Archive pour le Tag 'Retraite'

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« Jean Marie Lepen devrait prendre sa retraite » (Marine )

« Jean Marie Lepen devrait prendre sa retraite » (Marine )

Jean marie Lepen sera convoqué « devant le bureau exécutif » du parti « siégeant en sa qualité de structure disciplinaire » déclaré Marine Lepen  qui a souhaité qu’il prenne sa retraite. . Commission de discipline comme un simple militant pour celui qui a co-fondé le FN en 1972 et qui l’a présidé pendant près de 40 ans ? « Personne ne comprendrait qu’il y ait au FN des personnalités qui puissent exprimer une pensée qui soit personnelle et contraire aux statuts du FN« , a justifié la benjamine des trois filles du « menhir». Elle a réaffirmé son souhait que « Le Pen » ne représente pas le FN aux régionales de décembre en Paca. La décision, a-t-elle rappelé, appartiendra au bureau politique du parti, qui se réunira le 17 avril. Mais, exprimant son « chagrin en tant que fille » de Jean-Marie Le Pen et « comme militante » face à la situation, elle a demandé à celui qui a été élu pour la première fois député en 1956 de « faire preuve de sagesse, de tirer les conséquences du trouble qu’il a lui-même créé et peut-être arrêter ses responsabilités politiques. » Pourquoi en vient-elle à une procédure disciplinaire cette fois alors qu’elle n’avait jusqu’ici opposé que des protestations verbales aux multiples déclarations polémiques de son père ? « C’est le phénomène de la récidive« , a lâché l’eurodéputée. »On a le sentiment dans cette interview qu’il y a toutes les provocations qui sont réitérées (…), des propos qui sont totalement en rupture avec la ligne » du parti. Invité de RTL vendredi matin, Jean-Marie Le Pen aura l’occasion de dire s’il compte se présenter à cette convocation de l’instance suprême du FN, composée de neuf membres… et dont il est déjà membre de droit. La réunion devrait se tenir dans au minimum 15 jours, à cause du délai obligatoire de convocation, selon une source FN. Jusqu’à peu, les dirigeants FN, même dans les discussions avec les journalistes, gardaient une certaine mesure concernant « Le Pen », soulignant avec une quasi-tendresse son côté « emmerdeur » et le présentant, autant lassés qu’amusés, comme le « vieil oncle éructant à la fin des repas de famille« . Pouvoir de nuisance ? Aucun ou presque, assuraient-ils. Les dagues sont dégainées depuis mercredi matin au lendemain de la diffusion de l’entretien de Jean-Marie Le Pen à Rivarol, dans lequel -sans nouveauté majeure sur le fond-, il déroule « un best of des textes et des mots de toute sa carrière », selon les termes du patron des socialistes Jean-Christophe Cambadélis. Dans cette polémique qui se déroule par médias interposés, le numéro deux du parti, Florian Philippot, a été le plus loin, assurant jeudi qu’il serait « préférable » que Jean-Marie Le Pen démissionne du parti. L’hypothèse même d’une exclusion de Jean-Marie Le Pen du FN n’est plus inenvisageable. « Toutes les options sont sur la table« , a lâché M. Philippot. Une exclusion ? Cette décision serait « complètement folle », porteuse d’un « risque d’implosion » du FN, a répliqué dans la journée Le Pen père. Mais le bain de sang à venir pourrait ne pas éclabousser tout le monde. En rompant avec son père, Marine Le Pen peut espérer tirer un avantage politique dans sa stratégie de « dédiabolisation« . Nombre de frontistes ont d’ailleurs salué sur Twitter la prestation télévisée de leur chef: « L’étoffe d’une femme d’Etat« , pour M. Philippot. La crise, « une chance pour le FN », selon Robert Ménard, maire de Béziers.  Ce changement radical de ton envers Jean-Marie Le Pen n’est par ailleurs pas dépourvu de calcul : « Ils accélèrent le processus de destruction. Quand la bête est à terre, on l’achève« , remarque un frontiste historique. L’intérêt général des Français devant l’intérêt personnel de Jean-Marie Le Pen: ainsi est mis en forme le rejet du « suicide politique » évoqué par Marine Le Pen.  Mais le principal intéressé est convaincu: en cas d’exclusion, « le prestige que je conserve assez naturellement au sein du FN provoquera des remous considérables et pour elle, une perte d’influence qu’elle ne mesure sans doute pas. » Une situation qui a réjoui les adversaires du FN, et au premier rang desquels l’ancien président Nicolas Sarkozy, qui en meeting dans l’Oise a assuré : « On se sent humiliés d’assister à un tel spectacle ». La violente dispute occulte aussi un autre danger pour le parti d’extrême droite, qui doit faire face à une enquête judiciaire sur ses campagnes électorales qui s’est accélérée avec de nouvelles mises en examen dévoilées jeudi, notamment pour financement illégal du parti.

 

Grève des contrôleurs aériens : contre la retraite à 59 ans

Grève des contrôleurs aériens : contre la retraite à 59 ans

Les contrôleurs protestent notamment contre la retraite à 59 ans ( 57 ans actuellement). Dans le même temps dans le privé il faut attendre 67 ans pour une  retraite pleine. Un âge encore provisoire dans le privé car avec les déficits des régimes complémentaires de la sécu on va s’orienter sans doute vers 69 ans. Les réserves financières de l’Agirc seront à sec en 2018 ; celles de l’Arrco en 2027. Une fusion repousserait cette date fatidique à 2025 sans toutefois régler le problème à sa source et en amputant de deux ans l’échéance de banqueroute pour l’Arrco. . . L’âge légal serait quant à lui repoussé de 67 ans à 69 ans pour les salariés nés après 1959. Ces deux mesures cumulatives permettraient de faire durer les réserves des deux régimes complémentaires constituées dans les années fastes au-delà de 2030. Lé sécu , elle, en déficit chronique devra  s’aligner progressivement  sur le report de l’âge de la retraite prévu par les régimes complémentaires. Pour le moins il y a donc une « légère »différence de traitement entre le privé et le public.  Le SNCTA, premier syndicat parmi les 4000 contrôleurs aériens indique sur son blog qu’une réunion de conciliation mardi matin sur la grève des 8 et 9 avril n’a pas abouti. Il demande aux aiguilleurs du ciel de poser des préavis de grève pour trois périodes: du mercredi 8 au jeudi 9 avril, du 16 au 18 avril et du 29 avril au 2 mai. Le syndicat réclame des négociations sur l’organisation du travail. «Les périodes de pointe et de creux vont s’accentuer au cours des cinq prochaines années, en raison notamment du développement des low-costs mais rien n’a été prévu pour y faire face, explique Roger Rousseau du SNCTA. Deuxième motif de revendication: «la réglementation européenne pour exercer notre métier s’est complexifiée et nous voulons éviter l’amoncellement des règles», dit le syndicaliste.

 

Les pensions de retraite complémentaires : gelées encore en 2015

Les pensions de retraite complémentaires : gelées encore en 2015

Nouveau gel en 2015 et ce n’est sans doute pas fini compte tenu de l’état des caisses ont annoncé les régimes Agirc et Arrco dans un communiqué publié ce jeudi 12 mars. Une éventuelle réévaluation devait intervenir au 1er avril.  L’Arrco est l’un des deux organismes gérant ces pensions complémentaires, avec l’Agirc, qui elle s’occupe plus spécifiquement des cadres. Les partenaires sociaux, gestionnaires de ces deux régimes, réunis en conseil d’administration mercredi et jeudi, ont « décidé de maintenir les valeurs du point au même niveau que l’an passé », selon le communiqué. Pour combler une partie du déficit, syndicats et patronat s’étaient entendus en 2013 pour limiter la revalorisation des pensions en 2013, 2014 et 2015. Leur accord prévoyait que les pensions seraient revalorisées un point en dessous de l’inflation sur trois ans. Mais une clause prévoyait aussi que les pensions ne puissent pas baisser. Or l’inflation prévue dans le budget de la Sécurité sociale pour 2015 est de 0,9%. « Les partenaires sociaux ont fait jouer la clause de sauvegarde prévue dans l’accord qui prévoit que le taux ne peut pas être inférieur à 0% », soulignent l’Agirc et l’Arrco. Les partenaires sociaux ont entamé le mois dernier une difficile négociation sur l’avenir financier des retraites complémentaires, fragilisées par l’arrivée massive des papy boomers à la retraite et la réduction des cotisations due au chômage élevé. Ils ont quatre mois, jusqu’à juin, pour trouver comment pérenniser le système, fortement déficitaire. La prochaine séance est fixée au 20 mars. Il y a par exemple 2,7 millions de retraités cadres pour 4 millions de cotisants, mais la proportion est en passe de se réduire au détriment des cotisants. Conséquence, le déficit de l’Argic et de l’Arrco devrait se situer entre 4,27 et 4,64 milliards d’euros en 2015 selon leurs dernières estimations. En 2018, le seul régime cadres, le plus menacé, devrait voir son déficit se creuser à 5 milliards.  Surtout, les réserves financières des régimes qui servent à garantir le paiement des pensions fondent comme neige au soleil. Celles de l’Agirc en particulier s’élèvent à 9 milliards aujourd’hui mais sera proche de zéro en 2018 selon les projections. Or, à la différence du régime de retraite de base de la sécurité sociale, les régimes complémentaires ne peuvent pas s’endetter pour combler les trous.

 

La retraite à 70 ans ?

La retraite à 70 ans ?

 

La France faute de réforme structurelle est entrée de puis des années dans une  succession de réformettes et le rapport actifs- retraité- en imposera d’autres. En clair à partir de 2035 il faudra avoir cotisé 43 ans (dans la dernière réforme), or comte tenu de la durée d’études et des interruptions liés au chômage, la retraite ne pourra être effective qu’autour de 70 ans à taux plein. En cause l’équilibre démographique et le financement des régimes (régimes général, régime public,  régies spéciaux). . François Rebsamen avait estimé que l’exécutif pouvait augmenter la durée de cotisation. Laissant entendre que la loi votée l’an dernier par l’actuelle majorité – qui porte cette durée à 43 annuités – était insuffisante… Malgré la rectification du Premier ministre, le dossier sera bel et bien rouvert en partie l’an prochain puisque le patronat et les syndicats doivent trouver des mesures d’urgence pour financer les retraites complémentaires (Agirc et Arrco) au bord du gouffre. Et leur décision sera avalisée par l’exécutif. Cette actualité et les déclarations de Rebsamen sont éloquentes. En dépit des réformes menées en 1993, puis 2003, 2008 (régimes spéciaux), 2010 et 2013, le versement des pensions se fait toujours à crédit. Et il en sera ainsi au moins jusqu’au cours des années 2020, à condition que la croissance reparte, comme l’indique le dernier rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) publié mardi. Ancien ministre (UMP) en charge du dossier, Eric Woerth a moqué Rebsamen, qui serait, dit-il, « en train d’ouvrir les yeux ». Lui qui a fait passer l’âge légal à 62 ans (pour 2017) dans une loi de 2010 prône aujourd’hui un report à « 64 ou 65 ans ».  Bref, le problème n’est toujours pas réglé. Il en coûte aux dirigeants politiques. La nécessité d’une nouvelle loi à chaque changement de majorité sème le discrédit et l’incertitude. Alors que, au fond, les dirigeants UMP et PS partagent la même analyse sur le nécessaire allongement de la durée d’activité.

 

Age de la retraite : recul ?

Age de la retraite : recul ?

 

 

D’après le Comité d’orientation des retraites,  la situation financière devrait s’améliorer mais il faudrait un taux de chômage à moins de 5%. Pas évident car cela suppose  une croissance très forte ( au moins 3% par an) modifiant le rapport actifs-retraités ; Comme par ailleurs les retraites complémentaires sont en difficultés, il faut plutôt s’attendre à un allongement de l’âge de départ. L’âge moyen de départ à la retraite est revenu à 62,1 ans en France en 2013, contre 62,2 en 2012, l’assouplissement des conditions de départ anticipé pour les carrières longues décidé par le gouvernement ayant pour conséquence d’interrompre la hausse constatée depuis la réforme de 2010. Par comparaison, il se situait à 61,9 ans en 2011, première année d’application de la réforme votée sous Nicolas Sarkozy, et 61,4 ans en 2010. Selon les données publiées vendredi par la Cnav (Caisse nationale d’assurance-vieillesse), 847 484 salariés affiliés au régime général (secteur privé) sont partis en retraite l’an passé, soit 13,3 % de plus qu’en 2012. Les seules retraites anticipées longue carrière ont représenté 147 208 personnes, contre 86 975 un an plus tôt. La réforme de 2010 avait relevé à 62 ans l’âge légal de départ à la retraite. Dès son arrivée au pouvoir à l’été 2012, le gouvernement de François Hollande a assoupli par décret les conditions dans lesquelles les salariés ayant commencé à travailler jeunes peuvent faire valoir leurs droits à taux plein dès 60 ans.

Montant retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Montant Retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Pourquoi  –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite ( en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois (  15 000 d’après l’Elysée). En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et tout réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

 

Hollande : une retraite de seulement 15 000 euros par mois, vite un « Hollandeton »

Hollande : une retraite de seulement 15 000 euros par mois, vite un  « Hollandeton »

 

 

Ce n’est donc pas 30 000 euros que toucherait Hollande en retraite mais la moitié notamment parce qu’il abandonne les 12 000 euros du Conseil constitutionnel dans lequel il ne siégera pas. Quand même une belle somme pour quelqu’un qui n’a pratiquement jamais travaillé. Pratiquement pas à la cour des comptes, peu comme parlementaire, et mal comme président de la République. Normalement dans une entreprise classique, il y a longtemps qu’il aurait été licencié, pout faute grave, donc sans indemnité !  François Hollande pourra prétendre, une fois à la retraite, à environ 15.000 euros net par mois, somme correspondant à l’addition de toutes les pensions auxquelles il a droit, selon des chiffres fournis jeudi par l’Élysée. « Au total, en supposant que François Hollande demande le moment venu la liquidation de toutes les pensions auxquelles il a droit », c’est « une dotation mensuelle de 15.114 euros net qu’il recevra », écrit la directrice de cabinet de Hollande, Sylvie Hubac, dans un droit de réponse adressé à l’hebdomadaire Marianne. L’hebdomadaire avait affirmé la semaine dernière que le chef de l’État toucherait près de 36.000 euros de retraite et indemnités par mois après son départ de l’Élysée. Pour arriver à cette somme, Marianne additionnait les pensions et revenus auxquels aurait droit, à terme, Hollande en calculant comme suit: 6.000 euros de retraite pour ses anciens mandats locaux, 6.800 euros comme ex-parlementaire, 6.000 euros comme ancien président de la République, 5.000 euros en tant qu’ancien haut fonctionnaire à la Cour des comptes et 12.000 euros d’indemnités comme membre à vie du Conseil constitutionnel. Dans sa réponse écrite, l’Élysée précise que Hollande devrait toucher :

- 3.473 euros net mensuels au titre de sa retraite de conseiller référendaire de la Cour des comptes.
- de l’ordre de 235 euros mensuels net comme ancien élu local.
- 6.208 euros net par mois comme parlementaire
- 5.184 euros net par mois lorsqu’il n’exercera plus les fonctions de président de la République.
- de l’ordre de 545 euros (en un versement unique) pour ses activités d’enseignement et une somme de 168 euros net annuels pour celles d’avocat. D’où au total 15.114 euros net par mois, récapitule l’Elysée. Par ailleurs, réaffirme la présidence, François Hollande ne siégera pas au Conseil constitutionnel comme c’est de droit pour tout ancien chef de l’État et ne percevra donc pas les 12.000 euros d’indemnités afférentes.

 

Retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Retraite Hollande ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Pourquoi y –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite ( en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois(  21000 d’après l’Elysée). En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et tout réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

Hollande, une retraite à 36.000 euros ou 20 000 euros mensuels ?

 

Hollande, une retraite à 36.000 euros ou 20 000 euros mensuels ?

D’après Marianne, Hollande pourrait prétendre à une retraite de 36 000 euros mais d’après L’ ’Elysée (et sapin qui exprimait dimanche), c’est beaucoup moins, de l’ordre de 20 000 euros. Une somme quand même rondelette obtenue grâce aux cumuls des mandats et des fonctions professionnelles (pratiquement non occupées à la cour des comptes). ).  Pour arriver à la somme de 36.000 euros mensuels, Marianne a additionné les pensions et revenus auxquels aurait droit, à terme, François Hollande: 6.000 euros de retraite pour ses anciens mandats locaux, 6.800 euros comme ex-parlementaire, 6.000 euros comme ancien président de la République, 5.000 euros en tant qu’ancien haut fonctionnaire à la Cour des comptes et 12.000 euros d’indemnités comme membre à vie du Conseil constitutionnel. Mais samedi, l’entourage de François Hollande a démenti ces chiffres, « totalement faux ». Premièrement, ses proches, interrogés par l’AFP, soulignent que la pension au titre des mandats locaux serait inférieure à 6.000 euros. Ensuite, François Hollande, conseiller référendaire de la Cour des comptes depuis 1988, ne progresse plus depuis lors en termes d’avancement dans son corps d’origine et, contrairement à ce qu’affirme Marianne, « n’accumule aucun nouveau droit à la retraite au titre de la Cour des comptes depuis 2012″. Au total, la retraite à laquelle pourra prétendre le chef de l’Etat sera en réalité inférieure à 20.000 euros mensuels, insiste l’Elysée.

Retraite Hollande à 31 000 euros mensuels ou le scandale des fonctionnaires élus politiques

Retraite Hollande à 31 000 euros mensuels ou le   scandale des fonctionnaires élus politiques

 

Pourquoi y –t-il autant d’élus anciens fonctionnaires, tout simplement parce qu’ils conservent pendant leur mandat les avantages de leur statut notamment la retraite (en plus de celle d’élus) comme Hollande qui va toucher une retraite de 31 000 euros par mois. En outre les fonctionnaires sont assurés de retrouver leur emploi en cas d’échec à une élection. Du coup les plus hautes institutions sons composées essentiellement de fonctionnaires. Fonctionnaires  qui n’ont  qu’une connaissance assez ésotérique de l’entreprise et des réalités socio-économiques  et pour qui réglementation et fiscalité sont l’alpha et l’oméga de la politique. La sociologie politique  est ainsi complètement faussée, elle n’est pas représentative de la France et la démocratie est confisquée par une caste. Plus grave, cela sécrète une culture de la bureaucratie qui étouffe l’économie et tue l’emploi. Certes on ne peut empêcher les fonctionnaires de faire de la politique mais sous condition qu’il renonce totalement à leur statut. Ce que n’a pas faiat Hollande et les autres. Pour se lancer dans la politique il faut du temps et des moyens ce que n’ont pas les français issus du privé. Cette situation aboutit à un Etat  surdimensionné car entre politiques  et fonctionnaires on se renvoie l’ascenseur et toute réforme de l’Etat devient impossible. D’où une fiscalité qui étouffe entreprise et ménages, le tout au non du service public qui  amalgame les concepts de  service public, entreprises publiques et statut. 57 % de la richesse nationale sont  ainsi consacrés aux dépenses publiques, aucun Etat ne peut être compétitif dans ces conditions, sans parler de la bureaucratie que cela génère. Le changement n’est pas pour demain car ces fonctionnaires sont présents dans tous les partis. Raymond Barre à son époque avait bien tenté de lancer une reforme pour remédier à cette situation mais il avait été vite « recadré ;  depuis, plus rien…

Hollande : une retraite de 36.000 euros par mois

Hollande : une retraite de 36.000 euros par mois

 

C’est le scandale da la politique française : des fonctionnaires qui confisquent la démocratie et cumulent  les avantages sociaux de la fonction publique et ceux de leur mandat politique. Ainsi Hollande touchera 36.000 euros par mois. C’est le fruit d’une longue carrière dans la fonction publique et dans la politique. Le montant peut choquer, mais il n’a rien d’illégal, sauf que le chef de l’État aurait pu renoncer à une partie de ce pactole. En effet, François Hollande garde un pied à la Cour des comptes. Il ne s’est pas mis en disponibilité, mais juste en détachement. C’est une nuance cruciale. D’un côté, il quitte la maison, mais de l’autre, il continue à cotiser tout en travaillant ailleurs. François Hollande a opté pour cette solution. Résultat : chaque mois, sa future pension augmente et cela dure depuis 32 ans. Elle représente 5.000 euros bruts par mois, selon Marianne. Cependant, cette pratique est devenue illégale depuis la loi sur la transparence de la vie publique, sauf pour le président de la République. Les ministres, eux, sont contraints de se mettre en disponibilité. Récemment, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron a dû le faire. Aux 5.000 euros de la Cour des comptes, s’ajoutent 6.000 euros de la présidence de la République, 6.000 euros grâce à ses mandats de députés, ainsi que la retraite en tant qu’élu de Corrèze et ancien maire de Tulle. Il ne faut pas oublier le pactole de 12.000 euros bruts, comme membre de droit du Conseil constitutionnel, pour atteindre la somme globale de 36.000 par mois. Cette retraite est largement au-dessus de ses deux prédécesseurs : 31.000€ pour Jacques Chirac et 30.000€ pour Valéry Giscard d’Estaing. L’Élysée précise de son côté que « tout est en règle ».

 

Retraite chapeau du patron de GDF-Suez : le gouvernement complice et faux cul

Retraite chapeau du patron de GDF-Suez : le gouvernement complice et faux cul

Exemple type de l’hypocrisie du gouvernement  qui approuve mais « regrette »  les 800 000 euros annuels de retraite   »complémentaire » pour le président de GDF. Le gouvernement approuve au motif que juridiquement c’est conforme au code AFEP-Medef (code de gouvernance des sociétés). Un détail toutefois la donne a changé, il y a la crise, les efforts qu’on demande aux Français et y compris en matière de retraite. Deux poids,  deux mesures pour cette l’oligarchie qui s’auto- accorde des privilèges exorbitants. Le pire c’est que GDF n’est pas en saturation financière brillante. Alors incompétence ? Sans doute mais auusi pillage de la richesse nationale pour une caste.  Interrogé lundi en marge d’un déplacement en Algérie, où il était venu inaugurer une nouvelle usine Renault, le ministre de l’Économie Emmanuel Macron a confirmé que la retraite complémentaire du PDG de l’énergéticien était conforme au code Afep-Medef. Ce code, qui fait référence en matière de bonne gouvernance des sociétés cotées, prévoit que le montant de la retraite ne doit pas dépasser 45% de celui de sa rémunération de référence. Or en l’espèce, il atteint «seulement» 28 %. «Nous considérons donc qu’elle est acquise, même si le gouvernement désapprouve ce type de rémunération», a précisé le ministre de l’Économie. Révélée fin octobre par LeCanard enchaîné, le montant de la retraite chapeau de Gérard Mestrallet avait provoqué des remous, un an après le cas Philippe Varin qui avait conduit l’ancien président du directoire de PSA Peugeot Citroën à renoncer à près de 21 millions d’euros.  Emmanuel Macron a estimé que cette nouvelle affaire pouvait à juste titre choquer et que le gouvernement actuel, contrairement à son prédécesseur, n’aurait pas donné son aval à cette retraite. Mais malgré ses 34 % du capital du groupe, l’État ne peut pas revenir sur un élément de rémunération déjà acté par les actionnaires du gazier en 2009 et 2012, et désormais validé par le Haut comité de gouvernement d’entreprise saisi par GDF-Suez.  Le ministre de l’Économie a cependant prévenu qu’il n’en resterait pas là. Un comité d’experts doit prochainement être nommé pour réfléchir à l’élaboration d’un code de conduite plus sévère.

 

 

Retraite chapeau de 21 millions pour le patron de GDF

Retraite chapeau de 21 millions pour le patron de GDF

 

En dépit de pertes record GDF va récompenser son patron avec une retraire chapeau de 21 millions. Mestrallet se prépare une confortable retraite. Le PDG de GDF Suez, dont les préparatifs de succession s’accélèrent, devrait toucher au moins 21 millions d’euros, selon Le Canard Enchainé, ce mercredi 22 octobre.  Le dirigeant du groupe verra son mandat se terminer en mai 2016, lorsqu’il aura atteint la limite d’âge de 67 ans. Lorsqu’il quittera GDF, selon l’hebdomadaire satirique, Gérard Mestrallet bénéficiera du régime de retraite complémentaire de l’ex-Suez Environnement, dont il est issu. Ce complément s’élèverait à 831.641 euros par an, indique le journal. Ce montant peut paraître dérisoire au regard de ses émoluments actuels de 3 millions d’euros en 2013, reconnaît le palmipède. Mais ce système a obligé le groupe à provisionner plus de 100 millions d’euros au 31 décembre 2013 en prévision du versement des retraites chapeaux des 20 membres du comité exécutif.  Sur cette somme, au moins 21 millions serait uniquement dédiés à la pension de Gérard Mestrallet. C’est autant que la retraite chapeau de Philippe Varin lorsqu’il a quitté PSA, rappelle l’hebdomadaire. Après le tollé que cela avait provoqué, l’ex-patron de Peugeot-Citroën avait dû y renoncer. Certes, le patron du constructeur quittait un groupe en plein restructuration, qui venait de fermer l’usine d’Aulnay. Mais le Canard rappelle que, si GDF, détenu à 33% par l’Etat, se porte moins mal, le géant de l’eau et de l’énergie a quand même annoncé des pertes record en 2013 (9,7 milliards d’euros).  Le patron de GDF Suez aurait quoi qu’il en soit le temps de gérer une éventuelle polémique: son départ n’est pas censé intervenir avant 2016. Si sa succession fait la une de l’actualité, c’est en raison de la nomination d’Isabelle Kocher, actuellement directrice financière, en tant que numéro deux du groupe par le conseil d’administration mardi. Une promotion qui fait d’elle la remplaçante désignée de Mestrallet.  Elle remplace à ce poste Jean-François Cirelli, qui briguait lui aussi la tête du groupe, mais qui n’avait clairement pas les faveurs de Mestrallet. La rivalité entre eux est, selon des sources syndicales, héritée de la fusion de Gaz de France et de Suez Environnement, intervenue en 2008. Le premier, issu de GDF, aurait à l’époque ulcéré le second, patron de Suez, en faisant traîner la validation du mariage en longueur. Depuis, l’antipathie entre les deux hommes n’aurait fait que croître. 

 

Hollande : 60 ans, bientôt la retraite ?

Hollande : 60 ans, bientôt la retraite ?

 

Il s’y attendait à ce sarcasme, Hollande a donc décidé de fêter discrètement son anniversaire. Le chantre de la retraite à 60 ans devrait en effet quand même y penser car avec son taux de popularité dans les chaussettes la reconversion va s’imposer. Hollande évidemment ne sera pas qualifier pour le second tour en 2017 et ce sera même pire que Jospin. Il n’est pas sur non plus qu’il puisse être candidat enfin on ne peut non plus exclure qu’il ne puisse finir son mandat tellement les résultats économiques et sociaux sont catastrophiques. Hollande aura échoué sur tous les plans. 0 60 ans Hollande devrait donc sérieusement penser à la retraite même si elle n’est guère méritée. Pour éviter les médias, cap vers le sud. Mardi, pour souffler ses bougies, François Hollande ne sera pas à La Lanterne, à Versailles, mais « dans le Sud-est », a indiqué lundi l’Elysée. Un anniversaire que le Président passe « en petit comité », en famille.  Mardi, François Hollande fête ses 60 ans. Et alors qu’il passait ses quelques jours de vacances dans la résidence de La Lanterne, à Versailles, le chef de l’Etat a décidé de mettre le cap plus au sud. Dans un autre lieu situé « dans le Sud-Est », a simplement fait savoir l’Elysée lundi. C’est là qu’il soufflera ses 60 bougies, « en petit comité » – en compagnie de ses quatre enfants Thomas, Clémence, Julien et Flora – et hors la présence de tout ministre, a encore confié la présidence. Selon un proche du chef de l’Etat, ce n’est ni dans la villa qu’il possède à Mougins (Alpes-Maritimes), ni auprès de son père, à Cannes. Toutes les hypothèses sont donc permises. Sauf une : celle d’un séjour au Fort de Brégançon (Var) où il avait passé ses premières vacances estivales en tant que Président, en 2012, avec sa compagne d’alors, Valérie Trierweiler. De plus, le Fort est ouvert au public tout l’été.

Équilibre des régimes de retraite : tout dépendra de la croissance

Équilibre des régimes de retraite : tout dépendra de la croissance

Pour son premier avis annuel publié mardi, le « Comité de suivi des retraites » créé par la réforme de 2013 déclare aussi qu’il « prend acte » de la volonté des partenaires sociaux d’ouvrir de nouvelles négociations sur les régimes complémentaires du secteur privé pour en assurer la pérennité. Il fait en outre référence au projet de gel des retraites supérieures à 1.200 euros brut par mois prévu dans le projet de loi rectificatif de financement de la Sécurité sociale pour estimer que, globalement, « la situation et les perspectives du système de retraite ne s’éloignent pas de façon significative des objectifs définis par la loi. »A partir de là, il indique ne formuler aucune recommandation au gouvernement pour l’année à venir, comme il serait habilité à le faire s’il constatait une dérive par rapport à la trajectoire prévue dans la loi qui vise un retour à l’équilibre des régimes de base en 2020.Pour la suite, le Conseil « estime que les aléas de la croissance demeurent le principal défi auquel est confronté le système, défi auquel il conviendra d’apporter des réponses». Composé de cinq membres et présidé par Yannick Moreau, ancienne présidente du Conseil d’orientation des retraites (COR), le comité de suivi travaille à partir d’un nouveau rapport annuel du COR, dont la première édition a été publiée en juin. Les limites de son premier avis tiennent au fait que le COR n’a pas, faute de temps, actualisé ses projections de besoin de financements des systèmes de retraite en tenant compte de l’impact de la réforme, du nouveau programme de stabilité des finances publiques présenté fin avril et du gel des retraites prévu dans le PLFRSS. Le COR reste ainsi, dans son scénario médian, sur une hypothèse de déficit des régimes de retraite équivalant à 0,5% du PIB à l’horizon 2020 en l’absence de rééquilibrage des régimes publics et spéciaux, revenant à 0,3% en 2030 et 0,1% en 2040. Le Comité de suivi constate pour sa part que les prévisions associées au PLFRSS actuellement débattu au Parlement prévoient que le régime de général et le Fonds de solidarité vieillesse pourraient être à l’équilibre dès 2017 avec le gel prévu. Il note encore que la négociation prévue en 2015 d’un nouvel accord sur les retraites complémentaires du privé (Agirc, Arrco) constitue un « enjeu important », le précédent accord, négocié en 2013, qui reposait sur un gel des prestations, n’ayant pas suffi pour redresser leurs comptes. S’agissant de la croissance de l’économie, un facteur crucial pour l’équilibre du système des retraites, le comité de suivi note que le Haut Conseil des Finances publiques a jugé « optimiste » les prévisions du gouvernement pour les années qui viennent (1% en 2014, 1,7% en 2015 et 2,25% en 2017.)  Il se réfère à un avis du comité France Stratégie qui recommande, pour la décennie à venir, « de fonder les décisions de finances publiques et sociales sur des hypothèses plus basses de l’ordre de 1,5% l’an ».

 

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