Archive pour le Tag 'réparation !'

Smartphones, télés, électroménager: « un droit à réparation »

 

 

Smartphones, télés, électroménager:  »un droit à réparation »

L’Union européenne veut encourager les consommateurs à réparer smartphones ou électroménager défectueux, plutôt que de les jeter et d’en racheter d’autres. Le texte, adopté à une très large majorité, instaure un « droit à la réparation». Même après l’expiration de la garantie, les citoyens du marché unique pourront exiger auprès des fabricants la réparation de certains produits.

 

Chaque année dans l’UE, les produits jetés, bien que réparables, représentent 35 millions de tonnes de déchets. Or, selon une étude de la Commission européenne, 77 % des Européens préféreraient réparer leurs anciens produits plutôt qu’en acheter de nouveaux. Ils perdraient environ 12 milliards d’euros par an, faute de les remettre en état.

Avec ce texte, les Vingt-Sept souhaitent renforcer leur engagement à « rendre les consommateurs actifs dans la lutte contre le changement climatique », selon les mots du rapporteur du texte, l’eurodéputé social-démocrate allemand René Repasi. Un pas de plus pour parvenir aux objectifs du « pacte vert » de neutralité carbone d’ici à 2050.

 

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

La France va demander l’arrêt des conflits pendant un an et demi son seul porte-avions est en réparation !

 

 

Sans doute la France va-t-elle demander à l’ONU de se prononcer sur une motion pour l’arrêt des conflits pendant un an et demi. C’est-à-dire le temps nécessaire pour réparer son seul porte-avions  le d Charles-de-Gaulle. La situation est évidemment ubuesque. Ou bien la France renonce à tout porte-avion ou décide  d’en disposer d’ au moins deux. Une problématique posée un peu naïvement le ministre de la défense. «  Peut-être qu’il serait souhaitable d’avoir un deuxième porte-avions », soulignait en novembre le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian. « Peut-être que la question se posera quand on élaborera la loi de programmation militaire qui commencera en 2020. » Loin d’être nouvelle, l’idée d’un second porte-avions a émergé dès le début des années 2000. Face aux contraintes budgétaires, la France propose à la Grande-Bretagne de coopérer sur un projet qui prévoit la construction de trois porte-avions, dont un pour la Marine française. Un accord est signé en 2006 mais le programme est suspendu en 2008 avant d’être définitivement abandonné en 2013. Dans un rapport publié en 2014, la Cour des comptes épinglera un projet dans lequel « des sommes importantes » ont été engagées « alors que l’impasse de la coopération était très largement prévisible ». Depuis, le chantier est au point mort. Lors d’une conférence de presse consacrée aux questions de défense le 6 janvier, Benoît Hamon a estimé que la mise à l’arrêt du Charles-de-Gaulle posait la question. « S’il n’y a pas deux porte-avions, il n’y a pas de permanence à la mer », a dit le candidat socialiste. « La question qui nous sera posée c’est : est-ce qu’on fait deux porte-avions, l’un pour succéder au Charles-de-Gaulle et un autre à côté, ou est-ce qu’on en fait un seul mais avec le même problème qui se posera plus tard ? », a-t-il demandé. « Mais il est incontestable que vu le prix d’un deuxième PA, cette question doit être appréciée au regard des efforts que nous pouvons consentir sur le plan budgétaire. Je ne l’écarte pas mais je ne la retiens pas non plus ». François Fillon, candidat de la droite et du centre, s’est lui montré plus catégorique. « Le porte-avions, accompagné du groupe aéronaval, est un instrument de projection de forces et de puissance », soulignait l’ancien Premier ministre dans un entretien à Valeurs Actuelles en novembre dernier. « Cependant, il faut être lucide : nous n’avons pas les moyens d’en construire un deuxième », ajoutait-il. « Il nous faudra en revanche lancer dès le début des années 2020 les études pour construire le successeur du Charles-de-Gaulle, qui devra le remplacer à partir des années 2035. » La France ne peut toutefois pas faire pendant 18 mois sans porte-avions comme si elle en avait un, a souligné le chef d’état-major de la Marine, l’amiral Christophe Prazuck, devant le Sénat, le 16 novembre dernier. « Aujourd’hui, on voit bien que les choses changent : les Chinois veulent construire quatre porte-avions, les Indiens veulent en construire trois, les Anglais sont en train d’en construire deux », a souligné l’amiral Prazuck. « Il existe donc un intérêt largement partagé pour cet outil ».




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol