Archive pour le Tag 'résultats'

Foot C1: Résultats des grandes écuries

Foot C1: Résultats des grandes écuries

 

Monaco–Barcelone 2–1

Le résultat le plus inattendu de la ligue des champions est peut-être la victoire de à un de Monaco sur Barcelone qui pourtant avait gagné ses cinq premiers matchs de championnat espagnol. Résultat  2-1pour le club français

 

Atalanta Bergame-Arsenal 0-0
Pour son retour en Ligue des champions après deux ans d’attente, l’Atalanta a dû se contenter d’un nul (0-0) jeudi à Bergame face à Arsenal.

Atlético Madrid-Leipzig 2-1

Les Allemands avaient ouvert le score dès la 4e minute par Benjamin Sesko, mais Griezmann a égalisé à la 28e minute. Il a fallu ensuite attendre la 90e minute pour que Jose Maria Gimenez donne la victoire aux Espagnols.

 

Feyenoord-Bayer Leverkusen 0-4
Le Bayer Leverkusen, époustouflant, a humilié Feyenoord à Rotterdam

 

Après la gifle infligée par le Bayern Munich au Dinamo Zagreb (9-2 mardi) et le succès probant du Borussia Dortmund mercredi à Bruges (0-3), ce résultat confirme la bonne santé des clubs allemands, le VFB Stuttgart ayant longtemps fait douter le grand Real Madrid mardi au Santiago-Bernabeu (3-1).

Politique -Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

Politique -Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

 Le Tribunal supérieur de justice (TSJ) a validé la victoire de Maduro alors que ces derniers n’a guère obtenu plus de 40 % de suffrages. Il ne fallait sans doute pas s’attendre à un autre verdict de cette instance bidon ( qu’on utilise de la même manière dans nombre d’autres pays illibéraux). Conséquence:  les États-Unis et 10 pays d’Amérique latine ne reconnaissent pas la victoire de Maduro

La Cour « certifie ( sans rire ) de manière non contestable le matériel électoral et valide les résultats de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, émis par le Conseil national électoral (CNE), où le citoyen Nicolas Maduro Moros a été élu président de la République bolivarienne du Venezuela pour la période constitutionnelle 2025-2031 », a affirmé sa présidente Caryslia Rodriguez.

Pour mémoire, l’annonce de la réélection du président vénézuélien pour un troisième mandat a provoqué des manifestations spontanées, qui ont été brutalement réprimées. Elles ont jusqu’ici fait 27 morts, 192 blessés et 2.400 arrestations, selon les autorités.

Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le CNE, qui n’a cependant pas fourni les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact des votes.

Mais selon l’opposition, qui a rendu publics les procès-verbaux obtenus grâce à ses scrutateurs, son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 60% des voix.

Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

Venezuela : surprise ! Les faux résultats électoraux confirmés

 Le Tribunal supérieur de justice (TSJ) a validé la victoire de Maduro alors que ces derniers n’a guère obtenu plus de 40 % de suffrages. Il ne fallait sans doute pas s’attendre à un autre verdict de cette instance bidon ( qu’on utilise de la même manière dans nombre d’autres pays illibéraux))

La Cour « certifie ( sans rire ) de manière non contestable le matériel électoral et valide les résultats de l’élection présidentielle du 28 juillet 2024, émis par le Conseil national électoral (CNE), où le citoyen Nicolas Maduro Moros a été élu président de la République bolivarienne du Venezuela pour la période constitutionnelle 2025-2031 », a affirmé sa présidente Caryslia Rodriguez.

Pour mémoire, l’annonce de la réélection du président vénézuélien pour un troisième mandat a provoqué des manifestations spontanées, qui ont été brutalement réprimées. Elles ont jusqu’ici fait 27 morts, 192 blessés et 2.400 arrestations, selon les autorités.

Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le CNE, qui n’a cependant pas fourni les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact des votes.

Mais selon l’opposition, qui a rendu publics les procès-verbaux obtenus grâce à ses scrutateurs, son candidat Edmundo Gonzalez Urrutia a remporté le scrutin avec plus de 60% des voix.

La Poste : résultats en retrait

La Poste : résultats en retrait

Les résultats de la poste sont surtout affectés par les déficits concernant les obligations de service public en partie compensées par l’État

 

Le bénéfice net de La Banque postale a en effet baissé de 11,3% sur un an au premier semestre, à 515 millions d’euros, en lien avec le ralentissement de CNP Assurances qui reste cependant essentiel pour maintenir le groupe à flot. Le produit net bancaire, équivalent du chiffre d’affaires pour le secteur, atteint 3,65 milliards d’euros entre janvier et juin, 5,6% de moins que l’an dernier à la même période.

Le chiffre d’affaires semestriel du groupe pour l’ensemble de ses activités est en baisse de 0,6%, à environ 17 milliards d’euros.

« Dans un contexte macroéconomique et financier toujours aussi incertain, La Banque postale affiche des résultats financiers en repli, sous l’effet d’une baisse des revenus de l’assurance », a déclaré le président du directoire de La Banque postale (LBP), Stéphane Dedeyan, dans un communiqué.

Résultats Législatives 2024 : une victoire en trompe l’oeil

Résultats Législatives 2024 : une victoire en trompe l’oeil

C’est en exprimant un grand « ouf » qu’une majorité de Français s’est couché ce 7 juillet au soir. Mais qu’on ne se méprenne pas : le soulagement est trompeur et de courte durée. Cette victoire en trompe-l’œil annoncera plus tard celle du Rassemblement national si le nouveau Parlement et le futur exécutif n’adoptent pas la culture du compromis transpartisan et n’engagent pas une refonte démocratique en profondeur. un excellant papier de  Denis Lafay dans la Tribune.
 

143 sièges sur 577 pour le Rassemblement national et ses alliés. Le choc est grand, mais la détente et même la délivrance dominent. « Ouf », ont ressenti la majorité de Français hostiles au RN et pétrifiés à la perspective d’une passation de pouvoir entre Gabriel Attal et Jordan Bardella sur le perron de Matignon. Ouf, après l’état de sidération dans lequel la dissolution de l’Assemblée nationale décrétée par le chef de l’Etat au soir du 9 juin les avait instantanément précipités. Ouf, après quatre semaines d’une campagne électorale éclair, électrique, éruptive, qui a enflammé le débat politique, écharpé la délibération publique, et parfois déchiré familles, amitiés, groupes de travail. Ouf, certes. Toutefois, le soulagement ne peut être que bref répit : maintenant, l’effroi s’est mué en vide, mais il stationne et prépare déjà son retour.

Le triomphalisme de posture qu’expriment les caciques des forces républicaines – déjà en campagne pour composer le gouvernement – ne doit tromper personne : sans la nature du scrutin et la digue de sable érigée entre les deux tours par l’arc républicain, le RN (et ses alliés) aurait peut-être raflé la majorité absolue. Son score relatif est contenu, mais le décompte absolu est sans appel : 37% des voix (contre 25% pour le Nouveau Front populaire et ses… 182 élus) et 10.151.896 suffrages.

Peut-être cet inventaire asymétrique forme-t-il d’ailleurs le piège le plus sournois : rasséréner dans l’excès, éloigner du débat public les colères contenues dans le vote RN, et laisser le parti d’extrême droite poursuivre son enracinement. Jusqu’au coup suivant qui, lui, pourrait connaître un funèbre achèvement.

Le soulagement ne peut être que fugace, parce que la nouvelle configuration de l’Assemblée nationale, compartimentée en trois blocs imperméables les uns des autres – et eux-mêmes lacérés de désunions programmatiques ou idéologiques -, conjecture une quasi ingouvernabilité législative. L’exécutif gouvernemental qui en résultera présage une hétérogénéité difficilement compatible avec d’autres ambitions que celle de « gérer les affaires courantes ». L’isolement dans lequel son geste « fou » de dissoudre, seul et impétueusement, l’Assemblée française au soir d’une défaite européenne l’a encagé, promet au chef de l’Etat la traversée d’un désert inhospitalier et une cohabitation potentiellement volcanique… ou atone. Le score honorable obtenu par sa formation lui doit bien moins qu’aux alliances républicaines de circonstance.

Comment Emmanuel Macron réagira-t-il et même survivra-t-il au fait, bien réel, d’être seul, dépossédé de son pouvoir, honni d’une majorité de la population, « auteur » d’une tragédie démocratique qu’absolument rien ne justifiait dans l’extrême précipitation et à quelques semaines de l’ouverture des Jeux olympiques ? Tragédie démocratique découvrant un « inconnu » économique, social, sociétal, environnemental, géopolitique dont le pays, la société et chaque citoyen se seraient bien passés.

Le soulagement ne peut être que furtif, car l’hydre d’extrême droite a déployé ses tentacules sur toute la France ; dans chaque territoire, au sein de chaque catégorie socio-professionnelle, à l’intérieur de chaque génération, la stratégie de normalisation initiée par Marine Le Pen, relayée par Jordan Bardella, cimentée depuis 2022 par quatre-vingt huit députés aux ordres, a fait mouche. Et elle a profité de l’hystérie, des outrances, des dérapages antisémites proférés à l’autre extrémité du registre parlementaire, dans le camp de La France insoumise. Personne n’est dupe : le couronnement pourrait n’être qu’une question de temps. La marche en avant du bulldozer d’extrême droite semble irrépressible, profitant d’un double ralliement : celui, politique, des factieux de LR ou de Reconquête ! ; celui, bien plus cardinal, des 10 millions d’électeurs. Lesquels, en nombre, pensent le RN affranchi de ses oripeaux racistes, antisémites, nationalistes, europhobes, liberticides, autocrates ; estiment trouver au RN la considération pour leurs difficultés que l’offre républicaine « traditionnelle » a négligées voire méprisées ; croient le RN lorsqu’il désigne à leurs maux des responsables qu’il promet de pourchasser.

Mais il est un leurre de circonscrire le suffrage RN au seul réflexe de protestation : il est devenu aussi une démarche d’adhésion. Adhésion qui traduit les « malaises » de l’époque, suggérés par l’inconfort et les frustrations du consumérisme, par les inégalités (sociales, patrimoniales, territoriales), par l’ivresse capitaliste insuffisamment régulée, par l’affolement du temps, par l’insaisissable (et pour beaucoup effrayante) suprématie technologique, par l’épouvante climatique, par des pratiques managériales et sociales parfois délétères…. qu’on peut regrouper dans un déficit abyssal de démocratie.

Deux stratèges se sont affrontés, dont le score s’est inversé depuis le coup d’envoi en 2017. Au stratège Macron, disqualifié, s’oppose désormais la stratège Le Pen, consacrée.

À propos du chef de l’Etat, le bilan de ces quatre semaines peut se résumer à un questionnement. « Que s’est-il « passé » dans sa tête pour décider un tel sabordage ? ». Auquel on peut ajouter un second : « Pourquoi a-t-il entraîné tout un pays dans le délire désespéré que l’humiliation des urnes lui a inspiré ? ».

Il est bien trop tôt pour mesurer les dégâts de ce « coup de folie » sur lui-même, et sur l’autorité, le crédit qu’il exercera dorénavant dans l’Hexagone – sur la gouvernance de l’Etat, vis-à-vis de son ex-majorité qu’il a atomisée, à l’égard des Français – et sur la scène internationale. En politique rien n’est jamais définitif, à moins d’insulter l’histoire qui regorge de retournements imprévisibles et de résurrections miraculeuses. Mais son chemin de Damas s’annonce de toute façon semé d’embûches, et quand bien même dans la singularité critique de la situation il révélerait une disposition rédemptrice a priori peu spontanée.

De Marine Le Pen, il faut espérer que l’Histoire ne grave pas sa victoire – ou celle de son disciple – en 2027 ou lors de législatives anticipées que les adversaires d’un Emmanuel Macron affaibli pourraient solliciter d’ici un an, date à laquelle le président de la République sera de nouveau autorisé à prononcer la dissolution. Il faut espérer, mais surtout il faut entreprendre pour écarter le spectre. Pléthoriques sont les raisons qui le commandent. Les débats des législatives ont obligé le loup à sortir du bois. Qu’il porte sur les volets économiques et financiers, sociaux et sociétaux, géopolitiques et démocratiques, le programme du RN a exhibé sa vacuité, ses illusions, ses mensonges et une impréparation confinant à l’irresponsabilité. À l’extraordinaire complexité des sujets il a répondu par une harangue simpliste qui frappe les esprits et esquive le réel.

L’heure est à réparer, apaiser, pacifier et peut-être même « ralentir » la société, étourdie par sept années de frénésie réformatrice et une gouvernance Macron insuffisamment sensible voire sourde à ses souffrances, ses aspirations, ses besoins… et ses idées. À réconcilier les « morceaux » de la société, que l’aggravation de certaines inégalités, le sentiment de ne pas être considéré, la tentation communautariste et l’épisode législatif ont éparpillés. À reconstituer la cohésion sociale, aujourd’hui fragmentée, et redéfinir un sens et un périmètre à la justice sociale. À s’approprier les trésors de la conflictualité et les vertus du débat rescapés des tyrannies uniforme, hystérique, haineuse, antagonique. Enfin, à essayer de rassembler autour d’un horizon partagé. Il ne sera possible d’envisager cette reconstruction qu’avec - et non pas contre - dix millions de personnes qui ont confié leur suffrage à un parti ennemi de la démocratie. Immense défi.

« Ce moment historique de la démocratie est l’aboutissement d’une dissolution démocratique qui exige un sursaut démocratique », estime l’ancien secrétaire général de la CFDT Laurent Berger dans l’entretien exclusif qu’il a consacré dimanche 7 juillet à La Tribune. « Plus que jamais, l’heure est à repenser les instruments de la démocratie afin de réenchanter la conviction démocratique », anticipait quelques jours plus tôt le président du Conseil économique, social et environnemental Thierry Beaudet. Instruments honorant l’appétit citoyen d’être acteur des grandes transformations, instruments de démocratie participative accomplie pour nourrir la démocratie représentative - elle-même exhortée à privilégier le compromis à la posture -, instruments faisant vivre la démocratie entre et non pas seulement pendant les élections… Construire une autre démocratie convoque en chacun un postulat incompressible : reconsidérer son individualité. Pour que le principe d’individuation – moi avec les autres, parfois même pour les autres – s’impose à l’individualisme – moi face aux autres, souvent même contre les autres. Un individualisme pulsionnel que le récit RN glorifie et instrumentalise. Une raison de plus d’agir pour réenchanter la démocratie, car elle forme le plus sûr rempart à l’indicible victoire de l’extrême droite.

« Au boulot ! », appelait Laurent Berger dans un livre publié en 2018 (L’Aube). C’était à propos de travail. Six ans plus tard, l’invocation sied particulièrement au nouveau chapitre qui s’ouvre, celui-là démocratique. Personne n’est naïf : la tâche est colossale, notamment dans un régime présidentiel impréparé à la culture du dialogue transpartisan et du compromis. Or il n’existe pas d’alternative : il faut se retrousser les manches, accepter de suer, et « se mettre au boulot ». Au risque, sinon, d’endosser la responsabilité, cramponnée à celle d’Emmanuel Macron, d’escorter Marine Le Pen ou Jordan Bardella jusqu’au sacre.

 

Résultats législatives: Les sièges pourvus par camp politique

Résultats législatives: Les  sièges pourvus par camp politique

Nouveau Front populaire

180sièges

dont

71 sièges La France insoumise

64 sièges Parti socialiste

33 sièges Les Ecologistes-EELV

9 sièges Parti communiste français

3  sièges Autres

Ensemble(majorité)

158 sièges

dont

98 sièges Renaissance

34 sièges MoDem

26 sièges Horizons

Les Républicains et alliés

67 sièges

dont

39 sièges Les Républicains

25 sièges Divers droite

3 sièges Union des démocrates et indépendants

Rassemblement national et alliés

143 sièges

dont

126 sièges Rassemblement national

17 sièges Rassemblement national-LR

Autres

29 sièges

Résultats Législatives: un vote de colère

Résultats Législatives: un vote de colère

 

« Le RN est le parti qui dispose de la base électorale la plus solide et la plus complète« . Selon Stéphane Zumsteeg d’IPSOS, le parti de Jordan Bardella est le « seul à ne pas avoir subi de désamour des Français« . Il le décrit comme « le parti le plus attrape-tout de la classe politique. Il n’y a plus de ligne de faiblesse par sexe, par classe d’âge et même par profession » au sein de cet électorat, assure le sondeur. Pour lui, le vote du RN est « un vote de colère, d’incompréhension de la classe politique, et en partie, peut-être, un vote d’aigreur.

 

C’est une France en colère, ce sont des gens qui ont l’impression de faire partie des classes sociales défavorisées, des gens qui ont du mal à boucler leurs fins de mois« , ajoute-t-il.

Hervé Le Bras estime lui qu’il y a « un côté démocratique » dans le vote pour le RN « qu’il ne faut pas négliger. C’est très difficile de dire quel est le ressort du vote RN. » On mettait souvent en avant la colère, mais là, « une des raisons profondes de ce vote est démocratique. Ce sont des Français, ils le disent souvent, qui ont le sentiment de ne pas être écoutés. »

Résultats législatives : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP à 28,1%, le camp Macron à 21%

Résultats  législatives  : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP  à 28,1%, le camp Macron à 21%

Pour résumer conformément aux prévisions le RN figurent largement en tête des législatives de 1024 avec 33,2 %, le nouveau Front populaire sauve les meubles à 28,1 % et le camp Macron qui s’écroule complètement à 21 %. Comme prévu encore le second tour s’annonce très complexe et dépendra des report de voix. Il n’est pas du tout certain qu’on parvienne à dégager une majorité absolue et finalement ces élections n’auront pas résolu la crise politique mais l’ auront complexifier. Bref la crise politique en France est loin d’être terminée et  dépassera l’échéance du second tour. Au second tour, le RN et ses alliés pourraient être présents dans 390 à 430 circonscriptions.

Indiscutablement le RN remporte une nette victoire. Le nouveau Front populaire Obtient un meilleur score que celui réalisé en 2022 par la Nupes (25,78%), précédente alliance de la gauche alors dominée par La France insoumise. Elle pourrait être présente au second tour dans 370 à 410 circonscriptions. Les candidats divers gauche, hors NFP, obtiennent quant à eux 1,7%.

Le camp présidentiel, qui ne pointe qu’en troisième position (21,0%), est le grand perdant de la soirée, avec un net revers par rapport aux précédentes législatives, où il avait obtenu 25,75% au premier tour. Le camp Macron, éliminé dans presque la moitié des circonscriptions  ne pourrait être présent au second tour que dans 290 à 330 circonscriptions.

 Les Républicains  font  10,0% des suffrages (contre 13,62% il y a deux ans), les candidats du parti vont devoir b

Résultats législatives : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP à 28,1%, le camp Macron à 21%

Résultats  législatives  : le RN nettement en tête à 33,2%, NFP  à 28,1%, le camp Macron à 21%

Pour résumer conformément aux prévisions le RN figurelargement en tête des législatives de 1024 avec 33,2 %, le nouveau Front populaire sauve les meubles à 28,1 % et le camp Macron qui s’écroule complètement à 21 %. Comme prévu encore le second tour s’annonce très complexe et dépendra des report de voix. Il n’est pas du tout certain qu’on parvienne à dégager une majorité absolue et finalement ces élections n’auront pas résolu la crise politique mais l’ auront complexifier. Bref la crise politique en France est loin d’être terminée et  dépassera l’échéance du second tour. Au second tour, le RN et ses alliés pourraient être présents dans 390 à 430 circonscriptions.

Indiscutablement le RN remporte une nette victoire. Le nouveau Front populaire Obtient un meilleur score que celui réalisé en 2022 par la Nupes (25,78%), précédente alliance de la gauche alors dominée par La France insoumise. Elle pourrait être présente au second tour dans 370 à 410 circonscriptions. Les candidats divers gauche, hors NFP, obtiennent quant à eux 1,7%.

Le camp présidentiel, qui ne pointe qu’en troisième position (21,0%), est le grand perdant de la soirée, avec un net revers par rapport aux précédentes législatives, où il avait obtenu 25,75% au premier tour. Le camp Macron, éliminé dans presque la moitié des circonscriptions  ne pourrait être présent au second tour que dans 290 à 330 circonscriptions.

 Les Républicains  font  10,0% des suffrages (contre 13,62% il y a deux ans), les candidats du parti vont devoir batailler pour conserver quelques dizaines de fiefs. Ils pourront batailler dans 70 à 90 circonscriptions, selon Ipsos-Talan.

 

Des résultats conformes aux sondages avec le RN nettement en tête

Des résultats conformes aux sondages avec le RN nettement en tête

Le RN arrive en tête avec 31,47 %, devant Renaissance (14,56%), PS-Place publique (13,8%), LFI (9,87%) et LR (7,24%), selon les résultats provisoires. Suivent les Écologistes (5,47%) et Reconquête! (5,46%).

Pour le pouvoir il s’agit d’une sorte de séisme qui d’ailleurs a amené le président a décidé la dissolution de l’Assemblée nationale.

France : des résultats scolaires qui expliquent une partie de la crise française

France :  des résultats scolaires qui expliquent une partie de la crise française

 

Les résultats solaires de la France sont particulièrement mauvais, avec une tendance à la baisse encore plus marquée.

Ils expliquent une partie des crises du pays La France se classe à la 23e place du classement, alors qu’elle est 7e puissance mondiale. Les résultats sont surtout en régression en maths pour les élèves de 15 ans.  »En mathématiques, la forte baisse observée en France entre 2018 et 2022 est la plus importante observée depuis la première étude PISA  » en 2000, avec une baisse de » 21 points, contre une baisse de 15 points pour la moyenne », note l’OCDE.

. Malheureusement, les nouvelles ne sont pas bonnes pour la France. Elle termine à la 23e place de ce classement et chute lourdement en mathématiques. À l’échelle mondiale, les résultats du classement démontrent une baisse significative et généralisée post-crise du covid-19.

Pour rappel cette étude à consulter dans son intégralité sur le site de l’OCDE, évalue les élèves sur plusieurs épreuves. La première est un test de compréhension de l’écrit, suivi ensuite du test de culture mathématique, de celui de culture scientifique et enfin d’un exercice de pensée créative. Cette année, 85 pays faisaient partie de l’aventure avec pas moins de 8 000 élèves tirés au sort. En France, 355 établissements étaient concernés.

La France ne fait pas figure de bonne élève. Elle se situe dans la moyenne des pays de l’OCDE, avec 474 points en mathématiques, en dessous de la moyenne, à 480 points ; 474 points en compréhension de l’écrit alors que la moyenne se situe à 482 points ; 487 points en culture scientifique points alors que la moyenne est à 491 points.

Il faut retenir du classement Pisa 2023 (appelé 2022 car l’étude rend compte des résultats de l’an dernier en réalité) ceci : les résultats globaux sont en baisse, notamment du fait de la pandémie de Covid-19. Seulement trois pays parviennent à faire mieux qu’en 2019 : Singapour, le Japon, la Corée du Sud. Tous les autres ont de plus mauvais résultats.

 

SNCF: résultats en baisse

 SNCF:  résultats  en baisse

La  SNCF annonce déjà des résultants en baisse en 2023.  Cependant le président de l’entreprise propose aux syndicats une « plateforme de progrès social » pour discuter de tous les sujets et renouer le « dialogue social ».

Le PDG de la SNCF prévient : les résultats de la compagnie ferroviaire seront en baisse pour l’année 2023. Ils « seront moins bons que ceux de 2022 », a averti Jean-Pierre Farandou dans un entretien au quotidien Le Monde, publié ce jeudi 22 février. Sans plus de détails pour le moment.

Une annonce aussi sans doute pour contrecarrer des déclarations de syndicats gauchistes qui affirment que la SNCF aura des « résultats financiers de dingue » et qui oublie évidemment que l’État apporte une contribution annuelle de 20 milliards à l’entreprise, sans parler de l’endettement.

Il a ainsi évoqué son idée de proposer aux syndicats une « plateforme de progrès social » pour discuter de tous les sujets. Mais il a toutefois prévenu : « J’intègre les revendications portées par les chefs de bord (ndlr : autre nom des contrôleurs) des TGV. Mais elles ne sont pas toutes accessibles ».

Les revendications des salariés lors de la grève du week-end dernier portaient notamment sur des questions salariales. « Tous les cheminots ont envie d’augmenter leur salaire. Mais l’argent que je mettrai là, je ne l’aurais pas pour acheter des TGV, rénover les infrastructures, améliorer la qualité de service », a assuré le PDG.

Résultats boursiers : nouveau record pour le CAC 40

Résultats boursiers  : nouveau record pour le CAC 40

Si le pouvoir d’achat régresse ou stagne face à l’inflation par contre les profits et les marchés d’actions enregistrent des records. Ainsi le CAC 40 atteints 7.689 points battant ainsi son précédent record de lundi dernier.

Pendant que les profits et les marchés boursiers s’envolent, la pauvreté elle aussi atteint des records. Depuis la crise du Covid, le taux de pauvreté a progressé et les inégalités se sont creusées, constate l’Insee. Des chiffres qui risquent d’empirer : depuis, l’inflation est venue frapper de plein fouet les plus précaires.

Le taux de pauvreté monétaire a de nouveau augmenté et tourne autour désormais de 15 %. L’Insee souligne que «la France sort de l’épisode Covid en 2021 avec un taux de pauvreté supérieur à celui qu’elle avait quand elle y est entrée».

Les solides bénéfices de Renault et de Stellantis ont fait décoller le cours des actions, plus de 6 % pour le premier (+15% sur un mois) et plus de 5 % pour le second (+18% sur un mois). Pourtant, le directeur financier de Stellantis a prévenu que le groupe voyait « davantage de vents contraires que de vents porteurs ».

Cette séance de jeudi a été marquée par d’autres publications de résultats annuels importants, comme Safran qui gagne encore du terrain en Bourse compte tenu d’un résultat net en hausse de 72%, ou Pernod Ricard qui a largement rassuré le marché sur ses perspectives pour 2023-2024. Au total, cette saison de résultats annuels s’annonce plutôt encourageante à mi-parcours.

Cependant aux Etats-Unis, les actions américaines commencent à devenir chères, autour de 24 fois les bénéfices sur le S&P 500, contre une moyenne de long terme de 18 fois. En revanche, même si le CAC 40 va de record en record, sa valorisation reste toujours dans sa moyenne historique, à 13,6 fois les bénéfices, selon l’agence Bloomberg.

Le fiasco français des résultats des mondiaux d’athlétisme

Le fiasco français des résultats des mondiaux d’athlétisme

Pour les professeurs d’université Jean Griffet et Maxime Travert, réduire le sport à une dimension sanitaire ne permet pas de fidéliser la pratique sportive. C’est pourquoi il convient, expliquent-ils dans une tribune au « Monde », de revoir la place de la culture sportive dans nos sociétés.

Les dirigeants de la Fédération française d’athlétisme (FFA) sont convoqués au ministère des sports pour s’expliquer sur l’absence de résultats significatifs aux championnats du monde d’athlétisme. Compte tenu des efforts financiers consentis par notre pays en direction des fédérations, il est légitime qu’un bilan soit réalisé, à la fin de chaque grande compétition, afin de mesurer l’efficacité des moyens mis en œuvre.

Mais ces résultats doivent également interpeller l’efficacité de nos politiques publiques de promotion du sport dans la société. Certes, il y a une distance considérable entre les pratiquants d’exception et les pratiquants ordinaires. Les premiers n’existeraient toutefois pas sans les seconds.

Or, les Françaises et les Français – plus particulièrement les jeunes générations – sont de moins en moins sportifs : la culture sportive n’est plus un élément stable et massif qui participe à la construction de leur place dans la société.

Face à cette réalité, les pouvoirs publics engagent des initiatives dont l’ambition principale est de « faire bouger » les jeunes et les adolescents. L’objectif premier n’est pas dissimulé : il s’agit de lutter contre la sédentarité et ses conséquences négatives sur la santé.

Pour autant, l’adhésion à la pratique sportive ne devrait pas se réduire à une ambition sanitaire. Bouger, ce n’est pas faire du sport. Faire du sport, c’est s’engager, éprouver des plaisirs, ceux – multiples et variés –, que procure sa pratique et qu’il convient d’identifier avec soin. Nier ces dimensions expressives associées à tout engagement sportif, c’est ignorer tous ceux qui pratiquent le sport, et ils sont nombreux, pour d’autres raisons que celles centrées sur la santé.

Un autre aspect ne doit pas être ignoré. Si une grande majorité des jeunes ont pratiqué un sport, nombreux sont ceux qui l’abandonnent : sa pratique n’est plus attractive. Elle est même parfois devenue répulsive. Par conséquent, l’action publique ne peut plus se limiter à porter des initiatives uniquement centrées sur la promotion du sport ; elles doivent également être pensées autour de la fidélisation de nos jeunes à sa pratique, afin de traiter le problème du décrochage sportif.

Crise de l’énergie pour les usagers et résultats supersoniques pour Total

Crise de l’énergie pour les usagers et résultats supersoniques pour Total

Après Chevron, Exxon, Shell et BP, le français TotalEnergies s’apprête, lui aussi, à partager un bénéfice annuel record, dopé par les cours des hydrocarbures. Il présentera demain matin, mercredi 8 janvier, ses résultats annuels pour l’exercice 2022. « Le marché s’attend à un résultat ajusté de 36 milliards de dollars, contre 18,1 milliards de dollars en 2021, soit presque un doublement », précise Ahmed Ben Salem, analyste pétrole et gaz chez Oddo. Des superprofits qui provoquent la colère de beaucoup.

Au cours des derniers jours, les majors pétrolières ont, sans exception, publié des chiffres vertigineux. En 2022, les américaines ExxonMobil et Chevron ont respectivement enregistré un bénéfice de 55,7 et de 35,5 milliards de dollars. Le britannique Shell, a, pour sa part annoncé la semaine dernière le bénéfice le plus élevé de son histoire à 42,3 milliards de dollars, tandis que son compatriote BP a fait état, ce matin, d’un bénéfice, hors éléments exceptionnels (indicateur le plus suivi par les marché) à 27,7 milliards de dollars. Un montant qui a plus que doublé en un an. BP affiche néanmoins une perte nette de 2,5 milliards de dollars, en raison d’une importante charge reflétant sa sortie du géant pétrolier russe Rosneft.

« Au total, les principales majors pétrolières ont réalisé plus de 200 milliards de dollars de profits en 2022. Ce sont des sommes stratosphériques et indécentes face à la situation de crise et l’inflation auxquelles doivent faire face les ménages, qui peinent à payer leur facture de gaz et d’électricité. Ces superprofits ne sont pas le fruit d’un travail ou d’efforts supplémentaires, mais des prix du pétrole qui ont explosé à cause de la guerre en Ukraine. Ces majors profitent d’une situation de crise et ces superprofits vont être reversés sous forme de dividendes aux actionnaires », déplore Edina Ifticène, chargée de campagne pétrole chez Greenpeace.

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