Archive pour le Tag 'retour'

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Sondage-non au retour des djihadistes présumés pour 68%

Les Français veulent punir les djihadistes présumés

68% des Français souhaitent que ceux soupçonnés « d’être allés se battre dans des pays ou régions contrôlés par des groupes terroristes » n’aient pas le droit de revenir en France, selon un sondage IFOP pour le JDD à paraître dimanche. Les sondés se disent également largement favorables à la déchéance de nationalité pour les binationaux. Les avis sont par contre partagés quand on leur demande s’il faut tenir compte des réactions des musulmans pratiquants, « qui se sentent blessés ou agressés » par la publication des caricatures de Mahomet, notamment en une de Charlie Hebdo. Par ailleurs, dans leur majorité, les Français ne voient pas de solution militaire à l’extérieur de nos frontières pour combattre Daech et Al-Qaïda.

Hollande : retour du service militaire pour réduire le chômage

Hollande : retour du service militaire pour réduire le chômage

 

Encore un nouveau truc après l’emploi aidé, le service civique ou militaire d’abord bénévole mais qui pourrait revenir obligatoire. Une manière de neutraliser jusqu’à 100 000 chômeurs d’ici 2017. En soi le retour du service civique ou militaire ne serait pas nécessairement une mauvaise chose tellement l’école voire certaines  familles ont déserté le terrain civique. Une manière aussi de redonner du crédit au rapport à la loi ou simplement aux règles de vie communes en société. Mais la proposition de Hollande n’est pas sans arrière-pensée. 100 000 jeunes en moins sur les listes de pôle emploi en 2017 pourrait contribuer à afficher des  chiffres s’emploie plus présentables. Lors de la présentation de ses vœux aux Français, le chef de l’État a en effet  proposé un nouveau dispositif basé sur le volontariat dans un premier temps et qui pourrait devenir « obligatoire » par la suite. . Ces missions du «service civique» sont pour François Hollande destinées à renforcer la cohésion nationale autour de la valeur d’engagement. «C’est une vertu pour la nation, c’est ce qui nous rassemble dans une même patrie», a-t-il déclaré, affirmant sa volonté d’élargir le service civique «à tous les jeunes, dans toute leur diversité, tous les jeunes qui en feront la demande». Le président de la République a annoncé à plusieurs reprises une «réforme» sur le sujet. Pour atteindre son objectif de 100.000 contrats par an d’ici à 2017 contre 35.000 actuellement, une vieille promesse de campagne, il envisage de créer une version allégée, plus courte et non indemnisée. Instauré par la loi du 10 mars 2010, le service civique permet à des jeunes de 16 à 25 ans d’effectuer des missions d’intérêt général. Il remplace d’autres dispositifs, comme le «service civil volontaire», instauré après la suppression du service militaire. Sur la base du volontariat, le service civique réalisé dans des collectivités publiques ou des associations agréées par l’État est indemnisé 573 euros net par mois. Il se déroule sur une période de 6 à 12 mois pour une mission d’au moins 24 heures par semaine. Si le service civique peut permettre de valoriser un CV, la Cour des comptes a récemment fustigé le risque de substitution à l’emploi: «Deux missions quasiment identiques sont parfois proposées, pour l’une, sous la forme d’un emploi d’avenir, et pour l’autre, sous la forme d’un engagement de service civique.» François Hollande a déjà précisé en novembre que le nouveau dispositif ne remplacerait pas le système existant mais le compléterait. Il sera plus court, d’une durée de deux ou trois mois, et s’effectuera bénévolement. Enfin, il restera sur la base du volontariat dans un premier temps. Il pourrait par la suite devenir «obligatoire».

Retour de Ségolène : un peu plus apprécié que celui de Sarkozy

Retour de Ségolène : un peu  plus apprécié que celui de Sarkozy

 

 

 

 

L’actu politique n’est pas le sujet le pus apprécié par les Français qui placent très au dessus les informations scientifiques ou de société. Pour les intéresser il faudrait de vrais changements sur le chômage d’abord et les impôts ensuite. Le retour de Sarkozy (au demeurant assez raté) ne retient guère l’attention et même moins que celui d Ségolène qui n’a pourtant pas faiat non plus de miracles.  Dans un sondage IFOP pour Paris Match, les Français classent les « bonnes nouvelles » de leur année 2014. Très loin derrière la première implantation d’un cœur artificiel et la libération des otages, les « come-back » politiques n’ont pas enthousiasmé. Mais la nomination de Ségolène Royal au gouvernement s’en sort mieux que l’élection de Nicolas Sarkozy à la tête de l’UMP.  L’actualité politique n’a pas vraiment réjoui les Français. C’est l’un des enseignements d’un sondage réalisé par l’IFOP et à paraître mercredi dans Paris Match. L’hebdomadaire a demandé aux Français quelles ont été les meilleures nouvelles de l’année 2014. Les propositions politiques arrivent tout à la fin d’un classement dominé par « les avancées de la médecine avec la première implantation d’un cœur humain artificiel » (choisies par 95% des sondés) et la libération des otages français (93%). Sur les 13 propositions, les retours de Ségolène Royal et de Nicolas Sarkozy sur le devant de la scène politique arrivent derniers. Mais la nomination au gouvernement de l’ex-candidate à la présidentielle est légèrement préférée à l’annonce de candidature puis l’élection de l’ex-Président à la tête de l’UMP (31% contre 28%) A noter que les Français espèrent tout de même beaucoup de la politique actuelle. Interrogés sur leurs espoirs pour l’année 2015, ils répondent en premier l’inversion de la courbe du chômage (37%) puis la baisse des impôts (24%). C’est sur ces deux aspects que François Hollande est attendu au tournant.

 

 

Zone euro : retour à la crise

 

Zone euro : retour à la crise

 

Croissance pratiquement à l’arrêt, chute des bourses, manifestations contre l’austérité autant d’éléments qui pourraient favoriser une nouvelle crise en Europe. Une crise économique, financière mais auusi politique. Crise économiues d’abord avec la production manufacturière en recul et une croissance proche de zéro pour cette fin d’année. Crise financière avec la chute des bourses(. – 6,4 % pour la bourse de Paris en une semaine, à Francfort c’est – 4,5%, et Madrid accuse – 6,6%. Le pic est atteint à Athènes où la chute est de – 19,4%.). Athènes à nouveau confrontée à se capacités à rembourser sa dette À la veille du premier tour des élections présidentielles, le leader du parti Syriza effraie l’Europe. Le porte-parole de l’extrême gauche anti-austérité a prévenu que s’il arrivait au pouvoir, la Grèce ne rembourserait pas sa dette. Pour tenter de le contrer, Pierre Moscovici s’est rendu à Athènes à la rescousse du camp pro-Europe. Crise sociale aussi avec des manifestations contre l’austérité qui se développent  en Europe.  La colère de l’anti-austérité ne gronde pas qu’en Grèce. En Italie, des manifestations ont eu lieu au début du mois. En Belgique, une grève générale a été organisée. Enfin crise politique car les institutions européennes sont paralysées. Le BCE d’abord bâillonnée par l’Allemagne qui ne veut pas de politique monétaire plus accommandante en particulier qui ne veut pas entendre parler de rachat d’obligations souveraines. La commission européenne également- elle aussi sou tutelle de l’Allemagne- qui n’a pu sortir qu’un mini plan de relance des investissement et n’a pas l’autorité nécessaire pour imposer ses exigences notamment dans le domaine budgétaire à la France ou à l’Italie.

Hollande- Immigration : faute de résultats économiques retour aux valeurs !

Hollande- Immigration : faute de résultats  retour aux valeurs !

 

Hollande va s’exprimer aujourd’hui sur l’immigration. Pourquoi en ce moment ? Simplement pare que sur les questions centrales qui minent le pays  (croissance ; emploi, fiscalité, bureaucratie), il n‘a rien à dire. Du coup, il se recentre sur des thèmes  intemporelles et ou internationaux; Qu’est-ce que ça ca changer cette allocution ? Rien ou à peu près ; un  discours et c’est tout. En outre il n’est pas certain qu’il soit très opportun de faire de cette question une priorité car elle risque de diviser un pays déjà éclaté. On objectera sûrement que c’est précisément pourquoi Hollande veut disserter sur la question. Malheureusement il n’est pas spécialement auréolé des vertus du rassembleur pour parler des questions qui fâchent. D’autant que la problématique est complexe, Contrairement aux idées reçues i y a moins d’immigrés accueillis en France que dans d’autres pays comparables comme en Grande Bretagne ou en Allemagne. De toute manière annoncer des contingentements (des quotas) ne changera pas le nombre d’entrées clandestines. Par ailleurs sous tous les gouvernements les reconduites à la frontière ont toujours été marginales. Par  ailleurs accuser l’immigration de tous les maux est une  vision réductrice  de la réalité. Certains travaux particulièrement pénibles (les entreprises de nettoyage par exemple) sont essentiellement assurés par des immigrés dans les grandes agglomérations en raison des conditions sociales très précaires, cela vaut dans d’autres secteurs. Le bilan financier global de l’immigration n’est pas déficitaire loin s’en faut ; en outre on confond souvent immigration et population française d’origine étrangère. Le problème du vote est auusi un faux problème d’une part parce que limité aux municipales et surtout parce que les immigrés ont d’autres préoccupations (les papiers, le raval, le logement). La réalité c’est que l’environnement économique ne permet plus d’assimiler comme avant la crise  autant de population étrangère, d’où  une crispation sur ce sujet. Mais on ne peut nier qu’existe de réels problèmes d’intégration de certaines populations du fait des spécificités culturelles, il s’agit d’une question sociétale qui doit être traitée et pas seulement avec des bavardages. Bref Hollande va s’exprimer sur l’immigration comme il s’est exprimé sur le chômage, avec la même incompétence.  Il en connait des immigrés dans sa famille, son entourage proche,  Hollande ?

Retour Sarkozy 2017 : ‘ « revanchard ? non ! » (Xavier Bertrand)

Retour Sarkozy 2017 : ‘  « revanchard ? non ! » (Xavier Bertrand)

 

Interview sur RTL xavier bertrand a sans doute voulu répondre au sondage qui faiat apparaître que73 % des Français estiment que Sarkozy est revanchard.  (Un sondage qui montre auusi que 66% des Français ne souhaitent pas le retour de Sarkozy). « Nicolas Sarkozy veut-il une revanche avec les Français ? Je suis sûr que non ». Ancien ministre du nouveau président de l’UMP, Xavier Bertrand ne doute pas des intentions de Nicolas Sarkozy. « Qu’il ait envie d’un match retour (contre François Hollande, ndlr), c’est humain mais (…) La revanche, elle  n’est pas bonne », estime-t-il. Selon lui, « les Français ne veulent plus de ceux qui pensent plus à eux qu’à leur pays (…) Les Français leur tourneront le dos ». Xavier Bertrand reproche par ailleurs aux socialistes de réclamer de Nicolas Sarkozy l’abandon de ses avantages d’ancien président de la République. « Ils ne s’indignent pas à propos des 36.000 euros de retraite de François Hollande (un chiffre que l’Élysée conteste, ndlr) ni du fait qu’il cotise à la Cour des comptes », reproche-t-il.

 

Boko Haram :l’horreur et retour à l’esclavagisme pour les lycéennes

Boko  Haram :l’horreur  et retour à l’esclavagisme pour les lycéennes

 

 

Hollande s‘est beaucoup avancé en annonçant la libération prochaine des lycéennes détenues par le mouvement des fous de BOKO-Haram. Non seulement les jeunes files ne seront pas libérées mais elles  ont été mariés de force aux rebelles et converties de force.  L’horreur la plus totale et une insulte à la civilisation. Dans une vidéo de propagande de Boko Haram, au centre d’une troupe, un homme qui se présente comme le chef du groupe islamiste : pendant douze minutes, il scande son discours entouré de combattants. Avec un rire puissant, il annonce que les lycéennes enlevées ont toutes été mariées et converties à l’islam. Ces 200 lycéennes seraient donc aujourd’hui livrées aux combattants de la secte. « Ce qui est important, vis-à-vis des combattants, pour recruter, c’est d’offrir ces lycéennes aux combattants qui très souvent n’ont pas la dot suffisante pour les épouser », analyse Antoine Glaser.  Les familles des jeunes filles se sont déclarées choquées, mais pas surprises. Il y a quinze jours, le gouvernement nigérian leur avait donné espoir d’une libération prochaine et d’un cessez-le feu avec le groupe islamiste. Aujourd’hui, Boko Haram affirme que c’est un mensonge. Le groupe n’aurait négocié avec personne selon lui. Les violences continuent. Dix adolescents ont encore été enlevés. Selon une organisation de droits de l’homme, plus de 500 femmes seraient actuellement retenues par la secte Boko Haram.

 

Sondage Sarkozy : retour raté pour 75%

Sondage Sarkozy : retour raté pour 75%

 

C’est   »raté » pour 75% des Français et 48% des sympathisants de l’UMP tandis que 77% des personnes interrogées jugent que l’ex-chef de l’Etat n’a fait aucune proposition intéressante pour la France, selon un sondage Odoxa pour le Parisien publié samedi. A la question, « Diriez-vous que le retour de Nicolas Sarkozy en politique est plutôt raté ou réussi », 75% des Français répondent « raté » contre 23% qui le jugent « réussi ». « Mais surtout plus fâcheux », commente l’organisme de sondages, 57% des sympathisants de droite (contre 41%) jugent également que ce retour est un échec. « Résultat plus sévère encore », analyse l’institut de sondage, 77% des Français estiment que depuis son retour, Nicolas Sarkozy, « n’a pas fait de propositions intéressantes pour répondre aux problèmes qui se posent à la France. » « Signe inquiétant pour l’ancien président: les sympathisants de droite sont une majorité à le penser (58% contre 41), les sympathisants UDI et FN se montrant particulièrement critiques à l’égard du fond du projet. Quant aux sympathisants UMP – la « base électorale » de Nicolas Sarkozy – ils considèrent certes majoritairement qu’il fait des propositions intéressantes pour le pays, mais cette majorité est étriquée (54%). » Conséquence de la « défiance » à son égard, Nicolas Sarkozy voit son avance sur Alain Juppé se rétrécir dans sa course à la présidence de l’UMP. Auprès de l’ensemble des Français, Juppé l’emporte haut la main (45% soit +2 points par rapport à il y a un mois) contre 24%, soit -4 points.

 

Pas de retour de la croissance avant 10 ans

Pas de retour de la croissance avant 10 ans

C’est le verdict d’un français sur deux selon un sondage Harris Interactive publié aujourdhui. Des Français qui jugent en très large majorité  que les mesures prises par e gouvernement sont inefficaces. Pour le long terme,  46% à seulement escriment  que la croissance sera bel et bien au rendez-vous d’ici 10 ans. Les moins de 30 ans interrogés sont plus optimistes avec 57% de « oui ».  Seuls 42% des Français interrogés jugent que la France restera l’une des principales puissances économiques mondiales, contre 55% qui estiment que ce ne sera pas le cas. Là encore, les moins de 30 ans sont 50% à estimer la France capable de conserver son rang.   »La grande majorité des répondants ne revendique aucune certitude mais se reporte plutôt sur les réponses ‘probablement’ ou ‘probablement pas’, signe que les perspectives d’avenir apparaissent particulièrement incertaines aux yeux des personnes interrogées », interprète l’institut Harris Interactive. Une majorité de Français se montre par ailleurs critique envers les mesures prises depuis 2012 par le gouvernement pour redresser la croissance. Hormis le développement des contrats d’apprentissage dans les PME, jugé efficace par 53% des personnes interrogées, les autres mesures apparaissent peu utiles.  La réduction d’impôts pour les entreprises via le Crédit d’impôt compétitivité emploi (Cice) est ainsi jugée inefficace par 59% des sondés (37% la trouvent efficace), la diminution du nombre de régions l’est à 61% (contre 35%), la création d’emplois d’avenir à 61% (contre 35%) ou encore la hausse d’impôts pour une partie des ménages (83% la jugent inefficace contre 13%).  Les Français sont par ailleurs majoritaires à penser que leur pays dispose de nombreux atouts mais qu’il ne les exploite pas suffisamment. Ainsi 72% pensent que les entreprises sont un « atout insuffisamment exploité », de même que la diversité du territoire (63%), la culture (55%), les infrastructures (55%) ou encore le système éducatif (54%).   »Les Français identifient de nombreux ‘manques à gagner’ dans le fonctionnement du pays aujourd’hui (…). La situation nationale ne fait pas l’objet d’une vision fataliste: les Français expriment plutôt une frustration de voir la France ‘gâcher’ les atouts dont elle dispose », analyse l’institut, qui précise que les moins de 30 ans partagent aussi ce jugement.

 

Sarkozy : retour loupé

Sarkozy : retour loupé

 

C devait être un véritable bulldozer qui devait balayer tout sur son passage, en fait le bulldozer est en panne et sérieusement. Première raison, contrairement a ce qu’il dit, il n’a pas changé, toujours auusi impulsif, bonimenteur (il surjoue en permanence)  et bling-bling (il vient encore de toucher 100 000 euros pour une conférence en Inde). Sur la forme pas de changement et sur le fond c’est le grand flou. Visiblement il n’a guère préparé son programme. Exemple sur les 35heures qu’il ne remet pas vraiment enchausse (comme lorsqu’il était Président) ou sur le mariage pour tous. Seconde raison, fondamentale celle là- et sans doute fatale-, l’accumulation des affaires qui porte un sérieux coup à sa crédibilité et à son honnêteté chez les Français comme en témoigne les sondages. Il perd même régulièrement du terrain.  Pourtant sa campagne, au plus près des militants, au cours de cafés-débats sans caméras en fait douter plus d’un. Le dernier sondage Ipsos indique même un plongeon brutal de Nicolas Sarkozy : il passe de 40% à 31% d’opinions favorables et ne remporte que 71% des voix chez les sympathisants de l’UMP, devancé désormais par Alain Juppé qui en totalise 76%. Mais comme il le dit, en parlant de la primaire de 2016 pour l’Elysée : « Pour l’instant, je suis sur la rocade. Bientôt, je vais prendre la bretelle d’autoroute, je vais accélérer, et ils seront tous derrière moi! » Confiant, il poursuit les rencontres : meeting mercredi soir à Saint-Cyr-sur-Loire où il n’y avait pas le monde escompté et surtout des personnes d’un certain âge). et vendredi il invite les jeunes de l’UMP au bar Le Bizen à Paris. Mais son retour ne remporte pas le succès attendu et l’ambiance se tend entre les candidats : Nicolas Sarkozy aurait traité de Bruno Le Maire de « connard que j’ai fait ministre » d’après Le Canard Enchaîné. Pendant ce temps, Alain Juppé marque des points.

 

Foot- PSG : retour au roupillon

Foot- PSG : retour au roupillon

 

Finalement le PSG aura joué seulement un vrai match depuis le début de la saison 5 face au Barça),  se contentant  le reste du temps de séances d’entrainement. En se passant la balle tranquillement mais sans aucune efficacité. Le PSG a donc enregistré à domicile un nouveau match nul contre Monaco. Un match marqué par un manque de fraicheur physique, un déficit d’engagement, d’agressivité, une inefficacité chronique devant les buts et une fébrilité en défense. Blanc a sans doute de grandes  responsabilités car le PSG manifeste actuellement trop de suffisances et l’entraineur n’est manifestement pas assez exigeant.  A noter encore la débauche d’énergie de Cavani mais complètement stérile de devant les buts. Surtout en l’absence d’Ibra. Cette équipe manque de meneur, d’un vrai patron sur le terrain comme Ibra et d’un autre sur le ban de touche. La cool attitude de Blanc n’est pas adaptée pour gérer cette équipe de stars qui roupille.  Au PSG, ce n’est donc pas tous les jours le Barça. Redescendus de leur nuage après la prestation colossale face aux Catalans en Ligue des Champions, les Parisiens ont eu toutes les peines du monde à manœuvrer une équipe monégasque très intelligente dans son pressing et qui aurait mérité d’ouvrir le score la première. Sans faire un grand match, Monaco s’est enhardi au fil des minutes et, comme mercredi dernier face au Zenit Saint-Pétersbourg, s’est créé plus d’occasions que son adversaire. Yannick Ferreira-Carrasco, l’un des meilleurs joueurs côté ASMFC dimanche, a même trouvé la barre avant que Layvin Kurzawa, un peu plus tard, ne se heurte à un sauvetage héroïque de Gregory van der Wiel. Mais à l’image de deux équipes bénéficiant de beaucoup de possibilités mais les gâchant pratiquement toutes par un manque de précision ou de spontanéité dans le dernier geste, les joueurs de Leonardo Jardim ont connu de gros problèmes pour terminer leurs actions. Et c’est presque contre le cours du jeu que Paris, qui avait fortement pioché physiquement en fin de première mi-temps et fait preuve d’une grande timidité à la reprise, a débloqué la situation à vingt minutes de la fin sur un but de Lucas, éteint jusque-là. Le spectre des nombreux points perdus par les hommes de Laurent Blanc depuis le début de la saison rejaillissait alors dans l’esprit des supporters parisiens, croisant les doigts pour que leur équipe ne se fasse pas rejoindre une nouvelle fois. Mais pour éviter une énième mésaventure de ce type, il aurait fallu que les Parisiens, comme paralysés par la sortie de Javier Pastore après le but de Lucas (choix étrange de Blanc, qui a expliqué à l’issue du match que son meneur argentin était « carbonisé »), ne s’arrêtent pas de jouer soudainement. Comme désireux de protéger ce but d’avance jusqu’à la fin. L’histoire est connue. Comme ils l’avaient déjà fait à Montpellier (victoire 1-0) et comme les Lyonnais avant eux sur cette même pelouse du Parc des Princes, les Monégasques ont profité de la fébrilité adverse à ce moment de la partie pour arracher le match nul dans les arrêts de jeu sous les yeux d’un Laurent Blanc furieux de voir aucun de ses deux défenseurs centraux réussir à dégager au loin ce dernier ballon. Sixième match nul à l’arrivée pour le PSG, qui n’a toujours pas battu Monaco depuis le retour du club de la Principauté en L1. En abandonnant deux points dans les arrêts de jeu, Thiago Motta et ses coéquipiers manquent surtout l’occasion de se rapprocher de l’OM, sept points devant le double champion de France. « Ils commencent à prendre le large », a d’ailleurs fait très justement remarquer Zoumana Camara après le match. Avec ce point pris, Monaco, de son côté, gagne deux places, et garde quelque peu ses distances avec la zone de relégation.

 

Les trois djihadistes de retour de faisaient du tourisme !

Les trois djihadistes de retour de faisaient du tourisme !

Si l’on écoute leurs avocats les trois djihadistes revenus récemment d Syrie  étaient partis faire du tourisme.  Déçus ils sont rentrés. Ce serait la preuve qu’ils non rien fait de répréhensible. Curieux raisonnement en vérité mais qui effectivement pose la question des preuves pour condamner les djihadistes. De toute évidence l’arsenal juridique est à repenser  et d’une manière plus globale la stratégie à mener contre les terroristes fous de l’Etat islamique.  Notons auusi que deux jeunes filles de 16 et 17 ans arrêtées à Marseille ont été  simplement remises à leur parent.  On espère quelles ont été grondées !  Le cafouillage autour de l’interpellation des 3 djihadistes  manquée mardi dernier avait fait grand bruit. Finalement, les trois Français rentrés de Syrie en début de semaine et soupçonnés de vouloir préparer des actes terroristes ont été mis en examen samedi à Paris.  Trois hommes, dont le beau-frère de Mohamed Merah, ont été mis en examen samedi à Paris pour association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes, ont fait savoir leurs avocats.  Depuis mercredi en garde à vue, les trois djihadistes présumés s’étaient rendus d’eux-mêmes à la gendarmerie après leur interpellation ratée à leur retour de Syrie en début de semaine. Les trois djihadistes ont été placés en détention provisoire et selon l’un de leurs avocats, ils contestent fermement tout projet terroriste en France. « Ils se sont aperçus là-bas (en Syrie) que ce n’était pas ce qu’ils pensaient et ont dû prendre la fuite pour rentrer« , a expliqué Me Dunac qui défend Imad Jjeballi. 

 

Sarkozy : le retour aux « affaires »

Sarkozy : le retour aux affaires

 

D’une certaine manière ce sera un  retour aux affaires pour Sarkozy qui aura du mal à passer à revers les gouttes de la justice. Ce ne sont pas moins de 7 ou 8 affaires judicaires qui vont polluer son retour. L’annonce de son retour officiel en politique pourrait bien accélérer certaines procédures ou en tout cas susciter encore davantage l’intérêt des médias. Exemple, le financement de sa campagne de 2012.  Les juges poursuivent leurs investigations.  L’enquête a été confiée le 27 juin à des juges financiers, chargés d’une information judiciaire pour « faux et usage de faux », « abus de confiance », « tentative d’escroquerie » et « complicité et recel de ces délits ». L’affaire, révélée par Le Point fin février, a déjà coûté la présidence de l’UMP à Jean-François Copé, dont des proches avaient fondé la société de communication Bygmalion. Mais, partie de soupçons initiaux de surfacturation de prestations rendues à l’UMP, l’enquête semble devenir celle des comptes de la campagne présidentielle de 2012.  Bygmalion mais aussi Jérôme Lavrilleux, cheville ouvrière des meetings électoraux de l’ancien chef de l’État, ont reconnu un système de fausses factures et de double comptabilité qui a permis à la société d’imputer à l’UMP une partie des dépenses de la campagne afin que celles-ci ne dépassent pas trop, en apparence, le plafond autorisé.  Des juges enquêtent depuis avril 2013 sur des accusations de financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime libyen de Muammar Kadhafi. Parmi les ex-dignitaires libyens, certains ont évoqué ce financement sans fournir d’élément matériel, à l’instar de Ziad Takieddine, d’autres ont démenti.  Une autre enquête concerne la plainte de Nicolas Sarkozy pour faux contre Mediapart, qui avait publié, lors de la présidentielle de 2012, une note censée accréditer ce financement.  Dans l’enquête sur ce possible financement libyen, l’enregistrement d’une conversation téléphonique entre Nicolas Sarkozy, placé sur écoute, et son avocat a abouti à une information judiciaire, le 26 février, pour trafic d’influence et violation du secret de l’instruction, puis le 2 juillet à une mise en examen de l’ex-chef de l’État, son avocat Me Herzog et le haut magistrat Gilbert Azibert. La justice soupçonne l’ex-président d’avoir tenté, avec l’appui de son avocat, d’obtenir des informations dans une procédure le concernant auprès du haut magistrat, contre une promesse d’intervention pour un poste de prestige à Monaco. Des faits passibles de 10 ans de prison.  Cet arbitrage a abouti à une sentence accordant 403 millions d’euros à Bernard Tapie, en juillet 2008, pour régler son litige avec le Crédit lyonnais sur la revente d’Adidas. Les magistrats soupçonnent un « simulacre d’arbitrage » pour favoriser l’homme d’affaires, avec l’aval de l’exécutif. Cinq personnes sont mises en examen pour « escroquerie en bande organisée », dont Bernard Tapie, un des juges arbitres et l’ex-directeur de cabinet du ministère de l’Économie aujourd’hui patron d’Orange Stéphane Richard. Le secrétaire général de la présidence de l’époque, Claude Guéant, a été entendu en garde à vue fin mai.  L’ex-secrétaire général adjoint de l’Élysée, François Pérol, a été mis en examen début février pour prise illégale d’intérêts, quatre ans après sa nomination controversée à la tête du groupe bancaire BPCE. L’enquête est close. Le parquet doit prendre ses réquisitions avant un éventuel renvoi en correctionnelle par le juge.  Une enquête pour détournement de fonds publics a été ouverte en octobre 2013 par le parquet de Paris sur le financement d’un meeting de Nicolas Sarkozy, à Toulon fin 2011. Ce meeting n’avait pas été inscrit dans les dépenses de campagne, ce qu’avait épinglé le Conseil constitutionnel. Le Canard enchaîné et le site Atlantico ont diffusé début mars des enregistrements clandestins réalisés par Patrick Buisson, issu de l’extrême droite, lorsqu’il conseillait Nicolas Sarkozy à l’Élysée.

Sarkozy : le retour de celui qui n’est pas parti

Sarkozy : le retour de celui qui n’est pas parti

 

Sarkozy annonce son grand retour pour toute changer et même réinventer la politique. En faiat il n’est jamais parti et il n’a cessé d’adresser des messages sur son envie de pouvoir. Pas sûr donc qu’il ait pris le recul nécessaire pour avoir compris et changé. Un retour par ailleurs très risqué car son avenir politique pourrait être plombé par 7 ou 8 affaires qu’il raine encore. En tout cas les rancis, pour l’instant ne rient pas qu’il ait changé et même que ce retour soit souhaitable. Nicolas Sarkozy a donc annoncé vendredi sa candidature à la présidence de l’UMP, première étape vers la reconquête de l’Elysée, qu’il ambitionne de reprendre en 2017 au nom du « sursaut » d’une France en « désarroi ». Dans une longue déclaration diffusée sur son compte Facebook, et relayée sur Twitter, l’ancien président, battu le 6 mai 2012 par le socialiste François Hollande, assure avoir tiré « les leçons » de son mandat et affirme « écarter tout esprit de revanche ou d’affrontement ».  Sans jamais désigner l’UMP par son nom, comme un acte de décès, Nicolas Sarkozy dit vouloir « réinventer » avec « force » et « sincérité » la politique et appelle de ses vœux « un nouveau et vaste rassemblement » dépassant « les clivages traditionnels qui ne correspondent plus aujourd’hui à la moindre réalité ». Une « ouverture » nouvelle manière, qui paraît viser autant la droite et le centre que la gauche, pour « bâtir la formation politique du XXIe siècle ».  L’élection à la présidence de l’UMP se déroule le 29 novembre. Un second tour est prévu le 6 décembre si nécessaire. Nicolas Sarkozy, qui présida l’UMP de novembre 2004 à mai 2007, affrontera l’un de ses anciens ministres, Bruno Le Maire, et le député Hervé Mariton lors de l’élection de novembre. Ce sont les militants de l’UMP, majoritairement acquis à Nicolas Sarkozy, qui se prononceront. L’issue du scrutin ne fait guère de doute, bien que Bruno Le Maire promette « une surprise ». En 2004, Nicolas Sarkozy avait été plébiscité par plus de 85% des militants lorsqu’il avait conquis une première fois l’UMP.  L’ancien président, qui a déjà constitué son équipe de campagne autour de Frédéric Péchenard, ancien directeur général de la Police nationale, et a rallié ou débauché nombre de soutiens à droite, proposera, écrit-il, de transformer le mouvement « de fond en comble ». L’ancien président, qui projette d’aller à la rencontre des Français, tiendra son premier meeting jeudi prochain à Lambersart (Nord), près de Lille, a annoncé le député UMP du Pas-de-Calais Danielle Fasquelle sur Twitter.  Son objectif : « créer, dans un délai de trois mois, les conditions d’un nouveau et vaste rassemblement qui s’adressera à tous les Français, sans aucun esprit partisan ». « Ce vaste rassemblement se dotera d’un nouveau projet, d’un nouveau mode de fonctionnement adapté au siècle qui est le nôtre et d’une nouvelle équipe qui portera l’ambition d’un renouveau si nécessaire à notre vie politique », écrit-il. Nicolas Sarkozy, qui avait dit sa volonté de se retirer de toute activité publique au soir de sa défaite, explique s’être donné depuis « le temps de la réflexion », de l’autocritique « sans concession » aussi, qui lui aurait permis de « mesurer la vanité de certains sentiments ». Dans cette tribune, il offre de lui l’image d’un dirigeant qui aurait gagné en recul, en pondération et en sagesse, alors que les traits d’image qui ont pesé sur son quinquennat (impulsivité, bling-bling…sont encore cités comme rédhibitoires dans les enquêtes d’opinion.

Retour aux 3% de déficit public : Hollande refile le bébé à son successeur en 2017

Retour aux 3% de déficit public : Hollande refile le bébé à son successeur en 2017

 

 

Finalement l’austérité n’aura servi strictement à rien, elle aura déstabilisé tout le monde, détruit la croissance et n’a pas modifié les déficits qui augmentent en 2014 par rapport à 2013. Du coup Hollande abandonne et refile le bébé à son successeur ; C’est aussi le résultat de la fronde des français face à augmentation de la fiscalité. Avec l’absence de croissance et l’incapacité dans laquelle se trouve Hollande d’engager des réformes structurelles, il faut laisser filer le budget. Hollande n’a plus aucune marge de manœuvre. Le gouvernement français renonce donc à tenter de ramener le déficit public à la limite européenne de 3% avant l’élection présidentielle de 2017 et prévoit une hausse du déficit cette année au lieu d’une baisse, a annoncé mercredi Michel Sapin. Cette annonce du ministre des Finances est un nouveau coup dur pour un exécutif impopulaire, fragilisé par la contestation de sa politique dans son propre camp, et qui dirige un pays dont la crédibilité sur les questions budgétaires est faible. Pour l’Europe et la zone euro, l’incapacité de la France à redresser ses comptes est une mauvaise nouvelle, qui survient le jour même de la nomination de la nouvelle Commission. D’autant que ce dérapage s’explique par une croissance économique extrêmement faible dans la deuxième économie européenne et par une inflation bien plus basse que sa moyenne historique. Selon Michel Sapin, le déficit public atteindra 4,4% du PIB fin 2014, au lieu de 3,8% prévu auparavant, soit plus qu’en 2013, année pour laquelle il avait été annoncé à 4,2% par l’Insee puis revu à 4,1%, selon Bercy. Le dérapage serait ainsi de plus de 6 milliards d’euros cette année. En 2015, le déficit serait à peine réduit, à 4,3%, au lieu de 3% prévu auparavant, et il reviendrait sous la barre des 3% fin 2017, a précisé Michel Sapin. Alors que la France a déjà obtenu un délai de deux ans pour revenir à la limite européenne de 3%, à fin 2015, Michel Sapin a déclaré lors d’une conférence de presse que Paris ne demandait « aucune modification des règles européennes ». « Nous ne demandons pas leur suspension, nous ne demandons aucune exception, ni pour la France ni pour tout autre pays, nous demandons la prise en compte collective d’une réalité économique qui nous concerne tous : une croissance trop faible, une inflation trop basse », a ajouté le ministre des Finances, en disant s’inscrire « dans le respect des traités ». Le gouvernement prévoit désormais une croissance du PIB de 0,4% en 2014 et de 1,0% en 2015, alors qu’il envisageait dans sa précédente trajectoire une croissance de 1,0% cette année et de 1,7% l’an prochain.

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