Archive pour le Tag 'rencontre'

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Thierry Solère la Girouette pour une rencontre Sarkozy- Juppé-Fillon

Thierry Solère la Girouette pour une  rencontre Sarkozy- Juppé-Fillon

 

De toute évidence face au risque de défaite aux présidentielles, les responsables des Républicains s’agitent dans tous les sens. Il y a aujourd’hui une réunion du bureau politique des Républicains, aussi l’appel d’Estrosi pour une rencontre de plusieurs présidents de région et dernièrement la proposition de Thierry Solère pour une discussion directe entre Sarkozy, Juppé et Fillon. On se souvient que Thierry Soler avait présidé l’organisation des primaires, qu’il s’était félicité de son succès et avait ensuite milité pendant longtemps en faveur du vainqueur avant de le trahir alors qu’il était son porte-parole. Aujourd’hui, il propose de revenir aux vieilles méthodes manœuvrières dans les coulisses pour substituer aux primaires un arrangement entre Sarkozy Juppé et Fillon. L’ancien communicant ne manque pas de bagout pour  justifier  ses revirements de girouette. Au micro de RTL, le député des Hauts-de-Seine demande maintenant à Alain Juppé, Nicolas Sarkozy et François Fillon de se rencontrer physiquement pour « trouver une porte de sortie » à ce dilemme politique. « Ce sont trois hommes d’État. Je sais qu’ils se parlent mais pas tous les trois ensemble. Il n’est imaginable que, dans la crise que nous vivons aujourd’hui, ces trois personnes ne se voient pas. Il est impératif qu’ils se voient et trouvent la solution à cette crise que nous connaissons », affirme-t-il, soulignant que les trois hommes ont réuni « 90% des voix de la primaire ».

Martinez – El Khomri : une rencontre pour rien ?

Martinez – El Khomri : une rencontre pour rien ?

D’une certaine manière cette  rencontre relève essentiellement d’une stratégie de communication tant de la part du gouvernement que de la part de la CGT. Si le sujet n’était pas aussi sérieux on pourrait parler de tragique comédie les deux parties veulent seulement démontrer qu’elles sont ouvertes à la discussion mais sans changer d’un iota leur position. Les deux parties n’ont d’ailleurs cessé d’affirmer depuis une dizaine de jours qu’elles étaient prêtes à se rencontrer immédiatement. En vain puisque personne n’a pris l’initiative de fixer une date avant celle de la réunion de ce vendredi. En l’état des positions des un et les autres et du rapport de force, cette rencontre ne débouchera sur rien. Cela d’autant plus que la ministre du travail elle El Khomri ne dispose d’aucun pouvoir de décision et que la gestion du dossier est assurée directement par Manuel Valls qui ne fera aucune conception à une organisation qui a politisé le débat. On connaît l’argumentaire de la CGT : il ne s’agit plus de retirer le texte mais de changer son architecture en particulier sur l’article 2 qui prévoit l’inversion des normes. Autrement dit on maintient le texte mais on  change le contenu et sa logique. Une position non négociable pour le gouvernement. Un gouvernement qui s’il devait modifier complètement la philosophie du texte n’aurait plus qu’à démissionner. Il faudrait donc sans doute un miracle pour que Myriam El Khomri et Philippe Martinez, qui se rencontrent ce vendredi à 8 heures au ministère du Travail, puissent s’entendre sur la loi travail quand on entend le ton adopté par chacun. Et surtout les méthodes de force. Des images publiées par la préfecture de police et qui tournent sur les réseaux sociaux font apparaître des manifestants affublés de chasubles rouges, arracher des pavés.  Interrogé sur la question, Philippe Martinez a maladroitement confirmé qu’il s’agit de militants de la CGT qui ont participé à des violences contre la police lors de la manifestation contre la loi travail. «Il y a dû avoir un ordre, je pense, de la préfecture de police, de charger les manifestants. Quand c’est comme ça, chacun essaie de se défendre», a-t-il déclaré ce matin sur RTL. Une nouvelle polémique d’autant plus dommageable que le secrétaire général de la CGT a assuré ce jeudi matin qu’«on a le sens des responsabilités et notre volonté c’est de dialoguer». Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a appelé Philippe Martinez à «prendre ses responsabilités» et à «condamner» les syndicalistes qui seraient coupables de violences. Nul doute que ce sujet sera à l’ordre du jour de la réunion entre Myriam El Khomri et Philippe Martinez. Au grand dam certains syndicats. «Avec toutes ces violences, on ne parle même plus du fond. Ce n’est plus possible. Il est grand temps de réinstaller la culture du dialogue dans ce pays», affirme Véronique Descacq, secrétaire générale adjointe de la CFDT, ce jeudi matin sur Radio Classique. «Nous sommes contents de rencontrer la ministre, déclare a Catherine Perret, secrétaire confédérale, chargée de la loi travail pour la CGT. Nous ne l’avions plus rencontré en tête à tête au ministère depuis le 3 mars dernier». Cette rencontre doit avant tout permettre de «clarifier les choses et de mettre sur la table les propositions de la CGT», explique-t-on au ministère. «Il était important que le dialogue reprenne» entre le gouvernement et le premier syndicat français «qui ne venait à aucune réunion du ministère» sur la loi travail, selon le ministère. Pour Philippe Martinez, ce rendez-vous permettra d’«écouter et discuter sur les choses qui ne vont pas dans le texte». Mais aucune annonce ne sera faite à l’issue de la rencontre, annonce le ministère.

Rencontre Hollande chez Castro : 60% des Français pour

 

 

 

Comme sur les autres dossiers internationaux , la politique de Hollande est  approuvée suite à la rencontre avec Castro. Cependant cela ne change strictement rien à l’impopularité du président de la république. Une large majorité des Français approuvent la rencontre avec Fidel Castro d’après le  sondage réalisé par Odoxa pour Le Parisien. En effet, 6 Français sur 10 estiment que François Hollande a eu raison de rencontrer Fidel Castro. Les Français sont 58 % à estimer « qu’il a eu raison au moment où Cuba s’ouvre au monde » car « il est important de montrer que la France joue un rôle international » et 39 % à considérer « qu’il a eu tort » car « un président français ne doit pas s’afficher avec un dictateur ». A gauche, les avis sont quasi unanimes (81 % donnent raison au président), tandis que les sympathisants de droite, eux-mêmes, ne sont pas vent debout. Qu’ils se sentent proches de l’UMP, de l’UDI ou du FN, ils se montrent partagés : en moyenne, ils sont 47 % à approuver le président contre 50 % qui le désapprouvent.  « Ce n’est pas la première fois que les Français se montrent plutôt adeptes de realpolitik, souligne Céline Bracq, directrice générale d’Odoxa. En 2007, lors de la spectaculaire visite du colonel Kadhafi en France, les Français l’avaient approuvé majoritairement (49 % contre 43 % qui s’y montraient opposés). Et pourtant à l’époque, la crise n’avait pas encore frappé notre pays et l’argument économique avait donc moins de force qu’aujourd’hui. ». Pour autant cela ne modifie en rien l’impopularité de Hollande. Preuve s’il en était que la croissance et l’emploi sont bien plus prioritaires pour les Français.

 

Sarkozy : pas de rencontre avec Merkel

Sarkozy : pas de rencontre avec Merkel

 

Toujours auusi rapide Sarkozy avait annoncé sa rencontre avec Merkel, il avait simplement oublié de la prévenir (il avait aussi oublié de prévenir les intéressés quand il a lancé son idée du comité des « vieux cons » anciens Premiers ministres). C’était la première annonce du nouveau président de l’UMP. Le déplacement de Nicolas Sarkozy au congrès de la CDU à Cologne mardi prochain pour y rencontrer la chancelière allemande Angela Merkel aux côtés de Bruno Le Maire. Un beau signal, de belles images en perspective. Mais la rencontre est reportée et les explications divergent.  A la CDU, l’embarras est d’ailleurs palpable. « Voyez avec l’UMP« , balbutie un conseiller presse au téléphone. Nouveau coup de fil donc. L’explication officielle de l’UMP tombe : c’est Nicolas Sarkozy qui a annulé, pour cause d’agenda surchargé. Il doit rencontrer ce jour-là les sénateurs UMP. Plutôt croustillant vu le peu d’égard de l’ancien président pour le palais du Luxembourg. Mais le problème est apparemment tout autre. Nicolas Sarkozy a tout simplement oublié de prévenir la chancelière explique-t-on sous couvert de l’anonymat. Et de toute façon Angela Merkel n’aurait aucune envie de participer à une opération de communication politique.   La chancelière allemande a toutefois appelé jeudi Nicolas Sarkozy pour le féliciter de son élection se réjouit l’entourage du patron de l’UMP qui souligne au passage que les intéressés ne se sont pas parlés avant. Angela Merkel recevra finalement Nicolas Sarkozy à Berlin, à la chancellerie donc, c’est encore mieux assure la garde rapprochée de l’ancien président. La date, elle, n’est pas fixée. Mais l’entretien n’aura pas lieu avant le mois de janvier. Le couple « Merkozy » attendra.

Rencontre Le Pen-Buisson d’entre-deux-tours

Rencontre  Le Pen-Buisson d’entre-deux-tours

Patrick Buisson, alors conseiller de Nicolas Sarkozy, a rencontré Jean-Marie Le Pen entre les deux tours de la présidentielle de 2007 pour « prendre la température » sur ses intentions, a déclaré jeudi sa fille, Marine Le Pen. L’actuelle dirigeante du Front national a dit avoir rencontré « une fois » Patrick Buisson, qui est au centre d’un scandale après la diffusion d’enregistrements clandestins de conversations avec Nicolas Sarkozy et son entourage. Les avocats de l’ancien président et de son épouse ont annoncé vendredi qu’ils allaient engager des poursuites judiciaires pour atteinte à l’intimité de la vie privée après la publication de ces enregistrements, dont le défenseur de Patrick Buisson a reconnu l’authenticité.   »Je l’ai rencontré une fois lors d’un déjeuner avec Jean-Marie Le Pen entre les deux tours de la présidentielle de 2007″, a précisé Marine Le Pen à propos de Patrick Buisson lors d’une rencontre avec des journalistes. Le conseiller, qui a été directeur du journal d’extrême droite Minute, venait selon elle pour « prendre la température » auprès de Jean-Marie Le Pen, qui venait d’être exclu du second tour de la présidentielle avec 10,44% des voix. Nicolas Sarkozy l’emportera le 6 mai 2007 avec 53,06% des voix face à la socialiste Ségolène Royal après avoir capté une partie de l’électorat frontiste. « Je suppose que Nicolas Sarkozy (par l’intermédiaire de Patrick Buisson-NDLR) venait tenter de prendre la température pour savoir si, par hasard, Jean-Marie Le Pen n’envisageait pas d’appeler à voter pour lui, ce qui ne serait d’ailleurs pas scandaleux outre mesure », a ajouté la présidente du FN.

 

Rencontre Hollande-syndicats : pour un changement de cap en Europe

Rencontre Hollande-syndicats : pour un changement de cap en Europe

 

 

La rencontre, qui a lieu à la demande de Bernadette Ségol, numéro un de la CES, s’inscrit dans le cadre d’une mobilisation européenne « contre l’austérité » et pour exiger du Conseil européen qui se réunira les 27 et 28 juin et aura pour thème le social, d’intégrer la « dimension sociale » de l’Europe dans sa gouvernance.  Pour appuyer leur démarche, Thierry Lepaon (CGT), Laurent Berger (CFDT), Philippe Louis (CFTC), Luc Bérille (Unsa) appellent à un rassemblement à 13H00 place de l’Alma (VIIIe arrondissement). Il s’agira de la première mobilisation commune depuis le 14 novembre de la CGT et de la CFDT qui sont en froid.  Le leader de FO, Jean-Claude Mailly, présent à l’Elysée, n’appelle pas à cette action.  L’initiative intervient sur fond d’explosion du chômage et à la veille de la conférence sociale chargée de lancer la concertation sur la réforme des retraites et où les syndicats se rendent en ordre dispersé.  Mais, pour le leader de la CGT, la demande d’un « contrat social pour l’Europe » qui « donne la priorité aux droits sociaux et rejette toute concurrence vers le bas en matière de droit du travail », est « un point de convergence » entre les syndicats français.  La CGT, la CFDT la CFTC, l’Unsa et la CES ont cosigné une tribune pour « appeler à arrêter les coupes budgétaires dans les dépenses publiques » et « prendre des dispositions urgentes pour l’augmentation des salaires et de l’investissement », a indiqué lundi M. Lepaon.  Selon lui, « il faut un changement de cap radical qui tourne le dos aux politiques d’austérité menées partout en Europe ».  Les récentes grèves, des « avertissements » au gouvernement   »Le messages que nous portons c’est que l’Europe doit prendre des mesures qui vont dans le sens de la croissance, alors que l’atonie menace tous les pays, même l’Allemagne », souligne de son côté auprès de l’AFP Marcel Grignard, membre de la direction de la CFDT.  Il rappelle que sur les quelque 120 milliards d’euros de fonds alloués l’an dernier au pacte européen de croissance, « pas même la moitié » n’a été utilisée.  Le président Hollande a lui-même dénoncé dimanche soir sur M6 « des politiques d’austérité très dures » dans certains pays européens et a affirmé qu’il allait demander au sommet de l’UE « une évaluation du pacte de croissance » qui avait été ajouté sur sa demande l’an dernier au traité budgétaire.  L’Europe doit aussi « avancer pour limiter la concurrence sociale », avec des « standards minima sociaux » et notamment « un mécanisme de salaire minimum » dans tous les pays, estime M. Grignard.  Luc Bérille, secrétaire général de l’Unsa, relève qu’ »il y a une limite objective à la situation française », en raison des déficits et de la dette, « mais il faut un appui au niveau européen ». La demande adressée au président de la République est « d’appuyer une politique visant à un plan d’investissement européen pour relancer la croissance ».  Pour la CGT, les récentes grèves et mobilisations en France sont autant « d’avertissements » au gouvernement. Elle rappelle le « succès » de la grève des aiguilleurs du ciel qui s’opposaient à la libéralisation du contrôle aérien en Europe et la mobilisation des cheminots contre une réforme du ferroviaire qui « répond aux exigences libérales de Bruxelles ».  De son côté, Jean-Claude Mailly affirme que « les gouvernements ont accepté la logique » de Bruxelles, « y compris le gouvernement français, quand il a accepté de ne pas renégocier le traité » budgétaire européen.  D’ailleurs, pour FO, les pistes avancées par le rapport de la commission Moreau pour une réforme des retraites « s’inscrivent dans la logique d?austérité recommandée par la Commission européenne ».

 

Ban Ki-Moon (ONU) rencontre le président Sarkozy à New York

Ban Ki-Moon (ONU) rencontre le président Sarkozy à New York

 Erreur sur la personne ou maladresse volontaire ? En tout cas le secrétaire de l’ONU reçoit le président (ex) Sarkozy. Il se pourrait que l’ONU ne soit pas informée des élections présidentielles de juin 2012 et du changement de locataire de l’Elysée. Ou alors Hollande est tellement transparent au plan international qu’on a préfèré recevoir son prédécesseur.  L’ancien président français Nicolas Sarkozy s’est donc entretenu vendredi à New York avec le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-Moon, a indiqué son attachée de presse.  Il s’agissait de « retrouvailles amicales » à la résidence new-yorkaise de M. Ban, a précisé Véronique Waché.   »C’est une visite privée à la demande du président Sarkozy », a souligné le porte-parole de l’ONU Martin Nesirky. Il a rappelé que M. Ban « avait travaillé en coopération étroite avec M. Sarkozy lorsque celui-ci était en fonction ».  M. Sarkozy venait de Montréal, où il a donné jeudi une conférence ( payée autour de 100 000 dollars, une bricole !) dans laquelle il a évoqué sa confiance dans l’avenir de l’Union européenne et de l’euro, selon le témoignage d’un des participants.

 

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