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Élections américaines: L’argument de la sénilité et de l’âge va se retourner contre Trump

Élections américaines:  L’argument de la sénilité et de l’âge va se retourner contre Trump

Sitôt connue la candidature de Harris, Trump s’est à nouveau déchaîné contre ce nouvel adversaire d’une autre trempe que celle de Biden. Tout l’argument de Trump reposait surtout sur l’âge de l’actuel président et sa  sénilités supposée. Le problème c’est qu’il a à faire désormais à une femme encore jeune de 59 ans particulièrement opiniâtre, compétente et d’une autre pointure intellectuelle que Trump.

 

Elle a d’ailleurs déjà défini sa posture celle d’un tribunal face à un criminel, un voleur et un menteur. Et là évidemment aussi pour elle d’avoir un programme beaucoup moins rétro et simplificateur. On va surtout avoir affaire à un duel entre une politique en pleine force de l’âge face finalement un vieillard qui ne cesse de répéter en boucle un discours d’une rare bêtise pour un président.

La démission de Biden constitue un véritable choc dans la problématique présidentielle américaine. Harris a d’ailleurs dépassé en 24 heures tous les records de dons pour la campagne. Les premiers sondages montrent un net resserrement de l’écart entre les deux candidats. De toute évidence la dynamique est en faveur de Harris qui a déjà adopté sa posture habituelle, celle d’une procureur opiniâtre (qu’elle fut) qui va faire passer sur le gril Trump pour toutes ses turpitudes.

Trump: L’argument de la sénilité et de l’âge va se retourner contre l’intéressé

Trump:  L’argument de la sénilité et de l’âge va se retourner contre l’intéressé

Sitôt connue la candidature de Harris, Trump s’est à nouveau déchaîné contre ce nouvel adversaire d’une autre trempe que celle de Biden. Tout l’argument de Trump reposait surtout sur l’âge de l’actuel président et sa  sénilités supposée. Le problème c’est qu’il a à faire désormais à une femme encore jeune de 59 ans particulièrement opiniâtre, compétente et d’une autre pointure intellectuelle que Trump. Elle a d’ailleurs déjà défini sa posture celle d’un tribunal face à un criminel, un voleur et un menteur. Et là évidemment aussi pour elle d’avoir un programme beaucoup moins rétro et simplificateur. On va surtout avoir affaire à un duel entre une politique en pleine force de l’âge face finalement un vieillard qui ne cesse de répéter en boucle un discours d’une rare bêtise pour un président

Les profits liés à l’inflation peuvent se retourner contre les bénéficiaires


Les profits liés à l’inflation peuvent se retourner contre les bénéficiaires

Grâce à l’inflation, certaines entreprises en profitent pour consolider leurs marges, au point d’être l’un des principaux moteurs de l’envolée des indices de prix. Un phénomène dangereux pour l’ensemble de l’économie, constate Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».

Le lexique de l’évolution des prix ne cesse de s’enrichir. Après l’inflation, la déflation, la stagflation, voici venu le temps de la « greedflation », ou « profitflation », la hausse des prix tirée par la cupidité des entreprises qui sont tentées d’améliorer leur rentabilité. Il s’agit du énième dérèglement de l’économie mondiale provoqué par la succession de chocs que celle-ci subit depuis trois ans, entre vagues de pandémie, pénuries de composants, tensions géopolitiques et fragmentation du commerce mondial.

Alors même que l’économie ralentit, après avoir vivement rebondi dans la foulée des déconfinements, certaines entreprises en profitent pour consolider leurs marges, au point d’être l’un des principaux moteurs de l’envolée des indices de prix. Le secteur de l’agroalimentaire est un cas d’école pour observer un mouvement qui inquiète économistes et dirigeants politiques. Après avoir touché les biens intermédiaires, puis les biens durables comme l’automobile, la « greedflation » devient plus visible pour les consommateurs, dès lors qu’elle touche à leurs achats du quotidien les plus basiques, à savoir l’alimentation.

Lorsque les cours du gaz, du pétrole, des céréales explosaient dans les premiers mois de la guerre russo-ukrainienne, les consommateurs avaient accueilli la pression inflationniste avec un certain déterminisme. Ils découvraient que l’Ukraine est un important producteur de tournesol, que le coût du transport maritime fluctue fortement selon la demande, et que les énergies fossiles aident encore massivement les agriculteurs à faire pousser les produits nécessaires à remplir nos assiettes.

La hausse était d’autant plus compréhensible qu’elle se propageait de façon impressionniste grâce aux boucliers tarifaires déployés par le gouvernement. Surtout, le consommateur n’avait pas encore réalisé les charmes de notre très réglementé système de négociations des tarifs entre producteurs et distributeurs. La France est en effet le seul pays où celles-ci ont lieu une fois par an et se terminent le 1er mars. Cette année, le réveil est douloureux.

Les prix alimentaires ont augmenté de 15,9 % en mars, pile au moment où l’on constate les premières accalmies sur les cours des matières premières. Le pétrole a reculé de moitié, le riz de 19 %, le blé de 30 %, le verre de 18 % et le coût des containers de plus de 80 %. Certains en profitent pour se mettre la différence dans la poche et gonfler leurs marges.

Energies Allemagne: 500 milliards en solaire et éolienne pour retourner au charbon!

 Energies Allemagne: 500 milliards en solaire et éolienne pour retourner au charbon !

 

L’Allemagne donne au moins l’exemple de ce qu’il ne pas faut pas faire en matière de politique énergétique. Le problème c’est qu’elle a aussi convaincu la commission européenne qui veut aussi imposer à la France le même contresens économique.

L’Allemagne aura dépensé en 25 ans 500 milliards en éoliennes et panneaux solaires ( les chiffres sont ceux de la Cour des comptes allemande) pour découvrir que les jours sans soleil ou vent, on est gros jean comme devant quand on n’a plus de centrales nucléaires.

Le pays a d’abord brûlé du gaz russe pour pallier l’intermittence des renouvelables. La source s’est tarie, on en revient aux vieilles méthodes encore plus sales. La lignite. Résultat de cette transition menée de main de maître, l’Allemagne produit une des électricités les plus carbonées ( dix fois plus que l’électricité française) , les plus polluantes et les plus chères d’Europe. Le pays est d’ailleurs le plus important émetteur de CO2 de l’UE.

Exempte de cette absurdité à Lützerath. On avait mal compris : quand l’Allemagne promettait de se passer de nucléaire en sortant du charbon, il fallait prendre ça au sens propre : en sortant du charbon du sol, avec des excavatrices.

Ironie de l’histoire, il va même falloir raser des éoliennes à Lützerath pour agrandir la mine de charbon.

Que les gouvernements allemands se soient, avec arrogance, entêtés, en dépit des alertes, à promouvoir une transition dont on savait qu’elle avait besoin de renforts pilotables ? Qu’ils se soient pliés aux pressions antinucléaires ? Qu’ils aient choisi la pire alternative possible, le combiné gaz-lignite?

Que les écolos allemands aient validé une à une les étapes de cette histoire ahurissante, y compris le retour au charbon, y compris la destruction de Lützerath ? Ils se retrouvent aujourd’hui dénoncés par les activistes du climat, dont Greta Thunberg, comme de vulgaires écocides. «Les Verts contre le climat», titrait, vendredi, l’hebdomadaire de gauche Der Freitag.

Que les écolos français, à l’instar de Marine Tondelier, nouvelle secrétaire d’EELV, soient encore en train de nous expliquer que oui, le 100% renouvelable est possible et que les Allemands sont en train de le prouver ?  Ou quand l’idéologie rend aveugle et idiot à la fois.




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