Archive pour le Tag 'renonce'

Première ministre: Huguette Bello renonce

Première ministre: Huguette Bello  renonce

Encore un nom jeté en pâture pour troubler davantage la situation: celui d’Huguette Bello dont l’idée aura duré deux jours et qui finalement renonce.

Les négociations repartent à zéro à gauche. La présidente de la région La Réunion Huguette Bello a annoncé ce dimanche 14 juillet «décliner sans plus attendre l’offre» de devenir première ministre au nom du Nouveau Front populaire (NFP), faute d’accord entre les partenaires. Dans un communiqué, elle dit «prendre acte» que sa candidature «ne fait pas l’objet d’un consensus entre toutes les composantes du Nouveau Front Populaire, et notamment qu’elle n’est pas soutenue par le Parti Socialiste»«Dans ces conditions et soucieuse d’un accord rapide au sein du NFP, j’ai décidé de décliner sans plus attendre l’offre qui m’a été faite», a-t-elle ajouté.

Environnement -Bouteilles plastiques : le gouvernement renonce à leur consigne généralisée

Bouteilles plastiques : le gouvernement renonce à leur consigne généralisée


Béchu, Ce ministre inutile, qui avant sa nomination n’avait guère manifesté d’intérêt pour l’environnement s’essaye aussi au  » en même temps  » cher à Macron en déclarant :
«Nous devons être inflexibles sur les objectifs, tout en étant souples sur les moyens pour y parvenir», a affirmé le ministre, qui souhaite activer «d’autres leviers, recommandés par l’Ademe» (Agence de la transition écologique) afin de dynamiser la collecte de tous les emballages plastiques.

La consigne des bouteilles en plastique «ne rencontre pas la pleine adhésion dont nous avons besoin aujourd’hui», a constaté Christophe Béchu. Une affirmation politiquement fausse et qui ne s’appuie sur aucune étude pertinente.

Chaque année, dans le monde, près de 480 milliards de bouteilles en plastique sont vendues, dont 5,5 milliards rien que dans l’Hexagone. Cela fait qu’un Français achète en moyenne 82 bouteilles par an.

Pour fabriquer une bouteille en plastique, il faut notamment du pétrole, du charbon, du gaz et de l’eau. Son transport pose également problème, car une bouteille voyage près de 300 kilomètres avant d’être consommée. Mais seulement une bouteille sur deux est recyclée en France. Un chiffre élevé comparé à l’Europe (20%) ou à la globalité de la planète (7%).

Bouteilles plastiques : le gouvernement renonce à leur consigne généralisée

Bouteilles plastiques : le gouvernement renonce à leur consigne généralisée


Béchu, Ce ministre inutile, qui avant sa nomination n’avait guère manifesté d’intérêt pour l’environnement s’essaye aussi au  » en même temps  » cher à Macron en déclarant :
«Nous devons être inflexibles sur les objectifs, tout en étant souples sur les moyens pour y parvenir», a affirmé le ministre, qui souhaite activer «d’autres leviers, recommandés par l’Ademe» (Agence de la transition écologique) afin de dynamiser la collecte de tous les emballages plastiques.

La consigne des bouteilles en plastique «ne rencontre pas la pleine adhésion dont nous avons besoin aujourd’hui», a constaté Christophe Béchu. Une affirmation politiquement fausse et qui ne s’appuie sur aucune étude pertinente.

Chaque année, dans le monde, près de 480 milliards de bouteilles en plastique sont vendues, dont 5,5 milliards rien que dans l’Hexagone. Cela fait qu’un Français achète en moyenne 82 bouteilles par an.

Pour fabriquer une bouteille en plastique, il faut notamment du pétrole, du charbon, du gaz et de l’eau. Son transport pose également problème, car une bouteille voyage près de 300 kilomètres avant d’être consommée. Mais seulement une bouteille sur deux est recyclée en France. Un chiffre élevé comparé à l’Europe (20%) ou à la globalité de la planète (7%).

Sénégal : le président Macky Sall renonce pour 2024

Sénégal : le président Macky Sall renonce pour 2024

Les tentatives de certains responsables africains de prolonger ad vitam aeternam leur mandat rencontre de plus en plus d’obstacles. Ainsi au Sénégal suite notamment aux réactions d’opinion, le président sénégalais actuel a annoncé qu’il renonçait un troisième mandat en 2024. Bref, la démocratie s’installe progressivement et durablement en Afrique. Le développement mais la démocratie est une condition nécessaire même si elle n’est pas suffisante.

Le président sénégalais, Macky Sall, a donc annoncé, lundi 3 juillet, qu’il ne serait pas candidat à un troisième mandat lors de la présidentielle de février 2024. « Le Sénégal dépasse ma personne et il est rempli de leaders capables de pousser le pays vers l’émergence », a-t-il déclaré lors d’une adresse à la nation diffusée sur la télévision publique, mettant fin à un suspens de plusieurs mois.

Elu en 2012, réélu en 2019, Macky Sall avait fait réviser la Constitution en 2016. Elle stipule que « nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », mais il expliquait que cela ne le concernait pas puisqu’il avait exercé son premier mandat avant la réforme !

Le vice-président LREM de l’Assemblée Hugues Renson dénonce le rôle croupion des députés et renonce à se représenter

Le vice-président LREM  de l’Assemblée Hugues Renson dénonce le rôle croupion des députés et renonce à se représenter

Le vice-président de l’Assemblée Dénonce le rôle de chambre d’enregistrement de décisions élaborées ailleurs ».

« Le Parlement ne fonctionne plus comme il le devrait ». Hugues Renson, vice-président LREM de l’Assemblée nationale, a annoncé mercredi 16 février son intention de ne pas se représenter lors des prochaines législatives.

Député de Paris et co-fondateur d’En commun, mouvement incarnant l’aile gauche de la majorité, Hugues Renson affirme que sa décision est « un acte politique mûrement réfléchi ».  »Elle est à la fois le fruit d’un doute sur la recomposition politique et le projet progressiste tels que je les avais envisagés, d’une inquiétude sur l’évolution de notre démocratie parlementaire, et une alerte, aussi, sur les dérives de notre système politico-médiatique »écrit-il sur son site internet.

 

Licences de pêche : « La France renonce »

Licences de pêche : « La France renonce »

 

 

« La France a fait preuve un peu de renoncement », regrette Dimitri Rogoff, le président du Comité régional des pêches de Normandie, vendredi 19 novembre sur franceinfo, au lendemain de l’évocation par la ministre de la Mer aux Assises de la pêche d’un « plan de sortie de flotte » pour indemniser les pêcheurs dont les navires n’obtiendraient pas de licence dans les eaux britanniques et resteraient in fine à quai.

Quel état d’esprit ont les pêcheurs après l’évocation de ce plan ?

Dimitri Rogoff : On est quand même dans l’idée que la France a fait preuve un peu de renoncement. Ces annonces-là, on les prend un peu mal. On se dit aussi que côté britannique, ils vont plutôt avoir le sourire et ça ne nous fait pas plaisir. On sait que les discussions vont continuer, mais ça fait 11 mois qu’on discute, il y a encore des points d’achoppement sur quelques licences.

« D’ailleurs, on se focalise trop sur ces quelques licences, alors qu’il y a d’autres sujets comme les bateaux remplaçants, tout ce qui touche aux quotas, aux mesures techniques qui vont se mettre en place. »

On se dit que là on a un peu loupé quelque chose. La France ne devrait pas attendre l’Europe pour se rebiffer, pour marquer des signes de contestation. Le gouvernement aurait dû le faire de façon unilatérale pour marquer le coup, pour faire en sorte que les discussions aillent un peu plus loin. On sent bien qu’elles traînent un peu et qu’on n’a pas tapé assez fort du poing sur la table. (…) Il y a beaucoup d’autres sujets à venir qui vont être extrêmement impactants pour la pêche, peut-être plus impactant que ces licences.

Des pêcheurs normands vont-ils recourir à ce plan de sortie de flotte ?

Le plan de sortie de flotte, on n’en veut pas. On n’en a pas besoin, ça ne concernera que quelques unités, mais tous les collègues en France ne sont pas dans la même situation. D’ailleurs, le plan de sortie de flotte était prévu avant le Brexit. On prévoyait un no-deal donc on avait prévu un plan de sortie de flotte musclé – qui est toujours disponible – et certains pêcheurs avaient demandé un plan de sortie de flotte bien avant le Brexit, parce qu’ils sont dans des situations difficiles, notamment dans les Hauts-de-France, sur la sole, sur certaines espèces qui viennent à manquer. C’est un outil qui est à disposition, prévu pour un certain nombre de cas de figure, les pêcheurs de Méditerranée notamment avait gardé un plan de sortie de flotte aussi parce qu’ils sont en difficulté. Ça a été mis trop en avant par rapport au problème du Brexit mais ça fait partie des solutions d’accompagnement. Ce plan est un des éléments à notre disposition. Il ne faut pas voir les choses trop simplement : il y a un travail qui va continuer avec le Royaume-Uni mais il va être long et il faut mettre ce temps-long à profit pour faire d’autres choses autour de la pêche et notamment prendre des solutions individuelles pour ceux qui en auraient besoin.

Le président du groupe Renew au Parlement européen, Stéphane Séjourné, a déclaré sur franceinfo qu’il ne fallait « jamais faire confiance à Boris Johnson », le Premier ministre britannique. Est-ce une difficulté pour vous ?

Oui, et ça fait partie de nos problèmes. Boris Johnson, je ne le connais pas mais on voit très bien ses atermoiements dans ses idées, dans sa façon de présenter les choses. Le sujet n’est plus les pêcheurs mais les postures politiques avec l’avenir de l’Irlande notamment en toile de fond. Notre problème paraît tout petit là-dedans et on a l’impression d’être instrumentalisés.

Coronavirus : le CFCM renonce aux lieux du culte pour l’Aïd

Coronavirus : le  CFCM renonce aux lieux du culte pour l’Aïd

 

Si les catholiques vont pouvoir se rendre dès ce week-end dans les églises, tout en respectant des mesures strictes pour assurer la sécurité sanitaire, de leur côté, les mosquées n’accueilleront pas de fidèles dimanche, pour l’Aïd el-Fitr, la fête de la rupture du jeûne qui marque la fin du mois sacré de ramadan. Une décision prise en raison du manque de temps pour désinfecter d’ici là les lieux de culte, mais aussi de l’impossibilité de garantir à tous du gel et des masques, explique à Europe 1 Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman (CFCM).

« Il est impossible d’ouvrir les lieux de culte pour la prière de l’Aïd », indique-t-il. « Les salles de prières étaient fermées depuis deux mois. Pour les ouvrir, il faut d’abord tout désinfecter, les murs et les sols. » Par ailleurs, ajoute Abdallah Zekri, la fête de l’Aïd  »draine plus d’un million et demi de musulmans à travers 2.500 lieux de culte, donc il est impossible d’avoir du gel et des masques pour tout le monde ».

Face à cette situation, le CFCM demande aux musulmans de France « de continuer à faire leur prière chez eux comme lors des deux derniers mois », dit encore son délégué général, qui rappelle que « la prière de l’Aïd n’est pas une prière obligatoire ».

 

La Chine renonce à la croissance pour 2020

La Chine renonce à la croissance pour 2020

 

La planification a du plomb dans l’aile en Chine qui abandonne toute perspective de croissance mais aussi de désendettement. Rien non plus en matière de perspectives d’emploi. Et pour cause, on a déjà dépassé le record de 6% de chômeurs en avril, un chiffre comme les autres,  tout à fait approximatif qui doit être plus près des 20 à 30% puisqu’on exclut les travailleurs ruraux renvoyés dans leur campagne près suppression de leur emploi en zone urbaine.. Pékin entend également rééquilibrer son économie vers la consommation intérieure, au moment où la pandémie paralyse ses principaux partenaires commerciaux, l’Union européenne et les Etats-Unis, et pénalise les exportations, un secteur clé pour le géant asiatique. La banque Nomura, particulièrement pessimiste, table sur 18 millions d’emplois supprimés dans le domaine de l’export en Chine – soit près du tiers des effectifs d’un secteur essentiel pour son économie.

En avril, le taux de chômage officiel en Chine, particulièrement surveillé par le pouvoir, s’est établi à 6%, proche du record absolu de 6,2% .

Catalogne : Puigdemont renonce

Catalogne : Puigdemont renonce

 

Puigdemont renonce et propose Quim Torra ;  la fin peut-être d’un lamentable feuilleton pour la nomination du président de la Catalogne, en suspens depuis des mois du fait de l’intransigeance de Madrid. Madrid qui instrumentalise le conflit avec la Catalogne pour masquer ses propres faibles notamment la fragilité de sa majorité aussi des affaires peu recommandables du parti de Rajoy. En montant les autres espagnols contre la catalogne Rajoy espère ainsi reconquérir uen peu de crédibilité. Mais le dirigeant indépendantiste catalan, Carles Puigdemont, a annoncé, ce jeudi, depuis l’Allemagne, qu’il renonçait à redevenir le président de la Catalogne et désigné un nouveau venu en politique, Quim Torra, pour être candidat à sa succession. «Notre groupe propose le camarade député (catalan) Quim Torra à la présidence de la Généralité (l’exécutif de Catalogne, NDLR)», a déclaré Carles Puigdemont dans un enregistrement vidéo, proposant que cet éditeur de 55 ans tente d’être investi par le parlement dans les prochains jours. Les indépendantistes ont remporté les régionales en décembre, mais s’ils n’élisent pas un nouveau président d’ici le 22 mai, les Catalans seront automatiquement rappelés aux urnes. Le gouvernement espagnol était intervenu mercredi pour barrer la route à une réélection de l’ex-président indépendantiste de Catalogne, forçant les séparatistes à présenter un nouveau candidat s’ils voulaient enfin former un gouvernement. Le Conseil des ministres avait saisi la Cour constitutionnelle pour qu’elle annule une loi votée la semaine dernière au Parlement catalan, censée permettre d’investir en son absence l’ex-président Carles Puigdemont, installé hors d’Espagne depuis la sécession mort-née. «L’intolérance et le manque de respect de l’État envers la volonté des citoyens de Catalogne sont apparus clairement aux yeux du monde», a commenté Carles Puigdemont dans son discours, en incitant le prochain exécutif régional à construire un pays indépendant.

Catalogne : Puigdemont renonce

Catalogne : Puigdemont renonce

Nouvel épidode dans le feuilleton Catalogne Espagne. Un épisode qui en appellera d’autres car si Puigdemont vient de renoncer à la présidence de la Catalogne, la désignation dun autre indépendantiste actuellement en prison va poser d’autres problèmes juridiques et politiques. En difficulté politique,  le Premier ministre espagnol Rajoy se sert de la crise catalane pour détourner l’attention et faire oublier aussi les affaires de corruption. – L’ancien président de la Catalogne Carles Puigdemont va renoncer à briguer un nouveau mandat à la tête de la région et laisser la place à un autre candidat, rapporte le journal espagnol El Nacional citant des sources au sein de son parti Junts per Catalunya . Puigdemont va nommer comme successeur Jordi Sanchez, partisan de l’indépendance catalane actuellement en prison pour sédition, ajoute le journal. Carles Puigdemont s’est réfugié à Bruxelles pour échapper à une arrestation demandée par les autorités espagnoles pour avoir proclamé l’indépendance de la Catalogne à l’automne dernier. Le président du gouvernement espagnol Mariano Rajoy a mis la Catalogne sous administration directe de l’Etat espagnol fin octobre et convoqué des élections régionales pour tenter d’obtenir un vote défavorable aux partis indépendantistes. Lors de ce scrutin anticipé, le 21 décembre dernier, le pari du chef du gouvernement espagnol a été perdu. Les électeurs ont envoyé de nouveau au parlement régional catalan une majorité en faveur de l’indépendance.

 

2017 : Nicolas Hulot renonce, une sage décision

2017 : Nicolas Hulot renonce, une sage décision

 

 

Nicolas Hulot a sans doute pris une sage décision en renonçant à se présenter aux élections présidentielles de 2017. C’est avec beaucoup de lucidité qu’il a estimée qu’il n’était « ni suffisamment armé, ni suffisamment aguerri » pour endosser l’habit de l’homme providentiel. Nicolas Hulot défend souvent avec pertinence la question environnementale mais s’est rarement exprimé sur les problèmes économiques, sociaux ou sociétaux. Ce que font par contre les écolos politisés d’Europe écologie les Verts. Malheureusement pour eux le plus souvent sans aucune pertinence voire en renforçant les contradictions entre les différentes dimensions à prendre en compte. Pire les écolos politisés d’Europe écologie les Verts composés essentiellement de gauchistes et de crypto communiste ont souvent déserté le champ environnemental pour se consacrer aux autres questions politiques de manière caricaturale, radicale et partisane. Cette posture étant  particulièrement incarnée par Cécile Duflot qui aura échoué aussi bien lorsqu’elle était au gouvernement qu’en tant que dirigeante d’Europe écologie les Verts, une formation en pleine déliquescence après le départ de  nombre de responsables en désaccord avec la ligne gauchiste. Nicolas Hulot pouvait cependant espérer obtenir autour de 10 % des voix aux élections présidentielles. Un score cependant insuffisant pour peser sur la politique française à moins de se satisfaire d’un portefeuille ministériel. Or Nicolas Hulot sous droite  comme sous la gauche à déjà refusé d’être ministre. D’un certain point de vue   Hulot  entend sans doute conserver un poids autrement important pour peser sur les orientations politiques relatives à l’écologie; à  cet égard, l’écologie n’aurait jamais dû prendre une forme politique qui nécessairement se transforme un jour  en organisation politicienne. Du coup les écolos d’Europe écologie les Verts vont se trouver orphelins car ce sont surtout eux qui poussé Nicolas Hulot à se présenter. En effet aucun membre des Verts ne dispose du charisme et de la compétence nécessaires pour espérer dépasserr2 à 3% aux élections présidentielles de 2017. Des voix se sont élevées au sein des écologistes pour pousser l’ancien animateur de télévision à se présenter en 2017, bien qu’il ait été échaudé par le scrutin interne à Europe Écologie-Les Verts (EELV) qui, en 2011, l’avait vu perdre face à Éva Joly. Nicolas Hulot indique cependant qu’il continuera à faire valoir ses idées pour l’écologie dans le débat public, sans pour autant indiquer s’il soutiendra un candidat de la présidentielle en particulier. « Ce que je peux, avec ma Fondation, c’est contribuer dans les mois à venir à additionner les énergies positives de ceux qui ne se résignent pas, pour que le pays se réconcilie et reprenne confiance en lui », précise-t-il. Du coup il se pourrait que Cécile Duflot qui en meurt d’envie présente sa candidature mais compte tenu de sa personnalité très sectaire il est probable qu’elle pourrait faire un score aussi catastrophique qu’Eva Joly et ce pourrait être la mort des Verts qui pourraient alors se regrouper avec Mélenchon dont ils sont finalement très proches

Pour vendre des Airbus on renonce à la taxe Nutella

Pour vendre des Airbus on renonce à la taxe Nutella

 

 

 

 

 

Nouveau retournement de situation concernant la taxation de l’huile  palme qu’on avait pourtant prévu de taxer sur celle de l’huile d’olive. ‘ Huile de palme va donc demeurer la moins taxée. En cause le chantage de l’Indonésie concernant l’achat d’Airbus. Il est clair que les petits producteurs d’huile notamment d’huile d’olive ne pèsent pas lourd par rapport aux intérêts financiers d’Airbus. On pourra donc continuer de déforester  en Indonésie pour développer une agriculture industrielle destinée à produire de l’huile de palme. Une attitude des députés qui ne grandit pas la France vis-à-vis des enjeux environnementaux voire de santé. Les députés ont renoncé mercredi soir à la surtaxation de l’huile de palme, en nouvelle lecture sur le projet de loi Biodiversité, qui avait entraîné les protestations des deux principaux producteurs mondiaux, l’Indonésie et la Malaisie. Revenant sur leurs précédents votes, y compris pourtant en commission il y a quelques jours, les députés ont supprimé cette mesure qui visait à aligner la taxation de l’huile de palme, qui fait partie des huiles végétales les moins taxées en France, sur celle de l’huile d’olive. Mais ces votes avait entraîné de vives protestations notamment de l’Indonésie, critique d’une mesure « arrogante » pouvant « mettre en danger les relations entre les deux pays », alors que ce pays met en avant ses efforts pour produire davantage d’huile certifiée, censée limiter la déforestation dont cette industrie est accusée. Plusieurs députés, notamment à droite, ont relayé ces arguments dans l’hémicycle, craignant des conséquences pour l’emploi en France. Selon le député LR Nicolas Dhuicq, l’Indonésie menaçait notamment la France « de rétorsions économiques, notamment sur des achats d’Airbus et de satellites ».  »Nous légiférons avec le couteau sous la gorge. Le Parlement français fait l’objet d’un chantage », a déploré la socialiste Delphine Batho.  Mais la secrétaire d’Etat à la Biodiversité Barbara Pompili et la rapporteure PS Geneviève Gaillard ont également changé de position, invoquant la « fragilité juridique » du dispositif et qu’il était difficile de toucher à un type d’huile sans les autres.
A la place, les députés ont voté un amendement du gouvernement, s’inspirant d’un rapport de la mission d’information sur la taxation des produits agro-alimentaires publié ce mercredi et se fixant comme objectif de revoir d’ici six mois « le dispositif actuel de taxation des huiles alimentaires, afin notamment de le simplifier et de favoriser les productions dont la durabilité fait l’objet de critères objectif ».

 

Corruption : Sapin renonce aux petits arrangements fiscaux entre amis

Corruption : Sapin renonce aux petits arrangements fiscaux entre amis

 

Officiellement Michel Sapin, inspiré sans doute par les pratiques américaines, a dû  renoncer aux principes du plaider coupable  qui aurait permis de négocier le montant de la sanction financière avec les autorités fiscales. Une disposition qui visait  surtout les transactions commerciales internationales. Pourtant ces petits arrangements entre amis ne sont pas étrangers à la pratique fiscale française puisque nombre de détournement fiscaux de grandes entreprises sont négociés à l’amiable avec le ministère des finances. On objectera à juste titre que la France n’est sans doute pas le seul pays qui utilise l’arme de la corruption pour obtenir des débouchés commerciaux à l’étranger notamment en ce qui concerne le secteur de l’armement. La plupart des affaires judiciaires sur le sujet ont par ailleurs été enterrées. Il est vrai que nombre de pays ont pris des mesures juridiques pour s’opposer à ce type de pratiques. Pour autant le principe de corruption (et de rétro commissions) n’est pas prêt de disparaître compte tenu de la collusion entre le système politique et le monde économique. Le gouvernement renonce donc officiellement à introduire la possibilité d’une transaction pénale pour les entreprises dans son nouvel arsenal anti-corruption faute d’avoir obtenu le feu vert du Conseil d’Etat mais laisse la question ouverte pour le débat parlementaire, a annoncé le ministre des Finances, Michel Sapin. Le projet de loi dit « Sapin 2″, qui sera présenté mercredi en conseil des ministres, vise notamment à lutter contre la corruption dans les transactions commerciales internationales. « Je ne pense pas qu’il y ait plus de comportements délictueux chez nous qu’ailleurs. Mais l’absence de condamnations en France pour versements, en particulier de pots-de-vin, a créé un climat de soupçon envers notre pays que je juge infamant », déclare le ministre dans une interview au Journal du Dimanche. Le projet de loi, qui prévoit la création d’une agence nationale de lutte contre la corruption, doit permettre de combler ces lacunes à la suite d’une série de condamnations d’entreprises françaises à l’étranger, pour l’essentiel aux Etats-Unis, comme Alstom, Total, Technip ou Alcatel ces dernières années.

avec Reuters

Jean-Marie Le Pen renonce à la région Paca

Jean-Marie Le Pen renonce à la région Paca

C’est une  sorte de renoncement à la future présidence de la région PACA pour Jean Marie Lepen puisqu’il consent à être remplacé comme candidat par sa petite fille Marion Maréchal Lepen. Une orientation qu’avait déjà avancé Marine Lepen. Jean-Marie Le Pen, dont la rupture avec sa fille Marine, présidente du Front national, est consommée, ne semble donc  plus exclure de renoncer à se présenter aux élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur mais à condition que sa petite-fille, Marion Maréchal-Le Pen, soit investie à sa place. Marine Le Pen a annoncé qu’elle s’opposerait à la candidature de son père après une nouvelle salve de provocations du fondateur et président d’honneur du FN, notamment dans une interview au journal d’extrême droite Rivarol. Le bureau exécutif du Front national est convoqué le 17 avril pour examiner les investitures des têtes de liste aux régionales de décembre. « Je ferai connaître ma position lundi », annonce Jean-Marie Le Pen, 86 ans, dans Le Journal du Dimanche (JDD). « Si je n’étais pas candidat, je ne vois que Marion », ajoute-t-il. « Il n’y a aucune autre personnalité qui ait autant de notoriété et de particularité au sein du Front national pour cette région. » Marion Maréchal-Le Pen, 25 ans, nièce de Marine Le Pen et députée du Vaucluse, a toujours, jusqu’ici, refusé de prendre parti contre son grand-père et il paraît peu probable qu’elle accepte l’investiture du FN s’il conduit une liste dissidente. Marine Le Pen juge les provocations répétées de son père nuisibles à sa stratégie de « dédiabolisation » et d’implantation électorale du FN et a annoncé jeudi qu’elle engagerait contre lui une procédure disciplinaire. Une annonce que l’intéressé tourne en dérision : « Je ne suis au courant de rien », dit-il au JDD. « Cela doit être la honte qui les freine. Qui attachera la clochette à la queue du chat ? »

 

« L’école a renoncé à l’instruction » ( Onfray)

« L’école a renoncé à l’instruction » ( Onfray)

 

Michel Onfray , le philosophe se lâche et prend à rebours la pensée de la gauche bien pensante.

 

 

L’école et plus largement la société sont-elles confrontées à une crise de la transmission des savoirs?

 

Michel Onfray: L’école se substitue aux familles en matière d’éducation, dès lors, et pour ce faire, elle a renoncé à l’instruction. Demander à l’école qu’elle apprenne à lire, écrire, compter, penser devrait être une demande de bon sens: elle devient désormais une provocation! Apprendre la maitrise de la programmation informatique, apprendre la théorie du genre, sous prétexte de féminisme et de lutte contre les discriminations sexuelles, (un programme auquel au demeurant je souscris…), apprendre à sauver la planète sont des programmes qu’il n’est pas inutile d’envisager, bien sûr, mais une fois que les savoirs élémentaires sont acquis. Or, le sont-ils? Si l’on sort des réponses idéologiques, on sait bien que non… J’ai enseigné vingt ans dans un lycée technique, je sais de quoi je parle…  Le fils d’ouvrier agricole et de femme de ménage que je suis s’en est sorti grâce à une école qui n’existe plus. L’école d’aujourd’hui tue sur place les enfants de pauvres et sélectionne les enfants des classes favorisées qui monnaient dans la vie active non pas ce qu’ils ont appris à l’école, mais ce qu’ils ont appris chez eux. Lire ou relire Bourdieu plus que jamais d’actualité …Si l’on justifie cela, alors il faut continuer et défendre cette école qui massacre tous les enfants de gueux, dont je fus. Sinon, il faut abolir cette usine à éjecter les enfants de pauvres hors du système.  Le fils d’ouvrier agricole et de femme de ménage que je suis s’en est sorti grâce à une école qui n’existe plus. L’école d’aujourd’hui tue sur place les enfants de pauvres et sélectionne les enfants des classes favorisées qui monnaient dans la vie active non pas ce qu’ils ont appris à l’école, mais ce qu’ils ont appris chez eux.

 

Une partie de la presse dite de gauche, vous accuse d’être réactionnaire. Que leur répondez-vous?

 

Il y a bien longtemps que je ne me soucie plus de cette presse qui se dit de gauche alors qu’elle n’a plus aucun souci du peuple qu’elle méprise et renvoie ainsi dans les bras de Marie Le Pen. Ces journaux transforment d’autant plus en diable Marine Le Pen qu’ils préfèrent ignorer, et on les comprend, que ce sont eux qui, pour avoir renoncé à la gauche qui s’occupait du peuple, nourrissent le FN et l’engraissent. Cette presse-là défend le programme économique libéral et européen de l’UMP et du PS. Quand l’UMP est au pouvoir, elle est contre, mais quand le PS l’y remplace, elle est pour. Dès lors, pour laisser croire que droite et gauche ça n’est pas la même chose, la presse dite de gauche s’excite sur des sujets sociétaux en croyant que la gauche est là. Or elle ne s’y trouve que de façon minoritaire.  J’ai créé une Université Populaire en province, à Caen, en 2002, pour lutter contre les idées du FN, j’y travaille avec une vingtaine d’amis bénévolement, gratuitement. Les amphis sont pleins. En douze années, cette presse-là n’a jamais eu aucun mot pour notre façon de penser et d’agir à gauche. Elle n’est l’arbitre des élégances de gauche que pour une poignée de mondains qui ne sont pas de mon monde. Le mien, c’est le peuple – qu’ils méprisent la plupart du temps en traitant de populiste quiconque en a le souci… Sollers m’a un jour traité de «tribun de la plèbe» en croyant m’insulter, il n’imagine pas combien il m’a fait plaisir! Le peuple, c’est celui qui dit non à l’Europe et à qui l’UMP et le PS, soutenus par cette même presse qui se dit de gauche, infligent tout de même l’Europe à laquelle ils avaient dit non. C’est ce peuple là que j’aime.  Marine Le Pen est leur créature. Ma gauche, libertaire et sociale, peut bien être mal jugée par cette presse de gauche libérale et technocratique : j’ai ma conscience pour moi…

 

Interview « le Figaro »

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