Archive pour le Tag 'révisée'

Économie–Croissance Europe : révisée à la hausse

Croissance Europe : révisée à la hausse

La Commission européenne a relevé mercredi ses prévisions de croissance 2021 et 2022 pour les 19 pays qui ont adopté la monnaie unique . Après une récession inédite de 6,6% en 2020, l’activité devrait progresser de 4,3% cette année, puis de 4,4% l’an prochain, contre 3,8% estimés en février pour ces deux années. L’économie de la zone euro pourrait retrouver son niveau d’avant-crise d’ici la fin de l’année prochaine, selon la Commission.

L’Espagne (+5,9%) et la France (+5,7%), particulièrement touchés en 2020, affichent les prévisions de croissance les plus élevés en 2021 dans les estimations de la Commission. La croissance de l’Allemagne (+3,4%) et des Pays-Bas (2,3%), un peu moins affectés l’an passé, est plus modérée.

Des  perspectives restent toutefois inférieures à celles des Etats-Unis qui pourraient enregistrer en 2021 une croissance de 7%, le rythme le plus rapide depuis le début des années 1980. Quant à la Chine, sa croissance pourrait encore être supérieure à celle des États-Unis.

Par contre l’endettement devrait s’envoler.. La dette devrait atteindre 102,4% du PIB de la zone euro cette année, puis 100,8% en 2022. Selon les règles budgétaires du Pacte de stabilité – actuellement suspendu à cause de l’épidémie et qui pourrait le rester en 2022 – la dette publique ne doit en principe pas dépasser 60% du PIB. Or, elle est particulièrement élevée en Grèce (208,8% en 2021) et en Italie (159,8%). En France, elle devrait atteindre 117,4% du PIB en 2021, puis 116,4% en 2022.

 

Croissance Europe : révisée à la hausse

Croissance Europe : révisée à la hausse

La Commission européenne a relevé mercredi ses prévisions de croissance 2021 et 2022 pour les 19 pays qui ont adopté la monnaie unique . Après une récession inédite de 6,6% en 2020, l’activité devrait progresser de 4,3% cette année, puis de 4,4% l’an prochain, contre 3,8% estimés en février pour ces deux années. L’économie de la zone euro pourrait retrouver son niveau d’avant-crise d’ici la fin de l’année prochaine, selon la Commission.

L’Espagne (+5,9%) et la France (+5,7%), particulièrement touchés en 2020, affichent les prévisions de croissance les plus élevés en 2021 dans les estimations de la Commission. La croissance de l’Allemagne (+3,4%) et des Pays-Bas (2,3%), un peu moins affectés l’an passé, est plus modérée.

Des  perspectives restent toutefois inférieures à celles des Etats-Unis qui pourraient enregistrer en 2021 une croissance de 7%, le rythme le plus rapide depuis le début des années 1980. Quant à la Chine, sa croissance pourrait encore être supérieure à celle des États-Unis.

Par contre l’endettement devrait s’envoler.. La dette devrait atteindre 102,4% du PIB de la zone euro cette année, puis 100,8% en 2022. Selon les règles budgétaires du Pacte de stabilité – actuellement suspendu à cause de l’épidémie et qui pourrait le rester en 2022 – la dette publique ne doit en principe pas dépasser 60% du PIB. Or, elle est particulièrement élevée en Grèce (208,8% en 2021) et en Italie (159,8%). En France, elle devrait atteindre 117,4% du PIB en 2021, puis 116,4% en 2022.

 

La croissance 2017 : révisée en hausse

La croissance 2017 : révisée en hausse  

Croissance révisée en hausse en 2017 mais en baisse au premier trimestre 2018. 2,3% en 2017 au lieu de  2%., malgré  la dépense de consommation des ménages  (+1% après 2,1% en 2016) mais grâce  l’investissement (+4,5 % après +2,8 % et 1,0 %). Mécaniquement on constate une  légère baisse du ratio de dette publique (-0,2 point à 96,8%) et « des dépenses, recettes et prélèvements obligatoires » (-0,1 point), souligne l’Insee. Le déficit public reste toutefois inchangé à 2,6% du PIB. Mais en 2018,  le secteur privé a enregistré une hausse de 0,3% des créations nettes d’emplois à 57.900 au premier trimestre, soit un léger. Sur un an, l’emploi salarié privé a augmenté de 270.200, soit une hausse de 1,4% pour atteindre 19,34 millions de postes. Au dernier trimestre de l’année 2017 – année qui avait enregistré un record de création de postes (234.500) – la hausse était de 0,4%. L’emploi salarié ralentit dans la construction et l’intérim, relève l’Insee. Dans la construction, l’emploi n’augmente que de 0,6% contre une progression de 1% le trimestre précédent. Sur un an, la construction s’inscrit en hausse de 2,2%. L’industrie enregistre elle aussi un léger repli, avec une légère baisse de 0,1% contre une hausse de 0,2% au trimestre précédent. Les services continuent de tirer les créations d’emplois avec une hausse de 0,5% sur le trimestre, progression identique à celle du trimestre précédent. De même dans l’intérim, qui ne cesse d’augmenter depuis des mois, la hausse est plus modérée ce trimestre avec +0,3% contre 2% au trimestre précédent. Néanmoins sur un an, l’emploi dans ce secteur reste très dynamique (+8,2%).

Sondage : 70% pour la Constitution révisée

Sondage : 70% pour la  Constitution révisée

Selon un sondage Viavoice pour Libération publié jeudi.   »l’opinion soutient massivement la révision », 70% des personnes interrogées approuvent ce projet, quelle que soit leur orientation politique.  En effet, 67% des sympathisants de gauche se disent favorables à ce projet, de même que 79% des partisans de la droite et du centre et 83% de ceux du Front national.  Pour autant, « ce soutien n’est pas inconditionnel », observe Viavoice en précisant qu’une proportion significative de personnes interrogées émettent des réserves sur l’efficacité des mesures. Près de la moitié des Français (47%) jugent que cette réforme sera efficace en termes de prévention du terrorisme et une proportion comparable (46%) estiment qu’il s’agit d’une mesure « surtout symbolique », tandis que les risques d’atteintes graves aux libertés publiques que ces mesures pourraient entraîner préoccupent 43% des personnes interrogées.  Le projet de révision présenté le 23 décembre propose d’inscrire l’état d’urgence dans la Constitution et d’élargir la déchéance de nationalité aux binationaux nés français et condamnés pour terrorisme.  Le projet de loi sera débattu début février à l’Assemblée nationale et début mars au Sénat, avant de devoir être voté au Congrès par une majorité des trois cinquièmes pour être adopté.

Croissance mondiale 2016 révisée en baisse par la Banque mondiale

Croissance mondiale 2016 révisée en baisse par la Banque mondiale

Finalement la Banque mondiale s’aligne sur les perspectives du FMI qui prévoit un ralentissement de la croissance prévue en 2016. On se rend progressivement à l’évidence un krach financier de la Chine n’est plus à exclure de même  que sa propagation sur l’ensemble de l’économie mondiale. Un phénomène qui touche d’ailleurs nombre de pays en développement en particulier les producteurs de matières premières notamment de pétrole. La Chine bien sûr est concernée mais bien d’autres comme la Russie, le Brésil, le Venezuela,  l’Algérie ou encore les pays du golfe comme l’Arabie Saoudite. Des pays étranglés par la baisse de leurs ressources. La Banque mondiale a donc annoncé mercredi avoir abaissé sa prévision de croissance mondiale 2016 en expliquant que la dégradation des performances de plusieurs grands pays émergents allait peser sur l’activité globale.  La croissance mondiale devrait atteindre 2,9% cette année après 2,4% en 2015, a dit l’institution, qui prévoyait cependant en juin dernier une hausse de 3,3% de l’activité en 2016. Les commentaires qui accompagnent ce nouveau chiffre mettent l’accent sur la dégradation des résultats des principales économies émergentes. « En 2016, la croissance devrait ralentir davantage en Chine et la récession persister en Russie et au Brésil », précise ainsi l’institution, qui tablait en juin sur un retour à la croissance des économies russe et brésilienne.  Le produit intérieur brut (PIB) réel de la Russie devrait diminuer de 0,7% cette année, et non augmenter d’autant comme prévu auparavant. La Banque mondiale estime qu’il a chuté de 3,8% en 2015. Au Brésil, le PIB devrait baisser de 2,5% en 2016 alors que les prévisions de juin donnaient une croissance de 1,1%. La Banque mondiale estime qu’il a déjà reculé de 3,7% en 2015. La croissance de la Chine, elle, devrait encore ralentir à 6,7% cette année contre 6,9% estimé pour 2015. En juin, la Banque mondiale tablait sur une hausse de 7,0% du PIB chinois en 2016. Mais ces derniers chiffres sont largement contestés par des experts dans la mesure où les statistiques chinoises sont soumises à des méthodologies à caractère très politique. L’institution a également réduit ses prévisions pour les Etats-Unis et plusieurs autres économies avancées.  La prévision de croissance 2016 pour la zone euro a été ramenée de 1,8% à 1,7% après 1,5% attendu pour 2015.

Zone euro : inflation révisée en hausse en août

Zone euro : inflation révisée en hausse en août

 

 Une très  légère augmentation en août mais pas suffisante pour que la BCE s’affranchisse du soutien massif à la croissance comme le fait la FED. A cet égard les atermoiements de la BCE nuisent la confiance et en particulier à la reprise des investissements.  L’inflation dans la zone euro a finalement été plus marquée qu’initialement estimé en août grâce à une augmentation supérieure aux attentes des prix dans les services, selon des données publiées mercredi par Eurostat. Les prix à la consommation dans les 18 pays partageant la monnaie unique ont augmenté de 0,1% d’un mois sur l’autre en août et de 0,4% sur un an. En première estimation, Eurostat avait fait état d’une inflation annuelle de 0,3%. Hors prix à l’énergie, l’inflation est de 0,7% sur un an, contre +0,6% en première estimation. Malgré cette révision à la hausse, le taux d’inflation reste très loin de l’objectif de la Banque centrale européenne (BCE), qui veut une hausse des prix à la consommation juste en deçà de la barre de 2% sur le moyen terme. L’inflation n’a plus atteint ce niveau depuis le premier trimestre 2013. La BCE considère qu’une inflation inférieure à 1% pendant une période prolongée correspond à une « zone de danger ». Pour éloigner le spectre de la déflation, la BCE a abaissé au début du mois ses taux directeurs à de nouveaux plus bas, tout en annonçant un programme limité d’achats d’actifs.

 




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