Archive pour le Tag 'retombe'

Politique- Sondage popularité : Macron retombe à 40%

Politique- Sondage popularité : Macron retombe à 40%

 

 

De toute évidence, il n’y a pas eu le moindre effet  avec la nomination d’Élisabeth borne à Matignon. Au contraire les différents sondages montrent que 60 % de l’opinion n’est pas satisfaite de cette désignation qui ne change rien. De son côté Macro a passé sans encombre les présidentielles mais sa cotes de popularité retombe au niveau où il était avant l’élection autour de 40%.

 

D’ après Le baromètre IFOP JDD, vec une cote de popularité de 45 %, Élisabeth Borne  fait moins bien que ses prédécesseurs à Matignon, Édouard Philippe et Jean Castex (55 % tous les deux), mais mieux que les socialistes Édith Cresson (25 %) et Pierre Bérégovoy (36 %), ou encore le chiraquien Dominique de Villepin (44 %). « C’est moins sa personnalité qui est en cause que le contexte politique du pays et le fait qu’elle incarne une forme de continuité », relève le sondeur. Les « très satisfaits » (6 %) sont ainsi trois fois moins nombreux que les très insatisfaits (18 %). Reste que le total des mécontents (43 %) est inférieur à ceux qui estiment son arrivée positive, à la différence du chef de l’Etat. « Les Français saluent ses compétences, observe Frédéric Dabi, et le fait que ce soit une femme de caractère, une technicienne ayant l’envergure du poste. »

Paradoxe, celle qui se présente comme une femme de gauche enregistre ses meilleurs scores chez les sympathisants des Républicains et les électeurs de Valérie Pécresse au premier tour de la présidentielle. Sans doute parce qu’elle a conduit des réformes que la droite aurait pu mener, celle de la SNCF et de l’assurance chômage.

* Sondage Ifop pour le JDD réalisé par questionnaire auto-administré en ligne et par téléphone du 17 au 25 mai auprès d’un échantillon de 1.946 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (selon des critères sociodémographiques, socioprofessionnels et géographiques), définis à partir des données de l’Insee. La marge d’erreur varie de 1 à 2,3 points.

Sondage popularité : Macron retombe à 40%

Sondage popularité : Macron retombe à 40%

 

 

De toute évidence, il n’y a pas eu le moindre effet  avec la nomination d’Élisabeth borne à Matignon. Au contraire les différents sondages montrent que 60 % de l’opinion n’est pas satisfaite de cette désignation qui ne change rien. De son côté Macro a passé sans encombre les présidentielles mais sa cotes de popularité retombe au niveau où il était avant l’élection autour de 40%.

 

D’ après Le baromètre IFOP JDD, vec une cote de popularité de 45 %, Élisabeth Borne  fait moins bien que ses prédécesseurs à Matignon, Édouard Philippe et Jean Castex (55 % tous les deux), mais mieux que les socialistes Édith Cresson (25 %) et Pierre Bérégovoy (36 %), ou encore le chiraquien Dominique de Villepin (44 %). « C’est moins sa personnalité qui est en cause que le contexte politique du pays et le fait qu’elle incarne une forme de continuité », relève le sondeur. Les « très satisfaits » (6 %) sont ainsi trois fois moins nombreux que les très insatisfaits (18 %). Reste que le total des mécontents (43 %) est inférieur à ceux qui estiment son arrivée positive, à la différence du chef de l’Etat. « Les Français saluent ses compétences, observe Frédéric Dabi, et le fait que ce soit une femme de caractère, une technicienne ayant l’envergure du poste. »

Paradoxe, celle qui se présente comme une femme de gauche enregistre ses meilleurs scores chez les sympathisants des Républicains et les électeurs de Valérie Pécresse au premier tour de la présidentielle. Sans doute parce qu’elle a conduit des réformes que la droite aurait pu mener, celle de la SNCF et de l’assurance chômage.

* Sondage Ifop pour le JDD réalisé par questionnaire auto-administré en ligne et par téléphone du 17 au 25 mai auprès d’un échantillon de 1.946 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (selon des critères sociodémographiques, socioprofessionnels et géographiques), définis à partir des données de l’Insee. La marge d’erreur varie de 1 à 2,3 points.

Séparatisme»: le Sénat défend la laïcité à l’université et la gauche retombe dans l’islamogauchisme

 Séparatisme»: le Sénat défend la laïcité à l’université et la gauche retombe dans l’islamogauchisme

Tout ce que compte l’islamogauchisme  de l’écologie Esther Benbassa en passant par les socialistes et les communistes ont protesté contre les orientations du Sénat qui visent  à défendre la laïcité à l’université.

«On est en train de jeter l’opprobre sur tout ce qui se passe à l’université, ce qui s’est passé et ce qui se passera demain», a déploré Cécile Cukierman (CRCE-PC ), tandis que Sylvie Robert (PS) dénonçait «une forme de surenchère politique qui devient préoccupante parce que ça rate ça cible».

Le Sénat n’a en revanche pas adopté un amendement porté par Jérôme Bascher (LR) visant à interdire le port du voile, ou tout signe «ostentatoire ou prosélyte», à l’université. Un amendement qui a «fait froid dans le dos» du centriste Loïc Hervé et auquel se sont opposés aussi bien Jean-Michel Blanquer que Stéphane Piednoir. Pour le rapporteur, «la situation n’est pas comparable» à celle de l’école, notamment parce que les étudiants «sont de jeunes adultes» ! De toute évidence le fossé se creuse entre la représentation officielle de la gauche et l’opinion publique.

 

Croissance ZONE EURO – LE SECTEUR PRIVÉ RETOMBE DANS LE ROUGE

Croissance ZONE EURO – LE SECTEUR PRIVÉ RETOMBE DANS LE ROUGE

 

 

Contrairement aux prévisions du mois d’août, la reprise n’a pas vraiment eu lieu au mois de septembre et  l’activité du privé retombe dans le rouge dans l’union européenne L’activité du secteur privé de la zone euro est retombée en territoire de contraction en octobre sous l’effet des mesures de restriction mises en place pour contrer la deuxième vague de la pandémie de coronavirus, montrent les résultats prélimnaires de l’enquête mensuelle que réalise IHS Markit auprès des directeurs d’achat (PMI).

L’indice composite, qui combine l’activité des services et celle du secteur manufacturier, s’affiche à 49,4, soit sous le seuil de 50 séparant la contraction de la croissance, après 50,4 en septembre.

Cet indice composite est pénalisé par celui des services, tombé à 46,2 après 48,0 en septembre.

L’activité du secteur manufacturier a en revanche dépassé les attentes avec un indice à 54,4, au plus haut depuis 26 mois, contre 53,7 en septembre.

“La perspective d’un retour en récession mettra davantage de pression sur la Banque centrale européenne pour mettre en oeuvre des mesures supplémentaires de soutien et sur les gouvernements pour aider à absorber l’impact des mesures de confinement”, commente Chris Williamson, économiste d’IHS Markit.

 

Moral : le soufflet retombe ?

Moral : le soufflet retombe ?

 

 

 

Difficile de comprendre la brutale chute de moral des français en juin que révélerait un sondage IFOP commandé par un cabinet de com et d’audit de l’ancien conseiller de Sarkozy. Au mois un moyen de faire parler de cette boite de com. En effet ce sondage constaterait que seules 44% des personnes interrogées se déclarent optimistes pour la France fin juin, contre 52% un mois auparavant, au lendemain de l’élection présidentielle. Un sondage contradictoire avec celui de l’INSEE qui au contraire constatait que le moral des ménages s’est de nouveau amélioré en juin pour atteindre son plus haut niveau depuis juin 2007, la crainte du chômage reculant à son niveau le plus bas depuis la crise financière, a annoncé mercredi l’Insee dans un communiqué. D’ après l’Insee  en juin, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future s’est améliorée pour le deuxième mois consécutif (+ 2 points), basculant au-dessus de sa moyenne de long terme, soulignait  l’Insee. Concernant l’évolution de la situation économique en général, le solde d’opinion sur le niveau de vie futur en France a continué de grimper, gagnant 15 points après 7 points en mai. Il retrouve ainsi « un niveau inédit depuis mai 2007″, souligne l’Insee. A l’inverse dans le  sondage du cabinet no com   une majorité de Français se dit en outre pessimiste (53%) sur son avenir personnel et celui de ses proches, contre seulement 45% un mois plus tôt, selon cette enquête pour le cabinet No Com publiée dans le Journal du Dimanche. Un quart seulement des personnes interrogées (26%) pensent qu’elles vivront mieux dans une dizaine d’années, contre 44% d’un avis contraire et 30% pour qui ce sera « pareil qu’aujourd’hui ». A la question « croyez-vous que la France va réussir à se transformer dans les prochaines années ? », 47% répondent désormais positivement, contre 53% d’un avis contraire. Le rapport s’est inversé en un mois, avec 53% qui croyaient à la transformation de la France fin mai et 47% qui n’y croyaient pas. Si 58% des Français interrogés pensent que la transformation de la France aura des effets positifs pour le pays (contre 42%), ils sont aussi nombreux (50%) à penser que ces effets seront positifs ou négatifs pour eux et leurs proches. On objectera sans doute que des différences de méthodologie expliquent ces résultats. Des différences qui ne sont cependant peut-être pas dénuées de quelque arrière-pensée politique et économique. Dommage que les grands médias publient sans analyse, sans commentaire des sondages aussi contradictoires

Japon : Le commerce extérieur retombe dans le rouge

Japon : Le commerce extérieur retombe  dans le rouge

Le Japon enregistre un déficit en novembre, alors que ses exportations ont de nouveau reculé en valeur sur fond de ralentissement en Chine, a annoncé jeudi le ministère des Finances. Le solde s’est établi à 379,72 milliards de yens (2,85 milliards d’euros) sur la période, à comparer à un déficit de 898,82 milliards de yens un an plus tôt. La baisse conjuguée du commerce extérieur au Japon mais surtout en Chine constitue un indicateur inquiétant pour l’évolution de la croissance mondiale. La Chine enregistre en effet une baisse marquée des importations, en recul de 5,6% sur le mois. Les exportations elles aussi sont en baisse de 3,7% en novembre. La baisse des exportations de la Chine traduit un très net ralentissement de la demande notamment dans les pays développés. Cette baisse continue depuis des mois hypothèque d’une certaine manière les hypothèses de croissance internationale du coup les instituts économiques ne cessent de revoir à la baisse leurs prévisions. L’OCDE a baissé d’ailleurs  ses prévisions de croissance mondiale pour 2015 et 2016, comme elle l’avait déjà fait en septembre, se disant « profondément préoccupée » de la faiblesse du commerce international, dont la Chine est un pivot.  L’Organisation de coopération et de développement économiques par exemple attend désormais une croissance mondiale de 2,9% cette année, contre 3,0% espéré auparavant, puis 3,3% l’an prochain, contre 3,6% attendu auparavant. En France aussi on a revu à la baisse les perspectives. La Banque de France ne prévoit plus que 0,3% de croissance pour l’économie française au quatrième trimestre, contre 0,4% auparavant, dans sa deuxième estimation fondée sur son enquête mensuelle de conjoncture de novembre publiée mardi. Elle fait notamment état d’un repli de l’activité dans les services à destination des ménages (hébergement-restauration, activités récréatives) après les attentats du 13 novembre à Paris et Saint-Denis. La nouvelle prévision pour le quatrième trimestre est inférieure à celle de l’Insee dans sa dernière note de conjoncture publiée en octobre et à celle du dernier consensus des économistes interrogés par Reuters, qui se situent à +0,4%. L’enquête de conjoncture pour novembre fait apparaître une baisse d’un point de l’indicateur du climat des affaires dans l’industrie, à 98, comme dans les services, à 96, et une stabilité de l’indicateur pour le bâtiment à 96.

La SNCF retombe dans le rouge

La SNCF retombe dans le rouge

 

 

Annonce très alambiquée de Guillaume Pepy pour « emballer » le déficit de 2013. Il le justifie par une dépréciation financière du parc TGV, aussi par des travaux mais qui n’auront lieu qu’en 2014 (année  où les résultats seront aussi dans le rouge). Il n’a guère insisté en fait sur le facteur explicatif majeur, la baisse du trafic en particulier des TGV ; En cause évidemment le prix de ces TGV qui eux dépendent de coûts excessifs ; des couts structurels qui ne pourront être revus à la baisse de manière significative sans réforme profonde du rail, aussi de sa dette et de la politique des transports.  Résultat de la SNCF devrait être dans le rouge en 2013, du fait de la dépréciation des TGV, et 2014 connaîtra d’importants travaux, a annoncé le président de la SNCF Guillaume Pepy lundi 20 janvier au soir lors de ses voeux à la presse. « Nos commissaires aux comptes nous imposent ce qui s’appelle un test de valeur sur le parc des TGV (…) dont le montant, qui n’est pas aujourd’hui fixé, sera à déduire du résultat de la SNCF », a indiqué Guillaume Pepy, lors de ses voeux au siège de la compagnie ferroviaire à Saint-Denis. « Il y aura un résultat exceptionnel négatif qui viendra en déduction du résultat de l’année », a-t-il ajouté, faisant état d’un « résultat récurrent qui sera positif », mais plongera dans le rouge du fait de cette dépréciation du parc TGV. Les résultats financiers de la compagnie seront publiés le 13 février. Par ailleurs, « 2014 sera une année de travaux », a-t-il déclaré. En Ile-de-France par exemple, ils seront multipliés par 2,5 par rapport à 2012, « ça nous effraie ». Ces travaux auront un impact sur la circulation. Le président de la SNCF, évoquant le « rythme de transformation » de l’entreprise, s’est dit « décidé à l’accélérer ». Il souhaite notamment « produire moins cher », appliquer « les méthodes industrielles au chemin de fer », et continuer à « diminuer les coûts d’investissement », soulignant que « ce sont 150 millions d’euros que nous n’avons pas dépensés en 2013″. « Il faut faire baisser les coûts pour faire baisser les prix« , a-t-il ajouté. Par ailleurs, la marge opérationnelle du fret ferroviaire, qui était de -400 millions d’euros en 2010, devrait être de -170 millions d’euros en 2013, et passer à -120 millions en 2014. Un « nouveau modèle de TER » devrait également être proposé aux régions, en charge du transport régional, et dont plusieurs ont fait part de leur grogne envers la SNCF. Guillaume Pepy, à la tête de la SNCF depuis 2008, souhaite « un nouveau modèle de production, moins cher ». Il a également évoqué le cadre social harmonisé, qui concernera l’ensemble des entreprises ferroviaires, et pour lequel les négociations ont commencé : « notre obsession, c’est la préparation de la concurrence. La date relève des politiques. On met le paquet sur le cadre social harmonisé. (…) C’est la condition pour que le secteur s’en sorte ». Concernant les wagons-bars des TGV, qui ont changé de prestataire en novembre dernier, il a indiqué qu’il y a « encore des problèmes d’approvisionnement », mais s’est réjoui de la « fin du sandwich TGV ». Lequel ne saurait évidemment expliquer la baisse du trafic.

 




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