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Fessenheim : une nouvelle « approximitude » de Ségolène

Fessenheim : une nouvelle « approximitude » de Ségolène

Encore une fois Ségolène s’est singularisée avec une nouvelle bavure. Elle a en effet affirmé que Fessenheim ne fermerait qu’après l’ouverture de Flamanville. Compte tenu de nouveaux incidents techniques Flamanville n’ouvrira pas avant 2018. Du coup la promesse de Hollande  de fermer Fessenheim d’ici 2007 est remis en cause par la déclaration de Ségolène. Ségolène qui n’est pas à son premier essai en matière de bavures et d’»appromixitude». D’une certaine manière c’est même sa marque de fabrique ;  l’essentiel pour elle est de parler chaque jour ou presque sur tous les sujets quitte  à dire souvent n’importe quoi et  le contraire le lendemain. Mais elle le dit avec l’aplomb d’une posture  quasi princière,   posture qui lui confère un statut de folle du roi dont la mission principale et de paix l’espace médiatique. La fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim  »d’ici à la fin » du quinquennat, en 2017, « reste l’objectif » du gouvernement, a déclaré mardi soir une source gouvernementale. Ségolène Royal « n’a pas parlé de 2018 pour la fermeture de Fessenheim », a assuré cette source, après que la ministre de l’Écologie a déclaré que, « quand Flamanville ouvrira, Fessenheim devra fermer ». À des journalistes qui l’interrogeaient sur les conséquences pour Fessenheim du report de l’ouverture de l’EPR de Flamanville, Ségolène Royal avait expliqué mardi que la loi avait prévu un plafonnement de la production d’énergie nucléaire. « Ce qui veut dire que quand Flamanville ouvrira, Fessenheim devra fermer. Donc, Flamanville va ouvrir d’ici à 2018. Et donc en effet, Fessenheim devra fermer », a-t-elle dit. En fin d’après-midi, sur Twitter, Mme Royal a néanmoins tenu à assurer que « la fermeture de Fessenheim n’est pas reportée, elle doit être organisée dans le cadre de la nouvelle loi. Il n’y a aucun sujet de polémique« , alors que ses premiers propos, interprétés comme un possible report, avaient été fraîchement accueillis dans les milieux antinucléaires, chez Europe Ecologie-Les Verts, mais aussi à Berlin.

Ségolène Royal- Fessenheim : couac et rétropédalage

Ségolène Royal- Fessenheim : couac et rétropédalage

 

Un gros couac et rétro pédalage de Ségolène à propos de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim. Un procédé habituel chez Ségolène qui a ainsi l’art de faire parler deux fois d’elle. Et très souvent car elle parle de tout et surtout de rien.  Sa méthode:  une grosse bourde et après avec un démenti. Une bourde pas complètement innocente car on sait que Ségolène n’a jamais été favorable à la fermeture de Fessenheim. Pour satisfaire les écolos Hollande avait d’ailleurs convenu de retenir la formule ambiguë « Fessenheim sera fermée d’ici la fin du quinquennat ». En réalité il est peu vraisemblable que la dite centrale soit fermée, la responsabilité en incombera au gouvernement suivant c’est-à-dire au gouvernement de droite qui maintiendra en service cet équipement. Or la ministre de l’Ecologie, Ségolène Royal, a implicitement confirmé mardi que la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) ne fermerait pas d’ici la fin du quinquennat de François Hollande, comme le chef de l’Etat s’y était engagé. Cette annonce a suscité de vives critiques de responsables d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), notamment de l’ancienne ministre du Logement Cécile Duflot et du député Denis Baupin, pour qui la décision de fermeture « doit être prise maintenant ».  La loi sur la transition énergétique, adoptée en juillet, prévoit le plafonnement de la production d’énergie nucléaire à son niveau actuel, ce qui imposera la mise à l’arrêt d’une centrale – a priori la centrale alsacienne – lors du lancement de l’EPR de Flamanville. EDF a annoncé la semaine dernière que la mise en service de Flamanville n’interviendrait pas avant 2018, mettant à mal la promesse de François Hollande de fermer Fessenheim d’ici 2017.   »Il y a l’application de la loi, donc c’est assez simple maintenant puisqu’il y a un plafonnement de la production d’énergie nucléaire à 63,2 gigawatts, ce qui veut dire que quand Flamanville ouvrira, Fessenheim devra fermer », a dit Ségolène Royal à la presse en marge d’un déplacement à Strasbourg. « Donc Flamanville va ouvrir, puisque c’est 2018, et donc en effet Fessenheim devra fermer », a-t-elle ajouté. Fessenheim est la doyenne des centrales nucléaires françaises et sa fermeture est un engagement de campagne du chef de l’Etat, pressé par les écologistes de passer aux actes. Alors qu’il annonçait peu après son élection une fermeture fin 2016, François Hollande ne mentionnait plus en mars dernier que « l’horizon de la fin du quinquennat ». Le député écologiste Noël Mamère a estimé que cette annonce était « un très mauvais signe » à l’approche de la conférence sur le climat COP 21 à Paris. Il a jugé « cocasse » d’indexer la fermeture de Fessenheim sur la construction de l’EPR de Flamanville qui accumule les retards et dont « on ne sait même pas s’il ouvrira en 2018″.   »Il y a des élections présidentielles en 2017 et si d’aventure le président de la République n’est pas réélu, qu’il s’agisse de la droite, nous savons très bien ce qui se passera : il n’y aura pas de fermeture de Fessenheim », a-t-il dit sur iTélé.

 

COP 21 : « Bartolone dénigre » ( Ségolène Royal)

COP 21 :  « Bartolone dénigre » ( Ségolène Royal)

 

Comme d’habitude Ségolène Royal ne prend pas de pincettes pour renvoyer Claude Bartolone dans ses baskets. Claude Bartolone qui avait émis des observations sur les conséquences de l’organisation de la COP 21 en matière de circulation des parisiens. Mais ces observations dont certaines justifiées t ont été considérées par Ségolène comme un dénigrement de ses équipes voir même du pays. Suprême injure au centralisme et à ses six élites Bartolone avait osé proposer que certaines réunions se tiennent en dehors de Paris. « C’est un peu dommage que Claude Bartolone dénigre le travail de l’organisation » de la COP 21, s’est donc  agacée Ségolène Royal sur I-Télé ce mercredi. La ministre de l’Ecologie répondait au président (PS) de l’Assemblée nationale, qui s’était inquiété mardi sur notre antenne d’éventuels « désagréments » que pourraient subir les Franciliens.  « Nous allons avoir la chance extraordinaire d’accueillir un évènement mondial où j’espère qu’il y aura de véritables décisions pour sauver la planète » avait déclaré Claude Bartolone sur BFMTV et RMC mardi. « Je ne voudrais pas que, pour les habitants de la région Ile-de-France, cela se traduise par des tracas supplémentaires », avait poursuivi la tête de liste socialiste aux régionales dont les dates coïncident avec la COP 21 (1er et 2nd tours les 6 et 13 décembre). « Il y a un travail considérable qui est fait », a rétorqué la ministre de l’Ecologie. « C’est un peu dommage que Claude Bartolone dénigre toutes les équipes qui travaillent depuis deux ans sur l’organisation de cette conférence ». « On est là pour constituer une équipe de France, capable d’accueillir une conférence climat qui va être regardée dans le monde entier, qui va faire rayonner la capitale, la région Ile-de-France et le pays tout entier « , a ajouté Ségolène Royal. « C’est une chance extraordinaire « . Claude Bartolone, tête de liste pour les élections régionales en Ile-de-France, avait dit avoir écrit à Manuel Valls pour le sensibiliser aux éventuels « désagréments » que pourraient vivre les Franciliens pendant l’organisation de la COP 21 en décembre. Le député de Seine-Saint-Denis avait suggéré la possibilité d’ »horaires décalés » pour les Franciliens au travail mais aussi des mesures dans les transports. « Pourquoi ne pas envisager, sur l’axe Châtelet-Roissy, notamment sur les RER B et C, un certain nombre de prises en charge par l’Etat de la gratuité dans les transports pour éviter un report sur la route? »  De même, « pourquoi ne pas envisager qu’un certain nombre de réceptions officielles n’aient pas lieu dans Paris intramuros », avait-il avancé sur notre antenne mardi.

 

Terrorisme : Ségolène Royal pour des portiques de sécurité pour les trains internationaux

Terrorisme : Ségolène  Royal pour  des portiques de sécurité pour les trains internationaux

 

Ségolène ui ne manque pas une occasion pour parler dire n’importe quoi et se contredire,  se prononce cette fois pour la mise en place de portiques de sécurité dans les trains internationaux. Pourquoi seulement les trains internationaux alors que des centaines d’autres trains circulent chaque jour ? Seul l’Eurostar, qui assure la liaison avec le Royaume-Uni par le tunnel sous la Manche, en est équipé actuellement. Si la question se pose, elle concerne la plupart des autres trains, trains  de  banlieues exceptés compte tenu de la complexité pour ce type de circulation (même problématique que dans le métro). On pourrait sans doute imaginer, comme dans l’aérien, d’abord de séparer la zone accessible aux voyageurs de celle accessible au public. Ensuite il ne serait pas impossible d’installer des portiques et en profiter pour effectuer le contrôle des billets avant le départ. Il conviendrait par ailleurs de former le personnel ferroviaire à la gestion du risque terroriste sans parler de la nécessité de contrôle aléatoire notamment de forces de police qui pratiquement ne pénètre pas dans les trains contrairement au métro.  Le  secrétaire d’Etat en charge des Transports  Alain Vidalies avait d’ailleurs affiché sa fermeté sur Europe 1 dans la matinée sur les dérives qui pourraient résulter d’un accroissement de la vigilance et des contrôles. Il n’a ainsi pas hésité à lâcher : «Je préfère qu’on discrimine pour être efficace, plutôt que rester spectateurs.» La petite phrase a créé une vive polémique. Alain Vidalies annonce un  «contrôle aléatoire des bagages avec du personnel spécialisé». Un dispositif qui existe déjà mais qui va être renforcé, selon le secrétaire d’Etat. Ségolène Royal y est également favorable. Les contrôles pourraient, selon elle,  être effectués par des agents de la SNCF mais aussi par des entreprises de sécurité. «Lorsque vous allez dans une salle de spectacle, ce sont les agents affectés dans les salles qui assurent la fouille des sacs», a-t-elle ajouté. «Un contrôle aléatoire, ce n’est pas un contrôle discriminatoire. On peut par exemple faire ouvrir les gros sacs. S’il y a un sac suspect, il est tout à fait logique qu’il soit contrôlé», a encore dit la ministre.  pour permettre aux voyageurs de signaler des situations anormales, le 3117, va être étendue pour faire face aux risques terroristes dès le début du mois de septembre. Le 3117, numéro d’urgence permettant aux voyageurs de signaler des situations difficiles (agressions, incivilités…), est opérationnel dans les gares et trains depuis 2011 en Ile-de-France. Il avait été expérimenté en 2010 sur la ligne D du RER. En juin 2013, il a été entendu à l’ensemble du territoire, selon la SNCF. Ce service emploie actuellement 40 agents sur 5 plateformes téléphoniques situées en Ile-de-France. Ceux-ci sont spécialement formés pour identifier le risque et faire appel si besoin à la police ou aux agents de sûreté du groupe.  Le secrétaire d’Etat a rappelé que 2 milliards de personnes prennent le train, chaque année en France, «20 fois plus que l’avion». En conséquence, des contrôles semblables à ceux effectués dans les aéroports sont impossibles. Alain Vidalies évoque les 30 000 fonctionnaires de police et militaires qui sont aujourd’hui sur les lieux, et notamment dans les gares, dans le cadre du plan Vigipirate. Ces moyens militaires et policiers seront encore plus mobilisés, notamment pour le contrôle aléatoire déjà évoqué.

Ségolène Royal :pas encore reine de France

Ségolène Royal :pas encore reine de France

Ségolène Royal ne se considère pas comme la reine de France. En tout cas en l’état actuel des les institutions. En fait compte de tenu des différentes répudiations le poste a été laissé vacant par le monarque François de Tulle, normal Premier. Seul le statut de favorite demeure. En dépit du flou juridique concernant la place exacte de Ségolène, cette dernière n’est pas mécontente d’entretenir une certaine ambiguïté quant à sa place dans le gouvernement et à ses relations avec Hollande. La ministre de l’Ecologie serait, pour le New York Times, « une sorte de vice-présidente, pas tout à fait Première dame ». Dans un entretien accordé au prestigieux quotidien américain ce mardi, Ségolène Royal « de retour ans les corridors du pouvoir », est revenue sur sa place au sein du gouvernement. Alors que le titre se demandait si la numéro trois du gouvernement ne s’est pas « glissée dans les deux rôles » – vice-présidente et Première dame – grâce à son « intuition politique » et à son « charme », Ségolène Royal a répondu avec malice: « Je ne suis pas Première dame! Je ne suis pas non plus la reine de France même si mon nom est Royal ». D’ailleurs, plus qu’à Hillary Clinton, Ségolène Royal se comparerait volontiers à l’ancien vice-président Al Gore, « dans son combat pour sauver la planète ». « Hillary a fait de la politique parce que son mari en faisait. Ce n’est pas mon cas », tient-elle à préciser. Une répartie bien sentie pour un journal qui n’a pas peur des clichés. En effet, comme l’a repéré Le Lab, l’entretien avec la ministre de l’Ecologie française a été publié sous la rubrique « Fashion & Style ». C’est donc à juste titre que Ségolène Royal a précisé au New York Times: « Ce qui est important est mon identité politique, pas mon identité en tant que femme ». Quant à savoir si Ségolène Royal sera candidate à la prochaine élection présidentielle, « non », a esquivé la ministre, qui a ajouté: « Nous verrons (…) si votre article est excellent, je changerai peut-être d’avis ».

 

Pollution de l’air : Ségolène Royal va prendre des mesures « …..on tremble !

Pollution de l’air : Ségolène Royal va prendre  des mesures « …..on tremble !

 

Cette fois c’est sûr Ségolène va prendre des mesures. On tremble évidemment chez les pollueurs. Uen sorte de loi mini Macon mais sur l’air. Du vent quoi,  pour chasser la pollution. Surtout en agglomération. On parle de déplacer les villes à la campagne ou l’inverse. Mais d’après un chercheur en science environnementale de l’université de Romorantin 10, la question n’est pas encore réglée (voir demain l ‘interview improbable  dans le Figaro). De quoi doper aussi la croissance le temps des travaux.  Ce qui en tout cas certain c’est que Ségolène va polluer l’info pendant tout l’été. On va guetter avec gourmandise ses dérapages de sémantitude.   Après la publication ce mercredi 15 juillet d’un rapport parlementaire évaluant le coût de la pollution de l’air en France à 100 milliards d’euros par an, Ségolène Royal a donc aussitôt réagi et avec quelle viguer en promettant des « mesures extrêmement fortes », qu’elle annoncera « la semaine prochaine ».   »La semaine prochaine, je vais rendre publiques les décisions que l’État va prendre. Il ne faut plus que les gens rouspètent, que les gens disent ‘ce n’est pas le moment, on verra demain’. Il faut aussi que les maires des grandes villes prennent leurs responsabilités dès lors que la loi de transition énergétique va leur donner des moyens d’agir, notamment pour créer des zones de restriction de circulation », a déclaré la ministre de l’Écologie dans la cour de l’Élysée, au sortir du Conseil des ministres.   »Ce rapport va être utile pour dire ce que l’on dit maintenant depuis longtemps, à savoir qu’il y a un grave problème de santé publique, avec des infections respiratoires, de l’asthme, un coût économique aussi très important. Maintenant, plus personne n’a d’excuse pour ne pas agir », a ajouté Ségolène Royal. « Il y a à la fois la pollution par le transport, par les voitures, le diesel, l’essence, etc. Donc il faut déployer les véhicules électriques. Il y a les pollutions agricoles avec les pulvérisations de produits chimiques qui sont ensuite rabattues sur les gens et les habitations. Et puis il y a les pollutions industrielles pour lesquelles, maintenant, il faut que les règles soient appliquées et respectées », a poursuivi la ministre. « Des décisions extrêmement fermes vont être prises sur la base de ce rapport dont je salue la qualité, sur la base d’un consensus politique. Aujourd’hui, pour faire face à ce problème de santé publique et ce grave problème économique, il faut maintenant agir, agir vite et prendre des décisions qui soient à hauteur du problème », a également déclaré Ségolène Royal.

 

Ségolène Royal : une autre faon de faire de la politique en racontant n’importe quoi !

Ségolène Royal : une autre faon de faire de la politique en racontant n’importe quoi !

 

« C’est sa manière à elle de faire de la politique » voilà le commentaire le plus souvent utilisé par les grands médias. Lesquels devraient d’abord s’interroger à propos de l’état mental de l’intéressée. Car de toute évidence en plus d’être incompétente Ségolène est folle. Elle se veut écolo, reprend donc à son compte quelques trucs relatifs à l’ environnement puis l’arrange à sa sauce quitte à dire le contraire ensuite. Un cocktail d’évidences, de contre-vérités et de provocations. Bref la « dialectique ségolénesque ». Et il paraît que c’est un poids lourd du gouvernement ( un boulet plutôt), l’une des meilleurs ! de quoi vraiment être inquiet ! Ségolène a sans doute eu raison de parler de déforestation à propos de l’industrialisation de la culture de l’huile de palme. En plus Nutella est surtout un composé de gras et de sucre.  Evidemment elle a fait l’impasse sur une autre déforestation, celle du soja importé d’ Amérique du sud mais qui permet de nourrir les vaches française ( dix fois plus de déforestation que pour huile de palme). Mais c’est la réal-politique sur quelle on colle quelques bons sentiments . Heureusement Hollande qui connait bien Ségolène l’a collé dans un ministère sans pouvoir ‘ comme on avait collé Montebourg au « redressement«. Et pour les finances, on met Sapin, le copain sérieux, «  copier-coller » de Hollande, inventeur de l’ inversion du chômage mais qui sait , lui, s’en tenir au langage techno de Bercy. Et qui ne verse pas comme Ségolène dans la sémantique approximative. 

Négociation climat : un échec programmé (S. Royal)

Négociation climat : un échec programmé (S. Royal)

Pour une  fois Ségolène Royal n’a pas tort, la conférence internationale risque d’aboutir à pas grand chose ; en gros il y aura des intentions votées mais chaque pays décidera ce qu’il veut faire. Autant dire pas vraiment le moyen d’empêcher la hausse irréversible du climat. Pour Ségolène Royal, la méthode appliquée actuellement pour préparer la conférence climat qui se tiendra en France à la fin de l’année  n’est pas la bonne et fait courir le risque d’aboutir à un nouvel échec après celui de Copenhague en 2009. « Les négociations de l’Onu sont totalement inadaptées à l’urgence climatique », estime la numéro trois du gouvernement dans une interview publiée lundi sur le site du Monde. « En privé, tout le monde le dit, tout le monde en est parfaitement conscient, mais la lourdeur du processus est tel qu’il se poursuit comme si de rien n’était. » « Pourtant, lorsqu’il y a une urgence dans une entreprise, on se met à négocier sans attendre un rendez-vous institutionnel un an plus tard ! Ce décalage entre la procédure onusienne et l’urgence climatique commence à poser un réel problème et à exaspérer les pays les plus fortement victimes du dérèglement climatique », ajoute-t-elle. En cause selon elle, la professionnalisation des négociateurs de l’Onu qui empêcherait toute avancée.. « , les négociateurs, qui sont là depuis 15, voire 20 ans, vont continuer leur folklore. Vous retrouvez des centaines de personnes devant leur ordinateur, en train de discuter un point du texte entre crochets ou de jouer aux mots croisés ! » « Il faut changer de méthode : mettre sur la table un document rassemblant les engagements des pays les plus en avance, comme ceux de l’Union européenne, et demander aux Etats qui ne sont pas d’accord de s’exprimer », ajoute-t-elle. « Cela changerait les choses parce que les pays ne voudront pas apparaître comme ceux qui ont fait échouer le sommet de Paris. » Ce est pas tout  fait la même analyse très « diplomatique de Fabius qui dans une interview à Reuters en mai a estimé que le monde n’avait jamais été aussi proche d’un accord universel sans précédent sur la lutte contre le réchauffement climatique tout en reconnaissant qu’il restait de nombreux obstacles à surmonter avant le sommet de Paris Les obstacles à un véritable accord sont connus :  les Etats-Unis et la Chine, qui font partie des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre du monde, restent notamment opposés à tout accord général juridiquement contraignant, comme le souhaitent de nombreux pays en voie de développement.

L’ obsession maladive du pouvoir qui unit le couple Hollande-Royal (Trierweiler)

L’ obsession maladive du pouvoir qui unit le couple Hollande-Royal (Trierweiler)

 

Valérie Trierweiler est toujours aussi vindicative et acerbe à l’égard de Hollande. Elle ne manque cependant pas de pertinence quand elle affirme que pour Hollande et Royal, l’obsession maladive du pouvoir domine tout et fait même disparaitre anciennes blessures. C’est tellement vrai qu’ hier à Cuba , le discours de Hollande n’a pas été lu par l’intéressé, pris  par sa rencontre secret avec Castro, mais par Royal devant la communauté française. Un privilège qu’a apprécié à sa juste valeur l’ancienne compagne de cœur maintenant principale compagne politique.. L’ancienne Première dame de France, Valérie Trierweiler, a donc donné mercredi dans Le Parisien/Aujourd’hui-en-France sa première interview à la presse française depuis la sortie de Merci pour ce moment en septembre dernier. Elle assure que « le pouvoir » est « l’obsession commune » de François Hollande et Ségolène Royal.  Neuf mois après la sortie de Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler a donné mercredi sa première interview à la presse française à l’occasion de la sortie de son livre en poche. « Le pouvoir » est « l’obsession commune » de François Hollande et Ségolène Royal, explique-t-elle dans un entretien au Parisien/Aujourd’hui-en-France. Interrogée sur ce que lui inspire le retour au premier plan de Ségolène Royal, l’éphémère Première dame estime que : « le pouvoir est leur raison de vivre, leur obsession commune. »  »Je m’incline. Ils sont indissociables. Cela dépasse leurs enfants », précise-t-elle avant d’ajouter que « l’enjeu a longtemps été de savoir lequel des deux accéderait à l’Elysée. »  »Il n’y avait pas de place pour une autre femme dans cette histoire. Maintenant, ils peuvent se retrouver et s’entraider », affirme Valérie Trierweiler. Vendu à 750.000 exemplaires, le livre de Valérie Trierweiler avait été critiqué par la classe politique en septembre dernier. « Ce n’est jamais facile, mais c’était le prix à payer. Le crime de lèse-majesté existe encore dans les têtes. Je n’avais pas saisi que nous étions toujours en monarchie », note Valérie Trierweiler. Aurait-elle dû se tenir à un devoir de réserve après son éviction de l’Elysée? « Le devoir de réserve concerne les élus et les fonctionnaires. La contrepartie est un devoir de respect. Je n’ai pas été élue. Et chacun a pu juger de la manière dont j’ai été respectée! Ma liberté m’a été rendue assez…soudainement et brutalement. Au nom de quoi rester prisonnière du silence? », s’interroge-t-elle.

Ségolène Royal « je suis indispensable au gouvernement » !!!!

 Ségolène Royal «  je suis indispensable au gouvernement » !!!!

Humour ou  surdimensionnement de l’égo ? Ségolène dérape une  nouvelle fois. Son « indispensabilitude » laisse rêveur concernant son état mental.  Et si Ségolène Royal était indéboulonnable du gouvernement? A en croire la ministre de l’Ecologie elle-même, interviewée dans les colonnes de Sud-Ouest ce lundi, ce serait le cas. Et tant pis pour la modestie. Dans le détail, celle qui a fait son retour à la table du conseil des ministres il y a un an se dit capable de « concilier ce qui paraît inconciliable », en citant comme exemple  » la question du nucléaire ». « Et ça, c’est grâce à mon expérience de vingt-cinq ans d’élue de terrain et au fait que je ne m’en laisse jamais compter », justifie-t-elle au quotidien régional. Des qualités qui, toujours selon la principale intéressée, feraient d’elle un élément indispensable de l’équipe gouvernementale. Et de résumer le tout en une phrase: Ce n’est pas la première fois que la ministre de l’Ecologie fait ce genre de déclarations. En mai l’an passé, au cours d’un entretien accordé à nos confrères de Paris Match, Ségolène Royal avait déclaré être « enfin à sa place » après son retour dans le rang des ministres. « Je suis à ce poste parce que je suis compétente. Peut-être même la plus compétente », s’était-elle alors targuée. Pour l’humilité, en revanche, il faudra repasser. Parmi ses exploits à signaler son recul sur les tarifs d’autoroutes,  son recul sur Fessenheim, ses atermoiements pour la circulation alternée à Paris, ses silences pour Notre dame des Landes, pour Sivens. Bref en matière d’écologie elle est curieusement absente mais ce qui ne l’empêche de parler sur d’autres sujets …..et surtout elle-même. Ou quand un personnage dépasse sa caricature .

Changement d’heure : Ségolène Royal s’interroge ….au secours !

Changement d’heure : Ségolène Royal s’interroge ….au secours !

Ségolène Royal ( comme beaucoup au gouvernement) se transforme en commentatrice en constatant  que les « Français doutent de l’impact des économies d’énergie » et  fait référence à un sondage BVA pour Orange et iTélé : 58% des Français s’opposent au changement d’heure ; 40% y sont favorables. Du coup elle s’interroge  et dans ce cas là il y a danger tellement les réflexions et propositions de Ségolène sont absurdes ou fantaisistse. Avec elle tout est possible : le raccourcissement du nombre d’heures par jour, la réduction du nombre de jours dans le mois, la modification de dates des saisons. Exemple on raccourcir  l’hiver et on allonge l’été. Elle pourrait même inventer la montre molle de Dali qui ralentit le temps l’été, «  donner du temps au temps » comme disait le sulfureux Mitterrand.  La ministre de l’Ecologie qui veut exister ( elle était même présente sur les lieux du crash), veut s’attaquer à l’institution, mise en place définitivement en 1976, après le choc pétrolier. Elle l’a annoncé sur Twitter : ses équipes vont « vérifier » les « économies d’énergie » qui pourraient découler de la mesure. Et, à partir des résultats, elle décidera « de l’opportunité l’année prochaine » de reconduire le dispositif. Il faut noter que désormais la politique se faiat après lecture des sondage et sur Tweeter. De toute manière 140 caractères c’est bien suffisant pour résumer la pensée profonde de Ségolène.  Tout le monde sait bien que heure d’été est uen absurdité, pas besoin de nouvelles études sur le sujet. : En 2009, un rapport de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) affirme que le gain sur l’éclairage obtenu est de l’ordre de 440 GWh, soit l’émission de 44.000 tonnes de CO2 évitée. Mais cela ne représenterait que 0,1% de la consommation en éclairage totale, selon l’Association pour le rétablissement de l’heure méridienne. Le changement d’heure est aussi désagréable pour certains. Ce sont les études sur le jetlag (décalage horaire) qui l’attestent : selon les observations des chercheurs, le corps a besoin d’un jour pour s’adapter à chaque fuseau horaire traversé. En somme, décaler sa montre d’une heure et adapter son horloge interne à cette nouvelle heure nécessite un jour d’adaptation. La communauté des chronobiologistes est néanmoins plus sceptique : la plupart de ses scientifiques estiment qu’il faut une semaine à une personne âgée ou à un jeune enfant pour passer le cap. Irritabilité, troubles du sommeil et de l’appétit qui peuvent s’accompagner de quelques petites infections virales, le corps étant plus affaibli que de coutume.  Est-il possible d’arrêter le changement d’heure, alors qu’il a été généralisé à l’ensemble de l’Europe en 1998? En France, il est certains lieux où l’on ne change jamais d’heure : il s’agit des DOM-TOM. En effet, les départements et territoires d’outre-mer ne sont pas concernés car ils n’en ont tout simplement pas besoin, les heures et les couchers de soleil ne variant que faiblement à leurs latitudes. Par ailleurs, plusieurs pays dans le monde en sont revenus : la Russie l’a abandonné en 2011, le Japon, la Corée du Sud et l’Islande, seul pays européen concerné, ne l’appliquent plus non plus.

 

Des villes françaises « respirables » (Ségolène Royal)….une « banalitude » de plus

Des villes françaises « respirables »  (Ségolène Royal)….une « banalitude » de plus

 

 

Spécialiste de l’ingénierie sémantique approximative , Ségolène invente un nouveau concept «  les villes respirables ». Si elle n’existait pas, par certain qu’on puisse l’inventer . Ségolène est un modèle unique. Bien sûr issue comme beaucoup du moule de l’ENA et qui n’a jamais rien fait d’autre que de la politique mais le moule était certainement fêlé quand elle a été conçue. Un nouveau concept pour celle qui a réagi avec « retardité » à la pollution de Paris, en plus en instaurant l’ « alternitude circulationnelle» le jour où vraisemblablement il n’y en aura plus besoin. Ségolène Royal a donc déclaré samedi vouloir rendre les villes françaises « respirables toute l’année » grâce à des plans d’action sur cinq ans, alors que Paris connaît depuis plusieurs jours une forte pollution atmosphérique.  Le préfet de police de Paris a annoncé l’instauration lundi de la circulation alternée dans la capitale et 22 communes proches, une mesure jugée trop tardive par la maire Anne Hidalgo et par l’ex-ministre écologiste Cécile Duflot. Lors d’une conférence de presse, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a souligné que la région parisienne n’était pas la seule concernée et qu’il y avait en réalité 34 départements en alerte, notamment dans le Nord et l’Est de la France. »Je voudrais pour ma part insister sur la nécessité d’apporter des réponses globales dans la durée, l’objectif étant moins de réduire les pics que de baisser l’exposition en moyenne sur toute l’année« , a poursuivi Ségolène Royal. Cela suppose selon elle d’agir non seulement sur la circulation mais aussi sur l’industrie, l’agriculture et les modes de chauffage, « en prenant en compte les transferts de polluants entre régions et entre pays». Elle a annoncé qu’elle réunirait prochainement les élus concernés des grandes agglomérations et des régions pour « bâtir des plans d’action sur cinq ans« , afin de relever le défi de « villes respirables toute l’année« . « Personne ne peut croire qu’on va régler le grave problème de la pollution de l’air par les particules uniquement en faisant de temps en temps de la circulation alternée« , a-t-elle expliqué plus tard. « Donc, ce que je demande aux maires des onze plus grandes villes de France, c’est vraiment d’avoir des décisions structurantes irréversibles« , a-t-elle ajouté.

 

Tennis- Roland-Garros : transféré au parc des princes ( Ségolène Royal)

Tennis- Roland-Garros : transféré au parc des princes ( Ségolène Royal)

 

Ségolène Royal n’est pas à une bourde de plus ; elle veut transférer Roland Garros au Parc des princes pour jouer sur gazon et surtout s’opposer à l’extension de Roland Garros. .C’est connu,  Ségolène est cinglée , ce qui ne l’empêche pas d’être ministre( ce serait plutôt un atout) ! Pourquoi pas aussi transférer les matchs de Rolland Garros dans uen piscine ou sur les Champs Elysées. Elle  est prête à tout pour éviter que les travaux d’agrandissement de Roland-Garros n’empiètent sur les serres d’Auteuil. Même à abandonner la terre battue pour la pelouse du Parc des Princes. Farouchement opposée au projet d’agrandissement de Roland-Garros sur les serres d’Auteuil, la ministre de l’Ecologie semble prête à tout pour préserver les intérêts de son ministère. A tel point que l’ancienne candidate à l’élection présidentielle a proposé une alternative complètement inimaginable à Anne Hidalgo, comme cette dernière l’a confié au Parisien ce mardi. « Ségolène Royal voulait que le tournoi de Roland-Garros se joue sur les pelouses de Jean-Bouin ou du Parc des Princes. Pour un tournoi de tennis de terre battue… […] Je lui ai dit que c’était un peu farfelu », s’étonne la maire de Paris, qui tend elle à aider la Fédération française de tennis dans l’avancement du dossier. Des travaux vitaux pour l’avenir de Roland-Garros Jouer Roland-Garros sur gazon, voilà une idée assez saugrenue qui dénote bien l’opposition farouche de Ségolène Royal au projet de modernisation et d’agrandissement du Grand Chelem parisien. Des travaux nécessaires voire vitaux pour l’avenir du tournoi. Pour le gazon, le circuit professionnel a déjà élu domicile à Wimbledon deux semaines plus tard. Et le jardinier du PSG, recruté à prix d’or il y a un an et demi au club d’Aston Villa en Premier League, risque de ne pas apprécier que des tennismen foulent la pelouse du Parc des Princes pendant deux semaines.

 

 

Environnement : Ségolène Royal plus à l’aise en méditerranée qu’en France

Environnement : Ségolène Royal plus à l’aise en méditerranée qu’en France

 

 

De toute évidence Ségolène ne brille pas par sa cohérence en France ( autoroutes gratuites, libéralisation des cars, Fessenheim, nucléaire en général, pesticides etc ) du coup elle déplace le débat en méditerranée. Finalement une  vieille tactique « Hollandaise » quand on est gêné à l’intérieur, on s’investit à l’extérieur ( tactique utilisée par bien d’autres responsables et pas seulement à gauche). Elle est gonflée de parler de transition énergétique quand en fait en France on a pratiquement enterré les promesse dans ce domaine. La ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal a cependant affirmé, ce lundi soir à Lisbonne, vouloir trouver « des propositions communes » avec les pays du bassin occidental de la Méditerranée avant la Conférence mondiale sur le climat que la France réunira fin décembre à Paris.  »Je souhaite qu’il y ait des propositions communes, parce que nous avons un espace commun à défendre, la Méditerranée », a estimé Ségolène Royal, qui s’exprimait avant l’ouverture d’une réunion ministérielle sur l’environnement qui se tient sur deux jours dans la capitale portugaise.   »La Méditerranée est un espace de la planète très gravement impacté par le dérèglement climatique », a ajouté la ministre de l’Ecologie, citant le réchauffement, la pollution et « la dégradation de la biodiversité ». La conférence de Lisbonne sur l’Environnement et des Energies renouvelables, coprésidée par le Portugal et le Maroc, entre dans le cadre des rencontres du Forum 5+5 et regroupe également l’Algérie, la France, l’Italie, la Libye, Malte, la Mauritanie, l’Espagne et la Tunisie. « J’ai décidé d’être là pour marquer l’importance que porte la France, en partenariat avec le Portugal, à l’espace Méditerranéen », a encore affirmé Ségolène Royal, précisant que « ce qui est commun à nos pays, c’est l’entrée dans la transition énergétique ».  »Tous nos pays vont s’engager dans la lutte contre le réchauffement climatique, donc dans la diminution des gaz à effet de serre », a-t-elle ajouté, avant de suggérer des « échanges de technologies dans le domaine des énergies renouvelables ». Le président français François Hollande et son homologue philippin Benigno Aquino avaient lancé ce jeudi « l’Appel de Manille » pour exhorter le monde à trouver un accord sur le climat en décembre à Paris et éviter ainsi à tout prix la réédition de l’échec cuisant de la Conférence de Copenhague en 2009.

 

Administration exemplaire : Royal veut réduire les emails !

Administration exemplaire : Royal veut réduire les emails

On savait que la politique ne servait à rien, on en a la confirmation avec la dernière mesure de Ségolène ; Ségolène a donné instruction de réduire les Emails des fonctionnaires de son ministère. Elle ferait mieux de supprimer la bureaucratie qui paralyse les entreprises (déclarations, statistiques et autres formulaires dont souvent on ne sait pas même plus quel est l’objet).  Mieux,  supprimer ces fonctionnaires inutiles qui viennent par exemple contrôler la couleur de peinture des immeubles, vérifier l’utilisation des de désherbants utilisés par les particuliers ou mesurer la dimension des vérandas, sans parler de formalités plus lourdes imposées aux entreprises. Une décision ubuesque évidemment de Ségolène et fondée sur une étude tout aussi fantaisiste de l’ADEME qui a évalué l’  impact carbone des Emails à partir de la consommation d’énergie des ordinateurs pour leur fonctionnement  leur construction ! Au-delà de l’émission de Co2, il serait urgent de prendre en compte de l’impact de l’émission d’idioties sur la politique voire la démocratie.  le gouvernement adonc adopté la semaine dernière la feuille de route de la troisième conférence environnementale au Conseil national de la transition écologique. « Les ministères doivent être exemplaires dans cette transition, afin que tous les acteurs se sentent encouragés à s’engager, à leur échelle, dans une démarche analogue » est-il affirmé dans le plan gouvernemental.   »Dès maintenant, le ministère de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie lance un ensemble d’actions concrètes, collectives et individuelles » a ajouté la ministre de l’écologie. Pour faire de son ministère un « territoire » de la transition énergétique, Ségolène Royal n’hésite pas à inciter sa propre administration à réduire ses emails dotés de pièces jointes volumineuses. « Un courriel de 1 Mo équivaut à l’émission de 19 g de CO2, avec un seul destinataire, de 73g avec 10 destinataires : je restreins le nombre et le poids de mes pièces jointes de mes courriels et je privilégie l’envoi d’un lien Internet : plus c’est lourd et plus ça émet de CO2″ énonce ainsi très sérieusement le plan d’action « Administration exemplaire ». Les fonctionnaires sont aussi invités à supprimer leurs anciens fichiers et courriels puisque « leur stockage dépense de l’énergie ».

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