Archive pour le Tag 'restriction'

Restriction du droit du sol votée à Mayotte et étudiée ailleurs

Restriction du droit du sol votée à Mayotte et étudiée ailleurs

Les députés ont adopté, avec 162 pour 93 contre, la proposition de loi du député LR Philippe Gosselin prévoyant de restreindre le droit du sol à Mayotte. Un texte visant à durcir les conditions d’accès au droit du sol afin de freiner « la pression migratoire et démographique exceptionnelle » qui s’exerce sur l’archipel.

Les élus LFI n’ont pas manqué d’inventivité pour faire du chahut afin d’essayer de faire capoter la proposition de loi.

La question et par ailleurs évoquée pour d’autres territoires d’outre-mer et de façon plus générale pour l’ensemble du territoire. En clair la question est posée de savoir si le droit du sang ne va pas se substituer au droit du sol ou si l’accès au droit du sol ne sera pas de plus en plus restrictif.

 

Mayotte : restriction du droit du sol votée

Mayotte : restriction du droit du sol votée

Les députés ont adopté, avec 162 pour 93 contre, la proposition de loi du député LR Philippe Gosselin prévoyant de restreindre le droit du sol à Mayotte. Un texte visant à durcir les conditions d’accès au droit du sol afin de freiner « la pression migratoire et démographique exceptionnelle » qui s’exerce sur l’archipel.

Les élus LFI n’ont pas manqué d’inventivité pour faire du chahut afin d’essayer essayer de faire capoter la proposition de loi.

 

Composants électroniques : restriction aussi de la part de la Chine

Composants électroniques : restriction aussi de la part de la Chine

En réplique en quelque sorte aux restrictions américaines concernant les technologies exportées, la Chine a aussi décidé de mettre en place un encadrement quantitatif des métaux rares exportés notamment vers les États-Unis

 

La Chine représente 94% de la production mondiale de gallium, un métal stratégique utilisé dans les panneaux solaires, les radars ou encore les transistors, selon un rapport de l’Union européenne publié cette année. Elle est également la source de 83% du germanium, un métalloïde utilisé dans la fabrication de fibre optique ou de récepteurs infrarouges.

Ces matériaux jouent un rôle « critique dans l’industrie des technologies de pointe », et « beaucoup de fabricants intermédiaires avaient commencé à (les) stocker », affirme à l’AFP Brady Wang, directeur associé au cabinet de conseil Couterpoint.

La vente de produits à base de graphite « utilisés à des fins duales » vers les Etats-Unis fera l’objet de contrôles « plus stricts » concernant son utilisation finale, a ajouté mardi le ministère chinois du Commerce.

Ces nouvelles règles sont « clairement une mesure de représailles contre les Etats-Unis », a analysé Dylan Loh, professeur adjoint à l’Université de technologie de Nanyang à Singapour.

 

Pesticides : pédale douce du gouvernement pour la restriction

Pesticides : pédale douce du gouvernement pour la restriction

Le programme de réduction des pesticides est remis en cause par le gouvernement. Initialement il s’agissait de diminuer de 50 % ses produits de traitement ici 2030. Du coup, on invente même un nouvel indicateur pour relativiser l’utilisation des pesticides. La conséquence évidemment de la révolte agricole en cours en Europe et récemment en France.

Il y aura donc un nouvel indicateur , lors de la révision du plan Ecophyto

Or, issu d’une concertation, celui-ci est considéré par l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) comme le seul scientifiquement fiable pour mesurer l’utilisation des pesticides -bien que susceptible d’améliorations. Les défenseurs de l’environnement font de son maintien une « ligne rouge » à ne pas dépasser.

« Nos organisations ne peuvent cautionner ce probable retour en arrière de 15 ans, balayant en quelques jours des mois et même des années de travail collectif où nombre de parties prenantes ont œuvré pour la réussite du plan – au premier rang desquels nos ONG, les instituts de recherche ou encore les paysans et paysannes portant l’agroécologie », déclarent les ONG.

Problème : le gouvernement a fait des promesses au monde agricole.

Plan restriction d’eau : de la rigolade

Plan  restriction d’eau : de la rigolade

Officiellement des mesures drastiques auraient été prises dans 32 départements pour réguler l’utilisation de l’eau. Comme d’habitude sans doute,  une grande rigolade. On  va se focaliser sur le lavage des voitures, des terrasses ou encore des douches de plage. Il y aura  des restrictions voire des interdictions pour les prélèvements à destination de l’agriculture (80% de l’eau). . Mais des mesures qui sont rarement respectées quand on constate par exemple que des maïs sont encore arrosés en plein midi (à peine 20 % de cette eau  bénéficie à la plante). Il est clair que ce plan est loin d’être à la hauteur des enjeux concernant une ressource de plus en plus précieuse avec en particulier l’élévation des températures. Exemple de mesures prises sur le département de Vendée. La Vendée est en alerte renforcée ou en niveau de crise sur une large partie de son territoire. « Ces derniers jours, le département de la Vendée a fait face à de très fortes chaleurs et aucune précipitation significative n’a été constatée », souligne la préfecture dans un communiqué, en invitant chaque utilisateur d’eau à « agir afin de maîtriser sa consommation ». À partir de samedi, les prélèvements sont interdits totalement ou partiellement dans plusieurs cours d’eau pour les agriculteurs, particuliers, industriels et collectivités territoriales.  Le préfet de Loire-Atlantique a également annoncé des restrictions vendredi soir avec notamment des interdictions de « remplissage et mise à niveau des plans d’eau et des piscines, nettoyage des véhicules, des bâtiments, des terrasses et des voiries, alimentation des fontaines et douches de plage » sur une partie du département. Bref, des mesures parfois dérisoires, d’autres plus significatives mais qui seront peu ou pas appliquées. À quand par exemple la fin de la culture du maïs dans nombre de départements qui ne sont absolument pas adaptés au climat nécessaire à cette plante ?

Sécheresse : restriction d’eau, du pipeau !

Sécheresse : restriction d’eau, du pipeau !

 

 

Face à la sécheresse la France a mis en place un plan sophistiqué de lutte pour économiser l’eau. Il existe quatre niveaux de vigilance. Mais même dans les zones concernées par la plus haute vigilance zone dite rouge le plan de lutte contre la sécheresse apparaît à la fois dérisoire et non respectée. Dans ces zones dites rouges on peut toujours voir de nuit comme de jour des canons à eau arrosée des cultures de maïs souvent d’ailleurs en pure perte. En effet de jour en pleine chaleur la moitié ou les trois quarts de cette eau s’évaporent aussitôt. Dans nombre de ces régions la culture de maïs très gourmande en nos et complètement inappropriés au climat. Des millions de tonnes d’eau sont ainsi gaspillés et l’interdiction de laver des voitures en comparaison paraît particulièrement désuète. La canicule fait encore des ravages. Après un début de mois de juillet brûlant sur tout le territoire et une légère pause sur les dernières semaines, les températures élevées sont de retour. À l’instar de la région Rhône-Alpes passée en alerte canicule pour trois jours depuis le 5 août, de nombreux départements sont victimes de la sécheresse. Et qui dit sécheresse, dit restrictions d’eau. Car avec les fortes chaleurs, la situation hydraulique se dégrade et l’eau devient de plus en plus précieuse, au grand dam des agriculteurs et des éleveurs. Depuis jeudi, 69 départements sont concernés par les restrictions d’eau. Pour connaître à tout moment cette liste, le site Propulvia du ministère de l’Écologie met en ligne une carte interactive (ci-dessous) qui permet de se renseigner sur les départements restreints en eau ainsi que le niveau de restriction.  Il existe quatre niveaux différents qui n’engendrent pas les mêmes restrictions. Ainsi, sur les 69 départements, cinq sont en état de vigilance (en gris sur la carte) pendant lequel les particuliers et les professionnels sont sommés de faire des économies d’eau. Après le seuil de vigilance, il existe trois niveaux d’alerte (jaune, orange, rouge) en fonction de la gravité de la situation et des mesures qui doivent être prise. Ainsi, 26 d’entre eux sont en jaune, onze en orange et le reste en rouge.  Pour les départements en simple alerte (jaune), les activités nautiques, l’arrosage des jardins et des espaces verts ainsi que le lavage de voiture sont interdites à certaines heures. Pour les professionnels, est prévue soit réduction de presque moitié des prélèvements agricoles, soit une interdiction totale pendant trois jours de la semaine. L’alerte renforcée (orange) prévoit à peu de choses près les mêmes indications mais au niveau supérieur. Pour les prélèvements agricoles, ils sont réduits à plus de 50% ou totalement interdits 3,5 jours par semaine. Pour les particuliers, l’interdiction est plus élevée, et parfois totale pour certaines utilisations.  Enfin, lorsque le niveau le plus élevé d’alerte, le niveau crise (rouge), est décrété, tous les prélèvements non prioritaires (santé, sécurité civile, eau potable et salubrité) sont totalement prohibés, même pour les agriculteurs et éleveurs.  Ces seuils sont définis localement par les préfectures grâce à un bulletin de la situation hydraulique délivré chaque mois par les directions régionales de l’environnement. Ils permettent de préserver les ressources en eau, qui deviennent un bien de plus en plus précieux sur la planète.  Ces dispositions servent également à prévenir les autres risques liés à la canicule et la sécheresse : les incendies. L’été, de nombreux feux de forêt se déclarent et brûlent souvent des hectares de pinède. Dans un souci écologique mais aussi sécuritaire, il existe donc une sorte de police de l’eau qui vérifie la bonne application des mesures.  Ainsi, l’Office national de l’eau et des milieux aquatiques (ONEMA) et les Directions départementales des territoires (DDT) sont là pour surveiller le respect de ces dispositions. Si elles ne sont pas bien appliquées, les responsables s’exposent à des sanctions administratives comme 1.500 euros d’amende.

 




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