Archive pour le Tag 'Renault'

Renault :Luca de Meo quitte le navire automobile !

Renault :Luca de Meo quitte le navire automobile !

Le départ de Luca de Méo constitue une surprise qui n’en est pas vraiment une. En effet l’intéressé a sans doute pris la mesure des difficultés terribles qui vont affecter l’industrie automobile notamment européenne. Notons que son départ a déjà été précédé par celui du directeur financier, ce qui traduit aussi sans doute les inquiétudes sur les futurs résultats automobiles de Renault et aussi des autres marques européennes.

Le constructeur automobile français Renault a annoncé, dimanche 15 juin, la démission de son directeur général, Luca de Meo, après avoir passé cinq années à redresser les ventes du groupe.

Luca de Meo a passé plus de trente ans dans le secteur automobile, a redressé les marques Seat et Fiat avant Renault, a décidé de changer de secteur. À l’âge de 58 ans, il s’apprête à rejoindre le groupe de luxe Kering spécialisé dans la mode et la joaillerie, selon les informations du Figaro.

Dirigée par François-Henri Pinault, l’entreprise est confrontée à des difficultés financières, notamment à cause d’une baisse de la consommation en Chine, qui est l’un de ses premiers marchés, et l’incertitude qui gagne les États-Unis représente également une source de préoccupation. L’arrivée de Luca de Meo pourrait permettre au groupe de luxe de redresser ses finances pour faire face aux crises à venir.

Ce lundi 16 juin, l’action de Renault perdait plus de 6 % tandis que celle de Kering bondissait de 6 %, en début de séance à la Bourse de Paris.

Défense: Renault va construire des drones en Ukraine

Défense: Renault va construire des drones en Ukraine

L’objectif de ce partenariat avec Kiev est, d’une part, de produire des drones à grande échelle et, d’autre part, d’apprendre à les utiliser en opération. Ces drones seront destinés aux Ukrainiens, « mais nous allons aussi en faire bénéficier nos propres armées françaises pour avoir en permanence un entraînement tactique, opératif, qui colle à la réalité » du conflit en Ukraine, a indiqué le ministère des armées.

Renault va construire des drones en Ukraine

Renault va construire des drones en Ukraine

L’objectif de ce partenariat avec Kiev est, d’une part, de produire des drones à grande échelle et, d’autre part, d’apprendre à les utiliser en opération. Ces drones seront destinés aux Ukrainiens, « mais nous allons aussi en faire bénéficier nos propres armées françaises pour avoir en permanence un entraînement tactique, opératif, qui colle à la réalité » du conflit en Ukraine, a indiqué le ministère des armées.

Renault et Nissan réduisent encore leur coopération

Renault et Nissan réduisent encore leur coopération

Les deux entreprises réduisent à 10% leurs participations croisées, au lieu de 15% actuellement. Renault Nissan réduisent donc encore leur coopération non seulement dans le domaine financier mais aussi technologique puisque Nissan a décidé dans ce domaine de se rapprocher surtout de Honda mais en gardant des liens avec Renault.

Renault et Nissan ont annoncé lundi être tombés d’accord pour remanier leur accord de février 2023 revoyant leur alliance avec à la clef la possibilité pour les deux entreprises de descendre à 10% de participations croisées, au lieu de 15% actuellement.

Le nouvel accord prévoit également la cession de la participation de 51% de Nissan dans l’usine de Chennai, dont Renault prendrait le contrôle intégral, et la production par le constructeur français sur le continent européen d’un véhicule dérivé de Twingo pour le compte de l’entreprise japonaise. Nissan est également « libéré de son engagement à investir dans Ampere », selon le communiqué.

Fonderie de Bretagne : reprise possible par Renault

Fonderie de Bretagne : reprise possible par Renault

 

 

Auditionné par la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale, Luca de Meo, a été  interpelé sur la situation de la Fonderie de Bretagne, menacée de fermeture. Le directeur général du groupe Renault se dit ainsi prêt à reprendre en interne les salariés concernés.

« Personne à Renault n’est opposé à un projet de reprise. (…) Si aucun projet de reprise ne voit le jour pour cette fonderie, Renault prendra ses responsabilités », a déclaré le patron devant les députés.

Affaire corruption Renault : Rachida Dati toujours visée par la justice

Affaire corruption Renault : Rachida Dati toujours visée par la justice

La cour d’appel de Paris a rejeté mardi 2 juin 2024 la demande de la ministre de la Culture Rachida Dati de faire reconnaître la prescription et de mettre fin aux poursuites qui la visent pour corruption notamment depuis 2021 dans un volet de l’affaire Carlos Ghosn.Elle est toujours soupçonnée d’avoir reçu un dûment près de 1 million d’euros pour de pseudos prestations de la part de l’entreprise Renault .

L’ancienne garde des Sceaux et ex-maire du 7e arrondissement de Paris est mise en examen depuis juillet 2021 pour corruption et trafic d’influence passif par personne investie d’un mandat électif public. Elle est soupçonnée d’avoir perçu 900.000 euros de la part de RNBV, filiale de l’alliance Renault-Nissan, sans contrepartie d’un travail réel, entre 2010 et 2012, alors qu’elle était avocate et députée européenne (2009-2019).

 

Valorisation boursière : Renault passe devant Nissan

Valorisation boursière : Renault passe devant Nissan

 

Progressivement les liens économiques entre Renault et Nissan se distendent comme la coopération technique. Nissan se rapproche d’ailleurs maintenant de Toyota et Renault se débarrasse de ses participations dans Nissan. Finalement le divorce aura surtout profité à Renault qui passe enfin devant Nissan en matière de valorisation boursière. 
Le constructeur français est désormais valorisé 16 milliards de dollars en Bourse selon Bloomberg, soit 1 milliard de plus que son partenaire japonais. Une inversion des positions résultant des bons résultats enregistrés par Renault ces derniers mois.

La valorisation boursière de Renault dépasse désormais celle de Nissan, après avoir été à la traîne pendant la quasi-totalité de leur association, qui a débuté en 1999.

Un renversement symbolique. La valorisation boursière de Renault dépasse désormais celle de Nissan, après avoir été à la traîne pendant la quasi-totalité de leur association, qui a débuté en 1999.

La marque au losange vaut désormais 15 milliards d’euros (16 milliards de dollars), soit environ 1 milliard de plus que le groupe japonais, a relevé lundi l’agence Bloomberg. Un inversement des positions bâti sur les bons résultats boursiers de Renault ces derniers mois. Depuis le début de l’année, son titre s’est apprécié de 37 %. Sur les six derniers mois, la progression atteint même 42 %.

Corruption Renault : accusée, Rachida Dati contre-attaque avec culot

Corruption Renault : accusée,  Rachida Dati contre-attaque avec culot

L’ex-ministre de la Justice de Nicolas Sarkozy et ex-députée européenne est mise en examen pour corruption et trafic d’influence passif par personne investie d’un mandat électif public depuis juillet 2021, dans l’enquête sur des contrats noués par une filiale de Renault-Nissan quand Carlos Ghosn en était le PDG. A l’origine de cette affaire : un flou entre les activités d’avocate et de députée européenne de Rachida Dati. Les soupçons portent sur les 900.000 euros que lui a versés entre 2010 et 2012 RNBV, filiale néerlandaise de l’alliance Renault-Nissan, alors qu’elle était avocate et députée européenne. Les investigations ont cherché à déterminer si ses honoraires correspondaient à des activités précises ou s’il s’agissait d’un emploi de complaisance ayant pu masquer un lobbying au Parlement européen, interdit pour les eurodéputés. L’ancienne garde des Sceaux qui conteste les accusations estime de son côté que l’affaire est prescrite !Rachida Dati n’hésite pas à contre-attaquer et à faire citer en justice le PDG actuel de Renault Dominique Sénart.

Dans la citation, le conseil de Rachida Dati affirme que « le but recherché par Jean-Dominique Senard était d’accabler Carlos Ghosn dans une volonté générale de dénigrement et de critique des choix de son prédécesseur (avec) une volonté claire d’omerta, destinée à accabler artificiellement Madame Rachida Dati pour atteindre Carlos Ghosn ».

 

Rachida Dati a saisi le tribunal correctionnel de Nanterre via la procédure dite de « citation directe » afin de faire comparaître Jean-Dominique Senard le 23 mai.

F1: À quoi sert Alpine chez Renault ?

F1: À quoi sert Alpine chez Renault  ?

 

Faute de résultats, la question de la présence de Renault en formule 1 s’était posée dans le passé.. Compte tenu des résultats assez désastreux d’Alpine, filiale de Renault, la problématique est à nouveau d’actualité. Un grand groupe international comme Renault ne peut se permettre d’accumuler les performances  de bas de tableau. Une situation qui dessert la marque quand au contraire la formule 1 a surtout pour objectif de montrer le dynamisme et l’innovation.

Dans l’écurie Alpine on considère cependant que des progrès sont régulièrement réalisés. Ce qui est exact mais la question n’est pas de faire des progrès mais d’avancer aussi vite que les autres et même davantage pour gagner. Non seulement l’Alpine n’est pas rapide mais en plus elle n’est pas fiable.
Après trois Grands Prix, Pierre Gasly et Esteban Ocon n’ont toujours pas marqué le moindre point, ne se hissant jamais au-dessus de la 13e place. Seules Williams et Sauber affichent, elles aussi, un zéro pointé, mais ces écuries n’ont pas les moyens humains et financiers d’un puissant constructeur automobile mondial comme Renault. Difficile à avaler quand on investit près de 200 millions d’euros chaque année pour s’offrir une vitrine mondiale censée vanter l’excellence de son savoir-faire.

Pas étonnant si les grandes marques françaises ont toujours eu des difficultés à imposer ensuite leur véhicule rapide de luxe sur le marché.

 

Fin des voitures thermiques en 2035 : Renault dénonce l’impréparation

Fin des voitures thermiques en 2035 :  Renault dénonce l’impréparation 

En commission des Affaires économiques du Sénat mercredi, le président du conseil d’administration du groupe Renault Jean-Dominique Senard a dénoncé l’impréparation du secteur automobile, confronté à un enjeu de taille depuis l’interdiction de la vente de voitures thermiques dans l’Union européenne prévue en 2035. Le président de Renault dénonce l’impréparation qui va avantager les Chinois nettement en avance en matière de voitures électriques. 

 

«L’analyse d’impact n’a pas été faite», a cinglé Jean-Dominique Senard. Peu de temps après, «tout le monde a découvert ou a fait mine de découvrir que nous avions un énorme sujet autour de la question des ressources nécessaires pour alimenter les usines de batteries que nous sommes en train de mettre en place en France», a-t-il encore lâché. Une faille liée, d’après lui, à l’absence en Europe «d’accès significatif aux mines dans le monde qui produisent des métaux nécessaires à la fabrication de batteries.» Comme le lithium, le nickel, ou encore le cuivre. «L’industrie automobile se retrouve devant des défis majeurs qui n’avaient pas été anticipés», considère ce capitaine d’industrie.

 

Si la visée environnementale est évidente, le patron de Renault s’inquiète d’un décrochage de l’Europe face aux autres puissances mondiales, notamment la Chine.

Marchés financiers : Des profits excessifs

Marchés financiers : Des profits excessifs

Vincent Chailley, cofondateur et directeur des investissements de H2O AM, société de gestion spécialisée dans la gestion « global macro » à fort effet de levier, livre son analyse sur l’évolution récente des marchés, notamment cette succession de records sur les Bourses mondiales, et dévoile ses principaux choix en matière d’investissement pour 2024.intreview dans La Tribune ( extrait)

 

  Les Bourses volent de record en record. Comment expliquez-vous cette bonne tenue des marchés ?

VINCENT CHAILLEY- Les actions sont chères, à l’exception peut-être des actions européennes qui attirent toujours aussi peu les investisseurs internationaux. Les obligations sont également chères. Tout est finalement un peu cher. C’est une forme d’héritage des injections de liquidités massives de ces quinze dernières années. Nous sommes toujours dans ce monde où tout est globalement cher. Un début de purge a eu lieu en 2022 mais il reste un excès de liquidités qui disparaîtra que progressivement. Ceci dit, il n’est pas anormal que les actions se comportent bien dans un monde inflationniste, surtout dans un contexte d’inflation par la demande. Les entreprises peuvent augmenter leurs prix, tenir leurs marges. Les actions sont donc mieux placées que les obligations. Les grands allocataires, comme les fonds de pension, ou les fonds souverains, qui avaient une forte exposition aux obligations, se sont tournés vers les actions quand l’inflation a commencé à grimper. Et ce sont les marchés américains qui ont le plus profité de cette réallocation en 2023.

Quel est votre scénario pour 2024 ?

Le scénario macroéconomique qui nous semble le plus probable, c’est celui d’un ralentissement de la croissance, modéré et progressif. Le risque de récession est faible, voire très faible. Je ne vois pas de force qui pourrait provoquer aujourd’hui une accélération du ralentissement en cours. L’économie ralentit car les taux sont élevés, notamment les taux réels au-dessus de 2%, mais l’emploi reste globalement très solide et surtout nous constatons aucun déséquilibre dans le secteur privé, aucun excès de dette à la fois chez les ménages et dans les entreprises. C’est très important. Nous ne sommes pas du tout dans une situation similaire à 2008. Il n’y a pas de problème bancaire, il n’y a pas de bulle de marché, même si quelques valorisations de la tech peuvent paraître excessives. En un mot, le secteur privé est sain. S’il devait y avoir un excès, il est dans le secteur public. Ce sont finalement les États qui payent les additions de tous chocs passés, et qui garantissent ainsi la bonne tenue de l’économie.

Cette résistance de l’économie américaine n’est-elle pas quelque peu artificielle ?

Les salaires réels continuent de progresser et la productivité semble repartir à la hausse. On pourrait même être au milieu d’un choc de productivité, à la sauce des années 90, ce qui ne serait pas surprenant compte tenu des investissements massifs dans l’innovation réalisés pendant ce long cycle d’argent gratuit. Et, puis, nous pouvons avancer une troisième source potentielle de soutien à l’économie, ce sont les marchés eux-mêmes. Dans un scénario où la Réserve fédérale redevient accommodante, nous pouvons toujours imaginer que les actions continuent de monter, que les primes de crédit se compriment, et dans une économie très sensible aux marchés, cela alimenterait la croissance. Tous ces éléments mis bout à bout, salaires réels, productivité, marchés favorables, pourraient finalement constituer le seul vrai risque pour les marchés, celui d’une économie américaine qui serait toujours très résistante en 2024, trop résistante aux yeux des banquiers centraux, avec un risque de retour de l’inflation. Le risque d’emballement, voire d’euphorie sur les marchés ne doit pas être ignoré, surtout s’il se concentre sur quelques actifs. A ce stade, cela reste un risque.

 

Renault: devant Peugeot

Renault: devant Peugeot

Avec 1,548 million de véhicules vendus en 2023, Renault est la marque française la plus vendue dans le monde.Cependant Renault reste loin encore dans le classement des grands constructeurs notamment de Toyota avec plus de 10 millions de véhicules pour 7 millions environ concernant Renault.

Les ventes de véhicules griffés Renault ont grimpé de 9,4% l’année derrière et même de 19.9% pour les véhicules utilitaires ( les véhicules commerciaux). En Europe, la part de marché a fortement progressé, Renault passant de la 5e place à la deuxième, derrière Volkswagen sur le marché des véhicules et des utilitaires. En France, sur son cœur de marché, la marque Renault a totalisé 390.485 ventes (en hausse de 16,2% par rapport à 2022) sur ces deux segments alors que Peugeot en a totalisé 305 295 (+0,1%) passant en deuxième position. La Clio est la grande gagnante de l’année avec 111.741 immatriculations – vendues aux particuliers et aux entreprises – en France ce qui la place en tête des modèles vendus dans l’Hexagone.

Un accord entre Renault et Volkswagen pour produire des voitures électriques…. chinoises ?

Un accord entre Renault et Volkswagen pour produire des voitures électriques…. chinoises ?

Renault et Volkswagen envisagent un accord pour produire ensemble une voiture électrique dont le prix ne dépasserait pas 20 000 €. La question est de savoir s’il s’agirait vraiment d’une voiture européenne… ou chinoise. En effet jusque-là Volkswagen en retard comme nombre d’autres Européens a multiplié les accords et les coopérations avec les producteurs chinois. En l’état de la production des deux constructeurs européens, on voit mal comment ils pourraient réussir leur pari sans recourir pour une très large part aux technologies, pièces voir même aux sites de production totalement chinois.

Selon Handelsblatt, Volkswagen envisage une coopération avec Renault pour développer et produire sa voiture électrique à 20.000 euros. Le constructeur automobile allemand est intéressé par une coopération autour d’une plateforme pour la voiture qui, espère-t-il, rendra les véhicules à batterie abordables pour le grand public, a rapporté le journal allemand. L’objectif des deux partenaires serait une production annuelle de 200.000 à 250.000 véhicules.

Notons que l’éventuel projet concerne la construction commune de plates-formes qui sont surtout des assemblages dont beaucoup d’éléments viennent de l’étranger

Renault a annoncé mi-novembre le lancement prochain d’une nouvelle Twingo électrique à moins de 20.000 euros, hors subventions, rejoignant Citroën dans la course à l’entrée de gamme électrique. Cette petite voiture urbaine sera lancée en Europe en 2026, se positionnant sur le plus petit des segments automobiles, où l’offre électrique est limitée.
Ampere, la nouvelle filiale de Renault, proposera au total sept modèles d’ici 2031: les Mégane, Scenic, R5 et R4 électriques, la Twingo, et deux modèles supplémentaires. Le prix de vente des modèles de segment moyen, Mégane et Scenic, sera à parité avec les véhicules thermiques d’ici à 2027/2028 « out en préservant les marges », a souligné Renault.

Par ailleurs, Renault a annoncé ce jeudi un plan ambitieux visant à réduire de moitié le coût industriel de production d’un véhicule électrique à l’horizon 2027, et à diminuer de 30% celui d’un véhicule thermique. Ce plan de transformation appelé « Re-Industry » vise par exemple à assembler une Renault 5 en moins de neuf heures dans l’usine française de Douai (Nord). Il contribuera également à la réduction du temps de développement des véhicules de trois à deux ans, voulue par Renault pour baisser ses coûts et accélérer le renouvellement des gammes Renault, Dacia et Alpine.

De son côté, Volkswagen compte lancer un modèle d’entrée de gamme de voitures électriques en Chine, son marché principal, où il subit la concurrence féroce des acteurs locaux. Le prix de cette nouvelle voiture compacte est estimé entre 18.000 et 22.000 euros, soit un peu moins que l’actuelle ID.3, vendue en Chine entre 21.000 et 22.000 euros.
Le modèle proviendra d’une nouvelle architecture commune pour de futurs véhicules électriques que Volkswagen souhaite développer d’ici à 2026 afin de réduire ses coûts de production en Chine où ses concurrents s’affrontent dans une guerre des prix.

Elle sera un dérivé de l’actuelle plateforme MEB, une banque de composants commune à plusieurs modèles électriques du groupe. L’architecture donnera le jour à toute une série de nouveaux modèles spécifiquement adaptés aux attentes des clients chinois. La marque Volkswagen prévoit également un modèle à moins de 20.000 euros pour l’Europe, mais n’a pas encore communiqué de date de production.

Automobile–Renault: une « low-cost » électrique à 20 000 €

Automobile–Renault: une « low-cost » électrique à 20 000 €

À son tour Renault annonce une « low cost » électrique à 20 000 €. Un prix toutefois égal au double de la Twingo thermique. Après l’annonce de la C3 à 20 000 € de Citroën, c’est maintenant Renault qui prévoit la sortie d’une low cost électriques à 20 000 € pour 2025.

Ce mercredi, lors du Capital market day d’Ampere, sa filiale dédiée à ses activités électriques, Renault a annoncé le lancement d’un nouveau modèle électrique en 2026 à moins de 20.000 euros, hors subventions, Et ce n’est autre qu’une Twingo, modèle iconique de la marque, qui reprend tous les codes de la première génération de ce modèle commercialisé en 1993. Elle vient compléter la gamme électrique composée de la Renault 5, la Renault 4, le Scénic ainsi que la Megane E-Tech. Deux autres modèles, encore inconnus pour l’instant, s’ajouteront à cette production pour 2031.

Renault: une « low-cost » electrique à 20 000 €

Renault: une « low-cost » electrique à 20 000 €

À son tour Renault annonce une « low cost » électrique à 20 000 €. Un prix toutefois égal au double de la Twingo thermique. Après l’annonce de la C3 à 20 000 € de Citroën, c’est maintenant Renault qui prévoit la sortie d’une low cost électriques à 20 000 € pour 2025.

Ce mercredi, lors du Capital market day d’Ampere, sa filiale dédiée à ses activités électriques, Renault a annoncé le lancement d’un nouveau modèle électrique en 2026 à moins de 20.000 euros, hors subventions, Et ce n’est autre qu’une Twingo, modèle iconique de la marque, qui reprend tous les codes de la première génération de ce modèle commercialisé en 1993. Elle vient compléter la gamme électrique composée de la Renault 5, la Renault 4, le Scénic ainsi que la Megane E-Tech. Deux autres modèles, encore inconnus pour l’instant, s’ajouteront à cette production pour 2031.

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