Archive pour le Tag 'répond'

Pause réglementaire climat de Macron : pas question répond Bruxelles

Pause réglementaire climat de Macron : pas question répond Bruxelles

« On n’a pas le choix. On n’a pas le luxe de pauses, ni dans la politique climatique, ni dans la protection de notre biodiversité », c’est ainsi que s’est exprimé Frans Timmermans, le vice-président de la Commission européenne, à l’occasion de la conférence Jacques Delors 2023, qui se tenait à Paris.

Et l’élu européen d’ajouter : « La crise climatique s’accélère, tandis que 60 % même plus des terres européennes sont en mauvaise conditions, on perd nos abeilles, on est en train de créer des sécheresses qui abiment la production agricoles de surfaces énormes… » .Pour Frans Timmermans, sans protection de la nature, « le Green deal fera faillite. Et l’Europe et le monde ne seront pas protégés contre la crise climatique. »

Des inquiétudes qui sonnent comme une réponse cinglante aux propos d’Emmanuel Macron. Il y a une semaine, le chef de l’Etat avait, en effet, fustigé les normes environnementales qui pénalisent notre l’économie, et plaidé pour une mise à l’arrêt temporaire. « Appliquons le Pacte vert, mais n’en rajoutons plus », avait assuré Emmanuel Macron, qui souhaitait, en la matière, « une stabilité ».

Des propos très vite temporisés par Elisabeth Borne, la première ministre quelques jours plus tard. La cheffe du gouvernement avait en effet assuré « qu’il n’y avait pas de pause dans l’ambition climatique de la France. » Et réaffirmé l’objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2050.

La prise de position controversée du Président français, en tout cas, n’avait pas manqué de créer de l’émoi au sein des écologistes européens. Et de susciter des interrogations chez les parlementaires européens.

Surtout qu’il n’était pas le seul à tenir cette ligne. Le Premier ministre Belge, Alexander De Croo avait, à cette occasion, lui aussi réclamé une pause, notamment sur des textes du pacte vers, encore en négociation.

Des les échanges tendus sur fond de négociations européennes autour du « Pacte Vert », appelé aussi « Green deal ». Ce paquet de textes fixe des objectifs contraignants en matière de lutte contre le réchauffement climatique. L’essentiel a été adopté, – réforme du marché du carbone, fin des ventes de voitures à moteurs thermiques etc-, mais les discussions portent sur la restauration d’écosystèmes détériorés ou abimés.

Plusieurs Etats, dont la France, s’inquiètent de l’impact éventuel sur la production agricole. En témoignent, les votes consultatifs, de rejet dans les commissions agriculture et pêche du Parlement.

Macron répond par le mépris à la demande d’audience des syndicats

Macron répond par le mépris à la demande d’audience des syndicats

La président de la république répond clairement « à la demande d’audience des syndicats e: c’est non. Et pour bien se faire comprendre, Macron invite les syndicats à voir le concierge, c’est-à-dire Élisabeth Borne qui elle-même renvoie au ministre du travail. Ce dernier n’a pas non plus envisagé une rencontre .

Macron a donc répondu par le mépris ce vendredi à la lettre adressée par l’intersyndicale sur la réforme des retraites, en réaffirmant sa détermination à mener à bien le projet de loi.
« Le gouvernement est, comme il l’a toujours été, à votre écoute pour avancer par le dialogue, trouver des solutions innovantes, sans transiger sur la nécessité de restaurer un équilibre durable de notre régime de retraite », écrit-il, tout en se disant attentif aux « angoisses » d’une partie des Français. Il a par ailleurs refusé de rencontrer lui-même les syndicats.

« Emmanuel Macron fait du Macron. Il méprise les relations syndicales », a affirmé vendredi 10 mars sur franceinfo Fabien Villedieu, délégué syndical Sud-Rail, à la veille d’une nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites, et alors que le chef de l’État n’a pas répondu favorablement à la demande des organisations syndicales d’être reçues.

Emmanuel Macron « méprise les corps intermédiaires, il méprise la mobilisation, il méprise tout le rapport de force qui est créé, toute cette souffrance, tous les gens qui sont mobilisés, tous les gens qui souffrent », martèle Fabien Villedieu. Le délégué Sud-Rail reproche au président de la République d’avoir « fermé la porte » à la discussion et dénonce « une forme de mépris total ».

« Au lieu d’essayer de trouver des solutions, de s’investir, de mouiller sa chemise, Emmanuel Macron ferme la porte, refuse de discuter. »

Fabien Villedieu constate que la situation est « bloquée » depuis le début de la contestation. « Ça fait un mois et demi qu’on se mobilise. Ça fait un mois et demi que, visiblement, les interlocuteurs qu’on a ne suffisent pas. » Les syndicats avaient « essayé, naïvement peut-être, d’impliquer le président de la République pour essayer de sortir par le haut de cette crise sociale » estime-t-il, pointant « une fin de non-recevoir » du chef de l’Etat.

« MÉPRIS DE CLASSE »: Bayrou répond à Jadot

 

Après les dérapages de certains des élus écolos bobos, le responsable d’Europe écologie les Verts Julien  Bayou tentent d’atténuer la polémique. En effet l’autre écolo Yannick Jadot avait estimé que ces propos constituaient un mépris de classe vis-à-vis des milieux populaires. Notons que la défense du tour de France de Bayou ressemble quand même de près à une mise en cause !

 

« Il a été dit que le Tour de France devait s’adapter aux enjeux de l’écologie et du féminisme, et je constate qu’ils le font, puisque maintenant les remises de maillots sont faites par un homme et une femme. Je ne crois pas que le Tour de France se soit effondré pour autant », a d’abord affirmé Julien Bayou.

Rappelant que l’épreuve coûtait entre « 600.000 et un million d’euros à la ville qui accueille », l’élu du conseil régional d’Île-de-France a dit vouloir adopter une attitude responsable. « Nous dénonçons un écolo-bashing », estime Julien Bayou.

« Pour nous, il n’y a pas de logique de mépris de classe. Nous soutenons le Tour de France. Simplement, nous sommes à la tête de collectivités. Quand on vous demande un million d’euros pour venir à la ville, c’est une dépense importante, (…) ça doit aussi aller avec des conditions. Le Tour de France peut générer jusqu’à 35 tonnes de déchets par étape », a-t-il prévenu.

Le 9 septembre, des propos du maire écologiste de Lyon avaient ouvert la polémique. Dans un entretien au Progrès, Grégory Doucet déplorait un Tour de France « machiste et polluant ».

Congrès PS : coup d’État» (Batho) ; populiste répond Lienemann

Congrès PS : coup d’État» (Batho) ;  populiste répond  Lienemann

Comme d’habitude ça vole bas au parti socialiste quand il s’agit de prendre le pouvoir de l’organisation. Le pire c’est quand deux oligarques comme Delphine Batho et Noël Lienemann s’interpellent. L’une comme l’autre n’ont pratiquement jamais travaillé et ont suivi le cursus classique organisation d’étudiante socialisante puis conseiller politique puis élu et membre de la direction du PS. L’une comme l’autre connaissent toutes les arcanes du fonctionnement du parti d’élus que constitue l’PS où ce n’est pas la démocratie qui domine. Delphine Batho considère que la direction du PS est une sorte de petite mafia qui veut lui interdire la candidature comme première secrétaire. Elle menace même de demander l’arbitrage de la justice. Ce à  quoi Lienemann qui soutient un autre candidat répond qu’il s’agit d’un déni de démocratie de la part de Batho qui en outre n’en fout pas la rame au bureau national. On se demande ce que peut bien faire Noël Lienemann aussi bien au bureau national qu’au Sénat. Usée par les travaux guerriers des tendances, elle n’est pas même capable de prononcer une seule phrase un peu structurée mais ses gazouillis demeurent toujours radicaux. Justement le populisme qu’elle reproche à Delphine Batho. En réalité elle a beaucoup évolué passant des rocardiens à la gauche du PS puis chez les frondeurs. Un slalom qui lui a permis d’exister politiquement pendant toute sa carrière politique avec tous les avantages qui sont liés. On peut être révolutionnaire savoir compter ses sous ! Renouveler comme sénatrice elle est assurée dans l’emploi jusqu’à près de 75 ans. On a les révolutions qu’on peut au parti socialiste. Et ces joutes entre oligarques témoignent de l’état de décomposition d’un parti de professionnels qui hormis leur discours entretiennent des relations approximatives avec les réalités économiques et sociales.

Hollande répond à Aubry…..mollement

Hollande répond à Aubry…..mollement

C’est évidemment un nouveau cou dur pour Hollande cette attaque frontale d ’Aubry sur la politique économique. Du coup Hollande essaye de se justifier mais assez mollement évitant l’objet central de la critique : l’efficacité de la politique économiues. Avec Aubry, les frondeurs ont trouvé un leader de poids qui pourrait bien faire basculer le rapport de force au sein du PS. Hollande ménage auusi l’avenir car en cas de départ de Valls, Aubry pourrait constituer la dernière solution pour Matignon. Après les vives critiques de l’ex-numéro du Parti socialiste sur la politique économique du gouvernement, François Hollande lui a répondu dimanche 19 octobre, devant un parterre de patrons de grandes entreprises étrangères réunis à l’Elysée. Dans un entretien au Journal du dimanche, la maire de Lille avait éreinté la politique de l’exécutif, se posant clairement en chef de file des députés PS frondeurs et demandant une réorientation de la politique économique du gouvernement. « Les réformes, elles sont continues, elles ont été engagées dès les premiers mois de mon quinquennat et elles se poursuivront à un rythme encore accéléré jusqu’à la fin, parce que la France a besoin de réformes », a déclaré le président de la République. Il s’agit « non pas de réformer pour réformer mais de réformer pour créer davantage de richesse, davantage d’activités, davantage d’emplois et aussi pour attirer davantage d’investisseurs et davantage d’entreprises », a-t-il ajouté lors de cette rencontre à l’Elysée sur le thème de « l’attractivité de la France. »  Enumérant les réformes engagées depuis six mois par le gouvernement de Manuel Valls, François Hollande a présenté comme « une nouvelle étape » le projet de loi de Macron.

 

Moscovici répond au french bashing

Moscovici répond au french bashing

Moscovici réprouve le french bashing et condamne l’article de NewsWeek sur «  la chute de la France », comme beaucoup il s’appuit sur nombre d’erreurs factuelles pour rejeter le tout. En fait des erreurs de détail qui ne remettent  pas en cause la pertinence globale de l’analyse. Une attitude classique chez les hauts fonctionnaires français et en particulier les énarques : la condamnation pour injure au détail et l’ignorance pour la pertinence du fond. La haute administration dans toute sa désuète splendeur, style 19 ème siècle. Malheureusement ce n’est pas parce que le prix du lait est erroné dans le panier de NewsWeek que pour autant cela doit gommer le déclin français. Pierre Moscovici réagi à la polémique. Le ministre de l’Economie et des Finances a, ce mardi 7 janvier, violemment critiqué l’article « The Fall of France » (La chute de la France) écrite par la journaliste de Newsweek, Janine di Giovanni. Cet article dépeint une France déclinante où les taxes « ont explosé » et où « un demi-litre de lait coûte presque 4 dollars (sic) ». Le texte avait fait l’objet de nombreuses moqueries des internautes sur les réseaux sociaux, ces derniers critiquant les erreurs factuelles contenues dans l’article. Pierre Moscovici a, lui, enfoncé un peu plus le clou, lors d’une conférence de presse commune avec le secrétaire américain au Trésor, Jack Lew. Il a considéré que le texte est truffé « d’innombrables erreurs ». « Il peut arriver qu’une critique soit pertinente », mais là « c’est le pompon », a-t-il ajouté.  Il a regretté avec « tristesse » le temps où le magazine était « une référence internationale », jugeant que cet article était un « pamphlet » qui sera « un cas d’école en école de journalisme ». Il a aussi estimé que ce texte provoque « une certaine hilarité ». « Si la France est si repoussante que le dit l’auteur de cet article, y aurait-il (…) plus de 4.000 entreprises américaines sur notre sol? », a-t-il demandé. Jack Lew, lui, s’est contenté d’afficher un sourire amusé et a préféré souligné « les progrès notables » accomplis par la France pour redresser son économie.

 

Goodyear: Montebourg répond au patron de Titan sur le même ton

Goodyear: Montebourg répond au patron de Titan sur le même ton

« Vos propos aussi extrémistes qu’insultants témoignent d’une ignorance parfaite qu’est notre pays, la France », écrit le ministre du Redressement productif, dans un courrier virulent rendu public mercredi soir, en réponse à une lettre rendue publique mardi dans laquelle Maurice M. Taylor critiquait violemment ces ouvriers et les travailleurs français.   »Soyez assuré de pouvoir compter sur moi pour faire surveiller par les services compétents du gouvernement français avec un zèle redoublé vos pneus d’importation », a menacé M. Montebourg.  Titan International avait proposé en 2012 de reprendre plus de 500 salariés de l’usine en difficulté Goodyear d’Amiens-nord, mais le projet avait ensuite capoté, et la relance du gouvernement en 2013 avait déclenché la lettre de M. Taylor.   »Les salariés discutent pendant trois heures et travaillent pendant trois heures », « vous pouvez garder les soi-disant ouvriers »: le patron du groupe américain de pneumatiques agricoles n’a pas mâché ses mots dans son courrier à Arnaud Montebourg, rendu public mardi mais daté du 8 février.   »Goodyear a essayé pendant plus de quatre ans de sauver une partie des emplois à Amiens, qui sont parmi les mieux payés, mais les syndicats et le gouvernement français n’ont fait rien d’autre que de discuter », a écrit le PDG Maurice M. Taylor, parlant de « syndicat fou » et insistant sur la responsabilité du gouvernement français dans ce dossier.  Cette lettre à Arnaud Montebourg n’est pas « une lettre à une petite amie, on parle d’affaires », a admis M. Taylor mercredi dans un entretien à l’AFP.  Il raconte, en prenant l’accent français, que dans ses missives, Arnaud Montebourg lui demandait de « relancer les négociations ». « Je lui ai dit +vous êtes dingue+ », ajoute-t-il. Il n’y a pas de négociations possibles puisque « nous sommes les seuls au monde à avoir voulu mettre de l’argent dans l’usine ».   »Les ouvriers français travaillent bien mais le problème », c’est que « la journée d’un ouvrier français fait sept heures payées mais les ouvriers prennent une heure pour déjeuner et faire des pauses, ils travaillent trois heures, et les trois autres heures ils s’assoient ou se promènent et discutent », a renchéri Maurice M. Taylor.  Les ouvriers français, « on ne peut pas les suspendre, on ne peut pas les licencier », déplore-t-il encore, ajoutant que « bientôt, en France (il n’y aura plus d’emplois) et tout le monde passera la journée assis dans les cafés à boire du vin rouge ».  Dans sa réponse mercredi, M. Montebourg rappelle le nombre d’entreprises américaines installées en France et insiste sur les liens historiques unissant les deux pays, en invoquant les liens historiques entre les deux nations, que ce soit l’aide du Marquis de La Fayette à l’indépendance américaine ou le débarquement américain en Normandie du 6 juin 1944.   »Loin de vos propos aussi ridicules que désobligeants, l’ensemble de ces entreprises (américaines) connaît et apprécie la qualité et la productivité de la main d’oeuvre française », écrit M. Montebourg.   »Puis-je vous rappeler que Titan, l’entreprise que vous dirigez, est 20 fois plus petite que Michelin, notre leader technologique français à rayonnement international, et 35 fois moins rentable », poursuit-il.   »Savez-vous au moins ce qu’a fait (le marquis de) La Fayette pour les Etats-Unis d’Amérique? Pour notre part, nous Français, n’oublierons jamais le sacrifice des jeunes soldats américains sur les plages de Normandie pour nous délivrer du nazisme en 1944″, écrit encore M. Montebourg.  Dans un entretien à Libération de jeudi, Arnaud Montebourg renchérit en qualifiant à nouveau M. Taylor d’ »extrémiste », affirmant qu’il « a montré son isolement, y compris dans son propre pays. Ce monsieur s’est présenté à la primaire républicaine aux Etats-Unis et n’a recueilli que 1% des voix avec un programme marqué à l’extrême droite ».

 

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