Archive pour le Tag 'repousser'

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

Trump veut repousser la sentence de son procès après la présidentielle !

 

Donald Trump reconnu coupable de 34 délits de falsifications de documents comptables, destinées à cacher, juste avant sa victoire à la présidentielle de 2016, un paiement  une actrice de films X Veut repousser la sentence de son brossé après la présidentielle !

 

Donald Trump, premier ex-président des États-Unis à avoir été condamné au pénal, fin mai à New York, voudrait que le prononcé de sa peine soit repoussé de mi-septembre à l’après l’élection présidentielle du 5 novembre, selon une requête de son avocat. Le candidat républicain, qui rêve de retourner à la Maison Blanche, ne cesse depuis des mois d’user d’arguties pour retarder ses procès et surtout faire annuler ce verdict.

 

 

Une loi en Grande-Bretagne pour repousser les réfugiés en France !

Une loi en Grande-Bretagne pour repousser  les réfugiés en France !

Le Parlement britannique est sur le point d’adopter le Nationality and Borders Bill, un projet de loi visant à durcir les conditions d’asile outre-Manche qui prévoit notamment la possibilité de repousser les embarcations de fortune vers les eaux françaises.

 

Analyse.(Le Monde) 

 

« Vous êtes très enceinte, vous fuyez avec vos seuls vêtements sur le dos, vous êtes une criminelle. » « Vous êtes une grand-mère, vous avez du mal à marcher et vous essayez de rejoindre votre famille, vous êtes une criminelle. » Face caméra, Meryl Streep, Sylvester Stallone ou encore Emma Thompson égrènent ces phrases-chocs dans une vidéo postée en mars sur les réseaux sociaux par le Refugee Council, une des principales ONG britanniques d’aide aux migrants.

Ces célébrités espèrent faire reculer Downing Street, alors qu’un projet de loi emblématique du gouvernement Johnson, le Nationality and Borders Bill est sur le point d’être adopté au Parlement britannique. Mais l’espoir est mince : certes la Chambre des lords, le 4 avril, a tenté à nouveau d’adoucir le texte, mais, aux Communes, le Parti conservateur au pouvoir dispose d’une majorité suffisante pour l’imposer. Le texte devrait être adopté d’ici le début de mai.

Sous couvert de réformer le droit d’asile, le texte vise en réalité à le limiter très fortement : il crée deux classes de demandeurs d’asile, ceux qui auraient obtenu un visa avant de venir au Royaume-Uni, les « bons » en quelque sorte, et les autres, arrivés sans visas, « illégalement », sur le sol britannique (en traversant la Manche dans des bateaux pneumatiques par exemple).

Ces derniers sont susceptibles d’être expulsés vers des centres situés à l’étranger, en attendant que leur demande soit traitée. Ils risquent même jusqu’à cinq ans de prison. La loi introduit aussi les « push-backs » : les garde-côtes britanniques sont autorisés à repousser les bateaux de migrants dans les eaux françaises. La ministre de l’intérieur, Priti Patel, une brexiteuse de la première heure, défend avec conviction cette loi très controversée, en dépit de ses origines. Ses parents, Indiens d’Ouganda, ont fui la répression du dictateur Idi Amin au début des années 1970. « Nous voulons accroître l’équité dans notre système d’asile, pour mieux protéger ceux qui en ont vraiment besoin. La loi va casser le modèle économique des passeurs », assure-t-elle.

Pourtant, même au Parti conservateur, des députés reconnaissent en privé que ce texte choquant n’atteindra pas son but. Emprisonner des migrants arrivés « illégalement », alors que, au premier trimestre 2022, environ 4 500 personnes auraient réussi à traverser la Manche sur des embarcations de fortune ? Les prisons britanniques seraient vite engorgées. Expulser les demandeurs d’asile ? Jusqu’à présent, aucun pays du Sud n’a accepté d’héberger de centres contre rémunération. Même le Daily Telegraph trouve l’idée stupide : « ce serait plus coûteux que d’héberger les demandeurs d’asile au Ritz », souligne le quotidien de droite mi-février.

Brexit: un imbroglio qui pourrait repousser aux calendes grecques l’échéance

Brexit: un imbroglio qui pourrait repousser aux calendes grecques l’échéance

 

 

Jamais sans doute le Royaume uni n’a connu un tel imbroglio politique. Une situation qui n’est pas sans rappeler l’instabilité italienne. Johnson comme Salvini ont d’ailleurs échoué dans leur tentative de coup de force. Johnson a perdu la bataille parlementaire et ne peut plus envisager une sortie de l’union européenne sans accord. Il va donc probablement demander (comme Salvini) l’organisation de nouvelles élections. Cependant ces nouvelles élections ne pourront pas se dérouler avant le 15 octobre. Ensuite il faudra négocier à nouveau les conditions d’une réussite. Ce qui nécessairement demandera du temps. Du coup,  le report de la date du Brexit  paraît presque incontournable. L’étape prochaine, ce mercredi, sera la présentation d’un texte de loi contraignant Boris Johnson à demander un nouveau report du Brexit au 31 janvier 2020 au cas où aucun compromis n’était trouvé avec Bruxelles d’ici le 19 octobre. Boris Johnson avait prévenu: si ce texte passait, il le prendrait comme un vote de défiance à son égard. Et il n’aurait d’autre alternative que de provoquer des législatives anticipées, pour le 14 octobre idéalement. Ce qu’il va faire, a-t-il annoncé mardi soir.

Un report qui risque de dépasser  les 5 mois  évoqués ;  en réalité, d’un minimum d’un an voire au-delà compte tenu de la complexité économique mais aussi politique de ce dossier. Cette affaire traîne déjà des années, elle pourrait se prolonger jusqu’en 2021 voir au-delà et finalement peut-être se terminer tout simplement par le maintien de Royaume-Uni dans l’union européenne avec un habillage d’accord qui ne changerait rien à la situation actuelle. En outre cette nouvelle négociation va se situer dans une conjoncture économique particulièrement critique au plan mondial comme européen. En clair de nombreux pays, on pourrait tutoyer la récession. Le Brexit  s’il était mis en œuvre pourrait alors détériorer encore un peu plus la situation.

Sans doute compte tenu de ces risques, La motion déposée mardi au Parlement britannique par les opposants à une sortie sans accord de l’Union européenne a été adoptée, malgré les menaces d’élections anticipées brandies par le gouvernement. Elle leur permettra de contrôler mercredi l’ordre du jour parlementaire et de tenter de faire adopter une proposition de loi pour contraindre le Premier ministre Boris Johnson à demander un report de la sortie de l’UE jusqu’au 31 janvier 2020, à moins qu’un accord soit approuvé d’ici là par le Parlement ou qu’il accepte le principe d’une sortie sans accord.

Brexit: on cherche un habillage pour repousser la date

 Brexit: on cherche un habillage pour repousser la date

Officiellement, il n’est pas question de renégocier l’accord pour l’union européenne. Officiellement, il n’est pas question de l’accepter pour la Grande-Bretagne. Du coup, au lieu de parler de l’accord, on va se rabattre sur la déclaration politique qui accompagne cet accord. L’hypothèse la plus vraisemblable, c’est qu’on risque de repousser les échéances dans le temps. En effet la rupture entre l’union économique et la Grande-Bretagne est fixée au 29 mars. Une date beaucoup trop proche pour envisager une nouvelle négociation. Pour résumer, la déclaration politique pourrait donner du temps au temps. Ainsi le principe du Brexit  défendu par la Grande-Bretagne ne serait pas remis en cause de même que la volonté de l’union européenne de parvenir à une sortie organisée. En fait, l’échéance pourrait être reporté d’un an voir davantage. Cela va cela donnerait du temps aux Britanniques de se donner une majorité politique un peu cohérente. Cela éviterait aussi à l’union économique d’avoir à affronter le choc économique du Brexit à un moment où la conjoncture économique se tasse sérieusement. Michel Barnier réaffirmera  donc lundi à son interlocuteur Stephen Barclay, le ministre britannique chargé du Brexit qu’il rencontrera à Bruxelles, que l’UE ne renégociera pas l’accord de divorce mais qu’elle est prête à retravailler la déclaration politique qui l’accompagne. “J’ai hâte de rencontrer Steve Barclay lundi soir à Bruxelles”, a déclaré sur Twitter le négociateur en chef de l’Union européenne sur le retrait britannique, prévu le 29 mars. “L’UE ne rouvrira pas l’Accord de retrait. Mais je réaffirmerai que nous sommes prêts à retravailler la déclaration politique dans le respect total des principes du Conseil européen”, a-t-il ajouté. Le même message avait été adressé jeudi à la Première ministre Theresa May qui a rencontré à Bruxelles le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker et le président du Conseil européen Donald Tusk.

Retraites : accord pour repousser à 63 ans…pour l’instant

Retraites : accord pour repousser à 63 ans…pour l’instant

Ce n’est pas la première réforme des régimes complémentaires et sans doute pas la dernière en l’état de la démographie et de l’équilibre actifs –retraites. En  faiat on se dirige « tranquillement »  vers les 65 ans. Le Medef a donc décroché vendredi un «accord de principe» avec trois syndicats CFE-CGC, la CFDT et la CFTC pour son projet visant à renflouer les caisses des retraites complémentaires, via un système de bonus-malus qui va inciter les salariés à travailler un an de plus. L’objectif était de trouver un moyen de renflouer les caisses déficitaires de l’Agirc (cadres) et de l’Arrco (tous les salariés du privé). L’Agirc et l’Arrco ont vu leurs déficits cumulés se creuser à plus de 3 milliards d’euros en 2014. Si rien n’est fait, leurs réserves, permettant de compenser ces pertes, seront épuisées d’ici à 2018 pour l’Agirc, 2027 pour l’Arrco. Le texte prévoit un système de bonus-malus pour les départs à la retraite ne dépendant plus uniquement de l’âge mais aussi de la durée de cotisation. Objectif : inciter les salariés, à partir de 2019, à travailler une année de plus, une fois qu’ils ont rempli les conditions nécessaires pour partir avec une retraite à taux plein (âge légal de 62 ans et durée de cotisation de 41,5 ans). Ainsi, un salarié remplissant ces deux conditions qui déciderait de prendre sa retraite à 62 ans verrait sa retraite complémentaire amputée de 10% la première année, 10% la seconde et 10% la troisième, avant de récupérer une retraite à taux plein à 65 ans. La précédente mouture proposait les taux 15, 12 et 10%. En revanche, s’il travaille jusqu’à 63 ans (soit 4 trimestres de plus) ce malus serait annulé. Autre cas de figure, une personne disposant de ses annuités à 64 ans devrait attendre 65 ans, pour partir à la retraite sans subir de décote. Des bonifications de 10, 20 et 30% seraient au contraire appliquées pendant un an pour les salariés restant en activité deux, trois ou quatre ans de plus. Les retraités modestes exonérés de CSG ne seraient pas concernés. Le patronat a accepté aussi l’idée d’une hausse d’un des deux taux de cotisations.

 




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