Archive pour le Tag 'repoussée'

Voiture diesel : interdiction repoussée ……..en Italie

Voiture diesel : interdiction repoussée ……..en Italie

Pour éviter une crise sociale et économique , l ‘Italie annule son interdiction des diesels dans les tableaux (équivalent ZFE)

La région du Piémont devait interdire les jours de semaine, à partir du 15 septembre, les véhicules aux normes pollution Euro 5 dans l’agglomération de Turin et plus de 70 autres villes du nord du pays. Mais du faîte de la colère des automobilistes, le ministre italien de l’Environnement et de l’Énergie, Gilberto Pichetto Fratin, a révélé jeudi que cette date serait repoussée au 1er octobre 2024 et que le nombre de zones concernées serait réduit.

En mai, son gouvernement s’est engagé contre la future norme Euro 7, avec sept autres États membres de l’UE, dont la France et la Pologne. Cette norme Euro 7, applicable à partir de 2025, réduirait de 35% les émissions d’oxydes d’azote (NOx) des voitures particulières et des utilitaires légers par rapport à la norme précédente Euro 6, selon la Commission européenne. Les constructeurs, déjà secoués par la révolution électrique, veulent une norme a minima pour ces motorisations thermiques amenées à disparaître en 2035.
latribune.fr

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Actuellement La limite d’âge entre 65 et 67 va être repoussée entre 70 et 70. En cause l’adaptation des effectifs aux enjeux de guerre notamment de haute intensité. Cela confirme à l’évidence que le dispositif militaire français est complètement inadapté à des conflits d’importance. Par exemple face à un conflit comme en Ukraine la France ne pourrait résister de 8à 15 jours d’après les experts.

La France dispose en effet d’une armée très complète mais qui est une sorte de miniature dans tous les domaines. Il y a des dizaines d’années que le budget de l’armée est réduit en euros constants. Le relais aurait pu être pris par une armée européenne de plus en plus introuvable non seulement pour des questions de moyens mais aussi de stratégie militaire et de politique industrielle.

on peut vérifier qu’en réalité à chaque fois c’est l’ensemble de la population mobilisable qui doit être sollicitée pour la défense. La France a voulu concentrer sa politique militaire sur les seuls professionnels considérant que les nouvelles technologies pouvaient suppléer les effectifs insuffisants. Le problème c’est qu’il convient de développer les deux aspects à la fois les nouveaux outils technologiques et les effectifs. En Afrique, faute de moyens la France a dû reculer notamment au Mali et au Burkina Faso. Là aussi les moyens en effectifs étaient notoirement sous dimensionnés. Or la France n’a pu développer qu’un contingent d’environ 5000 militaires sur un territoire presque aussi grand que l’Europe.

Par démagogie, on a supprimé le service militaire. En cas de conflit de haute intensité, c’est l’ensemble de la population qui sera sollicitée. Le seul problème, c’est qu’on risque de mobiliser des troupes qui ne sont pas formées comme ce qu’on voit par exemple en Russie avec des appelés qui servent de chair à canon.

Le ministre des Armées indique vouloir « rester dans le club des nations capables de se protéger » face à une « succession de menaces ».

« Il y a plusieurs objectifs avec cette enveloppe budgétaire inédite : continuer à réparer ce qui a été abîmé, un certain nombre de baisses de budget ont affecté notre modèle d’armée (…) et on a une succession de menaces qui s’additionnent entre elles », a-t-il souligné, en mentionnant le terrorisme, la guerre en Ukraine, la militarisation de l’espace ou encore le cyber. Il s’agit de « rester dans le club des nations capables de se protéger », a-t-il insisté.

Entre 2024 et 2030, l’enveloppe consacrée aux armées s’élèvera à 413 milliards d’euros, dont 13 milliards de recettes extra-budgétaires. Le budget défense sera augmenté chaque année de 3 à 4 milliards d’euros.

Une augmentation certes mais qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux. La faiblesse pouvoir politique empêche de reposer la question fondamentale du service militaire obligatoire. Macron lui-même l’a envisagée en 2017 est abandonné en cours de route.

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Défense-réservistes de l’armée: Limite d’âge repoussée à 70 ou 72 ans

Actuellement La limite d’âge entre 65 et 67 va être repoussée entre 70 et 70. En cause l’adaptation des effectifs aux enjeux de guerre notamment de haute intensité. Cela confirme à l’évidence que le dispositif militaire français est complètement inadapté à des conflits d’importance. Par exemple face à un conflit comme en Ukraine la France ne pourrait résister de 8à 15 jours d’après les experts.

La France dispose en effet d’une armée très complète mais qui est une sorte de miniature dans tous les domaines. Il y a des dizaines d’années que le budget de l’armée est réduit en euros constants. Le relais aurait pu être pris par une armée européenne de plus en plus introuvable non seulement pour des questions de moyens mais aussi de stratégie militaire et de politique industrielle.

on peut vérifier qu’en réalité à chaque fois c’est l’ensemble de la population mobilisable qui doit être sollicitée pour la défense. La France a voulu concentrer sa politique militaire sur les seuls professionnels considérant que les nouvelles technologies pouvaient suppléer les effectifs insuffisants. Le problème c’est qu’il convient de développer les deux aspects à la fois les nouveaux outils technologiques et les effectifs. En Afrique, faute de moyens la France a dû reculer notamment au Mali et au Burkina Faso. Là aussi les moyens en effectifs étaient notoirement sous dimensionnés. Or la France n’a pu développer qu’un contingent d’environ 5000 militaires sur un territoire presque aussi grand que l’Europe.

Par démagogie, on a supprimé le service militaire. En cas de conflit de haute intensité, c’est l’ensemble de la population qui sera sollicitée. Le seul problème, c’est qu’on risque de mobiliser des troupes qui ne sont pas formées comme ce qu’on voit par exemple en Russie avec des appelés qui servent de chair à canon.

Le ministre des Armées indique vouloir « rester dans le club des nations capables de se protéger » face à une « succession de menaces ».

« Il y a plusieurs objectifs avec cette enveloppe budgétaire inédite : continuer à réparer ce qui a été abîmé, un certain nombre de baisses de budget ont affecté notre modèle d’armée (…) et on a une succession de menaces qui s’additionnent entre elles », a-t-il souligné, en mentionnant le terrorisme, la guerre en Ukraine, la militarisation de l’espace ou encore le cyber. Il s’agit de « rester dans le club des nations capables de se protéger », a-t-il insisté.

Entre 2024 et 2030, l’enveloppe consacrée aux armées s’élèvera à 413 milliards d’euros, dont 13 milliards de recettes extra-budgétaires. Le budget défense sera augmenté chaque année de 3 à 4 milliards d’euros.

Une augmentation certes mais qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux. La faiblesse pouvoir politique empêche de reposer la question fondamentale du service militaire obligatoire. Macron lui-même l’a envisagée en 2017 est abandonné en cours de route.

Armée: Limite d’âge des réservistes repoussée à 70 ou 72 ans

Armée: Limite d’âge des réservistes repoussée à 70 ou 72 ans

Actuellement La limite d’âge entre 65 et 67 va être repoussée entre 70 et 70. En cause l’adaptation des effectifs aux enjeux de guerre notamment de haute intensité. Cela confirme à l’évidence que le dispositif militaire français est complètement inadapté à des conflits d’importance. Par exemple face à un conflit comme en Ukraine la France ne pourrait résister de 8à 15 jours d’après les experts.

La France dispose en effet d’une armée très complète mais qui est une sorte de miniature dans tous les domaines. Il y a des dizaines d’années que le budget de l’armée est réduit en euros constants. Le relais aurait pu être pris par une armée européenne de plus en plus introuvable non seulement pour des questions de moyens mais aussi de stratégie militaire et de politique industrielle.

on peut vérifier qu’en réalité à chaque fois c’est l’ensemble de la population mobilisable qui doit être sollicitée pour la défense. La France a voulu concentrer sa politique militaire sur les seuls professionnels considérant que les nouvelles technologies pouvaient suppléer les effectifs insuffisants. Le problème c’est qu’il convient de développer les deux aspects à la fois les nouveaux outils technologiques et les effectifs. En Afrique, faute de moyens la France a dû reculer notamment au Mali et au Burkina Faso. Là aussi les moyens en effectifs étaient notoirement sous dimensionnés. Or la France n’a pu développer qu’un contingent d’environ 5000 militaires sur un territoire presque aussi grand que l’Europe.

Par démagogie, on a supprimé le service militaire. En cas de conflit de haute intensité, c’est l’ensemble de la population qui sera sollicitée. Le seul problème, c’est qu’on risque de mobiliser des troupes qui ne sont pas formées comme ce qu’on voit par exemple en Russie avec des appelés qui servent de chair à canon.

Le ministre des Armées indique vouloir « rester dans le club des nations capables de se protéger » face à une « succession de menaces ».

« Il y a plusieurs objectifs avec cette enveloppe budgétaire inédite : continuer à réparer ce qui a été abîmé, un certain nombre de baisses de budget ont affecté notre modèle d’armée (…) et on a une succession de menaces qui s’additionnent entre elles », a-t-il souligné, en mentionnant le terrorisme, la guerre en Ukraine, la militarisation de l’espace ou encore le cyber. Il s’agit de « rester dans le club des nations capables de se protéger », a-t-il insisté.

Entre 2024 et 2030, l’enveloppe consacrée aux armées s’élèvera à 413 milliards d’euros, dont 13 milliards de recettes extra-budgétaires. Le budget défense sera augmenté chaque année de 3 à 4 milliards d’euros.

Une augmentation certes mais qui n’est pas du tout à la hauteur des enjeux. La faiblesse pouvoir politique empêche de reposer la question fondamentale du service militaire obligatoire. Macron lui-même l’a envisagée en 2017 est abandonné en cours de route.

Récession: Repoussée provisoirement ?

Récession: Repoussée provisoirement ?

 

Peut-être pour rassurer la Banque de France écarte l’hypothèse d’une récession second trimestre en prévoyant une petite croissance de 0,25 %.

En cause évidemment l’explosion de l’inflation qui plombe les coûts et tue la demande .
L’inflation frappe en premier lieu l’industrie et  ait boule de neige dans la distribution et la consommation.Concernant la consommation des ménages ont subi une perte d’achat de leur de 3 % puisque l’inflation a dépassé 5 % et que le revenu des ménages n’a augmenté qu’à peine de 2 %. Conséquence la consommation se tasse avec des effets sur la croissance.

Sans surprise, la hausse de l’indice des prix à la consommation qui a atteint 5,8% au mois de mai selon de récents chiffres de l’Insee, a des répercussions majeures dans l’industrie. D’après les chefs d’entreprise interrogés par la Banque de France, 40% des industriels ont augmenté leur prix de vente en mai. Derrière cette moyenne, il existe des écarts spectaculaires entre les secteurs.

Dans l’industrie chimique ou encore le bois, le papier et l’imprimerie, cette proportion dépasse les 50%. A l’opposé, ce ratio demeure inférieur à 15% dans l’industrie aéronautique et en deça de 30% dans les produits informatiques et électroniques.la demande

La Banque de France prévoit une croissance de 0,25% au second trimestre contre 0,2% auparavant après un repli de l’activité en début d’année (-0,2% au premier trimestre). L’économie française échapperait de peu à la récession au premier semestre mais l’inflation galopante risque de plomber la demande si les prix de l’énergie demeurent élevés.

À noter la dispersion des croissances autour de la moyenne. Le secteur tertiaire devrait largement dépasser le niveau d’activité du dernier trimestre 2021 au mois de mai (+0,4 point). Compte tenu du poids des services dans l’économie tricolore (79%), les services marchands devraient tirer la croissance vers le haut au cours du deuxième trimestre après un début d’année chahuté par le variant Omicron et les conséquences de la guerre en Ukraine.

 

L’autre résultat important de l’enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France est que la trésorerie des entreprises s’effrite. Après avoir atteint un pic en 2021, l’opinion des chefs d’entreprise à l’égard de la situation financière des entreprises se détériore, en particulier dans l’industrie. Il faut dire que les mesures du « quoi qu’il en coûte » destinées à amortir le choc de la pandémie ont permis à un grand nombre d’entreprises de ne pas sombrer.

En dépit du bouclier tarifaire et de la remise de 18 centimes d’euros sur les prix du carburant, l’explosion des prix de l’énergie a fait reculer le pouvoir d’achat des ménages en France d’environ 1,8% au cours du premier trimestre selon de récents calculs de l’OFCE.

Ce serait la plus forte chute du pouvoir d’achat depuis 2013. « Cette contraction va peser sur la dynamique de reprise à travers la faible dynamique de la consommation des ménages en l’absence de réduction du taux d’épargne dans un contexte marqué par de fortes incertitudes géopolitiques », soulignent les chercheurs dans leur dernier point de conjoncture. En attendant les prochaines prévisions macroéconomiques de la Banque de France pour l’année 2022 prévues la semaine prochaine, le gouvernement entame son mandat dans un contexte économique particulièrement assombri.

École – rentrée de janvier: repoussée ?

École – rentrée de janvier: repoussée ?

Le ministre de l’éducation n’envisage pas pour l’instant de repousser la rentrée scolaire. Cependant tout dépendra en fait de la progression du virus qui devient alarmante dans nombre de pays. Aujourd’hui même,  un conseil de défense sera réuni en France sans doute pour prendre des mesures encore plus restrictives à la veille des fêtes. Il y aura vraisemblablement encore d’autres conseils de défense qui en fonction des circonstances pourraient contredire le ministre de l’éducation. Pour Jean-Michel Blanquer, les inconvénients à ne pas retourner à l’école « sont largement supérieurs aux avantages, quand vous fermez tout », dit-il, assurant garder la même ligne. « L’école est fondamentale et nous ne devons pas la sacrifier », insiste-t-il. D’ailleurs, le ministre affirme qu’avoir tenu cette ligne a porté ses fruits. « Nous avons réussi à ramener tous les enfants à l’école en septembre, et à ce que ça se passe bien en septembre, octobre, novembre et décembre », se félicite le ministre.

 

La date de réouverture des écoles repoussée ?

La date de réouverture des écoles repoussée ?

 

 

Rien n’est certain dans ce domaine, certes  le ministre de l’éducation nationale ne cesse d’affirmer que la plupart des écoles ouvriront partout sur le territoire à partir du 11 mai.  Le chef de l’État, lui ,se montre un peu plus ouvert et pourrait ouvrir la porte à des ajustements du calendrier. D’autant plus que c’est la demande de nombre de maires. Notons que le gouvernement a déjà été obligé de reculer sur ce point par rapport à la date du 11 mai qui ne concernera  que seules les écoles maternelles et primaires, tandis que les collèges ne rouvriraient qu’«à compter du 18 mai», contre «début juin» pour les lycées. Le tout sur la base du volontariat.

Il n’empêche, de très nombreux élus s’expriment un peu sur tout le territoire pour protester contre cette décision, qu’ils trouvent soit dangereuse, soit irresponsable. Ce dimanche, l’Association des maires d’Île-de-France s’est fendue d’une lettre ouverte adressée au président de la République, pour lui demander «solennellement de repousser la date de réouverture des écoles s’agissant des départements classés rouges et en particulier de l’Île-de-France à une date ultérieure au 11 mai».

Dans leur missive, publiée dans La Tribune, les 316 édiles franciliens se demandent «pourquoi l’État se désengage de ses responsabilités en la matière, alors même que l’éducation d’une part, et la santé d’autre part, sont des compétences régaliennes». «Notre région capitale devrait avoir une place plus forte dans la concertation nationale menée pour la stratégie de déconfinement», exhortent-ils, réclamant «de ne pas faire reposer sur les maires la responsabilité juridique, politique et morale de la réouverture des écoles».

Si rien ne garantit à ce stade qu’ils obtiendront le «soutien» du chef de l’État, les élus semblent avoir été entendus par la représentation nationale sur au moins une de leurs revendications. Ce dimanche, quelque 138 députés et 19 sénateurs de La République en marche ont en effet publié une tribune dans Le Journal du dimanche pour annoncer qu’ils allaient proposer une meilleure «protection juridique» des maires, inquiets par la réouverture des écoles à partir du 11 mai.

 

Selon une information du Parisien, confirmée au Figaro par l’Élysée, le chef de l’État entend rassurer les auteurs de la lettre en leur rappelant que la règle du «volontariat» vaut pour «les parents» mais aussi pour les «les communes». En clair : les maires qui ne sont pas en capacité de remplir le cahier des charges sanitaire proposé par l’État pourront refuser d’ouvrir les écoles le 11 mai. Le président pourrait en faire l’annonce mardi, en marge d’une visite dans une école de Poissy (Yvelines). En début de soirée, l’Elysée a tenu à rassurer les élus, assurant que ces inquiétudes avaient été « anticipées » et qu’il n’y avait « pas d’inquiétudes particulières », a appris BFMTV.

« On va regarder au cas par cas , avec les préfets, avec les maires… Nous ne voulons brusquer personne », souligne-t-on encore du côté du palais présidentiel.

 

La réforme de l’ENA repoussée aux calendes ?

La  réforme de l’ENA repoussée aux calendes ?

 

Un rapport demandé par le chef de l’État lui-même et qui ne parvient pas à sortir compte tenu des contradictions internes des membres de la mission chargée de réfléchir sur le sujet. Finalement comme au restaurant, on pourrait aboutir à un menu à choix multiples  avec différentes hypothèses laissant ainsi le pouvoir politique décider  le cas échéant. Rien n’est sûr d’ailleurs dans ce domaine car les oppositions notamment entre Matignon et l’Élysée sont importantes parce que la réforme de l’ENA n’est pas forcément le bon sujet.

 

La question de la suppression de l’ENA revient à la surface avec la sortie très attendue  du rapport commandé par Macron a F.  Thiriez ( énarque et responsable du foot français). Macron avait préconisé la suppression de cette école. Comme on connaît les trésors  de la sémantique politique, cela veut  tout dire et rien dire à la fois;  l’éventail, des possibilités allant de la destruction à l’aménagement en passant par un simple coup de  peinture.

 Ce n’est d’ailleurs pas forcément l’ENA qui constitue en tant que telle la grande tare française qui alimente la machine administrative et ce qui l’accompagne à savoir les prélèvements obligatoires démentiels . On peut surtout reprocher à l’ENA d’être une sorte de mafia d’élites qui se réservent  les postes prestigieux du conseil d’Etat, de la Cour des Comptes, des entreprises publiques et  autres administration sans avoir la même la moindre expérience socio-économique et même administrative. Ce corps d’élites constitue une sorte de mafia dans la mesure où les anciens élèves sont présents partout dans la haute administration bien sûr mais aussi dans la politique et dans les entreprises. Leur recrutement est donc utile sinon indispensable pour bénéficier surtout de leur carnet d’adresses.

La véritable réforme n’est pas seulement celle d’une école fut- elle aussi prestigieuse. Ce qui s’  imposerait, c’est une révolution copernicienne du champ régalien. Nombre d’activités dans lesquelles s’inscrit l’État n’ont pas grand-chose à voir avec l’intérêt général , d’autres  pourraient être utilement sous-traitées par voie de délégation de service public par exemple. À l’évidence, on diviserait les coûts au moins par deux tout en augmentant la performance;

 Il est clair que les champs  régaliens doivent être plus réduits géographiquement et en même temps mieux assurés  alors que pour l’instant la grande grosse partie des moyens financiers est au service d’une masse salariale que plus personne ne contrôle compte tenu de la dérive des effectifs centraux et surtout territoriaux. L’État doit bien entendu conserver son rôle de régulateur mais cela ne signifie pas pour autant qu’il  doive assurer aussi la fabrication de boîtes de conserve ou d’automobiles. Cette dispersion nuit aux investissements sur des enjeux autrement plus stratégiques comme par exemple le numérique, l’environnement, les énergies nouvelles comme l’hydrogène ou encore la recherche  en général, médicale en particulier.

 

La réforme de l’État sur des champs plus restreints doit parallèlement s’accompagner d’une véritable décentralisation, ce qui n’a jamais été le cas puisque tout dépend encore pour l’essentiel des supers gendarmes que sont les préfets qui décident de tout en dernier ressort. La décentralisation a surtout créé des milliers et des milliers de postes politiques et administratifs sans réel effet en  matière socio-économique voir culturelle. Elle a surtout permis d’alimenter une baronnie qui reproduit à son niveau les phénomènes du pouvoir central.  Force cependant est de constater que la réforme de l’État est à peu près le seul champ politique dans lequel Macron a refusé de s’investir pour l’instant. Sans doute un investissement trop risqué, trop complexe mais qui pourtant nourrit le manque de compétitivité de l’économie du fait de l’étouffement administratif et des prélèvements obligatoires.

La réforme de l’ENA repoussée aux calendes ?

La  réforme de l’ENA repoussée aux calendes ?

 

Un rapport demandé par le chef de l’État lui-même et qui ne parvient pas à sortir compte tenu des contradictions internes des membres de la mission chargée de réfléchir sur le sujet. Finalement comme au restaurant, on pourrait aboutir à un menu à choix multiples  avec différentes hypothèses laissant ainsi le pouvoir politique décider  le cas échéant. Rien n’est sûr d’ailleurs dans ce domaine car les oppositions notamment entre Matignon et l’Élysée sont importantes parce que la réforme de l’ENA n’est pas forcément le bon sujet.

 

La question de la suppression de l’ENA revient à la surface avec la sortie très attendue  du rapport commandé par Macron a F.  Thiriez ( énarque et responsable du foot français). Macron avait préconisé la suppression de cette école. Comme on connaît les trésors  de la sémantique politique, cela veut  tout dire et rien dire à la fois;  l’éventail, des possibilités allant de la destruction à l’aménagement en passant par un simple coup de  peinture.

 Ce n’est d’ailleurs pas forcément l’ENA qui constitue en tant que telle la grande tare française qui alimente la machine administrative et ce qui l’accompagne à savoir les prélèvements obligatoires démentiels . On peut surtout reprocher à l’ENA d’être une sorte de mafia d’élites qui se réservent  les postes prestigieux du conseil d’Etat, de la Cour des Comptes, des entreprises publiques et  autres administration sans avoir la même la moindre expérience socio-économique et même administrative. Ce corps d’élites constitue une sorte de mafia dans la mesure où les anciens élèves sont présents partout dans la haute administration bien sûr mais aussi dans la politique et dans les entreprises. Leur recrutement est donc utile sinon indispensable pour bénéficier surtout de leur carnet d’adresses.

La véritable réforme n’est pas seulement celle d’une école fut- elle aussi prestigieuse. Ce qui s’  imposerait, c’est une révolution copernicienne du champ régalien. Nombre d’activités dans lesquelles s’inscrit l’État n’ont pas grand-chose à voir avec l’intérêt général , d’autres  pourraient être utilement sous-traitées par voie de délégation de service public par exemple. À l’évidence, on diviserait les coûts au moins par deux t en augmentant la performance

 

 Il est clair que les champs  régaliens doivent être plus réduits géographiquement et en même temps mieux assurés  alors que pour l’instant la grande grosse partie des moyens financiers est au service d’une masse salariale que plus personne ne contrôle compte tenu de la dérive des effectifs centraux et surtout territoriaux. L’État doit bien entendu conserver son rôle de régulateur mais cela ne signifie pas pour autant qu’il  doive assurer aussi la fabrication de boîtes de conserve ou d’automobiles. Cette dispersion nuit aux investissements sur des enjeux autrement plus stratégiques comme par exemple le numérique, l’environnement, les énergies nouvelles comme l’hydrogène ou encore la recherche  en général, médicale en particulier.

 

La réforme de l’État sur des champs plus restreints doit parallèlement s’accompagner d’une véritable décentralisation, ce qui n’a jamais été le cas puisque tout dépend encore pour l’essentiel des supers gendarmes que sont les préfets qui décident de tout en dernier ressort. La décentralisation a surtout créé des milliers et des milliers de postes politiques et administratifs sans réel effet en  matière socio-économique voir culturelle. Elle a surtout permis d’alimenter une baronnie qui reproduit à son niveau les phénomènes du pouvoir central.  Force cependant est de constater que la réforme de l’État est à peu près le seul champ politique dans lequel Macron a refusé de s’investir pour l’instant. Sans doute un investissement trop risqué, trop complexe mais qui pourtant nourrit le manque de compétitivité de l’économie du fait de l’étouffement administratif et des prélèvements obligatoires.

 

Retraites: la date encore repoussée ?

Retraites: la date encore repoussée ?

Plusieurs facteurs militent en faveur du report de la réforme de la retraite. D’abord le grand flou sur son contenu. Régime universel ou pas, exception pour des régimes spéciaux ou pas, âge de  la retraite et évidemment surtout montant. La retraite à points, un euro verso égal un euro, constituant seulement des slogans. Se pose aussi la date d’application en 2025 ou 2035

Le gouvernement avait choisi 2025 pour le début de la mise en œuvre. Il serait prêt maintenant à reculer à 2027 voire au-delà. Toutes ces incertitudes et surtout le climat électoral ont surtout conduit à renvoyer après les municipales la négociation.

.Le document transmis aux partenaires sociaux dont  évoque la possibilité de repousser l’entrée en vigueur du nouveau système après 2025: la première génération concernée ne serait plus celle née en 1963, mais celle de 1964 ou 1965 ou postérieures. Ou même de ne l’appliquer qu’aux nouveaux entrants sur le marché du travail. Un scénario peu probable.

Le document évoque aussi les différents mécanismes de transition de l’ancien vers le nouveau système. Un sujet absolument déterminant pour la préservation des droits acquis

 

 

La réforme des APL repoussée

La réforme des APL repoussée –

En raison notamment de différents risques sociaux liés par exemple à l’indemnisation du chômage et à la réforme des retraites, le gouvernement a décidé de renvoyer à plus tard la réforme des APL. L’exécutif se laisse encore un peu de temps. La réforme du calcul des aides au logement (APL) est destinée adapter en temps réel les  revenus des bénéficiaires (et non plus sur les revenus n-2. Officiellement,  de revoir le pilotage et la communication, selon un courrier du Premier ministre. Il est vraisemblable que cette réforme conduira à une remise en cause du niveau des aides et cette réforme pourrait être explosive car sans APL des locataires et nombre  d’accédants à la propriété ne pourront pas faire face à leurs dépenses de logement. Une éventuelle réduction (autour d’un milliard au minimum prévu) des APL pourrait même provoquer une crise grave logement  tout dans les zones très urbanisées où l’offre est insuffisante pour satisfaire les besoins. Dans cette lettre datée de ce mardi et envoyée notamment au ministre du Logement, Julien Denormandie, Édouard Philippe annonce que la réforme sera « mise en œuvre pour le versement des allocations fin janvier/début février 2020, au moment où les aides au logement sont actualisées ».

« C’est un chantier complexe, partagé entre plusieurs ministères », fait-on encore valoir à Matignon, tout en confirmant les « difficultés opérationnelles du pilotage », désormais entièrement confié à Julien Denormandie qui s’appuiera sur « un calendrier réaliste ».

Le ministre du Logement devra proposer « sous quinzaine » au Premier ministre « un pilotage revu et sécurisé » du chantier, écrit Édouard Philippe, mais aussi « un plan de communication auprès des allocataires au dernier trimestre 2019″ et « une vision actualisée des impacts individuels de la réforme en janvier 2020″. Ce délai doit notamment permettre à la Caisse d’allocations familiales (CAF) qui verse les APL, d’affiner sa préparation. Pour parler clair et faire avaler la pilule, le gouvernement va parler de « contemporanéité », (on change la méthode des APL calculée non pas sur les revenus d’il y a deux ans mais sur ce de l’année en cours actualisées par trimestre.)

L’interdiction de la production de certains pesticides repoussée de trois ans

L’interdiction de la production de certains pesticides repoussée  de trois ans

 

 

L’interdiction en 2022 de la production, du stockage et de la vente de produits phytopharmaceutiques destinés à des pays tiers et contenant des substances prohibées par l’UE figurait dans la loi agriculture et alimentation (Egalim), promulguée en novembre. Mais à la faveur de Pacte, le Sénat à majorité de droite avait voté sa suppression pure et simple, en première lecture. L’Assemblée a repoussé vendredi de trois ans l’interdiction.

 

Après de vifs débats, l’Assemblée a finalement voté par 27 voix contre 3 et 7 abstentions ce que le rapporteur Roland Lescure (LREM) a qualifié de «compromis», salué par la secrétaire d’État à l’Économie Agnès Pannier-Runacher.

L’ex-secrétaire d’État à la Biodiversité et députée LREM Barbara Pompili, qui s’est abstenue, ainsi que les socialistes et Insoumis, ont réclamé en vain de revenir à 2022. «On ne peut pas défaire ce que l’on a fait», a défendu Mme Pompili, en s’insurgeant contre «le chantage à l’emploi» de certaines entreprises «cyniques».

«Si on supprime du jour au lendemain la production», le danger c’est que celle-ci «se déplace de quelques centaines de kilomètres et que l’impact pour l’environnement soit nul», a plaidé M. Lescure. Un argument également défendu par Bercy, pour qui cette nouvelle mouture du texte permet «de donner une échéance claire aux industriels» afin de faire «en sorte qu’il n’y ait pas un effet couperet brutal».

 

 

L’interdiction de la production de certains pesticides repousée  de trois ans

 

 

L’interdiction en 2022 de la production, du stockage et de la vente de produits phytopharmaceutiques destinés à des pays tiers et contenant des substances prohibées par l’UE figurait dans la loi agriculture et alimentation (Egalim), promulguée en novembre. Mais à la faveur de Pacte, le Sénat à majorité de droite avait voté sa suppression pure et simple, en première lecture. L’Assemblée a repoussé vendredi de trois ans l’interdiction.

 

Après de vifs débats, l’Assemblée a finalement voté par 27 voix contre 3 et 7 abstentions ce que le rapporteur Roland Lescure (LREM) a qualifié de «compromis», salué par la secrétaire d’État à l’Économie Agnès Pannier-Runacher.

L’ex-secrétaire d’État à la Biodiversité et députée LREM Barbara Pompili, qui s’est abstenue, ainsi que les socialistes et Insoumis, ont réclamé en vain de revenir à 2022. «On ne peut pas défaire ce que l’on a fait», a défendu Mme Pompili, en s’insurgeant contre «le chantage à l’emploi» de certaines entreprises «cyniques».

«Si on supprime du jour au lendemain la production», le danger c’est que celle-ci «se déplace de quelques centaines de kilomètres et que l’impact pour l’environnement soit nul», a plaidé M. Lescure. Un argument également défendu par Bercy, pour qui cette nouvelle mouture du texte permet «de donner une échéance claire aux industriels» afin de faire «en sorte qu’il n’y ait pas un effet couperet brutal».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’interdiction de la production de certains pesticides repousée  de trois ans

 

 

L’interdiction en 2022 de la production, du stockage et de la vente de produits phytopharmaceutiques destinés à des pays tiers et contenant des substances prohibées par l’UE figurait dans la loi agriculture et alimentation (Egalim), promulguée en novembre. Mais à la faveur de Pacte, le Sénat à majorité de droite avait voté sa suppression pure et simple, en première lecture. L’Assemblée a repoussé vendredi de trois ans l’interdiction.

 

Après de vifs débats, l’Assemblée a finalement voté par 27 voix contre 3 et 7 abstentions ce que le rapporteur Roland Lescure (LREM) a qualifié de «compromis», salué par la secrétaire d’État à l’Économie Agnès Pannier-Runacher.

L’ex-secrétaire d’État à la Biodiversité et députée LREM Barbara Pompili, qui s’est abstenue, ainsi que les socialistes et Insoumis, ont réclamé en vain de revenir à 2022. «On ne peut pas défaire ce que l’on a fait», a défendu Mme Pompili, en s’insurgeant contre «le chantage à l’emploi» de certaines entreprises «cyniques».

«Si on supprime du jour au lendemain la production», le danger c’est que celle-ci «se déplace de quelques centaines de kilomètres et que l’impact pour l’environnement soit nul», a plaidé M. Lescure. Un argument également défendu par Bercy, pour qui cette nouvelle mouture du texte permet «de donner une échéance claire aux industriels» afin de faire «en sorte qu’il n’y ait pas un effet couperet brutal».

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pénalisation de l’antisionisme repoussée : une confusions sémantique, philosohique et politique

Pénalisation de l’antisionisme repoussée : une confusions sémantique, philosohique et politique 

 

L’eventualité d’une loi sanctionnant l’antisionisme a été largement repoussé à l’Assemblée nationale. En cause l’assimilation juridiquement inadaptée entre l’antisionisme et l’antisémitisme. ll est clair que toute forme d’antisémitisme mérite d’être dénoncée et surtout sanctionnée. De ce point de vue, des propos tenus à l’égard du philosophe Finkielkraut, en marge de la manifestation parisienne des «gilets jaunes» sont intolérables. Pour autant se saisir de cet événement pour une nouvelle fois régler  cette question paraît sans doute précipité. L’initiateur de cette loi et le bulldozer Sylvain Maillard, ancien entrepreneur qui n’a pas l’habitude de faire dans la dentelle par exemple quand il considère qu’être SDF et vivre dans la rue est un choix des intéressés. L’idéologie condescendante et méprisante de quelqu’un qui sans doute a réussi sur le plan économique mais qui paraît un peu court au niveau idéologique et philosophique, aussi au niveau politique (même si l’intéressé de 44 ans a déjà slalomé entre quatre ou cinq partis). Un peu de connaissances juridiques et philosophiques ne serait pas inutile pour traiter cette question complexe. Notons par exemple que l’antisémisme peut toucher la moitié de la population juive qui se trouve hors Israêl et qui n’est pas  forcèment concernée  par le sionisme en tant que projet d’extension géographique d’ Israël.  D’abord il faudrait perdre l’habitude de régler par une loi chaque fois qu’un problème émerge avec force dans les médias. Deuxièmement il conviendrait de prendre du recul sur la définition exacte du sionisme. Autant la reconnaissance d’Israël en tant que pays ne peut être contestée, autant le sionisme assimilé à une extension sans limite des territoires et plus que discutable. Ce qui évidemment ne dédouane pas les responsabilités des autorités palestiniennes. Un autre bulldozer à savoir Manuel Valls avait été l’un des premiers à considérer que les deux notions d’antisionisme et d’anti sémitique étaient synonymes,  cela alors que l’intéressé était à Matignon et qu’il intervenait en 2016 devant le dîner du Crif. Avant de se prononcer éventuellement l’Assemblée nationale ferait bien d’engager une réflexion dans un groupe composé notamment de juristes et de philosophes. Notons que les dispositions actuelles de la loi permettent de poursuivre et de sanctionner ceux qui manifestent  publiquement des sentiments d’anti sémitisme. Il y a la sémantique, mais aussi l’intention, la posture et le profil des coupables Emmanuel Macron s’est d’ailleurs prononcé mardi contre une loi punissant l’antisionisme au même titre que l’antisémitisme demandée par certains députés de sa majorité et qui, compte tenu des réactions à l’Assemblée, a peu de chances de voir le jour.

La programmation de l’énergie repoussée : pourquoi ?

 La programmation de l’énergie repoussée : pourquoi ?

 

Il est clair que le report de la de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), traduit la fébrilité du gouvernement pour annoncer clairement la priorité absolue pour le nucléaire ; les autres sources d’énergie n’étant soutenues que pour masquer la priorité aux centrales actuelles dont la durée de vie sera prolongée de 20 à 30 ans et la priorité au développement de la filière EPR. De ce point de vue, la  consultation publique sur la programmation pluriannuelle de l’énergie a constitué véritable arnaque parce que la question nucléaire n’était  pas en débat. L’objectif de 50% de part du nucléaire en 2025 est reporté de 20 à 30 ans en réalité. Les scénarios d’EDF, du ministère ou de RTE sont complètement divergents. Officiellement on devait fermer de réacteurs mais Macron a annoncé le développement d’autres ! En fait, tout cela relève du cirque car la France ne peut réduire pour l’instant la part du nucléaire d’autant que d’énorme investissements sont réalisés notamment le grand carénage. Certes on pourra fermer ici ou là quelques réacteurs mais on prolongera la vie de la plupart de autres. LE PPE ( programmation énergétique)   constitue de la poudre aux yeux pour masquer la réalité à savoir qu’on ne peut se passer de la part du nucléaire en quelques années et qu’en plus la France joue sur le nucléaire pour sa politique de réductions des émissions polluantes qui menace le climat.  Pour preuve, EDF, a déjà commencé à intégrer une prolongation de ses réacteurs de 900 MW jusqu’à leurs 50 ans, évoque régulièrement la possibilité d’aller jusqu’à 60 ans, comme c’est le cas aux États unis pour des réacteurs similaires. L’entreprise commence également à communiquer sur de plus petits modèles baptisés SMR (small modular reactors), d’une puissance d’environ 160 MW (au lieu des 1.650 MW de l’EPR), pour renouveler le parc. Pour faire avaler la pilule du nucléaire indispensable, on a attribué uen enveloppe de 150 millions au ministère de l’écologie  pour faire joujou notamment avec des éoliennes improductives. En fait Macron se sert de l’écologie pour donner un coup de peinture verte sur la politique énergétique. En fait, on craint que l’annonce de la politique énergétique ne vienne encore affaiblir la popularité du Chef de l’Etat. La justification de la concertation de dernière minute est peu crédible. “Le travail d’instruction et de concertation se poursuit”, dit-on de source gouvernementale. “Il n’y a pas de retard, seulement la volonté de prendre le temps nécessaire sur des sujets aussi fondamentaux que le dérèglement climatique et le prix de l’énergie.” Le président de la République réunira mercredi une trentaine de personnes, dont des dirigeants d’entreprises et d’organismes de recherche, pour une “séance de travail” consacrée à la question de l’énergie.

Allocations familiales : la fin de l’universalité repoussée à plus tard

Allocations familiales : la fin de l’université l’universalité repoussée à plus tard

Pour faire plus »« gauche» les députés de la république en marche avaient t proposé de supprimer les allocations pour les ménages aisés à l’occasion de l’examen budget 2018. Une manière de s’attaquer à l’universalité des allocations familiales. Une suppression qui n’aurait pas été seulement symbolique (les ménages aisés ne perçoit plus grand-chose) mais qui aurait pu tuer définitivement le concept de l’universalité. En outre, il faut être conscient que l’équilibre de cette prestation comme d’autres est largement assurée par les cotisations des salaires moyens et supérieurs. L’éventuelle suppression  des allocations sociales pourrait faire émerger une demande de rupture par les cadres de la solidarité nationale. Le gouvernement a décidé de remettre à plus tard cet éventuel réforme et de confier une mission parlementaire pour réfléchir à l’ensemble de la politique familiale. De son côté le député de la république en marche qui envisageait  cette suppression des allocations familiales a déclaré   »Je l’ai déjà dit, à titre personnel, que j’étais d’accord pour qu’un couple qui perçoit plus de 8000 euros et qui a encore 32,40 euros d’allocations par mois ne les perçoive plus », a rappelé le député de l’Isère ce vendredi sur RMC. « Je crois qu’il y a à peu près 20 prestations famille qui sont versées, différentes, personne ne s’y retrouve. (…) C’est tout ça qu’il faut être capable d’analyser, dans un ensemble. Il ne s’agit pas de dire l’universalité ou non », explique Olivier Véran. Il faut dire que le gouvernement est attentif aux conséquences des différentes mesures qui ont affecté le revenu des cadres plusieurs années.  Fin 2014, le gouvernement avait en effet décidé de « moduler » les allocations familiales, c’est-à-dire diviser par deux voire quatre le montant des allocations suivant les revenus d’un ménage. À l’heure actuelle, un couple avec deux enfants touche 129,86 euros d’allocations si ses revenus sont inférieurs à 5617 euros. Passé ce seuil, l’allocation tombe à 65 euros, puis 32,5 euros si le couple gagne plus de 7487 euros. Les mesures frappant les familles aux revenus élevés se sont ainsi empilées. Or, « les plus aisés sont aussi des gens qui contribuent beaucoup: plus leur salaire est élevé, plus ils versent de cotisations sociales. Ils ne seraient donc bons qu’à payer si on les privait de ce système de redistribution », fait valoir Jean-Louis Deroussen, le président du conseil d’administration de la Cnaf, au Parisien. Allocations du débat envisagé,  la question  du quotient familial pourraient être à nouveau posée. Sa remise en cause pourrait alors susciter des oppositions d’une autre ampleur.

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