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Réseau poubelle-Quitter le réseau X (ex Twitter)

Réseau poubelle-Quitter le réseau X (ex Twitter)

 

« Être sur X s’est s’exposer volontairement à toute sa toxicité », estime Matthias Savignac, président de MGEN, qui a décidé d’engager le groupe mutualiste dans un retrait de X. ( dans « La Tribune »)

 

Partir ou rester ? C’est la question que l’on se pose à beaucoup d’étapes de notre vie. On négocie avec soi-même entre la violence d’une situation qui nous accable et la crainte de faire le saut en avant, avec son cortège de conséquences.

Twitter a été une révolution, utilisé par des peuples qui ont défié les autocrates. L’accès à l’information a été bouleversé, devenant le lieu des témoignages directs, des rumeurs commençantes. Ce qui se passait dans le monde était partagé en premier sur Twitter. Puis la plateforme est devenue un espace d’échanges, de débats, de partage… et aussi d’invectives. Quiconque ouvre un compte sur cet espace est à portée de tweet. Cela a permis des interactions inédites, une pression nouvelle de l’immédiateté pour les personnes publiques et les entreprises qui s’y sont installées, et aussi une grande libération de la parole violente, instrumentalisée souvent par des groupes aux intentions peu avouables, et non souhaitables.

Pour toute personne, morale, publique ou privée, la question se pose sérieusement d’encourager l’existence de ce qu’est devenu Twitter, désormais X, en y conservant un point d’accès. Partir c’est se couper d’une communauté de diffuseurs et d’une sphère d’influence. Rester, c’est s’efforcer de regarder ailleurs en pensant qu’il suffit de diffuser des contre-messages pour ne pas cautionner les dérives d’un réseau dont nous sommes nombreux à ne plus reconnaitre les valeurs de départ.

Pour se décider s’il faut partir ou rester sur X, réfléchissons en mutualistes.
La valeur fondamentale d’une mutuelle c’est « 1 personne = 1 voix ». Cela signifie que, sur un principe d’égalité, toutes les voix sont importantes, donc respectables et respectées. Nos instances démocratiques permettent à toutes les sensibilités d’être représentées – les mutuelles comptent parmi les derniers lieux où se cultive l’altérité. Les différents points de vue s’y expriment, se croisent, se complètent. Le respect de toutes les opinions est primordial et ne rentre pas en contradiction avec l’impératif de faire fonctionner ce projet commun qui est la protection sociale de tous les adhérents, et l’émancipation de toutes et de tous.

Elon Musk (le président de X et bientôt membre du gouvernement de Trump) clame le droit à la liberté d’expression. Très bien. Mais pour qu’une liberté d’expression soit possible, encore faut-il que toutes les voix puissent être légitimes à s’exprimer. La plateforme X est devenue un lieu où il n’est plus question de débattre mais uniquement d’avoir raison.

Quand Musk insulte le chancelier Allemand dans un tweet, lorsqu’il encourage un mouvement MEGA (Make Europe Great Again) et soutient les listes et les candidats d’extrême droite, il exacerbe tout sauf la liberté d’expression. Quand la modération ne vient même plus sanctionner l’expression de la haine raciste, antisémite, LGBTphobe et misogyne, la liberté d’expression des opinions contributrice au débat n’est plus possible.

D’autres cadres, d’autres manières de faire débat existent.
Comme président de la première mutuelle des agents du service public, qui protège et accueille toutes celles et ceux qui ont à cœur l’intérêt général, je ne peux pas regarder ailleurs. Je crois fondamentalement qu’on ne peut pas se réclamer de l’Economie Sociale et Solidaire et ne pas s’interroger sur le maintien d’une présence sur le réseau de Musk.Est-il est normal que le niveau de violence sur cette plateforme soit un mal nécessaire pour continuer à contacter une entreprise ou un service public, au mépris de l’impact sur sa santé mentale ? Non. Est-ce qu’une entreprise doit impérativement être sur les réseaux sociaux ? Une plateforme (ou un autocrate) n’a que le pouvoir qu’on accepte de lui confier. Est-ce que les conditions sont actuellement réunies pour faire valoir notre point de vue sur les grandes causes sociales, sociétales, humanistes, universalistes qui nous animent ? Non. D’autres cadres, d’autres manières de faire débat existent et n’impliquent pas ce niveau permanent d’animosité. Quitter X ce n’est pas fuir le débat, c’est refuser les conditions dans lesquelles il s’exerce, ou plutôt tente de s’exercer.

Enfin, sommes-nous à l’aise avec l’idée d’apporter du flux à une plateforme qui accepte les publicités de sectes, sert de tremplin à toutes les fake news, et in fine va servir de portevoix à celles et ceux qui veulent mettre l’Europe en pièces dans un contexte de nouvelle guerre économique ? Pas du tout.

Être mutualiste c’est avoir en aversion la violence, l’humiliation, la domination de quelques-uns sur tous les autres. Être mutualiste c’est également penser en termes de prévention des risques. Au-delà des risques pour la démocratie, la manière dont fonctionne X aujourd’hui ne peut pas être sans impact sur la santé mentale. Être sur X s’est s’exposer volontairement à toute sa toxicité.

C’est pourquoi, en mutualiste, j’ai décidé d’agir en cohérence avec nos principes et j’ai engagé MGEN dans un retrait de X.

A l’instar de la voie sur laquelle MGEN s’engage aujourd’hui, je plaide pour une suspension de l’activité des entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire sur X. Agissons en militants de la liberté d’expression. Une liberté d’expression responsable, contributrice au débat et respectueuse de chacun. Une liberté d’expression qui n’exacerbe pas les quant à soi et qui cultive l’intérêt général.

Quitter le réseau poubelle X ?

Quitter le réseau poubelle X ?

 

Constatant que les causes solidaires et environnementales sont invisibilisées ou caricaturées sur X, un collectif de 86 associations, répondant à l’appel d’Emmaüs France, s’engage dans une tribune au « Monde » à quitter le réseau social d’Elon Musk.

Nous, associations et syndicats qui agissons avec et pour les personnes touchées par la précarité, les inégalités et les atteintes aux droits humains, qui militons pour une transition écologique et solidaire, les libertés publiques et la liberté de la presse, avons pris la décision de quitter collectivement le réseau social X (ex-Twitter), le 20 janvier.

Cette date n’est pas le fruit du hasard. Déjà montrées du doigt à de multiples occasions depuis sa création, en 2006, les critiques à l’encontre de X sont de plus en plus nombreuses et fortes, particulièrement depuis son rachat par le milliardaire américain Elon Musk. L’absence de modération et le paramétrage des algorithmes y favorisent la prolifération des contenus haineux et la circulation de théories complotistes et climatosceptiques.

Par ailleurs, X a été le théâtre de campagnes de cyberharcèlement orchestrées par l’extrême droite dans de nombreux pays, dont les Etats-Unis et la France. Plus récemment, Elon Musk a utilisé son réseau social pour le mettre au profit de la campagne du candidat Trump, avec le résultat que l’on connaît, et les conséquences que nous redoutons, très probablement catastrophiques pour la vie de dizaines de millions de personnes. Sans parler de cette nouvelle digue détruite dans la préservation des valeurs d’humanisme et de respect d’autrui.
En quittant X, nous avons bien conscience de nous priver d’un canal de communication pour valoriser nos actions, nos combats, interpeller, sensibiliser… Mais cet outil, qui pouvait être appréhendé comme un nouvel espace de liberté d’expression à ses débuts, est devenu un grave danger pour celle-ci et pour le respect de la dignité des personnes.

Nos causes solidaires et en faveur de la défense de l’environnement y sont invisibilisées, mais aussi caricaturées, alors même que les défis qui se présentent à nous méritent attention, réflexion, sens de la nuance et débat apaisé. Inutile de poursuivre la bataille des idées au sein d’un ring où les dés sont pipés.

Rachat du réseau TikTok par Elon Musk ?

 

Selon Bloomberg, le milliardaire Elon Musk serait en discussion pour acheter aussi le réseau chinois TikTok. Elon Musk  qui a largement soutenu Trump  pour son élection en dépensant des centaines des millions et en utilisant le réseau X dont il est propriétaire. Elon Musk, fondateur de Tesla et de SpaceX, avait créé la surprise en affichant sa volonté de racheter Twitter début 2022. Après des mois de rebondissements et d’attaques sur la plateforme, il avait fini par l’acquérir pour 44 milliards de dollars. L’homme le plus riche du monde l’a ensuite rebaptisée X et s’en est largement servi pour soutenir Donald Trump, en plus de ses larges contributions financières au républicain. Maintenant il envisage le rachat de TikTok qui en principe doit être interdit aux États-Unis tant que ce réseau reste la propriété chinoise.

Les États-Unis ont adopté l’année dernière une loi qui oblige le géant chinois du divertissement ByteDance à vendre TikTok d’ici le 19 janvier 2025, sous peine d’interdiction dans le pays où l’application compte 170 millions d’utilisateurs. L’affaire est montée jusqu’à la Cour suprême américaine, qui a entendu les arguments des deux parties vendredi: Washington dit vouloir prévenir les risques d’espionnage et de manipulation par Pékin, tandis que le réseau social et des associations accusent la loi d’étouffer la liberté d’expression. Une nette majorité des juges se sont montrés disposés à autoriser l’interdiction.

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Donald Trump, qui sera de nouveau président des États-Unis dans une semaine, avait tenté d’interdire TikTok à la fin de son premier mandat, en 2020, aussi au nom de la sécurité nationale. Il est depuis revenu sur ses positions, assurant avoir un «faible» pour l’application et son audience jeune. Outre les voitures électriques et les fusées, Elon Musk a cofondé d’autres entreprises, dont xAI, la plus récente, spécialisée dans l’intelligence artificielle (IA) générative, qui nécessite des montagnes de données fraîches : les réseaux sociaux sont idéals pour alimenter les modèles d’IA. L’entrepreneur a aussi gagné des responsabilités politiques.

Interdire le réseau X en Europe ?

Interdire le réseau X en Europe ?

 

Il est clair que le réseau X (ex Twitter) est globalement devenu une véritable poubelle dont le contenu invraisemblable et ordurier est destiné à inciter les connexions et les profits. En outre son propriétaire Elon Musk  maintenant en fait un outil d’influence politique en intervenant un peu partout par exemple dans la vie politique britannique en soutenant l’extrême droite ; même chose en Argentine. À l’inverse le milliardaire génial mais fou a fortement critiqué le pouvoir actuel en Grande-Bretagne. De la même manière il milite pour que l’extrême droite triomphe en Allemagne. Et désormais il se tient évidemment dans ses velléités néo colonialistes pour reprendre possession du Canada, du Groenland ou encore du canal de Panama.

.Au-delà de ces objectifs politiques Hélène masquent se veut un leader politique qui veut s’attaquer à la démocratie libérale pour y substituer des régimes réactionnaires et lillibéraux . Ces prises de position en outre valident  d’une certaine manière les velléités de Poutine d’imposer aussi son régime politique et ses prétentions de conquête territoriale. De quoi faire réagir le monde libre qui tarde à s’unir pour élaborer une réplique à la hauteur de l’enjeu. Surtout en Europe particulièrement visée par Elon Musk.

C’est pourquoi, mercredi matin, l’ancien ministre de l’Économie et ancien commissaire européen au marché intérieur, Thierry Breton, a affirmé sur LCI qu’il était «possible» d’interdire le réseau social dans l’Union européenne. A Tout le moins il faudrait cesser d’alimenter en information cette poubelle qui est devenue le réseau X.

Le réseau X (ex twitter) dans la tourmente financière

Le réseau X (ex twitter) dans la tourmente financière

 

Du fait de l’attitude de son nouveau propriétaire le réseau X (ex Twitter) se révèle une véritable catastrophe financière. Le milliardaire Elon Musk est en effet en train de payer son cocktail de provocations, de fausses informations et de politiques en faveur de Trump. Or la rentabilité s’écroule complètement alors que le prix d’achat du réseau s’est effectué avec un emprunt de 44 milliards.

 

Et l’entreprise a perdu la moitié de sa valeur du fait de la défection surtout des publicitaires; exemple, celui de Jack Dorsey, le cofondateur de Twitter, qui a investi 1 milliard d’euros : la valeur de sa participation, en 2024, est estimée à 280 millions de dollars. Ce dernier avait déjà exprimé des regrets après le rachat, par le patron de Tesla, du réseau social. «Elon Musk n’aurait jamais dû acheter Twitter, tout est allé de travers depuis», avait-il déclaré en mai 2023, moins d’un an après le rachat de la plateforme.

Le prince saoudien Alwaleed bin Talal a investi, lui, 1,89 milliard de dollars. La valeur de sa participation est aujourd’hui évaluée à seulement 280 millions de dollars. Le plus gros perdant restant Elon Musk lui-même. Le magnat de la tech a investi un total de 33,5 milliards de dollars. Or, la valeur de ce qu’il détient dans sa plateforme est aujourd’hui évaluée à 9,38 milliards de dollars.

 

Twitter : réseau X ou réseau Trump ?

 Twitter :  réseau X ou  réseau Trump ?

Elon Musk Le milliardaire a tendance à se mêler de tout d’économie bien sûr mais aussi de politique mondiale. Il est un des plus fervents supporters de Trump. Le milliardaire Elon Musk, à qui l’on impute la consommation de cocaïne, d’ecstasy ou de LSD de manière excessive ( Ce qui expliquerait sa proposition d’implanter des puces électroniques dans le le cerveau humain !), a d’ailleurs interviewé lui-même Trump sur le réseau X. Résultat : un exercice d’une rare bêtise et truffé de mensonges. En mélangeant les deux genres, Elon Musk ne sert sans doute pas la cause de Trump et encore moins la cause d’un réseau X de plus en plus marqué politiquement et qui fait fuir d’ailleurs les annonceurs. Par ailleurs le réseau X est menacée par l’Europe d’une très forte amende pour diffusion de propos calomnieux et violents. La question du boycott de X voire de son interdiction en Europe pourrait se poser.

 

On se souvient qu’avant le rachat de Twitter par Elon Musk, Trump  avait été exclus de Twitter. Il a été réhabilité Elon Musk qui prend le risque d’une désaffection croissante non seulement des utilisateurs mais aussi des annonceurs. Après le rétablissement de son compte sur X, l’ex-président n’avait toutefois pas recommencé à poster régulièrement sur son ancien canal de communication favori, privilégiant pour ses publications quotidiennes sa propre plateforme, Truth Social. Grâce à Elon Musk, le réseau X devient cependant   le principal support de la campagne républicaine et de la désinformation

 

Réseau Twitter : de réseaux X à réseau Trump

Réseau Twitter : de réseaux X à réseau Trump

Elon Musk Le milliardaire a tendance à se mêler de tout d’économie bien sûr mais aussi de politique mondiale. Il est un des plus fervents supporters de Trump. Le milliardaire Elon Musk, à qui l’on impute la consommation de cocaïne, d’ecstasy ou de LSD de manière excessive ( Ce qui expliquerait sa proposition d’implanter des puces électroniques dans le le cerveau humain !), a d’ailleurs interviewé lui-même Trump sur le réseau X.  En mélangeant les deux genres, Elon Musk ne sert sans doute pas la cause de Trump et encore moins la cause d’un réseau X de plus en plus marqué politiquement et qui fait fuir d’ailleurs les annonceurs. Par ailleurs le réseau X est menacée par l’Europe d’une très forte amende pour diffusion de propos calomnieux et violents.

 

On se souvient qu’avant le rachat de Twitter par Elon Musk, Trump  avait été exclus de Twitter. Il a été réhabilité Elon Musk qui prend le risque d’une désaffection croissante non seulement des utilisateurs mais aussi des annonceurs. Après le rétablissement de son compte sur X, l’ex-président n’avait toutefois pas recommencé à poster régulièrement sur son ancien canal de communication favori, privilégiant pour ses publications quotidiennes sa propre plateforme, Truth Social. Grâce à Elon Musk, le réseau X devient cependant   le principal support de la campagne républicaine et de la désinformation

 

Twitter : de réseau X à réseau Trump

Twitter : de réseaux X à réseau Trump

Elon Musk Le milliardaire a tendance à se mêler de tout d’économie bien sûr mais aussi de politique mondiale. Il est un des plus fervents supporters de Trump. Le milliardaire Elon Musk, à qui l’on impute la consommation de cocaïne, d’ecstasy ou de LSD de manière excessive, prévoit d’ailleurs d’interviewer lui-même Trump sur le réseau X.  En mélangeant les deux genres, Elon Musk ne sert sans doute pas la cause de Trump et encore moins la cause d’un réseau X de plus en plus marqué politiquement et qui fait fuir d’ailleurs les annonceurs.

 

On se souvient qu’avant le rachat de Twitter par Elon Musk, Trump  avait été exclus de Twitter. Il a été réhabilité Elon Musk qui prend le risque d’une désaffection croissante non seulement des utilisateurs mais aussi des annonceurs. Après le rétablissement de son compte sur X, l’ex-président n’avait toutefois pas recommencé à poster régulièrement sur son ancien canal de communication favori, privilégiant pour ses publications quotidiennes sa propre plateforme, Truth Social. Grâce à Elon Musk, le réseau X devient cependant   le principal support de la campagne républicaine et de la désinformation

 

L’antisémitisme d’Elon Musk coule le réseau X (Twitter)

L’antisémitisme d’Elon Musk coule le réseau X (Twitter)

À titre personnel le nouveau patron du réseau X a déjà émis des propos de vis-à-vis des juifs mais surtout devant la chute de fréquentation, il a largement encouragé la diffusion de postures antisémites pour faire du chiffre.

Malheureusement pour lui, les annonceurs n’ont pas apprécié cette image de plus en plus troubls du réseau et beaucoup ont décidé de suspendre leur campagne de publicité. Ainsi IBM, Apple, Disney, Warner Bros. Discovery, Comcast ou Paramount ont suspendu leurs campagnes publicitaires.

Mercredi dernier, Elon Musk, qui compte près de 164 millions de followers, a répondu à un utilisateur de X qui affirmait que les personnes juives encourageaient la « haine contre les Blancs », par ce commentaire : « Tu as dit l’exacte vérité ».

Bronca générale face à ce message aux relents antisémites et conspirationnistes. Un jour plus tard, nouvelle controverse.. D’autres faits du même type à la fois condamnables et provocateur ont encouragé les fournisseurs de publicité à se retirer d’un réseau de plus en plus contesté.

On sait aussi qu’Elon Musk est proche de Trump. Il pourrait être tenté une nouvelle fois d’utiliser le réseau au service de ce candidat très controversé. Ce serait alors sans doute la condamnation du milliardaire fou qui ne parvient pas à distinguer gestion des affaires et politique…..comme Trump!.

Elon Musk cherche un idiot pour diriger le réseau

Twitter : Elon Musk cherche un idiot pour diriger le réseau

Elon Musk , le milliardaire qui a mis en danger la totalité de son groupe en rachetant le réseau Twitter pour la somme folle de 44 milliards multiplie actuellement les déclarations les plus folles. Les actionnaires de son groupe sont particulièrement mécontents car la valorisation s’est écroulée. Du coup, Elon Musk acculé pourrait bien être contraint d’abord de se désengager physiquement de la gestion de Twitter voire peut-être même de s’en débarrasser complètement. Et pour en rajouter à la stupidité des déclarations de l’intéressé il déclare qu’il cherche « quelqu’un d’assez idiot » pour reprendre la direction de tweeter.

Musk a déclaré mardi 20 décembre qu’il quitterait ses fonctions de directeur général de Twitter après avoir trouvé un remplaçant. «Je démissionnerai de mon poste de PDG dès que je trouverai quelqu’un d’assez idiot pour prendre le poste ! Après cela, je dirigerai simplement les équipes de logiciels et de serveurs », a-t-il écrit sur la plateforme.

Le propriétaire de la plateforme de microblogging réagissait au résultat du sondage qu’il avait lui-même initié lundi sur Twitter, demandant s’il devait se retirer de la tête de l’entreprise ou non, 57% des 17 millions de votants répondant par l’affirmative. S’il avait affirmé dans un premier temps qu’il se plierait au résultat de son sondage, Musk avait envoyé ces dernières heures des signaux plutôt contradictoires, semblant dans un premier temps estimer que le résultat avait été faussé par le vote de bots.

La vérité c’est que le patron de Twitter semble complètement désemparé pour rentabiliser le réseau. Twitter n’avait jamais réalisé le moindre profit mais maintenant ce sont les annonceurs qui partent mais aussi les utilisateurs trop en désaccord avec les propos provocateurs et réactionnaires du patron.

Désinformation : TikTok, le Réseau des jeunes naïfs

Désinformation : TikTok, le Réseau des jeunes naïfs

Le régulateur français rappelle la nécessité d’une modération des réseaux, cependant ilobserve une amélioration de la quantité d’informations déclarées » par les plateformes sur la lutte contre les fausses informations.Un problème particulier se pose pour le réseau chinois TikTok.

Le réseau chinois progresse de manière exponentielle surtout chez les jeunes qui sans doute sous-estiment l’enjeu politique pour la Chine d’une désinformation. Au-delà de l’aspect commercial, l’objectif de la Chine est en effet de peser sur la formation de l’opinion publique occidentale. Pour cela, le réseau multiplie les fake-news dans tous les domaines.

L’Autorité publique française de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) , lors d’un point presse a rappelé les réseaux sociaux à leurs obligations . Même s’il est soumis pour la première année « à ce régime », le réseau social chinois a « pris une place incroyable à une vitesse fulgurante », notamment auprès des jeunes, a-t-il souligné. D’où un « décalage très clair » entre son audience (plus de 9 millions de visiteurs uniques par jour en septembre en France, selon Médiamétrie) et sa déclaration à l’Arcom « particulièrement imprécise ».

TikTok omet notamment « plusieurs enjeux centraux (étapes de l’instruction d’un signalement, fonctionnement des outils de modération, pratiques de manipulation identifiées sur le service, etc.) » et ne fournit pas d’éléments chiffrés relatifs à la France. L’Arcom souligne en outre la « mise en œuvre sélective » par le réseau social de sa politique d’étiquetage des « médias contrôlés par un Etat », le compte de China Global Television Network Europe n’étant pas identifié comme tel.

Les jeunes sont particulièrement sensibles aux nouveautés dans les réseaux sociaux et le réseau chinois est actuellement particulièrement à la mode. Or aucun réseau social, aucun site n’est réellement neutre et le concept d’indépendance est évidemment relatif voire complètement falsifié quand il s’agit notamment d’un réseau chinois.

Twitter : vers un réseau poubelle avec Elon Musk

Twitter : vers un réseau poubelle avec Elon Musk


Elon Musk, au nom de sa philosophie libertarienne, entend faire sauter toute barrière déontologique sur le réseau Twitter dont il est désormais propriétaire. Une orientation qui n’est pas simplement philosophique mais aussi commerciale car le milliardaire souhaite la multiplication d’expression les plus extrêmes et les plus provocantes justement pour faire de l’audience.

Elon Musk s’appuie sur une philosophie à la fois confuse et douteuse de type anarcho- libertarien au service de ses seuls intérêts . Pour lui, la liberté a des limites, celle de ses intérêts financiers. Par exemple, chez tesla toute contestation syndicale est prohibée. L’indépendance éditoriale qu’il prône ne l’empêche pas d’orienter le réseau Twitter vers un soutien assez inconditionnel des » Républicains » et même de Trump.

Le patron de Tesla à payer bien trop cher le réseau Tweeter. Pour preuve, il s’est débarrassé immédiatement de la moitié du personnel. Propriétaire et patron de la plateforme depuis un mois, il prône une vision absolue de la liberté d’expression. Ainsi par exemple les informations les plus fantaisistes concernant le Covid pourront reprendre sur Twitter.

Elon Musk a entrepris de bouleverser la modération des contenus sur Twitter, du rétablissement en masse de comptes bannis à la fin de la lutte contre la désinformation sur le Covid. «À partir du 23 novembre 2022, Twitter n’applique plus le règlement concernant les informations trompeuses sur le Covid-19», indique un très rare, et très bref, communiqué de l’entreprise de San Francisco, qui n’a été relayé que mardi 29 novembre par la presse américaine.

À son arrivée à la tête de Twitter, et entre deux provocations, le multimilliardaire a tenté de rassurer les ONG et annonceurs qui craignaient une flambée de contenus toxiques (discours de haine, désinformation, etc). Il a répété que le règlement de la plateforme n’avait pas changé et que les comptes bannis ne seraient pas rétablis avant la création d’un conseil de modération des contenus. Peine perdue: de nombreuses marques ont fui, et Elon Musk, s’estimant trahi, est passé à l’action. Il a lancé des sondages sur son profil, reflétant selon lui la «voix du peuple», et fait réinstaller le profil de l’ex-président Donald Trump (suspendu en janvier 2021 pour appel à la violence).

D’après la newsletter spécialisée Platformer, le bouillonnant dirigeant a aussi demandé aux ingénieurs encore employés de rétablir quelque 62.000 comptes qui avaient été bannis pour des infractions répétées.

Bref, on s’oriente progressivement vers un réseau poubelle encore pire que précédemment qui pourrait bien bénéficier à des réseaux qui entendent, eux, modérer les contenus

Twitter : vers un réseau poubelle avec Elon Musk

Twitter : vers un réseau poubelle avec Elon Musk


Elon Musk,Au nom de sa philosophie Libertarienne, entend faire sauter toute barrière déontologique sur le réseau Twitter qu’il est désormais propriétaire. Une orientation qui n’est pas simplement philosophique mais aussi commerciale car le milliardaire souhaite la multiplication d’expression les plus extrêmes et les plus provocantes justement pour faire de l’audience.

Elon Musk s’appuie sur une philosophie à la fois confuse et douteuse de type anarcho- libertarien au service de ses seuls intérêts . Pour lui, la liberté a des limites, elle de ses intérêts financiers. Par exemple chez tesla toute contestation syndicale est prohibée. L’indépendance éditoriale qu’il prône ne l’empêche pas d’orienter le réseau Twitter vers un soutien assez inconditionnel des » Républicains » et même de Trump.

Le patron de tesla à payer bien trop cher le réseau. Pour preuve, il s’est débarrassé immédiatement de la moitié du personnel. propriétaire et patron de la plateforme depuis un mois, prône une vision absolue de la liberté d’expression. Ainsi par exemple les informations les plus fantaisistes concernant le vide pourront reprendre sur Twitter.

Elon Musk a entrepris de bouleverser la modération des contenus sur Twitter, du rétablissement en masse de comptes bannis à la fin de la lutte contre la désinformation sur le Covid. «À partir du 23 novembre 2022, Twitter n’applique plus le règlement concernant les informations trompeuses sur le Covid-19», indique un très rare, et très bref, communiqué de l’entreprise de San Francisco, qui n’a été relayé que mardi 29 novembre par la presse américaine.

À son arrivée à la tête de Twitter, et entre deux provocations, le multimilliardaire a tenté de rassurer les ONG et annonceurs qui craignaient une flambée de contenus toxiques (discours de haine, désinformation, etc). Il a répété que le règlement de la plateforme n’avait pas changé et que les comptes bannis ne seraient pas rétablis avant la création d’un conseil de modération des contenus. Peine perdue: de nombreuses marques ont fui, et Elon Musk, s’estimant trahi, est passé à l’action. Il a lancé des sondages sur son profil, reflétant selon lui la «voix du peuple», et fait réinstaller le profil de l’ex-président Donald Trump (suspendu en janvier 2021 pour appel à la violence).

D’après la newsletter spécialisée Platformer, le bouillonnant dirigeant a aussi demandé aux ingénieurs encore employés de rétablir quelque 62.000 comptes qui avaient été bannis pour des infractions répétées.

Bref, on s’oriente progressivement vers un réseau poubelle encore pire que précédemment qui pourrait bien bénéficier à des réseaux qui entendent, eux, modérer les contenus

Un nouveau réseau pour remplacer Twitter

Un nouveau réseau pour remplacer Twitter ?

Selon une information de Franceinfo un nouveau réseau pourrait bien progressivement remplacer Twitter complètement pollué par Elon Musk. Mastodon est un réseau social de micro-blogging, libre, open-source et décentralisé. Il a été créé en octobre 2016 par Eugen Rochko, un développeur allemand. Similaire à Twitter et à Tumblr, il permet de partager des messages, des images et des vidéos, dans une limite de 500 caractères. Les messages, à la différence du réseau américain, peuvent être édités et portent le nom de « pouets », « toots » en anglais.

La particularité de Mastodon est son caractère décentralisé. Comme l’explique la rubrique d’aide du réseau social, chaque nouvel utilisateur choisit un serveur lors de son inscription. Ce dernier est géré par une organisation ou une personne indépendante. Les informations de l’utilisateur sont ensuite stockées sur ce serveur. Au total, Mastodon compte un peu plus de 3 300 serveurs dans le monde. Mais attention, s’il existe une multitude de serveurs, chaque utilisateur a bien accès à l’entièreté du réseau social.

Ce choix permet à Mastodon « de répartir sa charge sur différents serveurs », explique le magazine américain Wired*, ce qui veut dire que « Mastodon n’a pas besoin de l’infrastructure, de l’ingénierie, ou d’un soutien financier important qu’un réseau comme Twitter nécessite ». L’organisation permet en outre à Mastodon de se passer de publicité, pour n’être financé que par des donations et des sponsors.

Tweeter: Elon Musk lance le réseau social payant

Tweeter: Elon Musk lance le réseau social payant

Le libertarien Elon Musk n’aura pas attendu longtemps pour illustrer les limites de la conception de sa liberté. En effet, le capitaliste après avoir acheté le réseau Twitter a décidé de le rendre payant avec pour commencer un abonnement de huit euros… pour « certifier » le compte.

En réalité, le milliardaire s’est lancé de façon un peu aventurière dans le rachat de Twitter pour un prix invraisemblable de 44 milliards qui pourrait bien déstabiliser le groupe de l’exhibitionniste chef d’entreprise.

En fait Twitter ne produit pas grand-chose ( comme Facebook et autres). Ce sont les abonnés qui produisent l’information et les lecteurs qui rendent possible la rentrée d’énormes ressources publicitaires. Le problème c’est que ces réseaux sont en perte de vitesse surtout les plus anciens. Du coup, les recettes publicitaires se tassent sérieusement. Sous des motifs démocratiques, le milliardaire impose donc le paiement de l’utilisation de Twitter d’après uen info du Figaro.

«Le système actuel des seigneurs et des paysans, avec ceux qui ont la coche bleue et ceux qui ne l’ont pas, c’est des conneries. Pouvoir au peuple! Blue pour 8 dollars par mois», a déclaré le patron de Tesla et SpaceX, qui a racheté Twitter jeudi. Il envisage donc de fondre ensemble Twitter Blue – un abonnement à 5 dollars par mois pour un mode de lecture plus confortable et des outils d’édition – et la possibilité donnée aux comptes éligibles de faire vérifier et certifier leur identité.

Actuellement, seuls certains profils peuvent demander ce gage d’authenticité en forme de coche bleue, notamment les gouvernements, les entreprises, les médias, les personnalités politiques, culturelles ou sportives, etc. Ils peuvent perdre leur badge s’ils ne respectent pas les règles de la plateforme. Dès vendredi, Elon Musk a demandé à des ingénieurs de travailler sans relâche sur cette refonte du système. Il a précisé que les abonnés auraient d’autres avantages: leurs tweets apparaîtront en priorité, ils pourront poster des vidéos et messages audio plus longs, et seront exposés à «deux fois moins de publicité». Le prix de l’abonnement sera ajusté en fonction des pays. «Cela apportera aussi des revenus à Twitter pour récompenser les créateurs de contenus», a-t-il conclu.
L’homme le plus riche au monde a répété depuis le début du processus de rachat mouvementé qu’il s’était lancé dans cette opération par intérêt pour cette «place publique» essentielle à la démocratie, et pour «aider l’humanité». Il a indiqué que la rentabilité n’était pas sa priorité. Mais Twitter est un réseau dont les revenus proviennent à 90% de la publicité et qui n’a jamais été très rentable comparé à ses voisins californiens Meta (Facebook, Instagram) et Google (YouTube).

Diversifier les revenus semble donc nécessaire. D’après le site spécialisé The Verge, Elon Musk a d’abord envisagé de passer le prix de l’abonnement à 20 dollars par mois. «Vingt dollars par mois pour garder mon badge bleu ? Qu’ils aillent se faire voir, ils devraient plutôt me payer. Si c’est mis en place, je me casse», a tweeté lundi l’auteur à succès Stephen King. Elon Musk lui avait répondu en suggérant huit dollars mensuels – sans réponse apparente de l’écrivain. L’idée même de devoir payer pour faire certifier son compte a suscité de nombreuses critiques. «Faire appel aux utilisateurs de Twitter pour gagner plus d’argent est peut-être la bonne stratégie, mais ce n’est pas la vérification qu’il faut rendre payante», a commenté Jasmine Enberg, analyste de Insider Intelligence. «La certification est censée assurer l’authenticité des comptes et des conversations sur la plateforme, ce n’est pas un outil premium pour améliorer l’expérience des utilisateurs qui y ont accès», a-t-elle ajouté.

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