Archive pour le Tag 'ridicule'

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Changement d’heure d’été : toujours le même rituel ridicule

Changement d’heure d’été : toujours le même rituel ridicule

 

 

 

Ce week-end, il  va falloir se soumettre à nouveau au rituel ridicule de changement d’heure ; Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire. En matière d’énergie, ce qui est économisé  le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle ! Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure  et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ».

Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile.  54 % Selon un sondage Opinion Way pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %). (59 %) mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une  réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ». En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France). La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été.

Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %.  Un rapport remis au Sénat français en 1997

concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

Politique -La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

Politique -La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

 

 

 

 

Globalement nombre de pays européens sont victimes de la politique énergétique irresponsable de l’Allemagne et de quelques autres pays du nord de l’Europe. En effet en dépit de la cruauté de la guerre en Ukraine, d’une certaine manière l’union européenne détourne la tête. Elle compte sur sa ligne Maginot qui consisterait à se priver du gaz seulement en 2027.

 

Il n’est pas certain que cette menace soit très opérationnelle pour stopper la folie meurtrière de Poutine. Une folie qui n’a jamais été réellement prise en compte par les pays européens qui ont toujours continué d’entretenir des relations diplomatiques alors que Poutine ne cessait ses entreprises guerrières en Europe, au Moyen-Orient mais aussi en Afrique.

 

En cause, le fait en particulier que l’Allemagne et d’autres ne peuvent se passer du gaz russe après avoir fait une croix sur le nucléaire. Pire, jusqu’à ces derniers jours ces pays souhaitaient  que la France abandonne son nucléaire une des rares armes de souveraineté économique du pays pour d’hypothétiques éoliennes à l’énergie intermittente très coûteuse. Résultat, pour se priver du gaz russe on va réactiver les centrales au charbon. Une vraie politique de gribouille sur le plan économique et énergétique et une politique pacifiste hypocrite d’une union européenne qui a toujours privilégié le business par rapport à d’autres valeurs sociétales.

 La stratégie de l’Europe rappelle celle de la ligne Maginot qui devait arrêter l’ennemi. Qui sait où va s’arrêter Poutine ? Personne n’en sait rien et sans doute lui non plus qui paraît de plus en plus affecté par le syndrome de l’isolement du dictateur .

 S’il y a des sanctions massives à prendre, il faut les prendre évidemment maintenant et non attendre des signes de bonne volonté d’un cinglé du KGB qui n’a connu  dans sa vie que la force et le meurtre comme moyen de persuasion.

La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

La ligne Maginot de l’Europe : se priver du gaz russe en 2027 ! Ridicule

 

 

 

 

Globalement nombre de pays européens sont victimes de la politique énergétique irresponsable de l’Allemagne et de quelques autres pays du nord de l’Europe. En effet en dépit de la cruauté de la guerre en Ukraine, d’une certaine manière l’union européenne détourne la tête. Elle compte sur sa ligne Maginot qui consisterait à se priver du gaz seulement en 2027.

 

Il n’est pas certain que cette menace soit très opérationnelle pour stopper la folie meurtrière de Poutine. Une folie qui n’a jamais été réellement prise en compte par les pays européens qui ont toujours continué d’entretenir des relations diplomatiques alors que Poutine ne cessait ses entreprises guerrières en Europe, au Moyen-Orient mais aussi en Afrique.

 

En cause, le fait en particulier que l’Allemagne et d’autres ne peuvent se passer du gaz russe après avoir fait une croix sur le nucléaire. Pire, jusqu’à ces derniers jours ces pays souhaitaient  que la France abandonne son nucléaire une des rares armes de souveraineté économique du pays pour d’hypothétiques éoliennes à l’énergie intermittente très coûteuse. Résultat, pour se priver du gaz russe on va réactiver les centrales au charbon. Une vraie politique de gribouille sur le plan économique et énergétique et une politique pacifiste hypocrite d’une union européenne qui a toujours privilégié le business par rapport à d’autres valeurs sociétales.

 La stratégie de l’Europe rappelle celle de la ligne Maginot qui devait arrêter l’ennemi. Qui sait où va s’arrêter Poutine ? Personne n’en sait rien et sans doute lui non plus qui paraît de plus en plus affecté par le syndrome de l’isolement du dictateur .

 S’il y a des sanctions massives à prendre, il faut les prendre évidemment maintenant et non attendre des signes de bonne volonté d’un cinglé du KGB qui n’a connu  dans sa vie que la force et le meurtre comme moyen de persuasion.

Présidentielle: la fin bientôt de la candidature ridicule de Taubira ?

Présidentielle: la fin bientôt de la candidature ridicule de Taubira ?

La tragi-comédie va sans doute bientôt se terminer pour Christiane Taubira supposée représenter la volonté du « peuple de gauche » pour l’union. En fait, elle n’a  réussi à persuader personne de l’intérêt et de la cohérence de cette stratégie sauf quelque gauchistes naifs. L’intéressé s’est installé dans une posture assez ridicule pour ne pas dire davantage puisque mandatée pour réaliser l’union , elle participe maintenant à accroître encore la désunion. Une posture complètement incompréhensible qui a d’ailleurs amené certains de ses soutiens comme le parti radical de gauche à la lâcher. À une semaine de la clôture des parrainages, Christiane Taubira ne compte que 104 signatures recueillies sur 500, et voit se réduire ses chances de poursuivre l’aventure présidentielle, entamée il y a un peu plus d’un mois. Elle s’était déclarée tardivement, le 15 janvier dernier.

EDF : une amende de 300 millions ridicule

EDF : une amende de 300 millions ridicule

Une sanction de 300 millions d’euros par l’Autorité de la concurrence pour abus de position dominante. Une amende assez ridicule d’abord parce que finalement elle sera payée par le contribuable et par l’usager. Ensuite parce qu’elle repose sur un reproche assez inédit concernant l’ouverture du fichier clients EDF aux autres opérateurs dans le cas de la libéralisation.

L’organisme indépendant « au service de la compétitivité et du consommateur », comme il se présente, reproche au fournisseur d’électricité d’avoir « exploité abusivement » de 2004 à 2021 des fichiers de clients, dont le groupe disposait dans le cadre de sa mission de service public de l’électricité. Et ce dans le but de proposer aux consommateurs des offres de marché en gaz, électricité et autres services énergétiques, dans une « logique de conquête commerciale » lors de la période d’ouverture à la concurrence du secteur.

Ces pratiques ont ainsi contribué « à conforter la position d’EDF dans l’ensemble du secteur de l’énergie et à retarder le développement de fournisseurs alternatifs », est-il précisé.

 

Depuis 2007, les particuliers peuvent souscrire au tarif réglementé de vente (TRV) d’EDF (pour l’électricité) avec des prix fixés par les pouvoirs publics, mais aussi à des offres de marché, à prix libres, vendues aussi bien par l’opérateur historique français que par des dizaines de concurrents (Engie, Eni, Total, Vattenfall, etc).

Lors d la  crise récente sur les prix de l’énergie nombre de c es fournisseurs qui avaient promis la lune ont mis la pédale douce pour la fourniture d’électricité ou même ont cessé toute activité dans ce domaine. Sans parler de ce qui promettait de fournir de « l’électricité verte »alors qu’il n’existe qu’un réseau qui véhicule l’électricité produite par les différentes énergies. L’autorité de la concurrence serait sans doute mieux à faire en se préoccupant de l’approvisionnement nécessaire à l’économie puisqu’aujourd’hui la France est même contrainte d’importer de l’électricité. Tout cela pose la question aussi de ces différents organismes de régulation qui ne servent  pas à grand-chose et qui pour des questions existentielles se singularisent  par des décisions assez discutables.

Franglais: l’Académie française dénonce la mode ridicule

Franglais:  l’Académie française dénonce la mode ridicule

 

Une nouvelle fois l’Académie française rappelle à l’ordre l’État sur l’utilisation abusive et ridicule du franglais. Sorte de nouveau latin de cuisine au vernis moderniste.

Trop de termes étrangers dans une langue peuvent la menacer, à terme, surtout lorsque les représentants publics usent et abusent d’expressions empruntées. C’est la conclusion de l’Académie française qui intime les pouvoirs publics à agir, en commençant par respecter eux-mêmes le français et à veiller à leurs bons usages de la langue.

L’institution évoque une « altération du sens et de la fonction des mots » (pour les terminaisons en « -ing » ou « -ty »), des « chimères lexicales composites assez indéfinissables » (« let’s cagnotte » (sic)), ou encore la suppression des articles ou la disparition des prépositions. Le tout a « des conséquences d’une certaine gravité sur la syntaxe et la structure même du français », estime l’institution, qui ajoute : « L’afflux massif [des anglicismes], instable, porte atteinte à l’identité et éventuellement à l’avenir de notre langue. »

L’Académie se dit ainsi « gravement préoccupée par le développement du franglais. Les violations répétées de la loi Toubon, qui a posé les règles de l’emploi du français dans la sphère publique, dénaturent notre langue, autant par l’invasion des termes anglo-saxons que par la détérioration qu’ils entraînent de sa syntaxe ».

Cette loi Toubon, adoptée en juillet 1994, vise à l’enrichissement de la langue, mais impose aussi une obligation d’utiliser des termes français aux personnes morales de droit public (autrement dit, les administrations) et les personnes de droit privé dans l’exercice d’une mission de service public (élus, fonctionnaires et autres). Ainsi, elle s’applique bien au président, comme aux membres du gouvernement et autres ministères.

Aussi, l’institution « alerte solennellement les pouvoirs publics et les invite en premier lieu à respecter eux-mêmes la loi », peut-on lire dans le communiqué. « Si ceux-ci ne réagissent pas vigoureusement, si l’opinion ne prend pas la mesure du danger qui le menace, le français cessera d’être la langue vivante et populaire que nous aimons ».

Un des problèmes est que le gouvernement et le président de la république en premier ne cesse de se saouler de ce franglais pour diffuser la « nov langue dont la start nation France aurait besoin ».

Présidentielle : Christiane Taubira propose un « chemin de joie » ou de ridicule

Présidentielle : Christiane Taubira propose un « chemin de joie »  ou de ridicule

 

Faute de de contenu crédible sur la plupart des champs d’intérêt général, Christine Taubira propose un » chemin de joie » aux Français comme programme dans le JDD. Et de proposer du bricolage politique avec encore une modification de la constitution qui comprendrait des amendements citoyens !

Heureusement le ridicule ne tue pas sinon il y a longtemps quelle aurait disparu celle qui ce caractérise comme une grande bourgeoise wokiste exhibitionniste et tueuse de la gauche. Le pire c’est qu’elle a reçu un mandat pour faire l’union et qu’elle transforme ce mandat en investiture officielle mais sans l’union. Bref l’image même de la décrépitude d’une certaine gauche bobo bien loin des réalités sociaux économiques des couches populaires qu’elle est supposée  représenter.

Désignée dimanche par la primaire populaire, l’ex-garde des Sceaux estime détenir le « plus gros socle de légitimité démocratique à gauche ». Elle propose la suppression de l’article 49.3 et du droit de dissolution, et veut instaurer des « amendements citoyens ».

Depuis votre désignation par la primaire populaire, il y a une semaine, vous avez contacté tous les autres candidats de gauche, sans succès. Actez-vous l’impossibilité du rassemblement?

En décembre, j’avais constaté l’impasse à gauche. Tous les candidats parlaient de la nécessité de l’union, mais chacun disait : ‘Venez derrière moi!’ J’ai estimé que la seule façon d’entrer dans cette campagne sérieusement était de le faire en acceptant le plus haut niveau de risque, celui de la primaire, et de responsabilité, pour tenter d’amener les candidats vers une démarche de rassemblement. Afin de faire bouger les choses et de montrer à nos électeurs que nous savons être responsables.

Mais ça n’a pas été le cas…
Je constate que non, à ce jour. Mais tout peut encore arriver dans cette campagne. En tout cas, je ne me résigne pas.

Quelle conclusion en tirez-vous?
Ce n’est pas le moment de conclure, c’est le moment de se battre. Contre la droite et contre l’extrême droite, pour la justice sociale et l’écologie.

N’aviez-vous pas promis de ne pas être une candidate de plus?
Avec 400.000 votants, la campagne que je mène bénéficie du plus gros socle de légitimité démocratique à gauche. Moi, je n’ai pas joué avec la primaire populaire, pas chipoté, pas dit que j’allais scruter les résultats avant de m’y soumettre. J’en ai accepté les règles quand d’autres, qui avaient beaucoup fréquenté les organisateurs pendant un an, se sont tout d’un coup bouché le nez… A eux de s’en expliquer. Moi, je n’ai pas d’agenda non avoué. Je ne suis pas dans une logique de parti. Je ne cherche pas à négocier des circonscriptions. Je suis dans cette campagne pour que la gauche l’emporte.

Que vous inspirent leurs réactions acerbes après votre victoire?
Je crois qu’ils se trompent de combat. Je n’ai pas d’adversaire à gauche, nous gouvernerons ensemble, nos projets sont très proches. Je ne fais pas de politique avec des mouvements d’humeur. Je ne fais pas de la politique pour me battre contre la gauche. Nous devrions nous inspirer de grandes démocraties qui savent réunir les gauches, l’écologie, les mouvements citoyens.

Par ce vote, estimez-vous être plus légitime que les autres?
En tout cas, il y avait plus de votants à la primaire populaire que toutes les primaires ou fausses primaires de gauche et de droite additionnées. Les thématiques de gauche – justice sociale, retraites, smic, salaires – sont en train de remonter dans la campagne. C’est maintenant de cela qu’on doit s’occuper. Les querelles de légitimité à gauche ne régleront pas les problèmes des ouvriers des entrepôts, des salariés sous le smic ou des mères célibataires.

Y aura-t-il quoi qu’il arrive un bulletin Taubira à la présidentielle?
J’ai mis ma légitimité dans les mains du mouvement citoyen. J’ai aujourd’hui un mandat populaire pour aller au bout et rassembler. Je raisonne sur la dynamique.

Donc sans dynamique, vous abandonnez?
Non, je n’abandonnerai pas les gens. Je me battrai jusqu’au bout pour que la gauche gagne cette élection. Au moins jusqu’au 10 avril, et je l’espère jusqu’au 24. Je ne suis pas une observatrice, mais une actrice de la vie politique. Je suis dans un combat. Je ne passe pas mon temps à étudier les sondages. Oui, la gauche est éparpillée, oui, la situation est difficile, c’est indiscutable. Mais parce que c’est difficile, il y a obligation de se dépasser.

Aurez-vous les parrainages et l’argent pour faire cette campagne?
Je n’imagine pas qu’il y ait de problème avec les parrainages après un tel vote citoyen. Quant à l’argent, tout le monde est bénévole autour de moi. Je mène une campagne citoyenne, diverse, dont la plus grande source de financement sera les dons de dizaines de milliers de Français.

Préparez-vous les élections législatives?
Je prendrai part à la bataille des législatives. On verra de quelle place. Aujourd’hui, le sujet, c’est l’élection présidentielle.

Cette semaine, devant la fondation Abbé Pierre, vous avez semblé hésitante sur le logement. Etes-vous suffisamment préparée pour cette campagne?
J’ai eu deux secondes d’hésitation sur une prise de parole de trente minutes. Mais je ne suis pas en train de préparer Questions pour un champion! Je prétends à la magistrature suprême. Heureusement qu’il m’arrive de réfléchir avant de répondre. Oui, ma candidature est récente car elle est liée à la situation de la gauche. Je ressens comme une sommation le fait de protéger les personnes fragilisées dans ce quinquennat, les personnes au smic ou en dessous, les personnes aux retraites inférieures à 800 euros… On ne peut leur dire, c’est foutu ce coup-ci, vous allez encore en baver pendant cinq ans, et peut-être qu’en 2027, on sera bons. Donc devant la fondation Abbé Pierre, j’ai présenté les grandes lignes de mon programme en matière de logement. Ces grandes lignes étaient précises.

Quelles sont-elles, justement?
Je veux mettre en place l’encadrement des loyers dans les zones tendues et en faire une règle. J’ai annoncé une garantie universelle des loyers pour protéger les petits revenus face aux impayés tout en précisant le financement : une taxe sur les ventes de biens supérieurs à 15.000 euros du mètre carré. Il faut aussi construire 700.000 logements sociaux et très sociaux. J’ai indiqué que les aides personnalisées aux logements [APL] devaient couvrir le loyer plus les charges. J’ai indiqué aussi le nouveau mode de financement de la rénovation thermique : pour les plus modestes, les projets de rénovation seront financés à 80% par des fonds publics et non plus à 35% comme aujourd’hui. Pour les 20% restants, il y aura un prêt à taux zéro

 

Quand présenterez-vous votre programme global?
Il y a un candidat putatif qui va se déclarer après moi : personne ne lui demandera s’il est prêt ou pas. Moi, je le suis. J’ai été ministre régalienne, je connais l’appareil d’Etat, je n’aurai pas besoin d’apprendre ce qu’est l’exercice du pouvoir. Quant à mon projet, je le décline depuis décembre lors de mes déplacements thématiques sur le terrain et je le présenterai d’ici au 20 février.

Vous proposez de revivifier notre fonctionnement démocratique. Comment?
Je veux mettre la France, avec les Français, sur le chemin d’une nouvelle République, et en finir avec la monarchie présidentielle. Je ne veux pas d’un président tout-puissant, omniscient. On sort d’une présidence très bonapartiste. Cette conception de l’Etat a infantilisé le peuple. Le président n’a pas compris les Gilets jaunes , ni le mouvement des retraites, ni la convention sur le climat. Il a lancé des milliards et s’est offert un grand débat qui n’était qu’un show. L’homme a de la ressource, donc ce n’était pas ridicule. Mais ce n’est pas ça, une démocratie moderne.

Quelles mesures proposez-vous pour faire advenir cette démocratie moderne?
Il faut une vraie séparation des pouvoirs. Comme l’a pensé Montesquieu, le pouvoir législatif doit être en capacité d’arrêter le pouvoir exécutif. Il faut redonner au Parlement la maîtrise de son agenda et de son ordre du jour. Je supprimerai le 49.3, qui est un passage en force. Je supprimerai aussi le droit de dissolution. Quand l’Assemblée nationale l’agace, le président la contraint ou la dissout : ce n’est plus possible. De quel droit peut-on rayer le suffrage des Français? Nous permettrons que des amendements citoyens puissent être proposés, débattus et adoptés au Parlement. Je m’engage aussi pour le référendum d’initiative citoyenne. Il faudra également stabiliser les conventions citoyennes. Enfin, j’organiserai un référendum sur la question de l’énergie.

C’est-à-dire?
Il faut décarboner massivement notre économie. Je ne suis pas favorable à la relance du nucléaire. Mais parce que je ne serai pas une présidente monarchique et que cet enjeu est un choix de société profond, je propose un référendum, un véritable débat dans tout le pays sur la question du nucléaire.

Comment rendre l’Assemblée nationale plus représentative?
La majorité politique doit ressembler à la majorité sociale de notre pays. Comme il y a eu la parité de genres, nous devons introduire des obligations en termes de parité sociale et de parité générationnelle. Avec un Parlement ainsi renouvelé, les questions de salaires et de solidarités seront en permanence à l’agenda.

Vous avez dit être « pour une laïcité qui n’écrase pas mais qui émancipe ». Aujourd’hui, la laïcité écrase-t-elle?
La laïcité n’écrase pas, elle émancipe. Voilà ce que je dis aux personnes qui pensent que la laïcité est leur ennemie, mais aussi à ceux qui croient qu’elle est leur instrument. C’est la laïcité qui nous permet toutes les audaces. C’est elle qui nous sort de l’emprise des religions, qui nous permet de nous emparer de la raison. La laïcité, c’est un principe de concorde. Elle est notre bien le plus précieux. Nous devons veiller à ce qu’aucune église, aucun clergé n’ait d’influence sur l’Etat.

Certains candidats de gauche vous accusent de défendre une laïcité qui serait accommodante?
La laïcité n’a que faire des adjectifs des uns et des autres. Elle n’a besoin ni des ‘intransigeants’ ni des ‘accommodants’. Elle impose des exigences à nos institutions, au premier rang desquelles l’école publique. Elle force à la mixité.

Quel regard portez-vous sur la campagne d’Eric Zemmour?
Notre pays a inventé une nation civique, a projeté à la face du monde une conception universelle des droits et des libertés, est sorti d’une monarchie stratifiée pour entrer dans une démocratie où les citoyens sont égaux. Son histoire est tellement belle… Comment peut-on alors concevoir une parole comme celle de M. Zemmour? C’est une anomalie. D’où peut venir une pareille parole de haine, d’exclusion?

Sa parole semble pourtant être entendue par de nombreux Français…
Aussi parce qu’on lui donne beaucoup de résonance, et que lui-même s’organise avec des provocations et des mises en scène. Elle est entendue par des personnes désespérées, auxquelles l’Etat n’apporte plus de réponses. Alors je peux comprendre qu’on ait parfois la rage et qu’on s’agrippe à ce genre de paroles. Cela sert à évacuer toute une série de frustrations et de désespoirs. Cette parole joue aussi beaucoup sur des inquiétudes identitaires.

C’est aussi à ces gens-là que vous voulez vous adresser?
Je veux d’abord saluer les personnes qui ne cèdent pas à ces passions tristes alors qu’elles ont les mêmes difficultés ou les mêmes inquiétudes. Et m’adresser à elles, en priorité. Il faudra ensuite démontrer que ce qui est proposé par l’extrême droite ne peut conduire qu’à une société de violence et d’exclusion. A nous de proposer un autre chemin, de justice, de concorde, d’espoir, de joie.

Présidentielle –Taubira, Une candidature ridicule pour tuer définitivement la gauche?

Présidentielle –Taubira, Une candidature ridicule pour tuer définitivement la gauche?

 

Taubira, une des plus grandes fortunes de Guyanne*,  est sans doute l’archétype de cette gauche intellectuelle, très bourgeoise dans sa posture et son comportement mais révolutionnaire dans le propos. Christiane Taubira  est une sorte de caricature de cette gauche culturelle  qui parle si bien des masses populaires, des opprimés et des inégalité tout en se situant de l’autre côté du mur, du côté de celui des nantis.

Bref , le gauchisme confortable qui permet de radicaliser le propos  et de faire croire à l’illusion du grand jour. Un discours évidemment inaudible par ceux qui vivent les vraies conditions inégalitaires tant sur le plan social que sociétal. La contradiction fondamentale qui a tué petit à petit la gauche réduite à un petit cercle de notables, de bobos et d’arrivistes (Notamment ceux qui ont tourné casaque pour rejoindre Sarkozy puis Macron, De façon plus générale ceux qui font de la politique un métier).

Le discours pseudo révolutionnaire des élites de gauche à tué tout projet social démocrate crédible sapant les bases mêmes des partis supposés représenter les couches populaires. Résultat les couches populaires se sont tournées vers les partis d’extrême droite !Une défaite politique mais surtout culturelle

La gauche actuelle est en pleine décomposition puisque notamment Anne Hidalgo et Montebourg en pleine dégringolade dans les sondages se proposent de se retirer au nom de cette illusoire union de la gauche. Une union de la gauche dont  Mélenchon ne veut surtout pas car il veut vivre son dernier chant du cygne politique. L’ancien communiste, devenu socialiste puis écolo, redevenu communiste et maintenant gauchiste wokiste veut faire un dernier tour de piste. Les écolos de leur côté parviennent difficilement à convaincre travaillés  qu’ils sont eux aussi par ce gauchisme wokiste  incarné jusqu’au ridicule notamment par Sandrine Rousseau et des élus écolos des grandes villes .

Le pire c’est sans doute, c’est qu’il faudra encore se confronter aux minauderies ridicules de Taubira jouant l’éternelle amoureuse auprès de vieux oligarques décatis. Il serait temps de rappeler à l’intéressé qu’elle a 70 ans et que son seul choix politique aura été t de faire perdre la gauche en 2002 en maintenant sa candidature.

Certains pensent que Taubira pourrait être le recours pour l’union de la gauche. Elle devrait d’ailleurs s’exprimer aujourd’hui vendredi 17 décembre.

Taubira, une spécialiste de l’union en effet qui du fait du maintien de sa candidature a fait perdre Jospin en 2002 aux présidentielles ! Comme égérie de l’union ont fait mieux !

*D’après le site mediamass, , la femme politique-entrepreneuse pèserait près de 185 millions d’euros. Outre ses gains professionnels elle devrait son immense fortune à de judicieux placements boursiers, un patrimoine immobilier conséquent et le très lucratif contrat publicitaire avec les cosmétiques CoverGirl. Elle possèderait également plusieurs restaurants à Paris (dont la chaîne « Chez la grosse Christiane »), un club de Football à Cayenne, et serait également impliquée dans la mode adolescente avec une ligne de vêtements « Taubira Séduction » ainsi qu’un parfum « L’eau de Christiane », autant de succès financiers.

Taubira: Une candidature ridicule

Taubira: Une candidature ridicule

 

Une candidature ridicule pour nombre d’observateurs dans la mesure où Taubira ne pourrait rassembler que des contradictions entre les productivistes, les écolos, les pseudos socialistes et les bobos wokistes. Une candidature qui en outre ne serait même pas susceptible d’atteindre les 10 % puisque l’ensemble des forces de gauche ne dépasse pas actuellement autour de 25 %.

En outre ,les partisans de l’union vont chercher une personnalité qui précisément a largement contribué à la défaite de Jospin en 2002 en maintenant sa candidature..

Sans parler évidemment de la situation très bourgeoise de Taubira très gauchiste dans le verbe mais très à droite dans sa posture quotidienne ( une des plus grosses fortunes de Guyane). En outre, à part certain sujet sociétaux, l’intéressée ne s’est jamais prononcée sur le moindre sujet économique, social , géostratégique ou même sanitaire puisqu’elle a même  refusé de faire la promotion de la vaccination en Guyane. Bref une vraie candidature de bobo typique de ce qu’est devenu la gauche coupée des réalités des couches sociales populaires?

Après l’annonce de la potentielle candidature de l’ancienne garde des Sceaux, Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon en tête, une part de la gauche fustige une énième candidature tardive.

Évidemment Sandrine Rousseau, égérie du wokisme  américain qui n’a pas avalé sa défaite primaire d’Europe écologie les Verts , n’a pas manqué de mettre la pression à son candidat sur BFMTV. « Sa présence permet de remettre au cœur du débat la question du nombre de candidats et de candidates à gauche, j’ai toujours été pour l’union et je pense que c’est un sujet », a applaudi la présidente du conseil politique de Yannick Jadot .Un nouveau le poignard dans le dos à Yannick Jadot !

 Le   député insoumis Eric Coquerel avait déploré une intervention « pas sérieuse »: « il faut arrêter, on n’est pas dans une cour de récréation! », raillait-il sur BFMTV. Comme Yannick Jadot, le leader insoumis avait avait violemment fermé la porte à la proposition d’Anne Hidalgo d’organiser une primaire à gauche. »Beaucoup de choses peuvent se passer en quatre mois. Certains peuvent annoncer leur candidature, d’autres peuvent la retirer. Cela ne sera pas mon cas », a abondé le candidat communiste Fabien Roussel depuis La Réunion.

, Christiane Taubira est créditée de 2% des intentions de vote dans un sondage paru ce jeudi, en cas de candidature en 2022. Selon une enquête Ipsos pour France 2 parue mardi, l’ancienne Garde des sceaux est perçue comme la plus à même de rassembler son camp par les sympathisants de gauche (46%), juste devant Jean-Luc Mélenchon (43%), et loin devant Anne Hidalgo et Yannick Jadot (29% tous les deux.

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

 

 

 

Une nouvelle fois les syndicats gauchistes comprenant La CGT, la FSU, Solidaires et Force ouvrière, d’une part, et l’Unef, l’UNL, la Fidl et le MNL, d’autre part,

n’ont réussi à mobiliser qu’environ 80 000 personnes d’après le ministère de l’intérieur, le double d’après leurs propres chiffres. De toute façon, une participation insignifiante qui a rarement fait l’objet d’un compte rendu dans les médias. Ou comment dévaloriser encore un peu plus un syndicalisme rongé par l’individualisme tout autant que par des organisations complètement irresponsables.

 

Des organisations qui se complaisent dans les mouvements ultra minoritaires et qui discréditent chaque jour un peu plus le rôle qu’elle devrait pourtant. À noter que les syndicats majoritaires en France aujourd’hui à savoir la CFDT, la CFTC, l’UNSA et la CGC ont refusé de s’associer à cette journée fourre-tout  qui mélange les salaires, l’emploi, les retraites, le service public et les revendications catégorielles. Bref comme déjà depuis des années pour ces organisations, un syndicalisme de contestation dont le but n’est pas d’obtenir des résultats concrets pour les salariés. Si cette manifestation avait pour objet de montrer publiquement la grande faiblesse mouvement social actuelle alors elle a atteint son but.

 

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

 

Manif du 5 décembre des syndicats gauchistes : une participation ridicule

 

 

 

Une nouvelle fois les syndicats gauchistes comprenant La CGT, la FSU, Solidaires et Force ouvrière, d’une part, et l’Unef, l’UNL, la Fidl et le MNL, d’autre part,

n’ont réussi à mobiliser qu’environ 80 000 personnes d’après le ministère de l’intérieur, le double d’après leurs propres chiffres. De toute façon, une participation insignifiante qui a rarement fait l’objet d’un compte rendu dans les médias. Ou comment dévaloriser encore un peu plus un syndicalisme rongé par l’individualisme tout autant que par des organisations complètement irresponsables.

 Des organisations qui se complaisent dans les mouvements ultra minoritaires et qui discréditent chaque jour un peu plus le rôle qu’elle devrait pourtant. À noter que les syndicats majoritaires en France aujourd’hui à savoir la CFDT, la CFTC, l’UNSA et la CGC ont refusé de s’associer à cette journée fourre-tout  qui mélange les salaires, l’emploi, les retraites, le service public et les revendications catégorielles. Bref comme déjà depuis des années pour ces organisations, un syndicalisme de contestation dont le but n’est pas d’obtenir des résultats concrets pour les salariés. Si cette manifestation avait pour objet de montrer publiquement la grande faiblesse mouvement social actuelle alors elle a atteint son but.

Une nouvelle année record pour l’apprentissage et pourtant ridicule

Une  nouvelle année record pour l’apprentissage et pourtant ridicule

 

La ministre du travail se félicite de résultats exceptionnels concernant l’apprentissage avec 50 000 sur un trimestre. De quoi rire en effet quand on sait qu’il y a environ 800 000 jeunes à former chaque année dont la plupart choisissent les études longues qui mènent tout droit au chômage pour une grande partie. Beaucoup obtenant en effet un diplôme sans perspectives d’embauche ou pas de diplôme du tout. Le nombre annuel d’apprentissage tourne autour de 400 000 par an. Les autres s’engagent pour la plupart dans l’impasse de l’université pour en ressortir avec un rien du tout un diplôme très théorique dont se nourrissent d’ailleurs les effectifs de l’administration.

 

Entre janvier et avril, le nombre de contrats conclus s’est en effet élevé à 50.000. Un véritable bond par rapport aux quelque 17.000 signatures comptabilisées sur cette même période en 2020 et les 12.000 en 2019. Les entrées en apprentissage sur le premier trimestre ont ainsi été multipliées par trois en l’espace d’un an et même par quatre comparativement à deux ans en arrière. «On ne veut pas vendre la peau de l’ours mais ces chiffres laissent augurer une très bonne dynamique et une belle rentrée», souffle l’entourage de la ministre du Travail, Élisabeth Borne.

Qualité de l’air : une amende ridicule de 10 millions

Qualité de l’air : une amende ridicule de 10 millions

 

 

 

Une amende triplement ridicule du conseil d’État qui s’érige de plus en plus en autorité politique pour suppléer les défaillances de la gouvernance. Certes l’avis du conseil d’État est intéressant voire nécessaire mais sa traduction en termes d’amende n’a aucun sens. D’abord une condamnation à 10 millions ne représente rien dans un pays où par exemple la dette représente environ 2500 milliards, le budget public plus sécurité social près de 1000 milliards par an.

En fait, le conseil d’État impose une amende dont l’essentiel ira à l’ADEME dont le budget sera sans doute diminué de 10 milliards par le ministre des finances. Bref de toute façon une opération blanche quand une amende s’adresse à l’Etat et que le produit lui est en même temps principalement destiné. Le plus ridicule sans doute c’est la mise en demeure de se conformer aux valeurs limite en matière de qualité de l’air dans les six mois sous peine d’une nouvelle amende. On sait évidemment que ce genre de mesures  ne peut donner de résultats dans des délais aussi courts à moins par exemple d’interdire par exemple brutalement la mobilité dans les villes.

Enfin la question de la qualité de l’air n’est pas seulement de la responsabilité de l’État mais de toute la société.

Qualité de l’air : l’État condamné à une amende ridicule de 10 millions

Qualité de l’air : l’État condamné à une amende ridicule de 10 millions

 

 

 

Une amende triplement ridicule du conseil d’État qui s’érige de plus en plus en autorité politique pour suppléer les défaillances de la gouvernance. Certes l’avis du conseil d’État est intéressant voire nécessaire mais sa traduction en termes d’amende n’a aucun sens. D’abord une condamnation à 10 millions ne représente rien dans un pays où par exemple la dette représente environ 2500 milliards, le budget public plus sécurité social près de 1000 milliards par an.

En fait, le conseil d’État impose une amende dont l’essentiel ira à l’ADEME dont le budget sera sans doute diminué de 10 milliards par le ministre des finances. Bref de toute façon une opération blanche quand une amende s’adresse à l’Etat et que le produit lui est en même temps principalement destiné. Le plus ridicule sans doute c’est la mise en demeure de se conformer aux valeurs limite en matière de qualité de l’air dans les six mois sous peine d’une nouvelle amende. On sait évidemment que ce genre de mesures  ne peut donner de résultats dans des délais aussi courts à moins par exemple d’interdire par exemple brutalement la mobilité dans les villes

«Le maintien d’En Marche face à Pécresse est inconvenant» …. et ridicule

«Le maintien d’En Marche face à Pécresse est inconvenant» …. et ridicule 

Alain Minc apporte son explication concernant les phénomènes observés lors des régionales. Il regrette que le chef de l’État se soit imprudemment engagé dans cette campagne et trouve aussi que le maintien d’en marche en région parisienne est inconvenant.( On pourrait aussi ajouter ridicule car la claque au second tour sera encore plus fort qu’au premier tour NDLR)

 « Qu’il faille moderniser le vote, c’est une évidence, analyse Alain Minc. Mais il faut relativiser cette abstention ! Il faisait beau, on était tous sortis de “taule”. Allez expliquer à un jeune de 25 ans les compétences des régions… On ne peut pas vraiment dire qu’on a réussi à faire de ces élections une machine à participation ! »

L’essayiste ajoute : « Mais il faut être convaincu qu’en 2022, il y aura beaucoup plus de votes. Oui, on sait que les gens votent de moins en moins et que les partis ont de moins en moins d’influence. Mais ne faisons pas d’un événement timbre-poste une révolution. »

Quant au rôle qu’a joué Emmanuel Macron dans la campagne de ces régionales, Alain Minc – qui revendique sa proximité avec le chef de l’Etat – se montre sévère : « Ma conviction, c’est que le Président a fait une erreur stratégique. Il aurait dû adopter une position gaullienne au lieu de mettre son crédit à ce qu’on appelle, à tort, un parti qui n’est en fait qu’une institution gazeuse. Car En Marche n’est pas un parti. Un parti c’est un bout de passé, des traditions, des militants ; En Marche est un mouvement d’opinion au service d’une démarche bonapartiste. Il n’aurait donc pas dû mettre les mains dans cette cuisine-là. »

Enfin, au sujet du maintien envers et contre tout de la liste En Marche portée par Laurent Saint-Martin en Ile-de-France, Alain Minc explique: « C’est inconvenant. D’une certaine façon, Laurent Saint-Martin augmente les chances d’une gauche menée par un ayatollah vert qui veut réduire le tourisme… dans une région qui en vit ! »

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