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L’inflation repart à la hausse à 6% sur un an

L’inflation repart à la hausse à 6% sur un an

En France, la hausse des prix à la consommation a atteint 6% sur un an en janvier, soit plus qu’en décembre où l’inflation était tombée à 5,9%, selon une première estimation publiée ce mardi par l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Une inflation déjà sous-estimée par l’INSEE compte tenu de l’évolution de la structure de consommation des ménages de plus en plus impactés par la hausse des dépenses contraintes.

La hausse de l’inflation serait due à l’accélération des prix de l’alimentation et de ceux de l’énergie respectivement en augmentation de 13,2% et 16,3% sur un an, indique l’Insee dans un communiqué. Les prix de l’énergie « rebondiraient du fait de la hausse des prix des produits pétroliers, en partie due à la fin des remises sur les carburants, et de celle, encadrée, des prix du gaz ».

Quant aux produits alimentaires, la hausse des prix s’est accélérée en janvier à la fois pour les produits frais (+9,8% sur un an après +9,3% en décembre 2022) et les autres produits alimentaires (+13,8% après +12,6%). L’évolution du coût des produits manufacturés est, quant à elle, restée stable (+4,6% en décembre 2022 et en janvier 2023).

Dans sa dernière note de conjoncture publiée mi-décembre, l’institut tablait sur un pic d’inflation à 7% sur un an en janvier et février 2023, avant un reflux progressif. ING s’attend, pour sa part, à une inflation maximale de 6,5% au premier trimestre 2023. « L’inflation française sera bientôt plus élevée que celle observée dans les pays voisins », conclut Charlotte de Montpellier.

Toujours est-il que ce constat de reflux d’inflation devrait être commun à de nombreux pays de la zone euro, dont l’activité économique devrait notamment être dopée par la réouverture de la Chine. Ainsi, l’Espagne affiche +5,8% en janvier contre +5,7% en décembre, soit une hausse de 0,1 point de pourcentage, à égalité avec la France.

La BCE a rappelé à plusieurs reprises son objectif de ramener l’inflation à 2%, loin du chiffre de la zone euro qui affiche 9,2% sur un an en décembre après 10,1% en novembre.
Résultat, Christine Lagarde « n’a pas d’autres choix que de réaffirmer », lors de la réunion de politique monétaire de ce jeudi 2 février, « son engagement du mois de décembre à délivrer une hausse de taux de 0,5 point de pourcentage, qui devrait se poursuivre au mois de mars », a affirmé à l’AFP Frederik Ducrozet, chef économiste chez Pictet. Cette nouvelle hausse portera le taux rémunérant les liquidités bancaires non distribuées en crédit à 2,5% et celui sur les opérations de refinancement à court terme à 3,0%, au plus haut depuis novembre 2008. Le problème c’est que la hausse des taux d’intérêt risque de peser négativement sur une croissance de 1023 dont les prévisions sont déjà très faiblardes.

Le déficit public : ça repart pour 2020

Le déficit public : ça repart pour 2020 

Bercy transmis son projet de budget 2020 au Haut Conseil des finances publiques (HCFP), afin que ses membres rendent un avis sur leur sérieux. Un avis qui évidemment devrait être favorable car ce genre de comité de chapeau à plumes va en général dans le sens du pouvoir en place. La vérité c’est que le déficit public est reparti à la hausse. Et cela d’autant plus que la perspective de croissance retenue à savoir 1,3 % pour le parait assez hypothétiques. Le budget 2020 est bâti sur des hypothèses de croissance de 1,3 % pour une inflation de 1,2 %. En avril dernier, le gouvernement s’était avancé sur des chiffres plus favorables ; mais entre-temps, les risques pesant sur l’économie mondiale se sont intensifiés, notamment en raison des guerres commerciales. Pour compenser les dérives, Bercy avait promis de trouver des économies et de s’attaquer aux niches fiscales des entreprises. L’exercice s’est révélé beaucoup plus difficile que prévu et, au final, seuls 600 millions d’euros d’économies ont été dégagés pour 2020 sur le gazole non routier.

Prévu à 2 % en avril, puis 2,1 % en juillet, le déficit est désormais attendu à 2,2 %. En vérité il devrait être plus proche de 2,5 % voir davantage. «Un niveau jamais atteint depuis 2001», tient-on à préciser à Bercy, même s’il correspond exactement aux 3,1 % de 2019, en retranchant les 0,9 % liés à la bascule du CICE en baisse de charges. Les annonces de la BCE reportant de facto à 2022 au plus tôt toute remontée des taux, la fin du quinquennat Macron s’annonce très confortable sur le plan budgétaire. Le choix de repousser à plus tard les efforts structurels expose toutefois les finances publiques françaises à une situation potentiellement catastrophique si les taux remontaient à court terme.

. En raison du maintien de la croissance à un rythme solide (mais très hypothétique !), le ratio de dépenses diminuerait aussi de 55 % à 53,4 % en 2020. «À l’exception de la dette publique, nous tenons la trajectoire des engagements de début de mandat sur les finances publiques», note-t-on à Bercy.

Attendu en 2020 à 98,7 %, contre 98,4 % en 2017, et après un pic à 98,8 % en 2019, l’endettement du pays reste en effet endémique. «

Zone euro : ça repart ou ça se tasse !

Zone euro : ça repart ou ça se tasse  !

Alors que les économistes ont passé leur temps à réviser leurs perspectives de croissance à la hausse tout au long de 2017, ils actent maintenant la bonne tenue économique de l’année mais en même temps prévoient  une légère détérioration en 2018. Mais une se détérioration si légère qu’elle pose une hypothèque sur la crédibilité de ce genre de prévisions. Selon les dernières prévisions de la Commission européenne, la croissance de la zone euro devrait atteindre 2,2% et celle de l’Union européenne 2,3 % en 2018. Des chiffres qui dépassent largement les premières prévisions du printemps 2017. Par prudence encore prévoit cependant un léger tassement de nos un à 02 % en 2018 par rapport à 2017. La vérité c’est que personne ne peut affirmer avec certitude s’il ira tassement au contraire une activité plus dynamique encore en 2018. Des facteurs favorables militent en faveur d’un plus grand dynamisme à savoir la poursuite de la politique accommodante de la banque centrale européenne (politique contestée par les Allemands), la demande intérieure ( ménage et investissement des entreprises)  enfin et surtout la confiance principale moteur de toutes les dynamiques. Pour cela il faudra notamment que le chômage s’améliore un peu ce qui est probable en 2018. Le chômage pour la zone euro pourrait passer de 8,6 à 8,4%. Parmi les facteurs défavorables, le relatif blocage du pouvoir d’achat des salariés justifié par une inflation toujours très contenue. Un. Argument  très discutable car si l’inflation devait s’envoler il n’est pas certain que le pouvoir d’achat réel suivrait.

 

Logements neufs: ça repart

Logements neufs: ça repart

Le secteur de la construction en France devrait atteindre un point haut en 2017 avec la production d’un peu plus de 400.000 logements neufs, contre 376.500 en 2016. C’est ce qu’a annoncé Alain Dinin, le PDG du groupe Nexity, ce jeudi matin sur BFM Business. Le secteur n’avait plus dépassé la barre des 400.000 logements construits ou en cours de de construction depuis fin 2012. « Mais il faut que cela dure dans le temps car en 2035 la France comptera 4 millions de ménages de plus. Il faut donc produire au moins 350.000 logements par an, mais pas de façon égalitaire sur le territoire », a précisé le promoteur immobilier

« La croissance repart » ( Hollande) …..poisson d’avril

« La croissance repart » ( Hollande) …..poisson d’avril !

 

C’était évidemment un poisson d’avril de la part du président. Les lobbies économiques, le gouvernement, les grands médias se donnent pourtant du mal  pour lutter contre le « french bashing » et déclarer que la croissance est bien répartie. Bref quant l’incantation remplace l’analyse de la réalité. En fait  cette croissance pourrait être juste un  poil au dessus des prévisions à 1%. Une croissance de toute manière très insuffisante pour regarnir les carnets de commandes de tous les secteurs ( la croissance du PIB représente une moyenne de l’évolution de toutes les valeurs ajoutées, la vraie richesse produite, il y a donc des disparités). Pas suffisant non plus pour récréer des emplois et inverser la fameuse courbe du chômage. Même la docile INSEE s’y met et déclare ce matin sur France info ( oui, une radio fiancée à 90% par le contribuable et qui fonctionne 30 minutes par jour depuis 15 jours , le service public quoi !). ,l’ INSEE déclare donc que la croissance est repartie pour les consommateurs mais que « les entreprises sont en retard  trainent les en matière d’embauche et d’investissements ». D’abord on voit mal ce qui est réellement parti pour les ménages même s’il y a une très légère croissance de la dépense des ménages ensuite si les entreprises  n’embauchent  pas et ne font pas suffisamment d’ investissements c’est que l a croissance n’est pas réellement repartie de manière significative. D’ailleurs le chômage atteindra mi-2015 10,2%, un niveau inégalé depuis 1997 (Insee). Le taux de chômage devrait continuer à augmenter jusqu’à 10,2% mi-2015 en métropole, selon des prévisions de l’Insee présentées jeudi. Il retrouverait ainsi un niveau inégalé depuis près de 20 ans, fin 1997.   Pas de perspective d’amélioration pour l’emploi en France pour l’année 2015. Selon l’Insee, le taux de chômage devrait continuer à augmenter jusqu’à 10,2% mi-2015 en métropole. Il retrouverait ainsi un niveau inégalé depuis près de 20 ans, fin 1997. En incluant l’outre-mer, le chômage, qui touchait 10,4% de la population active à la fin de l’année dernière, culminerait cet été à 10,6%, prévoit l’Institut national de la statistique, qui mesure le chômage au sens du Bureau international du travail. Ces prévisions, conformes à celles publiées en décembre 2014, ne laissent pour l’heure pas entrevoir l’embellie attendue par le gouvernement pour 2015. Le ministre du Travail, François Rebsamen, « pense » en effet que l’année 2015 sera « meilleure que l’année 2014″ en matière de lutte contre le chômage, et qu’elle devrait « être le tournant ». Le ministre s’attend à « un début de régression » à « la fin de l’année ». En revanche, l’Insee table sur une croissance de 0,4% au premier trimestre de cette année et de 0,3% au deuxième trimestre, des chiffres de bon augure pour le gouvernement, qui espère une croissance annuelle supérieure à 1%. Pour autant, « tant que nous n’avons pas une croissance plus forte, autour de 1,5%, il est difficile de créer de l’emploi », a récemment admis le Premier ministre Manuel Valls. «  La vraie reprise est là » de Hollande, c’était donc bien un poisson d’avril !

Etats-Unis : l’emploi ne repart pas encore

Etats-Unis : l’emploi ne repart pas encore

Alors que la croissance s’est améliorée au second trimestre  (+2% maintenant escomptée pour le Pib en 2014), la reprise de l’emploi n’est pas encore là et le chômage stagne. . L’économie américaine a continué de créer des emplois en juillet, mais à un rythme plus faible que prévu. Il s’est créé 209.000 emplois en juillet, selon les données publiées ce vendredi 1er août, par le département du Travail, alors que les analystes tablaient dans leur prévision médiane sur 220.000 nouveaux emplois. Le taux de chômage, lui, s’est établi à 6,2% contre 6,1% en juin. Ces chiffres sont en partie compensés par des révisions à la hausse des créations d’emplois en mai et juin (15.000 de plus au total). Ainsi au moins de juin, les nouvelles embauches auront frôlé la barre des 300.000 (298.000).  Le nombre de chômeurs s’établit à 9,7 millions en juillet, sans différence marquante par rapport à juin. Sur l’année, le nombre de chômeurs s’est réduit de 1,7 million. Il y a un an, le taux de chômage était encore de 7,3%. Sur les 146,4 millions de personnes qui travaillent, 7,5 millions n’ont que des emplois partiels alors qu’elles souhaiteraient travailler plus, selon l’enquête.

 

Ventes voitures Europe : ça repart pour Renault

Ventes voitures Europe : ça repart pour Renault

 

Les Européens ont continué d’acheter davantage de voitures en juin. Les ventes de véhicules neuf ont progressé de 4,5%, selon des chiffres publiés jeudi par l’Association des constructeurs européens d’automobiles (ACEA). Il s’agit du dixième mois de hausse consécutif. Mais la chute avait été tellement forte que le niveau du marché reste bas. Seules 1,2 million de nouvelles immatriculations ont été enregistrées en juin. Sur le premier semestre, les ventes sont en hausse de 6,5%, avec 6,6 millions de véhicules écoulés. Hormis l’Allemagne, où les ventes reculent de 1,9%, tous les marchés européens ont repris de la vigueur: +2,5% pour la France, +3,8% pour l’Italie, +6,2% pour le Royaume-Uni, et même +23,9% pour l’Espagne. Du côté des constructeurs français, les situations divergent. PSA ne perd quasiment plus de terrain, en baisse de 0,1%, quand Renault accélère nettement, de 23,9%, la plus belle progression parmi les constructeurs européens, à l’exception de Mitsubishi qui caracole en tête avec +55,5%.  Peugeot Citroën a pâti d’une sortie de route de la marque aux chevrons, qui a plongé de 4,1%, tandis que celle au lion s’en tire, en hausse de 3,4%. Le groupe Renault, lui, profite des belles performances de ses deux marques, l’éponyme en progression de 20,9%, et sa low cost, Dacia, qui bondit de 32,8%. Parmi les autres constructeurs, General Motors, Daimler et Hyundai sont en baisse (respectivement de 2,6%, 1,2% et 4,4%). La maison-mère de Mercedes subit de plein fouet le plongeon des ventes de Smart, de 19,5%. Ford a vendu le même nombre de voitures qu’au mois de juin 2013, tandis que Fiat a vu ses ventes grimper de 7,1%, BMW de 4,6%, Volkswagen de 2,5%.

« La croissance repart », (Ayrault) il vaudrait mieux qu’elle revienne !

« La croissance repart », (Ayrault) il vaudrait mieux qu’elle revienne !

 Chez Ayrault on fait dans l’approximation sémantique et économique. Pour lui, la croissance repart, ailleurs !  Oui. En 2013 le PIB connaîtra peut-être une hausse d’environ 0.2% et en 2013 0.5%. Interrogé sur une éventuelle reprise économique en 2014, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a estimé qu’ »il y a des signes positifs. La croissance repart« , dans un entretien accordé au quotidien Presse-Océan ce samedi 14 septembre.  Au sujet de l’inversion de la courbe du chômage d’ici la fin de l’année, le Premier ministre réaffirme que « la priorité, c’est l’emploi », et ajoute : « c’est l’objectif, tout comme un meilleur rythme de croissance. Les actions en profondeur de redressement et les efforts demandés aux Français, dont je suis conscient, vont porter leurs fruits« . Par ailleurs, l’ancien maire de Nantes est optimiste quant à la réalisation du projet contesté d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes près de Nantes. « Tous les grands projets donnent lieu à débat. Sur ce dossier que l’État soutient et que pilote le ministre des Transports, je suis confiant« , explique Jean-Marc Ayrault. Il affirme n’avoir aucun doute sur la réussite du projet. Le Premier ministre s’est beaucoup engagé en faveur de ce projet de transfert de l’aéroport de Nantes, actuellement situé au sud de l’agglomération, à Notre-Dame-des-Landes à une quinzaine de kilomètres au nord, lorsqu’il était maire de la ville, jusqu’en 2012 et sa nomination à Matignon.C’est comme pour la croissance, il rêve !




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