Archive pour le Tag 'Royal'

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Tennis- Roland-Garros : transféré au parc des princes ( Ségolène Royal)

Tennis- Roland-Garros : transféré au parc des princes ( Ségolène Royal)

 

Ségolène Royal n’est pas à une bourde de plus ; elle veut transférer Roland Garros au Parc des princes pour jouer sur gazon et surtout s’opposer à l’extension de Roland Garros. .C’est connu,  Ségolène est cinglée , ce qui ne l’empêche pas d’être ministre( ce serait plutôt un atout) ! Pourquoi pas aussi transférer les matchs de Rolland Garros dans uen piscine ou sur les Champs Elysées. Elle  est prête à tout pour éviter que les travaux d’agrandissement de Roland-Garros n’empiètent sur les serres d’Auteuil. Même à abandonner la terre battue pour la pelouse du Parc des Princes. Farouchement opposée au projet d’agrandissement de Roland-Garros sur les serres d’Auteuil, la ministre de l’Ecologie semble prête à tout pour préserver les intérêts de son ministère. A tel point que l’ancienne candidate à l’élection présidentielle a proposé une alternative complètement inimaginable à Anne Hidalgo, comme cette dernière l’a confié au Parisien ce mardi. « Ségolène Royal voulait que le tournoi de Roland-Garros se joue sur les pelouses de Jean-Bouin ou du Parc des Princes. Pour un tournoi de tennis de terre battue… […] Je lui ai dit que c’était un peu farfelu », s’étonne la maire de Paris, qui tend elle à aider la Fédération française de tennis dans l’avancement du dossier. Des travaux vitaux pour l’avenir de Roland-Garros Jouer Roland-Garros sur gazon, voilà une idée assez saugrenue qui dénote bien l’opposition farouche de Ségolène Royal au projet de modernisation et d’agrandissement du Grand Chelem parisien. Des travaux nécessaires voire vitaux pour l’avenir du tournoi. Pour le gazon, le circuit professionnel a déjà élu domicile à Wimbledon deux semaines plus tard. Et le jardinier du PSG, recruté à prix d’or il y a un an et demi au club d’Aston Villa en Premier League, risque de ne pas apprécier que des tennismen foulent la pelouse du Parc des Princes pendant deux semaines.

 

 

Environnement : Ségolène Royal plus à l’aise en méditerranée qu’en France

Environnement : Ségolène Royal plus à l’aise en méditerranée qu’en France

 

 

De toute évidence Ségolène ne brille pas par sa cohérence en France ( autoroutes gratuites, libéralisation des cars, Fessenheim, nucléaire en général, pesticides etc ) du coup elle déplace le débat en méditerranée. Finalement une  vieille tactique « Hollandaise » quand on est gêné à l’intérieur, on s’investit à l’extérieur ( tactique utilisée par bien d’autres responsables et pas seulement à gauche). Elle est gonflée de parler de transition énergétique quand en fait en France on a pratiquement enterré les promesse dans ce domaine. La ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal a cependant affirmé, ce lundi soir à Lisbonne, vouloir trouver « des propositions communes » avec les pays du bassin occidental de la Méditerranée avant la Conférence mondiale sur le climat que la France réunira fin décembre à Paris.  »Je souhaite qu’il y ait des propositions communes, parce que nous avons un espace commun à défendre, la Méditerranée », a estimé Ségolène Royal, qui s’exprimait avant l’ouverture d’une réunion ministérielle sur l’environnement qui se tient sur deux jours dans la capitale portugaise.   »La Méditerranée est un espace de la planète très gravement impacté par le dérèglement climatique », a ajouté la ministre de l’Ecologie, citant le réchauffement, la pollution et « la dégradation de la biodiversité ». La conférence de Lisbonne sur l’Environnement et des Energies renouvelables, coprésidée par le Portugal et le Maroc, entre dans le cadre des rencontres du Forum 5+5 et regroupe également l’Algérie, la France, l’Italie, la Libye, Malte, la Mauritanie, l’Espagne et la Tunisie. « J’ai décidé d’être là pour marquer l’importance que porte la France, en partenariat avec le Portugal, à l’espace Méditerranéen », a encore affirmé Ségolène Royal, précisant que « ce qui est commun à nos pays, c’est l’entrée dans la transition énergétique ».  »Tous nos pays vont s’engager dans la lutte contre le réchauffement climatique, donc dans la diminution des gaz à effet de serre », a-t-elle ajouté, avant de suggérer des « échanges de technologies dans le domaine des énergies renouvelables ». Le président français François Hollande et son homologue philippin Benigno Aquino avaient lancé ce jeudi « l’Appel de Manille » pour exhorter le monde à trouver un accord sur le climat en décembre à Paris et éviter ainsi à tout prix la réédition de l’échec cuisant de la Conférence de Copenhague en 2009.

 

Administration exemplaire : Royal veut réduire les emails !

Administration exemplaire : Royal veut réduire les emails

On savait que la politique ne servait à rien, on en a la confirmation avec la dernière mesure de Ségolène ; Ségolène a donné instruction de réduire les Emails des fonctionnaires de son ministère. Elle ferait mieux de supprimer la bureaucratie qui paralyse les entreprises (déclarations, statistiques et autres formulaires dont souvent on ne sait pas même plus quel est l’objet).  Mieux,  supprimer ces fonctionnaires inutiles qui viennent par exemple contrôler la couleur de peinture des immeubles, vérifier l’utilisation des de désherbants utilisés par les particuliers ou mesurer la dimension des vérandas, sans parler de formalités plus lourdes imposées aux entreprises. Une décision ubuesque évidemment de Ségolène et fondée sur une étude tout aussi fantaisiste de l’ADEME qui a évalué l’  impact carbone des Emails à partir de la consommation d’énergie des ordinateurs pour leur fonctionnement  leur construction ! Au-delà de l’émission de Co2, il serait urgent de prendre en compte de l’impact de l’émission d’idioties sur la politique voire la démocratie.  le gouvernement adonc adopté la semaine dernière la feuille de route de la troisième conférence environnementale au Conseil national de la transition écologique. « Les ministères doivent être exemplaires dans cette transition, afin que tous les acteurs se sentent encouragés à s’engager, à leur échelle, dans une démarche analogue » est-il affirmé dans le plan gouvernemental.   »Dès maintenant, le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie lance un ensemble d’actions concrètes, collectives et individuelles » a ajouté la ministre de l’écologie. Pour faire de son ministère un « territoire » de la transition énergétique, Ségolène Royal n’hésite pas à inciter sa propre administration à réduire ses emails dotés de pièces jointes volumineuses. « Un courriel de 1 Mo équivaut à l’émission de 19 g de CO2, avec un seul destinataire, de 73g avec 10 destinataires : je restreins le nombre et le poids de mes pièces jointes de mes courriels et je privilégie l’envoi d’un lien Internet : plus c’est lourd et plus ça émet de CO2″ énonce ainsi très sérieusement le plan d’action « Administration exemplaire ». Les fonctionnaires sont aussi invités à supprimer leurs anciens fichiers et courriels puisque « leur stockage dépense de l’énergie ».

Péages : baisse des tarifs pour les covoiturages ? (Royal)

Péages : baisse des tarifs pour les covoiturages ? (Royal)

 

Spécialiste des propositions tordues mais porteuses médiatiquement Royal (ministre de l’écologie, un ministère bidon !)  propose une réduction des tarifs pour le covoiturage. De fait le tarif est déjà réduit puisque le tarif se fonde sur le véhicule et non sur le nombre d’occupants. En faiat une proposition démagogique  et techniquement tordue (comment faire la preuve du covoiturage dans tous les cas ;  transporter une famille c’est du covoiturage ?)). Tout cela pour éviter sans doute la raie question, celle des tarifs trop élevés pour tous les automobilistes. Bref le bla-bla habituel de Royal qui dit une chose un jour mais le contraire le lendemain (exemple sur le nucléaire). La ministre de l’Écologie Ségolène Royal a proposé ce dimanche que les sociétés d’autoroutes baissent leurs tarifs de péage pour les covoitureurs. Les sociétés d’autoroutes pourraient baisser leurs tarifs de péage en cas de covoiturage, a suggéré la ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, au micro de France Inter ce dimanche 1er février.   »C’est une des pistes », a-t-elle dit lors de l’émission Tous politiques, réalisée en partenariat avec Le Parisien/Aujourd’hui en France. « Il est question de demander aux autoroutes de faire des offres commerciales pour que certains tarifs puissent baisser« , a-t-elle affirmé, citant le covoiturage.  L’un des objectifs des négociations entre l’État et les sociétés d’autoroutes est « la clarté, la transparence sur la façon dont on fixe les tarifs, pour que les consommateurs sachent ce qu’ils payent« , a assuré la ministre. Leur objectif, c’est le « retour sur investissement », a-t-elle ajouté, affirmant qu’il fallait « rendre aux Français, par les investissements sur les infrastructures, ce que les autoroutes ont retiré de cette privatisation ».   »C’est un juste retour des choses », a-t-elle dit. Les sociétés d’autoroutes « ont donné beaucoup d’argent à leurs actionnaires » et « ont bénéficié de conditions tout à fait exorbitantes ». « L’idée est de renégocier ces concessions dans l’intérêt général du pays et des automobilistes », a conclu la ministre. Problème : Bercy n’est pas sur cette position pour l’instant !

Sivens : plus d’actualité ( Royal)

Sivens : plus d’actualité ( Royal)

Le barrage de Sivens « n’est plus d’actualité », en tout cas dans sa « forme initiale ». C’est ce qu’a annoncé vendredi la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, après qu’un nouveau rapport d’experts lui a été remis. Ce rapport propose deux scénarios, et Ségolène Royal a annoncé qu’elle les « valide« . Un premier scénario propose de réaliser un « réservoir de taille plus réduite sur le site de Sivens » : c’est un barrage plus petit qui se situerait 300 mètres plus haut que ce qui était prévu dans le projet initial. Le second scénario propose de construire trois petites retenues dans des combes, ou dans des ravins en amont, toujours dans la vallée du Tescou. Selon les experts, ces options devraient permettre de sécuriser les besoins en eau des agriculteurs, d’avoir un bon état des eaux et d’obtenir des fonds européens. La semaine prochaine, ces deux propositions seront débattues lors d’une session de l’assemblée départementale du Tarn. Pour Ségolène Royal, ces deux propositions « sécurisent les besoins en eau découlant du projet de territoire » et « répondent à l’objectif » d’un bon état des eaux. Le rapport « établit à 750.000 m3 les besoins de stockage » d’eau. La ministre de l’Ecologie tient à défendre le projet, dans sa nouvelle forme. Son argument : le maintien et la création d’emplois, notamment. « il s’agit d’un projet de territoire reposant sur des productions à forte valeur ajoutée et génératrices d’emploi local, et sur le renforcement des circuits de proximité. Il permet de maintenir des exploitations de taille familiale » (Ségolène Royal)

Tarifs SNCF : Royal veut réglementer

 

 

 

Sans doute un effet des sondages, Royal, après avoir approuvé les hausses de tarifs de la SNCF se contredit et annonce qu’elle va réglementer ces tarifs (en fait ils le sont déjà !). La hausse des tarifs de la SNCF qui ont augmenté jusqu’à 2,6 % au 31 décembre, selon le type de billet, est un «très mauvais signal» a jugé dimanche la ministre de l’Écologie et de l’Énergie, Ségolène Royal. «Je veux que la SNCF reste un outil de transport de masse», a déclaré la ministre, invitée du Grand Jury (RTL/LCI/Le Figaro), ajoutant vouloir que l’entreprise publique revoit sa politique de tarifs, comme l’ensemble de ceux des transports publics. «Je vais réformer par décret la façon dont l’État contrôle les prix des transports publics et notamment du train, parce que les choses ne sont pas claires», a expliqué Ségolène Royal, plaidant pour «une transparence des prix» et «une consultation des usagers». Pourtant le secrétariat d’État aux Transports, dont Ségolène Royal a la tutelle, a validé cette augmentation, et l’avait jugée «nécessaire à l’amélioration de la qualité du service offert aux voyageurs». De plus ces déclarations de Ségolène Royal interviennent alors que le 27 décembre, le ministère de l’Écologie et de l’Énergie avait soutenu dans un communiqué cette hausse des tarifs du train, expliquant que «la SNCF va ainsi pouvoir poursuivre ses investissements en termes de maintenance, sa priorité, ainsi que ses investissements sur le matériel, les systèmes d’information et la relation clients».

Autoroutes : gel de tarifs (Ségolène Royal)

Autoroutes : gel de tarifs (Ségolène Royal)

Pour Ségolène Royal «  les tarifs ont trop augmenté par rapport au coût de la vie donc il faut rendre aux automobilistes un peu de justice et d’équité tarifaire », a-t-elle expliqué. Fin novembre, les sociétés d’autoroutes ont proposé d’augmenter d’environ 0,6% en moyenne les tarifs des péages en 2015. Une moyenne qui recouvrait en fait des augmentations comprises entre 0,27 % et 1,13 % selon les sociétés d’autoroutes. Dans la foulée de cette annonce, l’action Vinci perdait 3,5%, tandis que le titre Eiffage cédait 0,5%. Comme la  Cour des Comptes a dénoncé les « rentes » dans un rapport récent, la ministre n’a pas écarté non plus la possibilité d’une résiliation de leurs contrats. « C’est une hypothèse parmi d’autres que le gouvernement n’écarte pas », a-t-elle dit, ajoutant : « Il y en trois, soit la résiliation totale, soit une résiliation partielle soit la rediscussion des concessions dans le cadre actuel. » « Il faut que les sociétés d’autoroutes fassent rapidement des propositions comme cela leur a été demandé pour savoir comment elles appliquent les recommandations de la Cour des comptes », a-t-elle encore dit. Ségolène Royal a chiffré à un milliard d’euros l’effort qui leur serait demandé, peut-être sous la forme d’une taxe, « ce qui est finalement moins de 10% du montant global qu’elles ont versé à leurs actionnaires qui s’élève à 17 milliards d’euros », a-t-elle indiqué.

 

Interdiction des feux de cheminées en Ile-de-France : mesure absurde (Ségolène Royal)

Interdiction des feux de cheminées en Ile-de-France : mesure absurde (Ségolène Royal)

Royal veut encourager la filière bois revenir sur l’arrêté préfectoral interdisant les feux de cheminées en Ile-de-France. Le feu dans les cheminées classiques devait théoriquement être proscrit à Paris et dans de nombreux secteurs de l’Ile de France à partir du 1er janvier 2015. La ministre du Développement Durable a qualifié l’interdiction des feux de cheminées à foyer ouvert en Ile de France de «décision un peu absurde. On était dans le ridicule, je vais faire changer cette décision», a ajouté Ségolène Royal sur France 2. Elle a indiqué que de toutes façons, cette mesure ne serait «pas appliquée car il n’y a pas de sanctions». La ministre a même affirmé: «J’encourage le chauffage au bois». Elle affirme en effet qu’elle ne souhaite pas pénaliser la filière biomasse et qu’elle ne souhaite pas que toute la filière bois pâtisse de cette mesure. Le Grenelle de l’environnement avait d’ailleurs pour objectif de doubler la consommation de bois de chauffage d’ici 2020. Et lorsqu’une maison est construite aujourd’hui, elle doit respecter la réglementation thermique 2012, la RT 2012. Mais, si le chauffage est électrique, les critères de calcul font qu’il faut rajouter une source d’énergie renouvelable pour respecter la norme. Résultat, la plupart des constructeurs adjoignent alors un poêle à bois. Aujourd’hui, on ne peut que s’interroger. Il n’y a que Paris et l’Ile-de-France qui sont visés pour l’instant ?  On peut craindre que d’autres régions soient tentées de prendre les mêmes dispositions. On pense, par exemple à la région Rhône-Alpes où des études démontrent que la pollution par le chauffage au bois est supérieure à celle de la circulation automobile. Gageons que, d’ici quelques années, toutes les régions qui comportent une grosse métropole finissent par interdire le chauffage au bois. Dommage, c’est l’une des énergies les moins chères, pourtant.  Et bien oui, le kilowatt coûte environ 12 à 13 centimes pour l’électricité, 9 centimes pour le fioul domestique, 7 centimes pour le gaz naturel et… 4 à 5 centimes pour le bois. Mais, pour comparer, il faut aussi comparer le rendement des appareils. Une chaudière à gaz a des rendements proches de 100 %, un poêle à bois c’est plutôt de l’ordre de 75 %.

 

 

Nucléaire -Fermeture de Fessenheim: Royal ne sait plus !

Nucléaire -Fermeture de Fessenheim: Royal ne sait plus !

 

Finalement Royal ne sait plus si Fessenheim sera fermé comme l’avait promis Hollande lors de sa campagne électorale ; En fait il y aura peut-être fermeture de deux réacteurs mais en même temps que la mise en service de deux nouveaux. En clair  pas de changement !  Ce 2 novembre, lors du Grand Rendez-vous Le Monde/i Télé/Europe1, Ségolène Royale a détaillé sa conduite pour prendre sa décision. « Moi, mon point de vue de ministre de l’Energie, avec ma méthode de travail, d’écoute et de construction avec les partenaires compétents (…), c’est que j’écouterai ce qu’EDF dira, et le conseil d’administration d’EDF qui va en débattre », a expliqué Mme Royal.  De plus, même si Fessenheim est la plus vieille centrale en activité, elle n’est pas forcement la priorité du gouvernement.   »S’il y a une centrale qui est plus vieillissante, qui est plus ‘insécure’ et qui nécessite plus d’investissements que Fessenheim, on fera cette proposition, et le président de la République tranchera en fonction des données qui seront mises sur la table à ce moment-là », a-t-elle poursuivi. Déjà ce mois-ci, Mme Royal avait affirmé que Fessenheim ne fermerait « pas forcément », et que d’autres options restaient ouvertes. « En toute transparence, il y aura deux réacteurs qui fermeront quand deux réacteurs nouveaux vont s’ouvrir, puisque la loi maintenant prévoit le plafonnement de la capacité du nucléaire », a rappelé la ministre.        »Sur tous ces sujets, il faut vraiment se garder de tout dogmatisme », a plaidé Mme Royal.

 

Barrage Sivens : « erreur d’appréciation » ! (Royal)

Barrage Sivens : « erreur d’appréciation » !  (Royal)

C’est presqu’un euphémisme pur ce barrage   de 230 mètres, un volume de 1,5 million de m3 et une surface de 42 hectares  Le coût du projet de barrage a été évalué à 8,49 millions d’euros par le conseil général du Tarn, avec un coût de gestion annuelle de 300 000 d’euro Un barrage qui pose donc de nombreuses questions d’abord sur son dimensionnement puisqu’en fait il n’aurait pas bénéficié à 80 agriculteurs mais à une trentaine. Ensuite parce qu’il prouve que les élus locaux sont sous influence des lobbys locaux (producteurs de maïs en particulier). Auusi parce qu’il met en cause le caractère très virtuelle de la consultation démocratique. En fait nombre de projets décidés par de élus locaux ne sont pas justifiés et participent du gâchis financier grâce aux financements croisés des communes, des agglomérations de communes, du département, de la région et de l’Etat. En tout cela est bien entendu financé par la contribuable. Comme le dit Ségolène ces pour le moins une erreur d’appréciation !   La décision de construire le barrage contesté de Sivens dans le Tarn, où les opposants organisent dans l’après-midi une marche de recueillement en mémoire de Rémi Fraisse, a relevé d’une « erreur d’appréciation« , a en effet estimé dimanche la ministre de l’Écologie Ségolène Royal. « Il y a eu manifestement une erreur d’appréciation », a déclaré la ministre lors du Grand Rendez-vous Le Monde/i Télé/Europe 1, au lendemain de manifestations en hommage à Rémi Fraisse qui ont dégénéré à Nantes et Toulouse (une dizaine de blessés et une trentaine d’interpellations). « La durée de la réalisation, d’obtention d’autorisations, des délais, est beaucoup trop longue sur ce type d’équipement, ce qui fait qu’au moment où les travaux commencent, souvent les ouvrages sont périmés« , a-t-elle expliqué. « Aujourd’hui, une décision de construction d’un ouvrage tel que celui-ci ne serait plus possible« , a assuré la ministre.

Vignette poids-lourds étrangers : une nouvelle fois, Royal retoquée par Sapin

Vignette poids-lourds étrangers : une nouvelle fois, Royal retoquée par Sapin

Pas étonnant, juridiquement cette proposition de Ségolène ne peut être acceptée ; Si vignette, il y a ce ne peut être que pour tous les poids lourds. Du coup l’idée de Ségolène pourrait se retourner contre les poids lourds français. De toute évidence Ségolène connait mal l’environnement juridique de la politique des transports. Elle a sans doute eu raison d’abolir la cathédrale administrative que représentait l’écotaxe mais on ne peut la remplacer par une taxe illusoire et illégale au regard de la réglementation européenne. La problématique est par ailleurs complexe et parfois contradictoire. S’agit-il de viser des objectifs environnementaux ?  De protéger le pavillon français ? Ou encore de faire rentrer des impôts ? La ministre répondrait sans doute les trois à la fois mais les mesures proposées ne sont guère adaptées à ces trois objectifs surtout quand elles sont inapplicables. Le plus pertinent serait de remettre à plat toute  la politique des transports de l’Europe  notamment d’harmoniser les conditions de concurrence   Le ministre des Finances était ce lundi l’invité de France Info. Il a retoqué la dernière proposition de Ségolène Royal pour remplacer l’écotaxe, celle d’imposer une vignette sur les poids lourds étrangers. Il a aussi commenté les déclarations de Martine Aubry.  Le ministre des Finances a donc rejeté la dernière idée de Ségolène Royal pour remplacer l’écotaxe : « En Europe on ne taxe pas un camion étranger parce qu’il est étranger. On taxe un camion parce qu’il est étranger ou français parce qu’il traverse la France. On peut mettre en place un système de vignette. Oui mais quel que soit leur origine ». Invitée de BFM-TV ce dimanche, la ministre de l’Energie et de l’Ecologie a posé  »le problème des camions étrangers en citant l’exemple d’un poids lourd qui « fait son plein en Belgique, traverse toute la France pour arriver en Espagne sans avoir payé la taxe sur le gazole, ce qui n’est pas juste ». Elle a évoqué l’hypothèse « d’une vignette ou une interdiction de prendre les routes nationales avec obligation d’emprunter les autoroutes. »

 

 

Autoroutes gratuites : une illusion de Ségolène Royal

Autoroutes gratuites : une illusion de Royal

 

Jusqu’ à ces deniers  jours, Royal avait adapté le costume du ministre modèle évitant le moindre couac de communication. Du coup on lui décerné sans doute une peu hâtivement un brevet de «  compétititude ». En lançant l’idée des autoroutes gratuites les dimanches, Ségolène retombe dans ses travers fantaisistes et approximatifs. Elle passe du statut pro  de la politique à celui d’amateur. L’idée est évidemment ridicule ; pourquoi les dimanches et pas les autres jours et surtout pourquoi la gratuité. En fait royal veut taxer les autoroutes. Sur ce point elle a raison car les profits des autoroutes sont scandaleux. La faute en revient à l’Etat qui a bradé les autoroutes au privé en les vendant environ 30% en dessous de leur valeur (soit un manque à gagner d’environ 10 milliards)  et qui s’est trompé dans ses calculs d’estimations économiques. L’idée de taxer les autoroutes avait fait régir négativement Valls, Sapin et  Macron très prudents  quand il s’agit des intérêts des grands groupes financiers que sont Vinci, Effiage et autres. La taxation des autoroutes. Une idée « difficilement envisageable», avait indiqué   indique Matignon. Au terme d’une réunion avec les sociétés d’autoroute, Manuel Valls a souhaité sur le perron de Matignon parvenir « dans les prochaines semaines » à un accord « profitable à tous » sur les concessions des sociétés d’autoroute en France. « Cette réunion a été utile parce qu’il faut bâtir un partenariat gagnant-gagnant entre l’État [et] les sociétés concessionnaires des autoroutes. La parole de la France évidemment, sera honorée, ne sera jamais remise en cause », a déclaré le Premier ministre à la presse.  Après la suspension sine die jeudi dernier du dispositif d’écotaxe sur les poids lourds, Ségolène Royal a indiqué vouloir compenser le manque à gagner en prélevant sur les profits des autoroutes. Le ministre des Finances Michel Sapin avait néanmoins pointé la difficulté de taxer les sociétés autoroutières en raison de la solidité des contrats de concession signés par ces groupes. « Il ne s’agit pas de créer une taxe. Puisque je fais une taxe, elles vont en effet la répercuter. Ça suffit. Les discussions vont commencer pour les mettre devant leur responsabilité », a déclaré de manière assez confuse Ségolène Royal. Tout cela se terminera sans doute comme habitude par un accord sur la tarification des autoroutes, l’engagement de nouveaux travaux en échange  d’un nouvel allongement des concessions.

Autoroute A831 : Valls contre Ségolène Royal

Autoroute A831 : Valls contre  Ségolène Royal

 

. Le Premier ministre a autorisé jeudi le lancement de la procédure de consultation sur la réalisation de l’autoroute A831, à laquelle s’oppose Ségolène Royal, sans toutefois préjuger de sa construction. Sous certaines « réserves » qu’il énumère, Manuel Valls déclare que « le gouvernement n’a pas d’objection à ce que la procédure de consultation soit lancée afin de connaître le coût de cet ouvrage ».  Sa position fait l’objet d’une lettre rendue publique par des élus qui l’avaient saisi après que la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, eut exprimé son hostilité au projet. Le Premier ministre rappelle que, en raison de « l’insertion environnementale délicate « du projet, « des modifications substantielles » au projet initial ont été apportées et il demande qu’elles soient « portées à la connaissance du public ». Il demande aussi d’ »inscrire encore davantage le projet dans une démarche de développement durable ». Enfin, « il conviendra de chiffrer parallèlement la solution alternative » de contournement de la zone écologiquement la plus sensible (le Marais poitevin) évoquée par Mme Royal. »C’est en conclusion de ce processus que sera prise la décision de réaliser ou non l’A831″, destiné à relier Fontenay-le-Comte (Vendée) à Rochefort (Charente-Maritime), conclut Manuel Valls.  Plusieurs grands élus de l’Ouest de la France, issus des rangs de la droite et de la gauche, avaient écrit à Manuel Valls le 28 juillet pour réclamer que l’Etat autorise les élus locaux promoteurs du projet à « aller jusqu’au bout de la procédure de consultation ». Ségolène Royal avait annoncé samedi qu’elle ne lancerait pas la procédure d’appel d’offres de cet ouvrage. « On ne va pas refaire Notre-Dame-des-Landes dans le Marais poitevin ! », avait-t-elle affirmé au micro d’Europe 1, faisant référence au conflit entourant le projet de construction de ce nouvel aéroport en Loire-Atlantique. La décision de Manuel Valls est « une excellente nouvelle dont nous nous réjouissons », souligne le député socialiste Hugues Fourage avec le député UMP Dominique Bussereau, le président PS de la région Pays-de-la-Loire Jacques Auxiette et celui du Conseil général de la Vendée, le sénateur UMP Bruno Retailleau dans un communiqué commun.

 

Royal dit non au projet d’autoroute dans l’Ouest

Royal dit non au projet  d’autoroute dans l’Ouest

 

Ségolène Royal n’est pas favorable à la construction d’une autoroute de 60 km entre Fontenay-le-Compte (Vendée) et Rochefort (Charente-Maritime). Une obstruction liée, selon la ministre, à la protection de l’environnement mais également aux difficultés de financement de l’autoroute. Son coût est estimé à 900 millions d’euros, dont 137,5 millions d’euros pris en charge par l’État. L’autoroute A831, a-t-elle rappelé, doit traverser le Marais poitevin, qui a retrouvé en 2014 le label de Parc naturel régional, perdu en 1996. Le projet avait reçu en 2011 le feu vert de l’ancien Premier ministre François Fillon. « Je ne transmettrai pas le dossier de consultation technique aux entreprises », en vue d’un appel d’offres, a-t-elle déclaré samedi 26 juillet à l’AFP, confirmant des propos tenus au quotidien Sud Ouest. Pour être mené à bien, ce projet doit obtenir le feu vert du ministère de l’Écologie. « L’enquête d’utilité publique date de dix ans. Il faudrait refaire l’ensemble des études », a-t-elle déclaré. « Par ailleurs, elle a été classée dans les équipements non prioritaires. l’État ne cofinancera pas ces infrastructures ».  »J’appelle au sens des responsabilités », a-t-elle déclaré à l’attention d’élus locaux favorables au projet et notamment de Dominique Bussereau, président UMP du Conseil général de Charente-Maritime, en évoquant l’impact d’un tel projet sur les finances locales. Selon Ségolène Royal, dans la hiérarchie des projets, le département a d’abord besoin d’électrifier deux voies de train, d’améliorer la desserte du port de la Rochelle notamment. Une solution est en outre possible en améliorant la route nationale qui passe par Marans, au nord du département.  Jacques Auxiette, président socialiste de la Région des Pays-de-la-Loire, s’est pour sa part étonné de cette décision :  »La déclaration de Madame Royal intervient de façon totalement improvisée tandis que les services de l’État, mais aussi ceux des collectivités locales, travaillent en étroite collaboration depuis des semaines à la finalisation du projet », a-t-il expliqué.  »J’ai rencontré Michel Sapin pour examiner les conditions de financement des travaux de l’autoroute dont la construction créera de l’emploi, et dont la mise en service apportera de l’activité dans le Sud de la Vendée ». Selon lui, comme d’après Dominique Bussereau, qui s’est exprimé dans Sud Ouest, le coût réel du projet reste à évaluer et le contournement du Marais poitevin était déjà pris en compte. De son côté, Bruno Retailleau, sénateur (UMP) et président du Conseil général de Vendée, a accusé « Ségolène Royal de mentir et de mépriser le peuple dont elle tire pourtant, en tant qu’élue, sa seule légitimité ». Dénonçant en la ministre de l’Ecologie, « l’archétype d’une caste politicienne (…) que les Français rejettent », l’élu en appelle à Manuel Valls qui « ne peut pas tolérer de voir son autorité ainsi bafouée ». Le président du Conseil général de Vendée considère que « cette affaire est un couac de plus pour le gouvernement, mais surtout un véritable boulet qu’il va traîner pendant des mois ».  »Ce qui est en jeu, c’est l’intérêt général », assure l’élu qui promet: « si le gouvernement ne lance pas avant la rentrée l’appel d’offres (pour cet autoroute), il peut s’attendre à une véritable guerre de tranchées ».

Royal-Hollande histoire secrète : d’abord un mariage politique

Royal-Hollande histoire secrète : d’abord un mariage politique

Hollande et Royal sont surtout unis par les liens sacrés de la politique et cela depuis qu’ils sont sortis de l’ENA où ils se sont connus. Françoise Degois ancienne conseillère de Ségolène raconte l’histoire Hollande-Royal dans un livre.  Son récit débute en 1978, année où les deux futurs responsables politiques se sont rencontrés, au sein de la promotion Voltaire de l’ENA. Les copains de François Hollande surnomment alors Ségolène Royal « la geisha ». Les années défilent et Françoise Degois raconte l’ascension de deux animaux politiques, hors du commun.L’ancienne journaliste insiste sur l’importance de leur couple. Même séparés, ce lien a parfois prévalu dans leurs choix politiques. Comme ce 10 octobre 2011, quand Ségolène Royal, sèchement battue lors du premier tour de la primaire socialiste, doit choisir entre Martine Aubry et François Hollande, en lice pour le second tour. L’entourage de la présidente du Poitou-Charentes estime qu’elle va choisir la maire de Lille. Mais « Ségolène » et « François » se voient et il réussit à la convaincre. Elle ne pouvait « pas prendre une décision contre le père de ses enfants », écrit Françoise Degois. Entre deux digressions à la première personne, l’ancienne journaliste lâche quelques anecdotes inédites. Comme cette rencontre secrète entre DSK et Ségolène Royal en novembre 2010, quand le patron du FMI cherche à savoir si l’ancienne candidate à la présidentielle souhaitait repartir dans la course à l’Elysée. « On verra », lui répond l’élue poitevine. Quand DSK pose la même question à François Hollande quelques semaines plus tard, le député corrézien lâche aussi : « On verra. » Le cas de Valérie Trierweiler est aussi abordé. Mais Françoise Degois ne s’épanche pas sur le sujet. « Elle exige, elle obtient », écrit-elle à propos de celle qui n’est aujourd’hui plus première dame. Valérie Trierweiler apparaît sous un jour sévère, comme lors du grand meeting du Bourget, le 22 janvier 2012, où elle filtre les entrées devant la loge du candidat Hollande : « Toi tu rentres, toi tu ne rentres pas. Non, j’ai dit non. Il ne veut voir personne. » Est aussi évoquée la crise du « tweet destructeur », celui par lequel Valérie Trierweiler apporte son soutien à Olivier Falorni contre Ségolène Royal en pleine campagne législative. Quand elle apprend la nouvelle, la présidente du Poitou-Charentes ne peut y croire. C’est Martine Aubry, venue à La Rochelle ce jour-là, qui lui glisse : « Ségolène, c’est pas marrant mais il faut réagir tout de suite. Si tu veux, je le fais. » Cela n’a pas empêché la défaite « magistrale » qui a suivie. Paradoxalement, cet échec a permis à Ségolène Royal de renouer le dialogue avec celui qu’elle appelle désormais publiquement « le Président ». Deux ans plus tard, le chef de l’Etat envoie Jean-Yves Le Drian, son fidèle ministre de la Défense, pour négocier avec Ségolène Royal son entrée au gouvernement. Elle souhaite « un grand ministère de l’Intelligence », qui regrouperait Culture, Jeunesse et Education. Celui qui avait été proposé à Martine Aubry en mai 2012. François Hollande lui offre plutôt l’écologie. « A nouveau, ils roulent leur rocher ensemble », conclut Françoise Degois.

 

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