Archive pour le Tag 'réplique'

Pouvoir d’achat: CGT et Sud sabotent par avance la réplique syndicale

Pouvoir d’achat: CGT et Sud sabotent par avance la réplique syndicale

 

Alors qu’une rencontre est prévue lundi au siège de Force ouvrière pour réunir tous les syndicats à propos de la réplique à envisager pour soutenir le pouvoir d’achat, la CGT et Sud par avance décident  seuls d’une journée d’action le 29 novembre.

On voudrait saboter par avance l’unité et le succès de la réplique syndicale qu’on ne s’y prendrait pas autrement.

Il est clair que ces organisations sont depuis longtemps noyautées par les activistes gauchistes dont l’objet n’est pas évidemment la réussite syndicale mais d’engager la lutte politique pour la révolution, contre le capitalisme, contre l’impérialisme.
Bref des organisations qui sont davantage politiques que syndicales et qui ont largement affaibli et discrédité les syndicats au point que leurs  agitations politiciennes ne recueillent plus que le soutien d’une extrême minorité des salariés. (Les syndicats réformistes sont d’ailleurs largement majoritaires)

D’une certaine manière cet extrémisme irresponsable fait de ces organisations radicales les alliés objectifs du pouvoir.

La CGT et Solidaires ont donc appelé ce jeudi 7 juillet à « une journée de grève interprofessionnelle » le jeudi 29 septembre qui sera notamment axée sur les salaires.

Cette journée d’action « doit s’inscrire dans une mobilisation large et dans la durée », soulignent les deux syndicats dans un communiqué commun « pour les salaires ».

Ils justifient leur appel « par des mesures gouvernementales annoncées sur le pouvoir d’achat qui sont en dessous de la situation de paupérisation de la population » ou encore « l’annonce d’une poursuite d’une réforme des retraites injuste qui exige de travailler plus ».

Les deux organisations font cette annonce sans attendre la tenue d’une réunion de tous les syndicats sur le thème du pouvoir d’achat prévue lundi au siège de Force ouvrière.

Pour une réplique radicale face à Poutine

Pour une réplique radicale face à Poutine

Après la « claque » infligée au chef de la diplomatie européenne Josep Borrell, à Moscou, le 5 février, l’universitaire spécialiste de la Russie Françoise Thom préconise, dans une tribune au « Monde », que l’Union européenne adopte une politique « résolue de sanctions dures » et de risposte aux provocations.

Tribune. 

 

S’il est une leçon que l’on peut tirer de la visite calamiteuse du chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, à Moscou, c’est qu’il est temps pour l’Union européenne (UE) de repenser de fond en comble sa politique russe. Car le comportement de Moscou à cette occasion a révélé une chose : le Kremlin considère désormais que l’UE est moribonde et qu’on peut impunément rouer de coups le lion devenu vieux. Mais ce n’est pas parce qu’il se tournerait vers la Chine, comme le ressasse l’orchestre de Moscou. C’est parce qu’une autre structure européenne, patiemment construite par la Russie depuis des années, est prête à prendre la relève.

 

Il s’agit du réseau des relations bilatérales tissé par le Kremlin avec les principaux pays européens, grâce auquel la Russie espère acquérir une place centrale et prépondérante en Europe. La France ne cesse d’appeler à un « partenariat stratégique » avec Moscou ; les successeurs présumés d’Angela Merkel ont les yeux fixés sur les juteux contrats que le Kremlin fait miroiter devant eux. 

L’Angleterre, seul pays considéré comme réfractaire par la Russie, est maintenant hors jeu grâce au Brexit. Le traitement humiliant démonstrativement infligé à Josep Borrell montre que le Kremlin entend désormais faire de la question russe un « boutoir » contre ce qu’il reste de l’UE.

Il est par conséquent urgent pour l’Union de formuler une politique russe cohérente qui permette de resserrer les rangs et d’éviter à l’avenir les désastres comme celui auquel nous venons d’assister. Pour cela, il faut d’abord se débarrasser des clichés qui nous collent à la peau et qui défilent déjà de nouveau, quelques jours après la volée de bois vert infligée à M. Borrell : « Il faut maintenir le dialogue », « le mur du silence n’est pas une option », il faut « trouver des domaines où la coopération est possible », les Occidentaux ont « humilié la Russie », etc.

Ce genre de rhétorique a persuadé Moscou qu’on peut souffleter les Européens, et qu’ils tendront l’autre joue. Ceux qui préconisent le « dialogue » ne voient pas que toute main tendue de l’Occident est perçue en Russie soit comme une agression camouflée – l’expression du projet prêté à l’Occident de « démembrer la Russie » pour mettre le grappin sur ses richesses –, soit comme le signal d’une disposition à la capitulation de « l’adversaire » (car le Kremlin considère comme des adversaires tous les pays qui ne sont pas des dictatures).

Birmanie : les militaires renforcent la répression mais la rue réplique

Birmanie : les militaires renforcent la répression mais la rue réplique

 

Depuis le début du putsch militaire la répression constitue la réponse des forces désormais au pouvoir. Ainsi au moins 400 personnes ont déjà été arrêtées. Mais la rue réplique par des manifestations et des mesures d’autodéfense. Les militaires n’ont pas encore gagné la bataille mais déploient  désormais des chars assurés du soutien politique honteux de la Russie et de la Chine. Deux  régime autoritaires tout aussi condamnables.

Les forces de l’ordre ont tiré sur des manifestants dimanche en Birmanie, tandis que des militaires étaient en train d’être déployés, faisant craindre une répression imminente du mouvement de protestation contre le coup d’Etat.

Malgré cela, la mobilisation contre le coup d’Etat ne faiblit pas avec des fonctionnaires (enseignants, docteurs, employés de chemin de fer, etc.) en grève. Dimanche, pour le neuvième jour consécutif, les Birmans sont descendus par dizaines de milliers dans les rues. A Rangoun, ils se sont notamment réunis près de la célèbre pagode Shwedagon, pour réclamer la fin de la dictature et la libération de la lauréate du prix Nobel de la paix 1991, tenue au secret depuis son arrestation.

Dans les quartiers la population s’organise avec des dispositifs d’autodéfense pour empêcher les arrestations arbitraires mais aussi opposées à la criminalité instrumentalisée par le pouvoir qui a ouvert des prisons en espérant déstabiliser un peu plus le pays est donné une légitimité à son régime autoritaire.

Bayrou réplique aux sarkosistes

Bayrou réplique aux sarkosistes

Pas sûr que les sarkosistes aient fait le bon choix en faisant de Bayrou leur bête noire. D’abord parce cela met intéressé au centre des débats (notamment lors de la deuxième séance de débat des primaires) aussi parce que  Bayrou ne manque pas d’arguments pour dénoncer les pratiques quasi délictueuses de responsables du clan  sarkozyste. Il rappelle notamment l’affaire tapie avec la responsabilité de Lagarde mais aussi de Sarkozy lui-même.  « S’ils attaquent avec cette assiduité-là, c’est pour une raison profonde, c’est qu’ils ont peur de quelque chose », a estimé le maire de Pau sur BFM TV. « Ils ne sont pas rassurés parce qu’ils savent que mon principal combat c’est l’honnêteté dans la vie politique, que je ne laisserai jamais passer un certain nombre de leurs pratiques et de leurs habitudes ». « Ça veut dire quelque chose », a-t-il poursuivi. « Ils savent que si j’ai la moindre influence, la moindre capacité de me faire entendre dans les mois et les années qui viennent, je n’accepterai pas que ces pratiques, qui sont honteuses, dont j’ai honte pour mon pays, se perpétuent ». Le troisième homme de l’élection présidentielle de 2007 a épinglé entre autres les époux Balkany, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale, corruption et blanchiment de corruption. Il a fait également allusion aux accusations de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, évoquant des « indices de valises d’argent liquide provenant de pays du Moyen-Orient qui se sont déversées sur ces milieux-là». Il évoque enfin la convocation de la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) Christine Lagarde devant la Cour de justice de la République le 12 décembre prochain dans l’affaire de l’arbitrage Tapie. « Est-ce que quelqu’un a posé la question de savoir sous les ordres de qui, sous l’injonction de qui, Mme Lagarde (ministre de l’Economie et des Finances de Nicolas Sarkozy à l’époque-NDLR) a participé à cette affaire que la justice qualifie d’escroquerie en bande organisée? », a dit François Bayrou

Algérie : réplique violente à usage interne

Algérie : réplique violente à usage interne

Pourquoi une telle violence dans la réaction algérienne après la prise d’otages ? Pour des raisons économiques car le gaz procure des ressources essentielles à l’Algérie ; aussi pour des motifs de politique interne. Montrer aux islamistes que tout sera fait pour les exterminer quelque soient les conséquences. Les capitales étrangères n’ont donc pas été informées, ni associées ; elles ne le seront pas à l’avenir que cela plaise ou non. Si les islamistes du Mali constituent une menace pour la France, c’est un autre enjeu pour l’unité algérienne et son avenir économique.  Les terroristes n’ont pas attaqué n’importe quel site industriel. L’usine en question est au-dessus de « quatre gisements de gaz, soit 10% de la production algérienne (…) c’est monumental ! », rapportait sur BFMTV Paul Quilès, ancien ministre de la Défense et de l’Intérieur. Un gaz que l’Algérie possède en grande quantité, exporte vers de nombreux pays (et notamment la France)… et rapporte beaucoup d’argent.  Un point de vue partagé par Kader Abderrahim, spécialiste du Maghreb et de l’islamisme à l’IRIS, Maître de conférences à Sciences-po Paris, interrogé par BFMTV.com. « Cette attaque contre le centre gazier d’In Anemas touche à ce qui est un centre névralgique de l’Algérie, qui permet la puissance et la prospérité de l’Algérie », explique-t-il.  Or, « même dans les années 90, les groupes islamistes ne se sont jamais attaqués à aucun site gazier ou pétrolier. C’est la première fois qu’ils le font, et c’est aussi la première fois que des ressortissants occidentaux sont pris en otages en Algérie », ajoute-t-il. « Cela fait beaucoup de premières pour les autorités algériennes, qui avaient à coeur de monter que la fermeté ne s’était pas émoussées de leur côté ».   »Des sites comme ça il y en a d’autres et s’il n’y a pas l’exemplarité qui joue, les  Algériens, peuvent se retrouver dans la même situation », explique de son côté Christian Prouteau, fondateur du GIGN (les forces d’intervention françaises).

La Banque de France attaque la City, Londres réplique

La Banque de France  attaque la City, Londres réplique

 «Il n’y a aucune raison» d’accepter que le centre financier le plus actif sur le marché des euros se trouve «offshore», a affirmé le banquier central français  Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France  dans le Financial Times, en marge d’un forum financier à Tokyo. «La plupart des échanges en euros devraient se dérouler à l’intérieur de la zone euro», a-t-il ajouté. «C’est lié à la capacité d’une banque centrale de gérer sa liquidité et d’assurer la surveillance de sa propre monnaie», a indiqué Christian Noyer, membre du Conseil des gouverneurs de la BCE. Devant la presse, le banquier central français a cité l’exemple des États-Unis. «Les autorités américaines ne sont pas opposées au fait que le dollar soit échangé à Londres, mais elles font très attention à ce que l’essentiel des transactions ne soient pas réalisées en dehors des États-Unis. New York reste le principal centre financier pour le dollar américain», a rappelé Christian Noyer. Le sang des Britanniques, déjà chauffé par les projets d’union bancaire européenne, n’a fait qu’un tour. «C’est contradictoire avec ce que disent des banquiers français sérieux,pour qui un centre financier britannique fort est bon pour l’Europe», a indiqué Vince Cable, le ministre britannique des Entreprises, en visite à Paris. «Nous supportons les efforts de la zone euro pour sortir de la crise et stabiliser le secteur financier, mais les réformes doivent respecter le marché unique. Des mesures anticompétitives ou protectionnistes porteront préjudice à l’image de l’Europe en tant qu’endroit où faire des affaires», indique Mark Boleat, responsable de la stratégie à la City. La Grande-Bretagne redoute les projets de régulation financière européenne, notamment l’union bancaire. Londres craint de se voir imposer une régulation excessive qui réduirait la compétitivité de la City. «En tant que capitale financière de l’Europe, Londres n’est pas uniquement un atout britannique, mais un atout européen!», insiste Mark Boleat. Très sensibles au sujet, les Britanniques ont, semble-t-il, surinterprété les propos de Christian Noyer, qui ne cherche pas à relocaliser le marché des changes sur le continent, une tâche hors de portée Il se fait plutôt le porte-parole des inquiétudes de la BCE, qui voit le contrôle de sa liquidité lui échapper, ce qui handicape sa politique monétaire.

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol