Archive pour le Tag 'réunion'

Guerre en Ukraine : Poutine absent de la réunion qu’il a lui-même proposé !

Guerre en Ukraine : Poutine absent de la réunion qu’il a lui-même proposé !

Preuve de la mauvaise foi russe, Poutine sera absent de la réunion qu’il a lui-même proposé à l’Ukraine. Pourtant Zelinsky qui, lui, sera bien présent a affirmé qu’il était prêt à participer à toute forme de négociation pour mettre fin à la guerre. Notons également que Trump se défausse encore une fois sur ce dossier justifiant aussi son absence par un calendrier chargé !

Bref compte tenu des conditions, il paraît peu vraisemblable que cette rencontre puisse déboucher sur des engagements concrets de paix et même de cessez-le-feu.

Donald Trump ne se rendra pas non plus en Turquie, alors qu’il avait évoqué mercredi après-midi «la possibilité» d’assister aux négociations cette semaine si son homologue russe en faisait de même. «Je ne sais pas si (Vladimir Poutine) y va. Je sais qu’il voudrait que j’y sois. C’est une possibilité», avait déclaré le président américain, tout en précisant plus tard que son «programme demain (jeudi) est complet». !

Guerre Ukraine : Nouvelle réunion des alliés à Londres lundi

Guerre Ukraine : Nouvelle réunion des alliés à Londres lundi

Les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays-clés européens se retrouvent lundi à Londres pour des discussions «capitales» sur l’Ukraine, deux jours après l’ultimatum adressé par les alliés de Kiev à Moscou pour accepter un cessez-le-feu.

Ces «discussions capitales» porteront sur «les efforts conjoints afin de renforcer la sécurité européenne et pour une paix juste et durable en Ukraine», a indiqué le Foreign Office dans un communiqué. «Nous devons rester unis, alliés dans la protection de la souveraineté, de la paix et de l’Ukraine», a déclaré M. Lammy, cité dans ce communiqué. Selon lui, les dirigeants européens sont face à un «défi» qui «ne concerne pas seulement l’avenir de l’Ukraine» mais «qui est existentiel pour l’Europe dans son ensemble». Côté français, on entend notamment insister sur «la nécessité de maintenir et d’accroître (la) pression sur la Russie», a indiqué le ministère des Affaires étrangères à l’AFP.

Les États-Unis vont boycotter la réunion du G20 !

Les États-Unis vont boycotter la réunion du G20 !

 

 Nouvelle preuve que les États-Unis se désengagent de tout multilatéralisme, le secrétaire américain des affaires étrangères n’ira pas à la réunion du j’ai 20u en février en Afrique du Sud. La réunion du G20 au niveau des ministres des Affaires étrangères prévue les 20 et 21 février sera boycottée par les États-Unis. «Mon travail consiste à promouvoir les intérêts nationaux de l’Amérique, et non à gaspiller l’argent des contribuables ou à encourager l’antiaméricanisme», a-t-il écrit, déplorant notamment le fait que ce groupe de pays défend le «changement climatique» et les programmes «de diversité et d’inclusion».

Le président américain Donald Trump a aussi accusé l’Afrique du Sud de confiscation de terres après la promulgation d’une loi d’expropriation par son homologue Cyril Ramaphosa. La question foncière est un sujet clivant en Afrique du Sud. La majorité des terres sont détenues par la minorité blanche du pays, héritage d’une politique d’expropriation de la population noire pendant l’apartheid.

 

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou : encore une réunion pour rien à Matignon

Bayrou  perd encore du temps en proposant une réunion de consultations à toutes les forces politiques sans inviter d’ailleurs le Front National et LFI. Il s’agira de donner des orientations sur la composition du gouvernement et surtout sur les orientations. De toute manière Bayrou est coincé sur un socle minimum au Parlement qui se ratatine. On peut facilement imaginer que chaque partie répétera à la sortie de la réunion ses lignes rouges. Autant de temps perdu en attendant la déclaration de politique générale prévue le 14 février et surtout la mise en marche enfin de ce gouvernement qu’on attend comme Godot alors que la situation économique notamment à Mayotte évidemment ne cesse de se dégrader sans parler du moral des acteurs qui plonge.

La lettre de Matignon

«Avant de proposer au président de la République une composition de gouvernement, je veux vous rencontrer pour vous éclairer et vous entendre sur les orientations que nous devrons suivre», a écrit le premier ministre dans un courrier adressé aux partis, à l’issue de plusieurs consultations avec chacune des forces politiques. La présidente de l’Assemblée, Yaël Braun-Pivet et son homologue au Sénat, Gérard Larcher, ont également été conviés à cette réunion.

Liban: Après l’Égypte, la France demande une réunion du conseil de sécurité

Liban: Après l’Égypte, la France demande une réunion du conseil de sécurité

Après l’Égypte la France a demandé une réunion urgente du conseil de sécurité concernant la guerre qui se développe entre Israël et le Liban. Le risque est en effet d’étendre le champ géographique du conflit à une grande partie du Moyen-Orient.

 

«La France appelle les parties et ceux qui les soutiennent à la désescalade et à éviter un embrasement régional qui serait dévastateur pour tous, à commencer par les populations civiles. C’est pourquoi j’ai demandé que se tienne une réunion d’urgence du Conseil de sécurité sur le Liban cette semaine», a ajouté le nouveau chef de la diplomatie française qui a pris ses fonctions lundi. «Au Liban comme ailleurs, la France restera pleinement mobilisée pour résoudre les crises majeures qui fracturent l’ordre international. Elle prendra des initiatives», a-t-il assuré.

Le seul problème c’est que politiquement la France pèse de moins en moins non seulement en raison de ses problèmes politiques internes mais surtout en raison de l’affaiblissement général du pays sur le plan économique

 

Macron et les chefs de parti : une réunion le 23 août pour préparer l’alliance à droite

Macron et les chefs de parti : une réunion le 23 août  pour préparer l’alliance à droite

 

Le président convoque la réunion des chefs de partis le 23 août pour examiner les possibilités de formation d’un gouvernement. Une réunion purement formelle qui devrait déboucher en effet sur la constitution d’une sorte d’alliance entre l’ancienne majorité et les Républicains. Un gouvernement toutefois qui comportera des personnalités civiles pour donner le change vis-à-vis de l’élargissement présidentiel souhaite en vain le président.

De toute manière, le gouvernement élargi ou non ne pourra pas reposer sur une majorité absolue. Il sera donc d’une certaine manière contraint dans son action et en permanence sous la menace d’une motion de censure. La première occasion pourrait être celle de l’élaboration du budget, seul vrai exercice imposé au Parlement et qui sera sans doute adopté sans vote via l’article 49–3.

L’objectif d’Emmanuel Macron reste la formation d’une coalition capable de gouverner, alors qu’aucune majorité claire n’est ressortie des élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet. Il s’agit «de continuer à avancer vers la constitution d’une majorité la plus large et la plus stable possible au service du pays», écrit la présidence dans son communiqué. «Les Français ont exprimé lors des élections législatives une volonté de changement et de large rassemblement. Dans un esprit de responsabilité, l’ensemble des dirigeants politiques doivent travailler à mettre en œuvre cette volonté.»

Le problème évidemment c’est  qu’on voit  mal le rassemblement national participer à un gouvernement d’union et pas davantage le nouveau Front populaire. Réciproquement les « Républicains » refuseront de s’associer avec le nouveau Front populaire et le rassemblement national

Pollution plastique :Échec de la réunion internationale

Pollution plastique :Échec de la réunion internationale

Alors qu’à peines 10 % des plastiques sont recyclées et constituent évidemment un élément considérable de pollution durable, les pays n’ont pas réussi à s’entendre lors de la réunion internationale pour résoudre ce problème.

Les négociateurs de 175 pays ont passé une semaine au siège du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) à Nairobi pour tenter de trouver un terrain d’entente sur un projet de traité visant à résoudre le problème croissant de la pollution plastique.

Pourtant, des déchets de toutes tailles se retrouvent déjà au fond des océans et au sommet des montagnes. Des microplastiques ont été détectés dans le sang ou le lait maternel.

Si les différentes parties se rejoignent sur la nécessité d’un traité, le fond diverge entre les ONG qui plaident pour la réduction de 75 % de la production d’ici 2040 et des pays producteurs de pétrole et les lobbys des industries plastiques qui militent davantage en faveur du recyclage.

À Lucie de cette réunion n’a seulement acté les positions contradictoires des uns et des autres. Pour schématiser d’un côté des producteurs de pétrole et autre industries et de l’autre les associations d’environnements lesquels militent pour la réduction de 75 % de la production de plastique ici 2040. De leur côté les jeux industriels du pétrole et du plastique souhaite seulement le recyclage. Un recyclage qui représente seulement ce 9 % des plastiques aujourd’hui

Certains pays, notamment l’Iran, l’Arabie Saoudite et la Russie, ont fait de «l’obstruction». «Sans surprise, certains pays bloquent les avancées, jouant de l’obstruction et de manœuvres procédurales», assure Carroll Muffett, directeur du Center for international environmental law (CIEL). «Compromettre les besoins des personnes les plus touchées pour satisfaire les désirs de ceux qui profitent du problème n’est pas une stratégie réalisable», déplore de son côté Graham Forbes, de Greenpeace.

Pour les ONG, le temps presse et un traité contraignant est nécessaire car la pollution plastique devrait s’aggraver : la production annuelle a plus que doublé en vingt ans pour atteindre 460 millions de tonnes. Elle pourrait tripler d’ici à 2060 si rien n’est fait. Or, seulement 9 % des plastiques sont recyclés.

Le plastique joue aussi un rôle dans le réchauffement climatique : il représentait 3,4 % des émissions mondiales en 2019, chiffre qui pourrait plus que doubler d’ici à 2060, selon l’OCDE.

La « grande » initiative politique de Macron: une réunion et un diner

La « grande » initiative politique de Macron: une réunion et un diner

Finalement comme souvent avec Macron et comme l’année dernière la grande initiative politique de 2023 va se limiter à pas grand-chose: ce mercredi « un après-midi de travail en commun et un dîner’. En 2022, le président de la république avait lancé sa fameuse idée de conseil national de la Refondation qui a complètement disparu des radars. Cette année en 2023, Macron annonce seulement une rencontre avec les présidents de parti ce mercredi. Bref, le travail habituel d’un président la république et pas vraiment initiative politique d’envergure.

On sait que le président avait été tenté par deux initiatives. La première concerne l’immigration dont le débat est repoussé de mois en mois. La seconde aurait concerné un référendum avec le risque évident de le perdre.

Il faut donc se rabattre sur une rencontre qui évidemment ne débouchera tristement rien car l’opposition n’est pas prête à redonner de l’oxygène un pouvoir qui paraît asphyxié et politiquement paralysé.

Dans un entretien accordé au Point, le chef de l’État invite donc les présidents de partis à échanger la semaine prochaine et fait le point sur les gros dossiers de la rentrée.

Le chef de l’État explique vouloir convier les présidents des partis représentés au Parlement la semaine prochaine «dans un lieu en région parisienne». Tous sont invités, y compris La France insoumise et le Rassemblement national, habituellement exclus au motif de «l’arc républicain». L’occasion sans doute pour Macon de faire un grand discours. Il n’est même pas sûr que les chefs de partis s’y rendent

Le président espère ainsi trouver des «convergences», et aboutir à des «décisions immédiates», «projets et propositions de lois» et «projets de référendums» sur une multitude de thématiques. «Les oppositions compatibles sont trop divisées (…), on ne peut que constituer des majorités de projet», reconnaît le locataire de l’Élysée. Il fait également une série d’annonces pas vraiment d’ampleur ou nouvelles , portant notamment sur les gros chantiers de l’automne.

La CGT Ne veut pas de réunion multilatérale floue avec Macron

La CGT Ne veut pas réunion multilatérale floue avec Emmanuel Macron


La CGT refuse une grande messe multilatérales avec Macron sans ordre du jour précis notamment sur les retraites et le pouvoir d’achat. Une grande messe que souhaite en particulier la première ministre pour redorer son blason auprès de l’opinion et même son crédit auprès du président

A l’issue d’un entretien à Matignon avec la Première ministre Elisabeth Borne, la numéro 1 du syndicat a déclaré avoir refusé une « proposition » pour avoir une multilatérale avec le président de la République ou avec la Première ministre sur le calendrier social, n’y voyant « pas l’utilité s’il n’y avait pas d’annonces concrètes sur la question du retrait de la réforme des retraites ou de la hausse des salaires ».

Dernière à rencontrer la Première ministre mercredi, Sophie Binet a eu des mots très durs à l’issue d’un rendez-vous de près de deux heures avec Elisabeth Borne. « Je suis en colère », après avoir « constat(é) que sur quasiment tous les sujets, c’était une fin de non-recevoir, avec une politique alignée sur l’intérêt et la volonté patronale », a dit la syndicaliste. « Je n’ai pas pu donner une fin de non-recevoir puisque j’étais dans l’écoute des sujets » mis sur la table par les syndicats, a rétorqué la Première ministre, venue dire quelques mots à la presse à l’issue d’échanges qu’elle a décrits comme « denses, longs ».

Justice : des états généraux réduits à des réunions de chapeaux à plumes

Justice : des états généraux réduits à des  réunion de chapeaux  à plumes

Le chef d’État a décidé d’États généraux de la justice considérée par beaucoup comme trop laxiste. Le concept d’États généraux est d’abord très critiqué car il va se concrétiser et se réduire à une réunion de chapeau à plumes (juge, avocat et deux ou trois citoyens pour donner le change. En outre, pour éviter tout dérapage on placera à la tête un haut fonctionnaire. De toute façon, on connaît le sort de ce genre d’exercice qui se termine par un rapport vite classé dans un tiroir. ( Exemple le grand débat).

Il est clair que la justice n’appartient pas aux juges,  ni aux avocats et plus généralement aux professionnels de justice mais aux citoyens. Or en l’occurrence il s’agit de redéfinir les principes et les modalités d’application de la justice. Aussi ses champs d’activité, car nombre de procédures judiciaires pourrait être traitées de manière plus qu’efficaces , plus équitables et moins coûteuses qu’en sollicitant les grandes institutions. Sans parler de la contrainte de passer par un avocat qui rend la justice inabordable pour nombre de justiciables.

La question se pose aussi de l’opportunité du moment de ces fameux Etats généraux décidés en fin de mandat par Emmanuel Macron. Logiquement une telle orientation doit être prise en début de mandat aux fins de trouver une application. Là, il s’agira essentiellement d’agit prop  pour nourrir les promesses des candidats. Pas vraiment un concept d’État généraux.

L’alternative par la réunion des gauches !

 

 

La crise sanitaire laisse la France moralement exsangue. Entre l’autoritarisme et la verticalité d’Emmanuel Macron et une « trumpisation » galopante de la société, seul le rassemblement des forces de gauche et écologistes est à même de surmonter l’effondrement, estiment dans une tribune au « Monde » Guillaume Duval et Christian Paul, cofondateurs du Festival des idées.

Un festival qui manque cruellement d’idées et qui reprend la dialectique simpliste de la gauche (NDLR)

 

Tribune.

Nous assistons à l’effondrement de notre République. Quand deux tiers des électeurs ne votent pas et que la quasi-totalité de la jeunesse décroche, le pire devient probable : le pacte de la cité est rompu. Il ne faut pas s’y tromper cependant : nos concitoyens ne sont pas dépolitisés, mais désenchantés.

Nous sommes confrontés à la fois à une mise en cause radicale de l’organisation politique (« nous ne sommes pas représentés »), de la citoyenneté (« le vote ne suffit pas »), et des politiques conduites comme des programmes (« l’offre ne correspond pas à nos attentes »). La crise déclenchée par l’épidémie de Covid-19 laisse en effet une France moralement exsangue.


Le « quoi qu’il en coûte » a certes permis d’éviter le pire, mais les plus pauvres et les plus précaires le sont devenus davantage encore, tandis que les plus aisés ont vu au contraire leur épargne et la valeur de leur patrimoine exploser. Les jeunes en particulier, qui galéraient déjà bien souvent pour entrer sur le marché du travail, rencontrent des difficultés d’une gravité inédite.

 

Si la reprise de l’économie semble engagée, le retrait des mesures de soutien à l’activité risque d’entraîner des drames dans de nombreux secteurs dont les entreprises ont été fragilisées. Pourtant, Emmanuel Macron et son gouvernement sont manifestement décidés à reprendre comme si de rien n’était le cours des « réformes » néolibérales que l’épidémie avait suspendu.

Ils veulent en effet de toute urgence tailler de nouveau dans les indemnités reçues par les chômeurs, retarder encore plus le départ en retraite des salariés… L’autoritarisme du pouvoir, sa verticalité, déjà clairement affirmés avant la crise, ont été encore renforcés dans la gestion solitaire de la pandémie.


Au même moment, les idées et les hommes de la droite extrême dominent de plus en plus un paysage médiatique lui-même de plus en plus concentré aux mains de puissants intérêts privés. Ils organisent panique identitaire sur panique identitaire. L’intolérance, le sexisme, la xénophobie, la violence physique ou verbale sont constamment encouragés.

 

La « trumpisation » de la société française est en marche. Loin d’être un rempart face à cette évolution comme il le prétendait en 2017, Emmanuel Macron s’est révélé en être un accélérateur, et cette dynamique fait peur. L’alternative ne peut qu’être inventée par les écologistes et les gauches réunis.

8-MAI: commémoration et réunion en plein air des chefs d’État major

8-MAI: commémoration et réunion en plein air des chefs d’État major  

 

 

Une  commémoration du 76e anniversaire du 8 mai 1945, très spartiate en raison de la crise sanitaire. Quelques personnalités seulement accompagnaient  le chef de l’État. Lequel a organisé une réunion impromptue entre les chefs  d’état-major des armées au pied de l’Arc de Triomphe. Une réunion très longuement filmée par les chaînes d’info et organisée à dessein sans doute pour montrer que le président maîtrise  bien une armée aujourd’hui inquiète du délitement de la France. Une nouvelle déclaration de militaires actifs mais anonymes est annoncée dans valeurs actuelles.

Réunion du G7 : au menu Covid mais aussi Chine et Russie

Réunion du G7 : au menu Covid mais aussi Chine et Russie

Les ministres des Affaires étrangères du G7de de l’Allemagne, du Canada, des États-Unis, de la France, de l’Italie, du Japon et du Royaume-Uni seront rejoints par des représentants de l’Union européenne. L’Inde, l’Australie, la Corée du Sud, l’Afrique du Sud et l’Association des nations du Sud-Est asiatique (Asean) ont également été conviés se réunissent mardi à Londres pour leur première réunion en personne depuis plus de deux ans.

Il sera question de la crise sanitaire mondiale mais aussi de certaines dimensions géopolitiques concernant la Chine et la Russie. Seront également évoquées les problèmes de l’ Éthiopie, l’Iran et la Corée du Nord, la Somalie, le Sahel et les Balkans, autant de «problèmes géopolitiques pressants qui sapent démocratie, libertés et droits humains», selon Londres se réunira le G7. Comme d’habitude le G7 (comme le G20) ne prendra pas d’orientation concrète. Il s’agit surtout de confronter les points de vue et de faciliter le rapprochement.

Iran : La France d’accord avec la Russie pour une réunion

Iran : La France d’accord avec la Russie pour une réunion

 

La France confirme qu’elle est relativement ouverte par rapport à l’Iran en acceptant de discuter sur une proposition de la Russie. La France multiplie d’ailleurs les gestes bienveillants à l’égard de l’Iran comme encore à propos de l’évolution de la situation au Liban. Situation dans laquelle le Hezbollah proche de l’Iran est incontournable pour redresser le pays . La France cherche évidemment à faire diminuer les tensions entre sunnites et chiites qui alimentent nombre de conflits armés au proche et Moyen-Orient. La France est donc disposée à prendre part à la réunion que propose la Russie sur l’embargo sur les ventes d’armes à l’Iran, a annoncé vendredi l’Elysée. La question est de savoir évidemment si les États-Unis ne s’opposeront pas à cette initiative de la Russie concernant l’Iran.

Vladimir Poutine a proposé que les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies discutent en visioconférence de l’embargo sur les ventes d’armes conventionnelles à l’Iran, qui expire cet automne mais que les Etats-Unis veulent prolonger sans limitation dans le temps.

“Nous confirmons notre disponibilité de principe”, a-t-on dit à l’Elysée. “Nous avons déjà par le passé déployé des initiatives dans le même esprit”, ajoute-t-on.

Religion : Le Conseil d’Etat rétablit le droit de réunion

Religion : Le Conseil d’Etat rétablit le droit de réunion

 

Ce n’est pas une claque du Conseil État au gouvernement mais ça y ressemble. Le conseil d’État condamne l’interdiction générale de réunion promulguée. Du coup, cette exigence du Conseil d’État de prendre des mesures moins strictes et plus s’adaptées pourrait entraîner des procédures de déconfinement dans d’autres secteurs que le domaine cultuel. Dans un communiqué diffusé en début de soirée, le conseil d’Etat précise que le juge des référés, saisi par plusieurs associations et individus, “relève que des mesures d’encadrement moins strictes que l’interdiction de tout rassemblement dans les lieux de culte prévue par le décret du 11 mai 2020 sont possibles, notamment compte tenu de la tolérance des rassemblements de moins de dix personnes dans d’autres lieux ouverts au public dans le même décret”.

Il juge donc que “l’interdiction générale et absolue présente un caractère disproportionné” et “constitue ainsi, eu égard au caractère essentiel de cette composante de la liberté de culte, une atteinte grave et manifestement illégale à cette dernière”.

Le Premier ministre dispose d’un délai de huit jours pour modifier ce décret “en prenant les mesures strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu applicables en ce début de ‘déconfinement’, pour encadrer les rassemblements et réunions dans les établissements de culte”.

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