Archive pour le Tag 'Royal'

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Autoroutes gratuites : une illusion de Ségolène Royal

Autoroutes gratuites : une illusion de Royal

 

Jusqu’ à ces deniers  jours, Royal avait adapté le costume du ministre modèle évitant le moindre couac de communication. Du coup on lui décerné sans doute une peu hâtivement un brevet de «  compétititude ». En lançant l’idée des autoroutes gratuites les dimanches, Ségolène retombe dans ses travers fantaisistes et approximatifs. Elle passe du statut pro  de la politique à celui d’amateur. L’idée est évidemment ridicule ; pourquoi les dimanches et pas les autres jours et surtout pourquoi la gratuité. En fait royal veut taxer les autoroutes. Sur ce point elle a raison car les profits des autoroutes sont scandaleux. La faute en revient à l’Etat qui a bradé les autoroutes au privé en les vendant environ 30% en dessous de leur valeur (soit un manque à gagner d’environ 10 milliards)  et qui s’est trompé dans ses calculs d’estimations économiques. L’idée de taxer les autoroutes avait fait régir négativement Valls, Sapin et  Macron très prudents  quand il s’agit des intérêts des grands groupes financiers que sont Vinci, Effiage et autres. La taxation des autoroutes. Une idée « difficilement envisageable», avait indiqué   indique Matignon. Au terme d’une réunion avec les sociétés d’autoroute, Manuel Valls a souhaité sur le perron de Matignon parvenir « dans les prochaines semaines » à un accord « profitable à tous » sur les concessions des sociétés d’autoroute en France. « Cette réunion a été utile parce qu’il faut bâtir un partenariat gagnant-gagnant entre l’État [et] les sociétés concessionnaires des autoroutes. La parole de la France évidemment, sera honorée, ne sera jamais remise en cause », a déclaré le Premier ministre à la presse.  Après la suspension sine die jeudi dernier du dispositif d’écotaxe sur les poids lourds, Ségolène Royal a indiqué vouloir compenser le manque à gagner en prélevant sur les profits des autoroutes. Le ministre des Finances Michel Sapin avait néanmoins pointé la difficulté de taxer les sociétés autoroutières en raison de la solidité des contrats de concession signés par ces groupes. « Il ne s’agit pas de créer une taxe. Puisque je fais une taxe, elles vont en effet la répercuter. Ça suffit. Les discussions vont commencer pour les mettre devant leur responsabilité », a déclaré de manière assez confuse Ségolène Royal. Tout cela se terminera sans doute comme habitude par un accord sur la tarification des autoroutes, l’engagement de nouveaux travaux en échange  d’un nouvel allongement des concessions.

Autoroute A831 : Valls contre Ségolène Royal

Autoroute A831 : Valls contre  Ségolène Royal

 

. Le Premier ministre a autorisé jeudi le lancement de la procédure de consultation sur la réalisation de l’autoroute A831, à laquelle s’oppose Ségolène Royal, sans toutefois préjuger de sa construction. Sous certaines « réserves » qu’il énumère, Manuel Valls déclare que « le gouvernement n’a pas d’objection à ce que la procédure de consultation soit lancée afin de connaître le coût de cet ouvrage ».  Sa position fait l’objet d’une lettre rendue publique par des élus qui l’avaient saisi après que la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, eut exprimé son hostilité au projet. Le Premier ministre rappelle que, en raison de « l’insertion environnementale délicate « du projet, « des modifications substantielles » au projet initial ont été apportées et il demande qu’elles soient « portées à la connaissance du public ». Il demande aussi d’ »inscrire encore davantage le projet dans une démarche de développement durable ». Enfin, « il conviendra de chiffrer parallèlement la solution alternative » de contournement de la zone écologiquement la plus sensible (le Marais poitevin) évoquée par Mme Royal. »C’est en conclusion de ce processus que sera prise la décision de réaliser ou non l’A831″, destiné à relier Fontenay-le-Comte (Vendée) à Rochefort (Charente-Maritime), conclut Manuel Valls.  Plusieurs grands élus de l’Ouest de la France, issus des rangs de la droite et de la gauche, avaient écrit à Manuel Valls le 28 juillet pour réclamer que l’Etat autorise les élus locaux promoteurs du projet à « aller jusqu’au bout de la procédure de consultation ». Ségolène Royal avait annoncé samedi qu’elle ne lancerait pas la procédure d’appel d’offres de cet ouvrage. « On ne va pas refaire Notre-Dame-des-Landes dans le Marais poitevin ! », avait-t-elle affirmé au micro d’Europe 1, faisant référence au conflit entourant le projet de construction de ce nouvel aéroport en Loire-Atlantique. La décision de Manuel Valls est « une excellente nouvelle dont nous nous réjouissons », souligne le député socialiste Hugues Fourage avec le député UMP Dominique Bussereau, le président PS de la région Pays-de-la-Loire Jacques Auxiette et celui du Conseil général de la Vendée, le sénateur UMP Bruno Retailleau dans un communiqué commun.

 

Royal dit non au projet d’autoroute dans l’Ouest

Royal dit non au projet  d’autoroute dans l’Ouest

 

Ségolène Royal n’est pas favorable à la construction d’une autoroute de 60 km entre Fontenay-le-Compte (Vendée) et Rochefort (Charente-Maritime). Une obstruction liée, selon la ministre, à la protection de l’environnement mais également aux difficultés de financement de l’autoroute. Son coût est estimé à 900 millions d’euros, dont 137,5 millions d’euros pris en charge par l’État. L’autoroute A831, a-t-elle rappelé, doit traverser le Marais poitevin, qui a retrouvé en 2014 le label de Parc naturel régional, perdu en 1996. Le projet avait reçu en 2011 le feu vert de l’ancien Premier ministre François Fillon. « Je ne transmettrai pas le dossier de consultation technique aux entreprises », en vue d’un appel d’offres, a-t-elle déclaré samedi 26 juillet à l’AFP, confirmant des propos tenus au quotidien Sud Ouest. Pour être mené à bien, ce projet doit obtenir le feu vert du ministère de l’Écologie. « L’enquête d’utilité publique date de dix ans. Il faudrait refaire l’ensemble des études », a-t-elle déclaré. « Par ailleurs, elle a été classée dans les équipements non prioritaires. l’État ne cofinancera pas ces infrastructures ».  »J’appelle au sens des responsabilités », a-t-elle déclaré à l’attention d’élus locaux favorables au projet et notamment de Dominique Bussereau, président UMP du Conseil général de Charente-Maritime, en évoquant l’impact d’un tel projet sur les finances locales. Selon Ségolène Royal, dans la hiérarchie des projets, le département a d’abord besoin d’électrifier deux voies de train, d’améliorer la desserte du port de la Rochelle notamment. Une solution est en outre possible en améliorant la route nationale qui passe par Marans, au nord du département.  Jacques Auxiette, président socialiste de la Région des Pays-de-la-Loire, s’est pour sa part étonné de cette décision :  »La déclaration de Madame Royal intervient de façon totalement improvisée tandis que les services de l’État, mais aussi ceux des collectivités locales, travaillent en étroite collaboration depuis des semaines à la finalisation du projet », a-t-il expliqué.  »J’ai rencontré Michel Sapin pour examiner les conditions de financement des travaux de l’autoroute dont la construction créera de l’emploi, et dont la mise en service apportera de l’activité dans le Sud de la Vendée ». Selon lui, comme d’après Dominique Bussereau, qui s’est exprimé dans Sud Ouest, le coût réel du projet reste à évaluer et le contournement du Marais poitevin était déjà pris en compte. De son côté, Bruno Retailleau, sénateur (UMP) et président du Conseil général de Vendée, a accusé « Ségolène Royal de mentir et de mépriser le peuple dont elle tire pourtant, en tant qu’élue, sa seule légitimité ». Dénonçant en la ministre de l’Ecologie, « l’archétype d’une caste politicienne (…) que les Français rejettent », l’élu en appelle à Manuel Valls qui « ne peut pas tolérer de voir son autorité ainsi bafouée ». Le président du Conseil général de Vendée considère que « cette affaire est un couac de plus pour le gouvernement, mais surtout un véritable boulet qu’il va traîner pendant des mois ».  »Ce qui est en jeu, c’est l’intérêt général », assure l’élu qui promet: « si le gouvernement ne lance pas avant la rentrée l’appel d’offres (pour cet autoroute), il peut s’attendre à une véritable guerre de tranchées ».

Royal-Hollande histoire secrète : d’abord un mariage politique

Royal-Hollande histoire secrète : d’abord un mariage politique

Hollande et Royal sont surtout unis par les liens sacrés de la politique et cela depuis qu’ils sont sortis de l’ENA où ils se sont connus. Françoise Degois ancienne conseillère de Ségolène raconte l’histoire Hollande-Royal dans un livre.  Son récit débute en 1978, année où les deux futurs responsables politiques se sont rencontrés, au sein de la promotion Voltaire de l’ENA. Les copains de François Hollande surnomment alors Ségolène Royal « la geisha ». Les années défilent et Françoise Degois raconte l’ascension de deux animaux politiques, hors du commun.L’ancienne journaliste insiste sur l’importance de leur couple. Même séparés, ce lien a parfois prévalu dans leurs choix politiques. Comme ce 10 octobre 2011, quand Ségolène Royal, sèchement battue lors du premier tour de la primaire socialiste, doit choisir entre Martine Aubry et François Hollande, en lice pour le second tour. L’entourage de la présidente du Poitou-Charentes estime qu’elle va choisir la maire de Lille. Mais « Ségolène » et « François » se voient et il réussit à la convaincre. Elle ne pouvait « pas prendre une décision contre le père de ses enfants », écrit Françoise Degois. Entre deux digressions à la première personne, l’ancienne journaliste lâche quelques anecdotes inédites. Comme cette rencontre secrète entre DSK et Ségolène Royal en novembre 2010, quand le patron du FMI cherche à savoir si l’ancienne candidate à la présidentielle souhaitait repartir dans la course à l’Elysée. « On verra », lui répond l’élue poitevine. Quand DSK pose la même question à François Hollande quelques semaines plus tard, le député corrézien lâche aussi : « On verra. » Le cas de Valérie Trierweiler est aussi abordé. Mais Françoise Degois ne s’épanche pas sur le sujet. « Elle exige, elle obtient », écrit-elle à propos de celle qui n’est aujourd’hui plus première dame. Valérie Trierweiler apparaît sous un jour sévère, comme lors du grand meeting du Bourget, le 22 janvier 2012, où elle filtre les entrées devant la loge du candidat Hollande : « Toi tu rentres, toi tu ne rentres pas. Non, j’ai dit non. Il ne veut voir personne. » Est aussi évoquée la crise du « tweet destructeur », celui par lequel Valérie Trierweiler apporte son soutien à Olivier Falorni contre Ségolène Royal en pleine campagne législative. Quand elle apprend la nouvelle, la présidente du Poitou-Charentes ne peut y croire. C’est Martine Aubry, venue à La Rochelle ce jour-là, qui lui glisse : « Ségolène, c’est pas marrant mais il faut réagir tout de suite. Si tu veux, je le fais. » Cela n’a pas empêché la défaite « magistrale » qui a suivie. Paradoxalement, cet échec a permis à Ségolène Royal de renouer le dialogue avec celui qu’elle appelle désormais publiquement « le Président ». Deux ans plus tard, le chef de l’Etat envoie Jean-Yves Le Drian, son fidèle ministre de la Défense, pour négocier avec Ségolène Royal son entrée au gouvernement. Elle souhaite « un grand ministère de l’Intelligence », qui regrouperait Culture, Jeunesse et Education. Celui qui avait été proposé à Martine Aubry en mai 2012. François Hollande lui offre plutôt l’écologie. « A nouveau, ils roulent leur rocher ensemble », conclut Françoise Degois.

 

Tarifs EDF : S.Royal rétropédale mais la hausse aura lieu

Tarifs EDF : S.Royal rétropédale mais la hausse aura lieu

 

Ségolène a beau rétropédalé il y aura bien deux augmentations des tarifs du gaz.  Le rattrapage de facture d’électricité des Français rendu nécessaire par une décision du Conseil d’Etat pourrait être étalé sur 18 mois et il représenterait 27 euros au total, déclare la ministre de l’Energie, Ségolène Royal, dans un entretien publié samedi par Le Parisien. Le quotidien avait évoqué la veille une hausse de 30 à 45 euros des factures après l’invalidation le 11 avril par le Conseil d’Etat d’un arrêté limitant à 2% la hausse des tarifs d’électricité entre août 2012 et août 2013. « Nous demandons que ce rattrapage se fasse non pas en une fois, mais sur dix-huit mois, afin de lisser la dépense pour les ménages », a déclaré Ségolène Royal au Parisien. « Cela leur permettra de ne verser que 1,50 euro supplémentaire par mois sur leur facture sur cette période. Ce qui aboutira à un remboursement de 27 euros au total, en moyenne, étalé sur dix-huit mois et non reconductible », explique-t-elle, ajoutant que son ministère continue de négocier avec EDF pour définir les modalités du rattrapage. A la suite de sa décision du 11 avril, le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative française, avait donné deux mois au gouvernement pour décider d’un nouvel arrêté tarifaire. La décision finale concernera quelque 29 millions de clients EDF abonnés aux tarifs régulés de l’électricité, soit 92% des ménages. Ce rattrapage s’ajoutera à la hausse, inférieure à 5%, annoncée le 20 juin par le Premier ministre Manuel Valls qui interviendra à l’automne ( ).

 

Ségolène Royal: Transition énergétique très floue

Transition énergétique très floue

Une transition énergétique très floue qui fixe des objectifs mais sans préciser les moyens.  Ségolène Royal a présenté mercredi un projet de loi de transition énergétique axé notamment sur la rénovation des logements et les transports propres, mais qui remet à plus tard les décisions qui permettront de baisser le poids du nucléaire.  La quatrième ministre de l’Ecologie de François Hollande a réaffirmé la place de l’atome, soulignant que cette énergie, très controversée mais peu émettrice de carbone, allait aider la France à accomplir cette transition énergétique.   »C’est grâce à l’énergie nucléaire aujourd’hui, à la sécurité qu’elle apporte que nous pouvons accélérer et faire sereinement la transition énergétique », a dit la ministre lors de la conférence de presse de présentation de son projet de loi. Le nucléaire, très critiqué en raison des risques de sûreté et des investissements colossaux à réaliser sur le parc, représente une énergie de base, qui n’est pas intermittente et dont les coûts de production actuels restent compétitifs.   »Mais bien évidemment nous devons diversifier nos sources d’énergie », a ajouté Ségolène Royal, en confirmant l’objectif de campagne de François Hollande de réduire de 75% à 50% la part du nucléaire dans la production d’électricité à l’horizon 2025.  Le texte ne décrit pas la façon dont cet objectif sera atteint, ni l’âge auquel devront s’arrêter les réacteurs français, suscitant les critiques des opposants de l’atome. « En se fixant uniquement des objectifs sans mettre en place les outils pour les atteindre, le gouvernement laisse clairement la main à EDF sur les décisions énergétiques », dit Greenpeace.  Le projet prévoit un outil de réévaluation des besoins d’énergie, secteur par secteur, présenté tous les cinq ans dans une programmation pluriannuelle. En fonction de celle-ci, EDF décidera de l’évolution de ses installations. Le pouvoir pour l’Etat de fermer des centrales nucléaires, aujourd’hui uniquement détenu par EDF et par l’Autorité de sûreté nucléaire, ne figure pas dans le projet de loi comme l’avait pourtant annoncé François Hollande lors de la dernière conférence environnementale.   »On ne peut pas parler de transition énergétique quand on laisse EDF décider de la politique énergétique de notre pays à la place des parlementaires et à la place de l’Etat », a déclaré le député écologiste Noël Mamère, évoquant à propos de ce texte « une des grandes mystifications du quinquennat ».  Sans que son nom soit cité, la fermeture de Fessenheim est entérinée dans cette loi à travers le plafonnement de la capacité nucléaire à 63 gigawatts, son niveau actuel. Avec la mise en service de l’EPR de Flamanville en 2016, la plus vieille centrale du parc français devra ainsi fermer ses portes.  Avec le nucléaire, le modèle énergétique français est traditionnellement très centralisé, se confrontant par essence au développement des énergies renouvelables produites dans des unités plus petites, bâties sur des schémas régionaux et qui peuvent être utilisées localement voire autoconsommées.  Le texte prévoit un objectif de 32% de renouvelables dans la consommation d’ici 2030, bien au-delà des 23% actuellement fixés pour 2020 et sur lesquels la France accuse du retard. Les procédures de construction des parcs éoliens et photovoltaïques seront simplifiées par des autorisations uniques afin d’écourter les délais, jusqu’à trois fois plus longs en France que dans d’autres pays, a rappelé Ségolène Royal.  Surtout, plusieurs mesures permettront aux collectivités, notamment aux régions, d’appuyer le développement de ces énergies mais aussi de participer à la rénovation des bâtiments, qui engloutissent 44% de l’énergie consommée en France. Elles auront notamment la possibilité d’agir comme tiers financeur dans les travaux de rénovation et accéderont aux prêts « transition énergétique et croissance verte » mis en place par la Caisse des dépôts.  L’Association des Régions de France (ARF) a globalement salué le texte, estimant que la ministre n’avait « rien cédé sur l’essentiel malgré les pressions » tout en regrettant certains arbitrages qui devront être débattus devant le Parlement. Après plusieurs consultations, notamment devant le conseil d’Etat, le projet de loi devrait être examiné en commission à l’Assemblée nationale à l’automne, pour une adoption début 2015.

 

Sondage Royal : 49% des français contre sa politique

Sondage Royal : 49% des français contre sa politique

Visiblement Royal déçoit sitôt son arrivée au ministère de l’écologie, il faut dire qu’elle défend des positions assez brouillonnes et contradictoires sue le nucléaire, l’écotaxe ou encore le gaz de schiste. La fantasque ministre paraît désormais disqualifiée pour 2017. Dans un gouvernement peu populaire, Ségolène Royal s’en sort relativement bien aux yeux de l’opinion. Son action – qui débute – est approuvée par 47% des Français, selon un  sondage IFOP-JDD. « Elle réalise un score encourageant au regard de l’impopularité de l’exécutif », relève Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop. Caution de gauche, la ministre de l’Ecologie rassemble une majorité de sympathisants du Front de gauche et des Verts autour d’une image volontariste et populaire. Les déçus sont, sans surprise, des électeurs de droite (63%), qui rejettent massivement l’équipe Hollande-Valls. Aurait-elle un statut « à part » au sein du gouvernement? Non, répondent 59% des Français, même si une majorité d’électeurs UMP sont d’un avis contraire. En revanche, la finaliste de la présidentielle en 2007 n’apparaît plus en position de concourir pour l’Elysée. Seuls 31% des sondés (45% des sympathisants PS) considèrent qu’elle a l’étoffe d’un chef de l’Etat.

La transition énergétique : Royal « merdouille !

La transition énergétique : Royal « merdouille !

 

« Inutile de la cacher la politique énergétique du gouvernement n’est pas claire du tout, sur le nucléaire on va prolonger les centrales mais on ne sait pas jusqu’à quand, quand aux alternatives, elles attendront car la France n’a pas le financement, sans parler des autres contradictions. Royal n’est pas très claire non plus (exemple sur le gaz de schiste) ou sur l’écotaxe. La future loi d’orientation énergétique ne serait donc pas adoptée avant le printemps 2015. À l’origine, les grands principes de cette loi avaient été exposés lors de la conférence environnementale de septembre 2012. L’Élysée espérait encore que cette loi puisse être votée dans le courant de l’année 2013. Ce nouveau retard n’empêchera pas Ségolène Royal, la ministre de l’Énergie, d’exposer mercredi en Conseil des ministres les grandes lignes d’un texte consacré à la transition énergétique. Parmi les axes majeurs, il y a le repli programmé de la production d’électricité d’origine nucléaire. Celle-ci doit reculer de 75 à 50 % d’ici à 2025. Un repli qui prévoit notamment la fermeture de la centrale EDF de Fessenheim (Haut-Rhin) d’ici à 2016. Le délai supplémentaire désormais officialisé pour cette loi de programmation tient à plusieurs choses. D’une part, l’exécutif se rend compte de la difficulté de modifier en profondeur les grands équilibres énergétiques du pays. D’autre part, les Verts ayant quitté le gouvernement, celui-ci subit moins de pression pour trancher rapidement. Enfin, et surtout, la loi d’orientation énergétique bute sur de sérieux obstacles de financement. Or Ségolène Royal veut déployer un arsenal de mesures en faveur de l’efficacité énergétique, concernant notamment l’habitat.

Royal pour le gaz de schiste

Royal pour le gaz de schiste

 

Avec Royal, il faut s’attendre à tout et son contraire. Contre l’écotaxe par exemple mais peut-être pour le gaz de schiste, avec la prudence politique qui s’impose. Au fait elle connait quoi au gaz de schiste ? Rien sans doute, comme sur les autres sujets mais l’important est de parler chaque jour, pour préparer la succession de Hollande en 2017. Au fait elle n’a rien dit sur les trains SNCF trop larges pour être accueillis dans certaines gares !! Ah si, on a décidé qu’une enquête « interne » à la SNCF serait effectuée. Une grande décision évidemment ! Changement de dogme. La ministre de l’Ecologie et de l’Energie Ségolène Royal ne ferme pas la porte à l’extraction du gaz de schiste à condition que soient mises au point « de nouvelles technologies non dangereuses », dans un entretien vendredi au Parisien/Aujourd’hui en France. « Compte tenu des incertitudes, la France a raison d’appliquer le principe de précaution », insiste-t-elle, rappelant que « pour extraire le gaz, il faut en effet provoquer des explosions souterraines dont on ne maîtrise pas l’impact ». « On ne sait pas si ces fracturations hydrauliques ne risquent pas de provoquer des fuites de gaz dans les nappes phréatiques et de contaminer l’eau potable », ajoute Ségolène Royal. Toutefois, poursuit-elle, « moi, je ne suis pas dogmatique et si de nouvelles technologies non dangereuses apparaissent, pourquoi pas ? » Déjà en 2011, l’ancienne candidate à la présidentielle de 2007 avait jugé « nécessaire de poursuivre la recherche sur les procédés d’extraction propres à long terme ».

Ségolène Royal : « le gouvernement baisse enfin les impôts ! »

Ségolène Royal : « le gouvernement baisse enfin les impôts ! »

 

Ségolène Royal ne souhaite pas couler avec Hollande et se démarque. Après ses critiques au gouvernement de la semaine écoulée, elle récidive en déclarant qu’il est enfin temps de diminuer les impôts. . Elle s’est montré donc ce samedi satisfaite que le gouvernement baisse « enfin » les impôts, faisant œuvre une fois de plus de son franc-parler. C’est pourtant cette franchise qui l’a mise en mauvaise posture cette semaine, où elle a offert son premier « couac » au gouvernement Valls. La semaine avait plutôt bien démarré pour Ségolène Royal, portée par un sondage plutôt clément. Dimanche, dans le baromètre Opinion-Way du mois de mai, elle était dans le top 5 des ministres les plus populaires, avec 45% de taux de satisfaction. C’est bien moins que Laurent Fabius (56%) et Najat Vallaud-Belkacem (54%°), mais c’est bien mieux qu’Arnaud Montebourg (35%) et Michel Sapin (29%). Mardi, premier accroc pour Ségolène Royal. On apprend que la ministre, qui a plaidé pour la « remise à plat de l’écotaxe », est contredite par les députés dans leur rapport sur la question. Ils jugent « désastreux » les effets d’un éventuel abandon de l’écotaxe et taillent en brèche sa proposition de taxer uniquement les routiers étrangers. Cela n’empêchera pas la ministre de l’Écologie de continuer à se montrer sceptique sur le maintien de la mesure, dans une interview à Paris Match à paraître le jeudi. Le porte-parole du gouvernement Stéphane Le Foll devra alors la rappeler à l’ordre, au nom de la cohésion gouvernementale.

Ségolène Royal : «handicap » pour Hollande pour 6 Français sur 10

Ségolène Royal : «handicap » pour Hollande pour 6 Français sur 10

Les français ont raison Ségolène constitue un handicap supplémentaire pour Hollande. D’abord, Il y a la vie privée de l’ancien couple qui est loin d’être soldée, ensuite Ségolène ne pense qu’à une chose se replacer dans la course pour 2017 ensuite parce sur nombre de dossiers elle ne connait strictement rien (comme Hollande lui-même). Une majorité de Français juge donc que la présence de Ségolène Royal au sein du gouvernement est un « handicap » pour François Hollande, selon un sondage. Près de six Français sur dix (59%) estiment que Ségolène Royal est « plutôt un handicap » qu’un « atout » pour François Hollande, selon un sondage BVA pour I-télé paru ce samedi 17 mai. Ce résultat intervient quelques jours après que la ministre de l’Ecologie et de l’Energie eut revendiqué sa liberté de parole pour donner son avis dans le dossier Alstom. Dans une interview à Paris-Match, Ségolène Royal avait notamment taclé d’autres membres du gouvernement. Mais pour une majorité de sympathisants de gauche, elle demeure toutefois un atout (58% contre 38%). Sur l’écotaxe, autre dossier épineux sur l’application duquel la ministre de l’Ecologie a fait part de son scepticisme, près de deux tiers des Français (65%) souhaitent qu’elle soit remaniée, contre 33% qui veulent sa suppression (2% ne se prononcent pas).

Ségolène Royal en désaccord avec le gouvernement

Ségolène Royal en désaccord avec le gouvernement

 

La candidate socialiste à la présidentielle de 2007, qui s’était d’abord astreinte à une relative discrétion après l’élection en 2012 de François Hollande, le père de ses quatre enfants, avait commencé à distiller l’an dernier ses critiques à l’encontre de l’équipe de Jean-Marc Ayrault, à mesure qu’enflaient les rumeurs sur son entrée au gouvernement. Soumise à un strict code de conduite dicté par Manuel Valls après sa nomination à Matignon afin d’en finir avec la cacophonie qui marqua l’ère Ayrault, elle revendique aujourd’hui sa liberté dans son registre « franc-tireur ». L’unité mise en avant jusqu’à présent avec un certain succès par Manuel Valls, qui avait plaisanté en avril sur l’opportunité d’un « logiciel anti-couacs », s’en trouve ébranlée. Le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll, a rappelé mercredi l’importance de la cohésion gouvernementale en réponse à une question sur la charge de Ségolène Royal. « Elle est sacrée parce qu’elle est la condition de la réussite. Il n’y a pas de réussite dans un gouvernement sans la solidarité gouvernementale et sans la cohésion gouvernementale », a-t-il dit lors du compte rendu du conseil des ministres. Dans Paris Match, Ségolène Royal dénonce les « boules puantes », la « condescendance », le « mépris », selon elle, de certains ministres et s’offusque des « procès en incompétence » qui lui seraient faits au sein d’une classe politique « majoritairement composée de machos sûrs de leur bon droit ». Elle assure être en « phase politique » avec François Hollande et qualifie de « fluides » ses relations avec le chef de l’Etat. « Je fais mon travail. Le reste, je m’en fiche. Je n’ai pas de temps à perdre », souligne Ségolène Royal. « Je suis à ce poste parce que je suis compétente. Peut-être même la plus compétente ». Michel Sapin et Arnaud Montebourg sont dans son viseur. Persistant dans son refus d’imposer une « écologie punitive » aux Français sous la forme d’une écotaxe sur les poids lourds, solution défendue notamment par le ministre des Finances et une mission parlementaire, elle accuse ce dernier de duplicité. »Michel Sapin a une position institutionnelle qui colle, comme par hasard, à celle de la commission parlementaire présidée par le député Jean-Paul Chanteguet, dont il est le suppléant. Ce qu’il m’avait caché. Il a fallu que je le découvre par hasard », explique-t-elle. « Moi, j’ai une position imaginative, créative. Sur ce dossier, je suis attendue au tournant. Mais j’avancerai. A marche forcée s’il le faut », prévient-elle. Sur Alstom, Ségolène Royal fissure l’unanimisme de l’exécutif français, qui pousse l’offre de reprise de Siemens pour les activités énergie face au projet de General Electric, en plébiscitant la proposition du groupe américain. « General Electric est une très bonne opportunité pour Alstom. C’est le meilleur projet industriel. Pourquoi ne pas le dire? Et pourquoi vouloir systématiquement faire fuir les investissements étrangers? », dit-elle dans Paris Match. La ministre a déclaré par la suite aux journalistes qu’elle n’avait pas de préférence entre GE et Siemens. « Il y a des discussions entre ministres, des discussions franches, mais nous sommes très solidaires les uns des autres contrairement aux insinuations que tel ou tel article de presse voudrait avancer », a-t-elle dit à l’issue d’une réunion à l’Elysée sur la transition énergétique.

Royal veut interdire les décolletés dans son ministère?

Royal veut interdire les décolletés dans son ministère? 

Royal est barjot on le savait, comme Hollande l’ennemi de la finance qui matraque maintenant fiscalement les couches populaires et moyennes. Le pouvoir rend fou, c’est connu mains certains avaient déjà des prédispositions naturelles. D’après LePoint.fr, la nouvelle ministre de l’Ecologie Ségolène Royal exigerait de ses collaborateurs le port une « tenue décente », prohibant les décolletés. Une information démentie par l’intéressée sur son compte Twitter mais confirmé pourtant par Canal.   Une « tenue décente » avec « interdiction des décolletés ». C’est le comportement vestimentaire qu’aurait exigé de ses collaborateurs Ségolène Royal, d’après une source interne au ministère citée par lePoint.fr. Selon le personnel de l’hôtel de Roquelaure, la ministre se déplacerait dans les couloirs du ministère précédée d’un huissier chargée de l’annoncer, de sorte que le personnel puisse se lever sur son passage. Il serait également défendu à ses collaborateurs de fumer dans la cour et dans le jardin en présence de la ministre. Contactée par LePoint.fr, Ségolène Royal s’est bornée à indiquer qu’il s’agissait d’un « règlement intérieur sur proposition des services qui est destiné à l’interne et ne donne pas lieu à commentaires externes ».Ce n’est plus la monarchie mais la dictature républicaine digne des républiques bananières.

Une vignette pour remplacer l’écotaxe (Ségolène Royal)

Une vignette pour remplacer l’écotaxe (Ségolène Royal)

 

Ségolène a raison de vouloir mettre un terme au système de l’écotaxe coûteux et complexe mais elle a tort en pensant qu’on pourrait la remplacer par une vignette sur les seuls camions étrangers ; Si vignette il y a ce sera pour les camions français comme étrangers au nom de l’égalité de traitement voulue par Bruxelles ; Ségolène devra potasser une peu plus un dossier qui risque encore de faire du bruit. D’autant que Ségolène semble défavorable au report de la taxe sur le client du transporteur, ce qui est pourtant logique si on veut réduire les flux de transport. Visiblement Ségolène sur ce dossier patauge encore dans la semoule.   «Je ne veux pas que l’écologie soit punitive», a martelé la nouvelle ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, mardi matin sur RMC («Bourdin Direct»). Celle qui avait déclaré, sitôt nommée, qu’elle souhaitait remettre à plat l’écotaxe a donné hier un grand coup de pied dans la fourmilière et porté l’estocade à l’écotaxe: exit les portiques trop coûteux, et donc exit Écomouv‘? «Ce serait tout à fait légitime qu’un camion étranger qui traverse tout le pays contribue et paie pour l’entretien des routes qu’il utilise. Est-ce que l’écotaxe permet cela, aujourd’hui, telle qu’elle est conçue? Non. Elle fait payer à la fois les camions français et étrangers (…), a déploré Ségolène Royal. Je cherche un système qui va faire payer les camions étrangers. Si tout le monde passe sous les portiques, tout le monde paie. Ce système est d’autant plus absurde aujourd’hui que l’on a répercuté l’éventuelle future écotaxe sur les producteurs. On n’atteindra donc pas l’objectif puisqu’il faut que ce soient les camions qui paient pour l’entretien des routes.» Et de lancer deux pistes: obliger les camions étrangers à prendre l’autoroute avec une taxe sur les sociétés d’autoroute et faire payer aux camions étrangers une vignette à la frontière. Par ailleurs, la ministre de l’Écologie a estimé que les portiques commandés par l’État à Écomouv’, le consortium contrôlé à 70 % par l’italien Autostrade, filiale de Benetton qui exploite des autoroutes de l’autre côté des Alpes, «coûtent très cher». Nul besoin donc d’attendre la fin des missions parlementaires pour se prononcer sur la suite à donner à l’écotaxe. Son sort semble déjà scellé. Du côté d’Écomouv’, on est assez échaudé par les déclarations politiques qui se succèdent depuis des mois. Et finalement, avec la tournure que prennent les événements, si l’État prenait la décision de se désengager, Écomouv’ ne serait pas mécontente, selon nos informations. Mais cette solution a un coût pour l’État: entre 500 et 800 millions d’euros. En contrepartie de la rupture du contrat, l’État devrait alors également s’engager à reconnaître que le dispositif mis en place (portiques, bornes, etc.) est conforme. C’est un point auquel tient la société pour défendre son image internationale et ses marchés à venir. En cas de refus de la part de l’État français, l’affaire ferait l’objet d’un contentieux et l’addition pourrait grimper à plus de 1 milliard d’euros. «En résumé, la France a acheté un système qui coûte entre 500 et 800 millions et elle va le jeter alors qu’il aurait dû rapporter 1,2 milliard par an», analyse un bon connaisseur du dossier. Sans compter que la mise en place d’une vignette destinée uniquement aux camions étrangers risque de ne pas être simple. «Les transporteurs étrangers ne manqueront pas d’attaquer la France pour discrimination, estime un juriste. N’oubliez pas que l’écotaxe était faite pour tout le monde dès lors que l’on empruntait des réseaux routiers non payants. Le but était de pousser à des transports moins polluants. Avec la vignette, on vise uniquement les étrangers.» Le 7 avril dernier, la première rencontre de Ségolène Royal avec les hauts fonctionnaires des différents ministères qui travaillent depuis des mois sur le projet de l’écotaxe s’était déroulée dans un climat de grande tension. Un avant-goût, sans doute, des suivantes.

 

Tarifs EDF: Royal regrette, et nous donc !

Tarifs EDF: Royal regrette, nous auusi !

Regrets éternels pour l’augmentation de l’électricité de la part  Royal. Des regrets qui ne changent rien. Si Ségolène veut vraiment changer les choses et préserver le pouvoir d’achat des consommateurs pressurés de partout, il faut tout de suite changer la loi. Après le gaz, l’électricité. Le Conseil d’Etat vient en effet d’annuler les tarifs réglementés d’EDF d’août 2012 à août 2013 qui touchent 27 millions de foyers. Il suit ainsi l’avis de son rapporteur public du 31 mars. Le Conseil avait été saisi par l’Anode, une association qui regroupe les fournisseurs alternatifs de gaz et d’électricité. Réagissant à cette annonce, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a évoqué une décision « très regrettable », jugeant qu’il fallait « réformer le mode de calcul » des tarifs de l’électricité. Selon le Conseil d’Etat, ces tarifs ne couvraient pas les coûts d’EDF. Ils avaient été arrêtés par le gouvernement Ayrault en juillet 2012. A l’époque, la Commission de régulation de l’énergie (CRE) avait, elle-même, exprimé un avis défavorable à la trop faible hausse (+2%). Celle-ci aurait dû atteindre au moins 5,7% pour respecter les textes en vigueur.  Mais le gouvernement Ayrault, comme son prédécesseur pour le gaz, avait préféré limiter la hausse en période de crise économique.  Les ménages devraient donc payer une hausse rétroactive. C’est le gouvernement de Manuel Valls qui devra décider du montant et son application dans le temps. Il a deux mois pour le faire.  La hausse devrait être de 20 à 40 euros en moyenne sur la période concernée. Elle devrait toucher les particuliers comme les petits professionnels.

 

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