Archive pour le Tag 'Round Up'

Round-uUp : interdit seulement pour les particuliers ?

Round-up : interdit seulement pour les particuliers ?

 

Finalement il se pourrait bien que le glysophate (Round-Up ou autre marque) puisse être interdit seulement pour les particuliers en France. En effet la commission européenne doit se prononcer sur le sujet. Un sujet très polémique quant à ses conséquences éventuelles sur le cancer. Il se pourrait que la commission européenne autorise encore l’utilisation de ce désherbant en se fondant sur l’avis de l’agence européenne de santé. Du coup le glysophate  qui sera définitivement interdit en France pour les particuliers à partir de 2019 continuerait d’être utilisé par les professionnels. Une orientation française complètement incohérente car l’essentiel de ce produit est à usage professionnel, comment comprendre que le Round-Up puisse être dangereux pour la santé des individus quand ils l’utilisent dans leur jardin et qu’il puisse ne présenter aucun danger quand il est utilisé par les professionnels. L’autorisation du glyphosate en Europe arrive à échéance le 30 juin. Une date déterminante alors que les experts de la Commission européenne doivent voter sa prolongation pour dix ans. Un acte, loin d’être anodin, à l’heure où le Roundup, le désherbant le plus utilisé au monde, ne cesse de faire polémique et ce depuis de nombreuses années. S’il est jugé dangereux par de nombreux ONG et députés, le Parlement européen s’est montré plus prudent le mois dernier. Ce dernier avait préconisé une homologation plus courte du glyphosate. Une nouvelle autorisation de sept ans seulement, au lieu de dix ans, ainsi qu’une interdiction pour les usages non professionnels. Un avis qui ne devrait pas être suivi par la Commission européenne.  La polémique est telle que certains députés ont même testé leur urine. Un acte symbolique pour dénoncer la toxicité du produit, démontrée selon eux par plusieurs études. L’année dernière, le Centre international de recherche sur le cancer, qui dépend de l’Organisation mondiale de la santé a classé le glyphosate comme cancérogène probable. Des résultats contredits par un autre comité de l’OMS dans une étude parue mardi 17 mai, à la veille d’un débat déterminant. Une étude largement pointée du doigt par les ONG qui dénonce un conflit d’intérêts. Certains des experts qui ont participé à cette étude seraient proches de quelques producteurs.  Mais une seule certitude à l’heure actuelle : ces résultats confortent l’avis de l’agence de santé européenne qui considère que le glyphosate n’est pas cancérogène. Or, c’est sur son avis que se basent les experts européens pour leur décision. Bruxelles se prononce ce mercredi 18 mai sur la ré-autorisation du produit

 

(Avec RTL)

Ségolène Royal relance la vente de Round-Up ( glysophate) !!!

Ségolène Royal relance la vente de Round-Up ( glysophate) !!!

Paradoxalement Ségolène Royal a relancé la vente Round-up ( glysophate , substance conçue en 1974 par la firme américaine) en recommandant de ne plus mettre en vente ce produit pour les particuliers, produits qui devraient être complètement interdits à partir de 2019 il y a d’abord une grande hypocrisie car cette recommandation voire cette interdiction ne touche que les particuliers et non l’agriculture qui consomme l’essentiel de cette molécule. En outre en attendant l’éventuelle  interdiction, les particuliers font de plus en plus de réserves. . En juin 2015, la ministre de l’Écologie a enjoint les magasins et autres jardineries a à faire disparaître de leurs rayons les produits phytosanitaires, et plus particulièrement ceux contenant du glyphosate. Une substance conçue en 1974 par la firme américaine Monsanto -principal composé de son produit phare le « Roundup »- classée « cancérogène probable » depuis mars 2015 par l’Organisation mondiale de la santé. Mais cette injonction n’a pas eu l’effet escompté. Loin s’en faut. Selon certains professionnels du monde de la jardinerie, les annonces de Ségolène Royal ont même relancé l’intérêt des Français pour ce type de produits. Interrogé par France Bleu Armorique, le directeur d’une jardinerie située à Plérin (Côtes-d’Armor) l’affirme sans détour: « le message de la ministre (concernant l’interdiction à la vente des herbicides, ndlr) a créé un vent de panique chez les clients ». Ce qui se ressent, selon lui, sur les ventes. Sans préciser les volumes réalisés par son établissement, Dominique Méheust précise que celles-ci sont « très bonnes ».  Selon plusieurs estimations, la France se classe d’ailleurs au premier rang des pays européens ayant le plus recours aux pesticides. Chaque année, plus de 627.000 tonnes de produits chimiques sont utilisés dans l’Hexagone. Ce volume pourrait toutefois décroître en 2019. Lorsque l’interdiction à la vente des glyphosates et autres dérivés entrera en vigueur. « Tant que le produit n’est pas interdit à la vente, on en aura » souligne Dominique Méheust avant de préciser que « le jour où il sera interdit, il sera retiré des rayons ».

(Avec BFM)

 

Glyphosate (Round Up) : l’écologie pour les particuliers, pas pour l’agriculture

Glyphosate (Round Up) : l’écologie pour les particuliers, pas pour l’agriculture

 

C’est sur la pointe des pieds que la ministre de l’écologie Ségolène Royal émet le souhait d’une régulation pour la vente du glyphosate ‘ (Round Up, produit le plus connu) mais seulement s’il est mélangé à certains adjuvants. Pendant ce temps-là l’Union européenne s’apprête à prolonger pour 15 ans l’autorisation d’utiliser le glyphosate, un puissant désherbant, la députée européenne EELV Michèle Rivasi a dénoncé mercredi à Bruxelles la « pression » de certains industriels, lors d’une conférence de presse. Le glyphosate est un composant du Roundup, l’herbicide le plus commercialisé au monde et appartenant au groupe Monsanto.
« On dirait que la pression de Monsanto tétanise nos experts européens », a estimé Michèle Rivasi. . La ministre de l’Ecologie Ségolène Royal n’a pas interdit le glyphosate mais  a demandé poliment vendredi à l’ANSES (Agence de sécurité sanitaire) le retrait des autorisations de mise sur le marché des herbicides contenant du glyphosate mélangé à des adjuvants à base d’amines grasses de suif (tallow amine), qui présentent des risques pour la santé, a annoncé le ministère. «Ségolène Royal demande à l’ANSES une réévaluation immédiate de l’ensemble des produits phytosanitaires contenant du glyphosate et des co-formulants de la famille des tallow amine et le retrait des autorisations de mise sur le marché des produits concernés présentant des risques préoccupants». Il  est clair que cette pseudo interdiction du round up de Ségolène Royal relève de la fumisterie politicienne  et non d’une  politique écologique surtout cette interdiction ne vise que les particuliers comme l’avait suggéré Ségolène Royal en juin. En gros plus de Round up en libre service mais surtout aucune restriction du Round up pour l’agriculture qui utilise 95% du produit. Une vraie politique de gribouille typique de Ségolène qui pour exister dans un ministère sans pouvoir ne cesse d’accumuler les annonces gadget. Des associations écologistes reconnaissent l’engagement de la ministre mais estiment que la mesure sera inutile si l’agriculture n’est pas aussi concernée.  Face à un géant comme Monsanto, un petit pas prend vite des allures d’enjambée de géant. Lorsqu’elle se déclare pour l’interdiction de la vente en libre service aux particuliers du désherbant Roundup, produit vedette de Monsanto, Ségolène Royal provoque une avalanche de réactions L’interdiction de vente en libre service impliquera de passer par un conseiller du magasin pour obtenir du Roundup. Et si ce conseiller n’est pas convaincant, un particulier pourra toujours rentrer chez lui avec un bidon du fameux désherbant pour pulvériser le carré de gravier dans son jardin.  Demander impliquera de savoir. Le client aura les informations sur les précautions d’usage et les dangers de ce produit. Il saura qu’il existe des alternatives qui ne nuisent pas à l’environnement. C’est une bonne prise de conscience », estime pourtant Benoît Hartmann. FNE reconnaît également que si le monde agricole, principal utilisateur de glyphosate, n’est pas concerné, « ça n’a pas de sens ». Un point de vue relayé par Jean-François Piquot d’Eau et Rivières de Bretagne : « 90% des pesticides utilisés en France sont à usage agricole et Stéphane Le Foll a déjà fait savoir qu’il n’est pas question d’interdire le Roundup dans l’agriculture. Jean-François Piquot est d’autant plus critique face aux déclarations de Ségolène Royal que la ministre « sonne la mobilisation mais n’avance pas beaucoup » : Ségolène Royal  dit seulement qu’elle va ‘demander’. On reste dans le registre de la déclaration d’intention. ». a députée européenne EELV Michèle Rivasi a dénoncé mercredi à Bruxelles la « pression » de certains industriels, lors d’une conférence de presse. Le glyphosate est un composant du Roundup, l’herbicide le plus commercialisé au monde et appartenant au groupe Monsanto.  »On dirait que la pression de Monsanto tétanise nos experts européens », a estimé Michèle Rivasi.  Selon elle, « il faut faire bouger nos institutions européennes, parce qu’elles ne sont pas aux normes internationales de la transparence. » Michèle Rivasi a également considéré que ce n’est pas le seul danger, vu que le glyphosate, que « vous trouvez dans plus de 100 produits », « n’est que la substance active. » « On s’aperçoit que ce qu’on met avec la substance active, que l’on appelle les coformulants, sont 1.000 fois plus toxiques que la substance active elle-même », a-t-elle assuré ajoutant qu’il « circule à l’heure actuelle sur le plan européen des produits qui entraînent la mort. » L’Union européenne prendra sa décision les 7 et 8 mars à Bruxelles

Glyphosate (Round Up) : l’écologie pour les particuliers, pas pour l’agriculture

Glyphosate (Round Up) : l’écologie pour les particuliers, pas pour l’agriculture

 

C’est sur la pointe des pieds que la ministre de l’écologie Ségolène Royal émet le souhait d’une régulation pour la vente du glyphosate ‘ (Round Up, produit le plus connu) mais seulement s’il est mélangé à certains adjuvants. Ce n’est donc pas une claire condamnation du produit. En outre il se pourrait bien que la restriction de vente ne concerne que les particuliers. La ministre de l’Ecologie Ségolène Royal n’a pas interdit le glyphosate mais  a demandé poliment vendredi à l’ANSES (Agence de sécurité sanitaire) le retrait des autorisations de mise sur le marché des herbicides contenant du glyphosate mélangé à des adjuvants à base d’amines grasses de suif (tallow amine), qui présentent des risques pour la santé, a annoncé le ministère. «Ségolène Royal demande à l’ANSES une réévaluation immédiate de l’ensemble des produits phytosanitaires contenant du glyphosate et des co-formulants de la famille des tallow amine et le retrait des autorisations de mise sur le marché des produits concernés présentant des risques préoccupants». Il  est clair que cette pseudo interdiction du round up de Ségolène Royal relève de la fumisterie politicienne  et non d’une  politique écologique surtout cette interdiction ne vise que les particuliers comme l’avait suggéré Ségolène Royal en juin. En gros plus de Round up en libre service mais surtout aucune restriction du Round up pour l’agriculture qui utilise 95% du produit. Une vraie politique de gribouille typique de Ségolène qui pour exister dans un ministère sans pouvoir ne cesse d’accumuler les annonces gadget. Des associations écologistes reconnaissent l’engagement de la ministre mais estiment que la mesure sera inutile si l’agriculture n’est pas aussi concernée.  Face à un géant comme Monsanto, un petit pas prend vite des allures d’enjambée de géant. Lorsqu’elle se déclare pour l’interdiction de la vente en libre service aux particuliers du désherbant Roundup, produit vedette de Monsanto, Ségolène Royal provoque une avalanche de réactions L’interdiction de vente en libre service impliquera de passer par un conseiller du magasin pour obtenir du Roundup. Et si ce conseiller n’est pas convaincant, un particulier pourra toujours rentrer chez lui avec un bidon du fameux désherbant pour pulvériser le carré de gravier dans son jardin.  Demander impliquera de savoir. Le client aura les informations sur les précautions d’usage et les dangers de ce produit. Il saura qu’il existe des alternatives qui ne nuisent pas à l’environnement. C’est une bonne prise de conscience », estime pourtant Benoît Hartmann. FNE reconnaît également que si le monde agricole, principal utilisateur de glyphosate, n’est pas concerné, « ça n’a pas de sens ». Un point de vue relayé par Jean-François Piquot d’Eau et Rivières de Bretagne : « 90% des pesticides utilisés en France sont à usage agricole et Stéphane Le Foll a déjà fait savoir qu’il n’est pas question d’interdire le Roundup dans l’agriculture. Jean-François Piquot est d’autant plus critique face aux déclarations de Ségolène Royal que la ministre « sonne la mobilisation mais n’avance pas beaucoup » :  Ségolène Royal  dit seulement qu’elle va ‘demander’. On reste dans le registre de la déclaration d’intention. »

 

 

 

Round-up : Monsento dit non , ben voyons !

Round-up : Monsento dit non , ben voyons !

 

Le patron de Monsanto France  vient de dire non à Ségolène pour interdire le Round-up. En fait le même type arrogance qu’UberPop, la méthode américaine ,on s’assoit sur le droit national. Une illustration de ce qui nous attend avec le futur traité  transatlantique s’il reste en l’état. Certes Ségolène n’a pas craint le ridicule d’abord en s’attaquant à une  marque et non à une substance. En  occurrence le glyphosate. Puis en ne voulant l’interdire que pour les particulier salors que l’agriculture industrielle consomme 95% du produit. C’est » l’approximatitude » faux- cul habituelle de Ségolène qui est à écologie ce que le Mac Do est à la gastronomie.  Pour autant le patron de Monsanto est particulièrement culotté de déclarer qu’il ne veut pas de la possible interdiction française. Monsanto le champion mondial de la chimie agricole ne supporte pas de toute évidence le moindre obstacle national à son hégémonie ( idem pour les plantes transgénique). L’herbicide phare de MONSANTO, le Round-up (produit actif : le glyphosate) est le principal revenu de cette société : Dans le cadre des Plantes Génétiquement Manipulées, il s’agit de créer des végétaux résistants à ce désherbant pour pouvoir l’utiliser contre les autres plantes. L’utilisation de ce produit croît avec l’utilisation des OGM et se révèle dangereux : Reste présent dans le sol, allergisant, dysfonctionnement du cycle cellulaire qui chez l’homme est précurseur du cancer…L’herbicide le plus utilisé dans le monde : le Roundup (vendu en Europe sous 35 formulations différentes, Monsanto détient en France 60% du marché du glyphosate. Au-delà de la question de la dangerosité du glyphosate pour l’environnement et la santé , c’est la question de la souveraineté qui est posée avec désormais une attitude particulièrement arrogante des multinationales type Uber ou Monsanto qui ne supportent  pas qu’on régule leur développement quand il s’avère néfaste. On sait évidemment depuis longtemps que les multinationales ont pris le pouvoir sur les politiques nationales mais jusque là c’était de manière discrète voire secrète y compris avec des pots de vins et autres formes de corruption , ce qui est nouveau c’est que les multinationales s’appuie sur l’opinion publique en jouant sur les contradiction entre le souhait du consommateur et le souhait du citoyen responsable. Une sorte de bataille idéologique à visage découvert et avec l’appui des grands médias.

 

Ségolène-Ecologie : après le Round up, le Nutella interdit ?

Ségolène-Ecologie : après le Round up, le Nutella interdit ?

Ségolène après s’être attaqué au Round Up acheté par des  particulier s( en fait en faisant semblant puisque 95% du désherbant est utilisé par l’agriculture !) cette fois s’en prend au Nutella accusé de détruire 20 000 hectares de forets .  Elle propose d’utiliser autre chose comme matière grasse ( ( le Nutella c’est essentiellement du gras), peut-être du beurre ! le beurre produit grâce au soja massivement importé qui a détruit 250 000 hectares de forêts surtout en Amérique du sud ? Tout cela es t évidemment de la com. Pourquoi aussi ne parler des bio carburants ( écologiques ?) qui détruisent aussi immenses forêts ? Après le Roundup, le Nutella est dans le viseur de la ministre de l’Ecologie. Ségolène Royal s’en est pris, lundi 15 juin, à la célèbre pâte à tartiner, accusée de contribuer à la déforestation de par son recours massif à l’huile de palme «Il faut replanter massivement des arbres, parce qu’il y a eu une déforestation massive qui entraîne aussi du réchauffement climatique. Il faut arrêter de manger du Nutella, par exemple, parce que c’est de l’huile de palme », a déclaré la ministre, invitée du « Petit Journal » de Canal+. « Il faut qu’ils utilisent d’autres matières premières », a-t-elle souligné, évoquant les « dégâts considérables » causés par les besoins en huile de palme. Refusant de commenter les propos de Ségolène Royal, la marque Ferrero, qui produit cette pâte à tartiner, a réagi en se disant « tout à fait consciente des enjeux environnementaux ». Ferrero « a pris de nombreux engagements notamment concernant son approvisionnement en huile de palme », observe le groupe italien, assurant que « la culture du palmier à huile peut aller de pair avec le respect de l’environnement et des populations ». L’entreprise, qui se fournit en Malaisie, en Papouasie-Nouvelle-Guinée et au Brésil, dit veiller à la traçabilité de ses matières premières, notamment via la Table ronde pour une huile de palme durable (RSPO). Cette instance milite pour l’usage d’huile de palme durable et assure une certification des produits. Fin 2012, des sénateurs français avaient tenté, en vain, de faire voter une surtaxe de 300% sur l’huile de palme contenue dans la célèbre pâte à tartiner, en arguant de la dangerosité de cette huile végétale pour la santé (obésité) et l’environnement (déforestation).

 

Round Up : l’écologie pour les particuliers, pas pour l’agriculture

Round Up : l’écologie pour les particuliers, pas pour l’agriculture

Il  est clair que cette pseudo interdiction du round up de Ségolène Royal relève De la fumisterie politicienne  et non d’une  politique écologique. En gros plus de Round up en libre service mais on peut quand même en avoir en le demandant  mais surtout aucune restriction du Round up pour l’agriculture qui utilise 95% du produit. Une vraie politique de gribouille typique de Ségolène qui pour exister dans un ministère sans pouvoir ne cesse d’accumuler les annonces gadget ( elle attaque aussi au chocolat !).  Des associations écologistes reconnaissent l’engagement de la ministre mais estiment que la mesure sera inutile si l’agriculture n’est pas aussi concernée.  Face à un géant comme Monsanto, un petit pas prend vite des allures d’enjambée de géant. Lorsqu’elle se déclare pour l’interdiction de la vente en libre service aux particuliers du désherbant Roundup, produit vedette de Monsanto, Ségolène Royal provoque une avalanche de réactions L’interdiction de vente en libre service impliquera de passer par un conseiller du magasin pour obtenir du Roundup. Et si ce conseiller n’est pas convaincant, un particulier pourra toujours rentrer chez lui avec un bidon du fameux désherbant pour pulvériser le carré de gravier dans son jardin.  Demander impliquera de savoir. Le client aura les informations sur les précautions d’usage et les dangers de ce produit. Il saura qu’il existe des alternatives qui ne nuisent pas à l’environnement. C’est une bonne prise de conscience », estime pourtant Benoît Hartmann. FNE reconnaît également que si le monde agricole, principal utilisateur de glyphosate, n’est pas concerné, « ça n’a pas de sens ». Un point de vue relayé par Jean-François Piquot d’Eau et Rivières de Bretagne : « 90% des pesticides utilisés en France sont à usage agricole et Stéphane Le Foll a déjà fait savoir qu’il n’est pas question d’interdire le Roundup dans l’agriculture. Jean-François Piquot est d’autant plus critique face aux déclarations de Ségolène Royal que la ministre « sonne la mobilisation mais n’avance pas beaucoup » :  Ségolène Royal  dit seulement qu’elle va ‘demander’. On reste dans le registre de la déclaration d’intention. »

 




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