. Invitée du Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro, elle n’a pas été toutefois jusqu’à enterrer l’écotaxe poids lourd, dont le précédent gouvernement de Jean-Marc Ayrault a suspendu l’entrée en vigueur face à la fronde des « bonnets rouges » en Bretagne. « L’écologie, la protection de l’environnement doit être quelque chose de positif, d’enthousiasmant. C’est une solution, pas une punition et je ne voudrais pas que la première décision du nouveau gouvernement soit un impôt nouveau », a-t-elle dit. Elle a ajouté que le gouvernement attendait, avant toute décision, le rapport de la mission d’information parlementaire sur l’écotaxe, dont le produit doit servir au financement d’infrastructures de transport. « Nous verrons, et je ne vais pas décider toute seule », a souligné l’ancienne présidente de la région Poitou-Charentes. Interrogée sur sa politique en matière d’énergie nucléaire, elle a confirmé la fermeture de la centrale alsacienne de Fessenheim avant la fin du quinquennat, comme s’y est engagé François Hollande. « Cette feuille de route est parfaitement claire, donc les choses seront faites comme cela a été dit », a-t-elle assuré. A la question de savoir si d’autres centrales devraient fermer pour atteindre l’objectif de ramener à 50% l’électricité d’origine nucléaire à l’horizon 2025 en France, Ségolène Royal a répondu : « On verra ce qu’il faudra faire. (Mais) l’urgence est qu’il faut d’abord monter en puissance sur les énergies renouvelables (…) je pense que la priorité est le développement des énergies durables ». Elle n’a pas voulu commenter une information selon laquelle Manuel Valls aurait promis à Europe Ecologie-Les Verts de ne pas construire de nouveau réacteur EPR après celui de Flamanville (Manche), déclarant : « C’est à lui de confirmer. Je n’ai pas d’avis sur le sujet. » Sur un autre sujet controversé, l’exploitation des gaz de schiste, elle a exclu de l’autoriser « dans l’état actuel des technologies (…) parce que ce sont des technologies dangereuses ». Mais elle a aussi estimé qu’il ne fallait « jamais fermer des perspectives de recherche » sur de nouvelles techniques. S’agissant du nouvel aéroport de Notre-Dame-des-Landes à Nantes, dont elle n’a jamais été un chaud partisan, la nouvelle ministre de l’Ecologie a réaffirmé qu’il fallait d’abord attendre le résultat des recours engagés avant de prendre une décision. « J’ai toujours pensé que le dialogue devait se renouer autour d’un projet qui a été élaboré avant même que le TGV Nantes-Paris existe et qu’il fallait peut-être mettre les choses à plat. »

 

Sondage Ségolène Royal à l’écologie : 59% pour l’Ecologie

Sondage Ségolène Royal  à l’écologie : 59% pour l’Ecologie

 

Alors que Valls ne bénéficie que d’un soutien de 41%, retour en fanfare et véritable résurrection politique pour Ségolène Royal qui s’est par ailleurs prononcée contre l’écotaxe.  Six Français sur dix approuvent la nomination de Ségolène Royal comme ministre de l’Ecologie, selon un sondage IFOP pour le Journal du dimanche. 59% des sondés approuvent ce choix (19% « tout à fait » et 40% « plutôt »), contre 41% qui désapprouvent.  Dans le détail selon cette étude, les sondés proches du PS sont favorable à ce choix à 81%, tandis qu’ils approuvent à 67% chez les sympathisants d’Europe Ecologie-les Verts.  Sondage effectué par téléphone les 4 et 5 avril sur un échantillon de 969 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

 

Heuliez: duel Montebourg-Royal

Heuliez: duel Montebourg  -Royal

A l’agonie depuis six ans et trois dépôts de bilan successifs, Heuliez voit une nouvelle fois son avenir s’assombrir. Alors que le tribunal de commerce de Niort doit examiner, ce lundi 23 septembre, les éventuelles offres de reprise de l’équipementier, Arnaud Montebourg a en effet tenu un discours loin d’être rassurant. Interrogé sur itélé, ce lundi matin, sur une éventuelle intervention de l’Etat, le ministre du Redressement productif a ainsi déclaré: « Ca fait trois fois qu’on a aidé »! »Nous ne sommes pas là pour mettre des ressources rares dans des entreprises qui n’ont pas d’avenir », a-t-il ajouté, soulignant que de l’argent public avait « déjà » été injecté dans l’entreprise, actuellement en redressement judiciaire.  Des propos qui rappellent étrangement ceux de Nicolas Dufourcq, le directeur général de la Banque publique d’investissement. Ce dernier avait affirmé que « pour les entreprises en décroissance sur des marchés en déclin, il n’y a(vait) pas de solution ». »Si, chez Heuliez, nous arrivons à trouver des solutions avec des pourvoyeurs d’ordres, des commandes, cela sera très facile. Or, le problème aujourd’hui, c’est que nous n’arrivons pas avec cette entreprise à trouver et garantir un avenir avec des commandes », a encore déclaré Arnaud Montebourg.Il a écarté l’option d’une nationalisation, qui avait été évoquée pour les hauts-fourneaux d’ArcelorMittal de Florange (Moselle), mis à l’arrêt en avril. « Florange était une entreprise qui garantissait de la rentabilité », a fait valoir le ministre. Le problème est qu’Heuliez n’est pas n’importe quelle entreprise. Ségolène Royal, la présidente PS de la région Poitou-Charentes, y est en effet très attachée, et milite en faveur d’une nouvelle intervention de sa collectivité après un premier sauvetage il y a quatre ans. A l’époque, la région était entrée au capital de l’entreprise à hauteur de cinq millions d’euros. Cette fois, ,le Conseil régional a voté, le 13 septembre dernier, en faveur de la création d’une société d’économie mixte (SEM) dont le but sera de soutenir l’entreprise. « On n’a pas le droit de laisser tomber Heuliez », avait alors déclaré  Ségolène Royal aux élus. « Seule la région peut maintenir Heuliez à flot en attendant une éventuelle commande. Il y a un contexte transitoire à aménager. Il faut tenir en attendant ».

 

Royal blessée par Batho…. il faut porter plainte

Royal blessée par Batho…. il faut porter plainte

Royal n’en rate pas une : une occasion de faire parler delle ; là surtout pour montrer sa servilité à l’égard de Hollande et dans l’espoir d’un portefeuille. La présidente de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, s’est dite blessée par le comportement à son égard de l’ex-ministre de l’Écologie, Delphine Batho, et a indiqué qu’une entrée au gouvernement «n’entre pas dans ses projets» dans une interview au Courrier de l’Ouest à paraître lundi. «Delphine Batho ne m’a plus adressé la parole depuis ma défaite aux primaires» du PS en 2011. «Elle n’a jamais décroché son téléphone, ni répondu aux messages que je lui envoyais. Cette attitude, je l’ai trouvée extrêmement blessante. C’est quand même moi qui lui ai offert une circonscription que j’avais prise à la droite en 1988 et que j’avais durablement installée à gauche», a déclaré Ségolène Royal au sujet de son ancienne porte-parole de la campagne présidentielle 2007. A propos des déclarations de l’ex-ministre de l’Écologie après son éviction du gouvernement Ayrault, Ségolène Royal a estimé que «si elle a eu si peu de soutien, c’est qu’elle s’est mal comportée sur le plan humain, vis-à-vis de Jean-Marc Ayrault, ce qui a beaucoup choqué». La «solidarité gouvernementale» était selon elle «nécessaire». Par ailleurs, la présidente de Poitou-Charentes a annoncé sa volonté de briguer un nouveau mandat lors des élections régionales de 2015. «Ma préoccupation actuelle, c’est la région. D’ailleurs, les élections régionales, c’est pour 2015. Il va falloir commencer à y songer, et je compte bien être candidate», a-t-elle annoncé. Quant à une éventuelle entrée au gouvernement «ça n’entre pas dans mes projets», a-t-elle répondu. «D’ailleurs, il n’y a pas de remaniement ministériel en vue», a-t-elle noté. Ségolène Royal a également dit qu’elle se rendrait à La Rochelle pour l’université d’été du PS «comme présidente de région». Elle était absente l’an dernier. Elle s’était rendue en Afrique du Sud pour préparer le congrès de l’Internationale socialiste, une organisation dont elle est vice-présidente. Ségolène Royal, qui visait un siège de députée à La Rochelle après avoir cédé en 2007 à Delphine Batho celui de Melles qu’elle détenait dans les Deux-Sèvres, avait été battue en 2012 par un dissident du PS, Olivier Falorni

 

Royal : « Notre-Dame-des-Landes sera très difficile à faire » ; à peine faux cul !

Royal : « Notre-Dame-des-Landes sera très difficile à faire » ; à peine faux cul !

Royal qui prône le courage dans ses livres comme toute bonne énarque parle pour ne rien dire à propos des sujets concrets. . Ségolène Royal (PS), présidente de la région Poitou-Charentes, a en effet estimé dimanche que la construction de l’aéroport Notre-Dame-des-Landes, « sera très difficile à faire » et a jugé qu’il fallait « sortir par le haut » de ce problème.  Invité du Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro, Mme Royal était interrogée sur un parallèle qu’elle établit dans son livre, « cette belle idée du courage », entre la contestation du projet d’aéroport et le combat qu’elle avait mené pour la préservation du Marais Poitevin.   »Mon sentiment, c’est que s’il y a de la tension, ce sera très difficile à faire » -a-t-elle dit dimanche au sujet de ce projet d’aéroport voulu par le Premier ministre Jean-Marc Ayrault.   »Aujourd’hui, les gens n’acceptent plus les formes de tension extrême, de combats, de violence… ce n’est pas possible. Donc, ce qu’il faut c’est sortir par le haut et trouver des solutions en s’écoutant, se respectant, en se comprenant », a ajouté à ce sujet l’ancienne candidate à la présidentielle.

 

Ségolène Royal demande au gouvernement d »aller plus vite » ; dans le mur ?

Ségolène Royal demande au gouvernement d »aller plus vite » ; dans le mur ?

L’ex -candidate à la présidentielle dresse un bilan plutôt sévère de l’an I du quinquennat et notamment des cent premiers jours; elle ne fait que récupérer les crtiques de la majorité des français et n’avence guère de propositions précises et crédibles.    »Il aurait fallu aller beaucoup plus vite : le mariage pour tous aurait dû être fait l’été dernier, de même que la réforme de la décentralisation. Il fallait réformer par ordonnances dès le début », affirme-t-elle au Monde.  Sur l’emploi, priorité des priorités, elle assène: « Il y a l’idée que les réformes faites dans (ce) domaine (…) ne sont pas à la hauteur des enjeux ».  Car selon celle qui est devenue vice-présidente de la Banque publique d’investissement (BPI), « les emplois d’avenir et les contrats de génération, c’est très bien, mais tout le monde sait que cela ne suffit pas. Il faut impérativement une bataille globale sur l’emploi ».  Pour expliquer la perte de confiance subie par l’exécutif, Mme Royal invoque « le sentiment que du temps a été perdu ».  Le non-cumul des mandats, « il faut avoir le courage de le faire maintenant », déclare encore Mme Royal, qui demande aussi de ne « pas reculer sur les class actions ».   »Beaucoup de choses ont été faites », reconnaissait-elle sur TF1, mais « on est dans une phase où il faut maintenant accélérer, fixer sans doute deux trois grandes priorités bien claires ».  Dans deux autres domaines encore Mme Royal se montre peu amène avec l’exécutif conduit par son ancien compagnon François Hollande: « Depuis un an, le rapport au pouvoir n’a guère changé, et, en matière de « mutation écologique, « c’est l’inertie depuis un an alors que les collectivités locales agissent beaucoup ».  Autre pique lancée au gouvernement de Jean-Marc Ayrault: « les zizanies entre ministres », dit-elle sur France-Inter. « Il faut que le gouvernement trouve vraiment un esprit d’équipe. Qu’il n’y ait plus de dissensions », lance-t-elle.  Qu’en est-il de son propre avenir politique, alors que François Hollande a récemment évoqué l’hypothèse d’un remaniement gouvernemental ? Mme Royal assure que l’hypothèse de son entrée au gouvernement n’est « pas d’actualité » et qu’elle sera candidate à sa succession à la tête du conseil régional de Poitou Charentes en 2015  Mais, elle livre, au passage, une dernière remarque, à décrypter comme une critique ou comme une requête : « Ce n’est un mystère pour personne qu’il y a des domaines où une restructuration est nécessaire, comme par exemple la vaste galaxie de Bercy ».  Dans son dernier opus « Cette belle idée du courage » qui sort mercredi (Grasset) – un hommage à une vingtaine de personnalités comme Nelson Mandela, Lula, Jean Jaurès ou encore Soeur Emmanuelle – elle n’en dit guère plus mais confie en filigrane qu’elle a puisé « courage » et « énergie » auprès de ces « passeurs de courage » pour continuer à avancer.  Celle qui a subi les sérieux revers d’un maigre résultat à la primaire socialiste de 2011 et d’un échec cuisant aux législatives de 2012 à La Rochelle intitule d’ailleurs l’introduction « panser ses plaies et repartir ».   »L’effet décapant d’une défaite peut éroder jusqu’aux raisons de se battre ou, au contraire, les fortifier (…) et permettre d’inscrire le moment douloureux dans une perspective plus large, en cherchant à faire primer le destin collectif sur la mésaventure personnelle », écrit-elle, semblant pencher pour la deuxième voie. On se souvient qu’au soir de la défaite du 6 mai 2007, devant des supporters sonnés, elle avait lancé à Solférino : « Quelque chose s’est levé qui ne s’arrêtera pas! ». « Femme debout » était le titre d’un autre ouvrage, en 2009.

 

Royal : « pas désignée par le gouvernement » ? Si, pour éviter qu’elle ne redevienne ministre

Royal : « pas désignée par le gouvernement » ? Si, pour éviter qu’elle ne redevienne ministre

Ségolène s’est crue obligée de faire une mise au point sur sa nomination comme vice présidente de la nouvelle BPI. Personne n’y croit en réalité ; En effet après avoir exprimé assez fort (trop fort sans doute) son désir de revenir aux affaires nationales Hollande était particulièrement embarrassé compte tenu de relations déplorables entre Ségolène et Trierweiler. Hollande contourne ainsi l’obstacle en la nommant à la BPI. Ceci étant, Ségolène Royal (PS) a souligné qu’elle avait été « désignée par l’Association des régions de France » pour siéger au conseil d’administration de la BPI et « pas par le gouvernement », réfutant des déclarations de l’opposition dénonçant une « république des copains ». « Je siège à ce Conseil d’administration en tant que présidente de région, désignée par l’Association des régions de France et pas par le gouvernement », a déclaré la présidente du conseil régional de Poitou-Charentes.

 

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Royal revient pour sauver le gouvernement : la retourtitude ou l’avenir c’est demain

Royal revient pour sauver le gouvernement : la retourtitude ou l’avenir c’est demain

 

Il faut que le gouvernement soit bien malade pourqu’on envisage le retour de Royal ; « On » en fait, c’est Royal elle-même qui visiblement s’ennuie sans siège de députée et marginalisée au PS. Elle affirme être sur le bord de la touche et être prête à renter sur le terrain. Pas sûr que la compagne de Hollande voit ce retour du très bon œil ; Hollande qui cherche toujours le compromis ambigu pourrait bien à la place non pas la recruter dans son équipe mais la transfèrer dans un poste international- de type Hulot- sur un thème intemporel comme » l’avenir c’est demain ». Un sujet qui correspond bien à la personnalité ésotérique de l’intéressée. Depuis deux semaines, elle ne cesse de distiller des indices sur son envie d’ »intégrer le dispositif », une expression qu’elle martèle comme un leitmotiv. Et si « l’ex », comme on l’appelle à l’Elysée, se refuse à dire explicitement qu’elle rêve d’un maroquin, elle ne dément jamais l’ambition qui lui est prêtée par les médias. Tout juste glissait-t-elle, mi-décembre à Europe 1, qu’elle « n’est pas pressée ».  En attendant, elle se prépare et file la métaphore pour justifier sa position de recours : « quand on est en politique, on ne s’interdit rien […]. C’est comme dans une équipe : quand on est sur le bord de touche, on peut entrer sur le terrain. Si une possibilité s’ouvre à moi… », admettait-elle la semaine dernière en marge de la présentation de son budget en Poitou-Charentes. « Sego » la sportive ronge donc son frein sur le banc et attend que le match se durcisse pour faire son entrée en jeu. Les hésitations du gouvernement pourraient lui faciliter la tâche.. Ses troupes sont au garde-à-vous. Isolée au sein du Parti socialiste où, doux euphémisme, elle compte plus d’ennemis que d’amis, Ségolène Royal compte néanmoins des soutiens fidèles. Ces derniers ont décidé de monter au front pour réclamer le retour de leur championne. Guillaume Garot fait partie de ceux là. Le ministre délégué à l’Agroalimentaire a commencé son lobbying en août dernier en assurant qu’ »il n’y aura pas de réussite du quinquennat sans Ségolène Royal ». Il en remet une couche en cette fin d’année en parlant, lundi sur RMC-BFMTV, d’ »une femme d’Etat de grande expérience politique et nous devons faire en sorte que chacun puisse trouver sa place dans ce dispositif. C’est à François Hollande et Jean-Marc Ayrault de trouver la place et le moment avec Ségolène Royal. Mais les choses se feront naturellement ».

 

Aubry et le rôle de Trierweiler : «Je pense qu’il faut qu’elle soit plus discrète.» ; Non, qu’elle ferme sa G….

Aubry et le rôle de Trierweiler : «Je pense qu’il faut qu’elle soit plus discrète.» ; Non, qu’elle ferme sa G….

 

La Première dame a-t-elle commis une faute ? Interrogée par Jean-Michel Aphatie, sur RTL, la patronne du PS balaie la question. «Je pense qu’il faut qu’elle soit plus discrète. Jean-Marc Ayrault l’a dit et il a raison»  Martine Aubry souligne aussitôt : «Les Français ont d’autres problèmes. (…) On peut considérer que cette fois Aubry s’est montrée mesurée ; en fait, l’attitude de Trierweiler est tout simplement inadmissible, incohérente et même suicidaire. Elle n’est pas mariée à Hollande et s’attribue ainsi un rôle sans aucune légitimité démocratique et il faut bien le dire sans compétence. Si l’on veut bien considérer que journaliste politique  « Paris match »  relève davantage de la spécialité mondaine que du journalisme proprement dit. Il s’agit tout simplement d’un pétage de plombs nourri par une jalousie maladive. Hollande aura intérêt à la recadrer rapidement pour éviter une bavure qui pourrait être contraire aux intérêts de la France.

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