Archive pour le Tag '« République en marche »'

Elections départementales et régionales: encore une énorme claque à prévoir pour la « république en marche »

Elections départementales et  régionales: encore une énorme claque à prévoir pour la « république en marche »

 

 

La claque électorale monumentale aux élection départementales et régionales constitue le scénario le plus probable. En cause l’absence totale de présence d’un parti qui est en réalité n’a jamais existé et n’est pas implanté localement. Même les ténors  de la république en marche refusent de prendre le risque d’une défaite. Les ministres comme les autres principaux responsables trouvent des prétextes variés pour ne pas prendre part à la débâcle comme tête de liste. D’une part ils perdraient leur portefeuille ministériel et autre attribution, d’autre part ils fusilleraient –la carrière politique.

 

Du coup on a sous-traité les risques de la défaite à des seconds couteaux complètement inconnus en général localement.  Par exemple, On ne devrait pas apercevoir l’ombre d’un ministre de plein exercice lancé contre un présidentiable de droite. Jean-Michel Blanquer a invoqué la crise sanitaire pour ne pas affronter Valérie Pécresse. Nouvelle égérie des macronistes, Gabriel Attal, n’a pas donné suite pour les mêmes raisons. Refus identiques d’Olivier Véran et d’Olivier Dussopt face à Laurent Wauquiez. Barbara Pompili n’a pas cédé aux sollicitations pour s’inviter dans le match Xavier Bertrand-RN.

 

Mais dans d’autres régions sans leaders nationaux, la plupart des représentants de la république en marche souffrent d’une insuffisance de popularité voir son même pratiquement inconnu. Dans ces conditions président de la République entrevoit aussi l’hypothèse d’une nouvelle raclée électorale, dans le prolongement de celle enregistrée aux élections municipales de mars et juin 2020. LREM n’avait réussi à s’imposer dans aucune grande ville. Selon les chiffres récemment publiés par le ministère de l’Intérieur, le parti avait même enregistré un score au niveau national. Les chiffres ont été tellement décevants que le ministère de l’intérieur a mis du temps à les publier et ce n’est que très récemment et sur insistance de l’opposition que des statistiques un peu précises ont émergée du ministère de l’intérieur

Personnel soignant et victimes : Après les médailles, un mémorial ( la république en marche ) !!

Personnel soignant et victimes : Après les médailles, un mémorial ( la république en marche ) !!

  • On peut légitimement se demander si une partie de l’entourage de Macron n’est pas devenue complètement folle en imaginant des récompenser le personnel soignant alliait une vieille médaille oubliée. Maintenant, on va plus loin , on pense  même à l’édification d’un mémorial ! Il est clair que l’équipe de Macron est davantage préoccupée de communication que de politique sanitaire. Pourquoi pas aussi demain un mémorial pour les 2 millions de chômeurs supplémentaires, une médaille aussi ce qui auront été victimes d’un licenciement. Tout cela révèle évidemment que le pouvoir à l’Élysée ne sait plus quoi faire pour remédier à la chute de popularité irréversible du président. « Il n’y a pas de réflexion à ce stade sur ce point », aurait toutefois nié l’Élysée, interrogé par le quotidien local. En coulisses toutefois, plusieurs conseillers du Président étudieraient ce projet. « C’est séduisant sur le papier, mais le président n’a pas d’avis pour le moment. Il nous demande juste d’y réfléchir », confie ainsi un proche d’Emmanuel Macron .  L’idée a elle aussi déjà suscité des critiques sur les réseaux sociaux. Sophie de Menthon, présidente du mouvement patronal ETHIC, a ainsi fustigé cette idée avec ironie dans un message sur Twitter très partagé : « et pourquoi pas pour les victimes de la gastro ?». Dans le même ordre d’idée, l’annonce en Conseil des ministres, mercredi dernier, d’une médaille «de l’engagement» et d’un hommage le 14 juillet a plus agacé que convaincu dans le milieu des soignants.

Municipale Paris : la seule issue de secours pour la république en marche c’est Villani

Municipale Paris : la seule issue de secours pour la république en marche  c’est Villani

 

Il est clair que les carottes sont cuites pour la république en marche à Paris. Pire, cette très lourde défaite qui se profile aura des conséquences sur le parti, le gouvernement et même sur Macron. Cela va confirmer que le parti en marche n’a aucune assise locale, qu’il est par ailleurs de plus en plus minoritaire dans le pays. Pour sauver les meubles, la porte de secours politique aurait consisté pour la république en marche à se rabibocher avec Villani. En effet l’addition des intentions de vote aurait placé le parti du président en tête des intentions de vote. Mais l’entêtement de Macron, et de la république en marche vont s’opposer à cette solution de bon sens. On va faire le choix de prendre un second couteau. D’abord parce que les premiers couteaux sont très rares puisque Macron ne s’est entouré que de personnages assez transparents voire douteux d’autre part parce que les quelques premiers couteaux restant fuient  devant le danger en refusant de porter les couleurs de leur parti à Paris. En cause dans cette affaire, aussi le fonctionnement de la république en marche complètement aux ordres de Macron avec notamment une commission d’investiture composée de quelques courtisans et de vieilles barbes qui se sont trompées en désignant Griveaux comme candidat à la place de Villani. Villani n’a sans doute pas toutes les qualités, loin s’en faut,  mais au moins qui  n’a pas les défauts des professionnels qui vendraient leur âme pour conquérir le pouvoir. Villani, lui, a un métier, une renommée internationale même, il pourra sans dommage abandonner la politique s’il le faut. À la différence de la plupart des autres produits d’une oligarchie sans vraies  convictions et pour lesquels la seule conquête pouvoir constitue l’essentiel du projet politique

 

Municipales Paris : un échec cuisant à prévoir pour la république en marche

Municipales Paris : un échec cuisant à prévoir pour la république en marche

 

Inutile de tourner autour du pot avec l’affaire Griveaux la république en marche  va connaître un échec cuisant aux municipales  de Paris. Griveaux n’a jamais réussi vraiment sa campagne et  n’a d’ailleurs pas percé en plafonnant autour de 14%  des voix. Pour se  singulariser , il  a sorti de son chapeau quelques propositions tordues comme le transfert de la Gare de l’Est en banlieue ou encore l’octroi  de 100 000 € au candidat à l’accession à la propriété à Paris. Il est vrai qu’en face de lui ou plus exactement à côté de lui, il y avait un candidat très déterminé récemment exclu de la république en marche à savoir Villani.

L’addition des voix des deux intéressés aurait permis à la république en marche d’être en tête dans les intentions de vote. Sans doute autant par inconscience que par incompétence politique,  la république en marche va donc sans doute désigner second couteau pour remplacer Griveaux;  un second couteau car les premiers sont en train tout de se défiler pour éviter d’avoir à hériter de la défaite qui était annoncée pour Griveaux. Ainsi la très médiatique Chiappa a refusé, d’autres ministres aussi comme Buzyn. Édouard Philippe lui a choisi de ne pas prendre trop de risques politiques en se réfugiant dans son ancienne circonscription municipale du Havre.

Bref,  la plupart fuient devant le danger démontrant par ailleurs la véritable inconsistance de nombre de responsables de la république en marche. Par entêtement y compris du président de la république, on va choisir un second couteau qui n’a strictement aucune chance alors que  le recentrage sur Villani donnait la possibilité à la république en marche d’emporter les suffrages à Paris. Une curieuse politique, inefficace, incohérente et très surprenante.

 

Villani, écarté de Paris critique le centralisme de la république en marche

 

Le député Cédric Villani, avant même la décision officielle de désigner Benjamin grimaud candidat à Paris a dénonér clairement le centralisme de la république en marche. Villani s’aperçoit enfin que la fameuse commission centrale d’investiture constitue une imposture et que les décisions sont prises par Macron lui-même. Cette commission très restreinte composée de faux-culs notoires a eu du mal à justifier son choix hier sur les chaînes d’information. Il fallait écouter hier les explications alambiquées de la députée ex-LR Marie Guévenoux et du sénateur ex-PS Alain Richard, deux champion du slalom politique et co- présidents de  la fameuse commission Alain Richard ;  l’ancien jospiniste converti depuis à l’ultra libéralisme avait du mal à maîtriser ses nerfs face aux questions  subversives des journalistes concernant le choix de Griveaux  par rapport à Villani. Ce centralisme que dénonce Villani est également critiqué par le délégué général lui-même de la république en marche. Guerrini qui a d’ailleurs publié une tribune dans le Monde à ce sujet. On ne serait pas surpris qu’il soit mis à l’écart des instances dirigeantes d’ici quelques semaines ou quelques mois pour ce crime de lèse majesté. Il est clair que le choix de Griveaux  s’appuie surtout sur la fidélité de ce dernier par rapport à Macron qui ne veut surtout pas d’énergumène susceptible de manifester la moindre indépendance, la moindre créativité. On a donc choisi un technocrate creux et écartéun scientifique créatif. Du coup, Villani se lâche “Ce qui était annoncé de longue date est désormais acquis : il est clair que je n’obtiendrai pas l’investiture de l’appareil de LREM”, écrit Cédric Villani sur Twitter, sans se ranger derrière l’un ou l’autre de ses concurrents.“J’aurai prochainement l’occasion de m’exprimer sur les perspectives qu’il convient à présent d’ouvrir”, ajoute-t-il. Mais la soirée la direction de la république en marche a fait savoir immédiatement que Villani serait exclu s’il ne se ralliait pas à la candidature de Griveaux. Avis aux futurs dissidents !

Le député Joachim Son-Forget quitte La République en Marche

Le député Joachim Son-Forget quitte La République en Marche

Le député de La République en Marche Joachim Son-Forget  a annoncé samedi son départ du mouvement.  .Agé de 35 ans, l’élu de la circonscription des Français de l’étranger de Suisse et du Liechtenstein explique sur Twitter, ainsi que sur le site de Valeurs actuelles, qu’il a reçu une lettre de suspension de LaREM.

« Je ne suis pas du tout allé trop loin… J’insiste et j’enfonce même le clou. [...] Je n’ai pas de chef et je n’en aurai jamais », assumait-il encore ce jeudi 27 décembre sur RMC. « Je n’ai pas d’ordre à recevoir, d’aucun tribunal moral ou inquisiteur, ou de quelques collègues qui aujourd’hui me honnissent et demain viendront, mielleux, me demander quelque chose dont ils auront besoin », répondait-il la veille à ses détracteurs dans Le Parisien., le député des Français résidant en Suisse et au Liechtenstein n’épargne ni son parti ni le monde politique. « Certains de mes collègues [sont] aujourd’hui plus prompts à se draper dans leur morale et leur indignation fictive pour me nuire, qu’à défendre le président quand cela tangue », se désole-t-il dans un très long entretien publié par le site Causeur.

Son président de groupe, Gilles Le Gendre, en prend également pour son grade, accusé de participer à « une escalade et une polarisation de façades d’indignation vertueuse [...] qui résulte le plus souvent en une immoralité et un cynisme des protagonistes, en lieu et place de la vertu qu’ils prétendent défendre ». “J’ai été suspendu, ce n’était pas une lettre d’avertissement. Du coup, après des échanges téléphoniques non fructueux (avec le délégué général du parti Stanislas Guérini-NDLR), j’ai pris ma décision après l’avoir annoncée au président. Pas de drame mais de la constance”, écrit-il. Il a déclaré à Valeurs actuelles démissionner du groupe et du parti. Il siégera désormais à l’Assemblée parmi les députés non-inscrits. Il affirme avoir envoyé vendredi un sms à Emmanuel Macron pour regretter notamment que LaRem soit devenu une enceinte du “copinage” et de l’”entre-soi”.

Législatives partielles: le manque d’implantation locale de La République en marche

Législatives partielles: le manque d’implantation locale La République en marche

 

Suite à l’échec  enregistré par la république en marche lors des élections législatives partielles de dimanche dernier, certains observateurs ont souligné que l’un des facteurs explicatifs pouvait provenir d’un manque d’implantation locale. Il faudrait dire même d’une absence totale d’implantation locale. En effet le parti en marche reste une organisation uniquement centralisée sans aucune structure locale, départementale ou régionale. Le seul local est un référent lui-même désigné au plan national par des responsables autos proclamées. À la base, il n’y a pratiquement pas de relais dans la république en marche, pratiquement pas de débat, surtout pas de délibération. Bref c’est un parti hors-sol au plus composé essentiellement d’individus de catégorie sociale supérieure sans réel passé collectif et sans expérience politique. Bref un parti hors-sol qui tient essentiellement à l’aura de Macon. Deux candidats de La République en marche ont en effet été défaits dimanche aux élections législatives partielles. Candidate à sa réélection dans la première circonscription du Val-d’Oise, Isabelle Muller-Quoy (48,55%) a été battue par le candidat des Républicains, Antoine Savignat (51,45 %). Dans la 1re circonscription de Belfort, le candidat sortant LR Ian Boucart l’a emporté avec 58,93 % des voix au second tour face au candidat MoDem-LREM Christophe Grudler (41,07 %). Dimanche soir, les boucles Telegram des députés de La République en marche ont vu défiler plusieurs dizaines de messages. Tous ont commenté les mauvais résultats des deux élections législatives partielles qui se jouaient ce jour-là. Dans le Territoire de Belfort, la défaite n’est pas une surprise. Dans le Val-d’Oise en revanche, c’est une vraie déception. Mais pas de là à susciter une inquiétude au sommet du pouvoir. Il est clair pourtant que dans le Val-d’Oise, si une partie des électeurs ne s’est pas déplacée, ignorant même qu’il y avait une élection ce jour-là, d’autres ont pu manifester leur mauvaise humeur face à la hausse de la CSG ou du diesel. « Ce sont les plus en colère qui ont été aux urnes ».

 

 

République en marche : un club d’élus ?

République en marche : un club d’élus ?

 

 

De toute évidence on semble confondre chez la république en marche un parti politique et un club d’élus après la rencontre entre le premier ministre et les députés en marche. Une rencontre qui visait à mobiliser le parti présidentiel sur les grandes réformes. “C‘est une rentrée chargée pour enclencher la transformation du pays. Il faut faire le point sur les réformes à venir, le budget, la baisse de la fiscalité, la lutte contre le chômage”, explique-t-on dans l‘entourage d‘Edouard Philippe, qui s’était adressé à deux reprises aux élus LREM avant les vacances. Il faut noter que le gouvernement s’adresse uniquement aux élus nationaux car la république en marche n’est pas un véritable parti politique mais une sorte de club de fans. Les structures de base n’existent pas et les adhérents choisis au hasard ne représenteront en tout état de cause que 25 % des voix dans l’organe de direction. Après avoir été très impliqué dans la campagne les militants et adhérents de la république en marche se voient transformer en supporters passifs. Certes ils reçoivent nombre d’informations mais qui se réduisent pour l’essentiel à des communiqués de l’action du gouvernement. On ne demande rien aux militants de base ni de discuter, ni de se réunir encore moins de faire des propositions à la direction du parti. Bref la république en marche n’a aucune base. Une base qui pourrait cependant être dispensable pour recueillir le sentiment des Français et relayer la politique gouvernementale. Du coup, la république en marche court un énorme risque,  celui d’être un parti disposant d’une tête mais sans jambes. En outre la république en marche est complètement absente dans les débats de politique locale et régionale. Pas étonnant si la république en marche éprouve des difficultés à être présent de manière significative au Sénat par définition chambre des élus locaux. Comme la république en marche ne s’intéresse pas à la problématique locale il y a fort à parier qu’elle aura du mal à progresser au Sénat. Les experts lui promettent à peine de leur de 50 sénateurs.  Le parti présidentiel espère cependant se renforcer au Sénat, où la jeune formation a constitué un groupe, sachant que la chambre haute a de fortes chances de rester à droite à l‘issue de ce scrutin indirect renouvelant 170 sièges sur 348. “Notre objectif est de devenir le deuxième groupe le plus important du Sénat” (devant les socialistes-NDLR), explique un député. “Nous voulons y poursuivre la dynamique engagée lors de la présidentielle et des législatives”. Jusqu‘ici installé dans l‘ancien siège de campagne du candidat devenu président, dans le sud-ouest de Paris, LREM va déménager ce mois-ci dans de nouveaux locaux mais pour quoi faire si c’est pour réunir uniquement des élus nationaux ?

« République en marche » : pas vraiment un parti

 

« République en marche » : pas vraiment un parti

Suite à une décision de justice, le conseil d’administration de La République En Marche a décidé de prolonger le scrutin sur les statuts du 2 août à 0h00 au 16 août à minuit auprès des adhérents ayant adhéré avant le 9 avril 2017 (soit trois mois avant la convocation et la notification des statuts). La justice française avait été sollicitée  par des  des adhérents du mouvement du président Emmanuel Macron La République en marche (LREM). Sur le fond par contre rien ne change dans les statuts d’un parti qui n’en est pas véritablement ; LREM est plutôt une sorte de groupe de soutien dont la direction est hypercentalisée. Les contestataires reproche notamment le  que les adhérents (tirés au sort) ne représente que 25 % du principal organisme directeur de l’organisation. Les 75 % restants sont attribués aux grands élus politiques. Le biais c’est que précisément ces 75 % d’élus politiques n’ont pas été désignées par la base mais par le sommet. Par exemple les candidatures à la députation ont toutes été examinées et décidées par un petit comité central. Du coup les contestataires se demandent si le mouvement la république en marche va vraiment se transformer en parti dont les responsables seront élus par les adhérents ou s’il ne restera pas une sorte de club de supporters n’ayant pas voix au chapitre. Notons que les référents départementaux, sorte de secrétaires départementaux sont  aussi désignés par le sommet. Les contestataires considèrent la future organisation comme une sorte de centralisme démocratique dirigé en fait par des élus politiques non choisis par la base.   Du côté des plaignants « on se sent oublié », a expliqué Rémi Bouton, animateur d’un comité parisien. « On a la sensation que maintenant que le mouvement est en place, ils voudraient fonctionner comme une entreprise, considérer que les adhérents sont des supporteurs mais ne doivent pas participer aux grandes décisions », a-t-il déploré sur BFMTV. Fort de ses 375.000 adhérents, LREM est appelée à se structurer officiellement à l’automne, notamment grâce aux statuts votés cette semaine selon lesquels, notamment, 20% des membres du conseil national seraient tirés au sort à intervalles réguliers. LREM  n‘a pas de vraie base démocratique organisée. Seulement une multitude de comités locaux sans vrai pouvoir chaperonné par le référent départemental désigné au plan national. Pas vraiment des adhérents, plutôt des supporters. Enfin l’engagement de ces adhérents est assez virtuel puisqu’ils ne payent pas de cotisation. Chaque adhérent peut adresser des réflexions ou des contributions au débat à l’appareil central mais les suites ne sont pas connues.  Bref il faudra sans doute faire un réel effort d’organisation et de démocratie pour que LREM devienne un vrai parti.




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